n° 13770 | Fiche technique | 34867 caractères | 34867 6000 Temps de lecture estimé : 25 mn |
21/03/10 |
Résumé: Alors que le voyage vers le secteur Dragan commence, Braise et Ardent poursuivent leurs découvertes sensuelles... | ||||
Critères: #sciencefiction #initiation #confession fh ffh fbi couplus hépilé fépilée fsoumise hdomine cérébral voir lingerie cunnilingu fgode pénétratio fdanus fsodo jouet jeu sm | ||||
Auteur : iam.knowbodies Envoi mini-message |
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Je profite de ce quatrième épisode pour remercier tous ceux qui m’ont lu, ainsi que pour leurs remarques, critiques et encouragements.
Une critique revient souvent : il ne se passe plus grand chose depuis le premier chapitre. Avec un peu de recul, force m’est de constater qu’elle est tout à fait fondée ! Alors autant vous prévenir : ça continue comme ça jusqu’à la sixième partie. Désolé ! Ça fait déjà quelques temps que ces textes sont écrits, j’y tiens trop pour les laisser simplement tomber, et je suis trop paresseux pour les reprendre en profondeur ! Il vous faudra donc prendre votre mal en patience, ou « sauter » cet épisode et le prochain…
Bonne lecture (enfin, j’espère !)
Iam Knowbodies
La vie à bord du Souffle Étoile a été bouleversée. L’astronef a été pris en chasse par un autre vaisseau, et de façon particulièrement sérieuse en plus, sur deux Surfs consécutifs. Il ne s’en est tiré que de justesse, grâce à une manœuvre désespérée de son Pilote, Ardent Astrenoir. Manœuvre interdite car trop dangereuse, ce qui le pousse à demander à Braise, experte en systèmes informatiques de tout poil, de l’aider à dissimuler ce Transfert entre deux Vagues aux yeux de tous.
Le capitaine du bord et oncle adoptif des deux jeunes gens, Oscar Astrenoir, décide alors de « changer d’air », et ils s’apprêtent à Surfer vers le secteur Dragan.
Parallèlement, Braise s’est fait surprendre par Ardent en pleine activité intime et sensuelle. Cela libère chez les deux jeunes gens de lubriques démons – et pourquoi pas, après tout ? Ils ont été élevés comme frère et sœur, mais ne partagent aucun lien de parenté biologique. À leurs fréquents entraînements aux arts martiaux, s’ajoutent donc maintenant des joutes de plus en plus torrides…
Mais voilà qu’une première Vague favorable est annoncée par les systèmes de bord…
***
Lorsque Braise et Ardent arrivèrent sur la passerelle, Oscar était déjà en train de s’insérer dans sa console de Surf. Ce fut donc d’une voix étouffée qu’il répondit à la jeune fille :
Tandis que Braise se glissait devant ses écrans de contrôle, Ardent, non sans jeter un regard d’envie vers sa console personnelle, se coula dans le siège du capitaine. Cette position de « chef d’orchestre » n’était évidemment d’aucune utilité sur un vaisseau à l’équipage si réduit, mais c’était un excellent poste d’observation.
Le Surf, s’il permettait de franchir de grandes distances rapidement et sans dépenser trop d’énergie, entraînait une navigation assez chaotique, surtout sur les longs trajets. Si l’on pouvait approximativement déterminer la zone spatiale dans laquelle on allait émerger, la précision variait fortement en fonction du temps passé sur la Vague, soumise à de subtiles et imprévisibles variations de structure. Un long voyage spatial s’apparentait donc à une succession de Surfs de plus en plus courts et précis, cernant petit à petit la destination ciblée, un peu comme une main tâtonnant dans le noir à la recherche d’un interrupteur.
Oscar mit fin au Surf assez vite, avant de plonger comme de juste dans une inconscience réparatrice.
Cette première étape, sans histoires, leur permit de se rapprocher légèrement du secteur convoité – et surtout, de quitter définitivement la zone de la Galaxie qu’ils avaient sillonnée en tout sens durant presque dix ans :
Baissant les yeux sur Oscar, il demanda :
Et la longue attente de la Vague favorable reprit…
***
Cette nuit, c’est Braise qui a pris le quart médian. Pour se tenir éveillée, elle se remémore les quelques moments intimes partagés avec son « faux-frère » ces deux derniers jours, leurs découvertes mutuelles. Elle laisse librement voleter son imagination, butinant un phantasme puis l’autre, en distillant un miel merveilleux, doté de milles saveurs douces ou corsées, dont elle se gorge sans retenue… Alors qu’elle entame sa dernière heure de veille, le brasier que cet aphrodisiaque nectar a allumé dans son esprit s’est étendu à tout son corps, une lave brûlante suinte d’entre ses cuisses, elle se sent au bord de l’éruption. Puisque, mis à part quelques broutilles, ils n’ont rien fait de sérieux depuis l’avant-veille, elle décide de passer à l’action !
À peine sortie de la passerelle, elle enlève sa combinaison – elle apprécie le contact doux et sec de l’air ambiant sur sa peau surchauffée, et puis, pourquoi le nier, elle aime se promener presque nue dans le vaisseau désert et silencieux, avec juste une petite pointe de délicieuse appréhension à l’idée qu’elle pourrait être surprise ainsi, dévêtue de sa seule petite culotte imbibée de cyprine…
Abandonnant l’apesanteur pour la pesanteur artificielle des tores de vie, elle se hâte vers la cabine d’Ardent et, contrevenant à toutes les règles de savoir-vivre, s’y glisse sans s’annoncer. Elle contemple quelques instants son compagnon abandonné au sommeil, d’une pâleur presque luminescente dans la pénombre légèrement cuivrée de l’éclairage de nuit. Il repose sur le dos, ce qui va lui faciliter les choses, d’autant qu’elle sait son sommeil assez léger.
Veillant, via leur lien, à ce qu’il ne s’éveille pas, elle s’approche du lit et commence, plus douce qu’une brise, à faire glisser la couverture à ses pieds. Elle dévoile petit à petit son mince corps d’ivoire, l’effleure rapidement du bout de la langue, goûtant sa peau, avant de se concentrer sur le zone critique. Elle laisse maintenant courir ses doigts sur la poitrine, le ventre, les jambes du jeune homme sur le point de se réveiller, et, de sa langue, de ses lèvres, encourage la renaissance du phénix de chair et de sang niché au creux de ses cuisses.
Ardent, maintenant parfaitement éveillé, est soufflé par l’intensité de l’excitation qui émane de Braise. Celle-ci, satisfaite du résultat de ses efforts, ne poursuit pas plus avant afin de le conserver en pleine forme pour la suite des opérations :
Grâce à leurs échanges d’émotions, Ardent sait maintenant très bien où elle veut en venir, mais il tient à ce qu’elle l’exprime de vive voix :
Braise s’est glissée contre lui, frottant tout son corps contre le sien, suppliante, déjà totalement dans le jeu, sentant Ardent tout à fait près à y répondre :
Il n’ajoute pas que lui aussi est sur le point d’exploser. Il se lève et l’entraîne sous la douche, lui précisant :
La touchant le moins possible, il lui baisse sa petite culotte détrempée, sifflant entre ses dents :
Puis il attrape la pomme de douche, la dirige vers leurs pieds, règle un jet fin et puissant, et ouvre le robinet. Ils sautillent légèrement sous le mordant de l’eau glaciale, puis il remonte lentement sur son côté jusqu’à ses épaules qu’il parcourt plusieurs fois, laissant le liquide froid redescendre et calmer doucement ce corps incandescent. Les éclaboussures le détrempent et l’apaisent rapidement lui aussi.
Relativement calmés, ils peuvent de nouveau se toucher. Ardent ne s’en prive plus, frottant doucement son corps aux courbes de la jeune fille, partageant ses sensations avec elle. Il commence à jouer du jet d’eau avec les pointes de ses seins, durcies par le fluide glacial et l’excitation. Puis il redescend le long de son ventre, sans trop insister car c’est la partie la plus sensible au froid. Arrivé au pubis, il s’arrête :
Braise obtempère avec empressement, appréciant de plus en plus ce massage froid et mouillé. Il reprend à la base du cou, glissant rapidement le long de sa colonne vertébrale jusqu’au bas du dos, s’insinue dans son sillon fessier, parcourt la faille de son mont de Vénus. Puis il revient en arrière, écartant ses lèvres intimes pour dénicher son petit bouton de plaisir. Il partage avec elle la morsure du jet glacé sur son clitoris, mêlé au plaisir que lui procure le doigt qu’il a glissé en elle. Mais ce n’est qu’une ruse pour ouvrir ses chairs resserrées par le froid et inonder son fourreau, ce qui déclenche une nouvelle vague de frissons de douleur et de plaisir mêlés. Il ne manque pas de conclure ce nettoyage approfondi en faisant subir le même sort à son petit trou.
Sortis de la douche, il sèche rapidement leurs deux corps qui se réchauffent rapidement. Debout, nus, ils s’observent quelques instants, se voient par le regard de l’autre :
Ils partagent les émotions que leur procure cet habillage d’autant plus impudique que c’est la victime qui décrit et dirige son délicieux supplice. Ardent fait très attention de nouveau à toucher le moins possible ce corps féminin redevenu de braise.
Il l’entraîne sur sa couchette, où ils s’installent face à face, à genoux, les cuisses bien écartées :
Braise rougit un peu, mais l’idée lui plaît. Elle commence, légèrement hésitante, en partageant en plus avec lui ses souvenirs émotionnels :
Grâce aux images qu’il perçoit dans l’esprit de la narratrice, il ne met pas longtemps à re-situer les événements :
Elle se caresse doucement en revivant le début de cette soirée, il l’accompagne grâce aux sensations qu’elle lui livre par sa voix et son esprit.
Tous deux surfent toujours précautionneusement sur la vague du plaisir en revivant ses souvenirs.
Ils connaissent tous deux la réponse à cette dernière question, puisqu’ils sont en train de revivre cet instant tel que l’a conservé sa mémoire. Mais l’exprimer à voix haute, avec des mots forcément imparfaits, la rendra encore plus crue et impudique. Braise s’y plie avec joie :
Ainsi que Braise l’a subodoré, son frère n’est pas particulièrement pressé de répondre à cette question. Il choisit donc de rouvrir les hostilités :
Seul un petit sourire vicieux lui répond. Puis il se penche, ramasse le petit bout de satin et l’enfile autour de sa tête. Il lui plaque quelques instants l’entrejambe du sous-vêtement sous le nez, afin qu’ils partagent les puissantes fragrances qui en émanent, avant de l’insérer petit à petit entre ses lèvres, entre ses dents, dans une bouche qui en salive d’avance. Elle mord avec délices le tissu imbibé de leurs sucs les plus intimes, lui faisant partager ces saveurs secrètes mais guère discrètes. Emportée par ses fantasmes, elle mâchouille à travers ce symbolique bâillon :
À défaut de matériel plus approprié – il n’aurait jamais pensé qu’ils puissent aller si loin dans ce type de jeu –, il attrape un bas noir assez opaque, et l’entoure plusieurs fois autour de sa tête. Il mime l’impatience :
Provocante, elle rétorque :
Il récupère alors le frère jumeau du « bandeau » de ses yeux, lui ramène les bras dans le dos et enserre ses poignets dans le nylon élastique, terminant par une clé gansée très facile à défaire – plus pour se rassurer lui qu’elle, manifestement. Aveuglée, frissonnante de plaisir, elle suit, à travers son corps et les yeux d’Ardent, l’annihilation symbolique de sa liberté de mouvements. Filant la métaphore, celui-ci exprime de vive voix ce qu’elle ressent :
Ce long « accordage » leur a permis d’atteindre un état d’esprit particulier, presque une transe. Leurs consciences se sont enfoncées aux tréfonds de leurs êtres, devenues simples observatrices de la symphonie qui se développe petit à petit. Entrés en résonance, instrument et musicien se livrent l’un à l’autre sans retenue, corps et âmes, sensations et émotions. Ils se fondent, ne forment plus qu’un être vibrant aux plus subtiles harmoniques du plaisir.
Braise est encore debout, aveuglée, bâillonnée par sa petite culotte, le cou cerclé d’un collier de cuir noir, les bras ramenés dans le dos, les épaules rejetées en arrière pour mieux exhiber sa fière poitrine durcie par l’excitation. De fines chaînettes enserrent son ventre et ses seins, avant de descendre soutenir les fines cuissardes qui enrobent d’une seconde peau des jambes qu’elle a gardées largement écartées, comme pour assurer son équilibre. Ce même réseau d’acier maintient la perverse pièce de cuir qui plonge entre ses fesses pour venir recouvrir la seule flamme de son pubis, livrant traîtreusement tout ce qu’un slip se doit de protéger. Or et feu sont sublimés par la nuit.
Ardent est juste derrière elle, sa nudité élémentaire contrastant avec la mise sophistiquée de sa partenaire, sa blancheur incandescente répondant à ses teintes chaudes et sombres. Au mâle membre durci aux feux du désir, répond le jus exprimé par le tendre fruit femelle, qui s’écoule déjà le long des deux peaux recouvrant ses cuisses.
Il se rapproche très légèrement, frôle doucement quelques-unes de ses courbes. Elle vibre intensément, s’abandonne à l’orgasme qui la submerge. À l’écoute de son instrument, il perçoit parfaitement la torride mélodie de son plaisir, la partage, l’accompagne, lui offre la sensation de ses doigts sur son ventre, ses fesses, ses seins, sa peau lustrée de sueur et d’un fluide plus intime lorsque qu’il descend caresser, à la frontière entre les deux épidermes, l’intérieur de ses cuisses. Il n’a même pas eu besoin d’approcher des cordes les plus sensibles pour qu’elle chante une première fois. Elle s’est laissée aller contre lui, plaquant son dos contre sa poitrine, enserrant de ses fesses son membre érigé.
Mais il ne jouit pas, il ne doit pas jouir. Le plaisir du musicien, c’est le chant de son instrument. Il doit rester concentré jusqu’à la dernière note avant de pouvoir se relâcher. L’instrument se livre, le musicien se contrôle. À la jouissance de l’abandon complet répond celle de la maîtrise totale.
Sans un mot, il l’entraîne sur le lit et la positionne pour la suite des opérations, dans cette posture tellement classique et pratique, obscène et humiliante, à genoux, les cuisses ouvertes, les fesses en l’air, le dos cambré, le buste et le visage pressés contre les draps. Ils se délectent du double plaisir que leur offrent leurs perceptions respectives de ce corps ainsi offert, vue et odorat enrichissant les sensations internes, le contact du cuir et du métal sur sa peau brûlante, les ruissellements de sueur et de mouille qui ne la rafraîchissent même plus, et les innombrables frémissements de sa musculature intime…
Alors, du bout des doigts, il recommence à jouer d’elle, attentif cette fois à ne pas la laisser basculer à nouveau. Maître du jeu, il ne la laisse pas percevoir ce qu’il prépare, se délectant de ses soubresauts de surprise à chaque nouvelle étape franchie – sans manquer ensuite de lui faire partager toutes les sensations et émotions qu’il éprouve. L’odeur affolante qui monte de sa croupe. La vue de son sexe entre-ouvert, nu, encore plus indécent ainsi exposé au milieu du cuir. La douceur humide des chairs qu’il masse délicatement avant de les écarter. L’étreinte torride étouffant le majeur qu’il a glissé dans sa chatte. Les saveurs aphrodisiaques qui imprègnent sa langue lorsqu’il la pose sur sa fleur dégoulinante de rosée. Le soyeux des deux fourreaux dont il caresse maintenant l’intérieur, du pouce qu’il a glissé sans difficulté dans son œillet, et de l’index qui a rejoint le majeur.
Elle s’est mise à osciller doucement d’avant en arrière au rythme de ses caresses, frottant sa poitrine douloureusement érigée contre les draps du lit, miaulant à travers l’entrejambe de la culotte. Lorsque les doigts délicats quittent ses intimités, c’est pour être remplacés par une langue ferme et décidée qui les explore avec enthousiasme. Ils la sentent pénétrer sa chatte, masser ses muscles, s’enivrent de ses saveurs, bientôt enrichies des parfums épicés découverts au creux de sa rosette.
Lorsqu’enfin sa verge la pénètre, d’un seul mouvement lent et profond, il manque de perdre la maîtrise de leurs corps. Fiché en elle, il s’immobilise un long moment, le temps d’être suffisamment calmés pour pouvoir poursuivre. Maintenant, il va devoir contrôler, garder en laisse deux corps…
Il commence alors à bouger, très lentement, tantôt en de petits mouvements très secs, presque des vibrations, tantôt en d’interminables va-et-vient, parcourant de son gland tout son fourreau. Il n’en prépare pas moins la suite, d’autres surprises pour récompenser son abandon total. Il goûte le frisson qui la parcourt lorsqu’elle sent la fraîcheur du gel recouvrant le doigt qu’il introduit de nouveau dans son cul. Mais il la prend totalement au dépourvu lorsque, l’estimant bien lubrifié, il y fait pénétrer la première bille. Elle frémit à chaque fois qu’il y insère une nouvelle perle du chapelet, qui semble sans fin. Elle est pourtant bientôt pleine, alourdie de toutes ces petites sphères de métal froid qui maltraitent son fondement, sa chatte et sa queue.
L’opération inverse est encore plus délicate. À chaque perle libérée, son petit anneau ainsi forcé de l’intérieur déclenche immanquablement un tsunami qui remonte le long de son dos, manquant de tout emporter sur son passage. Son sexe se crispe autour de sa verge, ils se figent alors, à l’écoute d’un plaisir qu’il contient tant bien que mal.
Lorsque la dernière bille a quitté ses fesses, il s’enroule autour de son derrière pour lui glisser à l’oreille :
Braise continue encore un moment à sortir toutes les expressions les plus crues qu’elle connaisse ou puisse imaginer, faisant onduler ses fesses gainées de cuir comme une forcenée – heureusement qu’il s’est retiré de sa chatte ! Seule la sensation de son gland recouvert de mouille contre son œillet intime la fait taire. Elle essaye de reculer, de s’empaler d’elle même sur le pieu de son « instrumentiste », mais Ardent la retient, les mains sur les fesses :
Il doit prendre son temps, son « instrument » est encore très serrée, il ne veut pas lui faire mal, ni jouir prématurément… Ils expérimentent à nouveau ces sensations troubles qu’elle a déjà connues, mais ils découvrent également l’intense plaisir qu’éprouve son sexe massé par l’anneau de chair soyeuse qui le parcourt au rythme de leurs coups de rein. Leur plaisir monte, lentement, il sait qu’elle pourrait jouir ainsi, uniquement par le cul… Mais il sait aussi qu’il ne pourra tenir, sa résistance s’émousse, il ne peut supporter beaucoup plus longtemps le délicieux supplice qu’il s’est imposé.
Il offre alors à sa compagne sa dernière surprise, glisse une main sous son ventre pour lui écarter les lèvres et y glisser un cylindre d’acier. La double pénétration la propulse sur la crête d’une immense lame de fond. Il les y maintient encore quelques ultimes et merveilleuses secondes, avant de les libérer. Le déferlement de l’orgasme les submerge, les noie, avant de les rejeter finalement, inanimés, sur les rivages du plaisir.
Braise s’est effondrée, elle est maintenant allongée sur le ventre, son amant toujours encastré dans ses entrailles pesant sur elle de tout son maigre poids. Lorsqu’il se relève enfin et commence à la libérer, elle se sent bien, assouvie, pleine de son foutre. À travers ses yeux, elle se voit telle qu’il la voit, vivante image de la débauche. Alors qu’il la déshabille tendrement, il se délecte du petit ruisseau de sperme qui suinte d’entre ses fesses pour venir jouer avec sa chatte détrempée. Il lui retire enfin bandeau et bâillon et, soutenant sa tête, il l’embrasse longuement, profondément, avant de lui glisser à l’oreille :
Il l’abandonne ainsi au sommeil, lovée au milieu de son lit, gluante de sexe et d’amour. Un dernier sourire effleure ses lèvres à l’idée de la verge d’acier qu’il a vicieusement « oubliée » au creux de son ventre…
Souhaitant également conserver sur son corps odeurs et humeurs de leur folle nuit, il ne se lave pas non plus avant de sortir, toujours totalement nu, afin d’effectuer une indispensable lessive. Corvée que, cette fois-ci, il est sûr d’apprécier…