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Temps de lecture estimé : 19 mn
09/02/17
Résumé:  Bernard commence ses cours à Villeurbanne. Il décide de faire une surprise à ses chéries la fin de semaine... Elles aussi, ce qui entraîne une certaine confusion.
Critères:  fh fffh cadeau fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -totalsexe
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : 1976 : un été chaud

Chapitre 10
11 -24 octobre 1976

Résumé (trop) succinct : (Voir les liens vers les épisodes précédents en fin de récit)


Après des relations de travail un peu délicates, Bernard et Dominique tombent amoureux et deviennent amants. Sa mère Anne et sa sœur Gwendoline, qui ignorent cette liaison, sont sous le charme du garçon. Presque malgré lui, il devient leur amant. Il l’avoue à Dominique, pétri de remords, et veut partir. Elles unissent leurs efforts pour l’en dissuader. Une sorte de quatuor s’installe. Après diverses péripéties, Anne retrouve son mari, mais Véronique est cooptée pour la remplacer.



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Semaine du 11 au 22 octobre : au travail.


Ça y est, c’est parti pour les cours. D’avoir déjà travaillé en bibliothèque est plutôt un avantage. Mais il y a quand même du travail. S’il n’y avait que l’école, il n’y aurait pas de problème, mais mon cher parrain a chargé la bête, au point que j’ai dû annuler mes rendez-vous de kinésithérapie.


Tous les soirs, et ce dès le lundi, j’ai droit d’abord à un entraînement avec différentes sortes d’armes à feu, non seulement au tir, mais aussi au montage et démontage de ces foutus engins, avec en prime le tir à l’arc et ensuite c’est autour du combat à main nue et à l’arme blanche.


Mes condisciples doivent me trouver un tantinet sauvage, car je reste rarement à discuter après les cours et participe encore plus rarement aux réunions après la sortie de l’École. Heureusement que j’avais déjà un solide acquis en self-défense, cela m’a évité de prendre trop de coups, car mes instructeurs ne me ménagent nullement. À la fin de la semaine, j’ai quand même un certain nombre de bleus sur le corps et une pommette un peu sanguinolente. Ce qui m’attire des autres élèves des regards pour le moins curieux.


Le soir, je passe un coup de téléphone aux filles. Tout comme moi, elles sont au travail. Dominique prépare allègrement son concours de véto, Gwendoline entame sa deuxième année de fac et Véronique bûche le bac. Elle n’a pas voulu abandonner la boutique pour s’y consacrer à plein temps en s’inscrivant au lycée. Mais on lui a aménagé ses horaires. Elle suit des cours par correspondance. Elle est motivée et travaille d’arrache-pied. Elle a emménagé dans l’appartement commun, abandonnant avec un pincement au cœur le logement que nous lui avions aménagé au-dessus du magasin. Il symbolise pour elle le commencement de sa nouvelle vie.


Pour la fin de semaine, je demeure à Lyon. Les filles sont déçues, mais cela me permet de souffler. J’ai du mal à prendre le rythme, peut-être à la suite de mon « accident ». Le samedi et le dimanche, je travaille un peu et flâne beaucoup dans la vieille ville, les quartiers Saint-Jean, Saint-Georges et Saint-Paul.


Une nouvelle semaine commence. Je réussis à mieux m’organiser, surtout parce que je me laisse moins envahir par les activités de mon parrain. Je fais décaler certaines le matin avant les cours, ce qui me permet d’avoir des soirées libres et de mieux pouvoir m’intégrer aux autres étudiants. Entre mes cours, mes « activités militaires » et quelques soirées avec mes condisciples, la semaine passe à toute allure.




Samedi 23 octobre : retour impromptu.


Le samedi matin dès potron-minet, je prends le train direction Paris. J’avais annoncé à mes chéries que cette fin de semaine encore je resterais à Lyon, car j’avais beaucoup de travail. Ça avait râlé ferme. Aussi je décidai de leur faire la surprise et de monter quand même à Paris. J’arrive à l’appartement pour le trouver désert, seul Sekhmet m’accueille. Enfin si l’on peut dire, car elle me fait ostensiblement la gueule de l’avoir abandonnée si longtemps. Elle met bien vingt minutes avant de daigner venir faire un petit câlin. Les filles ne rentrent toujours pas. Je pensais qu’elles étaient en course, mais elles sont peut-être de sortie. Les surprises c’est bien, mais j’aurais peut-être mieux fait d’avertir de ma venue. Je vais téléphoner chez les parents de Dominique et Gwendoline, pour m’informer, quand j’entends la clé tourner dans la serrure. J’ai eu tort de m’impatienter. Ce ne sont pas les filles qui rentrent, mais c’est Anne. La mère de Dominique et Gwendoline me regarde comme un extraterrestre :



Elle éclate de rire.



Elle a raison. Partir à l’aveuglette, c’est le meilleur moyen de les rater. Pas de chance, la concierge ne répond pas. Voyons, en ne me trouvant pas, elles vont laisser un message sur la porte et aller déjeuner. Il faudra appeler la concierge périodiquement, mais si elle s’est absentée pour la journée, que vont faire les filles ? Elles appelleront peut-être Anne pour savoir si elle a des nouvelles. Nous devrions aller chez elle. Elle m’en dissuade.



Ainsi est fait. En attendant, nous discutons en contactant Lyon régulièrement. Mais décidément la concierge est aux abonnés absents. Je demande à Anne comment se passe sa grossesse.



Elle me laisse un instant sans voix.



Décidément les femmes me surprendront toujours. Quant à son mari, après qu’elle se soit fait engrosser, il doit penser que sa chère petite femme peut avoir le feu au cul. Mais je ne vais pas disserter sur leurs rapports conjugaux. Je ne pense pas être le plus qualifié pour. Anne ne tient pas non plus à s’étendre sur ses rapports avec son mari. Ce qui l’intéresse beaucoup plus c’est son petit trou qui visiblement la titille. Je sens le terrain devenir glissant et essaye de ramener la conversation sur des sujets moins brûlants.


Anne ne l’entend pas de cette oreille et me fait comprendre que puisque c’est moi qui lui ai donné le goût à la chose, ou plutôt redonné, car, je si je me souviens bien, avec sa copine au pensionnat elle appréciait déjà, c’est à moi d’éteindre ses ardeurs. Je lui objecte que maintenant la situation est différente, elle n’en a cure, répliquant que tant qu’elle porte en elle notre enfant ce n’est pas pareil… etc., etc. Visiblement ça doit vraiment la démanger et plus elle parle, plus son désir croit. Je finis par capituler, mais pour être honnête, peut-être ne demandai-je qu’à me laisser convaincre ? Elle se retrouve sur mes genoux pour un baiser passionné qui se poursuit sous la douche.

Nous nous retrouvons sur le lit. En entrée en matière, je commence par lui bouffer la chatte. Elle est vraiment très chaude et démarre au quart de tour. Je m’arrête brusquement. Ses réactions ne se font pas attendre.



Je joue celui qui est pris de scrupules et petit à petit je l’entraîne à se retrouver en position de quémandeuse. Je l’amène à clamer bien haut qu’elle n’est qu’une salope qui veut se faire ramoner parce qu’elle a le feu au cul. Elle ne proteste même pas quand je lui dis que se conduite éhontée mérite punition. Elle doit penser que ce sont que paroles provocatrices. Au début, je le pensais aussi. Mais la voyant si excitée, mon petit diablotin intérieur me souffle de ne pas rester au stade des mots. Je la laisse encore mariner quelque peu, avant de la faire mettre debout pour l’embrasser. Je m’assois ensuite sur le lit en l’entraînant.


Comme par hasard elle se retrouve à plat ventre sur mes genoux. En un éclair, je repense à la fessée que j’ai donnée à Dominique à la bibliothèque et à la culpabilité qui m’avait alors assaillie. Aujourd’hui, rien de tel ne m’effleure. Je vais taper ses fesses sans remords, d’autant que je pense qu’elle doit être du genre à apprécier. Quand les claques commencent à s’abattre sur son postérieur, ce que je subodorais se confirme. Ses protestations et ses cris sont purement symboliques, ils sont là juste pour ne pas avoir l’air de…


Il ne m’est nullement besoin de la maintenir. Ses fesses rosissent rapidement. Quand la teinte devient plus soutenue, je la fais s’installer sur le lit à quatre pattes. Je constate que le traitement que j’ai fait subir à son petit cul n’a nullement tari l’inondation de sa chatte, bien au contraire. Celle-ci bâille découvrant son clitoris congestionné. Ma queue est littéralement aspirée par son con. Tout en la baisant, je lui titille la pastille. Celle-ci n’offre aucune résistance, deux doigts y disparaissent sans difficulté, ce que voyant, j’abandonne sa chatte pour me planter dans son cul d’un coup. Elle a un léger sursaut, accompagné d’un long feulement. Je la ramone énergiquement. Nulle objection, de sa part, à ce traitement pour le moins vigoureux. Au contraire, elle se cambre, tend les fesses encore plus et vient au-devant de ce pieu qui la pourfend. Elle émet un râle continu qui intrigue beaucoup Sekhmet.


Je la sens qui, en plus, s’astique le bouton. Les minutes passent, elle est toujours aussi déchaînée. Je ne sais pas si je vais tenir encore très longtemps. Brusquement, elle lâche un cri qui se termine dans un hoquet et s’effondre sur le lit. Je l’accompagne dans son mouvement, continuant de l’enculer, mais rapidement je me vide dans ses intestins. Les secondes s’écoulent lentement avant qu’elle ne se redresse pour se jeter sur moi en me traitant de sale brute. Mais cette accusation me fait sourire, car je sais très bien qu’elle n’attendait que ça : se faire défoncer la rondelle. D’ailleurs, elle vient se lover dans mes bras. Je dois toutefois reconnaître que je n’y suis pas allé de main morte, ou plutôt de bite morte. M’est avis que cette zone, avec la fessée en plus, va ces prochains jours être un peu sensible.


Après avoir câliné, nous nous levons pour aller nous rafraîchir. Voir sa démarche précautionneuse et la manière dont elle s’assoit, me confirme la sensibilité de son fondement. Elle y a le feu, mais pas de la même façon que tout à l’heure. Plus d’une heure s’est écoulée depuis le début de notre partie de jambes en l’air. J’essaie à nouveau de contacter la concierge, mais fais à nouveau chou blanc. Je suis contrarié, je ne sais comment les avertir de ma présence à Paris, pour qu’après tous ces voyages nous puissions au moins nous apercevoir.


Je vais pour me rhabiller, Anne m’en empêche en s’agenouillant pour me pomper. Quand tout à l’heure je pensais qu’elle avait le feu au cul d’une autre manière, j’aurais dû penser qu’elle l’avait de deux manières différentes. Je sens le désir qui émane d’elle me parvenir en vagues puissantes. J’avais pensé qu’elle avait eu sa dose, visiblement il lui en faut encore. Si au lieu de penser je m’étais simplement un peu ouvert à elle, je m’en serais rendu compte immédiatement. Je n’ai pas eu le réflexe, et je pense ne pas souhaiter avoir ce genre de réflexe, de sonder les émotions. De la sentir ainsi en rut ne me pousse pas à rester sur mon quant-à-soi. Il aurait d’ailleurs fallu que j’y pense plus tôt.


Je ne vais pas à nouveau jouer le jeu du timoré. Après l’avoir laissé œuvrer, je la renverse sur le lit. Elle s’y laisse choir les jambes largement écartées. Son odeur de femelle en chaleur sature mes narines. Je m’occupe indistinctement de ses deux trous. Elle apprécie. J’abandonne les jeux de mains pour me planter dans sa chatte. Je m’active et m’empare de ses seins auxquels la grossesse fait prendre du volume. Elle irradie la satisfaction. Je quitte ensuite sa grotte d’amour pour replonger dans ses entrailles. La porte se desserre, si c’est possible, encore plus facilement que tout à l’heure. Elle ne demandait qu’à être poussée et poussée fort. C’est ce que je fais et poursuis dans la même veine. Pas plus que tout à l’heure je ne la ménage et cette fois-ci, en plus, sa poitrine est de la fête. Elle est à cent lieues de s’en offusquer, au contraire tout en elle proclame que trop de délicatesse ne serait pas de mise. Visiblement son côté maso est en train de ressortir et je crains d’être à l’origine de cet éveil. Elle prend à nouveau son pied quand pour la deuxième fois, je me vide en elle. Elle reste bras et jambes en croix.


Le temps qu’elle récupère. Mon cerveau tourne à cent à l’heure. Je ne nie pas le plaisir que nous venons de prendre, mais récidiver avec Anne ne ma paraît pas la meilleure idée. Pour ses filles, entre elle et moi c’est fini, leur père et leur mère ont renoué. Je ne parle même pas de Véronique qui ignore tout du petit arrangement qu’Anne, Dominique et Gwendoline avaient concocté avec moi avant mon accident : que la mère et ses deux filles se partagent mes faveurs.


Même si je ne m’en plaignais pas, il aurait fallu être difficile, cela me gênait tout de même beaucoup. Et maintenant que les relations d’Anne et de son mari se sont apaisées et reprennent un chemin normal, cela m’embarrasserait encore plus. Il faut donc que je fasse quelque chose pour que ce qui vient de se passer ne se reproduise pas. Le problème vient qu’Anne n’ose pas faire part à son époux de ses envies intimes. Il faut donc lui forcer la main.


Je rejoins Anne dans la salle de bain après un passage par ma chambre. Je la fais s’appuyer sur le lavabo au sortir de la douche, écarte ses fesses et enfonce un gode de bonne taille au fond de son petit trou, passe les chaînettes et boucle le tout avec un cadenas. Je lui laisse le soin de la finition de tissu. Elle ne fait aucun commentaire se contentant de se cambrer en me lançant un sourire.


Ceci fait, j’essaie à nouveau de contacter la concierge à Lyon, toujours vainement. Anne de son côté téléphone chez elle, pas de nouvelles non plus. Elle m’invite à dîner. J’hésite à partir en cas de coup de téléphone de mes chéries, mais réflexion faite cela m’arrange plutôt. La femme de ménage partie, je lance innocemment à Anne qu’elle va faire des travaux d’écriture. Elle me regarde interrogative.



Je la sens interloquée



Elle me regarde étonnée, puis elle comprend de quelle clef il s’agit.



La discussion s’engage, animée. In fine, pour la décider, je lui dis que sinon c’est moi qui donnerais la clef. Elle n’y croit qu’à moitié, mais préfère capituler. Je sens néanmoins toutes ses réticences. Une fois en possession de l’objet, elle n’a nullement l’intention de le donner à son mari. Elle prend papier et stylo et s’installe en traînant les pieds. À nous deux nous arrivons, après un certain temps et un brouillon abondamment raturé et rempli de flèches, à un résultat potable. Elle relit une dernière fois avant de recopier.


Mon Nounours chéri

Depuis que nous nous sommes retrouvés, que notre vie a pris un cours nouveau, je me sens transformée. Pour te remercier, je t’offre un petit présent. J’espère qu’il nous fera découvrir de nouveaux horizons. Il nous faudra donc sillonner les chemins inexplorés qui s’ouvrent et ne pas hésiter à nous y engager profondément. J’espère que tu apprécieras ce petit cadeau, ce sont mes années de pension qui m’y ont fait penser. Ne le perds pas, car il n’y a pas de double. Dès ce soir, il faudra que tu l’utilises, car je ne peux rester très longtemps sans que tu l’inaugures.

Je t’embrasse, ta petite femme qui t’aime.

Anne


C’est un peu bref, mais son mari ne devrait pas tarder à rentrer et nous manquons de temps. Je mets la clef dans une boîte d’allumettes avec du coton, je fais un paquet cadeau avec la lettre et sur la faveur je lui fais écrire « pour Pierre ». Sitôt fait, avant qu’Anne n’ait le temps de réagir, je fais disparaître l’objet dans ma poche. Elle va pour protester, mais se ravise. Elle pense que ce n’est que partie remise. Moins d’un quart d’heure plus tard, Pierre, le mari d’Anne arrive. Il est étonné de me voir séant. Anne et moi lui expliquons le coup de la surprise, cela le fait, fort peu charitablement, bien rire. À sa place cela m’aurait diverti aussi, mais à la mienne je trouve cela beaucoup moins drôle.


C’est le moment que choisit le téléphone pour sonner. Ce sont enfin les filles qui se décident à appeler. Tout comme moi, elles ne goûtent pas tout le sel de l’aventure. Elles se sont promenées dans Lyon attendant mon retour. Après tractations, il est décidé qu’elles vont prendre un train revenant sur Paris cette nuit en espérant qu’il y ait encore des places disponibles, pour arriver demain matin. Elles nous tiennent au courant.

Le téléphone raccroché, nous passons à table. Les hors-d’œuvre achevés, je me lève en m’écriant comme si cela me revenait à l’esprit :



Et me dirige vers l’entrée, je fais semblant de chercher dans ma veste et reviens avec le paquet préparé tout à l’heure et déclare d’un air dégagé :



Je le tends à Anne, mais fait mine de découvrir l’inscription sur le paquet et m’écrie :



Anne me lance un regard noir. Je prends un air contrit :



Et je tends le paquet à Pierre, il embrasse sa femme et l’ouvre. Il lit le petit mot et découvre la clef. Il regarde sa femme, interrogateur. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur :



Le reste du repas se passe sans incident, mais je sens qu’Anne m’en veut quand même quelque peu. Le dessert à peine achevé, le téléphone sonne à nouveau. Les filles annoncent qu’elles ont trouvé de la place pour rentrer et qu’elles arriveront demain dans la matinée à Paris. Je note leur heure d’arrivée, j’irai les accueillir à la descente du train. Pierre me propose de rester coucher, pour m’éviter un trajet de plus. J’accepte avec reconnaissance.


Je vais me coucher sans tarder. Je suis pour m’endormir, quand j’entends des bruits de voix, ma chambre est mitoyenne de celle d’Anne et Pierre. Après un moment de calme, c’est Anne que j’entends et ce que j’entends ne laisse aucun doute : elle se fait sauter par son cher époux et elle aime. Visiblement il a apprécié le cadeau et ne s’est pas fait prier pour s’en servir dans les plus brefs délais. J’ai du mal à m’endormir avec les soupirs, les couinements et les halètements d’Anne ponctués de temps à autre des râles plus profonds de son mari.




Dimanche 24 octobre : croisement


Je me lève tôt afin d’être à l’heure pour accueillir mes chéries à la gare. Je ne suis pas le seul, Pierre qui veut faire un saut à son bureau est également matinal. Nous prenons notre petit déjeuner de concert. Ce n’est qu’après son départ qu’Anne apparaît. Avant qu’elle ne se lance dans quelque récrimination, je coupe court en déclarant :



Anne a le bon goût de rosir :



Elle ouvre sa chemise de nuit pour me faire voir qu’elle porte son slip cadenassé avec le godemiché enfoncé dans son fondement.



Nous discutons encore un peu, avant que je ne parte pour la gare, via la maison pour nourrir la chatte.

Quand mes chéries descendent du train, après moult baisers et effusions, nous décidons d’aller déjeuner au restaurant. Nous sommes tous déçus de ce chassé-croisé impromptu, mais chacun prend plutôt la chose avec humour. Le déjeuner achevé, nous repartons de concert vers la maison. À peine arrivés, Dominique et Véronique disparaissent comme par magie après une allusion à des courses, me laissant seul avec Gwendoline. Elles avaient dû concocter ça entre elles, Gwendoline étant la seule avec qui je n’ai pas fait l’amour depuis ma résurrection. Connaissant son tempérament, je pense que ça doit plutôt la démanger.


Ses deux complices passées à la trappe, j’en ai la confirmation. Elle se suspend à mon cou pour un baiser à couper le souffle. Quand nous nous séparons pour reprendre souffle, elle me tend une petite boîte ornée d’un beau ruban bleu. Je la remercie et défais le cadeau. Je trouve dedans… une clef. Point n’est besoin d’être grand clerc pour savoir ce qu’elle ouvre, il y a des coïncidences. Je l’embrasse à nouveau et la déshabille en faisant durer le plaisir. Comme sa mère, sa grossesse commence à se distinguer. Son ventre s’est légèrement arrondi, mais surtout ses seins se sont alourdis. Comme je l’avais bien deviné en recevant son cadeau Gwendoline porte le slip maison qui maintient en elle deux godemichés, un pour chacun de ses orifices. Je ne délivre pas tout de suite ma belle.


Je commence par lui cajoler les nichons. Leur sensibilité s’est exacerbée. Je m’attarde longuement, caressant, léchant, pinçant, malaxant sa poitrine épanouie. Elle apprécie hautement le traitement, mais attend quelque chose de plus consistant. Je retarde le passage à la phase suivante. Son désir croît. Quand je sens que la faire languir plus longtemps n’ajouterait rien à nos jeux, je me décide à user de la clef. Je fais glisser les chaînettes, mais laisse in situ ce qu’elles retenaient en me demandant depuis combien de temps ils sont en place. Pas moins de trois heures, moment où nous nous sommes retrouvés à la gare. Je lui pose la question tout en actionnant les deux godes. Elle me répond, écartant les jambes pour faciliter les manœuvres, qu’elle les a mis en place juste après sa toilette à l’hôtel à Lyon.



Je fais un rapide calcul : trois heures depuis l’arrivée du train plus quatre heures de train, plus une heure à Lyon, cela fait donc à peu près huit heures qu’elle se promène avec deux godes en elle. Sans conteste ça l’a mise en appétit. Le godemiché qu’elle a dans le con est poisseux. Étant enceinte, je ne sais si ce genre d’exercice est une très bonne idée, mais je pense que ce n’est pas le moment d’engager une discussion à ce sujet.


Quant à l’autre, sa taille est plutôt honorable pour l’endroit où il est niché. La position assise et les trépidations du train ont dû amplement préparer le terrain pour une visite. J’ai l’impression que, comme sa maman, elle adore se faire défoncer la rondelle. Je vais m’efforcer de ne pas la décevoir. Je la renverse sur le lit et retire les deux godemichés. Les deux orifices bâillent largement. Il n’y aura visiblement pas à se perdre en préliminaires, aussi je plante ma queue dans la chatte béante de Gwendoline. Ma petite chérie démarre au quart de tour, c’est le moins que l’on puisse dire, elle prend son pied en moins d’une minute. Sans lui laisser le temps de dire ouf, je me retire pour plonger un poil plus bas. Je rentre aussi facilement dans son petit trou que dans l’autre et m’enfonce jusqu’à la garde. Elle a un petit cri, mais qui n’a rien d’une protestation. Je commence à la tringler avec d’amples coups de boutoir.


Elle attrape ses genoux, pour rendre encore plus accessible, si cela est possible, son petit cul. Elle repart, se retenant à grand-peine de crier. Ce qui a pour effet de la faire couiner de fort curieuse manière, avec malgré tout un volume sonore respectable qui doit faire s’interroger le voisinage sur ce qui se passe, mais peut me chaut. De nouveau elle prend son plaisir, mais je continue. Une succession d’orgasmes la secoue. Tout son corps se détend et je me trouve chassé de son étroit fourreau. Elle reste prostrée de longues minutes avant d’émerger un radieux sourire illuminant son visage.


Elle se lève pour m’embrasser. Elle a les jambes flageolantes. Je la soutiens et veux l’entraîner vers la salle de bain pour que nous puissions nous rafraîchir, mais elle s’écroule sur le lit pour s’endormir presque instantanément bras et jambes en croix. Je la mets dans les draps et la borde avant de me diriger, vers la salle de bain. C’est pour me trouver dans le couloir nez à nez avec Dominique et Véronique, qui avec un bel ensemble lorgnent vers mon sexe encore dressé. À leurs questions, je réponds que Gwendoline a eu un coup de fatigue et s’est endormie. Après m’avoir un quelque peu charrié que je devrais avoir honte d’épuiser cette pauvre fille enceinte, elles me laissent poursuivre mon chemin. Une fois propre comme un sou neuf, je ressors de la salle de bain. À peine suis-je dans le couloir que les portes de Dominique et Véronique s’ouvrent en même temps. Les deux filles se regardent et éclatent de rire. Dominique lance :



Leurs regards se portent avec un bel ensemble vers un endroit bien précis de mon anatomie. Celui-ci a perdu de sa superbe. D’un même geste elles tendent la main pour s’en saisir, ce qui les fait à nouveau pouffer. Je suis surpris que Dominique se lance dans ce genre de chose, cela m’aurait moins étonné de sa sœur. Mais je ne tiens pas à ce que nous nous engagions sur cette pente et essaie d’éluder. Elles s’en montrent fort surprises. Je tente de leur expliquer que cela me gêne ce genre de plan à trois. D’une même voix, elles essaient de me renvoyer dans les cordes en disant que je devrais apprécier qu’elles s’inquiètent de moi, plutôt que d’ergoter. Mais je reste ferme sur mes positions. Elles finissent par renoncer et chacun de retourner dans sa chambre. Ouf !


Je me prépare au départ, car l’heure du retour approche. Seules Dominique et Véronique m’accompagnent, Gwendoline dormant toujours quand nous sommes partis.

De retour à Lyon, avant de m’endormir, je me jure bien de ne plus essayer de faire le coup du retour surprise.



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Les épisodes précédents :

23 avril - 6juin

27 juin - 14 juin

15 juin - 21 juin

22 juin - 24 juin

25 juin - 29 juin

29 juin - 5 juillet

6 juillet - 13 juillet

… - 5 octobre

Mardi 5 octobre - Dimanche 10 octobre