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Temps de lecture estimé : 22 mn
13/08/10
Résumé:  Avec l'aide de Xara et Thylis, je tente de mener à bien ma mission. Mais c'est franchement épuisant ! Jamais je n'arriverai à tenir le rythme !
Critères:  fh fffh médical bain fellation pénétratio humour sorcelleri -sf
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Le rédempteur

Chapitre 04 / 07
Yolen et les endochlorates

Résumé de l’épisode 1 : Le 19 juin 2010, lors d’une soirée en boîte, j’ai rencontré Thylis, une superbe brune avec qui j’ai misérablement baisé, à moitié bourré. Le 22 juin, Xara, une magnifique jeune femme rousse aux grands yeux verts, a débarqué chez moi, en se réclamant venir de mon futur, où Thylis aurait rapporté ma semence à des fins d’études. D’abord parfaitement dubitatif, je suis obligé de me rendre à l’évidence lorsque Xara m’emmène à bord de son temporeur, une machine à voyager dans le temps, jusqu’à son époque, plus de deux mille ans dans mon avenir.


Résumé de l’épisode 2 : Xara m’a tout de suite présenté trois de ses sœurs, Anya, Eloa et Jiris, qui ont limite insisté pour « s’accoupler » avec moi. Et puis ma compagne m’a conduit jusque devant le « Conseil », une assemblée de femmes âgées dirigée par la « Vénérable ». Celle-ci m’a expliqué qu’en l’an 3572, la Terre avait été frappée par un énorme astéroïde qui avait éradiqué presque toute vie. Seuls une poignée d’être humains avaient survécu, et le peuple de Xara était leurs descendants. Mais un problème les menaçait : peu à peu, leurs femmes n’avaient plus donné naissance qu’à des filles. Et c’est pourquoi j’avais été choisi : fertiliser les sœurs de Xara.


Résumé de l’épisode 3 : Ma compagne m’a fait visiter la vaste demeure qu’on occuperait : quatre niveaux souterrains d’un luxe et d’un niveau technologique incroyables. Elle m’a ensuite conduit à la grande salle où toutes ses « sœurs » ont l’habitude de partager leurs repas (à base d’insipides bouillons) ; j’ai été présenté à toute la population (moins de trois cents femmes), et j’y ai retrouvé Thylis. Sans savoir que Xara et cette dernière ne s’entendent pas très bien, j’annonce que je souhaite partager ma vie avec elles deux. Devant la lourde tâche de fertilisation qui m’est dévolue, les Conseillères acceptent de me fournir des substituts énergétiques qui m’aideront à être plus efficace. C’est Thylis qui, tandis que je dors en apesanteur aux côtés de Xara, m’apporte finalement la « graisse de ponge » destinée à me rendre plus « vigoureux ». Les deux jeunes femmes se disputent presque instantanément mais se réconcilient finalement et j’apprends qu’elles étaient autrefois « petites amies ».








Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 50 h 16 :



J’étais éveillé déjà depuis quelques minutes, occupé à nageouiller à travers la pièce en dévorant des yeux les corps de Xara et Thylis, toujours endormies, qui flottaient un peu en dessous de moi, lorsque je retombai par hasard, au gré de mes évolutions, sur le tube de graisse de ponge que m’avait apporté la splendide jeune femme brune lorsqu’elle nous avait rejoints au milieu de notre nuit. J’avais quasiment extorqué à deux Conseillères une astuce aphrodisiaque et elles m’avaient conseillé de m’enduire le sexe de cette fameuse graisse de ponge, ainsi que de boire je sais plus trop quelle étrange décoction.

Intrigué, je saisis le tube en question et tentai un moment de l’ouvrir, jusqu’à ce que je m’aperçoive enfin que ce n’était pas un tube, mais bien un pain de graisse séchée – qui me rappela savamment les blocs d’huile de friteuse que j’utilisais parfois chez moi. À force d’essayer de l’ouvrir, j’en avais déjà plein les doigts, et je commençai à en sentir l’effet : une forte chaleur se répandait dans toutes mes mains, qui me semblaient se gonfler ; et la chair et la peau me paraissaient se tendre et durcir, du bout de mes doigts jusqu’à mes poignets. Si ça marchait pareil sur ma bite, ça allait être terrible ! Je pris cette fois-ci le bloc de graisse par le bas, où il était protégé dans une gangue de bois et le frottai doucement tout autour de la base et de la hampe de mon sexe parfaitement mou. C’était incroyable ! En moins de deux minutes, je bandai à bloc, sans pourtant particulièrement d’excitation. Ce n’était pas tout à fait comme une érection habituelle, il y avait quelque chose de subtilement différent, que je n’arrivais pas franchement à définir. Mais je m’en foutais, ça irait bien…


Je me branlai machinalement quelques minutes en contemplant les jeunes femmes, lorsque j’entendis quelqu’un toussoter doucement, comme pour signaler sa présence. Dans un réflexe, je tentai dérisoirement de cacher mon sexe tendu comme jamais. C’était Anya, la jolie blonde aux yeux couleur océan que j’avais rencontrée à mon arrivée, au bord de la rivière. La veille – enfin, quelques heures avant, en fait, parce que j’étais complètement cuit, je lui avais mis un gros vent alors qu’elle avait souhaité « s’accoupler » avec moi, et je lui avais proposé de passer me voir à l’occasion. Et elle n’avait pas perdu de temps, visiblement… Elle se tenait debout dans l’encadrement de la porte, restant soigneusement à l’extérieur de la chambre, presque toute nue dans sa jupette. Je savais pas trop si elle était là depuis longtemps à m’observer me graisser et m’astiquer la queue…



Et elle me tendit une sorte de bouteille.



Tandis que, comme je le pouvais dans l’apesanteur, je m’approchai doucement de la porte, elle contemplait avec intérêt ma queue monolithique qui pointait vers elle.



Je parvins à me mettre debout tout près de la porte et sortis de la chambre, retrouvant les effets désagréables de la pesanteur – seul mon sexe resta en l’air. Je pris des mains d’Anya le flacon et en bus une gorgée. Pouah ! C’était vraiment pas super ! On aurait dit de l’eau de mer caramélisée. Beuark !



J’avais envie de lui répondre que j’étais pas débile, mais je préférai me la jouer :



Elle me parut rougir encore, mais ce n’était qu’apparent, car elle n’hésita toutefois pas à refermer une main autour de mon sexe et à commencer à me branler doucement.




***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 51 h 10 :




On s’était pourtant mis dans la salle de bains, assez loin de la chambre, mais les cris – les hurlements, même – que poussait ma partenaire avaient réveillé Xara et Thylis qui, toujours nues, m’observaient maintenant chaleureusement baiser de toutes mes forces la blondinette. Celle-ci se montrait particulièrement avide de sensations, et malgré ses trois orgasmes, en demandait toujours plus. Moi je commençais à fatiguer ; mais la graisse de ponge faisait des miracles. Le problème, c’est que je devais être quasiment vide…


Xara s’approcha de nous et vint m’embrasser tranquillement alors que, en sueur, j’assenais à un rythme effréné de violents coups de bassins dans le derrière d’Anya, qui, penchée en avant, appuyée sur un mur, accompagnait mes mouvements en balançant ses hanches et en braillant. Thylis, pendant ce temps, était en train de se débarbouiller le visage derrière nous. Curieusement, l’indifférence qu’affichaient mes deux compagnes à notre coït m’apporta la petite dose d’excitation qui manquait pour provoquer ma jouissance. Dans un feulement et quelques spasmes, j’éjaculai au fond du sexe de ma partenaire qui oscilla des fesses en couinant encore deux ou trois fois.


Je m’extirpai du corps de la jeune femme, qui se redressa, apparemment ravie et visiblement épuisée, et je sautai sans réfléchir dans la baignoire géante. À peine y avais-je posé le pied qu’elle se remplit d’eau chaude en à peine quelques secondes. Xara m’y rejoignit presque aussitôt, immédiatement suivie de Thylis.



Pendant qu’Anya était en train de reprendre ses esprits et semblait se demander si elle pouvait nous rejoindre dans la baignoire, Thylis s’amusait à caresser ma bite avec ses pieds.



Je soupirai puissamment. Effectivement, je bandai encore, probablement grâce à la graisse de ponge, mais j’étais fameusement épuisé, et pas loin d’être endolori.



Thylis continua en regardant la troisième jeune femme :



Xara la regarda avec une sorte d’expression jalouse, dont je devinais le motif : Thylis avait beaucoup voyagé à diverses époques, bien davantage qu’elle-même.



Une question me traversa l’esprit :



Oui, elle avait déjà mentionné ce fait la veille. C’était étonnant.



En repensant soudain à notre triste repas de la veille, j’interrogeai :



À son regard pesant, je compris qu’il n’y avait pour elle aucune autre façon de se sustenter. Mais Thylis expliqua :



C’était Anya qui s’évertuait à me vouvoyer.



Elle tiqua. Thylis n’avait pas l’air emballée non plus.



Super cool !



Elles n’avaient sans doute pas tout compris à ma phrase, mais Xara au moins avait perçu le sens général car elle répondit en souriant et en me masturbant doucement :



Thylis s’approcha de moi avec des yeux mutins et plongea sa tête sous l’eau pour refermer sa bouche autour de mon gland qui dépassait de la main de Xara. J’esquissai un léger gémissement lorsqu’elle me suça doucement. Les deux autres la regardaient faire, hébétées. Elle se redressa rapidement, manquant probablement d’air et passa ses mains dans ses cheveux puis s’essuya les yeux.



Mais comme les deux autres avaient toujours l’air inquiètes, je précisai, en me levant :



Thylis, agenouillée, se précipita à nouveau sur mon sexe désormais à l’air libre et me pompa soigneusement quelques secondes. Malgré ma fatigue et mon absence d’« envie », je savourai ses caresses en soupirant.



Celle-ci fit une tentative, plutôt maladroite mais pleine de bonne volonté.



L’interpellée tenta sa chance et suçota un instant mon gland, mais s’arrêta rapidement pour commenter en se frottant les mâchoires :



Celle-ci, en réaction, se remit à me pomper avec acharnement, sous les yeux ravis de sa copine. Anya, elle, semblait avoir décrété que c’était naze et sortit de la baignoire. En observant ses fesses ensorcelantes, je demandai innocemment entre deux soupirs :



Thylis et Anya me regardèrent bizarrement, n’ayant visiblement pas compris ma question. Xara s’en foutait et continuait à me pomper et à me branler.



Mais Thylis m’informa, à voix basse, avec un sourire :



Je me marrai. Puis gémis de nouveau. Xara s’y prenait de mieux en mieux, et surtout, elle ne s’arrêtait pas.



Je comptai rapidement. Une vingtaine d’années ; c’est ce que j’aurais dit, à vue de nez.



Je me marrai encore. Et pour accompagner sa réponse, elle mit un doigt à Xara qui ne ralentissait pas son rythme.



Si c’était possible, je bandai encore plus. L’excitation, la vraie, était largement revenue.



Thylis se jeta presque sur la place vacante pour m’offrir une fois de plus tout son savoir-faire buccal.



Elle se tourna encore vers Anya qui était en train de rajuster sa jupette :



Si ça continuait, j’allais surtout ensemencer la bouche de Thylis… La blondinette acquiesça. Comme elle allait sortir, je l’interpellai encore :



Ah, ouf ! Je croyais que je l’avais vexée à force de parler d’agriculture et de cul avec elle. Elle me l’apporta. Et m’afficha encore son plus beau sourire pour me congratuler :



Elle s’éloigna. Je regardai Xara et Thylis qui s’amusaient à me sucer l’une après l’autre ; je bus une grande gorgée de l’espèce de gel d’eau de mer, j’allais en avoir grand besoin, je crois.




***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 52 h 03 :



Agenouillé dans la baignoire, j’étais en train de défoncer Xara de toutes mes forces, la tenant par les hanches, tandis qu’elle-même léchait fiévreusement Thylis qui se tenait péniblement en équilibre sur le bord de la baignoire. Il y avait de l’eau partout dans la pièce. Nous gémissions tous trois à qui mieux mieux, et n’entendîmes probablement pas frapper. Aussi sursautai-je quelque peu en découvrant soudain une autre nana plantée debout à côté de notre grande bassine et qui nous observait gaiement. Je ralentis quelque peu mon rythme en détaillant la nouvelle venue, tandis qu’elle-même détaillait soigneusement toute mon anatomie. Mais Xara ne l’entendait pas comme ça, et continua d’imprimer tous les déhanchements possibles, une main entre ses cuisses, et toujours dévorant sa copine. Et toutes deux explosèrent bientôt de plaisir en se tordant et en poussant de grands cris qui firent halluciner la nouvelle venue.


Quand elles furent calmées, mes partenaires se redressèrent, m’abandonnant avec ma queue toujours tendue, et me présentèrent la nouvelle venue qui répondait au nom de Shony, et qui, si elle était un tantinet enrobée et franchement moins belle que Xara et Thylis, possédait toutefois un charme indéniable. Mes deux compagnes lui proposèrent tout naturellement de nous rejoindre dans la baignoire, et l’inconnue, d’abord hésitante, s’exécuta finalement après avoir retiré sa jupette lorsque Xara lui eut promis tout le bonheur du monde.


Et là, malheur ! Je me mis à débander… Sautant presque hors de la baignoire avant que ça ne se voie trop, je criai :



Et je courus jusqu’à la chambre d’apesanteur où l’espèce de paraffine à bander flottillait toujours. Je m’élançai à travers la pièce pour l’attraper et m’en coltinai allègrement sur ma queue flageolante.


Je revins en héros une ou deux minutes plus tard, avec la bite plus tendue que jamais, bus encore une grande gorgée dans le flacon d’endochlorates, et resautai dans la baignoire où les trois jeunes femmes m’attendaient impatiemment.




***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 53 h 11 :



Bon… force m’était de constater que la graisse de ponge et leur espèce de schnouf à l’eau de mer ne me suffiraient pas à assurer la survie de l’espèce. Shony venait de s’effondrer littéralement sur le rebord de la baignoire après un ultime orgasme ; Xara et Thylis étaient parties, sans doute lassées ; ça faisait pas loin d’une heure que je tronchais la jeune femme à un rythme totalement délirant et, si je n’avais pas débandé d’un iota, je ne l’avais en revanche toujours pas ensemencée d’un microlitre.


Shony, parfaitement à bout de forces, me lança un regard qui voulait dire « Ouaouh, Gufti, c’était trop bon ! J’ai jamais vécu ça ! Je pensais même pas que c’était possible ! », puis un autre à ma bite qui voulait dire :



Je ne dis rien car moi non plus, j’en pouvais plus. Et je commençai sérieusement à avoir mal.



Heureuse de cette promesse, elle sortit de la baignoire, alla se sécher sous l’espèce de lampe à bronzer, remit sa jupette et m’abandonna après m’avoir chaleureusement remercié puis souhaité « bonnes heures » – que je pris tout d’abord pour « bonne sœur » en me demandant pourquoi elle me disait ça.


Une fois tout seul dans ma bassine, je contemplai un instant ma bite endolorie et toujours gonflée à bloc. Il m’allait falloir procéder autrement et calmer un peu mon ego. Je ne pourrais pas satisfaire la libido de toutes ces femmes. Je me promis de juste strictement ensemencer celles qui viendraient dorénavant, et de ne plus sortir le grand jeu que pour Xara et Thylis. Et éventuellement pour Anya. Et aussi à la rigueur pour Jiris, qui était vraiment très belle. Et puis, bon, aussi pour Shony, parce que maintenant qu’on avait commencé, ce serait mal de la laisser tomber. Ah là là ! Je n’y arriverais jamais !


J’arrêtai là mes réflexions stériles et décidai d’essayer de me laver ; il y avait probablement un des nombreux boutons autour de la baignoire qui me balancerait du savon, mais lequel ? J’essayai de comprendre les espèces d’idéogrammes qui y figuraient, puis en tentai un premier qui m’aspergea immédiatement la tronche d’un grand jet genre massage. Un second provoqua d’inquiétants remous dans toute la baignoire. Mais le troisième fut un peu meilleur : une surabondante mousse parfumée se répandit soudain tout autour de moi, et je décidai que ça irait bien ; je me lavai avec ça.


Je sortis ensuite et tentai ma chance sous l’espèce d’halogène rayonnant où toutes les filles s’étaient séchées. Le truc se déclencha automatiquement, et sans que je comprenne comment, sans la moindre chaleur apparente, sans le moindre souffle d’air, me sécha effectivement. Par contre, j’avais toujours que mon caleçon et mon vieux tee-shirt. C’était quand même pas la gloire. Surtout que je me trimbalais toujours une gaule du diable… Quand Xara m’avait fait visiter la baraque la veille, elle m’avait ouvert une espèce d’armoire où il y avait de grandes toges blanches ; ça allait me dépanner, faute de mieux. J’en enfilai une et me regardai dans une sorte de miroir en trois dimensions. C’était parfaitement abject. Et ça ne masquait pas le moins du monde ma gaule délirante. J’essayai plutôt d’en nouer une autour de mon bassin, la faisant blouser et redescendre jusqu’à mes cuisses ; c’était tout aussi abject, mais déjà un peu plus décent. Après, c’était pas gagné que le nœud tienne. On verrait bien…


J’avais bien envie de profiter de tous les trucs chouettes qu’offrait la baraque, mais je remis ça à plus tard. Je devais d’abord me concentrer sur ma mission. Et pour commencer, je devais aller trouver les Conseillères.




***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 53 h 55 :




La Vénérable avait radiné son fauteuil voltigeant jusqu’en face de moi ; seules deux autres Conseillères évoluaient plus haut, au-dessus de nous. Les autres n’étaient pas là.



Ah ouais ? Ouh là… Moi j’avais déjà vidé la moitié du flacon en moins de trois heures…



Aïe…



La vieille aveugle émit une sorte de bruit qui devait être un rire.



Elle se marra encore. J’avais vraiment l’impression qu’elle arrêtait pas de se payer ma tête. Elle poursuivit :



La toute vieille soupira en souriant.



À tout hasard, je demandai quand même :



Elle se poila encore.



Cette fois-ci, elle ne répondit rien. Ça avait pas l’air de l’amuser, elle non plus.



Elle soupira, avant de presque murmurer :





***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 54 h 30 :




Yolen avait non seulement une voix charmeuse, mais aussi des yeux ensorceleurs, un beau visage, aux jolis traits presque enfantins malgré sa trentaine bien prononcée, et surtout, surtout, elle avait une poitrine à tomber par terre ! Et son cul, que je devinais sous sa jupette, me donnait bien envie aussi ! Elle était debout derrière une sorte de grosse machine flottante qui semblait lui servir à la fois de bureau et d’ordinateur. Tout autour d’elle trônaient plein d’autres engins plus ou moins inquiétants. En regardant finalement les seins de la fantastique infirmière, je répondis :



L’idée me gavait sévère au départ, mais à présent, ça m’amusait nettement plus.



J’hésitais quand même. J’avais toujours ma gaule de la mort, et même si l’idée m’emballait, j’étais pas venu là dans le but de tringler Yolen. Je savais pas trop non plus comment elle allait réagir en voyant ma bite tendue.



Finalement, ça m’amusait. Je crois qu’à nouveau, j’étais envahi d’une réelle excitation qui prenait le pas sur l’effet de la graisse de ponge. Je dénouai donc ma grande tunique et me dévoilai nu comme un ver à la charmante infirmière. Malgré elle, elle écarquilla les yeux et resta bloquée sur mon organe toujours raide comme jamais. Et pendant qu’elle matait ma bite, moi je matais ses seins.



Je répétai ma question en me marrant intérieurement.



Elle se mit à tapoter à toute allure sur son bureau flottant ; ça déclencha apparemment une grosse machine, derrière elle, qui me fit penser à une cafetière géante, vers laquelle se tourna finalement l’infirmière. Je dévorai ses fesses des yeux pendant les quelques secondes qu’elle passa retournée.



Avant que j’aie pu répondre quoi que ce soit, elle ajouta d’un air décidé :



Et hop ! Elles étaient quand même hallucinantes, toutes ces nanas ! Elle me fit donc grimper sur une sorte de fauteuil de dentiste flottant qu’elle fit voleter jusqu’à avoir ma bite bien sous les yeux, et commença à étaler doucement son baume sur tout mon sexe, le tout en me lançant ses yeux ensorceleurs, tiraillés entre l’envie et l’embarras.



Mais elle s’en foutait franchement et me branlait carrément, de ses deux mains. Et elle s’y prenait bien. De temps en temps, elle remettait un peu de son baume, sans doute pour avoir un vague prétexte. Je tendis une main pour caresser doucement sa poitrine somptueuse.



Elle lâcha mon sexe gonflé à exploser, et effectivement déjà moins douloureux. Je la suppliai du regard de ne pas en rester là. Dans ses yeux enflammés ne se lisait plus que désir.





***




Neuvième lunaison de l’an 539, seconde hexade, 55 h 40 :



Même problème. Yolen finit par s’effondrer d’épuisement au bout de plus d’une heure d’une baise exceptionnelle au cours de laquelle je n’avais pas faibli d’un iota et avais propulsé ma partenaire au septième ciel à plusieurs reprises. Ses cris avaient même alerté trois autres nanas, qui revenaient sans doute de bouffer dans la grande salle voisine, et étaient reparties rassurées quant au sort de leur femme-médecine après nous avoir observés baiser un moment. Mais je n’avais pas joui. Par contre, c’est vrai, je n’avais plus mal. Son baume était exceptionnel.



Même si c’était la septième ou huitième fois que j’entendais ça en vingt-quatre heures, ça me faisait toujours de l’effet… Étendue par terre, elle caressait nonchalamment ses gros seins en me couvant d’un regard mêlé de gratitude et d’extase.



Je ramassai mon espèce de vêtement et le nouai à nouveau autour de mon bassin, englobant de la façon la plus décente possible mon sexe toujours au sommet de sa forme. J’avais peut-être un peu abusé de la graisse de ponge, quand même. Yolen se releva péniblement, visiblement à bout de forces, et rajusta sa jupette en soupirant. Elle me confia l’espèce de gobelet dans lequel se trouvait son onguent magique de brantomachin. J’allais devenir une véritable pharmacie ambulante…


En sortant de la maison de santé, je comptai sur mes doigts en repensant à ma matinée – même si ça n’avait pas de sens ici, j’avais décidé de continuer de parler de matin, de midi et de soir. Dans les nanas que j’avais croisées depuis que j’étais debout, y avait guère que la Vénérable avec qui j’avais pas baisé… Anya, Xara, Thylis, Shony, et maintenant Yolen. Et ça faisait à peine six heures que j’étais réveillé… J’allais jamais tenir le rythme…




À suivre…