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Temps de lecture estimé : 25 mn
08/10/07
Résumé:  Une dirigeante d'entreprise munichoise quinquagénaire rencontre, à l'occasion d'un colloque, un jeune ingénieur sétois ayant une même passion pour l'histoire et la ville de Paris. Ils passent leur première nuit dans un petit hôtel du quartier latin...
Critères:  fh fplusag hotel voyage douche amour fmast fellation champagne uro mélo nostalgie
Auteur : Phileras  (Un homme amateur de rencontres originales)            Envoi mini-message

Série : La dirigeante

Chapitre 02
Un stratagème pour une nuit

Avant-propos

L’épisode précédent « Le jeune guide historien français » est le premier de la série. Tous les personnages importants y sont présentés d’entrée. Il est donc préférable de le lire avant d’aborder celui-ci… et si possible en prenant tout son temps.


Le résumé ci-après, le plus exhaustif possible, permet de se remémorer (ou de découvrir) les points les plus marquants du premier épisode.



Résumé de l’épisode précédent

(Le jeune guide historien français)


A l’occasion de la signature d’un important contrat, Philippe, un jeune ingénieur sétois, et Christa, une dirigeante d’entreprise munichoise dans la force de l’âge, se retrouvent à la même table dans un restaurant de la Porte Maillot à Paris. Ils ont tous les deux une même passion pour cette ville dans laquelle ils ont fait leurs études.


Philippe propose à Christa, qui accepte après un petit stratagème, de faire ensemble une grande ballade à pied d’une journée dans Paris.


Christa est une femme rigide faisant des réflexions à glacer le sang et que beaucoup considèrent comme « coincée ». Polyglotte, très dure en affaire elle vient d’être récemment élue à la vice-présidence de son syndicat patronal. Curieusement, elle se laisse progressivement charmer par Philippe, son « jeune guide historien français », à l’occasion de cette journée de promenade.


En prenant pour prétexte un souvenir de jeunesse, Christa se fait embrasser par Philippe devant les fontaines du Trocadéro.


En fin d’après-midi, dans un petit square faisant face à l’Église Saint-Eustache, Christa annonce à Philippe qu’elle ne peut pas le recevoir à son hôtel Sofitel pour passer la nuit avec lui, car ce serait vraiment trop dangereux pour sa réputation. Pourtant, tout dans son attitude laissait présager l’inverse. Christa semble craindre, tout particulièrement, les « on dit » et les tabloïdes « people ». Philippe est désappointé car il se sent de plus en plus attiré par cette femme cultivée à l’attitude est si singulière. Quant à Christa, elle ne sait plus elle-même comment se sortir d’une situation qu’elle juge inextricable.


À la fin de ce long périple à rebondissements, Philippe invite Christa à diner dans un restaurant grec du quartier latin. Christa y découvre le « retsina », un vin blanc résiné au gout si original et aux vertus décontractantes. Elle finit par proposer à son compagnon de ballade d’aller avec lui dans un petit hôtel sympa du quartier, à la condition sine qua non que cela se fasse discrètement. Philippe, qui attendait cet instant avec impatience, déniche une chambre confortable près de Saint Germain des Près, grâce au patron de ce même restaurant grec. Il propose à Christa de poursuivre la soirée avec la même boisson, le « retsina », à défaut de Champagne pour éviter les mélanges.


Arrivés dans cette chambre, les premiers échanges deviennent vite orageux. Christa commence par lui dire que son mari l’a quittée pour une jeune collaboratrice de quinze ans sa cadette. Elle lui avoue ensuite que, deux de ses amies et elle, font appel une fois par mois à des « taxi-boys » pour diner, danser et même quelques fois beaucoup plus. Christa préfère payer un professionnel plutôt que de se donner à un homme intéressé par son argent ou sa position sociale


Philippe, littéralement anéanti par cette révélation et certains autres propos ambigus, est en outre saturé par les trop nombreuses péripéties de la journée. Il « disjoncte » et donne une sévère fessée à Christa qui se laisse faire et déclare de suite après :


  • — J’ai été courageuse, je n’ai rien dit. Mais tu n’avais pas besoin de me donner une fessée aussi forte pour qu’on fasse l’amour ensemble.

Christa et Philippe se réconcilient ensuite « sur l’oreiller » en faisant l’amour sans retenue.


Quelques extraits des derniers échanges entre Christa et Philippe permettent de bien faire la transition avec ce deuxième épisode :


« …Puis le temps passant comme toujours trop vite, Christa déclare à Philippe avec une voix chargée de regrets :


  • — Je ne veux pas que tout s’arrête ce soir. J’aimerais qu’on puisse se revoir.
  • — Ça dépend essentiellement de toi.

Christa poursuit la gorge un peu serrée :


  • — Philippe, je ne veux pas te perdre.
  • — Oui, mais que proposes-tu concrètement ?
  • — Je rentre à Munich par avion après demain en fin d’après midi. Demain soir c’est ma dernière nuit au Sofitel. Avec mes collaborateurs on va travailler le soir jusqu’aux alentours de dix heures, dix heures et demi, pour préparer notre dernière réunion à la Grande Arche*.
  • — Je t’attendrai à la station de tramway. On pourra prendre un pot ensemble, ou même plus si tu veux. J’essaierai de trouver un hôtel pas trop cher dans le coin où on pourra faire un gros câlin.
  • — Non, ce n’est pas le problème, et en plus cette chambre est très bien. Ce que je ne veux absolument pas c’est qu’on me voit sortir de l’hôtel tard le soir, seule ou avec toi. Je n’accorde aucune confiance sur ce sujet à certains de mes collaborateurs ou à certaines personnes de l’hôtel. Avec un téléphone mobile on a vite fait de te prendre en photo, et je ne veux pas faire les gros titres de certains tabloïdes.
  • — Christa, je sais exactement comment on va faire. Mais avant de te le dire, je voudrais que tu sois très gentille avec moi… »

* Quartier d’affaires de La Défense, à l’Ouest de Paris dans le prolongement des Champs Élysées.


Fin du premier épisode.



Un stratagème pour une nuit


◦◦◦ 23:30 ◦◦◦


Christa et Philippe, dans le plus simple appareil, sont toujours sur le lit double de leur chambre d’hôtel à Saint Germain des Près. Christa est allongée sur le dos tandis que Philippe, assoupi contre elle depuis plus d’une demi-heure, lui emprisonne tendrement un sein avec la main. Christa profite de ce moment de quiétude pour faire le point avec elle-même et analyser la succession, pour le moins originale, des évènements de cette longue journée.


◦◦◦ 00:00 ◦◦◦


Tout d’un coup, Christa réalise que Philippe ne lui a toujours rien dit de ce qu’il comptait faire pour organiser leur dernier rendez-vous. Elle est inquiète. Elle ne se voit vraiment pas quitter son hôtel toute seule vers dix heures du soir, et encore moins le faire avec Philippe. Trop de personnes de son entourage direct ont intérêt à faire circuler sur elle les rumeurs les plus fantaisistes. Christa en oublie son nouvel amant qui dort paisiblement contre elle. Elle remue et se tourne assez vivement sur le coté. Philippe se réveille. Elle en profite pour lui demander tout de go :



Philippe regarde Christa avec un regard perdu et vaporeux. Son réveil est difficile, il s’étire bruyamment, puis se frotte les yeux. Ce n’est que plusieurs minutes plus tard, le temps de retrouver au moins partiellement ses esprits, qu’il répond à Christa par une question :



Christa ne pensait plus à cette promesse en l’air, et lui répond de manière étonnée :



Philippe se lève puis remplit le verre de Christa et le sien avec ce qui reste de « retsina », le vin grec résiné aux vertus décontractantes. Il tend son verre à Christa avec le sourire très satisfait du garnement qui s’apprête à faire une blague et n’arrive pas à garder son sérieux. Après plusieurs secondes de ce petit jeu, Philippe déclare avec beaucoup d’aplomb :



Philippe s’assoit sur le bord du lit et continue sur sa lancée :



Philippe fait un très large sourire à Christa et lui répond sur un ton très ironique :



Christa se montre très confuse et chuchote :



Christa se retrouve maintenant le dos au mur, par une demande qui n’est au plus qu’un jeu très « coquin ». Et pourtant, par manque de maîtrise de la situation, elle ne semble y acquiescer que du bout des lèvres :



Et elle rajoute aussitôt :



Philippe se contente pour toute réponse d’un sourire malicieux, ce qui augmente le désarroi apparent de Christa :



Christa semble de plus en plus gênée par la réponse à faire. De longues secondes de silence s’écoulent avant que Philippe ne poursuive sur un ton de plus en plus narquois :



Christa reprend son souffle et sort d’une seule traite :



Philippe, à la limite de l’éclat de rire, lui répond :



Passé un court temps de flottement, Christa reprend la situation en main. Elle regarde Philippe droit dans les yeux et lui déclare avec assurance :



Christa ne se met pas sur le dos. Elle se retourne lentement sur le côté avec beaucoup de sensualité, replie ses jambes et s’empare d’un coussin qu’elle plie en deux et glisse entre ses genoux. Ses deux cuisses ne sont plus en contact. L’accès à son intimité est désormais des plus faciles, quel que soit le côté et quelle que soit la main. Cette position des plus indécentes met Philippe dans un état second.


Avec sa main gauche Christa commence par caresser fermement ses seins, puis ses reins, et enfin ses cuisses et ses fesses. Avec sa main droite, d’un geste très décidé, elle se dirige lentement, très lentement, mais directement, vers le bas de son ventre.


Durant tous ces préparatifs, Christa fixe toujours Philippe droit dans les yeux. Son regard est volontaire, à l’image exacte de ce qu’il était lors de leur première rencontre au restaurant de la porte Maillot. Une manière élégante et ferme de faire comprendre à son jeune complice « obscène », qu’elle n’est pas le genre de femme à se « dégonfler » devant ce genre de défi.


Après avoir longuement et tendrement caressé le bas de son ventre en insistant plus profondément dans la région de ses ovaires, la main de Christa arrive en conquérante à proximité de son clitoris qui semble attendre cette rencontre avec beaucoup d’impatience. Christa commence par l’effleurer avec retenue, mais il est déjà bien trop sensible. Ce simple contact déclenche une série de petits tremblements dans le bas de son ventre, ses cuisses et ses mollets. Christa est trahie par son corps qui n’arrive pas à garder un calme apparent. Elle aurait préféré lui offrir plus de temps dans sa montée vers le plaisir.


Pour notre chef d’entreprise munichoise, la maîtrise de ces évènements charnels et émotionnels s’avère beaucoup plus problématique que la maîtrise de la plus complexe des négociations d’affaires.


Philippe apprécie terriblement cette situation. Christa, dans un certain sens un peu moins. Sa respiration change vite de rythme et n’a plus cette lenteur posée et décontractée qu’elle avait au départ. Mais, son point le plus faible, c’est incontestablement son regard. Un regard qui livre trop ses sentiments, un regard qui vient de perdre bien rapidement l’arrogance qu’il avait encore quelques minutes plus tôt.


Philippe est aux anges.


Christa ferme les yeux. Son visage est très expressif, c’est le visage d’une femme qui veut offrir tout son cheminement vers le plaisir à son jeune amant.


Les doigts de Christa descendent maintenant au contact de sa grotte d’amour. Ils en caressent les abords et l’entrée avec une infinie douceur. Leurs mouvements sont lents, presque hésitants, comme s’ils avaient peur de provoquer à nouveau des réactions trop rapides et trop brutales sur ce corps non maîtrisé. Un moment plus tard, la respiration de Christa redevient plus paisible.


Soudain, sans crier gare, Christa fait entrer sa main gauche dans l’action en passant par derrière. Elle pénètre avec trois doigts sa partie la plus intime, très profondément, comme pour en explorer l’intérieur. Sa main droite peut reprendre possession de son bouton d’amour qu’elle semble avoir abandonné avec regret quelques instants plus tôt.


Christa rouvre les yeux et regarde Philippe avec un regard de plus en plus fuyant. Elle est maintenant ailleurs, dans un autre monde, entièrement concentrée sur les sensations qu’elle veut déchaîner et offrir à son jeune complice. Philippe veut quand même participer à cet évènement. Avec sa main, il caresse le bras et l’épaule de Christa, puis descend lentement le long du dos jusqu’à effleurer la raie de ses fesses, sans toucher à son entrée interdite. Christa semble le regretter. Sa respiration se fait de plus en plus saccadée. Ses gémissements, très faibles au début, s’expriment de plus en plus forts, avec de moins en moins de retenue.


Philippe fait semblant de calmer le jeu en caressant plus fermement ses fesses et ses cuisses, mais rien n’y fait. Christa n’entend plus rien. Son ventre, ses cuisses, ses fesses et tout son corps ne sont plus qu’une série ininterrompue de contractions, de tremblements et de spasmes. Soudain, assez brutalement, elle prend une grande respiration et pousse un long râle irrégulier qu’elle a du mal à étouffer.


C’est alors que soudainement elle attrape le coussin qui est entre ses genoux, le fait glisser sous sa tête, puis se retourne sur le ventre. Elle écarte ses cuisses, soulève le bas de son ventre et réattaque violement son sexe par-derrière, mais avec sa main droite cette fois. Tous les muscles de son corps sont en action. Christa donne l’impression de faire violement l’amour avec un être invisible qui serait sous elle.


Enfin, brusquement, Christa retire sa main, la glisse sous son oreiller qu’elle serre très fort, puis elle se détend. Deux ou trois contractions résiduelles plus tard, elle resserre ses cuisses et se tourne sur le côté en regardant Philippe d’un air soulagé. Son corps est luisant de sueur, une vague de plaisir vient de la submerger.


Philippe est subjugué par le spectacle auquel il vient d’assister. Christa ne s’est pas donné un simple plaisir, aussi intense soit-il, elle vient de se faire l’amour. Philippe la retourne délicatement sur le dos pour la prendre dans ses bras et l’embrasser avec ardeur. Son cœur bat vite et fort, et son corps est brûlant. La passion apaisée, Philippe peut alors lui dire :



Christa se redresse et constate qu’il faut qu’elle soulage Philippe au plus vite compte tenu de son excitation. Elle prend le sexe de Philippe à pleine main et le caresse vigoureusement :



◦◦◦ 00:30 ◦◦◦


Christa s’allonge en travers et commence à lécher le sexe de son amant avec sa langue, goulûment, un peu comme une sucette :



Christa se repositionne. Avec sa main Philippe peut lui caresser cette paire de fesses qu’il affectionne tout particulièrement. Sa peau douce et soyeuse est encore un peu humide : une conséquence de sa dernière vague de plaisir.


Christa reprend l’extrémité du sexe de son amant dans sa bouche. Elle l’aspire, le caresse avec ses lèvres et sa langue, et le mordille un peu avec ses dents. La manière dont Philippe lui caresse ses fesses et ses cuisses la renseigne sur la montée de son plaisir. Elle sait qu’elle peut encore prendre son temps. Le corps de son amant est toujours parfaitement détendu. Puis soudain, le temps passant, quand la main de Philippe ne caresse plus mais commence à serrer et à pincer, quand son souffle se fait plus rapide, quand les premières gouttes de plaisir apparaissent, elle sait que le moment fatidique arrive inexorablement.



Christa quitte momentanément sa tâche pour déclarer sur un ton très coquin auquel Philippe était loin de s’attendre :



Christa se remet « au travail » de plus belle, sans tenir compte de cet avertissement. Puis vient l’explosion avec ses jets de plaisir qui arrivent sur la langue et dans la bouche. Une explosion que Philippe ne peut pas, mais surtout ne veut pas maitriser.


Christa ne s’est pas retirée pour ne pas rompre la moindre partie de ce plaisir tant attendu par son jeune amant, lui qui lui en a déjà tant donné de son coté.



Christa s’interrompt quelques secondes, puis poursuit en souriant :



◦◦◦ 01:00 ◦◦◦


Philippe s’apprête à se lever pour sortir de la chambre et aller dans la salle de douche quand Christa l’arrête dans sa lancée :



Philippe ne pensait plus à ce qui est loin d’être un détail pour Christa. Il se rassoit sur le bord du lit, donne une petite claque sur les fesses de sa grande blonde toujours allongée sur le coté, puis lui déclare très tranquillement :



Christa se tourne vers Philippe et lui embrasse la main avec sensualité :



Philippe se rallonge à côté de Christa et commence à lui faire une multitude de petits bisous sur ses seins tout en lui caressant le dos. Le trouvant un peu trop timoré, elle lui dit avec une pointe d’autorité :



Le baiser terminé, Christa se blottit dans le cou de Philippe et caresse délicatement le haut de son corps. Elle profite de cet instant de décontraction pour essayer de le faire parler afin d’en savoir plus sur lui et son entourage :



Christa se redresse particulièrement choquée. Son visage exprime tout à coup le dégout le plus profond :



C’est au tour de Philippe d’être à la fois choqué, et stupéfait que Christa ait pu avoir une telle pensée. Il lui répond sur un ton particulièrement sec :



La tension retombe aussi vite qu’elle était montée et Christa reprend calmement son interrogatoire comme si de rien n’était :



Philippe se remet à jouer avec la poitrine de Christa en faisant rouler du bout des doigts la pointe de ses seins, en n’hésitant pas de les pincer de temps à autre pour voir les réactions.



Christa prend la main de Philippe toujours très occupée sur sa poitrine et lui fait un gros bisou très sensuel. Elle se redresse ensuite sur le lit et lui dit :



◦◦◦ 01:30 ◦◦◦


Philippe rallume le plafonnier, puis Christa se lève et passe en premier :



La salle de douche se trouve exactement en face de la chambre, il n’y a qu’un étroit couloir à traverser pour l’atteindre. Elle est entièrement carrelée en blanc, un peu comme les salles de consultation des anciens hôpitaux. Le bac à douche entièrement maçonné est de très grande taille. Christa rentre en premier, suivie immédiatement par Philippe. Elle ouvre en grand les robinets, et après quelques secondes d’attente des déluges d’eau chaude se mettent à couler.



Au lieu de cela, Philippe prend Christa dans ses bras, glisse sa jambe entre ses cuisses et lui chuchote sur un ton très guilleret :



Philippe embrasse Christa qui se détend et se laisse aller. Un liquide chaud coule sur leurs deux cuisses. La sensation ne parait désagréable ni à l’un, ni à l’autre :



Christa prend la savonnette et la passe sur leurs deux corps très sensuellement. Philippe en profite et fait glisser lentement sa main dans la raie des fesses de Christa. Il s’arrête sur sa petite rondelle qu’il caresse délicatement, et lui déclare sur un ton très ironique :



Philippe décroche la douchette pour rincer Christa avec beaucoup de soin, y compris ses parties les plus intimes. Cette situation remet Philippe en très grande forme et ce, très visiblement :



Philippe regarde la chaise sur laquelle sont posées les deux grandes serviettes de bain, et annonce tout fier à Christa :



Philippe ne répond pas. Il meurt d’envie de repartir à l’assaut de sa grande et belle blonde, mais il ne veut absolument pas, par excès de fierté, que les sensations soient à sens uniques pour la « der » de cette première soirée. Christa poursuit dans sa lancée sur un ton humoristique que Philippe ne perçoit pas, mais pas du tout :



Philippe est déçu, mais pragmatique. Il a lui aussi une très lourde journée de travail dans quelques heures : présenter son logiciel de devis descriptif à un groupe de responsables techniques du secteur du bâtiment. Christa sort de la douche et s’empare d’une grande serviette pour s’essuyer. Philippe la contemple en souriant et lui déclare :



Philippe s’éloigne un peu de Christa, la toise de haut en bas et lui déclare sur un ton très ironique :



Philippe perçoit une certaine tristesse dans la voix de Christa qui reprend tout aussitôt :



◦◦◦ 02:00 ◦◦◦


Christa et Philippe quittent la salle de douche et retraversent le petit couloir pour pénétrer dans la chambre. Le lit est sans dessus-dessous. Christa, en bonne allemande ordonnée, le retape avec soin et s’allonge dessus. Philippe se saisit de son téléphone dans la poche de son pantalon et contemple son modèle :



Philippe se penche sur Christa et prend son sein gauche à pleine bouche, sur le dessus, en aspirant très fortement, tout en caressant très délicatement son dos et ses fesses. Au bout de quelques minutes, Christa repousse sa tête et lui dit :



Et Philippe de lui répondre très satisfait de son geste :



Philippe se relève et commence à prendre des photos de Christa. Certaines sont chastes, d’autres beaucoup moins. Christa se prête au jeu, bien plus facilement qu’elle n’aurait pu elle-même le penser, et dans des positions parfois très provocatrices. Le suçon est terriblement visible sur les photos, de même que les conséquences de la fessée qu’elle a reçu il y a déjà plusieurs heures. Son minou, que Philippe voulait pouvoir deviner sans le voir, est bien souvent plus que discernable sur certaines photos, il est provoquant.


La séance terminée, Christa se relève, met ses sous-vêtements et s’apprête à enfiler son jean. C’est alors que Philippe lui lance :



Christa repose son jean et enfile son collant en premier. Philippe la regarde faire, puis lui déclare en souriant :



Quelques instants plus tard, Christa est entièrement rhabillée, en dirigeante cette fois et non plus en ex-étudiante parisienne. Philippe peut alors prendre une dernière série de photos présentables à sa cousine. Ils peuvent ensuite quitter ce petit hôtel en ayant pris soin de réveiller le patron pour réserver la même chambre pour la nuit suivante.


◦◦◦ 02:30 ◦◦◦


Philippe tient Christa par l’épaule pour se diriger vers la seule station de taxi encore ouverte à Saint Germain des Près à cette heure avancée de la nuit. Il lui dit sur un ton quelque peu nostalgique :



À suivre…