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Temps de lecture estimé : 9 mn
11/10/10
Résumé:  Alors que son copain a annulé leurs vacances, Aline est descendue passer quinze jours avec moi dans le sud de la France.
Critères:  fh vacances amour fellation cunnilingu anulingus pénétratio -amiamour
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Rencontre avec Aline

Chapitre 02 / 20
Premières vacances avec Aline

Résumé : Après avoir montré mon string à ma collaboratrice et qu’elle m’a montré ses seins, je rentre chez moi. Nous sommes devenus amis et, après que son mec a annulé un voyage en Tunisie, elle est venue passer deux semaines avec moi, dans le sud.





Arrivés à La Farlède (petit village à côté de Toulon), je lui fis visiter la maison, puis nous avons préparé deux chambres, pris une douche pour nous remettre du voyage et, comme à chaque fois que je descendais, nous sommes allés dîner chez des amis pour qui il était hors de question qu’après la route, je mange seul chez moi ou aille au resto à Toulon. En général, je les invitais le lendemain.


Arrivés, chez eux, je leur présentai Aline, et devant leur sourire, leur expliquai qu’il s’agissait seulement d’une amie qui, se retrouvant seule et n’ayant pas le moral, était venue passer quelques jours avec moi. Je vis à leurs sourires que je ne les avais pas trop persuadés. Sachant qu’il était inutile d’essayer de les convaincre, je pris le parti de les laisser à leurs croyances. La soirée fut très agréable. Comme d’habitude, le rosé était frais et abondant. J’aidai Patrick au barbecue, tandis qu’Aline donnait un coup de main à Brigitte pour mettre la table. Je remarquai qu’elles semblaient avoir développé une grande amitié dès leur premier contact. Étonnamment, j’en fus très heureux.


Est-ce la fatigue ou sa déception ? Je ne m’en rendis pas compte (sinon je l’en aurais empêchée) mais Aline but beaucoup de rosé et de champagne. Aussi, la chaleur aidant, c’est complètement ivre que je la ramenai chez moi. Heureusement, elle avait le vin gai. Arrivés à la maison, je voulus l’aider à se coucher quand soudain, elle me prit par le cou et m’embrassa.



Malheureusement, dans son état, elle ne se calma pas, loin de là.



Elle s’accrocha à moi et ne voulut pas entendre raison. Je n’eus plus qu’une solution. Je lui donnai une gifle, pas violente mais suffisamment pour qu’elle s’arrête immédiatement.



Alors, avec toute la tendresse dont j’étais capable, je lui dis :



Elle n’était pas calmée pour autant :



J’eus beau savoir qu’elle était saoule, sa phrase me fit vraiment du mal. Sans rien dire, je tournai les talons et allai dans ma chambre.


Le lendemain matin, j’étais allé chercher du bacon, des œufs, du lait et tout ce qu’il faut pour un petit déjeuner. Quand je revins, elle était debout et m’attendait très gênée et quasiment les larmes aux yeux.



Je l’ai emmenée vers un coin que j’adore qui s’appelle le Mont des Oiseaux, à partir duquel il y une vue magnifique sur la presqu’ile de Giens. Puis, nous sommes descendus rejoindre le tombolo, une bande de terre entre la mer et le port d’Hyères qui sont d’anciens marais salants. Comme souvent sur la Côte d’Azur, il faisait beau et chaud en ce mois de mai. Nous nous sommes assis sur la plage. Elle me regarda d’une manière un peu appuyée et me dit :



Et, j’en fus très surpris, mais elle en eut des larmes dans les yeux. J’étais vraiment sincère et je crois qu’elle s’en est aperçue.


Le soir, nous avons mangé dans un resto sur le port d’Hyères où elle a tenu à m’inviter malgré mes protestations. Puis nous sommes rentrés et, après quatre bises, nous sommes allés nous coucher.


Le lendemain matin, dans un demi-sommeil, je sentis le corps de ma compagne près de moi. Je me tournai et comme je le faisais toujours le matin avec Isabelle, je mis ma main sur sa hanche. Puis la réalité se faisant jour, je sursautai en constatant qu’Aline était couchée près de moi.



Sous son ton faussement fâché, elle souriait.



Puis, tout de suite, elle rajouta en riant :



Et elle prit ma main, la dirigeant vers son sexe. Je pus m’apercevoir de deux choses, auxquelles sur le moment je n’avais pas fait attention. Elle était totalement nue et, à sentir l’humidité que je percevais sur son sexe, oui, elle en avait envie !



Alors, elle se pencha sur moi et m’embrassa. Je répondis immédiatement à ses baisers, sentant mon désir d’elle devenir plus fort encore, si cela était possible. Puis, elle me fit des bisous dans le cou, sur le torse, s’attardant sur mes tétons. Puis, je sentis sa bouche descendre le long de mon corps. Quand elle fut près de mon ventre, elle me fit des petits bisous partout, autour de mon sexe, évitant soigneusement de le toucher, descendant sur mes cuisses, remontant. C’était une torture délicieuse. Enfin, elle posa sa bouche sur mon sexe, avec sa langue elle joua un peu avec le bout, puis tout doucement, elle le prit dans sa bouche et commença un merveilleux mouvement de va-et-vient qui me remplit de bonheur. J’étais resté un long moment sans me masturber les semaines précédentes, aussi, je compris immédiatement que je n’allais pas tenir longtemps.



Elle se dégagea, me regarda et me fit un grand sourire… avant de replonger et recommencer à me sucer avec un plaisir évident. Elle avait les yeux fixés sur les miens et regardait monter mon plaisir. Quand j’explosai, elle ne retira pas sa bouche, avalant tout et me procurant un plaisir fabuleux. Dès que j’eus fini de jouir, elle remonta près de moi et m’embrassa. Je reconnus le goût de mon sperme dans sa bouche et loin de me révulser, je trouvai cela très agréable.


Je la fis s’allonger sur le dos, puis j’ai eu envie de l’embrasser un peu partout, alors je lui fis des petits bisous sur les yeux, le nez, dans le cou, je jouai avec ma langue dans son oreille. J’eus l’impression qu’elle appréciait. Puis je descendis ma main le long de sa gorge, la caressant doucement. Ma main effleura ses seins, jouant doucement avec les tétons. Puis je descendis sur son ventre et remontai le long de son flanc. Je remarquai que certains endroits étaient plus sensibles que d’autres. Je fis comme elle m’avait fait avec sa langue tout à l’heure et je fis courir la mienne sur son corps. Je descendis sur ses seins, mordillai doucement les bouts. Je fis courir ma langue sur son ventre, léchai son nombril, remontai le long de son flanc, m’arrêtant et insistant là où elle semblait le plus réagir. Je remontai le long de son cou et recommençai mes petits bisous sur ses yeux, son nez, etc. Elle soupirait doucement, me disant des petits « c’est bon, c’est bon » ou « là, oui, continue. » Ma bouche descendit et cette fois je pris un mamelon dans ma bouche et le suçai franchement. Ses gémissements augmentèrent. Je descendis ma main vers son ventre et je me mis à la caresser.


Elle n’avait pas menti, elle en avait vraiment envie car, très rapidement, elle se tendit et, dans un râle, se mit à jouir. Je me laissai glisser par terre, me mis à genoux entre ses jambes, qu’elle avait écartées d’elle-même, je me mis à l’embrasser partout. À ma grande surprise, je constatai que j’avais retrouvé toute ma vigueur alors qu’avec Isabelle, une fois que j’avais joui, il me fallait toujours un long moment avant de pouvoir rebander…


Je promenai ma langue à l’intérieur de sa cuisse, descendant jusqu’au genou, remontant sur l’autre cuisse, ne déposant qu’un petit bisou en passant sur son sexe et recommençai mon manège deux, trois fois. Encore une fois, ses soupirs et ses gémissements m’excitèrent au plus haut point. Je remontai doucement et posai enfin ma bouche sur son sexe.


Je jouai avec ma langue sur les lèvres, ses gémissements augmentèrent d’intensité. Soudain, elle prit ma tête dans ses mains, me plaqua sur son sexe tandis que son corps se tendait et je sentis son plaisir couler abondamment sur ma bouche et mon menton.


J’avais très envie de lui faire l’amour, mais quand elle s’était tendue, j’avais pu apercevoir un bref instant un petit œillet, ce qui me donna une idée. Je la pris par les hanches, l’obligeant à descendre un petit peu plus bas sur le lit. Je passai mes bras sous ses jambes et les relevant, je pus admirer son petit trou. Je posai ma langue dessus et me mis à le lécher comme son sexe juste avant.


À ses réactions, je compris que j’avais eu une bonne idée. Je mis un doigt dans son sexe, puis un deuxième et tout en la léchant, je les fis aller et venir. Très vite, elle eut un nouvel orgasme. Ce fut elle qui me prit par les épaules pour me ramener à elle. Elle m’embrassa très fort. J’étais tendu au maximum. J’eus de nouveau envie de sentir mon sexe dans sa bouche alors je l’approchai de sa tête. Elle me fit un grand sourire et sans hésiter le prit dans sa bouche me suçant ardemment.


Je ne souhaitai toutefois pas jouir de nouveau de cette manière, aussi, je m’allongeai sur le dos. Tout de suite, elle se releva et vint s’empaler sur mon sexe. Je voyais ses seins qui bougeaient au rythme de ses mouvements. Je me relevai pour venir les sucer (merci ma prof de fitness pour les abdos). Je dévorai littéralement ses seins tandis que ses mouvements s’accéléraient. Je me laissai retomber sur le dos pour profiter à fond de mon plaisir que je sentais monter. Aline s’écroula sur moi en poussant un grand cri et se mit à jouir. Cela déclencha ma jouissance et me tendant sur mes jambes, je la décollai du lit tout en jouissant très fort dans son ventre.


Elle vint se lover contre moi et me fit le plus beau compliment (et je crois qu’elle était sincère) qu’elle pouvait me faire :



Elle se mit sur un coude et me regarda pensivement.



Elle ne dit rien, mais soudain dans un grand éclat de rire :



Le déjeuner fut très gai.


Nous avons refait très souvent l’amour durant ces deux semaines, parfois, elle me demandait de mettre un string dans la journée en allant nous balader ou voulait que je le garde pendant qu’on faisait l’amour, cela l’excitait.

Entre-temps, je lui ai fait visiter la région. Nous marchions main dans la main, nous faisant régulièrement des petits bisous. J’ai vécu les quinze jours les plus heureux depuis très longtemps. Malheureusement, le temps a passé très vite et l’heure du retour avait sonné.


N’aimant pas rentrer au dernier moment, je voyageais toujours le vendredi pour avoir le week-end pour me reposer. Aline reprit sa voiture et rentra chez elle. À peine une heure plus tard, elle m’appela toute excitée pour me dire que Joël l’attendait, lui demandant où elle était allée durant ces deux semaines et, surtout, lui avait dit qu’il l’aimait. Ils reprenaient donc la vie commune. Elle me remercia toutefois pour les quinze merveilleux jours que je lui avais fait vivre.


J’en fus très malheureux, car à peine était-elle partie que je regrettai déjà sa présence. Quand elle a téléphoné, j’allai justement l’appeler pour lui demander si elle voulait venir passer le week-end avec moi. Je pensais en profiter pour lui dire ce dont je m’étais aperçu.


J’étais tombé fol amoureux d’elle.