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Temps de lecture estimé : 16 mn
05/07/10
corrigé 12/06/21
Résumé:  Le Maître décide d'inviter des femmes pour un service bien particulier.
Critères:  fh hplusag fsoumise hdomine humilié(e) facial fellation attache yeuxbandés fouetfesse
Auteur : ChrisetPit  (Partager notre expérience au travers d'histoires imaginaires)            Envoi mini-message

Série : Dyna et le Maître

Chapitre 02 / 04
Le Maître

Dyna et le Maître



Résumé du premier épisode : Dyna, belle et grande femme dans la cinquantaine, vient d’être embauchée comme secrétaire chez un auteur littéraire à succès. Celui-ci, très riche mais bizarre, exige d’être appelé Maître et refuse que l’on voie son visage. Le premier jour, punie pour avoir fait deux fautes d’orthographe, elle reçoit une fessée qui ne la laisse pas indifférente.




Épisode 2 : Le Maître



Jusqu’à la fin de la semaine, le Maître ne se manifesta que pour réclamer une tasse de café ou quelques dossiers. Presque totalement autonome, Dyna commençait à apprécier ce travail fort intéressant dans la variété de ses tâches et par la perspective d’un excellent salaire à la fin du mois.

Durant le week-end, elle décide d’écorner ses économies pour, d’un côté faire un grand ravitaillement afin de remplir un frigo presque vide et, de l’autre pour renouveler sa garde-robe en vue de l’été qui approche. Émoustillée par sa nouvelle richesse, elle s’achète quelques petites jupes légères, des hauts sympas et toute une panoplie de dessous un peu coquins.


Lundi 9 h. Elle arrive dans son bureau et prépare le café. Assez vite, elle a une impression bizarre, comme si quelque chose avait subtilement changé. Elle regarde autour d’elle, parcourt toute la pièce du regard : rien ! Tout est en place. Si ce n’est peut-être, une plus grande propreté ; le Maître aura fait faire le ménage pendant le week-end… Intriguée quand même par cette intuition qui ne lui est pas habituelle, elle se met au travail pendant que le café passe. Dix minutes plus tard, le Maître réclame son café.


Quand elle pénètre dans l’antre du Maître, les yeux baissés, elle entend :



« Tiens, l’ours s’est léché ce matin, il serait presque aimable… » pense-t-elle.



Malgré sa morgue, Dyna sent le Maître un peu gêné.



Il glisse une feuille sur son bureau jusque sous le regard de Dyna. Celle-ci prend et lit :


• libre accès aux appâts de la dame : pas de soutien-gorge, pas de culotte, robe ouverte sur le devant ou jupe large et corsage (pas de t-shirt ou autre vêtement qui ne s’ouvre pas sur le devant),

• peu importe la forme ou la taille des seins, mais ils doivent être « naturels » (pas de seins refaits ou siliconés),

• aucun piercing ni de cicatrice sur le corps,

• pas de sexe rasé ou épilé (à la rigueur, j’admets la taille du maillot).


Lorsqu’elle a fini de lire, il ajoute :



Dyna est sidérée :



Cela fait, elle s’assoit à son bureau et réfléchit à la mission qui l’attend. Après un premier sentiment naturel de gêne, elle se rend compte que la perspective de cet extra la trouble ; elle n’a jamais eu d’expériences avec des femmes, même pendant son adolescence et, si la pensée lui a sans doute traversé l’esprit, elle ne s’y est jamais attardée. Mais l’envisager l’émoustille ; elle passe une main sous sa jupe, glisse un doigt sous son shorty et se donne un petit bonheur vite fait. Après ces quelques instants, elle reprend son travail de classement.


La journée passe lentement rendue plus terne par la perspective d’un lendemain palpitant. Énervée, elle dort mal et fait un rêve pesant où, dans une foire, elle se trouve devant une rangée de femmes à qui elle examine les dents et soupèse les seins. Elle se réveille en sueur, la bouche pâteuse. Après avoir bu un demi-verre d’eau, elle parvient à se rendormir pour être réveillée difficilement à 7 h par la radio.


Arrivée dans son bureau, elle trouve dans un angle une petite table surmontée d’un miroir avec un nécessaire de produits de maquillage, une psyché dans laquelle on peut se voir en pied, un masque en cuir noir pour occulter les yeux et une paire de menottes en acier avec leur clé. Elle déballe les produits et les dispose élégamment sur la table ; en reculant pour voir l’ensemble, elle se dit qu’une rose serait nécessaire pour rendre ce petit coin encore plus agréable et féminin.


Elle en fait part au Maître quand elle va lui porter son café ; il trouve l’idée excellente et lui donne carte blanche pour aller acheter ce qu’il faut. Elle sort et, chez un fleuriste, choisit une belle rose rouge dans un soliflore effilé ainsi qu’un bouquet de freesias pour son bureau. De retour, elle arrange tout cela et se met au travail jusqu’à midi. Elle a du mal à contenir son impatience et, exceptionnellement, se rend dans un petit restaurant pour ne pas rester seule avec ses pensées.


13 h 50. Elle attend de pied ferme le premier rendez-vous. Elle vérifie que le Maître a bien basculé la commande du concierge automatique dans son bureau, s’assoit, se relève, tourne en rond fiévreusement, regarde le petit portillon d’entrée. Une envie de fumer la démange et elle peste aussi bien contre le Maître que contre ces lois imbéciles qui l’empêchent d’assouvir son besoin.


14 h. On sonne, elle actionne la gâche et se rend sur le perron pour accueillir l’arrivante. C’est une jeune femme brune, petite et fine. Dyna lui tend la main et se présente, elle lui répond de l’appeler Yasmine. Elle l’emmène dans son bureau.



Dyna se dit que ce n’est pas gagné. Devant elle, malgré ses airs désinvoltes, Yasmine danse d’un pied sur l’autre, le regard parcourant nerveusement toute la pièce. Pour la mettre à l’aise, Dyna lui demande de s’asseoir, elle en profite pour l’observer. Sans être vraiment beau, son visage est agréable, son nez est fin et sa bouche très large. Ses yeux espiègles sont très noirs et brillants. Elle porte un ensemble en toile bleue jean, veste et jupe étroite sur un t-shirt blanc (« Ça va pas être la joie pour la préparer », se dit-elle)



Dyna se sent grisée par cet acte d’autorité ; le changement à vue de l’attitude de Yasmine lui amène un trouble qui la réjouit profondément. La voilà qui fouille dans sa poche et en retire un porte-carte qu’elle tend à Dyna :



Dyna regarde la carte d’identité ; date de naissance : 12 décembre 90, pas de problème. Elle referme le porte-carte et le rend à sa propriétaire.



L’humilité du ton augmente encore le trouble de Dyna qui sent son sexe s’humidifier. Elle doit respirer à fond pour calmer l’excitation qui la fait trembler. Elle montre le coin maquillage à Yasmine :



Dyna lui pose le masque en cuir et le serre bien pour ne pas qu’il glisse. Elle reste à côté de la jeune fille pour prendre ses vêtements au fur et à mesure qu’elle les retire. Sans fioritures, elle retire son soutien-gorge et son string. Sa poitrine, très ferme et en obus, est imposante et semble disproportionnée par rapport à son corps un peu fluet. Avec le bandeau sur les yeux, ça lui donne une charge érotique intense qui ne laisse pas Dyna indifférente.



Elle lui remet sa veste et lui passe les menottes. Elle se penche sur l’interphone et appelle :



La voix est encore plus grave que d’habitude.



Dyna prend la jeune fille par les épaules et la guide vers le bureau du Maître. Les yeux baissés, elle s’approche du fauteuil puis s’en va. Troublée au plus profond d’elle-même, elle ferme la porte en sortant et va s’asseoir à son bureau.


Elle ne saura jamais ce qui s’est passé pendant les quinze ou vingt minutes qui suivirent, assise elle a sans doute rêvé jusqu’à ce que l’interphone la fasse sursauter :



Elle se précipite, pense au dernier moment à baisser les yeux et trouve Yasmine qui rampe sur le tapis. Elle est couverte de sperme : sa figure, ses cheveux, sa poitrine et son ventre, elle en a partout. Dyna la redresse et l’entraîne vers les toilettes. Elle ne lui retire pas le bandeau, elle ne veut pas qu’elle se voit ainsi, avilie. Avec une serviette mouillée, elle la nettoie puis l’essuie. Le contact de la peau et surtout des seins de Yasmine met Dyna dans un état second. Elle a presque un orgasme sans même se toucher. Tendrement, elle la ramène dans son bureau et lui libère les mains et les yeux. La jeune fille titube puis se met à rire :



Alors, Dyna se penche sur l’interphone et demande :



Devant les yeux de la jeune fille qui s’arrondissent quand elle lui remet les huit billets de cinquante euros, Dyna sent encore ce plaisir trouble qui monte en elle. Elle la raccompagne jusqu’à la porte :



Et elle disparaît dans la rue.



À 15 h arrive une grosse blonde pulpeuse. Grosse est peut-être un peu fort, disons ronde. Dyna lui refait son cinéma, la femme entre deux âges qui dit s’appeler Émeline, ne réagit pas. Elle est habillée d’une robe d’été fermée sur le devant par des boutons : l’idéal ! Quand Émeline retire son soutien-gorge blanc, pas très net sous les bras, ses deux gros nichons aux aréoles à peine marquées, s’affaissent sur son torse. La culotte large cache une toison blonde sauvage mais presque transparente. Dyna se penche légèrement pour renifler le parfum, mais Émeline doit sortir de la douche : elle sent le propre.


Elle va s’asseoir à la table de maquillage et se repasse du rouge à lèvres sur la bouche puis sur ses pointes de seins qui s’érigent sous la caresse. Elle fait signe à Dyna qu’elle est prête. Dyna lui remet sa robe puis l’aveugle et lui passe les menottes.


La séance dans le bureau du Maître dure plus d’une demi-heure. Quand Dyna va la rechercher, elle ne voit pas une goutte de sperme sur Émeline. Aurait-elle tout avalé ? En tout cas, le Maître a l’air enchanté puisqu’il lui attribue six-cents euros ! Elle disparaît rapidement.


À 16 h, c’est une bourgeoise paumée, du genre à faire quelques extras pour se faire un peu d’argent de poche. Elle n’avait rien compris à l’annonce et s’est enfuie dès que Dyna a commencé à lui expliquer de quoi il retournait. Quand elle en fait part au Maître, celui-ci lui demande de venir le rejoindre.



Il lui donne un « post-it ».



Dyna est effondrée. Ainsi depuis hier, il a pu suivre tous ses faits et gestes ! Elle qui pensait être dans un sanctuaire… C’est donc cela qu’elle avait ressenti hier matin… Il lui prend l’envie de lui sauter dessus pour le gifler, le taper, lui faire mal. Il le sent :



Le pire, c’est qu’elle commence à réaliser qu’il a raison. Rien que le fait de penser à se caresser sous son regard l’excite déjà… D’autant plus qu’en retour, elle pourra le voir aussi.



Arrivée dans son bureau, elle s’empresse d’aller à l’adresse inscrite sur le bout de papier et là, en gros plan, elle voit sur l’écran, le sexe au repos du Maître qui est nu en dessous de la ceinture. Le champ de vision s’arrête sur le bas d’un vêtement, sans doute un t-shirt blanc. Il la regarde certainement car, à ce moment là, il prend son pénis tout mou et le secoue comme pour un salut. Elle rit de bon cœur et, aux soubresauts du bas-ventre du Maître, lui aussi doit bien rire.


17 h. C’est un « canon » qui arrive. Pas très grande, élancée, les cheveux blond platine coiffés à la garçonne, un tailleur bleu marine sortant manifestement de chez un grand couturier, des bas couleur fumée et des escarpins aux talons de 12 cm. Impressionnée, Dyna ose à peine tendre la main :



D’autorité Jo s’assoit sur une chaise et s’adresse à Dyna en la détaillant de la tête aux pieds avec arrogance :



Le ton ferme de Dyna ne semble pas impressionner Jo qui se lève avec un sourire ironique. Dyna s’approche et ouvre la veste de tailleur. Jo ne porte rien en dessous. Elle a des seins raisonnablement volumineux mais très pointus ; très fermes, ils n’ont besoin d’aucun soutien. Les tétons sont tendus et semblent narguer Dyna. Troublée, celle-ci vient les palper.



Sans relever l’affront, Dyna dégrafe ensuite la jupe qui se révèle être une jupe-portefeuille simplement drapée sur les hanches. Un mince porte-jarretelles barre le bas-ventre mais, comme annoncé, Jo ne porte aucun autre sous-vêtement et sa peau est exempte de toute cicatrice. Seul problème, les lèvres de son sexe sont épilées et de sa toison ne subsiste qu’un petit cœur de poils presque ras.


Dyna se demande quoi faire quand l’interphone se manifeste :



Dyna place le masque de cuir, serre les menottes autour des minces poignets et ne remet pas la jupe qui risquerait de gêner les opérations. C’est donc la veste ouverte, en porte-jarretelles et bas que Jo, très droite, se laisse conduite près du bureau du Maître. Lorsqu’elle s’en retourne, elle entend la voix très sèche du Maître :



Après avoir fermé la porte, Dyna se précipite sur son ordinateur pour suivre la scène. Quelques manipulations lui permettent d’avoir le son et même d’actionner le zoom de la caméra. Elle voit le dos de Jo qui, à genoux et bien droite, semble narguer le Maître. La voix de celui-ci résonne, froide et coupante :



La voix est devenue cinglante. Jo ne baisse pas la tête mais se balance d’un genou à l’autre pour écarter les jambes. La main droite du Maître apparaît tenant une cravache ; à petits coups, il frappe l’intérieur des cuisses pour qu’elles s’écartent davantage. Quand elles sont bien ouvertes, Dyna aperçoit le sexe de Jo, entrouvert avec les petites lèvres gonflées qui dépassent des grandes :



Le Maître s’est levé, il a ouvert la veste de tailleur et l’a repoussée des épaules pour la faire retomber sur les bras de Jo où elle bouchonne, retenue par les menottes. Elle est maintenant débraillée et nue sous le regard du Maître. Son assurance semble s’effondrer progressivement.



Après avoir détruit l’ordonnance stricte de la coiffure, la cravache passe sur les seins qu’elle frappe à petits coups, puis vient tambouriner les côtes :



En même temps, la cravache descend lentement sur le corps de Jo jusqu’à son entrejambe. Dyna aperçoit des gouttes qui tombent du sexe de Jo. (« Mais, ça la fait mouiller, ça alors ! ») Maintenant, c’est la petite languette de cuir qui vient tapoter et frotter les petites lèvres. Surprise, Jo laisse échapper un cri et se trémousse. Sèchement, un coup de cravache lui arrive sur la fesse.



Matée, Jo baisse la tête. La cravache reprend la masturbation et semble se concentrer sur le clitoris. Le corps de Jo est traversé de frissons, elle ne peut retenir un long gémissement, la cyprine maintenant pleut à grosses gouttes sur le tapis. Tout à coup, dans un grand sursaut, elle s’écroule sur le côté et semble prise de convulsions, ses jambes se détendent et fouettent l’air.



Un coup de cravache vient claquer sur le ventre de Jo.



Les bras attachés dans le dos, Jo se relève difficilement. Tout dans son attitude révèle sa nouvelle humilité. Tout à coup, l’image change, le Maître vient de brancher une seconde caméra ; c’est maintenant le profil de Jo qui est sur l’écran.


Une main posée sur sa nuque dirige la bouche de Jo sur un pénis fièrement dressé. Elle est maintenant entre les jambes du Maître assis dans son fauteuil et elle le suce studieusement. Au bout d’un moment, il se lève, lui attrape les cheveux à pleines mains et commence à lui faire l’amour dans la bouche :



Jo ouvre encore plus la bouche et est régulièrement secouée de haut-le-cœur. Aux spasmes du bas-ventre du Maître, Dyna comprend qu’il est en train d’éjaculer dans la gorge de Jo qui déglutit douloureusement. Le pénis déjà mou, le Maître se retire de la bouche :



Docilement, Jo avance la tête, langue tendue jusqu’à trouver le sexe détendu. Elle le lèche, le prend en bouche tendrement, se baisse pour lécher les testicules. Le Maître s’assoit :



La cravache claque sur la cuisse.




À suivre…