n° 12290 | Fiche technique | 13678 caractères | 13678 2317 Temps de lecture estimé : 9 mn |
16/02/08 |
Résumé: Marie-Claude a pris possession du logement de Bébert. Elle commence son dressage. | ||||
Critères: fh hplusag hsoumis fdomine revede massage cunnilingu nopéné sm yeuxbandés | ||||
Auteur : Mariechriss |
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Marie-Claude retourne chez Bébert, elle est repue pour quelques heures mais sa tête est toujours sur le grill et le dressage de Bébert l’occupe tout en l’excitant. Un vieux, comment ça se dresse, en douceur sûrement car par la force il gagnerait à tous les coups et c’est elle qui redeviendrait une soumise. Et là elle dit non, avec ce qu’elle a vécu, elle a beaucoup donné de ce côté. Donc de la douceur ferme et un petit plaisir de temps en temps pour le calmer et toujours le laisser espérer mais en gardant la cravache à portée de mains des fois qu’il se révolte. Oui, c’est un bon plan.
Le couvert est mis comme elle l’a exigé mais au premier coup d’œil elle voit ce qui cloche. La petite table pour Bébert est placée juste dans l’axe de sa chaise et bien sûr il sera aux premières loges pour voir son sexe, ses cuisses, bref pour s’exciter un max. Bien joué Bébert, tu as tout compris.
Bébert s’exécute sans discuter car il a peur de la cravache que Marie-Claude tient dans sa main. Il sait qu’elle est capable de le fouetter sans scrupule juste pour le faire obéir. Alors il préfère filer doux… pour le moment. Il attend son heure, sûr de lui.
Marie-Claude s’est assise à sa place, royale dans sa tenue totalement indécente car elle a déboutonné son corsage à moitié et ses seins sont quasiment à découvert, ce qui met le pauvre Bébert en émoi, comme si cela était encore nécessaire. Il bande, le pauvre, comme un taureau et Marie-Claude, qui le sait, en joue au-delà de la décence. Sa main, pendant que Bébert la sert, se pose sur la braguette de son pantalon. Elle lui masse le sexe doucement et elle le sent gonflé, dur mais coincé dans la toile du pantalon.
Mais Marie-Claude s’en fout, ce qui compte c’est son plaisir à elle. Les émotions de Bébert, pour le moment, ce n’est pas son problème.
Il s’exécute maladroitement et ils mangent en silence pendant quelques minutes, le temps de se caler un peu l’estomac.
Et il lui sert un verre de ce vin dont il lui a vanté les mérites. Marie-Claude le goûte et, ma foi, le trouve fort bon, doux au palais avec un je ne sais quoi de parfum de framboise.
Bébert prend un des pieds de Marie-Claude dans sa main et commence à promener sa langue sur le dessus puis glisse doucement vers les orteils qu’il suce un par un en s’attardant longuement entre les orteils. Il imagine le sexe de Marie-Claude entre chaque orteil et Marie-Claude, curieusement, ressent la même chose. Son sexe s’ouvre et commence à ressentir de légers frissons. Elle repense à Kamel et trouve qu’elle a eu raison de l’utiliser pour se calmer. Sinon elle serait déjà en train de se tordre aux pieds de Bébert. L’horreur, tout ce qu’elle veut éviter.
Dix minutes plus tard, il revient avec un plateau sur lequel sont posées deux tasses de café fumantes avec, à côté, le sucre et des petits gâteaux. Marie-Claude est langoureusement installée sur le canapé, les cuisses à l’air, légèrement ouvertes pour laisser entrevoir la source du bonheur universel. Celle que Bébert veut toucher, sucer et défoncer à grands coups de queue.
La voix de Marie-Claude le ramène à la réalité de sa condition de serveur. Il se remet à genoux et tend la main vers Marie-Claude pour avoir un gâteau. Elle lui en jette un par terre et lui donne l’ordre de le ramasser sans les mains. Après plusieurs tentatives, il finit par l’attraper et il le mange avec un air de chien battu quémandant une caresse. Marie-Claude rigole et passe sa main dans ses cheveux comme pour le flatter, mais ses doigts se referment et elle tire la tête vers elle, ce qui fait gémir l’infortuné Bébert qui commence à être inquiet sur son sort. Cette garce est capable de tout.
Bébert se redresse et part au garage, d’où il revient très vite avec une corde.
Marie-Claude lui attache solidement les mains pour être sûre qu’il ne pourra pas s’en servir contre elle ou pour se branler. Puis, elle lui met un bandeau devant les yeux pour le réduire vraiment à sa merci. Ce travail fait, elle s’approche de Bébert et lui susurre des mots doux dans l’oreille.
Bébert entend le doux froissement des vêtements qui tombent par terre un par un et, pour jouer, Marie-Claude lui colle sa culotte sous le nez et il s’enivre du parfum de ce sexe qu’il désire tant. Mais de nouveau la voix de Marie-Claude le ramène sur terre, à sa condition de bon à tout faire. Il sent la main de Marie-Claude qui frôle son sexe et d’un seul coup sa verge est prise dans un étau. La main de Marie-Claude pense-t-il affolé !
La main de Marie-Claude sur le sexe de Bébert se fait dure et elle le tire en avant, ce qui l’oblige à suivre sa maîtresse à petits pas mal assurés, bandeau oblige. Il bute sur un obstacle et manque de tomber.
Pas à pas, ils montent l’escalier et Marie-Claude tire sans ménagement sur la verge de ce qu’il faut bien considérer comme un esclave. Ils arrivent en haut de l’escalier. Marie-Claude rentre dans la chambre de Bébert pour la première fois et elle tire plus fort sur la queue pour le faire avancer plus vite.
Marie-Claude, nue, s’est allongée sur les draps du lit de Bébert et elle commence à profiter des sensations que lui imprime la langue de Bébert. Celui-ci sait qu’il joue gros et il ne veut pas rater cette épreuve qui, sans doute après bien d’autres, lui ouvrira la chatte tant désirée. Alors sa langue se fait douce sur les pieds de Marie-Claude et remonte progressivement le long des jambes mais au moment où il approche du sexe de Marie-Claude elle se retourne et l’oblige à refaire le parcours à l’envers. Il redescend vers les pieds et Marie-Claude tourne encore et il recommence.
Marie-Claude frémit sous les coups de langue mais pas un son ne sort de sa bouche, elle ne veut pas indiquer à son lécheur qu’il marque des points. Et la langue continue ses allers-retours mais cette fois-ci elle passe sur le sexe qui ruisselle et Bébert pousse un soupir de soulagement. Cette fontaine lui remonte le moral. Marie-Claude aime et elle ne peut pas le cacher. Son corps parle pour elle. Sa chatte est mouillée et ça, c’est bon pour lui. Alors, il reprend ses léchouillis et arrive aux seins si doux, si tendres mais aussi si tendus. Les tétons pointent très haut leur excitation et Marie-Claude ne peut retenir un gémissement. Alors Bébert se déchaîne et augmente le rythme des coups de langues en remontant vers le visage mais, une fois de plus Marie-Claude se retourne et il lui lèche le dos maintenant.
La partie continue longtemps, Bébert a soif mais Marie-Claude s’en fout, elle est prise dans une espèce de vibration permanente sans jouir mais qui lui fait tourner la tête et la fait gémir.
Alors la langue de Bébert s’empare de la chatte de Marie-Claude et commence une ronde subtile, délicate, jouant entre le clitoris et les petites lèvres, la glissant dans la fente qui ruisselle. Il s’abreuve de ce jus divin car il a soif. La source est inépuisable et Marie-Claude part dans un premier orgasme qu’il a la tentation d’arrêter juste avant son déclenchement. Mais un réflexe de survie lui dit qu’il vaut mieux aller jusqu’au bout avec cette petite car, sinon il pourrait le payer cher.
Alors sa langue se fixe sur le bouton turgescent et il le lèche avec application, avec gourmandise. Il sent, il « voit » l’orgasme jaillir du corps de Marie-Claude dans un cri spasmodique.
Les coups de rein de Marie-Claude sont violents et le nez de Bébert souffre un peu au passage mais il continue son léchage. Il sait qu’il peut dominer Marie-Claude mais pour cela il doit être libre et, curieusement ce n’est pas forcément quelque chose qui lui manque.
Longtemps, il a léché Marie-Claude en se concentrant presque exclusivement sur sa chatte et plusieurs orgasmes se sont succédés. Il ne se souvient plus combien mais, tout ce dont il se souvient, c’est d’être tombé par terre d’épuisement et que, Marie-Claude n’a rien dit, épuisée elle aussi par tant de plaisir.
Après ce qui lui a semblé être une éternité, il a senti une bouche qui se refermait sur son sexe et qui le suçait lentement. Et ce fut à son tour de gémir, Marie-Claude aussi sait sucer les hommes et elle le fait se tordre de plaisir longtemps lui aussi. Jusqu’à la délivrance finale, dans la bouche de Marie-Claude qui, généreusement avale tout le sperme jaillissant de la queue si fière quelques secondes auparavant. Elle se repaît de ce jus âcre, visqueux mais qu’elle aime par-dessus tout.
Et sur ces paroles, elle sort de la chambre en titubant de fatigue et en laissant Bébert comme un con dans sa chambre, attaché, les yeux bandés et… la queue pendante sur son slip. Lui aussi s’allonge et cinq minutes après il s’endort, de toute façon ce n’est pas grave, il ne travaille que l’après-midi, demain, donc pas de souci de réveil.
Bonne nuit à tous les deux.