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Temps de lecture estimé : 23 mn
21/01/09
Résumé:  Bernard apprend des choses surprenantes sur son père avant de partir s'installer à Lyon, accompagné de Véronique.
Critères:  fh jardin amour exhib photofilm fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : 1976 : un été chaud

Chapitre 09
Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre

Mardi 5 octobre : Révélation (suite)



Je reste pendu à ses lèvres, me demandant qui peut bien m’en vouloir à ce point. Il marque un temps avant de lâcher :



J’ouvre des grands yeux, ce nom m’est inconnu.



Il hésite un instant avant de lancer :



Je bondis :



Je suis stupéfait par ces révélations. Je ne voyais pas papa barbouze. Les questions se bousculent :



Tout ça va un peu vite pour moi, je reste un peu ahuri. Mais je sens que Parrain a encore des surprises pour moi et, hélas, je ne me trompe pas. Il prend un papier sur son bureau et me le tend.



J’ouvre la bouche pour parler, il ne m’en laisse pas le temps.



Nous parlons encore un bon moment avant qu’il ne me laisse retourner préparer mon départ pour Lyon. Il est plus de midi quand je rentre enfin à la maison, encore abasourdi. J’y retrouve mes trois chéries. Je ne leur souffle, bien sûr, pas mot de mon entretien. Véronique a pris quelques jours de congés pour m’accompagner à Lyon pour mon installation. Après le déjeuner, Gwendoline lui tend un paquet en lui disant que c’est un petit cadeau que le voyage à Lyon lui permettra certainement d’inaugurer. À l’intérieur, elle découvre un album photo à son nom. Gwendoline, décidément incorrigible quand il s’agit de photos, enchaîne que j’aime beaucoup prendre des instantanés et que Dominique et elle ont déjà leur album personnel.


Bien sur Véronique demande à les voir. Ignorant mon regard courroucé, elle s’empresse d’obtempérer. Visiblement Véronique ne s’attendait pas au genre de photos qu’elle découvre. Si Dominique se montre réservée, sa sœur, elle, commente abondement. Quand Véro se montre curieuse au sujet des culottes spéciales, sans plus de façon, elle la fait se lever, défait sa jupe et prend ses mensurations en disant qu’on allait en confectionner une pour elle. J’en reste comme deux ronds de flan, mais m’abstiens de tout commentaire.


L’heure avance, le train n’attendra pas. Après un gros câlin avec Sekhmet, dont les sœurs s’occuperont pendant mon absence, nous passons chez Maman pour que je lui dise au revoir. Parenthèse, ce sont les sœurettes qui pendant ma convalescence lui ont présenté Véronique. L’explication que j’ai eue avec elle par la suite n’a pas été simple, mais elle a fini par accepter la situation. Nous dînons avec elle avant de rejoindre la gare. Après avoir longuement embrassé les deux sœurs, je rejoins avec Véronique nos cabines. Après de rapides ablutions, je la retrouve. Nous nous regardons, d’un même mouvement nous avançons et nous enlaçons pour un long baiser. Elle est palpitante dans mes bras. Je ne sais combien de temps s’est écoulé quand nous nous séparons pour nous déshabiller réciproquement. Comme je vais la reprendre dans mes bras. Je sens une gêne et l’appréhension qui la gagne, elle a un mouvement de recul. Je lui demande ce qu’elle a, elle me répond :



Pour l’apaiser, j’essaie de répondre avec humour :



Elle me regarde avec des yeux de biche aux abois :



Je vais pour répliquer, elle me pose la main sur la bouche :



Je sens qu’il vaut mieux la laisser vider l’abcès qui la ronge.



Des larmes perlent de ses yeux. Je me retiens de l’interrompre, de la serrer contre moi, même de poser une question, sentant qu’il faut qu’elle aille au bout de sa confession.



Je hochais simplement la tête pour lui permettre de continuer à se libérer.



Elle s’arrête de parler, elle est en pleurs. Ce n’est plus de l’appréhension qui se dégage d’elle, mais de l’angoisse. Je vais pour la prendre dans mes bras, elle me repousse :



Elle esquisse un faible sourire, je continue de parler, passant un peu sur le ton humoristique en lui disant que Dominique et Gwendoline risquaient de me faire passer des moments très désagréables si je la laissais déprimer ainsi et à nouveau dépérir. Je réussis à la dérider en lui détaillant les traitements qu’elles pourraient m’infliger.


La voyant apaisée, j’avance de nouveau pour la prendre dans mes bras. Elle me repousse de nouveau, en riant cette fois, disant que je dois penser à garnir son cadeau et la prendre en photo. J’obtempère de bon gré. Elle prend des poses alanguies. Elle pince et étire ses seins, s’allonge en ouvrant largement ses cuisses, offrant à ma vue et à mon objectif ses trésors intimes déjà luisants de désir. Des mains elle ouvre son sexe avant de doucement le caresser. Après quelques clichés, je pose mon appareil, écarte ses doigts pour les remplacer par ma bouche. Elle frémit et s’agrippe à ma tête. Après l’avoir longuement dégustée en cajolant sa poitrine durcie, je plante en elle mon sexe tendu. Elle s’accroche à moi des bras et des jambes et vient goûter sur mes lèvres sa liqueur. Brusquement je sens le plaisir exploser en elle. Je lui dis que je viens moi aussi. Elle ne relâche pas son étreinte. Je me déverse en elle. Alors seulement elle se laisse aller. Après avoir repris pied, elle s’empare de ma queue pour des lèvres et de la langue lui redonner consistance, et me fait signe de reprendre mon appareil photo. Arrivée à ses fins, elle se met à quatre pattes, cambrant vers moi sa croupe somptueuse. Je me place à l’entrée de son sexe qui m’avale littéralement. Je m’accroche à ses hanches et sillonne son antre d’amour en de puissants coups, la faisant tanguer. Elle enfouit sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses gémissements. Plusieurs fois elle prend du plaisir. Je finis par me répandre à nouveau en elle, mais je sens qu’elle n’est pas entièrement rassasiée. Je remplace ma queue par mes doigts. Mon index et mon majeur disparaissent dans sa fente. Mon pouce se trouve à portée de son autre trou. Je le titille un peu, il s’ouvre sans difficultés. Je passe mon autre main sous son ventre pour atteindre son bouton. Ainsi travaillée, elle ne tarde pas à jouir. Son corps se détend. Nous nous embrassons et nous murmurons des mots d’amour en nous endormant. Une couchette pour deux ce n’est vraiment pas large, mais nous ne nous en apercevons même pas.




Mercredi 6 octobre : Découvertes variées à Lyon



En sortant de la gare, nous allons directement au logement que me prêtent gracieusement les amis d’Anne. Je commence à y installer mes petites affaires, puis nous allons faire quelques courses et revenons déjeuner. L’après-midi nous allons à la découverte de la capitale rhodanienne. Nous longeons les rives du Rhône, puis entrons dans le Parc de la Tête d’Or par la Porte des Enfants du Rhône. La coquine, probablement inspirée des prestations de Dominique au Trocadéro, me fait découvrir qu’elle ne porte rien sous sa jupe. M’encourageant à prendre moult photos, elle me fait une petite séance d’exhibition, qui me met en émoi.


Profitant d’un coin désert, elle n’hésite pas à trousser haut sa jupe et à s’astiquer la chatte avec beaucoup de conscience. Dans un autre, elle ouvre ma braguette pour me faire apprécier ses talents de suceuse. Dans un troisième, elle m’invite avec insistance à venir faire un petit ramonage de son intimité. Mais la cerise sur le gâteau, c’est quand, assis sur un banc dans un endroit que je trouve plutôt exposé, elle profite d’un moment où personne n’est en vue, pour ressortir mon sexe et sans plus barguigner s’asseoir dessus face à moi et rabattre sa jupe.


Rapidement des gens passent à nouveau près de nous, ne voyant que deux amoureux qui se bécotent sur un banc public, sans se douter que le flirt est pour le moins poussé et profond. Le côté surréaliste et inédit de la situation ne nous empêche pas de prendre, fort discrètement, notre plaisir. Les personnes qui circulent près de nous à ce moment ne s’apercevant apparemment pas que je viens de cracher mon foutre au plus profond de la grotte d’amour de ma chérie. Le problème, c’est que le passage, maintenant incessant, de promeneurs nous empêche de nous réajuster. Nous devons rester sur notre banc à nous bisouter et murmurer des mots d’amour, tout en sentant nos jus mêlés dégouliner de sa chatte sur ma bite. La situation durant, je finis même par reprendre de la vigueur et lui lâcher une deuxième rasade de sperme.


Elle me chuchote alors que si je continue à l’arroser ainsi, elle va bientôt comme Gwendoline voir son ventre s’arrondir. Malgré la joie qu’elle irradie en parlant de cette éventuelle grossesse, je ne peux m’empêcher de lui demander ce que sont les petits comprimés qu’elle prend le matin. Je m’étais imaginé que c’était la pilule. C’est simplement la fin d’un traitement qui lui avait été donné à sa sortie de l’hôpital pour finir de la requinquer.


Ma question l’inquiète. Je dois la rassurer, et c’est vrai, avoir des enfants est dans la logique de notre amour. Je ne pensais simplement pas qu’elle en voudrait dès maintenant, surtout ayant décidé, encouragée par tout le monde, moi compris, de reprendre ses études et de passer son bac. Elle a d’ailleurs commencé à suivre des cours par correspondance, complétés par des particuliers dispensés par mes amis de la boutique pour les maths et les sciences, Gwendoline et moi pour l’histoire-géo, Dominique pour le français et son demi-frère pour la philo. Tandis que nous discutons, une pause dans le défilement du public autour de nous a lieu, nous en profitons pour rapidement nous lever et ranger mon service trois pièces, sans avoir le temps d’essuyer le matériel, car déjà de nouvelles personnes s’approchent. C’est donc un peu poisseux, mais ravis, que nous retournons à la maison.


Le dîner fini, nous téléphonons aux sœurettes. Si la conversation qu’elle a avec Dominique est relativement brève, celle avec Gwendoline l’est beaucoup moins. Celle-ci se montrant, cela ne m’étonne qu’à moitié, curieuse de comment cela s’est passé entre nous et demandant force détails que Véronique ne rechigne nullement à lui donner. Presque sur un ton mondain, elles parlent de la manière dont je les saute ou les encule ou comment elles sucent et ce qu’elles en pensent, ce qu’elles ressentent, si c’est bon. Elles échangent leurs impressions, se font des suggestions. La conversation a un côté surréaliste qui me laisse sans voix. J’ai l’impression que ces demoiselles, qui ne sont plus demoiselles, ont l’air plutôt satisfaites de cette situation où le même homme s’occupe de leurs personnes à tour de rôle. Cela leur donne l’occasion de discuter de leurs parties de jambes en l’air sans tabous et peut-être sans craindre que la copine, à qui elles font leurs confidences, ne soit alléchée par leur description et ne cherche à aller vérifier, dans leur dos, si l’herbe est bien aussi verte que l’on leur dit.


Quand elle raccroche, je n’ose penser à la facture de téléphone, nous allons nous coucher. Après quelques baisers, nous nous endormons sagement. L’heure maintenant tardive, doublée du voyage, de nos exploits de l’après-midi et de la longue promenade qui nous ont quand même quelque peu fatigués, ne nous poussent pas à plus de rapprochement.




Jeudi 7 octobre : inauguration



Après un lever fort tardif, nous passons directement au déjeuner. L’après-midi, nous faisons des reconnaissances entre le logement et l’Ecole. Les rues au cours de déambulations se montrant hélas très fréquentées, je ne peux qu’à une ou deux occasions glisser la main sous la jupe de Véronique, qui comme la veille a omis de couvrir son intimité d’un voile de tissu. Le soir, au cours du dîner au restaurant, je lui susurre que j’espère que d’avoir eu le cul à l’air tout l’après-midi, sans que, comme la veille, je puisse le réchauffer, ne l’a pas frigorifié. Elle me répond en souriant qu’il n’y a pas beaucoup de risque, car, de ce coté-là, elle est plutôt chaude et que de toute manière même transformée en glaçon, je la dégèlerais sans problème. Si nous n’avions pas été face à face à une table sans nappe, j’aurais volontiers été faire un constat de l’état de fraîcheur de l’endroit en question et remédié à un éventuel rafraîchissement, mais force est de nous tenir cois. Si les mains restent sages, la conversation, elle, ne l’est pas. Elle fait monter la température d’un certain nombre de degrés.


De retour à la maison, je suis le premier à gagner le lit et attends ma chérie avec une certaine impatience. Quand elle rentre dans la chambre, simplement vêtue d’espace, au lieu de venir me rejoindre, elle se plante devant le lit, les mains sur les hanches. Cela fait d’ailleurs ressortir de délicieuse manière sa poitrine, et la coquine le sait. Elle lance :



Elle voit que ça ne fait pas tilt et enchaîne :



Visiblement quant à l’art photographique, tout au moins pour un certain genre, je constate que Gwendoline s’est faite une disciple. Je n’irais pas jusqu’à m’en plaindre. Je me lève donc et prépare mon matériel, celui de photo, car le mien personnel est déjà monté et prêt à l’emploi. Ce que Véronique ne manque pas de remarquer et d’apprécier. Pour combler son retard et garnir son album pour l’amener au niveau des deux sœurs, Véronique y met le paquet. Fellation, cunnilingus, 69, levrette, missionnaire, sur le coté, elle dessus. Quand je lui annonce que je ne vais plus tenir longtemps, elle se dégage pour me prendre dans sa bouche en m’encourageant à continuer les photos. Lorsqu’elle sent que je viens, elle se recule légèrement. J’inonde sons visage et ses cheveux. Lorsqu’elle juge le nombre de clichés de son joli minois ainsi tartiné suffisant, sans même prendre la peine de s’essuyer, elle regobe ma bite et s’active avec enthousiasme à la remettre au garde-à-vous. Arrivée, sans trop de mal, à ses fins elle me lance :



Je lui demande ce que je peux.



Décidemment c’est contagieux, je demande :



C’est d’une logique imparable. Je l’avertis quand même que la première fois n’est pas souvent facile et que ce n’est qu’en renouvelant plusieurs fois l’opération que l’on se fait une juste idée. À sa demande, je lui explique ensuite qu’avec Dominique la première fois a été plutôt délicate, les suivantes ayant un peu amélioré les choses, mais un peu seulement. Avec Gwendoline la première fois s’est mieux passée que n’importe quelle autre fois avec sa sœur et elle y a ensuite pris du plaisir. Je n’ajoute pas : mais moins que sa mère qui a pris goût à se faire labourer le cul. Nous arrêtons là nos parlottes pour passer à l’action.


Munis d’huile d’amande douce, je fais une première approche avec un doigt, cela se passe bien. Il en va de même quand j’en ajoute un second. De temps en temps, j’entends le déclic d’un appareil photo que Véronique déclenche elle-même grâce aux télécommandes. Je pense que l’on peut maintenant passer à la phase terminale. Quand elle sent mon sexe entrer en contact avec sa rosette, elle se cambre, tend encore plus les fesses. Lorsque je commence à la pénétrer, elle ne se contracte pas le moins du monde. Je m’enfonce sans difficulté dans ses entrailles, inaugurant ainsi son petit trou. Rapidement je suis fiché en elle jusqu’à la garde. La suite se passe tout aussi bien. Je vais et je viens entre ses reins aisément. Lorsqu’elle demande une pause, c’est uniquement pour changer de position, que je m’allonge sur le dos pour qu’elle vienne s’asseoir sur ma queue.


Bien en face des objectifs qu’elle a elle-même agencés, l’un en plan large et l’autre en plan serré, la friponne écarte largement les cuisses pour bien dégager la vue sur son ramonage de cul. Dans le miroir, je vois qu’elle se fourbit le bouton, écarte ses lèvres et parfois s’enfonce un doigt ou deux dans la chatte. Je pistonne son petit derrière de plus en plus puissamment, m’enfonçant dans le matelas pour fuser au fond de son cul, la soulevant. Je sens son plaisir monter. Pourtant le traitement est des plus vigoureux, même pour quelqu’un qui a de la pratique, et pour elle c’est une première. Manifestement elle a la chance de faire partie de celles pour qui la sodomie ne pose pas problème et qui, en plus, y prennent leur pied, comme ma chérie est en train de le prendre et dans les grandes largeurs en plus.


Elle n’en puis mais et se laisse aller sur le côté, néanmoins je suis encore bien raide, j’accompagne son mouvement, demeure en elle et continue sur ma lancée. Après être restée un moment plutôt passive, bravement elle redémarre. M’accueillant toujours, elle se met à quatre pattes et vient de nouveau au-devant de ce pieu qui la transperce. Sa main s’égare encore entre ses cuisses. Elle mord l’oreiller pour ne par trop alerter le voisinage. Elle prend à nouveau son plaisir comme je me déverse dans son cul. Nous nous effondrons l’un sur l’autre.

Nous mettons quelque temps à revenir sur terre. Elle se retourne et m’embrasse, au passage je goûte le goût de mon sperme sur ses lèvres, et me murmure : "Ben mon salaud, toi qui disais qu’il fallait faire doucement la première fois, tu n’y es pas allé de main morte ou plutôt de queue morte."



Elle rougit en me répondant :



En l’entraînant vers la salle de bain, je lui réponds que tout le monde n’a pas cette chance. En voyant sa démarche, je m’inquiète si ça va.



De retour dans la chambre, le temps de ranger le matériel photo, Véronique dort déjà.




Vendredi 8 octobre : Sage découverte de Lyon



Nous nous réveillons frais et dispos. Véronique ne se ressent pas l’inauguration de la veille. Aujourd’hui nous donnons dans le culturel. Nous visitons le vieux Lyon et ses traboules ainsi que la cathédrale Saint-Jean et le Musée Gadagne, avec déjeuner dans un bouchon. Nous rentrons le soir sur les rotules, expédions le dîner et nous couchons pour plonger directement dans le sommeil.




Samedi 9 octobre : Sage découverte de Lyon (bis)



Nous continuons nos déambulations lyonnaises. Je pensais que Véronique se lasserait de ces visites culturelles, mais elle se montre passionnée, elle en redemande. Pour elle, cela a l’air d’être une révélation. Au programme, le Musée des beaux arts et la basilique Notre-Dame de Fourvière. Au cours de notre promenade, Véronique, que cela doit travailler, revient sur son passé agité. Elle fait une véritable confession, elle tient à ne rien me cacher de ses parties de jambes en l’air. Les sentiments y avaient peu de place, c’était plutôt de l’utilitaire. Pour la faire exorciser son passé, je la laisse parler et même l’y encourage. Elle me le raconte par le menu.


Cela se résume assez facilement. Elle n’a pas connu son père. Sa mère changeait d’amant à un rythme soutenu, certains n’étant visiblement là que pour arrondir les fins de mois. Véronique n’avait pas douze ans qu’elle devait repousser l’avance de certains de ces messieurs, sans que cela trouble sa mère outre mesure. Et les copines de sa mère étaient du même tonneau. Je comprends que se servir de ses charmes pour mettre du beurre dans les épinards, ou arriver à ses fins, ou obtenir quelque chose, lui ait semblé naturel. Seuls les séjours chez le mari de sa mère avec ses demi-frères et sœurs étaient des rayons de soleil dans cette vie.


Mais ce qui la taraude le plus, c’est cette fille qui s’est faite violer par ses copains. Elle s’étend longuement sur le sujet, sans mauvais jeu de mots. Surtout qu’après la malheureuse a mis pas mal de temps à récupérer physiquement et plus encore psychologiquement, si tant est que de ce point de vue-là elle ait pu complètement. Voir son copain se faire tabasser, se faire tabasser soi-même et ensuite se faire limer, devant le copain, pendant plus de deux heures par quatre types se relayant sans interruption, on serait perturbé à moins. Je crois que Véronique sera toujours hantée par ce souvenir. Je l’aide du mieux que je peux, non pas à oublier, mais à assumer ce passé, pour ne qu’il ne la détruise pas, maintenant qu’elle voit la vie avec un autre œil.


De retour à la maison, après le dîner Véronique commence à préparer son bagage, car demain matin, elle reprend le chemin de Paris, moi-même restant à Lyon, mes cours commençant lundi.


Après maman, nous téléphonons aux sœurettes et bien sûr encouragée par Gwendoline, Véronique narre par le menu l’inauguration de son petit trou. Ce récit l’a émoustillée, moi aussi, je dois bien l’avouer et malgré la fatigue, cette dernière nuit nous jette dans les bras l’un de l’autre. Après de longs baisers je lui bouffe la chatte. J’insiste longuement, titillant son bouton, enfonçant ma langue en elle ou en donnant de grands coups le long de ses lèvres, m’égarant parfois un peu plus bas. Ses jambes se sont ouvertes au maximum, et son ventre s’est tendu vers la caresse. Son sexe est éclos comme fleur au soleil. Point n’est besoin de lire dans son esprit pour savoir qu’elle apprécie. Elle se retient de manifester trop bruyamment son contentement. Elle est agitée de frissons, son bassin roule. Après un spasme de jouissance encore plus puissant, tout son corps se détend. Elle n’en puits mais et repousse ma tête pour éloigner ma langue de son clito trop sensible. Je m’allonge à côté d’elle. Elle se blottit dans mes bras, nous échangeons un long baiser avant que le sommeil la terrasse. Un peu sur ma faim, j’ai plus de mal. Je me lève doucement, pour aller me débarbouiller et me rafraîchir. Une fois de retour dans le lit, je bouquine un peu avant de m’endormir à mon tour.




Dimanche 10 octobre : Départ



Je suis réveillé par Véronique de la plus agréable des manières. Elle s’est emparée de mon sexe pour le pomper consciencieusement. Il se met au garde à vous. Je la laisse œuvrer. Elle suce, elle pompe, elle lèche, n’hésitant pas également à mettre la main à la pâte. Et elle le fait avec conscience et ardeur. Je suis tendu à bloc. Les minutes passent, sans qu’elle montre le moindre signe de fatigue ni de relâchement, moi par contre je finis par arriver à bout de résistance. Je l’avertis. Elle continue impassiblement. Ce qui devait arriver arrive, je lâche la sauce blanche au fond de sa gorge. Elle poursuit imperturbablement, marquant à peine un temps pour avaler. Je ne débande même pas. Quand elle lâche le morceau, c’est pour prestement m’enjamber et venir se le mettre au fond de la chatte. Elle monte et descend sur ma hampe à un rythme soutenu. Ses nichons s’agitent sous mon nez, ou plutôt au-dessus de mon nez, je m’en empare. Après les avoir simplement cajolés, je passe à un traitement plus vigoureux, les malaxant, pinçant et étirant les bouts qui gonflent sous mes doigts. Véronique ne proteste pas que ses seins soient ainsi maltraités, au contraire, elle se cambre encore plus et tend sa poitrine. Ses halètements deviennent de plus en plus rapides et sont bientôt accompagnés de gémissements qui vont crescendo. Soudain tout son corps se tend, elle est agitée de tremblements, son con se contracte spasmodiquement sur ma bite. Elle lâche un long feulement avant de s’écrouler sur le côté. Je réussis à rester en elle. Si maintenant elle est inactive, moi je prends le relais et lui ramone le con, mais elle est sur le flanc, elle me demande d’arrêter, me disant qu’elle n’en peut plus, que sa chatte est trop sensible. Je me retire doucement et la prend dans mes bras pour un tendre câlin. Elle s’y endort. Je l’imite peu après.


Quand je me réveille, Véronique est toujours pelotonnée contre moi. Je l’embrasse, elle répond à mon baiser. Elle a visiblement retrouvé son ardeur, il faut peu temps pour qu’elle se retrouve à quatre pattes, les fesses haut levées à se faire baiser. Je finis par inonder sa grotte d’amour, mais elle n’a pas eu tout son content, aussi est-ce avec les doigts que je finis par lui faire prendre son pied. Il est presque deux heures… de l’après-midi. Son train part à seize heures, nous avalons rapidement un morceau avant que je l’accompagne à la gare.


Nos adieux sur le quai sont ponctués de longs baisers. Elle s’arrache difficilement mes bras pour sauter dans le train qui démarre. Un dernier signe de la main, me voilà seul.


De retour à la maison, j’ai un coup de téléphone de mon parrain qui, craignant sans doute que je m’ennuie, m’annonce qu’il a trouvé de quoi occuper certaines de mes soirées avec quelques menus stages de sport de combat et de tir. Je n’essaye même pas de protester et puis après tout un peu d’activité physique ne me fera pas de mal.