Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 13382Fiche technique31668 caractères31668
Temps de lecture estimé : 18 mn
29/07/09
Résumé:  Azura, Pandore, Bazouk et moi nous rendons chez Aurélie, une excellente amie de longue date. Mais cette dernière n'apprécie guère de me voir arriver avec une bombe sexuelle pendue à chaque bras. Heureusement que Bazouk est là...
Critères:  fh ff fffh fagée alliance copains fellation délire humour fantastiqu -humour -fantastiq
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Quel génie !

Chapitre 05 / 11
Apaisements variés

Résumé de l’épisode 1 : une étrange théière est tombée dans mon jardin ; il s’est avéré qu’elle renfermait un génie, nommé Bazouk. D’abord bluffé, je me suis vite aperçu que c’était plus une plaie qu’un cadeau du ciel. Il est tout de même parvenu, après d’innombrables efforts, à me "créer" deux magnifiques jeunes femmes, physiquement absolument sublimes, Azura et Pandore. Le problème, maintenant, c’est que Bazouk ne veut pas satisfaire à tous mes souhaits, et surtout, ne veut plus rentrer dans sa théière.


Résumé de l’épisode 2 : après de nombreux essais, Bazouk est parvenu à me réaliser la voiture de mes rêves, un superbe coupé sport quatre portes noir. Mais j’ai dû me résoudre à ne pas aller travailler, car mon stupide génie ne veut pas me lâcher d’une semelle. Au moment où nous allions sortir en ville, Azura, Pandore, Bazouk et moi, trois policiers se sont pointés, alertés par ma vieille voisine à qui nous avions fait quelques misères. Grâce à l’aide de Bazouk, nous sommes toutefois parvenus à nous débarrasser d’eux en les laissant assis à ma table de jardin, endormis par un sort de mon puissant mage. Nous avons enfin pu partir tous les quatre à bord de la voiture de sport, afin d’aller en ville trouver de quoi vêtir décemment Pandore et Azura (Bazouk s’étant montré ridicule lors de sa tentative de confectionner le moindre bout de tissu).


Résumé de l’épisode 3 : Pour égayer notre trajet, Bazouk s’est mis en tête de nous fabriquer une sorte d’horrible instrument de musique parfaitement répugnant, vaguement parent d’une mandoline et confectionné de peaux de bêtes séchées. Mais Pandore, qui supportait déjà mal ma conduite sportive, n’a pas résisté à la vision abjecte de la « bazoukoline » et s’est mise à vomir dans tous les sens. En voulant nettoyer et réparer ses bêtises, Bazouk a stupidement fait disparaître la magnifique voiture. Dans un accès de colère, je lui ai tapé dessus avec son instrument et ça l’a curieusement fait disparaître au fin fond de sa théière. Ne voulant plus avoir affaire à lui, j’ai préféré que nous fassions du stop pour rejoindre la ville.


Résumé de l’épisode 4 : Pour qu’on soit plus tranquilles, j’ai opté pour faire nos courses dans un supermarché parfaitement impersonnel. Mais un immense vigile s’est trouvé ne pas être du même avis que moi et ne pas vouloir nous laisser franchement tranquilles. Je suis quand même parvenu à acheter des chaussures et des vêtements (vraiment trop moulants) pour Azura et Pandore, mais en sortant du magasin, le vigile a malencontreusement fait réapparaître Bazouk, et a prévenu la police tandis que nous partions en courant. Nous nous sommes réfugiés dans une boutique de lingerie, pour acheter des sous-vêtements à mes deux compagnes (car ni elles ni moi ne savions leurs tailles et essayer des soutifs dans un supermarché n’est pas chose aisée…). Mais la vendeuse s’est avérée éprouver un faible pour les belles jeunes femmes et a tenté de se faire Pandore, devenant soudain folle lorsque j’ai commencé à vouloir faire l’amour avec Azura. Nous sommes partis en hâte, en fauchant deux ensembles de sous-vêtements tandis que la vendeuse appelait la police à son tour.



XXX


J’étais vraiment certain qu’il ne nous faudrait pas trop moisir dans les environs… Mais que faire ? Maintenant que les filles étaient habillées, il allait falloir rentrer. Mais on n’allait pas encore faire du stop… Et je ne voulais vraiment pas avoir recours à Bazouk… Moins je voyais la tronche de cake de mon génie raté, mieux je me sentais…

Je pensais bien à une solution : on n’était pas très loin de chez Aurélie, une excellente copine de longue date avec qui j’étais sorti plusieurs fois, et avec qui je passais encore de temps en temps une soirée ou deux. Elle pourrait sans doute nous accueillir, et même peut-être nous ramener jusqu’à chez moi, si j’insistais un peu…

Je guidai Azura et Pandore au hasard des ruelles en direction du quartier où vivait Aurélie. Mais je fus soudain pris d’un léger coup de flippe : nous tombâmes sur un groupe d’une dizaine de mecs d’entre quinze et vingt ans, petite bande de racailles occupée à zoner dans les quartiers déserts. Et ça ne loupa évidemment pas, ils remarquèrent mes deux compagnes et se mirent à gueuler comme des truies :



En temps normal, tout seul, je serais sans doute passé à côté de ces blaireaux sans un mot et sans problème, mais là, je savais que ça allait dégénérer. Les mecs changèrent de trottoir pour venir s’approcher de nous. L’un d’entre eux s’adressa à moi :



Je sentais monter l’embrouille.



J’essayai de temporiser vaguement :



L’un d’entre eux commença à poser ses mains sur les fesses d’Azura. Je virai ses paluches en braillant :



Je me pris immédiatement un coup de poing en retour. Les filles crièrent. Je laissai tomber mes sacs de fringues et mes peignoirs et balançai aussitôt en tous sens de grands coups de pied et de bazoukoline sur le mec qui m’avait frappé et puis sur d’autres qui passaient par là. Deux ou trois s’écroulèrent sous mes coups acharnés, tandis que la bazoukoline tombait peu à peu en morceaux. Mais, en une fraction de seconde, je reçus un grand coup de latte dans le ventre, un autre dans le dos, et un troisième dans la tronche, et tombai à la renverse sur les vêtements éparpillés.



Les connards qui m’avaient shooté n’avaient pas lésiné ; j’avais la tête en carafe. Je tentai de reprendre clairement mes esprits ; ces trouducs étaient en train de peloter grossièrement Pandore et Azura qui essayaient de se défaire de leurs emprises. Me croyant définitivement hors d’usage, plus aucun ne faisait attention à moi, concentrés qu’ils étaient sur les filles. J’attrapai la théière et la frottai doucement. Bazouk en sortit, quasi instantanément.



Les lascars sursautèrent et se tournèrent tous de nouveau vers moi.



Il se tourna vers les racailles en ouvrant grand ses bras devant lui et en s’affublant d’un air savant pour déclarer sobrement d’une voix assurée :



Cela eut un effet certain sur les zygomatiques des guignols.



Mais des éclairs partant des poings de Bazouk fusèrent en tous sens, atteignant tous les mecs l’un après l’autre. Ils s’immobilisèrent un instant. Les filles, libérées, coururent jusqu’à moi :



Mais la vue de leurs visages attentionnés me guérissait déjà partiellement ; celle de leurs corps acheva de m’énergiser ; celle des types qui demeuraient hébétés me redonna le moral.



Puis me tournant vers Bazouk, qui avait quitté son air cultivé pour reprendre sa traditionnelle allure débonnaire, je me renseignai :



Il sembla se gonfler de fierté et nous informa :



En fait d’être plus calmes, c’étaient carrément devenus des légumes… Ils restaient quasi immobiles à se regarder avec flegme et visiblement félicité. L’un d’eux tourna enfin la tête vers moi pour me dire avec onctuosité :



Deux autres se roulèrent une grosse pelle. Je haussai les sourcils ; Bazouk proposa son opinion :



Je le rassurai :



Je l’interrompis en jetant un peignoir sur la théière. Mais cette fois-ci, ce fut inefficace : le peignoir que je maintenais enroulé autour de la timbale fut un instant comme agité de spasmes ; Bazouk, coincé à l’intérieur, remuait dans tous les sens. Pourquoi ne disparaissait-il pas au fond de son truc ? J’avais pourtant tout fait comme la fois d’avant… Puis sans que je sache comment, il parvint à se libérer du linge qui le maintenait prisonnier et reparut à nos côtés dans toute sa splendeur.


Je recommençai à toute allure, jetant de nouveau un peignoir autour de la théière et le maintenant serré sous mon bras tandis qu’il convulsait, et ajoutai cette fois-ci sur l’ensemble un grand coup de ce qui restait de la bazoukoline. Il y eut un grand bruit semblable à celui que produirait un piano tombant sur le sol depuis le toit d’un gratte-ciel ; l’instrument de musique vola en morceaux. L’agitation sous le peignoir cessa un moment, mais reprit finalement de plus belle et une fois encore, Bazouk arriva à se libérer et se tint bientôt tout content devant moi. Ça m’agaçait ! J’avais vraiment cru être enfin parvenu à trouver un moyen de le faire rester dans sa boîte, mais non… ça ne marchait pas…

Du coup j’hésitais… Devais-je à nouveau le mettre à contribution ? Pouvions-nous vraiment nous promener en ville avec lui à nos côtés ? Ou alors continuer comme si de rien n’était jusqu’à chez Aurélie ?


En même temps, s’il y avait une personne qui pouvait accepter Bazouk sans me faire chier, c’était bien Aurélie. Je savais qu’elle me prendrait pas la tête. Et puis, oui, d’un autre côté, nous étions vraiment à deux pas de chez elle, nous avions la dalle, elle nous recevrait sans poser de question et ne se surprendrait de rien…


Et éventuellement, on pourrait même s’éclater un peu au pieu… Et y avait de quoi s’éclater ! J’évoquai l’image d’Aurélie, toute mimi, son joli visage, ses cheveux longs détachés aussi noirs que ses yeux toujours espiègles, son petit corps élancé et bien proportionné : ses beaux seins menus, sa taille étroite, ses jambes fines, son petit cul magnifique, rebondi juste comme il fallait… Et elle savait l’utiliser, son cul. Pas rien que son cul, d’ailleurs… elle était avide de partout… Et sa bouche pulpeuse et profonde… Hmmm… j’en bandais d’avance !

Mais une voix suave me sortit soudain de ma rêverie :



C’était un des lascars qui nous avaient agressés qui ne se sentait plus… Je l’envoyai promener, envoyai aussi promener l’image de la bouche et du cul d’Aurélie qui trottait encore dans un coin de ma tête d’obsédé (de toute façon, y avait trois chances sur quatre qu’elle soit déjà avec un mec, mais c’était pas grave, on y allait pas franchement pour ça, et puis quand mon regard retomba sur le corps de Pandore, je me dis que j’avais vraiment ce qu’il me fallait…), et expliquai finalement à mes compagnes que nous nous rendions chez une de mes amies, où nous serions à l’aise pour nous détendre quelque peu sans subir questions et regards pesants. Et tout en ayant parfaitement conscience que ce serait très certainement voué à l’échec, je mis quand même Bazouk en garde, lui exhortant de se tenir à carreau…



Et quelques minutes plus tard, je sonnai à la porte de l’appartement d’Aurélie, toujours accompagné d’Azura, de Pandore, de nos sacs de fringues… et surtout pour finir, nous étions accompagnés de Bazouk qui flottillait au-dessus de sa théière avec affectation…



Mais sa passion retomba tout soudain manifestement lorsqu’elle aperçut Azura et Pandore à mes côtés. Ce fut d’une voix froide qu’elle poursuivit :



Elle s’interrompit soudain car elle venait d’apercevoir Bazouk, qu’elle fixa un moment d’un regard curieux, avant de m’interroger d’une voix accablée :



Il y eut un silence pesant, mais elle suivit ma recommandation et poursuivit effectivement comme s’il n’était pas là, reprenant sa voix glaciale :



Merde !



Re-merde ! Enfin, non, d’un côté c’était bien, elle était pas avec un autre type (c’est dingue comment je pouvais être jaloux, alors que je savais très bien qu’entre nous y avait plus rien d’autre que quelques baises de temps à autre…), mais d’un autre côté, sa mère était un vrai boulet qui me détestait de toutes ses forces.



En soupirant, je laissai tomber par terre toutes les affaires que je portais. Elle posa un regard noir sur Pandore, puis sur Azura, qu’elle fixa un bon moment avant d’ajouter :



Aurélie fusillait Azura du regard ; celle-ci baissait les yeux en se serrant encore davantage contre moi, ce qui agaçait sans doute encore plus mon amie… J’étais presque mal à l’aise. Mais Bazouk jugea soudain opportun d’intervenir :



Il s’adressait visiblement à Aurélie. Je rétorquai :



Elle lui jeta rapidement un œil menaçant, en s’écriant :



Finissant par l’ignorer une fois encore, elle reposa sur Azura un des regards noirs dont elle avait le secret. Mais un éclair jaillit soudain de derrière moi pour venir frapper Aurélie, qui resta comme figée. J’explosai en me retournant :



Je me tournai de nouveau vers Aurélie ; le regard qu’elle braquait toujours vers Azura perdait peu à peu de sa froideur, ses traits se détendaient, elle commençait même à lui sourire.



Azura était mal à l’aise et semblait ne pas trop savoir comment réagir. Aurélie lui souriait toujours plus, d’un visage maintenant très nettement amical.



Je n’eus pas le temps de finir ma phrase. Aurélie venait de se précipiter sur Azura pour l’embrasser à pleine bouche ; et malgré la résistance dont cette dernière faisait pourtant instinctivement preuve, elle la poussa jusqu’au mur du couloir, lui arracha son sac de fringues qu’elle balança à travers le corridor, et saisit ses seins à pleines mains en se frottant à elle de manière suggestive sans cesser de l’embrasser.

Pandore se marrait gaiement. Je lançai un regard mauvais à Bazouk.



Azura parvint un instant à déscotcher sa bouche de celle, inquisitrice, d’Aurélie et, faisant des efforts pour ne pas se la faire reprendre, me bafouilla :



Je haussai les épaules, mi-dépité mi-amusé. Mais Aurélie lui répondit d’une voix sensuelle :



Pandore éclata encore de rire en commençant de ramasser les fringues éparpillées. Moi, ça commençait à me plaire… J’adressai un clin d’œil à Azura, m’approchai des deux jeunes femmes toujours enlacées et leur roulai chacune une grosse pelle avant de déclarer avec emphase :



Elles s’embrassèrent à nouveau, mais cette fois, Azura se laissa faire ; non, mieux d’ailleurs, elle participait activement à leurs baisers. Elle referma ses mains sur les joues d’Aurélie ; celle-ci glissa les siennes sous le vêtement qui moulait la poitrine très généreuse de sa nouvelle meilleure copine. Je me retournai vers Bazouk pour le féliciter finalement :



Il se mit quasiment à clignoter et m’afficha un copieux sourire. Mais la voix de la mère d’Aurélie s’éleva soudain presque au moment où elle apparut dans l’encadrement de la porte de l’appartement toujours ouverte :



Puis, lorsqu’en un éclair elle aperçut tout à la fois sa fille enlacée avec Azura qu’elle pelotait avec ferveur, et Pandore, Bazouk et moi, qui la regardions avec allégresse, sa voix se fit hargneuse :



Mais la mémère continua comme si nous n’étions pas là :



Mais elle non plus ne finit pas sa phrase, frappée par un nouvel éclair de l’éminent Bazouk, que j’engueulai immédiatement dans un réflexe :



Pandore hurla soudain :



Je me retournai juste à temps pour éviter la mère d’Aurélie qui me sautait dessus les bras grands ouverts et les yeux rendus fous, en hurlant :



J’évitai ses assauts à plusieurs reprises, en me planquant tour à tour derrière Pandore, derrière Bazouk ou derrière Aurélie et Azura qui s’étaient quand même arrêtées un instant de se peloter pour se délecter de la chasse au Gufti.



Et tandis que je me dérobais derrière elle, Aurélie trouva spirituel d’ajouter :



Je la regardai avec dépit. Elle rigola. Azura et Pandore se marraient aussi.



Pendant que je continuai à courir dans le couloir avec la mémère aux trousses, il fit mine de réfléchir. Après deux nouvelles esquives, je l’entendis bramer :



Il y eut un éclair et un peu de fumée qui se dissipa bientôt en dévoilant un petit arbre, solidement enraciné dans le sol du couloir. Et Bazouk me conseilla :



Dans un mouvement de colère, je courus jusqu’à lui et mis un grand coup de pied dans sa théière, qui vola à l’autre bout du couloir, emportant momentanément avec elle mon illustre génie.



Je retournai me planquer derrière le tronc du bonsaï géant qu’avait inventé Bazouk ; la mémère m’y rejoignit. Puis, dès qu’elle faisait un pas d’un côté, j’en faisais un de l’autre, laissant toujours le végétal entre nous. Sans doute à cause du bruit qu’on faisait dans le couloir, deux voisins d’Aurélie étaient sortis de chez eux et s’interrogeaient tout autant sur la présence d’un arbre dans le couloir que sur la prestation de la mère de leur voisine.



Elle roula une pelle à Azura avant d’ajouter :



Je lançai un drôle de regard à Aurélie, que la situation semblait toujours amuser, mais qui répondit quand même d’un ton de reproche :



On le dévisagea tous curieusement ; la mère d’Aurélie s’arrêta de me courir après pour contempler en détail l’auteur de la proposition. Elle dut juger que le jeu en valait la chandelle car elle m’abandonna bientôt pour se précipiter dans ses bras.



Et elle suivit ledit voisin jusque chez lui, claquant la porte derrière elle. Je soufflai de soulagement. L’autre voisin nous regarda et bafouilla :



Aurélie me regarda en riant ; et sans attendre notre réponse, l’homme alla frapper doucement à la porte qui s’était refermée derrière le couple de sexagénaires. On lui ouvrit bientôt, il entra en s’excusant de déranger, et la porte claqua de nouveau derrière lui. Je me tournai vers Aurélie :



Elle me sourit puis roula encore une pelle à Azura avant de nous inviter à entrer finalement chez elle :



Bazouk était en train de revenir doucement vers nous ; je lui conseillai d’ôter rapidement son arbre et, après avoir ramassé toutes nos affaires, nous pénétrâmes finalement tous chez Aurélie.


À peine étions-nous entrés qu’Aurélie se jeta de nouveau sur Azura et l’entraîna jusque dans un canapé où elle entreprit de la déshabiller sans la moindre pudeur. Je fermai à clef derrière moi la porte d’entrée de l’appartement et ordonnai à Bazouk de se mettre dans un coin et de ne plus bouger ni intervenir.


L’appartement d’Aurélie n’était pas gigantesque mais tout de même assez spacieux et bien aménagé. Nous nous trouvions tous cinq dans un grand salon sur lequel donnait le coin cuisine, séparé par une simple demi-cloison ; de l’autre bout partait un minuscule couloir qui desservait des toilettes, une salle de bains, et une chambre (que je connaissais bien…).

Tout le salon était agencé autour d’un vaste canapé à quatre ou cinq places, qui tournait le dos à la kitchenette et faisait face à un bel espace télé-hi-fi-vidéo d’un côté et une belle grande bibliothèque de l’autre. C’était un endroit agréable à vivre où l’on se sentait instantanément bien.


D’ailleurs Pandore s’y trouva tout de suite à son aise car elle me jeta presque sur le canapé, juste à côté d’Aurélie et Azura, toutes deux presque nues, et sauta sur mes genoux pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue virevolta un instant avec la mienne puis, d’un geste rapide, elle ôta son sous-pull soldé et libéra sa lourde poitrine qu’elle vint plaquer contre mon visage. Elle referma ses mains sur ma tête ; je dévorai ses seins un bon moment. À côté de nous, Azura et Aurélie se caressaient, s’embrassaient, se pelotaient, se masturbaient à qui mieux mieux. Je n’étais même pas certain qu’elles eussent remarqué que nous étions à côté d’elles.


Lorsque Pandore sentit sous ses fesses que j’étais à point, elle se recula, ôta rapidement son jean et s’agenouilla nue à mes pieds pour ouvrir le mien. Je la laissai faire en lui caressant les cheveux ; elle eut tôt fait d’extirper mon sexe tendu et de l’enfouir dans sa bouche avide qu’elle fit doucement glisser autour de mon gland gonflé. Je fermai les yeux et poussai un gémissement en savourant sa caresse. Cela dut faire réagir nos voisines car je sursautai soudain en entendant Aurélie hurler à Pandore :



Elle se jeta quasiment sur elle avec des yeux possédés en continuant de tempêter :



Pandore dut prendre peur et tenta instinctivement de se reculer, mais s’effondra en arrière. Aurélie lui tomba quasiment dessus, enragée.



Mais elle fut brusquement frappée par un nouvel éclair de l’incroyable Bazouk, qui montait scrupuleusement la garde.



Pandore tentait de se dégager de l’étreinte d’Aurélie, mais Bazouk semblait avoir raté son fameux sortilège d’apaisement, car celle-ci tenait encore bon. Azura, parfaitement nue, se rapprocha de moi, venant coller ses gros seins contre mon bras, et saisit ma queue en disant d’un ton amusé :



Elle se mit à me branler doucement en posant sa tête dans le creux de mon cou.



Et comme pour illustrer mon propos, Aurélie s’allongea soudain complètement sur Pandore et colla passionnément ses lèvres aux siennes. Pandore secoua un instant la tête pour se dégager.



Et elle passa une main entre les cuisses de sa prisonnière, tandis qu’elle entremêlait leurs jambes. Pandore gémit soudain, sans doute au moment où Aurélie lui enfonça un doigt, ou peut-être plusieurs. Les deux jeunes femmes s’embrassèrent encore avec passion, et se mirent ensuite à rouler dans le salon, l’une et l’autre passant alternativement au-dessus, sans cesser de se doigter, se cajoler et gémir.

Azura souriait en continuant de me branler et en observant la scène.