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28/07/09
Résumé:  J'emmène Azura et Pandore acheter quelques vêtements dans un supermarché ; puis nous nous rendons dans un magasin de lingerie. Mais les gens nous accueillent avec méfiance...
Critères:  fh ff grosseins magasin essayage intermast fellation humour -humour -fantastiq -magasin
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Quel génie !

Chapitre 04 / 11
Essayages en tous genres

Résumé de l’épisode 1 : une étrange théière est tombée dans mon jardin ; il s’est avéré qu’elle renfermait un génie, nommé Bazouk. D’abord bluffé, je me suis vite aperçu que c’était plus une plaie qu’un cadeau du ciel. Il est tout de même parvenu, après d’innombrables efforts, à me "créer" deux magnifiques jeunes femmes, physiquement absolument sublimes, Azura et Pandore. Le problème, maintenant, c’est que Bazouk ne veut pas satisfaire à tous mes souhaits, et surtout, ne veut plus rentrer dans sa théière.


Résumé de l’épisode 2 : après de nombreux essais, Bazouk est parvenu à me réaliser la voiture de mes rêves, un superbe coupé sport quatre portes noir. Mais j’ai dû me résoudre à ne pas aller travailler, car mon stupide génie ne veut pas me lâcher d’une semelle. Au moment où nous allions sortir en ville, Azura, Pandore, Bazouk et moi, trois policiers se sont pointés, alertés par ma vieille voisine à qui nous avions fait quelques misères. Grâce à l’aide de Bazouk, nous sommes toutefois parvenus à nous débarrasser d’eux en les laissant assis à ma table de jardin, endormis par un sort de mon puissant mage. Nous avons enfin pu partir tous les quatre à bord de la voiture de sport, afin d’aller en ville trouver de quoi vêtir décemment Pandore et Azura (Bazouk s’étant montré ridicule lors de sa tentative de confectionner le moindre bout de tissu).


Résumé de l’épisode 3 : Pour égayer notre trajet, Bazouk s’est mis en tête de nous fabriquer une sorte d’horrible instrument de musique parfaitement répugnant, vaguement parent d’une mandoline et confectionné de peaux de bêtes séchées. Mais Pandore, qui supportait déjà mal ma conduite sportive, n’a pas résisté à la vision abjecte de la « bazoukoline » et s’est mise à vomir dans tous les sens. En voulant nettoyer et réparer ses bêtises, Bazouk a stupidement fait disparaître la magnifique voiture. Dans un accès de colère, je lui ai tapé dessus avec son instrument et ça l’a curieusement fait disparaître au fin fond de sa théière. Ne voulant plus avoir affaire à lui, j’ai préféré que nous fassions du stop pour rejoindre la ville.



XXX



À présent, il allait falloir faire face à un autre problème : les regards pesants des gens. Certains contemplaient avec intérêt mes deux compagnes, d’autres avec réprobation, d’autres encore s’extasiaient ouvertement, quelques-uns s’attardaient sur la bazoukoline ; mais nous ne laissions personne indifférent.

Je commençai par m’arrêter dans une boulangerie où je nous achetais une bouteille de flotte ainsi que cinq ou six sandwiches, surtout pour la pauvre Pandore, toujours à jeun après son dégueulis de tout à l’heure. Puis je traînai les filles jusqu’à un petit supermarché où je savais que nous trouverions des fringues et que nous n’aurions de compte à rendre à personne.


Mais j’avais été présomptueux : un vigile gigantesque nous arrêta à l’entrée du magasin et nous demanda d’une voix de ferry-boat si nous comptions sincèrement entrer comme ça. Je bobardais que mes deux amies arrivaient de Tchétchénie et s’étaient fait dérober leurs valises, et qu’elles n’avaient pu garder que ce précieux instrument de musique de leur pays natal et cette petite théière qu’elles tenaient de leur grand-mère.

Il ne consentit à nous laisser entrer qu’après que je me fus engagé à ne pas faire la manche en jouant de la musique, à laisser la bazoukoline à la caisse centrale, et à payer tout ce que j’achèterais. La vue de ma carte bancaire et de mes papiers d’identité sembla également le rassurer, même s’il demanda à deux reprises si je m’appelais vraiment comme ça. Mais il voulut également que l’on se sépare de la théière. Là, je tiquai un peu ; ça ma gênait franchement de la laisser sans surveillance. J’insistai, bonimentant que je voulais acheter aussi un service à thé qui aille bien avec. Il hésita encore un instant mais finit par nous laisser entrer en veillant à ce qu’on dépose bien notre bel instrument à l’accueil et en nous promettant d’un ton chevaleresque qu’il serait là à notre sortie.


Dieu merci, les filles étaient restées silencieuses tout le temps de ce fascinant entretien, se contentant de sourire innocemment lorsque le vigile les regardait, elles ou leurs seins. Nous entrâmes finalement et fonçâmes directement jusqu’au rayon des habits, non sans être passés devant de multiples allées de loisirs, de hi-fi-vidéo, de livres, d’hygiène, de bouffe, etc. ; à chaque fois, les filles me demandaient ce que c’était que tel ou tel truc qu’elles apercevaient et qu’elles ne connaissaient pas. Je leur promis que quand on aurait trouvé des vêtements, on prendrait plus de temps pour le reste.


En arrivant dans le coin des fringues et en apercevant un rayon sous-vêtements, je me fis la réflexion qu’il leur faudrait aussi des culottes et des soutiens-gorge. Je les entraînai donc dans l’allée où deux sales gosses bavaient devant les soutifs en se marrant. J’aurais bien viré ces deux crétins mais je les ignorai finalement.



Elles me regardèrent curieusement comme si je leur parlais chinois. Pandore, qui avait repris des couleurs, contempla un instant quelques modèles, avant de demander lourdement :



Les deux mioches éclatèrent de rire en entendant ça. Je leur jetai un œil noir en leur faisant signe de décamper, mais ils semblaient n’en avoir rien à foutre, et s’éloignèrent de deux mètres pour aller s’amuser à foutre la tête dans les bonnets de soutifs géants. J’acquiesçai finalement à l’attention de Pandore qui attendait toujours ma réponse :



Mais non, trop tard… Pandore avait ôté son peignoir, et Azura l’imitait.



Ils se barrèrent en se marrant joyeusement. Azura me demanda :



Comme elles paraissaient hésiter, je tranchai finalement :



Avant de repartir vers les vêtements, on passa par le rayon des shoes, où elles choisirent chacune assez facilement une paire de baskets et une autre de tongs. Mais une fois aux fringues, l’air de rien, les deux sales gosses repassèrent encore une fois devant nous, affectant d’avoir quelque chose d’important à faire ; et arrivés à notre hauteur, ils matèrent mes deux compagnes avec insistance. Je me pris à presque regretter que Bazouk ne soit pas là pour leur mettre un poulet sur la tête…


Je conseillai à mes naïades de se choisir chacune quelques vêtements que nous emporterions jusqu’aux cabines d’essayage voisines. Bien entendu, elles hésitaient encore sur les tailles, et je ne leur étais quasiment d’aucun secours. Tenant toujours la théière, je dépliai quelques jeans, et en mis quatre de côté, qui me paraissaient plus ou moins appropriés. J’attrapai également deux légères robes d’été, et une dizaine de tee-shirts, sous-pulls, chemisiers ou assimilés, et je poussai les filles dans une cabine libre en leur recommandant de garder ce qui leur allait et de me rendre ce qui était trop grand ou trop petit ou qui ne leur plaisait vraiment pas.

Je tirai le rideau derrière elles. Leurs peignoirs ne tardèrent pas à joncher le sol de la cabine. J’attendis en faisant la ronde devant la cabine. Et je repérai soudain la tête d’un des deux sales gosses qui dépassait de la cabine voisine de celle où étaient Pandore et Azura. Ce petit con était tranquillement en train de les espionner en bavant quasiment. L’autre devait pas être loin, ou alors il aidait celui-là à atteindre le haut de sa cabine. Ils me saoulaient !

J’arrachai presque le rideau de leur cabine ; effectivement, ils étaient là tous les deux. Celui qui matait se laissa retomber et ils commencèrent à marmonner je sais pas quoi. Je les attrapai l’un et l’autre par l’épaule, les traînai jusque devant la cabine des filles et gueulai :



Et j’ouvris le rideau. Pandore était en train d’ôter un chemisier tandis qu’Azura enfilait un jean. Elles me regardèrent curieusement et sourirent bravement aux gamins qui restaient parfaitement scotchés. J’attendis trois secondes, puis refermai le rideau en râlant :



Ils me firent une drôle de tronche et décampèrent sans un mot.



Je déglutis en pensant avec tristesse à mon compte en banque. J’essayai de compter rapidement. S’inquiétant sans doute de mon absence de réponse, elle ouvrit soudain le rideau et me fixa d’un regard interrogateur. J’acquiesçai en les découvrant une fois encore toutes deux complètement nues, presque collées l’une à l’autre, qui semblaient me supplier des yeux. Et ma bite acquiesçait également, et ne demandait qu’à exprimer ouvertement son opinion. Je parvins à réprimer pulsions et envies et refermai le rideau une fois encore en leur demandant de s’habiller comme elles voulaient, mais de s’habiller.


Elles sortirent enfin de la cabine. C’était encore plus terrible, presque insoutenable : les jeans et les sous-pulls qu’elles avaient enfilés étaient vraiment moulants, limite trop petits et galbaient à outrance leurs seins et leurs fesses. Je restai aussi scotché que les gosses trois minutes auparavant.



C’était juste dommage qu’elles aient une grosse étiquette « -20 % » sur le cul et une autre « -30 % » sur les seins…



On voyait très nettement qu’elles ne portaient pas de soutif et un œil très averti aurait peut-être pu confirmer qu’elles n’avaient également pas de culotte.



Elles attrapèrent dans la cabine les fringues qu’elles n’avaient pas mises, et c’est en ramassant les deux peignoirs que je dus faire la connerie : sans doute frottai-je par mégarde la théière, je ne sais pas… toujours est-il que Bazouk apparut dans toute sa splendeur, fort heureusement au beau milieu de la cabine.



Dans un réflexe de peur, je tirai le rideau derrière moi. Bazouk continuait :



Je grommelai vaguement. Il poursuivit :



Il psalmodia bizarrement en ouvrant ses mains. Je commençai à gueuler, mais il lança son imprécation et la cabine et toutes les cabines voisines volèrent soudain en morceaux au moment où mon magnifique coupé noir réapparut au beau milieu des rayonnages. Les quelques personnes alentour, y compris Azura et Pandore, poussèrent de féroces hurlements en s’écartant à toute allure. Bazouk réalisa soudain que nous n’étions plus en pleine cambrousse et parut dès lors pris de remords. Avant même que j’eus le temps de l’engueuler pleinement, il avait fait disparaître la voiture et était rentré piteusement tout au fond de sa théière, à mon grand soulagement.


J’enroulai précautionneusement les deux peignoirs autour du domicile de Bazouk et les tins bien serrés contre moi. Autour, c’était un bordel incroyable : les cabines avaient volé et étaient déchiquetées par terre, de nombreux rayonnages avaient été éjectés à une bonne dizaine de mètres, d’autres simplement renversés ; des gens couraient partout, affolés, se demandant ce qu’il s’était passé.


J’avisai Pandore et Azura qui restaient prudemment à l’écart et les rejoignis. Je leur dis de me suivre, et, l’air de rien, je me dirigeai vers une caisse, où la nana semblait continuait de faire passer ses clients comme si de rien n’était. Elle termina avec le couple de petits vieux devant moi et quand Azura et Pandore posèrent toutes les fringues sur le tapis roulant, elle jugea bon de leur demander ce qui se passait dans le magasin. Devançant précipitamment la réponse des jeunes femmes, j’expliquai posément à la caissière qu’on n’était vraiment plus à l’abri nulle part, que même ici, on risquait notre vie. Elle rétorqua qu’elle ne me le faisait pas dire, que même elle, un ami de son beau-frère s’était une fois retrouvé dans une prise d’otages.

On devisa ainsi jusqu’à ce qu’elle eut terminé de comptabiliser les vêtements que s’étaient choisis Azura et Pandore, après quoi, malgré le gros montant indiqué sur la caisse, je lui expliquai qu’il fallait également compter les fringues et les grolles que portaient mes deux nymphes. Elle s’étonna tout de même brièvement, mais vint ensuite poser très professionnellement le détecteur de code-barre sur les pieds, sur les fesses, et sur les seins des deux jeunes femmes, en rougissant toutefois quelque peu.

Je payai avec réticence les six cents et quelques euros et souhaitai bon courage à la caissière avant d’apercevoir seulement l’énorme vigile qui nous attendait fermement quelques mètres plus loin. De sa voix de contrebasse, il exigea de vérifier le contenu de mes poches, celui des filles, et celui des peignoirs. Il examina soigneusement mon portefeuille et mes clés, puis pelota attentivement chaque recoin du corps d’Azura, et de Pandore. Quand il fut convaincu que nous ne portions rien que nous aurions pu avoir volé et que leurs seins étaient parfaitement naturels, il termina par une observation minutieuse des peignoirs et de la théière.

Il abandonna rapidement les peignoirs, mais décida d’explorer méticuleusement la théière ; je tentai de le retenir, mais il enfonça profondément ses doigts dedans en la faisant tourner sous ses mains, pour vérifier qu’elle ne contenait rien d’anormal.


Il ne fut pas déçu… dans un curieux jet de fumée, la forme évanescente de mon génie apparut soudain devant le vigile qui lâcha la théière dans un réflexe.



Également dans un réflexe, je recouvris la théière d’un peignoir que je maintins serré autour de l’objet doré ; l’ensemble parut s’agiter encore un moment, mais tout s’arrêta fort heureusement assez vite. Incroyablement, personne d’autre ne semblait avoir vu ce qui venait de se passer ; seul le vigile nous considérait bizarrement. Je devançai sa question :



Il me regarda avec un soupçon d’inquiétude et un gros paquet de scepticisme.



Désemparé, il nous laissa partir sans réagir. Je passai rapidement récupérer la bazoukoline à l’accueil et, tandis que nous sortions enfin du magasin, j’aperçus le vigile derrière nous, un téléphone à la main et les yeux fixés sur les fesses de Pandore.


Ça puait ! Il allait sans doute pas falloir qu’on s’attarde trop dans le coin… Mais je devais encore leur trouver des soutifs et des culottes. On courut presque jusqu’à une boutique de lingerie sur un boulevard voisin. La vendeuse, qui était aux prises avec une petite vieille, fit une drôle de tronche en nous voyant débarquer avec nos trois sacs remplis de fringue, notre engin en peaux de bête séchées et notre théière. Elle grimaça encore un peu en avisant les « -30 % » écrits en gros sur les seins des filles.



En effet, la mémé était en train de payer et sortit bientôt non sans nous avoir lancé un regard de tueur. La vendeuse rappliqua vers nous ; je lui refis mon sketch en tentant de donner l’air d’y croire :



Elle parut quelque peu perplexe, mais considéra un instant attentivement la poitrine de Pandore avant de s’exclamer :



Elle s’arma ensuite d’un long ruban gradué qu’elle vint enrouler sous la poitrine de Pandore qui semblait ravie qu’on s’occupe d’elle.



Elle refit la même manœuvre avec Azura, puis nous ordonna finalement :



Pendant qu’elle farfouillait dans divers présentoirs, j’examinai attentivement tous les ensembles de dentelle, ou de résille, les strings, les bustiers, les caracos, les corsages, les brassières… Y avait des trucs, je savais même pas que ça existait… Saisissant quelques-unes des culottes que je trouvais les plus jolies, je demandai à mes compagnes :



Elles acquiescèrent, apparemment ravies, mais la vendeuse, depuis l’autre bout du magasin, me vilipenda énergiquement :



Elle s’arrêta, essoufflée. Je reposai discrètement les culottes à leur place, tandis qu’elle venait finalement nous présenter les modèles qu’elle avait choisis :



Mais elle m’interrompit à son tour tout pareillement :



Là, quand même, elle ne sut pas quoi répondre. Mais elle termina toutefois :



Elle tendit le soutif et la culotte à Pandore en lui faisant un grand sourire :



Et hop ! Pandore retira son sous-pull à -30%, libérant ses deux seins parfaits à mes yeux avides et à ceux à la fois impressionnés, gênés, agacés, et même jaloux, de la vendeuse.



La vendeuse me jeta un regard abominable, puis un autre soupçonneux aux seins qu’Azura venait de dévoiler. Elle tendit finalement à cette dernière un autre ensemble plutôt rose, presque violet, en commençant à expliquer que c’était aussi en dentelle de je sais pas où et blablabla. Je n’écoutais pas, me concentrant plutôt sur la partie visuelle du spectacle. Je m’assis confortablement sur un espèce de large pouf qui traînait là et contemplai la vendeuse ajuster habilement le premier soutif à Pandore, tandis qu’Azura tentait maladroitement de mettre le second. La marchande l’aida ensuite à le refermer, avant de venir passer ses mains sous leurs poitrines, à l’une et l’autre, qu’elle soupesa tranquillement en questionnant :



Comme les filles ne répondaient rien et se contentaient de pencher la tête pour regarder leurs seins, elle déclara :



Azura et Pandore s’observèrent un instant en tournant devant la glace, apparemment satisfaites. C’est vrai que c’était magnifique ; ça leur allait l’une et l’autre à ravir, et ça mettait leur poitrine encore plus en valeur, si c’était possible. Dire qu’elles étaient hautement désirables aurait été mollasson…



Devant les yeux indécis de mes deux naïades, elle glissa carrément une main à l’intérieur du soutien-gorge de Pandore, entre son sein et le tissu. De là où j’étais assis et de mon point de vue de mec excité, j’eus l’impression que la vérification de la vendeuse était quelque peu exagérée. Elle refit la même chose aux seins d’Azura, s’attardant encore à mon avis plus que de raison à les tâter doucement sous le textile. Je commençais à fantasmer grave et à bander très sérieusement.

Je devais être en train de rêver complètement ; je tentais de me reprendre et de ne pas me laisser guider que par ma queue. De penser à autre chose ; par exemple, il fallait que je trouve un moyen de faire en sorte que Bazouk me fabrique du fric ou un truc qui m’en donnerait.

Mais la vendeuse vint ensuite se coller tout contre Pandore, derrière elle face à la glace, et expliqua :



Et joignant le geste à la parole, elle défit tout naturellement les boutons qui tenaient le jean, puis passa ses mains le long des hanches de Pandore, jusqu’à ses fesses, baissant peu à peu le pantalon étroit.

Là je ne rêvais plus !!! C’était tout bonnement hallucinant ! Elle fit tourner doucement ses mains sur les fesses de ma nymphe et pressa son corps contre elle, approchant son visage de son cou et murmurant :



Je me frottai les yeux. Dans le miroir, je devinais Pandore, les yeux mi-clos, la tête légèrement penchée en arrière, son bassin oscillant doucement. À côté des deux femmes, Azura regardait la scène avec un léger sourire. J’étais parfaitement sidéré ! Que ça existe en fantasme dans des histoires de cul, ça je le savais bien, mais en vrai… La voix de la vendeuse me tira de ma rêverie :



Je bafouillai je ne sais quoi et me levai pour aller fermer la porte à clef et tourner les persiennes, puis revins m’installer, tirant le pouf pour me rapprocher des filles. Je détaillai du regard la commerçante ; elle avait une quarantaine d’années, était grande et assez fine, pas extrêmement jolie et avec un vrai côté prout-prout, mais toutefois loin d’être laide. Et surtout, surtout, son manège m’excitait furieusement.

Elle avait complètement ôté le jean de Pandore et la caressait maintenant franchement, une main sur sa poitrine, l’autre sous ses fesses ; et elle l’embrassait dans le cou. Elle lui retira doucement son soutien-gorge en dentelle du pôle Nord, qu’elle envoya négligemment dans ma direction avec un sourire provocateur à mon attention, puis referma ses mains sur les gros seins que je devinais pointer d’excitation.

Elle fit bientôt se retourner Pandore et l’embrassa à pleine bouche en continuant de la peloter avidement. C’en était trop pour moi : je déboutonnai hâtivement les boutons de mon jean et glissai une main jusqu’à mon sexe sérieusement gonflé. M’ayant sans doute aperçu, Azura s’approcha de moi en roulant des hanches et en retirant son soutien-gorge de prêt, puis m’enjamba pour venir, toujours vêtue de son jean trop serré, s’agenouiller sur le pouf, à califourchon sur mes cuisses. Je me mis à dévorer sa lourde poitrine et à caresser ses fesses à travers le jean, sans plus prêter la moindre attention à Pandore et sa nouvelle copine, que j’entendais toutefois soupirer ardemment l’une et l’autre.

Azura se releva bientôt pour venir ensuite s’agenouiller entre mes jambes écartées et extraire avec quelque peine de mon caleçon mon sexe parfaitement rigide qu’elle se mit à branler et à sucer rapidement. Ses caresses étaient divines, je gémissais sans retenue ; je tournai mes yeux alternativement vers les siens, facétieux et avides, et vers la vendeuse et Pandore qui se masturbaient mutuellement en geignant aussi. Mais j’entendis bientôt la voix de la commerçante :



Elle semblait s’adresser à Azura qui me suçait encore avec application.



Quoi ? C’était moi, le mâle immonde et la queue abjecte ?



Et voilà ! C’était trop beau ! Cette connasse était évidemment une intégriste de la gouinologie ! Elle était toujours en train de caresser Pandore, mais me jetait un regard toujours plus dédaigneux à mesure qu’Azura se dévouait toujours plus à ses caresses.



Remarque, ça me faisait de l’effet : je débandais à vue…



Je me renfroquai en caressant doucement la tête d’Azura et en lui faisant signe que ça s’arrêtait là. Pandore hésitait quant à la conduite à tenir. Mais quand elle me vit me relever, attraper les deux soutifs qui traînaient à terre et les culottes qui allaient avec, reprendre mes peignoirs, ma théière et ma bazoukoline, et les trois sacs de fringues, elle décida de se rhabiller. Azura ramassa également son sous-pull soldé et son soutien-gorge en dentelle tibétaine. La vendeuse faisait quand même un peu la gueule de voir que Pandore lui échappait.



En me montrant du doigt, elle s’adressa plus précisément à Pandore :



Je sortis finalement de la boutique, suivi fort heureusement de près par Azura et Pandore, qui avaient quand même l’air surprises de l’évolution de la scène. Je leur expliquai brièvement que c’était franchement pas comme ça que ça se passait normalement dans un magasin. Mais je commençais à me dire que si tous les clampins de la Terre appelaient les flics dès qu’on sortait de chez eux, on n’allait pas être sitôt tiré d’affaire…


Bon, on avait quand même gagné deux soutifs et deux culottes, dans l’histoire, et qui paraissaient leur aller à ravir. Au moins, on saurait quoi prendre la prochaine fois…