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Temps de lecture estimé : 19 mn
29/05/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  Après la chaude étreinte avec Warda, je rentre chez moi pour découvrir que l'on m'a piégé. Le hic, c'est que personne ne baisera Nathaniel Jaycelon Smith !
Critères:  fh voiture fellation fsodo
Auteur : Dr Lamb  (Vivre, aimer, rire..)            Envoi mini-message

Série : La folle vie de Nathaniel Jaycelon Smith

Chapitre 02
Le "G", le ripou et les belles nanas (2ème partie)

Houahh, on se les gèle dehors !

Je traverse la rue, songeant que je viens de passer de la chaleur de Warda au froid de la nuit. J’ai mal partout et aucun calmant à la maison. Bon, ce n’est pas grave, une bonne nuit de sommeil et je serai frais comme un gardon.


Je rentre dans mon immeuble, et contemple avec désespoir l’ascenseur hors service. Et merde !

Bon, j’exagère, il n’y a qu’un étage à monter… Mais bon, quand on a tout le corps en compote, même un étage paraît aussi haut que l’Everest. Et là, sur le palier, c’est le malaise, ça me prend aux tripes comme un coup de poignard : ma porte est ouverte.


Je tends l’oreille et guette : aucun bruit, juste un chien qui aboie des rues plus loin. À pas prudents, je m’avance dans le couloir, je jette un œil par la fenêtre du couloir : la rue est déserte, juste une voiture garée en face. Je ne peux pas croire que je me suis fait cambrioler. Des souvenirs rejaillissent : l’appel téléphonique mystérieux, ce con qui me menace et moi qui lui passe mon adresse sur un coup de sang.



Je balance un grand coup de pied dans le mur. En tout cas, si jamais je mets la main sur lui… Il va finir en enfer ! Je me fige soudain à l’idée qu’il est peut-être encore là… La porte entrebâillée de mon appart’ n’a pas été fracturée, mais ouverte, sûrement avec une clé passe-partout. Mon instinct me souffle qu’il est encore là. J’en suis sûr. Je me plaque contre le mur, près de la porte, et dégaine mon revolver vide, j’espère ne pas avoir à m’en servir.


Non pas dans la crainte d’un affrontement, au contraire, j’espère plutôt m’occuper de ce salopard autrement qu’avec un flingue. Dehors, le chien s’est tu. Je jette un œil dans mon appart’, le couloir est vide. Pas un bruit. Je m’accroupis et pousse la porte du bout des doigts, évidemment, elle se met à grincer, cette vieille garce.


À pas prudents et mesurés - c’est franchement la meilleure, je prends des précautions pour rentrer chez moi comme si ce n’était PAS chez moi ! - je passe le seuil de la porte et m’avance dans le petit couloir, l’oreille tendue. Mais il n’y a pas un bruit. Je sais que quelqu’un est venu, parce que la télé est éteinte.


Or, moi c’est une maladie que j’ai, je laisse la télé fonctionner vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il s’est donc permis d’éteindre ma télé ! Je suis tellement enragé que j’ai du mal à ne pas hurler. Je bondis dans le salon, arme au poing. Mais il n’y a rien d’anormal. Et si j’avais éteint la télé et mal fermé la porte avant de partir ? Non, non, je sais encore ce que je fais, bordel ! C’est en me relevant que je manque faire une crise cardiaque : il y a un cadavre allongé sur mon canapé !



Sous le choc, je fais un bond en arrière et me prends les pieds dans le tapis, avant de m’étaler. Alors ça, c’est vraiment la meilleure de l’année. Je me relève et cherche à tâtons l’interrupteur, incapable de détacher mes yeux du corps, de la masse sombre, de cette bombe à retardement que l’on est venu mettre chez moi. La pièce s’éclaire soudain et me révèle ce que je me serais bien passé de voir.


Putain, si seulement j’étais resté bien tranquillement chez Since, dans les bras de Warda et le nez dans sa poitrine, j’aurais eu un alibi. Mais là, c’est flingué. Je m’approche doucement du corps, avec l’enthousiasme d’une bimbo dans un film d’horreur. C’est un mec d’une vingtaine d’années, brun. Il a une tronche de camé, des cernes sous les yeux, une boucle d’oreille en forme de tête de mort. Et deux balles dans la poitrine.



Bon, il faut que je me calme, si je veux trouver une solution. J’inspire profondément, et me dirige vers la cuisine pour m’asperger le visage avec de l’eau froide. Oh punaise, je suis dans une sacrée galère ! J’ai la tête qui tourne tellement mes nerfs sont en pelote. On essaie de me baiser, mais le hic, c’est que personne ne me baisera jamais. Je pense déjà à téléphoner à Cali, pour qu’il me retrouve le numéro du mec qui m’a menacé, plus tôt dans la soirée…


Car ça ne peut être que lui, non ? Ce merdeux a fumé un mec, et il essaie de se disculper en me faisant porter le chapeau. Mais comment me connaît-il ? Et comment a-t-il eu mon numéro ? Je ne le passe qu’à des nanas et à mes meilleurs potes… Et là, je pige. Cela doit être un mec furax envers moi, car je me suis envoyé en l’air avec sa nana… Ou alors j’ai tout faux.


J’en sais rien, et pas le temps d’approfondir la question. Dehors, un son qui me glace tout entier, des pieds à la tête. Une sirène de police. Il a vraiment bien préparé son coup, cet enfoiré. Pas le temps de gamberger, je ne peux pas rester là. Il faut que je foute le camp en vitesse. Pas le temps d’essayer de planquer le corps quelque part.


Ils seront là d’une seconde à l’autre. Vite, je passe en revue dans ma tête tous les plans possibles, mais aucun ne me convient. Je vérifie que j’ai toujours mon téléphone portable et mon flingue, et je jette un œil par la fenêtre. Là, c’est l’angoisse : deux voitures de flics remontent la rue, sirènes hurlantes.



Trop tard pour redescendre, il faut trouver autre chose. La ruelle, derrière ? Non, ils vont sûrement boucler toutes les issues. Alors, il ne me reste plus qu’à passer par les toits ! Génial, vraiment, moi qui ai le vertige ! Putain, quand j’aurai sous la main l’enfoiré qui a comploté ça, il passera un sale quart d’heure ! Je traverse mon appart’ en courant, et lorsque j’ouvre la porte d’entrée, je pousse un cri de surprise. Warda en fait de même et bondit en arrière dans le couloir, une main devant la bouche.



J’ai pas le temps de lui expliquer ni le temps de lui demander ce qu’elle fiche ici. Il faut partir, et vite.



J’allais m’enfuir, mais elle m’agrippe par le bras :



C’est bien les nanas, ça ! Je remonte prestement le couloir, le cœur battant la chamade, en direction de l’escalier de secours qui mène aux toits. J’entends des pas derrière moi. Ne me dites pas qu’elle a décidé de me suivre ! J’ouvre la porte et elle me rentre dedans.



Elle ne répond rien et m’emboîte le pas. Bon, on verra plus tard. J’espère juste qu’elle ne va pas me ralentir, la miss. Je grimpe l’escalier à toute vitesse, quatre à quatre, ça pue la pisse et le tabac froid. Warda manque de déraper sur une marche et je la rattrape de justesse. Eh ben, ça commence bien…



Elle ne répond pas. Je jette un œil par-dessus mon épaule :



Au moins, ce genre de phrase, ça remonte le moral…



C’est facile à dire, de ne pas regarder en bas quand on est en haut d’un immeuble. Même trois étages, c’est super haut, vu du toit !



Je lui prends la main.



Juste un petit saut. J’inspire profondément, de toute façon, je n’ai pas le choix. Mais je ne comprends pas pourquoi Warda veut à tout prix me suivre dans cette galère. D’autant plus qu’elle est mon alibi, enfin, plus ou moins… Mais c’est trop tard, les flics me demanderont pourquoi j’ai pris la fuite si je n’ai rien fait… Disons que mon casier et mon passé sont assez chargés et que, pour paraître innocent, j’ai du pain sur la planche… Autant leur fournir directement le vrai assassin de ce pauvre junkie ! Je recule de quelques mètres, la main de Warda collée à la mienne.



Elle est vraiment trop belle, dans son jean et son pull. Un corps de rêve. Non mais vraiment, je suis dingue, penser au sexe dans des moments pareils !



Je m’élance en avant en la tirant avec moi.



Elle a réussi, au final. Son cri fut si intense que mes tympans faillirent exploser, mais elle y arriva, et moi aussi. Par contre, la chute fut rude. Dire que l’on s’étala sur l’autre toit est trop gentil : on s’est vautrés comme deux gros sacs de merde ! Un véritable choc, qui me coupa le souffle, d’autant plus que Warda m’atterrit dessus.



Je roule sur moi-même et me retrouve la tête collée au cul de ma belle beurette intrépide. Elle se redresse, haletante, les cheveux partant dans tous les sens.



Incrédule, je la regarde. Extra ? Moi, mon cœur va exploser tellement j’ai eu les foies !



Je me redresse péniblement et la prends par le bras.



Que pouvais-je répondre à ça ? Nous traversons le toit à toute allure, jusqu’à l’escalier de secours. J’ai l’impression d’entendre les sirènes des flics partout autour de nous. Warda ouvre la porte et jette un œil.



On descend à toute allure et j’espère ne pas croiser un flic… Mais la bonne étoile veille sur moi. On se retrouve dans le hall, et j’entends les sirènes des voitures qui sont juste à côté. Va falloir sortir de là, traverser le quartier et ensuite prendre une voiture… Tout ça sans se faire repérer. Parce que cet enfoiré a dû donner mon signalement… Ou alors pas ? J’en savais rien.


J’inspire profondément alors que Warda ne s’est toujours pas remise du saut entre les immeubles. Elle n’est pas nette, celle-là. Je jette un œil dans la rue et vois en face, un peu plus loin, deux voitures de flics garées en face de chez moi. Avec une grimace, j’attrape ma belle beurette par le bras et prenant notre courage à deux mains, nous sortons dans la rue.


C’est difficile de marcher en ayant l’air de n’avoir rien à se reprocher. Essayer de faire taire les battements de son cœur, avoir l’air normal… Heureusement que c’est la nuit, et qu’il n’y a personne dans les rues. Je dois résister à l’envie de piquer un putain de sprint. Je n’arrive pas à croire en ma chance. Warda marche à côté de moi.



Elle hausse les épaules. On tourne à droite pour déboucher dans une autre rue. Aucune voiture de flics à l’horizon. Bon, maintenant, il s’agit d’emprunter une voiture… N’importe laquelle fera l’affaire. Je remonte la rue et remarque une petite caisse noire tout ce qu’il y a de plus banal.



Nous venons tout juste de démarrer lorsque mon portable sonne. Warda pousse un cri de surprise. Une vraie pile électrique, cette nana. Je prends mon portable dans la poche intérieure de ma veste et décroche.



C’est lui ! Je ne réponds rien, occupé à réfléchir à toute allure. Il ne peut qu’être dans le coin, vu qu’il nous a vus quitter les lieux. Mais où ?



Je ne réponds toujours rien.



Il éclate de rire à l’autre bout du fil.



Où aurait-il bien pu se planquer, ce connard ? Il raccroche avant que je n’aie pu dire un mot. Mais j’ai déjà un plan. Je ne lâche pas mon téléphone et compose un numéro. Warda a les yeux rivés sur la route. Pourvu qu’il décroche… Une sonnerie, deux sonneries, trois sonneries…



Il a la voix dans le gaz.



Je raccroche avant qu’il ne m’envoie chier. C’est un mec super, Cali, on s’aide mutuellement sans hésiter, même s’il râle à chaque fois, je sais que je peux compter sur son aide. Il bosse au central téléphonique. C’est un gars futé, qui se débrouille toujours pour me renseigner.



Je la regarde et sens le désir qui refait surface. Vraiment, même accusé à tort de meurtre, ça ne me coupe pas l’envie de sexe. Je dois avoir un problème !



Putain, ce qu’elle est canon, quand même…



Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’une balle fait exploser la vitre arrière. Surpris, je donne un coup de volant trop brusque et monte sur le trottoir. Warda hurle de terreur, son cri me file la migraine. Je mate dans le rétroviseur une voiture de flics qui fonce vers nous. Ah bon ! c’est nouveau ça, maintenant ils tirent à vue, sans sommation ?



Je m’agrippe au volant et appuie sur le champignon. Il faut à tout prix sortir de cette petite rue, là on est une cible bien trop facile ! Bang ! Un nouveau coup de feu. Des morceaux de verre plein le siège arrière. Et Warda qui hurle à s’en faire péter les poumons ! Je tourne à gauche et débouche dans une avenue déserte.

Mon pied écrase l’accélérateur. La voiture derrière nous se rapproche de plus en plus, je vois dans le rétroviseur le mec qui sort son bras, oh la vache ! Ils sont deux dans la caisse, deux flics qui tirent à vue, comme ça ? Non, c’est pas normal. Ce n’est pas des flics, ça.



Comme elle ne réagit pas assez vite, je l’attrape par la tête et la baisse moi-même : elle se retrouve la tête sur mes genoux au moment même où le pare-brise explose sous l’impact du coup de feu.


L’air s’engouffre dans la bagnole. Et elle hurle de plus belle, ça m’en fiche la migraine. Et je ne peux même pas riposter, mon flingue n’a pas de balles ! Je donne un coup de volant brusque et tourne à gauche, je ne sais même pas où je vais, et je n’arrive pas à réfléchir avec Warda qui beugle !



Sans blague ! Et c’est maintenant que tu t’en rends compte ?



Nouveau coup de feu dans la rue déserte. Pourvu qu’ils ne tirent pas dans les pneus…



Elle cesse de crier d’un coup. Ouf ! C’est un soulagement, je peux réfléchir une seconde. Enfin, jusqu’à ce que je la sente en train de défaire ma braguette, toujours écroulée sur mes genoux. Absolument incrédule, je baisse les yeux sur elle une seconde. Elle darde vers moi des yeux effrayés, mais aussi excités.



Mais j’ai pas vraiment le choix : je suis à la merci d’une tarée ! Boum ! Un énorme choc à l’arrière : la voiture vient de nous rentrer dedans. Je me soulève un peu sur mon siège pour permettre à ma belle beurette cinglée de descendre mon froc et mon caleçon.

Je sens ma queue à l’air libre, elle la prend entre ses doigts, et le fait d’être poursuivi comme ça, mon cœur qui bat à cent à l’heure, l’adrénaline qui coule à flots partout dans mon corps, et surtout le fait de savoir que je vais me faire sucer, ça me colle une trique monstrueuse et ma queue grossit dans les mains de Warda.

Elle se tortille comme elle peut pour être le plus confortablement installée, et je sens soudain une caresse chaude le long de ma verge.



Sans faire le moins du monde attention à ma remarque, elle dépose de petits baisers humides le long de ma verge, tandis que son autre main me caresse les couilles. Bon, faut que je me concentre, si j’y arrive. Je dois impérativement les semer. Warda me branle quelques secondes, sans cesser de glisser sa langue le long de mon pénis droit comme un i.


De délicieux frissons me parcourent l’échine, je tente de dresser un itinéraire du quartier dans un coin de ma tête, entre deux décharges électriques sous les coups de langue de ma belle. J’accélère davantage, alors que mon poursuivant me colle au cul, me tamponne. L’enfoiré ! Bon, si je tourne, c’est la rue de l’église à droite, à gauche, une avenue… Et plus loin, le chantier en construction. Une folle idée germe dans ma tête.



Elle ne répond rien et me suce le gland sauvagement.



Un nouveau coup de feu résonne et mon rétroviseur explose littéralement. Mon poursuivant accélère brusquement et me donne un grand coup dans l’arrière de ma caisse. Je parviens à garder le contrôle. Warda relève la tête :



Je la regarde avec de grands yeux :



Un large sourire se dessine sur son visage et elle replonge à l’attaque de ma verge, glissant de larges coups de langue gourmands sur ma hampe, avant de se pencher davantage et de se mettre à me lécher les couilles, ce que j’adore par-dessus tout. Je meurs d’envie de me l’enfiler, là, tout de suite. Je fonce, j’accélère, le chantier n’est qu’à quelques rues d’ici, je peux y arriver.


J’accélère une dernière fois et ce que j’ai prévu se produit : déconcentré par sa colère, mon poursuivant ne fait pas gaffe : il fonce. Je donne un brusque coup de volant à droite, et dans un crissement de pneus, la voiture fait un virage serré et tourne violemment. Emporté par la rage et la vitesse, la voiture de flic fonce tout droit, traverse le cordon de sécurité du chantier et s’envole soudain, pour aller s’écraser deux ou trois mètres plus bas dans la zone de travaux.


Je ne relâche pas la pédale d’accélérateur et poursuis ma route en riant sous cape. Il vient de se planter dans le chantier ! Je ne sais pas ce que je donnerais pour voir sa tête !



Je ne m’attarde pas sur les lieux pour demander mon reste. Je file, pied au plancher, ma bite dans la bouche de Warda. Elle relève la tête un instant et m’interroge :



Je tourne à gauche, passe devant le centre commercial et file droit dans la rue déserte à cette heure. Warda se redresse et se rassied convenablement. Elle se passe la langue sur les lèvres en se recoiffant, tandis que je reste là, comme un con, la bite à l’air.



Je lui jette un regard en souriant.



Je stoppe la caisse dans un endroit à l’abri des regards, près du parc. Je déboucle prestement la ceinture et sors de la voiture, le cœur battant la chamade dans ma poitrine, la tête pleine de mouches, le corps encore secoué par l’adrénaline. Warda sort de son côté, et elle n’a même pas encore mis un pied dehors que je fonds sur elle et la prends dans mes bras.



Mais j’en peux plus, moi. Ma queue est tellement dure qu’on jurerait une tige en fer. Je soulève ma belle beurette de terre, comme si elle n’était qu’un poids plume, et la porte jusqu’au capot de la bagnole. Un sourire coquin se dessine sur son visage. Je déboucle nerveusement sa ceinture, et fais glisser le long de ses belles jambes son jean et sa culotte, envoyant ses tennis sur le bitume.



Je me penche vers elle et l’embrasse goulûment. Ses lèvres sont chaudes et douces. Je passe une main dans ses cheveux, puis la fais descendre pour la poser sur sa poitrine ronde. J’adore ce contact dans le creux de ma main. Elle gémit lorsque je soulève son pull, et elle l’enlève, restant en soutien-gorge, allongée sur le capot d’une voiture. Une vision enchanteresse. Prestement, je lui arrache presque son soutien-gorge et le jette au loin. Je me redresse et la contemple un moment, la queue raide, mon froc à mes pieds. Elle écarte les jambes et me sourit :



Je me passe la langue sur les lèvres, essayant de me calmer au mieux, pensant que je suis dingue, que les flics peuvent débarquer à tout moment… Mais je m’en fiche. C’est trop excitant, tout ça. Je plonge vers elle et pointe ma langue sur sa poitrine haute et ronde. Je titille les mamelons, les tète et les suce l’un après l’autre, tout en lui caressant les seins sans répit.



Elle m’attire à elle par la nuque. Mais je la plaque sauvagement contre le capot, me redresse et viens frotter mon gland contre l’ourlet délicat de son anus. Non, bon, ok je suis hyper excité, mais je vais pas lui faire ça à sec quand même. Et j’ai trop envie de lui lécher son joli cul. Je m’agenouille et place ma tête entre ses cuisses écartées et ma langue s’engouffre dans le passage humide et chaud de son sexe.



Ma langue lui effleure le clitoris, se glisse entre ses lèvres puis descend sur sa rosette que j’humidifie. Et chose incroyable, ma queue en durcit encore. C’est délicieux. De petits coups de langue délicats, de petits baisers tendres, de grands coups de langue gourmands, j’essaie tout. Et elle aime ça. Elle gémit, les yeux clos. C’est trop bon.



Elle frémit, elle tremble. J’enfonce mon doigt dans son anus humidifié et remonte lui sucer le clitoris.



Je me relève et elle plante ses yeux dans les miens.



Je pose mon gland sur sa rosette et pousse doucement. Elle frémit et se crispe soudain lorsque je la pénètre doucement, centimètre par centimètre, attentif à ses gémissements et à son visage crispé. Je pose ses pieds sur mes épaules, m’enfonçant en elle. C’est brûlant et serré à tel point que mon cœur est sur le point d’exploser. J’emprisonne ses seins dans mes mains et entame alors un lent mouvement de va-et-vient. Warda crie doucement, ne me lâchant pas du regard.



À chaque coup de reins que je lui donne, elle ferme les yeux, de fines gouttes de sueur coulent le long de son visage. La douce brise du matin me rafraîchit, me donne une sensation de bien-être intense, l’impression d’être au paradis. Warda ondule du bassin, me signifiant que je peux accélérer, ce que je fais sans me faire prier, m’enfonçant le plus possible en elle, tentant de ne pas trop la blesser.



J’éclate presque de rire. Cette nana est complètement barge. J’accélère davantage, entrant à fond et ressortant presque de son cul, puis m’enfonçant de nouveau en elle, presque jusqu’à la garde.



Elle se met en route pour un orgasme, je le lis sur son visage crispé, son expression suppliante, alors je continue, j’imprègne le même rythme sans faiblir. De plus en plus vite, de plus en plus intense. Pour moi aussi, le plaisir extrême ne va pas tarder, à ce rythme.



Son corps se soulève dans un spasme. Elle hurle, tente de m’agripper, les yeux clos. Warda se cambre soudain et pousse un long cri, les contractions de son anus autour de ma bite sont délicieuses.



Elle retombe épuisée, en sueur, un sourire béat sur les lèvres. Je me retire doucement d’elle pour ne pas la blesser, aux portes de l’éjaculation. Elle se redresse tant bien que mal, glisse à moitié du capot de la voiture, se met à genoux devant moi et saisit mon membre tendu dans sa main. C’est alors que mon portable se met à sonner.



Ma partenaire fouille les poches de mon froc tombé à mes pieds et en sort mon téléphone. Elle me le tend, puis ouvre grand la bouche et engloutit mon membre d’un coup. Je pousse un gémissement, puis tente de me contrôler, et décroche.



Un large sourire, décuplé par le plaisir procuré par la bouche de Warda, se dessine sur mon visage.



Je raccroche et contemple Warda, occupée à me téter le gland, m’envoyant des ondes de chaleur dans tout le corps.



Quelques secondes de ce traitement et je sens soudain que je vais perdre pied. J’attrape ma queue et sors de sa bouche. Warda comprend le message et ouvre grand la bouche. Un incroyable frisson me traverse et cinq jets épais de sperme atterrissent sur son visage, sur ses joues, ses lèvres et sur son menton. Chaque jet m’arrache un cri d’extase, accompagnant la sensation que la terre s’ouvre sous mes pieds.



Ma belle beurette se passe la langue sur les lèvres. Nos yeux se croisent. Un large sourire vient éclairer son si beau visage. Moi aussi, mais pas pour les mêmes raisons. Moi, parce que je pense à la tête que va faire ce pourri lorsqu’il me trouvera chez lui. La vengeance est un plat qui se mange froid, il paraît. Warda prend ma main et se relève péniblement, le visage inondé de mon sperme.



Je ne réponds pas et souris davantage.