Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13294Fiche technique105928 caractères105928
Temps de lecture estimé : 60 mn
17/05/09
corrigé 12/06/21
Résumé:  La liaison que j'entretiens avec ma chère belle-mère continue de me hanter...
Critères:  fh fplusag fagée extracon alliance fépilée exhib noculotte lingerie facial fellation cunnilingu anulingus fdanus fsodo hdanus jouet confession
Auteur : Ducfranck            Envoi mini-message

Série : Belle-maman

Chapitre 02 / 04
Très chère belle-maman

Ce texte fait suite à celui intitulé Belle-maman (nº Rêvebébé : 12452). Il conte les écarts de conduite que ma belle-mère et moi continuons d’entretenir.

Le premier texte a été écrit il y a environ deux ans et demi. Ma double vie se poursuit depuis sans soucis avec quelques péripéties assez sympathiques. Ce nouveau texte en raconte quelques-unes…

J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire que j’en ai eu en me remémorant ces instants.








Ma chère Huguette est devenue ma drogue au fil des mois, cela fait maintenant trois années que nous ne nous lassons pas l’un de l’autre. Elle me surprend toujours de ces exhibitions dont elle a le secret et je fais de mon mieux pour satisfaire ses désirs.

La belle-famille et les amis ne s’étonnent plus de notre complicité. Ils mettent ça sur le fait que les relations que j’entretiens avec mes parents ne sont pas au beau fixe. Totalement faux, mais je les laisse à leurs suppositions, cela nous permet d’être libres de nous voir sans attirer les foudres de leurs regards.


Cela peut paraître paradoxal, mais l’entente de mon couple s’est même améliorée, les relations sont moins tendues avec ma femme, le dialogue est redevenu une constante, bref tout va pour le mieux. La double vie ne me gêne absolument pas et, au contraire, je me sens très bien dans ma peau, suite aux discussions avec ma maîtresse, elle m’apprend qu’elle se trouve aussi dans ce cas-là. Le bilan de cette relation est donc plus que positif.


Pas question, pour autant, de cesser nos activités manuelles et ludiques, au contraire ces entrevues sont plus fréquentes. La dernière année de crèche de mon fils, nous en avons profité pour nous rencontrer tous les jours, matin et soir.

Quand Jules est entré à l’école, la parade fut vite trouvée. Nous n’allions pas laisser ce cher bambin à la garderie après la sonnerie de la cloche. C’est mamie qui vient le chercher pour le garder une petite heure à la maison. Bien entendu rien d’équivoque en sa présence, il faut le préserver de notre folie. Mais toutes les excuses sont bonnes pour nous retrouver.




— 1 -



Cela fait un peu plus d’un mois que nous avons pris l’habitude de nous retrouver le soir dans ma demeure. Jules, sitôt arrivé dans le jardin, court sur la pelouse pour retrouver ses jeux d’extérieur sous les yeux bienveillants de mamie. À mon arrivée, elle est invariablement assise sur un fauteuil en bois exotique et, de ce trône, son champ de vision embrasse la totalité du jardin.


Ce jour-là je viens la saluer de la triplette de bises, chastement. Il ne faut pas oublier que le bambin n’a pas ses yeux dans la poche et qu’il rapporte facilement ce genre de faits. Intelligemment ma chère Huguette pivote de manière à ce qu’il n’y ait que mes yeux qui puissent mater ses trésors.

Ce début d’octobre clément incite à des tenues vestimentaires très sympathiques. Le décolleté, rendu vertigineux, donne sur une lingerie fine et s’offre à mes yeux gourmands. Et que dire des jambes fuselées qui s’ouvrent pour m’offrir la vue de son intimité recouverte d’un voile translucide ? Je distingue sans forcer l’anatomie humide et les poils en broussaille.

Nous discutons dix bonnes minutes à voix basse de nos futures rencontres coquines lorsque nous sommes dérangés par un crissement de pneus sur le gravier.


Ma femme arrive, elle est sortie plus tôt de son travail. Belle-maman remet ses vêtements correctement pendant que je vais à la cuisine pour faire un thé. Lorsque Marine entre dans la maison, elle est heureuse d’en accepter une tasse et elle se joint à nous sur la terrasse. Beau-papa étant en déplacement, mon épouse invite sa mère à partager le souper. Elle accepte avec le sourire et je leur propose de faire la cuisine.


Je suis devant le plan de travail, je pèle et découpe les légumes en vue de réaliser une ratatouille maison. Dehors quelques ceps de vigne crépitent dans le barbecue pour les côtes d’agneau qui décongèlent à proximité. Marine s’occupe du bain de Jules à l’étage et, tout naturellement, ma chère belle-mère vient me tenir compagnie.


Pour cela elle n’a pas hésité à défaire deux boutons de son chemisier (ceux-là même qu’elle avait fermé quelques minutes plus tôt). Je lorgne sur sa poitrine tassée et remontée sans faire attention au couteau que je tiens dans la main. L’accident est inévitable : le tranchant vient mordre douloureusement le majeur et l’annulaire juste au-dessus de l’alliance. Je ne me rends pas tout de suite compte de la coupure, c’est le cri d’Huguette qui m’alerte.


C’est le branle-bas de combat, chacune essayant de faire quelque chose mais, dans la panique, rien de constructif n’en ressort. Marine a même failli tourner de l’œil en voyant la marre de sang recouvrant les aubergines. J’enroule mes doigts dans un chiffon propre en serrant du mieux que je peux et je demande à ce que quelqu’un m’accompagne aux urgences. Ma femme prend mon sac-bandoulière et le donne à sa mère en lui disant que tous mes papiers sont à l’intérieur. Depuis son accouchement difficile, elle a une sainte horreur du milieu hospitalier et je me retrouve donc avec Huguette dans la salle d’attente de l’hôpital.


Quelques bambins pleurent que les parents consolent du mieux qu’ils peuvent, des jeunes sont attroupés autour d’une de leurs camarades dont la cheville a triplé de volume et quelques personnes seules patientent dans la salle aseptisée. Il y a eu un carambolage sur la nationale 86 et donc l’attente est interminable. Mes doigts ne saignent plus grâce au pansement fait prestement par une infirmière dévouée.


Après un coup de fil pour rassurer ma femme nous patientons quelques heures avant d’être pris en charge. Le médecin urgentiste diagnostique quelques bricoles pas très sympathiques et je suis bon pour une chirurgie le lendemain matin. Transporté dans une chambre individuelle (quelle chance !), on me donne un petit en-cas pendant qu’Huguette rentre chez moi pour chercher mes affaires. Lorsqu’elle revient (eh non, ma femme ne s’est pas déplacée…) j’ai déjà fini le frugal souper. Elle range le linge dans l’armoire et s’assoit à côté du lit.


L’air de rien, le sourire au coin des lèvres, une main se glisse sous le drap pour venir tâter mes bourses. L’effet est quasi immédiat, mon petit mât se dresse, aussitôt saisi par la poigne de belle-maman. Pendant qu’elle agace ma tige, son autre main retire le drap et elle approche son visage. La fellation qui s’ensuit restera à jamais gravée dans mon esprit. Les actions combinées des lèvres et de sa langue me font totalement oublier le lieu où je me trouve. L’appréhension qui m’assaillait du fait de la future opération a disparu. Je regarde le doux visage de ma belle-mère aspirer jusqu’au pubis ma verge bandée. Je suis vidé de toute pensée négative, uniquement concentré sur la prodigieuse caresse.


La main qui s’amusait avec mes testicules se fraie un passage entre mes fesses. Un ongle titille la peau flétrie, je me laisse faire avec bienveillance te mes cuisses s’écartent. Pendant que la succion se poursuit sur mon gland, un doigt s’immisce sans trop de peine dans l’étroit conduit. Je suis habitué depuis peu à cette caresse, mais j’apprécie de plus en plus l’introduction de ses doigts fins. Je suis tellement réceptif qu’aujourd’hui, un deuxième vient rejoindre celui qui y coulisse déjà.


Quelques instants après cette nouvelle intromission je m’épanche avec un râle non feint au fond de la gorge de ma partenaire. Huguette reçoit l’offrande avec gourmandise et ne laisse rien échapper. Elle ne décolle son visage de mon entrejambe que lorsque mon pénis est au repos et bien propre. Elle vient m’embrasser chaleureusement avant de me laisser pour une longue nuit.



oooOOOooo



Je ne parlerai pas de l’opération puis des deux journées moroses passées à l’hôpital. D’ailleurs, pourquoi rester autant de temps pour des coupures aux doigts ? Mystère…


Belle-maman vient chercher le petit pour l’emmener à l’école et le ramène le soir. Pendant mon arrêt de travail, je vois donc ma maîtresse au minimum deux fois par jour. Je dis minimum, car elle s’est proposé de nous aider : ménage, courses, préparation des repas, repassage, etc. Marine a accepté avec empressement, et j’ai bien sûr appuyé cette proposition. Je ne suis pas habituellement douillet, mais il est vrai que j’en rajoute un peu pour me faire dorloter.


Ce jeudi matin, vers neuf heures trente, Huguette revient à la maison pour le grand ménage. La coquine est allée se changer, car tout à l’heure c’était plutôt prude. Lorsqu’elle enlève le manteau (mistral oblige), elle porte une minimaliste jupe noire, des escarpins et des bas de soie de la même couleur ainsi qu’un chemisier blanc, ma foi, très transparent. Une vraie soubrette. L’absence de lingerie laisse voir à souhait ses mamelles libres de tous mouvements.


Cela commence par l’aspirateur, je ne râle même pas contre le bruit qui m’empêche d’écouter le dernier Lenny Kravitz. Je me contente de regarder le corps gracile conduire le manche de plastique. Parfois elle s’en sert comme d’une barre de strip-tease et me fait un court instant de danse lascive. Quelques boutons ont sauté du chemisier, ce qui fait que parfois je peux voir un sein entièrement. Sa jupe courte ne cache rien de son intimité poilue et de ses bas affriolants.


Tiens, elle ne s’occupe que du salon, car après avoir disparu quelques minutes, elle revient avec un balai et un seau. Les positions diffèrent et c’est avec application qu’elle se penche pour que la serpillière puisse se loger sous tous les meubles alentour. Impossible de se lasser du spectacle de son postérieur à nu. Mon érection est maintenant visible puisque j’ai quitté le pantacourt et le caleçon que je portais.


La dernière fois qu’elle se penche, c’est devant mes yeux vitreux. Sans réfléchir je lance ma langue en avant pour goûter ses chairs inondées. Jamais de problème de lubrification avec madame, je plonge littéralement au milieu de son fessier pour lécher ses orifices. Pas un mot n’est échangé depuis son arrivée, ma langue s’enfonce, lèche tout ce qui est à sa portée. Huguette a pris position, bien cambrée, les mains en appui sur la table basse.


Je ne peux me contenir plus longtemps, je me lève et pose mon sexe sur le sien. Je m’y enfonce avec délicatesse avant d’aller et venir comme un forçat qui a fait abstinence depuis dix années. Les gémissements de ma belle prouvent que le traitement lui convient, et elle redouble ses petits cris lorsqu’un pouce vient sonder son fondement. Ses jambes ne la tiennent plus et elle finit allongée sur la petite table tandis que je la sodomise.


Nos râles se mêlent lorsque je jouis en elle, je l’embrasse tendrement avant de revenir labourer de ma langue ses chairs meurtries. Je lape son clitoris qui se dresse tel un mini pénis, j’avale même ma propre semence qui s’écoule lentement jusqu’au bouton d’amour. Lorsqu’elle atteint elle aussi l’orgasme, nous finissons, collants de transpiration, enlacés sur le canapé.


La douche qui suit est aussi coquine que ce qui s’est passé dans le salon. Je fais juste attention à ne pas noyer mon pansement. Par contre, Huguette mange mon chibre comme une morte de faim faisant fi de l’eau tombant sur son visage. Je la regarde, yeux fermés, s’appliquer à me sucer du mieux possible et, rien à redire, c’est encore parfait.


Une main sur chaque cuisse elle m’oblige à faire demi-tour. Tiens, je connais, cette position ! En sachant ce que ma coquine de belle-maman a derrière la tête, je cambre mon fessier. Je suis prêt à laisser mon petit trou à sa bouche insatiable. Enfin je goûte cette caresse que j’ai si souvent prodiguée. Ses doigts et sa langue ne m’épargnent rien, je suis léché et pénétré sans discontinuer. Je gémis de la même manière qu’elle, j’apprécie de plus en plus cette caresse interdite. De sa main libre elle branle mon sexe demi-dur, tandis que les doigts vont et viennent dans mon boyau distendu.


J’ai envie de jouir et je l’en avertis, en laissant les doigts au chaud, elle pivote pour me prendre en bouche et prendre une bonne rasade de crème. Les trois ou quatre doigts quittent mon fondement pendant qu’elle se redresse pour venir m’enlacer et mélanger nos langues. Le baiser ne cesse que lorsque le ballon d’eau chaude est vide et que la douche nous arrose d’eau fraîche.


Séchés nous nous rendons à la cuisine pour préparer le repas. Enfin, c’est elle qui s’occupe de tout puisque je suis en convalescence. Je fais mon Caliméro et je me fais chouchouter, sympa non ? Huguette n’est pas dupe et c’est de bonne grâce qu’elle me mijote de bons petits plats. Elle a revêtu sa tenue de servante sexy, pour ma part je porte juste le bas, restant torse nu.


La table est débarrassée, je la regarde emplir le lave-vaisselle et une érection ne tarde pas à cogner dans le tissu du caleçon. Et nous voilà repartis pour un coït bestial dans la cuisine. Je ne décrirai pas toutes positions utilisées cet après-midi, mais je peux vous avouer qu’elles furent nombreuses. C’est repus par ces acrobaties que nous nous séparons, elle part chez elle se changer puis va chercher son petit-fils. Pour ma part, c’est plus calme : une douche réparatrice puis je m’allonge sur le canapé pour lézarder devant la télévision.


Ma convalescence se passe ainsi très agréablement.



oooOOOooo



Un dimanche midi, mes beaux-parents viennent manger à la maison. Comme je suis encore en arrêt maladie la semaine suivante, Huguette me demande si je veux bien l’accompagner le lendemain sur Avignon. Le magnétoscope étant en panne, elle aimerait acheter un graveur de DVD, mais n’y connaissant rien, elle aimerait que je l’accompagne pour faire son choix. Je réponds par l’affirmative, trop content de pouvoir passer le plus de temps avec elle et aussi pour voir autre chose que les murs de ma maison. Marine et son père n’y voient aucune objection, bien au contraire, ils ont plus confiance en moi pour ce qui est de l’achat de ce genre de matériel.


Durant les quelques heures de leur visite je ne manque pas de détailler belle-maman. Elle porte un pantalon blanc en lin, très classe, et un haut très coloré genre tunique du plus bel effet. Se sentant épiée et sa fille l’ayant complimentée sur sa tenue, Huguette ne cesse de raconter des anecdotes la concernant. Une fois, une dame l’a félicitée pour les lignes de son corps, une autre lui a donné quinze années de moins, elle s’est fait draguer plusieurs fois par des hommes bien plus jeunes qu’elle, etc. Elle fait son petit numéro, son sourire est radieux. C’est très agréable de la voir aussi rayonnante.


Elle m’émoustille uniquement par ses paroles emplies de sous-entendus que je suis le seul à comprendre. Elles parlent maintenant vêtements et lingerie fine. Beau-papa et moi sirotons quelques boissons digestives en écoutant, sans bruit, les bienfaits de certains soutiens-gorge sur les poitrines. Rien n’est épargné, elles discutent librement de leurs goûts vestimentaires et Huguette ne se gêne pas pour parler de ses choix les plus sexys. Marine est tellement absorbée par le dialogue qu’elle oublie notre présence.


Je ne me rappelle plus des termes exacts de la discussion sur le string, mais ce que je sais, c’est qu’elles n’ont épargné aucun détail. Et que dire de la suite concernant l’épilation ? Passons les divers moyens d’y arriver, pour se concentrer sur leurs opinions à propos du minou glabre ou non. De plus en plus intéressant ! Je jette une oreille indiscrète pour bien comprendre, même si elles n’ont pas baissé de ton.



D’un coup Marine tourne son visage vers moi, comme si elle se rappelait ma présence. Ses joues s’empourprent à grande vitesse pendant qu’Huguette me fait une œillade coquine. Elle ne trouve plus ses mots et préfère regarder sa mère en se servant un grand verre d’eau pour ne pas rester inactive.



Malgré cette mise au point, mon beau-père, stoïque, encaisse mais ne dit rien, comme d’habitude. C’est vrai qu’il ne fait aucun cas de sa femme (tant mieux pour moi) et il ne s’en cache même pas.



La fin de journée et la soirée qui suivit ne sont pas des modèles de dialogues. Ma femme s’emmure dans un silence pesant comme si les sujets abordés en fin de repas allaient remettre en cause les relations entre ses parents et nous. Je ne réussis pas à savoir le fond de ses pensées et c’est avec dépit que je regarde un film d’action à la télévision.



oooOOOooo



Le lendemain matin, ma maîtresse vient chercher Jules puis elle l’accompagne à l’école. Je dois patienter jusqu’à dix heures avant que ma très chère Huguette vienne à nouveau frapper à la porte. Comme je suis handicapé par le pansement qui paralyse mes doigts (je sais, j’exagère…), c’est elle qui conduit. Aussitôt assis dans la voiture, nous reprenons la discussion de la veille et elle m’avoue qu’elle fait exprès de pousser sa fille à être plus coquine. Je lui demande pourquoi elle fait ça alors qu’il y a eu un temps elle était jalouse de mon épouse. Elle m’avoue avoir peur que je la délaisse dans quelques années lorsqu’elle ne sera plus très fraîche (je reprends littéralement les mots utilisés).



J’avoue que ce fut un énorme choc d’entendre cela, et j’ai eu le plus grand mal à soutenir la conversation qui suivit. Nous sommes arrivés vingt-cinq minutes plus tard sur le parking d’un des supermarchés de l’audio-vidéo du centre commercial du Pontet, au nord d’Avignon. Je ne suis pas encore remis, mais j’entrevois les raisons de cette douloureuse décision et c’est le cerveau dans un nuage de coton que je parle au vendeur (sympathique d’ailleurs) et que je fais le choix de l’enregistreur, puisque c’était le but premier de notre venue.


Je porte le carton que je mets dans le coffre puis nous partons à pied vers la galerie marchande. Je n’ai pas eu une parole et encore moins un geste d’affection pour Huguette qui ne dit plus rien. Elle est triste, je suis déçu et il nous faudra un aller et retour dans l’interminable couloir bordé de magasins pour que je lui susurre à l’oreille :



Cette unique et courte phrase scellera à jamais le pacte qui nous lie jusqu’en septembre 2012, date du fatidique arrêt de nos relations charnelles. Avec ces mots, j’accepte sa requête et c’est avec une de ses mains sur mon biceps que nous progressons dans la foule. Nous n’osons pas aller plus loin car nous ne sommes près de nos lieux de vie et qu’il serait dommage d’être surpris par une quelconque connaissance. Au bout de quelques minutes, elle me répètera les mots que je viens de lui dire.


Il est l’heure de manger, nous nous installons dans une brasserie où il n’y a pas trop de monde. Au bout d’une heure trente nous repartons du restaurant et je la regarde enfin, j’étais tellement obnubilé par ses dires que j’avais occulté mon champ de vision. Je suis subjugué par la beauté de ma chère belle-maman. Je la redécouvre, sa sincérité m’a touché, sa façon de me protéger, de prendre soin de moi et, bien entendu, de m’aimer.


Je ne peux réprimer mon désir et l’embrasse avec fougue au milieu de la foule au risque d’être vu. Elle me rend le baiser avec autant de passion, nos langues s’emmêlent, cela dure une éternité.


Le retour est très calme, nos paroles sont tendres et douces, aucune coquinerie ne viendra troubler ce moment de sérénité.



oooOOOooo



Mardi, j’essaie d’installer ce fichu appareil mais il ne veut rien savoir. Nous sommes obligés de retourner au magasin pour un échange standard. Huguette m’y conduit juste après avoir téléphoné au service après-vente.

Un nouveau graveur sous le bras nous marchons vers le véhicule. Nous sortons de la zone commerciale et Huguette me montre un grand panneau publicitaire avec une femme habillée très sexy :



Sans montrer le moindre signe d’appréhension, elle me prend la main valide et se dirige vers la porte opaque puis l’ouvre comme si elle entrait dans une boulangerie. Elle n’aime pas être prise pour une poltronne et c’est avec assurance qu’elle lance un vibrant bonjour aux deux employés présents à l’entrée. Au milieu des rayons elle fait une halte et me chuchote que cela lui fait bizarre de se retrouver dans un lieu où le sexe est omniprésent. Par chance, les clients sont rares, nous pouvons déambuler et regarder les articles sans gêne aucune.


Les films ne l’intéressent pas, mais elle ne manque pas de faire quelques commentaires grivois sur certains titres racoleurs. Par contre, la lingerie, certaines tenues et les différents gadgets trouvent grâce à ses yeux.



Je la regarde revenir, elle a fière allure perchée sur ses escarpins à hauts talons. Elle a pris l’habitude de marcher avec ce type de chaussures, et sa démarche n’est plus du tout hésitante. La jupe droite suit le mouvement de ses cuisses à chaque enjambée. Le tissu ouvert sur le côté gauche laisse apparaître furtivement un bout de peau nue au-dessus de la soie de ses bas. Le chemisier cintré lui fait une taille de guêpe et il s’évase inexorablement vers le haut pour souligner sa poitrine. Celle-ci est maintenue dans un adorable soutien-gorge pigeonnant, et comme quelques boutons sont négligemment défaits, il est aisé de voir la lingerie et la gorge formée par la chair tendre. Un maquillage fin et une coiffure courte complètent le tableau. La coiffure qu’elle arbore depuis une semaine est plutôt courte, à la garçonne et échevelée. Elle a laissé tomber la teinture foncée pour revenir à une couleur grisonnante et plus naturelle.


Cette beauté, tout sourire, pêche de-ci de-là quelques sex-toys qui viennent s’amonceler dans le panier qu’elle tient au creux du coude. Puis elle se dirige vers les vêtements, elle les regarde avec minutie avant d’en choisir quelques-uns. Sa taille mannequin et son œil aguerri lui permettent de se passer de cabine d’essayage, elle prend donc le temps de flâner dans le magasin. Elle fait son shopping, seule, hautaine, pour me prouver qu’elle n’est pas gênée le moins du monde par l’ambiance qui règne dans les lieux. Sur le coup j’ai trouvé ça irréel, de voir belle-maman entourée de tous ces objets dédiés aux plaisirs sexuels et j’ai été soulagé de savoir, par la suite, qu’elle avait fait un énorme effort sur elle-même pour arriver à se comporter aussi naturellement.

À la sortie, elle pose délicatement ses achats devant le caissier en lui parlant poliment. Je règle la note (gloupsss !) et nous nous engouffrons dans la voiture.


Il ne reste plus que deux heures avant d’aller chercher mon fils donc nous convenons de ne nous amuser avec les nouvelles acquisitions que le lendemain. Ma chère belle-maman les nettoiera ce soir même, puisque son homme n’est pas à la maison. Elle me promet de ne pas les utiliser, mais je ne crois pas qu’elle puisse se retenir de se masturber avec certains et je lui fais part de mes craintes à ce sujet :



Je comprends le message et je me penche pour venir agacer la peau sensible de son cou juste au-dessous de son oreille. Mamie ne fait pas de détail et se gare dans le premier chemin qu’elle trouve. Au milieu des vignes, je l’embrasse fougueusement en pétrissant son entrecuisse trempé. Je passe sous le petit slip pour venir titiller sa fleur largement épanouie. Elle gémit, se contorsionne et, je ne sais comment, arrive à atteindre une des boîtes. Pendant que je lèche sa poitrine au travers de la lingerie et que mes doigts s’immiscent dans les chaudrons bouillants, Huguette déballe un des godemichés.

Elle pousse ma main valide et ainsi dégage la voie au sexe rose fluorescent qui est avalé sans soucis par l’accueillant vagin. Mes doigts valides viennent libérer les tétons que je mordille et lèche au rythme de ses respirations. Je regarde l’objet entrer et sortir sans peine entre les lèvres luisantes. Ma verge est à l’étroit et, sans cesser de lécher ses adorables mamelons, je déboutonne mon pantalon pour que la pression soit moindre.


J’ai une forte envie de la prendre, mais l’habitacle étroit de sa petite voiture nous l’interdit. J’ouvre donc la portière et je lui intime l’ordre de sortir, je la suis de près. Pas de douceur dans mes gestes, je la pousse sur le hayon. Le visage collé sur son avant-bras, celui-ci posé sur la vitre, elle continue de se faire du bien avec l’autre main et le sexe en latex. Elle comprend ce dont j’ai envie et elle se cambre en écartant ses cuisses musclées. Son petit anus humide est le seul endroit qui n’est pas occupé et j’y pousse bestialement mon gland. Ma maîtresse pousse un cri où se mêlent douleur et surprise, mais rapidement les gémissements de plaisir reprennent le dessus.


J’ai troussé la jupe sur ses hanches pour mieux malaxer ses mignonnes fesses. Le tissu du tanga est complètement trempé et il faut que je le tienne pour qu’il n’échauffe pas ma verge qui a pris un rythme soutenu. Mon pubis cogne à chaque coup de piston sur son fessier, je sens le gadget pousser sur mes chairs lorsque je suis bien implanté.


Huguette change la façon d’être pénétrée, maintenant une entrée du pénis artificiel correspond à la sortie du mien et ainsi de suite. Cette alternance lui procure deux orgasmes pratiquement coup sur coup. C’est au moment où ses muscles enserrent spasmodiquement ma tige que je jouis au fond de son puits.


Elle laisse tomber l’outil de plaisir et nous nous mettons face à face pour un long baiser. Pendant ce temps, d’une main, je masse sa raie qui est poisseuse, je remets la lingerie en place et tire sur la jupe. Elle finit de se rhabiller correctement tandis que je prends le sex-toy luisant et souillé de terre que je remets tel quel dans son emballage.


Il ne nous reste que peu de temps pour aller chercher Jules. Journée terminée…




— 2 -



Le mois et demi qui suivit fut l’occasion de jouer avec les godemichés et de voir ma belle-mère parée de ses nouvelles tenues coquines. Je peux même vous dire qu’en quelques occasions mes fesses ont reçu des visites appuyées de la part des objets profilés.


Nous sommes déjà en décembre, les journées sont courtes, le temps maussade, heureusement qu’il y a les quelques visites de Huguette. Marine n’est pas en reste, sur les conseils de sa mère, son esprit s’ouvre peu à peu à des jeux plus coquins. Rien de très pervers mais il faut souligner ses efforts. Je l’encourage du mieux que je peux en essayant de ne pas trop être exigeant pour ne pas la brusquer.


Ses dessous sont beaucoup plus érotiques, elle a laissé tomber les abominables mi-bas, les collants sont de moins en moins présents et elle n’a plus honte de mettre en valeur ses formes. Question galipettes, elle arrive parfois à prendre des décisions et à diriger la manœuvre. Madame commence à s’affirmer et je l’en remercie. Je peux aussi remercier vivement belle-maman qui œuvre dans l’ombre pour désinhiber sa fille.



oooOOOooo



Samedi soir, une semaine avant le réveillon tant attendu par des millions de bambins, nous sommes invités à un repas dans la famille de ma femme. Il y a une quinzaine d’adultes et encore plus d’enfants. Les ripailles commencent tôt cette année, c’est le premier de la longue série de repas de fin d’année.


Je suis assis en bord de table, il n’y a pas d’assiette servie en bout et j’attends que ma femme s’assoit à mes côtés. Elle vient m’avertir qu’elle reste avec ses deux cousines et je me retrouve donc comme un con avec les ancêtres de la communauté. Heureusement, quelqu’un vient à mon secours puisque célibataire pour la soirée : belle-maman est venue seule puisque l’autre a encore des soucis de vertiges (excuse minable, mais toute la famille y est habituée).


Je retrouve le sourire lorsqu’elle vient s’asseoir face à moi. Nous sommes pour ainsi dire seuls, personne en bout de table car celle-ci est quasiment contre le mur et les vieux oncles et tantes assis à côté de nous sont tous à moitié liquides. Nous aurions essayé de nous placer, jamais nous n’aurions pu faire aussi bien.


Je suis d’autant plus heureux qu’en me regardant droit dans les yeux, elle défait quelques petits boutons ce qui me permet d’avoir une vue plongeante sur sa lingerie. Elle porte une chemise noire avec de très légers motifs brodés dans des tons moins sombres, le soutien-gorge est lui aussi couleur charbon, mais uniquement fait de fines dentelures. L’anatomie de sa poitrine n’a plus aucun secret pour mes regards inquisiteurs. Ce ne sont pas les vieux sourds et à moitié bigleux qui remarqueront la tenue de leur cadette.


On nous fait passer les plats et nous les renvoyons dans la chaîne humaine pour que les autres convives puissent manger. Les yeux de belle-maman en disent long sur ses désirs, les pupilles humides plongent dans les miennes tandis qu’un pied masse mes parties génitales. Cela peut paraître assez bateau comme situation mais, lorsque vous êtes entouré de la famille de votre femme et que c’est votre propre belle-mère qui vous caresse ainsi, je peux vous assurer que l’excitation est à son comble.


Durant tout le repas nous avons discuté et ses phrases sont emplies de sous-entendus. Mon érection ne cesse pas, ses doigts de pied se promènent sur la hampe, se frottent sur mon gland. Ses tétons durcis essayent de traverser le fin tissu, je discerne même le léger gonflement des mamelons.

Je suis très content d’avoir mis un pantalon en toile, car je ressens mieux les caresses que si j’avais un jean. Par contre, je déchante vite lorsque j’éjacule abondamment et qu’Huguette continue de me masser longuement. Le sperme s’étale dans le caleçon puis finit en auréole sur le côté gauche de ma braguette.


Belle-maman s’aperçoit de mon embarras et s’amuse à étaler la semence sur l’aine et mon pubis. Satisfaite d’elle, elle cesse le mouvement et son pied va reprendre sa place dans l’escarpin. La coquine referme même deux boutons du chemisier et se lève. Je suis du regard sa démarche féline et son popotin moulé dans un pantalon immaculé. Aucune trace suspecte ne vient révéler le port de lingerie. Cette unique pensée fait affluer quelques millilitres supplémentaires de sang dans mon corps caverneux.


Tiens, madame bifurque vers les escaliers menant au premier étage…


Je décide de me lever pour savoir où elle a bien pu aller, si elle avait voulu aider, elle se serait dirigée vers la cuisine, pour aller aux toilettes c’est aussi au rez-de-chaussée, quoi qu’il y en ait aussi au premier.

Heureusement que la pièce n’est pas très éclairée et que personne ne voit l’abominable tache qui souille mon pantalon. Personne ? Vraiment ? Eh si ! Ma femme m’en fait la réflexion :



S’ensuit une discussion effrénée avec ses cousines sur un sujet inépuisable : les défauts masculins. Je pars avant d’être pris à partie, trop content d’avoir une excuse et la bénédiction de ma femme pour m’éclipser dans le lieu où se trouve ma passion inavouable.

Pas de bruit à l’étage, car les plus jeunes des mômes sont déjà dans les bras de Morphée. Je trouve la salle de bain, j’essaie d’ouvrir, mais sans succès, le verrou est mis. Je patiente en espérant que la personne présente soit Huguette. Et j’ai encore de la chance, c’est elle qui ouvre la porte.



Elle me laisse le soin de refermer celle-ci. Je me retourne, après avoir refermé le verrou, et je me retrouve face à belle-maman sans pantalon et accroupie au-dessus du bidet. Tout sourire elle urine, comme elle le fait régulièrement, la seule différence aujourd’hui, c’est l’état de son mont de Vénus. En effet, il n’y a plus qu’un minuscule triangle brun qui recouvre sa peau, vestige de la forêt tropicale que j’avais l’habitude de visiter.


Quelle surprise me fait ma très chère maîtresse, je vais avoir le plaisir de toucher mon premier sexe imberbe ! Mon sourire, sûrement niais, trahit l’envie de caresser ce magnifique cadeau. C’est Noël avant l’heure !

Pas besoin de parole, après que les dernières gouttes disparaissent sur la faïence je m’agenouille pour goûter au sexe glabre. Il est déjà inondé, ma langue se délecte de la douceur de la peau puis je mange à pleine bouche comme un affamé. Elle jouit rapidement, en étouffant les longs gémissements dans ses mains. Elle me repousse presque violemment pour remettre son pantalon :



Je me retrouve en caleçon avec Huguette qui frotte le tissu avec un peu de savon de Marseille. Une belle érection vient déformer le devant du boxer, elle s’en aperçoit et m’interdit de l’approcher.



Je vais m’asseoir sur le bidet pour ne pas être vu dans cet état très gênant. Belle-maman se moque de mon infortune et sourit à pleines dents, elle est de dos mais je peux la voir dans le miroir du lavabo. Ses yeux pétillent de malice pendant qu’elle lave du mieux qu’elle peut mes épanchements. Lorsqu’elle a terminé, elle me jette le vêtement et s’éclipse non sans m’avoir lancé un petit clin d’œil.


Ce fut tout pour la soirée, mais je peux vous avouer que, quelques minutes après mon retour à table, j’ai réellement renversé un verre de Côtes-du-Rhône sur mon pantalon. Mais c’est ma femme qui s’occupa du nettoyage et l’ambiance était plutôt électrique. Heureusement que de retour à la maison, Marine était moins énervée : nous avons fait l’amour jusqu’au matin…



oooOOOooo



Jusqu’au réveillon du Nouvel An, notre relation fut platonique, nos échanges de courriels ou téléphoniques restèrent très sages. Durant les premières semaines de l’année 2008, nous nous vîmes à de nombreuses reprises. Les câlins coquins revinrent plus fréquemment.

Il faut dire que nous sommes devenus les rois de la dissimulation, du mensonge. Le tout pour une très bonne cause : assouvir nos envies.


En parlant de bonne cause, j’ai trouvé un palliatif pour nous voir encore plus souvent. Je me suis engagé dans l’association dont fait partie belle-maman et qui vient en aide aux personnes défavorisées. Au minimum une réunion par semaine, sans compter les actions de terrain. Bien entendu, certaines sont absolument fictives…


Cette connivence fait des jalousies, la famille pense que je fais ceci pour toucher l’héritage, les gens sont vénaux parfois. Mes amis trouvent bizarre mon comportement mais aucun ne m’en tient rigueur, ils se moquent même parfois de moi. Cela les amuse de voir que j’ai deux mères et que je sois bénévole dans une association. Mais ils me connaissent et savent que mes actes sont parfois à l’inverse de se que j’ai dit la semaine d’avant. C’est le problème de parler avant de réfléchir.


Mon épouse est la plus jalouse, elle n’arrête pas de clamer que je suis le fils que sa mère aurait aimé avoir, que Huguette m’aime plus que sa fille (pas faux, mais pas de la même façon). Le comportement de belle-maman à mon égard agace Marine qui, pourtant, fait d’énormes efforts pour que nous soyons bien dans notre couple. En fait, ma femme nous reproche uniquement de bien nous entendre. Depuis une année, elle a du mal à se faire à l’idée que nous ne nous détestons plus.


Début février nous mangeons chez les beaux-parents. En fin de soirée nous sommes tous les quatre autour de la table et le sujet rebondit sur notre entente improbable. Je passe sur les détails de la longue conversation, mais nous ne sommes pas passés loin d’être confondus. Pour nous disculper Huguette a proposé à sa fille de ne plus garder Jules pour ne plus que nous nous voyions. Marine est montée sur ses grands chevaux et a décrété qu’il ne fallait pas être aussi radical ; que c’était juste parce qu’elle avait peur que sa mère ne l’aime plus et lui préfère son gendre.


Eh bien, il en a fallu du temps pour creuser l’abcès ! Pour finir, il a été décidé qu’elles s’accorderaient du temps ensemble. Tout est bien qui finit bien !

De plus, belle-maman profitera de ces instants pour décoincer sa fille. C’est qu’elle en a, de la suite dans les idées…




— 3 -



Les vacances au ski. Une semaine par an dont je ne saurais me passer ! J’ai besoin de ce bol d’air pur pour me ressourcer et me défouler sur les pistes pentues. Malheureusement cette année, j’ai fait une concession et c’est Marine qui a choisi la destination : nous irons passer quinze jours au Sénégal. Je ne suis pas un fan de la chaleur et de la plage, mais il faut bien y mettre un peu du sien et faire plaisir à sa moitié.


Je n’ai rien dit et j’ai accepté la proposition. Quelle ne fut pas ma surprise (très agréable au demeurant) d’apprendre que nous ne serions pas les seuls prévus au voyage. Il y aura en tout, huit adultes dont mes beaux-parents et quatre enfants. J’avoue qu’à l’époque j’ai même feint une abominable moue en apprenant la nouvelle. Marine l’a remarquée et m’a dit que ce serait des vacances « farniente » et que chacun ferait ce qu’il voudrait, sans contraintes familiales. Donc pas d’obligation de faire des activités avec ses cousins et leurs conjoints, ou avec leurs enfants, ou avec papy et mamie.



oooOOOooo



L’avion entame sa descente vers l’aéroport de Dakar, le voyage et ses deux escales se sont bien déroulés dans l’ensemble. Il ne manque plus que récupérer les bagages, remplir les formalités douanières, puis monter dans le bus climatisé : direction Saly, la station balnéaire non loin de Mbour.


Dans l’autocar je me trouve innocemment à côté de belle-maman, elle me susurre des grivoiseries tout au long du trajet qui font monter la pression dans le boxer. Une main vient frotter mon entrecuisse, j’écarte celles-ci pour que les doigts puissent presser la bosse oblongue. Huguette est rayonnante, elle discute avec la famille disséminée sur les fauteuils tout en me masturbant. Je n’ose pas bouger et je feins une sieste, les yeux cachés par les verres noircis de mes lunettes. N’ayant pas envie de tacher mon pantalon j’attrape fermement les doigts agiles pour lui intimer l’ordre d’arrêter. Ce n’est pas dans son idée et lorsqu’elle me jette un paquet de Kleenex qu’elle vient de sortir de son sac à main, je comprends ce qu’il faut faire.


J’ouvre la braguette et, en soulevant discrètement l’élastique du caleçon, j’entoure mon gland avec trois mouchoirs en papier. Je compte sur l’épaisseur pour éviter toute catastrophe. Je n’ai pas le temps de me réajuster, des ongles courent déjà sur le coton qui les sépare de mon sexe.

Je jouis en silence, sans bouger le moindre muscle de mon visage, soi-disant endormi. Le papier éponge les longues giclées chaudes et je resterai poisseux jusqu’à l’arrivée à l’hôtel. Huguette parle, parle, ce jusqu’à ce que le bus stoppe.


L’hôtel est planté au milieu d’autres clubs de vacances au bord d’une longue plage de sable blanc. Tout est regroupé en moins d’un kilomètre. Nous sommes accueillis en musique par des employés au sourire forcé autour d’un verre de bienvenue. Tout est rodé, huilé, mais bon, c’est les vacances et je ne vais pas commencer à râler. Chambres spacieuses, grande piscine à trente mètres de la plage (ça m’a toujours fait rire ça…), des palmiers, des fleurs et plein de vacanciers.


Il nous faut environ deux jours pour nous sentir à l’aise dans ce complexe. Par contre point de rencontre avec des Sénégalais, ici nous sommes dans une zone touristique tout est fait pour que les étrangers n’aient pas de contact avec les gens de la région. Les seules sorties sont celles organisées par les « tour-operators », à moins d’être débrouillard et de demander à quelques employés… Mais là n’est pas le sujet, de toute façon les seuls contacts dont j’ai envie sont ceux avec ma belle Huguette.



oooOOOooo



Jules joue avec d’autres bambins, surveillés par une employée de la garderie de l’hôtel, Marine est allée faire quelques emplettes dans le village de pêcheurs (construit spécialement pour nous, les touristes) avec une cousine et une belle-cousine. Je reste tranquillement allongé à l’ombre d’un immense palmier, non loin de la piscine.



Je n’ouvre même pas les yeux en répondant par l’affirmative. Je me redresse avec délicatesse, chaleur oblige, et lève les paupières sur le délicieux popotin de belle-maman qui se dirige vers les bungalows. Je la suis tel un pervers, sans presser le pas, les yeux rivés sur le corps vêtu d’un sublime maillot de bain deux-pièces jaune et orange.


La porte de la case est ouverte, j’entre sans frapper pour voir belle-maman allongée sur le lit, les bras mais aussi les jambes en croix. Je verrouille, et je m’approche du mont de Vénus, le bombé de celui-ci m’attire comme un aimant, ma bouche se colle contre le tissu déjà humide et lèche avidement. Deux mains tirent ma tignasse et me dirigent vers le ventre, les seins puis la bouche de la si accueillante hôtesse. Nous nous embrassons avec fougue, pendant ce temps les maillots sont rapidement projetés autour du lit.


Je repars à la conquête du pubis, qui a retrouvé ses poils d’origine, et je plonge mon muscle dans le puits bouillonnant. La langue tangue dangereusement sur les deux orifices et le clitoris dressé. Je ne sais où m’attarder tant les gémissements de la belle sont vibrants dès que je touche une de ces zones.


J’ai des poils plein la bouche et de la cyprine plein le visage lorsque je viens l’embrasser, tout en me glissant entre ses grandes lèvres. Je la pénètre profondément dans la position la plus classique, elle se laisse faire, conquise, son sourire en témoigne.


Je remonte mes fesses un peu plus haut pour sortir mon sexe entièrement et je dirige la pointe de celui-ci entre les siennes. Huguette accentue son sourire en remontant ses jambes qui viennent encercler ma taille. Nous poussons simultanément, son œillet m’aspire complètement, je reste quelques secondes profondément ancré sans bouger le moindre muscle puis je commence les mouvements de piston. J’alterne des séries frénétiques et des moments où je la sodomise pleinement, avec puissance.


Elle m’encourage de ses mains qui englobent mes fesses, qui les écartent parfois. Elle ne me pénètre pas, mais ses ongles longs viennent taquiner mes muqueuses sensibles. Elle imprime le mouvement de mon bassin jusqu’à ce que nous jouissions ensemble, je me vide dans son fondement pendant que nos bouches emmêlées étouffent nos cris de jouissance. Nous nous embrassons jusqu’à ce que mon pauvre pénis retrouve sa taille de repos et sorte de lui-même de l’antre accueillant.


Je quitte rapidement ses lèvres pour placer ma bouche à l’orée de l’œil ridé. Certaines personnes seront peut-être choquées par la suite, elles peuvent donc sauter ce court paragraphe. Je n’ai pas réfléchi en faisant cela, juste une pulsion que j’avais envie d’assouvir. L’œillet est encore dilaté et un filet blanchâtre s’en écoule, je le récolte sans en perdre une goutte. Je pousse le vice jusqu’à apposer ma bouche sur la peau brune pour aspirer le reliquat. Huguette apprécie la chose puisque c’est encore en me tirant les cheveux qu’elle demande à goûter.


S’ensuit une longue douche caressante qui a le don de nous exciter au plus haut point. Nous finissons allongés tête-bêche dans la spacieuse douche tandis que l’eau fraîche continue d’asperger nos corps bouillants, en vain. Sa bouche gobe sans distinction mon vit et de temps à autre mes testicules, un doigt s’est déjà invité dans mon fin boyau. Pour ne pas être en reste, je mordille son volumineux clitoris tout en m’immisçant dans ses grottes ouvertes. C’est à celui qui pénètrera l’autre, ses doigts emplissent ma cavité, pour mon cas j’ai une main qui fouille chaque orifice. Il n’y a pas de pénétrations extrêmes, nous ne sommes pas vraiment fans, mais nous sommes tous deux bien dilatés.


J’apprécie particulièrement d’être ainsi traité, j’arrête totalement mes caresses pour me positionner en levrette, cul offert à ma belle. Encore une envie qui ne pouvait être refoulée. Les doigts s’enfilent sans résistance dans mon boyau pendant qu’elle me masturbe frénétiquement. J’entends même une de ses paroles qui dit qu’elle regrette de ne pas avoir pris ses joujoux. L’idée de sentir un de ses godemichés entre mes fesses m’excite tellement que je jouis entre ses doigts instantanément.


Lorsque je suis bien essoré, elle vient se mettre devant moi pour que je mange sa jungle luisante. Je ne me fais pas prier et plonge avec délectation dans ses chairs. (Par contre, le tableau devait être assez risible, deux adultes à quatre pattes l’un derrière l’autre). La coquine ne met pas cinq minutes avant d’inonder ma face de liquide intime.


Nous finissons comme nous avons commencé, allongés sur le carrelage, la seule différence est que nos visages se font face. Nous restons quelques minutes étendus avant de repartir nous reposer, elle au bord de la piscine et moi sur la plage.



oooOOOooo



Cinq jours après cette escapade, nous avons une autre occasion de nous rencontrer intimement.

Femmes et enfants sont à un après-midi dédié à des jeux organisés. Le cousin et le beau-cousin font un tournoi de pétanque (véridique !) et beau-papa une excursion à Dakar. Sans nous être mis d’accord, nous nous retrouvons seuls après le repas, car tous les autres se sont dépêchés de vaquer à leurs occupations (sauf beau-papa qui était parti tôt le matin).

Comme deux couillons nous nous retrouvons debout au milieu de hall d’accueil. Instinctivement nous nous prenons la main ; que nous relâchons presque aussitôt de peur d’être surpris.


Nous finirons par nous rejoindre dans sa suite pour un après-midi très coquin qui nous fera passer du lit à la douche avec quelques haltes sur le sol. Aucune parcelle de nos corps ne sera laissée au repos, nos mains et nos bouches seront mises à rude épreuve.


C’est flapis, allongés sur des transats au bord de la piscine que nous accueillerons notre famille avant d’aller souper.



oooOOOooo



Le reste du séjour ne sera que repos, à part bien sur quelques surprenantes exhibitions de la part de ma belle-mère adorée.

J’ai affectionné particulièrement la fois où elle est arrivée pour le petit-déjeuner avec une tenue très mimi. Tenue que j’ai appréciée mais qui n’était pas du goût de tout le monde, à commencer par mon épouse qui ne s’est pas gênée pour faire quelques réflexions désobligeantes.


Il faut avouer que Huguette porte un top blanc collant au corps mais qu’elle a omis de mettre sa lingerie. Sa poitrine est uniquement maintenue par le tissu moulant, ses beaux tétons érigés tendent le tissu. J’adore ses gros mamelons légèrement grumeleux, et les voir de bon matin me donne un coup de sang. Je n’entends plus les protestations de Marine, je me concentre sur les belles mamelles, une érection tonitruante emplissant mon short de bain.


Mon regard baisse pour se fixer sur le magnifique ventre plat dont le nombril prend l’air puis sur les hanches. Celles-ci sont recouvertes d’une légère jupe longue taille basse, je ne vois pas ses chaussures mais j’imagine de fins escarpins.



Avant de rajouter, pour son père :



Et se retourner une nouvelle fois vers moi :



Huguette vient nous rejoindre et se place face à sa fille en bombant le torse pour la narguer. Qu’est-ce qu’elle aime les joutes verbales avec sa petite Marine, toujours en train de la chercher ! Je passe sur quelques mots doux pour arriver à la fin de la conversation.



Ses mains soigneusement manucurées soulèvent le fin tissu et découvrent sa poitrine qui ne cesse, bien au contraire, de darder ses fiers tétons.



Même ma femme finira par prendre part à la bonne humeur de la tablée. Toute la journée je materai ma bien-aimée Huguette dans son affriolante tenue. D’autant que la longue jupe n’a eu cesse de s’ouvrir pour laisser voir ses jambes musclées. Quelle bonne idée de fendre le tissu à plusieurs endroits, et ce bien plus haut que mi-cuisses ! En fait, c’est une mini-jupe avec de longs pans qui trainent presque jusqu’au sol.




— 4 -



Les congés sous le soleil africain sont déjà loin, le mois d’avril touche à sa fin. Nous avons repris nos petites habitudes. Il y a juste eu un épisode de deux longues semaines durant lesquelles je n’ai pas pu voir ma tendre maîtresse, car elle était partie voir sa sœur.


Mais en cette veille de la fête du Travail (2 mots qui ne vont pas bien ensemble…), elle est bien là. Nous sommes réunis à la maison pour un repas familial. L’autre a daigné se déplacer et trône sur la terrasse un verre d’anis alcoolisé à la main en regardant son petit-fils faire le pitre sur la balançoire. Marine et sa mère s’occupant du repas. Et moi je ne fais rien, je regarde les fessiers de mesdames pendant qu’elles épluchent les légumes, penchées sur le plan de travail.


Le plus jeune est plus joufflu, celui de belle-maman plus musclé. Deux styles différents, mais en ce jour je m’aperçois que je ne saurais dire celui que je préfère. Le cerveau embrumé par ce choix ô combien crucial, je ne me rends pas compte qu’elles se moquent ouvertement de mon état léthargique ! Lorsque mes synapses se reconnectent, je bafouille difficilement trois mots pour expliquer mon simili coma, mais rien n’y fait ; elles continuent de rire.

Je ne sais pas quelle mouche me pique à cet instant, mais je décide d’avouer la raison de mon regard fixe d’une voix empâtée, comme si je me levais d’une sieste de trois heures :



Marine arrête de rire, outrée, Huguette feint la même chose et me voilà recevant une volée de bois vert de la part des deux femmes. Je reste sérieux même si une envie de rire m’étreint, en effet belle-maman me fait des grimaces imitant sa fille énervée.



Ce qui est marrant, c’est qu’elles continuent leur discussion animée tout en cuisinant, Marine m’a oublié et je peux, de nouveau, contempler à loisir leurs jolis pétards. Cela fait bien trois minutes qu’elles me tournent le dos lorsque ma femme jette un coup d’œil en arrière et dit :



Joignant le geste à la parole, elle défait la fermeture de son pantalon et le laisse glisser en accordéon autour de ses chevilles puis reprend son travail. Elle me scotche sur ce coup-là ma petite femme, jamais je n’aurais pensé la voir réagir ainsi, même aussi énervée.



Et là, dérapage : Huguette fait de même. Sa fille n’a pas remarqué la manœuvre tout de suite et lorsque c’est le cas, son visage se fige, elle est abasourdie par la réaction de sa mère. Je reste enfoncé sur ma chaise et ne pipe mot. Marine parle d’une voix monocorde, sans élever la voix, je n’entends pas tout, mais les reproches vont bon train. Elle va même jusqu’à lui dire :



La catastrophe n’est pas bien loin, et tout ça à cause de moi, de ma fascination à mater les formes de belle-maman. Je n’ose pas m’immiscer dans la conversation de peur de faire une nouvelle bourde et je laisse les deux femmes s’expliquer entre elles (par lâcheté peut-être aussi…). Je m’éclipse de la pièce, mais pas trop loin pour pouvoir les écouter.



Voilà à peu près le résumé de ce qui s’est dit. Huguette a été impériale et m’a sorti d’un beau guêpier. Le reste de la soirée fut très calme et ma femme adorable. Nous avons passé un très bon repas et, avec Huguette, nous n’avons pas joué au chat et à la souris.



oooOOOooo



Le grand week-end qui suivit a été un grand moment de plaisir. Les deux femmes de ma vie sont allées faire les boutiques le samedi pour être seules et continuer leur discussion. Le soir nous avons mangé chez les beaux-parents et j’ai eu droit à un défilé de mode à la fin du repas. Papy et le fiston couchés, Marine a voulu me montrer ses derniers achats.


Et je peux vous dire que la carte bleue a chauffé (même si belle-maman en a payé une partie). Pantalons, jupes, chaussures, chemisiers, elle se pare de tous, même la lingerie ne m’est pas épargnée. Ma femme se pavanant en dessous dans la maison de ses parents, c’est impressionnant ! Son côté pudique a soudain disparu et j’y vois là le travail de la très chère Huguette. La situation est presque irréelle. Ma maîtresse me regarde du coin de l’œil en souriant, fière de ce qu’elle a réalisé.


Il reste quatre ans avant la fin de notre relation charnelle, mais je sens déjà que nous nous éloignons légèrement. C’est le point de départ d’un éloignement progressif, d’un ralentissement de la fréquence de nos entrevues friponnes. Je savais pertinemment qu’il fallait bien un début à la fin, mais je me refusais à y penser. Maintenant je suis devant ce fait : les années qui viennent vont passer très (trop) vite et je ne peux rien faire contre la volonté d’Huguette qui a choisi cette date fatidique.


J’ai un pincement au cœur terrible en y pensant et Marine me demande pourquoi mes yeux sont si vides.



Comment ne pourrait-elle pas me plaire ? Elle porte un ensemble de lingerie fine superbe qui met en valeur sa poitrine ferme et son fessier cambré. La dentelle, de qualité, laisse voir sans détour la totalité de ses trésors, ses tétons érigés et sous le mont de Vénus je remarque que la forêt a été taillée.



Marine vient déposer un tendre baiser sur mes lèvres et me susurre que nous laissions le petit ici et que nous rentrions seuls à la maison. Nous ferons l’amour sur et dans la voiture, sur le canapé et même sur la table du salon cette nuit-là. Le lit ne nous servira que de reposoir.




— 5 -



Le dimanche de la fête des Mères, nous sommes invités à manger chez belle-maman. En cette fin du mois de mai, il y a eu une baisse sensible des températures et Huguette a sorti sa lingerie d’hiver. C’est avec ravissement que j’ai vu ses jambes gainées de nylon lorsque je suis entré.


Jules est parti en trombe farfouiller dans son coffre à jouets, je me suis assis non loin de l’autre pour faire un semblant de conversation. Voyant que rien ne semble l’intéresser, je vais dans la cuisine donner un coup de main. Dès que je rentre, plus aucune conversation. Je gêne. Je m’éclipse et vais m’amuser avec le petit homme.


Quelques instants plus tard, je vois arriver la paire de jambes affriolantes, montées sur échasses et recouvertes d’une courte jupe à grands carreaux. Avant d’aller aux toilettes, elle vient embrasser son petit fils affairé autour d’un garage en plastique. Je suis témoin d’une superbe séance d’étirement, pieds joints, buste penché en avant, je suis presque nez à nez avec le joufflu. Le tanga moulant le renflement de son sexe laisse échapper quelques poils rebelles, la vue est absolument divine, mais malheureusement trop brève. Huguette a vraiment le don de m’exciter en toute situation.


J’ai l’étrange sensation que cette journée sera mémorable. Cela m’est confirmé dans la minute par belle-maman urinant dans les toilettes de la salle d’eau en omettant de fermer la porte. Le sourire radieux et les yeux pétillants sont une invitation plus qu’appuyée à batifoler. Debout, elle s’essuie longuement en plantant ses pupilles vertes dans ma direction sans ciller. La remontée de l’article de lingerie et la descente de la jupe se font aussi au ralenti. Le lavage des mains sera la dernière occasion de voir la frontière peau-bas nylon de belle-maman. Avant le repas…


Je suis assis face à Huguette, ma femme à gauche et l’autre à droite. Comme la table est rectangulaire et que je suis assis face à un grand côté, je me retrouve plus près d’Huguette que de ma femme. Cette configuration n’est pas due au hasard, d’habitude le petit garçon est assis à côté de sa grand-mère et est donc encadré par les deux femmes de la famille. Mais Jules n’est pas là, il a déjà mangé, enfin il s’est gavé de biscuits salés, et a fini par demander à aller dormir. Quelle marmotte celui-là ! Le digne fils de sa maman.


Nous nous retrouvons donc entre « grands », Huguette est pleine d’entrain, joyeuse elle se lève et va chercher les plats. Elle débarrasse sans que nous soyons autorisés à l’aider (pas très normal pour la fête des Mères, mais personne ne veut la contrarier). L’ambiance est très détendue, je n’ai jamais vu beau-papa rire autant, ce ne sont pas des grands fous rires, mais c’est très agréable.


La splendide grand-mère a changé de tenue, car durant la préparation du repas, elle s’est renversé du jus de cuisson des succulents encornets farcis. Elle est parée d’une robe courte dans les tons chocolat avec de larges bretelles et boutonnée sur tout le devant. C’est une de ces robes à la mode, coupe droite et en laine tricotée, qui épouse parfaitement ses courbes.


Lorsqu’elle est assise, ses pieds viennent caresser mes mollets tandis que mes yeux plongent entre les pans de la robe pour mater la lingerie crème. Je ne vois pas vraiment grand-chose mais j’adore jouer à essayer d’en voir le plus possible. J’ai même osé faire tomber un couvert pour voir sous sa jupe sous la table. Avec bienveillance Huguette a ouvert ses jambes pour que je puisse reluquer une nouvelle fois la dentelle de son tanga.


C’est avec une jolie érection que je poursuis le délicieux repas tout en papotant avec les autres convives. Ma femme est calme et bon public aujourd’hui, sûrement l’effet anesthésiant du Gigondas, beau-papa est affalé sur sa chaise et, contrairement à l’habitude, presque souriant.


Le dessert arrive, ma très chère maîtresse décide de dresser les petites coupelles sur la table du salon car elle n’a pas envie de débarrasser la table. Je me retrouve côte à côte avec ma femme qui, un peu pompette, se laisse quelque peu glisser sur le large accoudoir. Beau-papa se cale dans son fauteuil fétiche, l’œil luisant à la vue de la bouteille d’Armagnac que belle-maman pose à côté de la bouteille de champagne. Trois coupes sont servies avec application, j’ai pu lorgner sans vergogne les trésors offerts, et le digestif trouve rapidement son propriétaire.


Après avoir servi sa fille et son mari du gâteau aux fruits rouges, belle-maman retourne en cuisine chercher les assiettes suivantes. À son retour, je m’aperçois qu’elle a négligemment défait un bouton au niveau du corsage et pas moins de deux au niveau le plus bas. Lorsqu’elle se fléchit pour poser les desserts sur la table basse, rien ne m’est épargné : une vue imprenable sur l’entrecuisse et le bâillement du tissu au niveau de sa poitrine ne me cache rien de son soutien-gorge. Je ne suis pas le seul à avoir remarqué. Il faudrait qu’elle soit endormie pour ne pas voir et Marine s’exprime d’une voix empâtée et nonchalante, après avoir bu la dernière gorgée de sa flûte de champagne.



Et hop ! la coupe descend en deux gorgées au fond du gosier de Marine dont les pommettes écarlates témoignent de son ébriété. Elle n’est pas saoule à se rouler par terre mais elle a suffisamment ingurgité d’alcool pour avoir le cerveau partiellement anesthésié.



Marine devient encore plus rouge qu’elle ne l’était déjà, se redresse en joignant ses jambes et en tirant sur sa jupe. Les mains à plat sur ses cuisses comme une enfant prise sur le fait, elle attend la sanction de sa maman. Huguette se met à rire du grotesque de la scène et à la fin, elles s’accordent pour ne plus se lancer de piques au sujet de leur tenue vestimentaire.


Ces quelques minutes de palabres ont rendu les idées claires à ma femme, mais elle s’accorde une nouvelle coupe pour se remettre de ses émotions. La première gorgée suffit à la replonger dans la torpeur et ses fesses glissent sur le cuir. C’est avec amusement qu’Huguette me fait des signes du menton en direction de ma voisine.


Je regarde les jambes de ma moitié pour remarquer que pendant qu’elle nous parle sa jupe est remontée plus que de raison. Elle a adopté une position très relax, ses chevilles sont croisées et ses genoux se sont placés automatiquement à l’extérieur. Le tissu a donc dépassé la frontière des bas et je m’aperçois qu’ils sont maintenus par de fines attaches noires. C’est la première fois que je vois ma femme avec ce type de lingerie, immédiatement je me sens à l’étroit dans mon caleçon qui pourtant était déjà bien tendu.


Les femmes papotent sérieusement pendant que mon regard passe d’un entrecuisse à un autre. L’autre est parti se coucher au bout de sa demi-douzaine de digestifs et je me trouve être l’unique spectateur. Il n’y a qu’Huguette qui soit consciente de l’incongruité de cette exhibition et cela la rend très coquine, un regard vers ses yeux luisants suffit pour le comprendre.


Par contre, je suis très perplexe, absolument excité par ces visions enchanteresses. Je suis tour à tour attiré par ces deux femmes sublimes que j’aime. J’arrive même à imaginer les caresser ensemble, les sentiments qui me submergent sont très troublants. Je désire les voir s’embrasser, se découvrir. Je rêve à leurs baisers communs, aux cajoleries que je pourrais leur prodiguer. Mes sens sont chamboulés, les visions réelles se superposent à mes songes les plus pervers. J’ai même l’impression que cela va se réaliser, qu’elles vont s’unir pour mon plaisir. Je suis tellement imbibé de mes pensées cochonnes que ma main frotte mon pantalon dans la région de l’entrejambe, un réflexe qui n’échappe pas à belle-maman.


Pour m’éviter les foudres de ma femme, elle se lève en proposant quelques douceurs sucrées de sa voix enjouée. Voilà le songe qui se termine brutalement ! Si ma main était restée tranquille, j’aurais pu rêver éveillé encore de longues minutes. Même Marine s’est redressée sur le dossier, mais sans faire attention à sa jupe qui est restée dans la même position. Les pétillantes bulles continuent leur effet.


Huguette revient de la cuisine avec quelques macarons disposés artistiquement sur un plateau africain et nous les propose avant de les poser sur la table basse. Marine s’est à nouveau laissé glisser, mord mollement dans une pâtisserie et tient négligemment le verre en cristal d’une main tout en discutant mollement.


Je les laisse discuter et me dirige vers les toilettes pour satisfaire une envie de plus en plus pressante. Je déboutonne le pantalon, baisse le caleçon et essaie de trouver une position pour uriner. Debout c’est impossible, assis ce n’est pas mieux, de toute façon même si je trouvais l’angle idéal, uriner en érection est une mission impossible. Cela fait au moins cinq minutes que j’essaie de me faire ramollir en pensant à autre chose, mais c’est peine perdue, mes pensées sont uniquement tournées vers la mère et sa fille.


Puis un frottement sur la porte m’attire, je reconnais le bruit d’ongles grattouillant le bois. Le susurrement de quelques « Francis » suffit à me prouver qu’il s’agit de ma maîtresse, et sans réfléchir j’ouvre.



Ni une ni deux, madame s’agenouille et me prend en bouche. Je suis calé contre la cloison, Huguette se contorsionne pour pouvoir m’avaler, ce n’est pas évident dans l’exigüité de la pièce mais elle y parvient divinement.

Je regarde disparaître entièrement et réapparaitre mon sexe durci entre les joues de ma sublime amante. C’est en tenant fermement sa tête que je m’épanche en elle alors que son nez est appuyé sur mon pubis. Je reste contre sa langue jusqu’à ce que je reprenne une taille de repos.

Après une toilette appliquée, ma tendre Huguette me fait uriner comme un petit garçon. Elle tient délicatement mon pénis entre ses doigts vernis et finit par quelques va-et-vient en pressant légèrement pour faire sortir les dernières gouttes. Elle parachève l’action jusqu’à remonter mes dessous et fermer mon pantalon. Un long baiser parfumé et elle sort de l’antre aussi vite qu’elle était entrée, me laissant pantois quelques secondes.


Lorsque je retourne dans le salon, ma femme dort avachie sur le sofa en cuir, sa jupe toujours relevée outrageusement. Je me décide à tout rajuster délicatement, mais je finis quand même par la réveiller. Elle murmure quelques remerciements et se lève en me prenant par la main, direction la salle de bain. Et là, vous me croirez ou pas, mais la coquine s’agenouille et me gratifie à son tour d’une fellation.


Pour faire un bon mot, on serait tenté de dire « telle mère, telle fille », mais je répondrais par la négative. En effet, les techniques utilisées sont totalement différentes. Mon épouse est plus douce, plus tendre, elle joue de ses lèvres, de la pointe de la langue, et de douces caresses sur les testicules qui viennent s’ajouter de temps à autre. Ce jour-là il ne me faut pas plus de deux minutes pour durcir à nouveau, d’autant que c’est avec application qu’elle me lèche en me regardant dans les yeux.

Je ne sais pas pourquoi elle a cet air de défi dans le regard, comme si elle essayait de se prouver, de me prouver quelque chose. Son ardeur à me donner du plaisir, ses yeux inquisiteurs, le lieu et le moment de notre incartade me fait penser que ma chère épouse recherche la vérité. J’ai tout mon temps pour me poser ces questions, je ne suis pas encore près de jouir. Je suis toujours beaucoup plus long après un orgasme.


Elle soutient son regard tout au long de la caresse buccale, à plusieurs reprises je braque mes yeux ailleurs, comme si j’avais quelque chose à cacher. Voilà que je rentre dans son jeu, il faut que je me concentre sur l’instant présent, ce que je réussis à faire. Je regarde la langue entourer mon gland luisant de salive, je sens avec bonheur les petites incisives blanches venir rayer ma peau écarlate, j’apprécie les ongles courant sur mes bourses. Mes paumes viennent se poser sur son occiput, puis glissent sur sa nuque et caressent la peau fine.


Je lui susurre que je suis près de l’orgasme et, contre toute attente, au lieu de se positionner de côté et de me masturber, Marine reste bouche ouverte, langue dehors pour recueillir ma semence. Je ne puis me retenir plus longtemps, les giclées translucides viennent maculer son muscle lingual et ses joues. Elle a réalisé cette prouesse, qu’elle a toujours refusée jusqu’à maintenant, en me regardant droit dans les yeux, sans sourciller.


Pour la remercier de cette attention, je m’agenouille en silence face à elle pour la serrer dans mes bras et l’embrasser fougueusement. Cet épisode sans paroles se finira par mon départ de la salle de bain pendant que madame se refait une beauté. Je retourne au salon, Huguette a nettoyé les tables et s’active en cuisine, je m’assois dans le canapé la tête vidée mais pleine à la fois.


Ma femme revient, passe devant moi en me lançant le sourire le plus coquin dont elle ne m’ait jamais gratifié et va rejoindre sa maman.


Pour une fête des Mères, c’est papa qui a été gâté !




— 6 -



Après cet épisode, Marine n’a plus fait de réflexion sur les tenues de sa chère maman. Elle a même adopté le même genre de vêtements et c’est avec bonheur que j’ai vu ma femme passer d’un look passe-partout à celui, plus plaisant, d’une femme épanouie et juste ce qu’il faut de sexy.


Cela a affecté très sensiblement notre vie sexuelle, mais bizarrement a augmenté aussi mon envie de belle-maman. Plus il y en a, plus j’en redemande, comme un enfant à qui on donne un bout de gâteau et qui s’empresse de finir le plat. Durant les mois d’été il a été difficile de rencontrer belle-maman autant que je l’aurais voulu. Déjà durant trois semaines, les beaux-parents sont partis faire une balade sur le canal du midi avec des amis, puis après, c’est nous qui sommes partis visiter la Bretagne. Elle a été le démon de mes songes, et il m’est arrivé à plusieurs reprises de me réveiller en plein acte amoureux. Pensant faire l’amour à Huguette, je me retrouvais dans les bras de sa fille, heureusement que je ne parle pas en dormant sinon cela aurait été une catastrophe. Marine fut ravie de ce feu d’artifice estival.


Le grand jour est là, la rentrée des classes, je vais voir ma belle-mère adorée matin et soir du lundi au vendredi. Le premier jour, ma femme et moi emmenons Jules voir sa nouvelle maîtresse et c’est avec fébrilité que j’attends le moment d’aller chercher mon fils chez sa grand-mère.


Durant toute la journée il pleut à verse, et lorsque j’arrive à dix-sept heures trente, Huguette m’ouvre, irradiant mes yeux avec son sourire et sa tenue. Le rayon de Soleil tant attendu durant cette longue journée est enfin devant moi. Ses yeux verts me transpercent, je me penche pour l’embrasser chastement, mais nos lèvres se frôlent tout de même en passant d’une joue à l’autre. J’entends les cris de la petite terreur venant du fond de la maison et me rappelant que toute incartade est proscrite.


Belle-maman me reçoit en grande pompe, des petits gâteaux sont disposés sur une assiette au milieu de la table basse et elle me propose une boisson chaude. Quelques crêpes sont aussi au menu, mais elles sont beaucoup moins nombreuses que prévu, car un petit garçon affamé est passé par là. Elle a changé sa coiffure et je la félicite d’avoir choisi une coupe courte et moderne qui la rajeunit vraiment. Pour ce qui est de son corps, toujours aucun souci, il est parfait, harmonieusement servi par des vêtements de goût.


Le service n’est qu’un prétexte pour que je puisse admirer la nouvelle lingerie. Décolleté avenant, robe moulante et fendue bien au-dessus de la moyenne, talons vertigineux, sourire avenant, mains manucurées… Maquillée juste comme il faut, Huguette est à croquer sans être vulgaire. Certes, elle est trop sexy pour aller à la messe, mais la tenue serait idéale pour une soirée habillée. Je lui en fais la réflexion et elle me répond du tac au tac que je n’ai qu’à l’inviter à sortir, qu’elle est prête.


Mon cerveau bouillonne instantanément après que je lui ai dit sans réfléchir que je passerai la chercher à vingt heures. Je n’ai plus que deux heures pour trouver où l’emmener et surtout élaborer un mensonge, pardon une excuse, pour pouvoir sortir de la maison familiale.


Plus question de lambiner, j’habille Jules et je fonce à la maison les pensées en ébullition. Ça y est, j’ai trouvé le lieu ! Arrivé au domicile, je mets le petit au bain et, une oreille attentive aux bruits venant de la salle de bain, je téléphone pour réserver. C’est en tournant et virant pour trouver une solution que je me dis que le moment serait propice à un alcool fort pour me déstresser. Un verre de vodka à la main, je fais des allers et retours dans le couloir pour ne pas être trop loin de Jules qui barbote.


La solution est dans ma main droite ! Je bois les deux gorgées d’un trait et j’ouvre vite un sachet de cacahuètes que je mange goulûment, j’avale même une gorgée de muscat à même la bouteille. Lorsque j’estime que mon haleine n’est plus très fraîche, j’arrête de me gaver de biscuits-apéritifs et je vais m’occuper de mon fils.


Marine arrive à la maison vers dix-huit heures quarante et elle me trouve avachi sur le canapé à regarder du sport à la télévision. Elle sent tout de suite que je ne suis pas dans mon état normal. Bon, j’en rajoute un peu, c’est vrai ! Elle se penche pour me faire la bise et se retire avant de déposer ses lèvres sur les miennes :



Je passe sur l’engueulade qui a pour sujet la conduire en état d’ébriété avec, en plus, la responsabilité de notre fils ! Je fais le mort quelques minutes pour laisser passer l’orage avant de rajouter :



Je l’écoute prudemment pour ne pas la froisser et me félicite intérieurement de mon ignoble mensonge. Surtout que je sais qu’elle ne téléphonera pas à Marc. Elle est coutumière de nos soirées improvisées et connait le menu : bières ou vodka, biscuits salés et poker pour lier le tout.


Marine me fait même changer de chemise sous prétexte « que je sens la vinasse » ; il faut dire que j’avais poussé le vice jusqu’à faire tomber quelques gouttes de muscat sur le vêtement. Dix-neuf heures quarante-cinq : je suis autorisé à sortir, après bien sûr m’être copieusement lavé les dents pour ne pas que « ça renifle » si je me fais arrêter par les képis bleus.


Je roule le plus vite que je peux sur la chaussée détrempée pour ne pas faire attendre ma belle qui, j’en suis certain, ne manquerait pas une aussi belle occasion de me charrier. Après un petit travers, pas très bien maîtrisé, dans le dernier rond-point, je stoppe devant sa porte avec deux minutes d’avance. Heureusement qu’elle a laissé le portail ouvert, sinon j’aurais été en retard.



Elle ne garde pas son manteau pour s’asseoir et, tel un majordome, je pose celui-ci délicatement sur la banquette arrière. Je démarre et la conduis prudemment sous les seaux d’eau qui tombent du ciel. Je ne révèlerai pas notre destination jusqu’à ce que je me gare le long du Rhône en Avignon. Il pleut moins et j’en profite pour l’escorter jusqu’à la péniche-restaurant sans me tremper.


Nous sommes pris en charge par un monsieur charmant qui nous installe de part et d’autre d’une petite table. Entourés de verrières, nous avons une vue imprenable sur les remparts, le pont Bénezet, la cité des Papes et de l’autre côté l’île de la Barthelasse. Dommage que le temps ne soit pas de la partie et puis ce récit n’est pas une brochure touristique, donc revenons-en à ma très chère.


Devant un délicieux apéritif, nous devisons tandis que mon regard est continuellement scotché sur son décolleté, ce qui amuse follement Huguette. Le serveur se rince l’œil régulièrement mais sobrement, donc cela ne gêne pas ma compagne qui a même tendance à se redresser lorsqu’il arrive pour qu’il puisse l’admirer sans effort.

Je ne cesse de la flatter, ce soir je la trouve particulièrement rayonnante, elle me semble encore plus belle qu’au début de l’été. Je suis subjugué, je bois ses paroles en me noyant entre ses seins. Le repas et la balade sur le Rhône sont appréciés par Huguette qui m’avoue être agréablement surprise par cette invitation au pied levé. Sincèrement, elle ne pensait pas que je puisse me libérer et organiser un souper comme celui-là.


Entre le plat de résistance et le dessert, ma douce maîtresse se lève pour aller aux toilettes. Sa robe fourreau noire fait sensation sur les convives masculins, toutes les tables ne sont pas complètes mais beaucoup de regards se sont tournés vers la superbe créature. Le retour se passe de la même manière, c’est avec joie et stupéfaction que je ne distingue plus la dentelle de sa lingerie au niveau de la poitrine. La coquine est uniquement couverte par la robe noire, celle-ci est taillée de telle manière que sa poitrine pigeonne encore fièrement.


Un sourire coquin illumine son visage pendant que le serveur pose lentement le dessert sur la table, les yeux rivés sur les pomelos. Puis Huguette mange la mousse aux fruits rouges, son regard émeraude planté dans le mien. Ses yeux baissent imperceptiblement, je les suis et je suis accroché par la peau hâlée de ses seins, je plonge…



Dévoué n’est pas le mot pour le qualifier, je dirais plutôt très intéressé. Pendant que je tape le code sur la télécommande de la carte bancaire, il pose des questions à Huguette pour savoir si elle est satisfaite du service, elle répond aimablement jusqu’à ce qu’elle rajoute alors qu’il est en train de s’éloigner :



Je regarde sous la table et vois la serviette posée sur ses pieds joints. Je me redresse pour reculer ma chaise, et plonge sous la table le plus élégamment possible afin d’atteindre le carré de tissu. Tiens, la disposition a changé, les jambes ne sont plus serrées, je peux distinguer son triangle pubien ainsi que ses lèvres charnues et luisantes. Je tâtonne pour trouver l’étoffe et avec regret je reprends position.



Sur le coup, je ne sais plus quoi faire, la péniche fait les manœuvres d’appontement, il ne me reste plus trop de temps pour réfléchir. Je fais tomber par inadvertance mon portefeuille, celui-ci glisse le long de ma jambe et par hasard mon pied le dirige vers les jambes de ma voisine. Je me baisse pour voir avec un plaisir immense les jambes musclées largement ouvertes. Comme la robe est fendue des deux côtés, Madame a pris la très bonne initiative de ramener le pan de devant sur son ventre. Son sexe est bien visible et l’index qui glisse entre les lèvres luisantes rajoute une tension supplémentaire dans mon boxer déjà trop étroit. Je ramasse le rectangle de cuir et me redresse le visage écarlate.



J’entrouvre pour laper timidement la pulpe et laisser mes papilles faire exploser les arômes intimes dans ma bouche. Je ne peux dire si cette sensuelle succion a duré longtemps ou pas, je ne peux pas dire non plus si des convives nous ont remarqués. Je suis juste certain d’une chose, c’est qu’une petite voix me disait de rester calme et de ne pas la prendre dans mes bras sauvagement. Une partie de mon cerveau devait avoir conscience du lieu où nous nous trouvions.


Durant cet entracte, j’étais sur un nuage…


Les yeux dans le vague, je songe ; Huguette d’un ton suave et grave me demande quelle est la suite du programme. La péniche a accosté et je ne m’en suis pas rendu compte, je reprends mes esprits rapidement et me lève pour tirer sa chaise en arrière. Je la devance au porte-manteau pour lui passer la veste sur les épaules et nous sortons sur la passerelle. Quelle agréable surprise de ne pas être accueilli par la pluie ! Le temps est redevenu clément.


Pas de promenade, nous montons dans la voiture direction le point de départ, la maison de belle-maman. La coquine s’est assise les fesses directement sur le siège, ce qui a pour conséquence une vue imprenable sur ses jambes musclées. Le tissu autour de la taille la gêne au bout de trois minutes de route et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, l’étoffe s’envole vers la banquette arrière.


Ma passagère remet sa ceinture de sécurité en prenant bien soin de faire passer la sangle entre ses seins pour ne pas les écraser. Le petit ventre rebondi ne cache pas sa belle toison. Les Dim up et les escarpins à talon sont les seuls vestiges de sa tenue. Elle est radieuse et me parle comme si de rien n’était, son exhibition dans le restaurant et son actuelle nudité sont du passé, Huguette ne m’asticote plus.

C’est tout seul que je me fais des films, la sentant nue à mes cotés, à cause de la nuit je ne la distingue pas complètement, car seules les lumières du tableau de bord nous éclairent. Je profite des phares des voitures croisées pour me rincer l’œil, mais c’est à double tranchant, ils m’éblouissent et il faut chaque fois un temps de latence pour m’habituer à l’obscurité.


La pose assise n’est pas à son avantage, mais je ne me lasse pas de regarder sa poitrine bouger au rythme de la route. Certes, elle n’est plus très ferme, mais les tétons érigés témoignent de l’excitation de la belle-mère. Son ventre parait plus gros que d’habitude, mais assis qui n’a pas de ventre ? Ses cuisses sont saillantes, je vois les muscles se tendre, madame doit appuyer les talons sur le sol pour garder les jambes dans cette position. Position où, lorsque les conditions le permettent, je peux reluquer son intimité luisante.


Puis, à quelques kilomètres de sa demeure, Madame commence à me tarabuster avec des paroles très coquines. Toujours sans me toucher, elle me parle de ses envies les plus secrètes. Elle m’avoue de but en blanc qu’elle aime sentir les hommes la mater et que c’est pour cette raison qu’elle a retiré ses sous-vêtements au restaurant. Puis elle me soumet un autre fantasme : être épiée en train de faire l’amour. Puis, dans la foulée, elle devient intarissable et me déballe tout ce qu’elle enfouissait comme pensées inavouables. Je coupe le moteur après m’être arrêté dans sa cour et j’écoute ma belle se mettre à nu.


Je ne suis pas choqué mais plutôt surpris par certaines de ses attentes par exemple s’uriner dessus ou se masturber avec des outils (un peu plus tard dans la conversation elle m’avouera s’être branlée avec le manche d’une massette). Pas mal d’idées tournent autour de l’exhibition, elle me parlera même « d’essayer ça avec une autre femme ».

La pluralité masculine l’interpelle, mais elle a une certaine appréhension car elle a peur de ne plus rien maîtriser et d’être prise au piège. Je ne dis pas grand-chose sur la multitude de scènes qu’elle me décrit. Je ne désapprouve rien, je suis juste stupéfait par ma très chère Huguette. Jamais je n’ai osé avouer ce genre de chose à quelqu’un, je trouve qu’elle a du cran et je l’admire encore plus.


Elle me dévoile son intimité la plus cachée, sans tabou et sans bafouiller. Lorsqu’elle termine, il commence à faire froid dans l’habitacle. Je lui propose de se rhabiller et d’aller dans sa demeure. Elle n’accepte qu’en partie.


Uniquement chaussée de ses bas et escarpins, elle traverse les quelques mètres qui nous séparent de la porte d’entrée. À l’intérieur il fait chaud, l’adorable grand-mère sert un digestif dans de grands verres stylisés et s’assoit sur un fauteuil pour poursuivre la discussion. Je suis face à elle, qui s’écarte pour montrer son fruit mûr, ses mamelons sont encore durcis par le froid. Les yeux verts braqués sur moi, elle me demande ce que je pense de ses dires et bien entendu, si moi aussi j’ai des secrets sur le même sujet.


Dans la pénombre de la voiture elle s’est livrée, mais maintenant c’est mon tour et la lumière crue de l’halogène me dérange. Je me lève pour éteindre et éclairer deux petites lampes. J’ai moins peur, moins honte, à mon tour je peux dévoiler les pans de mes fantasmes enfouis. Je confesse tout, de mes envies de trio aussi bien avec deux femmes (pas très original, je sais) qu’avec un couple dont l’homme serait bisexuel, de partouze, d’exhibition, d’homosexualité, de soumission, etc. Je n’oublie rien, je parle et cela me fait le plus grand bien, je sais qu’elle ne me jugera pas.

Nous avons une telle complicité que rien ne nous arrête. Je vais jusqu’à lui avouer que j’ai fantasmé sur elle et sa fille s’occupant d’elle et de moi quelques jours auparavant. Elle ne me désapprouve pas, elle me dit juste :



Sans me faire prier, je marche à quatre pattes pour recueillir le nectar sur la corolle trempée, inondée serait le terme exact. Mon visage se retrouve instantanément imprégné de ses effluves intimes et c’est avec bonheur que ma langue et ma bouche parcourent ses douces régions.

Les gémissements de belle-maman m’encouragent à cette plaisante besogne, je la fouille sans tabous, la lèche sans omettre la moindre parcelle de chair. Je suis aux anges, les sons inarticulés d’Huguette suffisent à mon plaisir, je n’ai pas envie que l’on me touche et je soude mes lèvres sur les siennes pour pénétrer plus en avant le conduit lubrifié.

La langue me fait presque mal, j’essaie de masser en profondeur en tendant celle-ci au maximum. Elle jouit une première fois, en déversant quelques millilitres de liqueur sur mes papilles.


Je ne l’autorise pas à bouger en maintenant ses cuisses contre le fauteuil à l’aide de mes mains. Je replonge vers l’entrejambe et continue mes massages buccaux. Un petit tour sur l’anneau brun, Huguette me demande à demi-mot de m’y attarder, je m’exécute. J’aime la sentir à ma merci, j’aime jouer avec elle, la faire languir quand je sens le point de non-retour ou alors la faire jouir lorsque j’en ai envie. Elle adore être caressée après un orgasme, même si sa peau devient hyper sensible. De petits tressautements la parcourent durant ces moments-là.


Je ne cesse pas de tarabuster ses sens, ma mâchoire s’ankylose suivant les positions prises et je change fréquemment pour ne pas la laisser sur la touche pour un problème technique. Les mots, dont certains sont très précis voire très crus, qui sonnent à mes oreilles sont autant d’encouragements à poursuivre. Son dernier orgasme, Madame en subit les assauts durant l’opération mordillage de son gros clitoris.


Elle en reste pantelante, vidée de toute force, je me lève pour la contempler. Le sourire figé, les yeux pétillants, les joues rouges, quelques gouttes de sueur perlent sur son front, elle est superbe après l’amour. Je ne me lasse pas de la contempler, je ne viens contre elle que lorsqu’elle m’en fait la demande d’un imperceptible signe de la main. Je me love sur elle pour un long câlin. Quelques baisers chastes, aucune caresse, tout en tendresse, ce moment de calme nous fait énormément de bien.


C’est d’autant plus difficile de quitter ce nid douillet, je n’ai pas envie de partir mais il le faut. Je reprends le chemin inverse, la pluie a repris, c’est sans conviction que je regagne le cocon familial. Avant de quitter la demeure de belle-maman, je me suis lavé le visage et j’ai fini le verre de digestif pour effacer les effluves parasites qui ne manqueraient pas de faire passer mon mariage pour un vieux souvenir.


Je me glisse dans le lit à moitié habillé comme je le fais lorsque j’ai un coup dans le nez. Marine râle, car bien entendu je n’ai pas ouvert le lit avec toute la délicatesse requise et je l’ai largement découverte. Une petite réflexion sur les odeurs d’alcool et elle se retourne prestement ce qui signifie en clair : laisse-moi dormir !



oooOOOooo



L’été arrive, les tenues se font plus légères, en juillet nous partons, Marine, Jules et moi, une semaine à la Grande-Motte et deux semaines dans un gîte perdu dans la superbe Lozère. Donc pas de contact physique avec ma maîtresse, le mois d’août n’est pas très propice aux rencontres, car Jules va au centre aéré, les horaires sont plus appropriés avec les miens donc pas de garde par la grand-mère.


Satanés congés ! Vivement la rentrée !









Chers lectrices et lecteurs, ce texte se finit peut-être en vous laissant sur un sentiment d’inachevé, mais je ne peux faire autrement. Cette histoire n’a pas de fin puisqu’elle se poursuit à l’heure où j’écris ses lignes. Huguette n’est pas (encore) au courant que je couche notre relation sur le papier. Je n’écris pas régulièrement, mais lorsque certains événements significatifs surviennent ou lorsque j’en ressens le besoin.

Je n’écris plus de textes de fiction, car je n’arrive pas à me concentrer suffisamment, mes pensées sont tournées vers Huguette, mais je ne désespère dans quelque temps d’écrire quelques nouvelles érotiques.



À bientôt pour la suite de ma merveilleuse liaison adultère.