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Temps de lecture estimé : 10 mn
12/01/08
Résumé:  Les paroles du défunt toubib, ainsi que son 'élimination', m'inquiètent et m'empêchent de dormir. Et mes deux extra-terrestres qui continuent de baisouiller dans tous les sens...
Critères:  ff hh ffh frousses nympho voir fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio humour sf -humour -sf -hff
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Les apprenties

Chapitre 03 / 11
Orgasmes et statistiques

Résumé : J’ai rencontré deux extra-terrestres surprenants ! Ils sont composés de myriades de grains de lumière tourbillonnants et peuvent prendre n’importe quelle forme, humaine ou non. Ils sont venus sur Terre pour rencontrer un certain docteur Robert Shank. Mais voulant faire un peu mieux leur connaissance avant de les accompagner pour le retrouver, j’ai réussi à les convaincre de choisir chacun l’apparence d’une sublime bombe sexuelle et je leur ai fait découvrir les plaisirs de l’amour physique.


Après avoir baptisé Juliette et Éloïse mes deux nouvelles amies, je les ai conduites au cabinet du psychiatre Robert Shank. Mais celui-ci est devenu fou en apprenant que je leur avais enseigné les joies du sexe ; il m’a expliqué que ces êtres jouaient un rôle fondamental dans l’équilibre de l’univers et que ma conduite aurait des conséquences catastrophiques ; et pour finir, il s’est mis en tête de me supprimer. Mais il a été lui-même éliminé par les deux extra-terrestres.






Je m’éveillai au son de leurs gémissements plaintifs ; un coup d’œil sur la pendule m’apprit que j’avais dormi deux petites heures dans le canapé. À côté de moi, Éloïse était assise à califourchon sur les cuisses de… moi-même ; l’un d’entre eux avait repris mon apparence. C’était vraiment bizarre. Je me levai et leur souhaitai une bonne nuit, leur expliquant que ma chambre était au-dessus et qu’ils/elles pouvaient venir me trouver si nécessaire.

Mais je ne parvins pas à me rendormir. J’étais tracassé. Je tournais et retournais dans ma tête les paroles du défunt psychiatre ; et je cherchais à m’imaginer la suite des événements. Qu’allais-je faire de mes deux hôtes ? Là, ça allait, j’étais en vacances encore quelques jours, mais après ? Et puis surtout s’ils passaient tout leur temps à baisouiller ! Heureusement d’ailleurs que j’étais en vacances, car il était déjà cinq heures vingt et je n’avais dormi qu’à peine deux heures…


Et les flics… Ils viendraient forcément chez moi ! Ce n’était pas moi qui avais buté le toubib, mais comment le prouverais-je ? D’un autre côté, personne ne trouverait jamais son corps. Je n’aurais qu’à dire que j’avais amené deux vieillards dérangés chez lui, comme pourraient l’affirmer tous les témoins, et que quand je l’avais quitté, il se portait à merveille. Bah, on verrait bien…


Putain, merde, six heures du mat’ ! Et toujours impossible de m’endormir ! Je décidai de me relever. J’allais d’abord prendre une bonne douche, ça me requinquerait. Ensuite j’irais voir mes gugusses qui devaient selon toute probabilité être encore en train de copuler dans le salon.


Bingo ! Une fois lavé, séché, rasé et habillé, je descendis les rejoindre et je les trouvai à l’endroit où je les avais laissés, mais pas tout à fait dans la même configuration : j’avais cette fois-ci en face de moi deux clones de moi-même ! Allongés par terre, sur le côté, nus et en soixante-neuf, chacun en train de sucer la queue de l’autre. Hier soir, quand je m’étais trouvé pour la première fois en face de mon clone, j’avais déjà trouvé ça bizarre, mais là, en voir deux ! Et puis en plus dans cette situation ! Beuark !!!



Mais ils ne firent absolument pas attention à moi et je les abandonnai à leur fantasme du moment pour aller petit-déjeuner un peu. Un peu plus tard, entre deux tartines, je vis arriver à poil deux exemplaires de moi-même, leurs queues légèrement gonflées pendantes jusqu’à mi-cuisse.



Ils décidèrent alors de se parer instantanément chacun d’une magnifique robe de soirée noire, qui n’arrangea que bien peu mon jugement de leur allure.



Ils se déhanchèrent, sans doute pour observer comment j’étais vêtu, mais je les devançai :



En guise de réponse m’apparurent les visages et les corps de rêve que j’avais évoqués la veille en les rencontrant. Je me sentis instantanément mieux et les félicitai aussitôt :



Ils vinrent se poster debout en face de moi tandis que je continuai de dévorer ; je devinai qu’ils avaient quelque chose à m’annoncer. Ce fut la rouquine Juliette qui m’entreprit :



Éloïse prit alors la parole :



Devant leurs yeux plus ou moins vides, je poursuivis :



Je commençai à savoir comment m’adresser à eux. Enfin, à elles, en fait. Elles s’attablèrent en face de moi. Je contemplai encore sans retenue leurs décolletés échancrés provocants avant de me lancer :



Juliette et Éloïse se défièrent de regards déconcertés, puis finirent par me gratifier simultanément d’un commun enthousiasme :



Je soupirai une nouvelle fois.



Mais je me repris en considérant une nouvelle fois leurs poitrines :



Je les entraînai à ma suite dans le salon et m’assis entre elles deux dans le canapé. Je passai un bras autour de chacune et les invitai à venir m’embrasser de concert. Elles s’agenouillèrent à mes côtés sur le sofa et nos trois langues roulèrent ensemble tandis que j’abaissais mes mains le long de leurs courbes stupéfiantes, les passais sous leurs robes et caressais bientôt leurs raies à travers le fin tissu de leurs culottes déjà presque humides.


Je massais leurs clitoris durcissants et astiquais leurs fentes, tout doucement, et elles me couvraient le visage et le cou de doux baisers. Elles se relayèrent ensuite pour me défaire de ma chemise et débrailler mon pantalon, suffisamment pour y glisser une main, ou même deux mains, qui vinrent se saisir de mon sexe raidi et le frotter résolument. Et elles continuaient de m’enivrer de leurs torrides baisers qu’elles déposaient maintenant partout sur mon visage, mon cou et mon torse, en profitant pour appuyer sur une quelconque partie de mon corps leurs seins lourds, qu’elles savaient maintenant pour moi violemment excitants.


Elles finirent nues, presque allongées, leurs poitrines sur mes cuisses et leurs langues s’enroulant l’une après l’autre ou ensemble autour de mon sexe qu’elles tenaient bien droit devant elles. J’avais mes deux mains coincées entre leurs jambes serrées, avec juste un ou deux doigts relevés qu’elles faisaient frotter contre leurs clitoris en tortillant du bassin.


Je savourai quelques minutes leurs douces caresses buccales mais elles se relevèrent bientôt. Juliette vint s’agenouiller à califourchon sur mes cuisses et s’empaler brutalement sur mon sexe tendu dans un long gémissement. Éloïse l’observa faire avec un sourire, puis vint se positionner debout juste au-dessus de moi, les jambes légèrement écartées ; elle s’appuya d’une main sur le dossier du canapé et de l’autre, elle me saisit la tête et la plaqua contre son pubis, pour m’ordonner silencieusement de m’occuper d’elle aussi.


Je léchai sa vulve en feu jusqu’à m’en faire mal à la langue pendant que Juliette montait et descendait ses hanches au-dessus de mes cuisses ; toutes les deux gémissaient ou couinaient même. De ma main gauche, je pressai les fesses d’Éloïse, et de la droite je caressai les gros seins fermes de Juliette qui se balançaient au rythme de ses déhanchements. Je la sentais compléter mes caresses sur ses seins d’une main et s’exciter le clitoris de l’autre.


Mais Éloïse, sans doute inconfortablement installée, se recula bientôt et vint s’asseoir sur mon bas-ventre, le dos collé contre Juliette. Celle-ci, sans cesser de se déhancher, referma ses mains avides sur les seins de la jeune femme et elles s’embrassèrent à pleine bouche. Éloïse se caressait d’une main et passait l’autre dans les cheveux flamboyants de sa partenaire.


Je guidai bientôt Éloïse pour qu’elle revienne se positionner presque comme précédemment, mais dans l’autre sens, faisant face à Juliette. Et comme elle s’asseyait quasiment littéralement sur mon visage, je tirai doucement les mains de cette dernière vers moi, et nous plongeâmes simultanément, Juliette et moi, nos langues le long de la raie d’Éloïse. Celle-ci se mit à gémir plus fort qu’auparavant comme ma langue tentait de s’immiscer dans son anus. Pour le coup, son cul sentait presque la rose ou en tout cas dégageait la même fraîcheur que le reste de sa peau, exempt qu’il était de toute trace de quelconque défécation, ou même de transpiration.


Juliette se dandinait au-dessus de moi à toute allure, pressant mon sexe dans le sien, et je la devinai lécher passionnément le clitoris et la vulve brûlante et coulante d’Éloïse. Cette dernière ne résista pas longtemps sous les caresses conjuguées de nos langues sur ses deux orifices. Ses gémissements devinrent de véritables hurlements qui allèrent croissants dans la durée et la puissance au rythme de ses déhanchements amplifiés, jusqu’à un cri final qu’elle poussa en se cambrant et se raidissant soudainement, avant d’éclater en une nuée d’innombrables grains de lumière tournoyant plus vite que jamais au-dessus de moi dans un fatras d’éclairs multicolores.


L’orgasme de notre partenaire et les gros seins de Juliette qui m’écrasèrent soudain tandis qu’elle se laissait choir sur moi pour venir m’embrasser de ses lèvres trempées du plaisir d’Éloïse, c’en fut trop pour moi. À mon tour, je me contractai dans une ultime clameur de plaisir et éjaculai en fermant les yeux tandis que ma partenaire continuait de balancer son bassin à toute allure en gémissant encore.


Quand je commençai à reprendre mon souffle, Juliette s’était redressée et continuait ses va-et-vient au-dessus de moi, m’arrachant quelques dernières sensations plaisantes, et je constatai que les grains de lumières au-dessus de moi tournoyaient encore et ne s’étaient pas encore reformés. C’était la première fois que cela était si long. Mais ils ralentirent finalement, s’éloignèrent un peu de moi, s’agglutinèrent une nouvelle fois et Éloïse reparut, assise près de moi sur le canapé, ses yeux de braise dardés dans les miens.



J’étais agréablement surpris. Pour une fois que l’une ou l’autre ne me sortait pas une de leurs conneries abominables de martiens ! C’était la première réaction normale que j’observais depuis que je les avais trouvées au fond du jardin.


Juliette poursuivait sa quête orgasmique, mais allait se heurter à une difficulté inconnue : mon sexe se dégonflait et serait bientôt flasque. Elle dut s’apercevoir que quelque chose n’allait plus car elle se releva légèrement, me libérant et se laissa tomber assise à côté de moi, laissant s’échapper un filet de sperme de ma cuisse jusqu’à l’assise du canapé.



Elle m’observa, un instant déçue, puis m’adressa un sourire espiègle :



Je rêvais ou elle se foutait de moi !



Mais je n’eus pas le temps de dire quoi que ce soit d’autre. Elle vint se positionner debout au-dessus de moi, les jambes écartées pour que je la lèche. Un dernier filet de sperme suinta devant mes yeux, s’échouant sur mon torse et elle s’approcha, plaquant sa vulve contre le bas de mon visage. Je pris une grande inspiration et fermai les yeux avant de plonger ma langue contre son clitoris encore tout dur. Avec la plus grande force d’abstraction que je pouvais produire, je me mis à la lécher avec méthode, sans excitation, et avec comme seul plaisir de lui en fournir. Mais cela lui plaisait et elle gémissait et dès lors j’en retirai tout de même un petit mélange de satisfaction et de fierté.



Et Éloïse vint me rejoindre, appuyant son corps contre le mien, son menton contre le mien ; sa langue glissa entre les globes fessiers de Juliette et vint effleurer la mienne le long de la raie chaude et détrempée. Je m’abandonnai à de nouveaux élans d’excitation et de désir (qui restaient toutefois cérébraux car mon sexe demeurait désespérément mou) et nos caresses buccales conjointes enflammèrent bientôt le corps de notre partenaire qui hurla en se trémoussant une dernière fois avant d’exploser à son tour en grains de lumière torrentueux parcourus d’éclairs multicolores.


Quand le corps au-dessus de nous disparut, une dernière goutte de sperme apparut en l’air entre les particules virevoltantes et tomba sur nos deux langues qui venaient de se coller pour un dernier baiser sulfureux. Je l’essuyai d’un revers de poignet tandis que les fragments tourbillonnants se rapprochaient dans une dernière danse. Et tandis que Juliette reprenait vie dans un corps tout neuf à côté de moi, je me fis la réflexion qu’elles avaient incroyablement progressé en une nuit. Encore un ou deux jours et elles seraient parfaites…