n° 13763 | Fiche technique | 42916 caractères | 42916Temps de lecture estimé : 27 mn | 18/03/10 |
Résumé: Et maintenant, nous sommes à quatre, toujours avec les mêmes faims et le même entrain... | ||||
Critères: grp fbi jeunes copains grossexe hépilé sport voir exhib intermast fellation pénétratio échange -totalsexe -fbi | ||||
Auteur : Julia_bleau Envoi mini-message |
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Cela fait presque un an que nous passons des moments superbes et très chauds avec Cédric. Ce sont toujours des moments très forts, et Agnès est vite rentrée dans le jeu de ce plaisir partagé. J’ai également partagé Cédric avec une autre copine qui avait deviné notre passion. Un après-midi magnifique. Une soirée aussi avec ma prof de tennis et Agnès. Mais elle n’était pas aussi à l’aise.
Et puis avec Agnès, nous avons aussi partagé une rencontre de vacances, qui ne se doutait pas qu’en en draguant une, l’autre était aussi de la soirée. Nous vivons ces plaisirs avec toujours autant de joies, et toujours sans complications.
Puis il y a eu Fabien.
Fabien c’est notre athlète au club. Athlète et gentil garçon que toutes les filles du tennis regardent avec envie. Certains hommes aussi. Il est du style à plaire aussi aux garçons. Il a 23 ans, 1m90, dans les 90 kilos, mais de muscles. Une allure de rugbyman. Et très apprêté. Toujours très propre, bien habillé. Trop, que beaucoup disent. Il s’entretient. En plus du tennis, il fait de la natation et de la musculation. Il fait attention à ne pas se « déformer » comme il dit. Il fait attention à tout. Sa peau, ses muscles, son allure. Je sais, depuis, que déjà à cette époque et même auparavant, il fréquente un institut à Paris, où il pratique tous les soins que l’on peut y trouver, y compris l’épilation totale. UN RÉGAL ! Son allure rassurante aussi est un atout quand il nous accompagne en dehors du tennis. Garde du corps, quoi !
Et Fabien, il a compris lui aussi qu’il y avait quelque chose entre Cédric, Agnès et moi. Cédric est un de ses plus proches amis, mais il n’a jamais parlé de nos délires. Juste qu’il me faisait très souvent l’amour. Mais en ami. Ce que Fabien comprenait difficilement. Mais qu’il enviait. Il ne lui a pas parlé du trio que l’on formait avec Agnès. Ce que nous vivons n’est peut être pas trop à dévoiler. Quoique…
Au club, il donne des cours aussi. À des garçons, des jeunes. Lui a été un moment le mieux classé, ce qui lui donne aussi une certaine aura. Et il fait aussi un peu le coach pour les matchs, surtout en équipe. Pour aider la prof qui ne peut pas suivre tout le monde. Et souvent il vient avec nous, l’équipe de gonzesses comme il dit. Nous sommes une des équipes du club qui tourne le mieux, ce qui, pour lui, ajoute au plaisir de nous coacher. Fier de débarquer dans les clubs avec « ses » nanas. Il aime traîner dans le vestiaire aussi, au cas où une des filles se promènerait en petite tenue, ce qui arrive assez souvent, et qui nous amuse. Le voir, comme si de rien n’était, observer une fille aux seins nus, ou des petites fesses dans des strings ou autres. Il arrive qu’on en joue un peu aussi. Il suffit que l’une ose pour que les autres entrent dans le jeu. Et il est si désirable, notre Fabien, que pour nous c’est un plaisir de le sentir nous observer et nous draguer un peu. Il arrive qu’on l’appelle pour qu’il débarque au moment où l’une d’entre nous est en train de s’habiller ou sort de la douche. Faussement surprise, voire choquée, mais en fait amusée et contente qu’il s’intéresse à nous ? Fières les « gonzesses » !
Et un jour, un match d’équipe dans un village. Je pars avec lui et deux autres joueuses. Il me regarde dans le rétroviseur, et ça me fait plaisir cette insistance depuis quelque temps. J’ai en effet remarqué qu’il me suivait un peu plus que les autres. Contente. Et fière.
Vestiaires. Changement. Jupe et haut court. Soutien-gorge intégré. Brassière de sport, croisée dans le dos, épaules nues. Pratique et sexy. Surtout qu’il fait très chaud. Et… aïe ! Oublié la culotte de sport qui va avec. Au secours les filles ! Une copine m’en passe une, mais quand je saute elle descend ! Une autre, trop petite. Aïe ! Jouer avec mon string… agréable mais, avec ces jupettes… J’aime beaucoup ces jeux pourtant, mais pour le tennis, et en match, ce n’est pas très correct. Dans l’esprit du tennis ce n’est pas comme en vacances. Moins bien vu sûrement et puis entre être sexy dans mes tenues, provocante, ce dont je suis fière, et fesses à l’air sur le court… des limites ! Du moins pas dans ces circonstances. Question aussi de concentration. Mais je n’ai pas trop le choix. C’est string, puisque rien d’autre. Je me scrute dans la glace des douches, et c’est évident qu’on voit bien mes fesses nues avec cette tenue. Je suis un peu mal à l’aise de me sentir nue en sortant des vestiaires. Et cette jupe est très courte. Les mouvements énergiques me dévoilent complètement. Ce qui d’habitude me fait frissonner de plaisir, là, me bloque un peu dans la tête, et pour mon match ça ne le fait pas trop.
Me voilà sur les courts pour les échauffements, et le temps que les matchs soient programmés, je tape la balle avec une copine. Fabien reste dans un coin. Il ne peut pas se mêler directement de la répartition des matchs, rôle réservé à la capitaine. Il peut juste nous parler entre les jeux et entre les matchs. Il me suit des yeux depuis un moment déjà, mais aujourd’hui un peu plus. Et évidement… il se retrouve assis sur un banc à côté de mon court et me regarde évoluer avec un intérêt certain. Et puis il s’aperçoit que ma jupe courte laisse apparaître mes fesses plus que de normal. Alors, il ne regarde plus, il observe. Je le vois. De lui, cela ne me dérange pas, mais si lui voit, les autres aussi. Et même si j’aime bien me « montrer », les circonstances ne sont pas les mêmes. Je sens que cela va me déconcentrer.
Je termine quelques services puis je vais le voir. Je lui explique ma bêtise. Il est plié de rire. Je me marre aussi, mais un peu ennuyée, et il me dit que c’est même très beau à regarder, et qu’un match dans cette tenue pour un spectateur… Je me marre aussi. Mais il finit par s’arranger avec la capitaine, une des autres joueuses, pour que je ne joue qu’un match et non le double, sauf si vraiment utile, puisque je suis la mieux classée. Et aussi pour que je puisse jouer sur ce court-là, le plus éloigné de la terrasse du club où il y a pas mal de parents et de joueurs. Les jours de match, et qui plus est quand il fait beau, cette terrasse est agréable, donc un peu de monde.
Du coup, je joue avec un peu moins de gêne, même si selon les mouvements je sens que mes fesses se donnent en spectacle. Je ne suis cachée que par une ficelle, mais heureusement mon petit abricot est bien recouvert du triangle en coton. Fabien m’avouera, plus tard, qu’il le devinait malgré tout fort bien. Je sens, quand je cours, l’air me caresser entre les jambes. Sensation très sympa malgré tout. J’ai, heureusement pour moi, vite le dessus du match ce qui me permet de dédramatiser et nous nous en amusons tous les deux. Il me fait des signes, pouce levé, soit quand je marque un point, soit aussi quand un geste lui a permis de me découvrir. Il est content. Mon adversaire s’en aperçoit également, et elle doit penser que c’est volontaire. Ce qui la rend nerveuse, surtout que le match lui échappe.
Je remarque aussi que, d’un côté du court, trois mecs sont venus nous regarder jouer. Mais vite ils s’aperçoivent de ma tenue plus sexy que de coutume. Ils ne perdent pas un de mes gestes. Je finis par m’en moquer, même si un moment je laisse passer quelques points par déconcentration. Puis, quand je mène au score avec beaucoup d’avance, j’en rajoute un peu en allant chercher des balles au fond du court et en me penchant au mieux pour offrir mes fesses à leurs regards. Le goût du spectacle reprend un peu le dessus dans ma tête. Je les entends soupirer et chuchoter entre eux. Je me dis que puisque après tout je gagne, et on m’admire. Alors…
Je leur fais un beau sourire et un clin d’œil à la fin du match. Je suis libérée maintenant. Ils ne viennent pas m’embêter quand ils me voient être très complice avec le mec baraqué qui est venu avec moi. Ils doivent le prendre pour mon mec. Mais ils restent au fond du court pour mater plus ou moins discrètement. Et puisque je ne fais rien pour les en empêcher, même le contraire, ils en profitent.
Mon match étant fini, je reste avec Fabien sur le banc, pour encourager les autres. Il se marre toujours et m’avoue que c’est un match qu’il a énormément apprécié. On se puisque après très bien et on s’en amuse. J’en rajoute beaucoup en fouillant dans mon sac ou en ramassant des balles perdues des joueuses, et chaque fois il me refait le coup du pouce levé. Il se passe même la langue sur les lèvres d’un air gourmand. Je lui retourne un beau sourire pour lui faire comprendre que c’est en fait un plaisir partagé, et que je suis ravie de la situation, surtout que j’ai gagné. Et puis, coquine, je m’approche de lui et j’ajoute que s’il veut jouer contre moi, je jouerai ainsi. Et comme il me dit que ça ne l’empêchera pas de gagner, je lui chuchote à l’oreille que je serais capable de jouer sans rien… Là, il me regarde dans les yeux avec une belle lueur et me lance :
Et moi avec la même lueur je réponds :
Il a compris que j’en étais capable. Il s’imagine déjà… Moi aussi je m’y vois, et la chaleur de mon minou commence à transparaître. Le frisson dans mes reins aussi quand j’ai dans la tête l’image de Fabien sur le court loupant une balle, les yeux figés sur le haut de mes cuisses…
De retour en voiture, il me fait monter devant. J’ai gardé ma tenue. Il savoure. Dans d’autres lieux, j’aurais volontiers quitté mon string pour lui offrir une vue plus dégagée. Mais nous ne sommes pas seuls. Et mon minou, assez gonflé de désir, est très bien dessiné comme ça. On voit, plus qu’on ne devine, mes lèvres un peu gonflées. La belle bosse de son short me le confirme. Il ose même un instant poser sa main sur le haut de ma cuisse. Pas très loin de mon minou. Résultat, je sens mon sexe s’ouvrir et un peu de moi couler dans mon petit string. Je frémis et me tends un peu, avec une folle envie qu’il continue son exploration.
À partir de ce jour-là, il ne me quitte plus quand je suis au club. On en profite par moments pour flirter, ce qu’Agnès et Cédric remarquent aussi. À Agnès, je lui ai vite dit ce que je ressentais. Elle s’en amuse et prend du plaisir à m’écouter. J’ai senti, au cours d’un de ces flirts poussés dans le vestiaire, qu’il était très musclé de partout. Je passais ma main sur son short et je sentais un engin de taille étonnante. Quelque chose de fabuleux. Sauf erreur, il devait avoir un sexe en rapport avec sa musculature. Je suis entre curiosité et envie.
Il habite dans un village non loin de chez nous. Maintenant il passe régulièrement nous voir. Sa copine l’avait quitté cela fait un an et il ne bougeait plus beaucoup, jusqu’à notre match « exhibition ». Il s’occupe beaucoup avec son travail, dans les « affaires » de son père et il lui reste le tennis, comme prof, pour se détendre. Mais il bouge pour moi, maintenant. Pour me voir. Je sais qu’il a envie de moi. Et moi, j’ai envie de lui. Et Cédric m’en a parlé aussi.
Un soir il nous retrouve dans un restaurant, et je m’empresse de l’inviter à mon côté. Je porte un kilt plutôt très court, comme j’aime, un string, et un gilet, manches courtes. Il est ravi de profiter de mes cuisses en mangeant. Cédric est là, assis à côté d’Agnès. Ils sont très amis. Donc, bonne soirée en perspective. Mais nous avions prévu de nous retrouver tous les trois chez Cédric. Une soirée comme nous aimons. Soirée à faire l’amour. Je me dis que…
Fabien est assis à côté de moi, et me caresse une cuisse sous la table. Les yeux plein de désirs. J’ai envie de le sentir, et je pousse sa main le plus haut possible. Je m’ouvre un peu. Je m’offre. Et ses doigts frôlent mon sexe. Mon kilt est assez court encore une fois et il profite au mieux de la vue de mes cuisses dénudées que j’écarte au mieux pour que sa main remonte au plus loin. Je suis assise directement sur les fesses, vu la longueur de ce kilt. Et comme il le remonte en me caressant, et que celui-ci s’ouvre, je suis quasi nue. D’autant que mon string est aussi très fin. Petit string transparent. Ce sentiment de nudité me trouble encore une fois. Cette façon de m’habiller me fait à chaque fois beaucoup d’effet. Aux autres aussi. Très sexy mais pas vulgaire. Choisie. Et là, je suis offerte en quelque sorte et ce, dans un endroit inhabituel. Agnès, en face, a compris. Et mon regard lui confirme. Et elle en profite pour caresser Cédric à son tour. Je vois son bras bouger. Elle doit le branler sur son jeans.
Le serveur prend la commande, mais se plante souvent. Mes cuisses nues et offertes et la main de Fabien lui donnent chaud. Et comme je ne bouge pas, et que je ne cherche pas à me cacher, il savoure. Mon sourire coquin l’encourage et il plonge aussi dans mon décolleté, volontairement provoquant. L’ambiance est très chaude et si nous le pouvions je me ferais prendre sur la table, comme ça. J’y pense fort et une immense bouffée de chaleur m’envahit, au point de presque en gémir en me mordant les lèvres. Et de couler sur ma chaise. Je vois Agnès partir un peu aussi, et le contact avec Cédric y est pour beaucoup. Je crois comprendre que son kilt aussi est remonté plus que de normal, et que son voisin en est responsable. Si nous faisions l’amour ici ? Sur la table ? L’image me fait chavirer et j’avance mon minou à la rencontre des doigts de Fabien. Il m’a fallu deux fois aller aux toilettes pour m’essuyer, tellement je mouillais de la situation. Et traverser la salle, mon kilt à hauteur des tables, volant et découvrant mes fesses en fonction de ma démarche. Cela ajoutait à mon excitation. Ces yeux qui me suivaient semblaient me prendre. Un délice. Les silences sur mon passage étaient un signe. Je devais, à coup sûr, être la fille la plus sexy du restaurant ce soir-là. Le serveur me mangeait des yeux pendant ma traversée. J’accentuais le côté sexy de ma démarche avec un déhanchement qui faisait légèrement voler mon kilt. J’étais la cible de tous les regards. Ces ambiances brûlantes me plaisent beaucoup.
À la fin du repas Fabien nous propose d’aller chez lui, ses parents sont en week-end, et la maison est libre. On se regarde, et on décide très vite que oui. Pourquoi pas. Notre soirée serait repoussée. Mais celle-ci peut être très sympa aussi. Elle commence trop bien pour ne pas se finir encore mieux.
Arrivés sur place c’est la surprise ! Une magnifique villa, à la limite de la forêt, des décors magnifiques, et une piscine. Piscine pas encore nettoyée en ce mois de mai mais elle donne sur une immense pièce aménagée à l’arrière de la maison, côté forêt, et on s’imagine aux beaux jours. Cette pièce abrite une partie douche et jacuzzi et le reste un espace salon détente avec home cinéma. Gigantesque. Et un bar. Je savais que les parents de Fabien étaient très aisés, et la cela se confirme. Superbe propriété.
Il nous fait entrer. Un endroit plus qu’agréable. On se jette sur les canapés, les coussins sur le sol. Décors de film. Puis il nous prépare un cocktail. Classe, le Fabien ! Et on s’installe. Lui, à mes côtés, Agnès et Cédric en face. On parle. On rit. Et il se rapproche un peu. Je pose ma main sur sa cuisse. Il me regarde. Regarde Agnès. Puis Cédric. Il cherche de l’aide. Agnès a compris son souci. Elle s’approche de Cédric, se blottit et l’embrasse avec fougue. Il se détend. Il ne comprend pas tout, mais bon. Son pote ne lui à rien dit ? Il verra ça plus tard. De ce fait, il pose son verre et entreprend de m’embrasser à mon tour. Je me laisse faire. Il est heureux. Et je me donne volontiers, en passant ma main sur l’énorme bosse que je sens. Pas très à l’aise de mon geste aux yeux de tous, mais bon, le désir prend le dessus.
Puis après avoir flirté un moment, on fait un peu le tour de la pièce. Je retrouve Agnès au bar et l’enlace en l’embrassant. Il regarde avec un œil interrogateur. Je suis donc toujours avec elle. En même temps, il me connaît assez pour comprendre que cela n’empêche pas. Il s’en rassure aussi. Là où il s’interroge, c’est quand je retrouve Cédric sur le bord de la piscine et que je l’enlace avec la même ardeur. Lui faisant l’amour debout. Il est perdu ! Il ne comprend rien ! Agnès me rejoint et embrasse Cédric à ma place, pendant que je le rejoins. Il m’avoue ne rien capter !
Alors, en laissant les deux autres se câliner un peu à l’écart, je lui explique Agnès et moi. Toujours ensemble, oui. Comme depuis longtemps. Cédric ? On s’aime bien, on fait l’amour. Agnès et lui ? Aussi. Et ensemble également, tous les trois. Simple, non ?
Il avale son cocktail en me faisant comprendre qu’il est soufflé. Même s’il y a pensé parfois en nous voyant, mais cela restait plus un fantasme qu’autre chose. Je lui résume un peu notre vie et surtout notre façon de voir ces choses-là. Il comprend. Ébahi, mais il comprend. Il comprend qu’il a encore plus envie de moi. Et à caresser son énorme bosse, je comprends aussi. J’ai hâte de découvrir cette queue qui me semble hors norme. Découvrir et goûter ce superbe jouet ! Agnès et Cédric nous retrouvent au bar. L’échange de regards entre lui et Cédric veut tout dire : mon salaud ! Quel cachottier ! Et quel veinard ! Agnès se glisse entre nos deux tabourets et, pendant qu’elle m’embrasse à nouveau, elle se laisse aller entre les jambes de Fabien en posant ses fesses sur la grosse bosse qu’elle me fait comprendre comme étonnante. Lui faire comprendre aussi, à lui, qu’elle est autant curieuse que moi. Et qu’elle goûtera à son tour. Il la prend par la taille en me regardant, et la serre un peu sur lui, comme pour répondre à sa demande. Il a compris qu’il pourrait vivre ce que vit son ami. Jouer avec les deux coquines, les deux amies, leur donner du plaisir, et en prendre comme il n’osait pas l’imaginer avant ce soir. Il me fixe en prenant Agnès par les hanches pour la plaquer sur son sexe, et lui montrer ainsi qu’il a envie d’elle aussi. Belle soirée !
Nous retournons sur les canapés. Il finit de préparer son deuxième cocktail en nous regardant nous jouer de son étonnement, qu’il digère progressivement. Cédric avec son sourire amusé et enjoué, et nous, chacune d’un côté, à jouer nos petites chattes câlines. Innocentes. Grand fou rire.
Et nous reprenons nos places du début. Agnès de plus en plus énervée par Cédric, qui la caresse maintenant à travers son corsage à demi ouvert. Elle a une main sur son sexe et le malaxe calmement. Fabien a chaud. Il regarde les seins d’Agnès avec envie. Elle a, comme les filles ont souvent, plus jeunes, un renflement autour des aréoles, qui donne à sa poitrine une allure de tétine, de biberon, que la bouche de Cédric suce maintenant avec un immense plaisir. Les seins d’Agnès ont quitté son corsage. Fabien n’est pas très fixé sur l’attitude qu’il doit avoir. Je m’en doute. Je comprends. Alors je me colle sur lui, de tout mon corps, en l’embrassant, je passe une jambe par-dessus la sienne et masse avec ma cuisse son sexe qui est devenu, si c’est possible, encore plus énorme que tout à l’heure. Je me calme. Agnès essaye de ranger ses seins, négligemment, en éclatant de rire.
Je me sens nue avec mon kilt et mon gilet, et sur cinq boutons, seulement deux le ferment. Au départ, un en haut et un en bas, puis j’avais ouvert le deuxième, pour que le serveur, au restaurant, puisse savourer mon décolleté. Décolleté déjà suffisant pour voir la naissance de mes seins. Je l’ai encore un peu ouvert depuis la sortie du restaurant. Je voulais que l’on voie que j’étais nue dessous. Il était ouvert jusqu’au nombril, laissant voir que mes seins étaient libres. Le serveur l’avait vu lui aussi. Il est tombé dans mon décolleté plusieurs fois dans la soirée. Surtout que je m’arrangeais, avec un sourire, pour lui permettre de plonger au mieux. Il avait apprécié et moi aussi. Me faire admirer et donner envie de moi est toujours un moment génial. Entre le restau et la voiture, je paradais un peu, et les regards me transportaient.
Je me lève pour chercher un gâteau sur le bar, en ondulant mon fessier volontairement et exagérément. Tout le monde rigole. Moment de déconne. Les mecs me sifflent. Je joue la pin-up de bar, comme dans les mauvais films. Et puis je me retourne en ouvrant doucement mon gilet. Je détache un à un les boutons restants. La bouche en cœur. Me remontant les cheveux sur le visage. Mes deux seins, arrogants, sautent aux yeux de tous.
Il souffle, Fabien ! Comme s’il avait reçu un coup. Et je me lance dans une parodie de strip-tease et de danse sensuelle en cachant ou montrant mes seins, et je relève mon kilt dans des gestes du même style, jusqu’à montrer mes fesses à peine voilées encore, puisque je n’ai qu’un minuscule string rouge. Je chantonne, très mal, la musique de Neuf semaines et demie. Éclats de rire quand je reviens en trébuchant. Petit moment de « déconne » pour détendre tout le monde, et pour faire comprendre à Fabien que c’est aussi un amusement et pas qu’un moment de plaisir trop coincé. Il semble parfaitement avoir compris notre état d’esprit. Il est détendu. Pas de partout…
Je reviens devant lui, je lui présente mes seins, jambes écartées, bien provocante, et il commence à me caresser. Un regard tout de même aux autres, comme une demande d’autorisation. Ils s’en moquent, eux. Agnès est aussi les seins nus et Cédric les lèche, sans s’occuper de savoir si je fais toujours le clown. Alors Fabien me caresse et aventure une main sous mon kilt pour me sentir. Sa main enveloppe mon sexe. Trempé.
Et je l’abandonne. Je retrouve Agnès. Je pousse Cédric en disant qu’elle est à moi ! Il s’en va en riant. Il retourne à côté de Fabien. Il sait lui, ce qui va se passer. On joue comme ça, tous les trois. Fabien se doute. Il rit aussi. Je me débarrasse de mon string, que je jette sur les garçons. Cherche celui de ma belle sous sa jupe, et leur jette également. Tout ça, avec des mimiques de mauvaise actrice déjantée. Elle me libère de mon gilet. Je suis avec mon kilt. Nue. Les yeux des deux amis sont attentifs. Cédric se passe la main sur son sexe pour calmer son érection.
Agnès s’allonge et je la déshabille doucement en la caressant. Elle est dans la même tenue. Nue avec sa jupe. Et nous commençons à nous faire l’amour. Doucement et parfois sauvagement. Des caresses appuyées, des langues partout, des mains. Les seins, les jambes, les sexes plus ouverts suite aux caresses plus appuyées. On se masse, on se branle, on se fouille. On se boit aussi. On se goûte sous les yeux de nos deux complices. On les regarde comme pour les provoquer. Quelques commentaires aussi. Les garçons sont ravis. Je fouille ma belle de ma langue en les regardant. Ils sont aux anges. Agnès, ouverte, se masse les seins et s’agite sous mes coups de langue et mes succions. Son bouton est si gros que les garçons peuvent le voir d’où ils sont. Elle pousse des petits cris et coule dans ma bouche. J’essaye de raconter ce que je vois. Elle me guide pour mieux me sentir, jusqu’à ce qu’elle se cambre d’un coup, en lâchant un cri, puis en riant elle se mord la lèvre pour regarder Cédric qui sait, lui, ce que ce regard veut tout dire. Elle est bien. Fabien est penché pour mieux voir. Pour lui, c’est une première et il est chamboulé, mais aux anges.
Puis je me relève et viens m’asseoir sur la bouche d’Agnès en les fixant. Notre position favorite à l’une comme à l’autre. Position qui permet d’avoir la chatte bien ouverte et bien offerte sur la bouche de l’autre. Avoir la sensation d’un gros baiser. Et position qui permet de gérer au mieux son plaisir. Ils ne voient pas sa langue me fouiller à cause du kilt. Alors je leurs raconte. Je leur dis où elle me lèche, où elle enfonce sa langue, où elle me mordille. Je caresse mes seins, affolée, excitée. Je descends parfois la lécher à son tour, la goûter. Je commente ce que je sens. Je commente mon plaisir qui monte, qui m’envahit. Mon jus qui coule dans sa bouche. Je relève mon kilt pour leur montrer quelques instants, puis me recache. Je jouis ! Je jouis du spectacle que l’on donne autant que de la langue d’Agnès. Et on se calme. On s’installe, assises face à eux. Et on demande si ça leur a plu ? Cédric applaudit en se marrant. Fabien me fait le signe du pouce levé. Allusion…
Un moment de répit et je demande à quel point ils ont aimé. Grand sourire de joueuse, et je leur dis que ça ne se voit pas comme ça. Cédric, habitué à nos jeux, décide d’ouvrir son pantalon et de nous exhiber son sexe bien droit. On crie « super ! » en faisant nos petites folles. Fabien regarde son ami qu’il n’a jamais vu comme ça. Il est un peu à l’ouest ! Drôle de soirée. On le regarde en faisant mine de nous impatienter. Il n’ose pas. Cédric lui donne un coup de coude. Ça lui donne confiance. Il s’exécute en se disant qu’après tout… Il ouvre son jeans, et fouille dedans.
Et là ! Il nous déploie un engin énorme ! Il nous semble qu’il met du temps à tout sortir ! Quelle queue ! Un serpent ! Conforme à son allure. Tout aussi musclée que lui. Cédric, qui l’a déjà vu nu, est scotché aussi devant l’ampleur. D’où nous sommes, il paraît le double de Cédric. Ses boules, une fois sorties, sont de taille très classique. Mais le reste ! Épais à la base, long, très long, et un gland superbe, aussi large que son membre. Tendue. Le canal bien dessiné sur le dessous. L’ensemble est magnifique. Il est tout lisse aussi. De notre place, il pourrait être en dur, en plastique, sans défaut. J’ai vu en photos sur le net ou des vidéos de sexes impressionnants, même plus que ça, mais de si près, et si beau… Agnès ne retient pas un « ho ! » Admirative !
Nous avions déjà vu de beaux spécimens sur la plage, mais jamais en érection. Et cette fois, nous sommes ébahies à notre tour. Je me lève et vais m’asseoir entre eux deux. Ma tenue est loin de les calmer. Je prends un sexe dans chaque main, sans branler, sans bouger. Dans ma main, il semble encore plus gros. Il est splendide. Impression étrange un si bel engin à toucher. Agnès me rejoint. À genoux devant moi, elle attrape aussi nos deux belles queues. C’est à nous. Nos deux mains sur Fabien ne le cachent pas. Cédric non plus, mais il ne reste que son gland de visible. La sensation est étrange que de caresser cette queue énorme, belle, douce, et très chaude.
Il me vient à l’esprit qu’il ne faut pas se lancer dans des comparaisons qui pourraient gêner Cédric. Alors qu’il est de toute façon tout aussi beau et qu’en plus il nous donne un plaisir immense. Mais je sais que pour les garçons, la taille de leur sexe est très importante et les comparaisons très mal acceptées. En pensant à ça, je me penche sur Cédric et le prends en bouche de suite, et je commence à le sucer avec amour et plaisir. Il est très agréable ce sexe. Et quand il me fouille je suis aux anges. L’avoir en bouche me rassure. Et me fait mouiller. Quelques baisers amoureux sur le bout de son gland, puis des léchouilles, et je l’engloutis sous les yeux écarquillés de Fabien.
Du coup, Agnès se retrouve avec le serpent, qu’elle essaye d’engloutir à son tour. À ses yeux je comprends que ça n’est pas possible. Elle en absorbe juste une moitié. Elle se régale. Nous suçons un peu nos camarades de jeu, que nous nous échangeons. Je lui tends le sexe de Cédric et elle me rend Fabien. Mes lèvres autour de lui le font frémir. Moi aussi. Il attend ma bouche depuis longtemps. Peut-être Cédric lui a-t-il parlé de mon goût pour ça. Je tourne ma langue autour de son gland, je l’embrasse, je lèche ensuite toute sa tige, des boules jusqu’au gland. Puis je l’avale à mon tour, et je mouille comme une folle quand je le sens vibrer sous ma langue. Elle est douce et brûlante. Elle semble heureuse d’être là. J’aime sucer, et cette queue magnifique je sais que je vais aimer encore plus. Je la sens vibrer, se tendre, se faire amoureuse de ma bouche. Elle se plait, cette queue, entre mes lèvres, sur ma langue. Et elle me plaît beaucoup aussi. Agnès nous regarde en branlant Cédric avec douceur. Je le lèche encore un moment, sous leurs yeux intéressés, puis, pour nous calmer un peu, nous retournons au bar pour demander à boire au patron. Jus de fruits !
Nous sommes toujours demi nues toutes les deux, et restons un moment au bar à discuter de nos folies. Fabien écoute avec un sourire radieux comment nous avons, entre nous, adopté le plaisir, et comment nous avons l’habitude de nous retrouver. Comment j’ai demandé à Cédric pour la première fois et aussi pour ma belle. Il est scotché. Surtout, nous expliquons comment nous vivons cela. Uniquement du plaisir partagé. Rien d’autre. Je précise, en embrassant Agnès avec amour, qu’elle c’est autre chose pour moi. Et je me colle à Cédric pour lui montrer que je l’apprécie beaucoup aussi.
Puis Fabien, qui commence à bien rentrer dans notre jeu, l’effet de surprise étant passé, revient vers moi et me caresse les seins en se mettant derrière moi, assise sur mon tabouret. Nous continuons de parler ainsi, et Cédric s’occupe de la poitrine d’Agnès, qu’il masse sous mes yeux. Ses tétons sont gonflés, et cette forme de seins ajoute à l’impression de désir. Je sens le sexe que j’ai goûté déjà tout à l’heure durcir dans mon dos. Agnès est avec Cédric, et elle commence à fouiller dans son pantalon, sortir son sexe et le masturbe gentiment en venant le plaquer sur son minou, assise sur son tabouret et lui entre ses jambes. Le spectacle excite fortement Fabien et je descends ma main pour attraper son bel outil, et nous continuons de les regarder.
Elle déshabille Cédric, qui s’empresse de l’aider, et il revient, nu, entre les jambes d’Agnès, qui l’attrape et le guide à l’intérieur d’elle. Et il commence à la prendre ainsi. La vue de son sexe, bien dur, bien droit, qui la pénètre avec force sur son tabouret me fait envie. Elle gémit de plaisir. Nous restons un moment à les regarder, ma belle qui gémit et Cédric qui prend son temps pour la prendre, en douceur, et avec force parfois. J’en veux aussi. Je demande à mon partenaire d’en faire autant. Il va vite se déshabiller et je regarde pour la première fois mon Fabien, nu et bandant. Son superbe sexe est bien droit devant lui.
Je le connais déjà, mais pour la première fois il est nu. Bel athlète ! Un buste avec des muscles très bien dessinés, une carrure impressionnante, des cuisses et des fesses sorties du calendrier des rugbymen, une peau légèrement dorée, résultat de ses séances d’UV, et lisse. À part une petite barbe très fine, volontairement mal rasé, mais entretenue, il est entièrement épilé. Mon fantasme préféré ! Et puis cette queue ! Droite, longue, superbe, fière ! Épilée également. Nous sommes tous ainsi ce soir. Cédric garde un peu de poils sur son torse et les cuisses mais depuis quelque temps, à notre demande, il a accepté de se faire épiler. Il apprécie maintenant. Je lui ai fait il y a trois jours a peine et il est fier, ce soir, d’être beau quand il prend ma belle.
Fabien revient à moi, fier de mon regard admiratif, et il est aux anges quand je l’attrape de mes deux mains pour masser dans tous les sens son sexe bien dur. Je suis encore étonnée et ravie quand je le tiens ainsi. Ma main fait à peine le tour de sa queue, et mes deux mains semblent petites quand je le branle. Je passe un moment à jouer avec, en massant ses boules, lui tournant tout autour, le tirant, je branle, je masse, je caresse. Et j’admire en même temps. Il est tendu et son gland est bien rouge. Il me voit triturer sa queue dans tous les sens et il est ravi que je la regarde avec tant de gourmandise. Il s’en redresse encore.
Je le tire à moi. Écarte mes jambes. Agnès, à côté, pousse des petits cris sous les coups de Cédric. Ils se calment et nous regardent à leur tour. Cédric au fond de ma belle. Il ne bouge plus et nous observe. Je guide mon nouveau jouet sur ma chatte, ouverte. Mon kilt ne cache rien et je peux admirer le gland qui commence à fouiner entre mes lèvres. Je le tiens toujours, et de l’autre main je prends Cédric qui est presque ressorti d’Agnès pour se calmer. Avoir deux queues pour moi. Un rêve. Et il commence à me prendre. En douceur. Il s’enfonce en moi. Sensation étrange. Je me sens envahie comme jamais. Il est presque arrivé au plus profond de moi, que je vois encore un peu de sa queue. Je me redresse sur mon tabouret quand il commence à bouger. Je suis comblée ! Remplie ! Bien ! Je lâche Cédric qui reprend son va-et-vient dans Agnès. Et je me laisse faire.
Un moment de bonheur intense. Me faire prendre et regarder Agnès prise aussi, avec son regard parfois qui me dit que c’est trop bon. Ça ajoute à mon plaisir de la voir gémir et être bien comme ça. Je la vois souvent, mais là je suis prise aussi en même temps. À voir comme elle se mord la lèvre avec ses yeux qui se ferment, je devine exactement ce qu’elle ressent. Je ressens aussi. Son plaisir est le mien, mes frissons sont les siens. On se regarde jouir de nos partenaires et on se sourit. Heureuses. Une nouvelle façon de faire l’amour. Ensemble, côte à côte, prises en même temps. Nous ressentons la même chose, au même instant, et on se tient la main pour mieux nous ressentir vibrer.
Il me fouille d’une façon nouvelle pour moi. Il me prend différemment de Cédric. Je ne sais pas dire pourquoi, mais autrement, pas mieux. Différent. Je vois son engin ressortir et me reprendre avec à chaque fois cette sensation de me sentir petite au passage de sa bite. Il m’écarte à chaque coup de reins, jusqu’à ce que mon minou s’adapte à lui. Pas un coin de mon sexe ne ressent pas le sien. Je le sens partout. Fort. Dur et doux. Mes seins sont gonflés. Je me caresse un peu. Lui me tient par les hanches et s’applique à me pénétrer sans me bousculer de trop. Et il me prend ainsi un bon moment. Je veux que ça dure longtemps.
Parfois quand un couple se calme, c’est pour regarder l’autre et, elle ou moi en profitons pour glisser une main sur la queue en action, pour partager le bonheur que l’autre ressent. Pour accompagner et montrer que nous ne faisons qu’une. Le sexe en moi est aussi le sien. Et il le sera après.
Un peu de calme pour tous. Nous voulons faire durer le plaisir. Le moment est très intense pour nous tous. Fabien encore plus. Et tout en restant assises sur nos tabourets, je pousse Fabien et demande à Cédric de prendre sa place. Les deux potes se croisent avec un sourire d’ange. Et Cédric, à peine entre mes jambes, me pénètre avec force et reste au fond de moi. Je me crispe. Je sens un autre sexe en moi, et même si je suis moins « remplie », le plaisir reste le même. Inconsciemment rassurée de comprendre que mon minou s’adapte à la queue qui le pénètre. Et que le plaisir est identique.
J’ai eu une pensée avant de reprendre Cédric en moi : avoir goûté un sexe un peu hors normes peut-il faire perdre les sensations d’un sexe « normal » ? En fait, non. Et tant mieux. Aspect différent, certes, mais le plaisir est intact. Si ce n’est, au départ, le sentiment d’être envahie.
Je me sens bien avec lui aussi. Et je regarde Agnès enfouir Fabien en elle. À voir ses yeux fixés sur cette superbe queue, je sais qu’elle a les mêmes pensées que moi quand il m’a comblée avant elle. Il la prend doucement, puis commence à la baiser. Je regarde Cédric me prendre et Fabien la prendre. Je frissonne de cette vision superbe. Deux sexes, qui nous prennent. Je jouis de sentir Cédric, et je jouis de voir Fabien pénétrer Agnès. Je pose ma main sur Fabien quand il ressort. Il continue de baiser ainsi, et ma main, et ma belle dans le même geste. Elle me regarde en se mordant les lèvres. Je la connais. Je sais dans son regard que son plaisir monte. Il la baise plus fort. Cédric se calme et lui lèche les seins en se penchant.
Moi j’ai trouvé son bouton et l’agite au rythme des coups de queue de Fabien. Son corps d’athlète en rajoute sur le spectacle. Il semble la secouer fort, alors que ses gestes sont très doux. Tout en gardant Cédric au fond de moi, j’aide Agnès à jouir. Elle crie. Elle s’agrippe à ses épaules et il la soulève du tabouret. Il est entier en elle. Elle hurle un peu et lui continue de s’enfoncer. Elle est folle ! Elle hurle encore avant de se reposer sur son siège. Elle a joui vite et Fabien reste en elle pendant que Cédric recommence à me baiser à son tour. Le spectacle l’a déchaîné. Ma belle m’embrasse et me caresse. Mon plaisir monte.
Cédric m’attrape sous les fesses et me transporte sur un canapé. Me pose au bord et reprend sa place en moi. Les autres nous rejoignent. Agnès vient caresser Cédric entre les jambes. Il s’énerve. Fabien assis à côté de moi me caresse aussi et se tient la queue bien raide. Il a envie. Je prends la place de sa main et, tout en étant baisée, je le branle. Plaisir immense que de le reprendre en main. Plaisir que d’avoir une queue en moi et une en main, belle, brûlante, qui me prenait il y a un instant. Sentir les doigts d’Agnès me branler moi aussi en même temps que Cédric me baise. Et mon plaisir monte. Fort. Très fort. Je jouis et lui serre son sexe en même temps. Cédric aussi ne tient plus. Agnès est plaquée à lui et nous masturbe en même temps. Il crie et moi aussi. Je sens un jet fort au fond de moi. Brûlant. Je jouis !
Il sort de moi et s’installe à son tour sur le canapé. Épuisé. Agnès le prend de suite en bouche avec gourmandise. Il continue de jouir en elle. Elle le savoure. De son jus et du mien. Je regarde Fabien resté avec son énorme sexe tendu. Il a envie lui aussi. Je me lève et, toujours avec mon kilt, je viens au-dessus de lui. Et je descends doucement m’empaler sur lui. Mon minou est encore tout électrique du plaisir que je viens de prendre. Je descends encore. Comblée à nouveau. Sa queue me remplit à nouveau toute entière. Il m’attrape par les hanches et me fait aller et venir à son rythme sur son sexe de plus en plus énorme. Je le sens gonfler en moi, palpiter à chaque fois qu’il est au fond. Un deuxième immense plaisir me reprend. Et je sens qu’il me pénètre avec énergie. Il me regarde, heureux, hébété, se cambre, m’enfonce sur lui. Et à nouveau un jet puissant au fond de moi. Je hurle à mon tour. J’ai joui. Il a joui.
Je reste sur lui le temps de me remettre, assise et comblée. Nous sommes tous en sueur. On se regarde puis un vrai rire nous prend. On est trop bien. On se marre. Et en riant nous descendons toutes les deux entre leurs jambes, et avec un :
On les engloutit tour à tour en bouche pour les sucer encore jusqu’à ce que la pression de leurs queues ait diminué. « Voila ! C’est propre ! » Et grand fou rire. On fait nos folles. Heureuses.
Après un petit coup de fil pour prévenir que l’on ne rentrait pas, nous décidons de dormir ici. Et une bonne partie de la nuit, toujours dans cette pièce, nous refaisons l’amour. Nous, tous ensemble, toujours côte à côte. Toujours à se partager un sexe ou un autre, à baiser ensemble le même ou la même. À sucer l’un ou l’autre, ou les deux. À s’offrir à un des garçons et parfois les deux, qui se disputent de leurs queues un minou ouvert et humide toute la nuit. Nous baisons de façon simple, énergique ou tendre. Ponctué de pauses au bar et de douches, juste à côté. À croire que cette pièce n’est faite que pour ça. Pour l’amour. Nous reviendrons. Une nuit à jouir comme des folles, comme des fous. Heureuses et heureux. Un partage de plaisir.
Au matin, je me suis réveillée, au milieu des autres, dans le lit de Fabien, où nous avons fini par venir nous reposer. Cédric est derrière moi et me sourit en me caressant les seins. Je sens son sexe entre mes fesses. Il a dû dormir ainsi. Agnès à côté et Fabien, affalé sur elle, son membre lui aussi calé entre les fesses de ma belle. On se lève. On s’habille vite fait pour aller chercher pain et croissants. En voiture, une main entre mes jambes, il me dit :
Et moi de répondre :
Je n’ai remis que mon kilt et il conduit en me fouillant d’une main. Jusqu’à la boulangerie. En rentrant, nous préparons une table, mais dans la chambre Agnès est toujours endormie sur le buste de Fabien, et elle tient son sexe dans une main. Du coup, avec Cédric, nous allons faire l’amour sous la grande douche aménagée dans la salle où nous nous sommes amusés toute la nuit. Et notre journée est aussi torride que notre nuit. Plus calme malgré tout, car nous sommes tous épuisés. Mais nous restons nus toute la journée, et les couples se forment en fonction des envies, des instants, toujours en présence des autres, qui commentent, qui aident, et qui finissent par participer.
Trop simplement génial. Et si simple…