n° 14246 | Fiche technique | 26247 caractères | 26247Temps de lecture estimé : 16 mn | 25/01/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Après mes vacances avec Aline, la vie reprend avec des retrouvailles et des séparations. | ||||
Critères: fh fmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio confession -amourdura | ||||
Auteur : Hardi7273 Envoi mini-message |
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Tout d’abord, je présente mes excuses à tout le monde pour le retard mis à envoyer la suite de mes aventures avec Aline.
Mon patron m’a envoyé en mission fin octobre et tout le mois de novembre. Lorsque je suis rentré, j’ai regardé les commentaires faits sur mes récits et j’ai pu constater que beaucoup de lecteurs sur Revebebe semblaient inquiets du nombre d’épisodes que j’avais prévu.
Je les ai donc retravaillés pour les mettre par deux afin de raccourcir ce nombre. J’espère que cela vous plaira.
Je regarde toujours avec beaucoup d’intérêt les commentaires (flatteurs ou non) car ils nous permettent d’essayer de nous améliorer (est-ce qu’on y arrive ? cela est une autre histoire). J’invite ceux qui le souhaitent à aller consulter, éventuellement, les deux premiers chapitres – récits n° 14072 et 14084.
Bonne lecture à tous et n’oubliez pas que nous ne sommes que des amateurs, alors merci d’avoir de l’indulgence.
Résumé des épisodes précédents :
Après avoir montré mon string à ma collaboratrice et qu’elle m’ait montré ses seins, je suis rentré chez moi. Nous sommes devenus amis et, quand son mec a annulé au dernier moment un voyage en Tunisie, elle est venue passer deux semaines avec moi dans le sud, du côté de Toulon.
Pendant ce séjour, nous avons fait l’amour et à notre retour, je me suis aperçu que j’étais amoureux d’elle, tandis qu’elle reprenait la vie commune avec son compagnon.
Les mois qui ont suivi, ont été partagés entre les retrouvailles et les séparations d’Aline et de Joël. Entre deux retrouvailles, Aline revenait vers moi et nous faisions l’amour. Un jour j’osai enfin lui avouer ce que je ressentais pour elle. Je ne fus pas déçu. Voici la scène. Nous venions de finir de faire l’amour, ce qui avait été merveilleux comme d’habitude.
Je pensais donc que le moment était venu.
J’attendais sa réaction avec beaucoup d’espoir. Elle se redressa et se mettant sur un coude, elle me dit :
Je me suis retrouvé très déçu. Mais je fis contre mauvaise fortune bon cœur. Après tout, je l’avais à moi assez souvent et je pouvais profiter de son corps à défaut d’avoir son cœur.
Le temps a continué de filer. Parfois, j’avais l’impression qu’Aline en avait assez des attitudes de Joël et j’espérais alors qu’elle tomberait amoureuse de moi. Ses gestes de tendresse – elle était comme moi, avide de petits gestes soit à recevoir soit à donner – me faisaient penser qu’elle ressentait plus qu’une simple amitié pour moi. Un jour où Joël s’était montré encore plus méchant et égoïste que d’habitude, elle semblait vraiment en colère contre lui et naturellement, elle était venue pleurer sur mon épaule. Je lui proposai d’aller passer un week-end au mont Saint-Michel qu’elle avait toujours désiré connaître. Nous avons fixé la date pour le samedi en 15.
J’avais pris une décision, j’avais acheté une bague et allais lui demander de m’épouser. Si elle refusait arguant de son amour pour Joël, alors je romprais. Cela me ferait de la peine et peut-être un peu à elle aussi, mais je ne supportais plus cet état de fait. Nous avions prévu de manger ensemble le vendredi midi et de planifier notre séjour. J’avais fait toutes les réservations nécessaires.
J’étais très impatient. Lorsque j’étais passé la chercher, j’avais vu par la vitre de son bureau qu’elle était au téléphone, je lui avais fait signe que je partais en avance. Quand elle arriva, elle avait un grand sourire et tout de suite me dit :
La foudre me serait tombée dessus, je n’aurais pas ressenti un plus grand mal. Alors, comme tous les timides quand ils se sont décidés, j’allai au bout de ce que j’avais déterminé :
Elle semblait étonnée, je crois que c’était la première fois que je la rembarrais et que je lui parlais sur ce ton depuis que nous sortions ensemble. Comme elle ne disait rien, je repris la parole :
Elle semblait très surprise et avait des larmes dans les yeux, ce qui faillit me faire renoncer.
Elle avait des larmes dans les yeux. Manifestement ma décision l’avait surprise et décontenancée. Mais je voyais bien que c’était plus la peur de se retrouver seule quand Joël la quitterait de nouveau qui l’angoissait que de ne plus me voir. Et cette constatation me fit plus de mal encore. Je me levai prêt à partir. J’avais le cœur serré mais je savais que si je restais encore un peu, je n’aurais plus le courage de le faire alors, je lui tournai le dos et partis sans me retourner, craignant de céder si je la regardais. Je téléphonai à mon boss, lui disant que j’avais eu de mauvaises nouvelles de ma famille et lui demandai si je pouvais prendre l’après-midi, ce qu’il m’accorda immédiatement. Je rentrai directement chez moi.
Ce fut le dimanche matin vers 5 heures que la sonnette retentit. J’allai ouvrir. Aline était là, en pleurs. Je n’eus pas le cœur de la chasser.
Quand je revins, elle pleurait toujours mais semblait un peu plus calme.
De nouveau elle me parlait de son Joël et j’en avais vraiment marre. Je voulais tourner la page et elle m’en empêchait. Alors, encore une fois, je pris le taureau par les cormes.
Elle pleurait de nouveau toutes les larmes de son corps.
Je fus tellement surpris que je voulus m’asseoir. Malheureusement pour ma fierté, j’ai raté la chaise et me suis écroulé par terre les quatre fers en l’air. Je me fis très mal, mais, par fierté, je ne dis rien, tandis qu’à travers ses larmes, Aline éclatait de rire. Je me relevai tant bien que mal et m’asseyant sur le canapé à côté d’elle, je ne pus dire que fort stupidement :
Fou de bonheur, je la pris dans mes bras et l’embrassai. Je la sentais tendue et pas très réceptive, ce qui fait que j’eus un énorme doute d’un coup. Était-elle sincère ? Elle dut le sentir car, se remettant à pleurer, elle me dit :
Alors je me levai et lui dis :
Je l’emmenai à la salle de bain, je lui fis couler un bain, mis des huiles essentielles dedans, la déshabillai en prenant bien soin, malgré ma grande envie, de ne pas avoir de gestes trop caressants, la fis s’allonger dans la baignoire et lui lavai tout le corps en lui disant que je la débarrassais ainsi de sa souillure physique. Puis, je la fis sortir du bain, l’essuyai et l’amenai dans la chambre où, après lui avoir prêté un de mes tee-shirts (je mesure 1,83 m et elle 1,70 m ce qui lui faisait quasiment une robe), je la fis se coucher et la prenant dans mes bras, lui dis :
Aline se remit à pleurer mais, à peine deux minutes après, elle dormait. Je pensais que j’aurais du mal à m’endormir mais non, moi aussi je sombrai rapidement dans le sommeil.
Je fus réveillé par une douce sensation. Aline, réveillée, me faisait une de ces fellations dont elle avait le secret. Voyant que j’étais réveillé moi aussi, elle se tourna et m’enjambant, elle me fit comprendre ce qu’elle attendait de moi. Ce 69 fut le meilleur de tous ceux que nous avions pu faire jusqu’à ce jour car maintenant, nous savions tous les deux que nous nous aimions.
Quand, nous avons tous les deux connu la jouissance sous la bouche de l’autre, elle revint poser sa tête sur mon épaule. Elle se rendormit très vite. Elle semblait tellement fatiguée que je la laissai dormir. Un peu plus tard, je me levai en prenant bien soin de ne pas la réveiller. Je pris une douche et, m’habillant, je descendis acheter des croissants et autres viennoiseries. Je pris aussi du bacon et des œufs, j’avais pu me rendre compte que, comme moi, elle adorait faire un gros petit déjeuner. Je lui pris aussi un bouquet de fleurs. Quand je revins chez moi, elle s’était levée et avait, elle aussi, pris sa douche. Elle portait ma robe de chambre.
Je préparai le petit déjeuner, fis cuire les œufs au bacon et amenant tout à table, je la servis en profitant pour lui faire un grand baiser.
Nous avons déjeuné en parlant de tout et de rien. Simplement heureux d’être ensemble et de savoir que nous nous aimions. Soudain, Aline me regarda avec un grand sourire et me dit :
Je ne voyais absolument pas de quoi elle voulait parler car je ne me souvenais pas lui avoir posé une question, le matin ou la nuit précédente.
Et elle sortit le petit écrin que j’avais rangé dans un tiroir du buffet de ma salle à manger. Je rougis immédiatement. Il s’agissait de la bague que j’avais achetée en prévision de la demande que je pensais lui faire lors du week-end que nous avions projeté. Elle se mit à rire.
Je me levai et l’embrassai, lui passant sa bague au doigt. Elle était très émue et avait des larmes dans les yeux. Soudain, pensant à quelque chose, je lui dis :
Là encore, elle se mit à rire :
Puis se reprenant avec un air un peu inquiet :
Elle défit ma robe de chambre, ce qui me permit de constater qu’elle n’avait pas remis le tee-shirt et qu’elle était nue.
Elle me prit par la main, m’emmena dans la chambre et s’allongeant sur le lit, me dit :
Elle n’avait pas besoin de me le dire, j’en étais persuadé.
Alors, je me mis à genoux au pied du lit. Pour faire comme elle m’avait dit et lui donner un maximum de plaisir, je décidai de prendre tout mon temps. Je lui massai doucement la plante des pieds. Je déposai des petits bisous sur son pied, remontai vers la cheville. Avec ma main, je massai son mollet et redescendis vers son pied. Pris d’une impulsion, je pris son gros orteil dans ma bouche et mimai une fellation. Avec ma langue, je léchai tous ses orteils les uns après les autres. Je l’entendais respirer fortement. Se pourrait-il que cela l’excite ?
Pour le vérifier, tout en continuant de jouer de ma langue avec ses orteils ou de lui mimer une fellation, je remontai ma main le long de sa cuisse, je posai un doigt sur son sexe pour constater qu’il était très humide. Je le fis glisser à l’intérieur, mis un deuxième doigt et commençai un mouvement de va-et-vient quand, je sentis soudain quelque chose me frôler la main. Je relevais la tête et je vis que d’une main, elle se caressait. Cela me surprit tellement que, à voix basse, je lui demandai :
Surprise que je m’en sois aperçu, elle enleva immédiatement sa main.
Le soulagement que je crus voir dans ses yeux mais surtout le sourire qu’elle m’adressa, me firent comprendre la joie que je lui avais donnée et j’en fus très heureux.
Mes doigts bougeaient toujours dans son sexe, je recommençai à m’occuper de ses pieds et après un instant d’hésitation de sa part, je la sentis de nouveau se caresser avec sa main. Tout cela conjugué fit qu’elle se mit à jouir très vite et très fort. J’avais encore envie de m’occuper d’elle, alors tirant sur ses chevilles, je la fis descendre un peu, je posai mes lèvres sur son sexe et commençai à la sucer. Puis passant mes bras sous ses jambes, je lui fis les lever et j’alternai avec ma langue sur son sexe et son petit trou car j’avais déjà remarqué qu’elle adorait quand je lui faisais cela. Puis, il me vint une idée, je remontai ma main le long de son corps, en profitai pour caresser un peu les seins, lui pris la main et l’amenai vers son sexe. Comprenant ce que je désirais, elle se mit à se caresser de nouveau, tandis que je lui faisais des bisous sur sa main, sur son sexe, sur son cul. À ses frémissements, je compris qu’encore une fois, elle avait beaucoup de plaisir et très rapidement, elle eut de nouveau une jouissance très forte.
J’avais maintenant, très envie de la posséder, je me relevai et lui dis :
Elle me fit un grand sourire, elle adorait cette position. Elle se mit donc à genoux sur le lit, se mettant sur les avant-bras. Je voyais son sexe grand ouvert et tout luisant du plaisir que je venais de lui donner. Présentant mon sexe sur le sien, excité comme je l’étais, je l’investis d’un coup. J’ai eu peur de lui avoir fait mal, tellement j’étais allé vite mais elle gémissait déjà. Je donnai donc de grands coups dans ce sexe très accueillant. Je souhaitais me retenir mais hélas, dans cette position, je ressentais tellement son sexe que je jouis très vite. Ma jouissance déclencha la sienne et, s’écroulant sur le lit, elle m’entraîna avec elle. Nous respirions très fort tous les deux. J’en fus très heureux. Je l’aimais, elle m’aimait et je venais de lui donner bien du plaisir en en prenant un tout aussi fort.
C’est comme cela que nous nous sommes rendormis.
Nous ne nous sommes réveillés qu’au début de l’après-midi. Aline souhaitait téléphoner à Joël plutôt que d’aller le voir, mais je ne fus pas d’accord, je pensais qu’il fallait le faire en face à face. Par son attitude, et pour mon plus grand bonheur, il l’avait perdue ! Il fallait qu’on le lui dise en face. Je me rappelais trop ce que j’avais ressenti en rentrant et en voyant l’appartement vidé de toutes les affaires d’Isabelle. Je ne voulais faire connaître cela à personne, même à mon rival.
Quand nous sommes arrivés chez elle, il n’était pas là.
Un petit mot daté du jour même à 8 h 30 lui disait qu’il pensait qu’elle était allée chercher de quoi déjeuner mais que son entreprise l’avait appelé et qu’il fallait qu’il parte immédiatement aux États-Unis. Il en était désolé, mais il l’appellerait dès qu’il arriverait là-bas pour prévoir avec elle les éléments du mariage.
Cela la fit rire.
Et ni une ni deux, elle l’appelle en mettant le haut parleur de son téléphone.
Aline me fit un petit signe de tête. Manifestement d’après le bruit de fond, il était n’importe où mais pas dans un aéroport.
Et elle raccrocha. Le petit rire qu’elle avait eu en lui disant cela, me semblait bien cruel.
Je ne dis rien mais je la pris dans mes bras et son baiser passionné me fit comprendre, plus que toute autre parole, qu’elle avait définitivement tourné la page.
Elle a récupéré toutes ses affaires, est venue habiter chez moi dès ce jour-là et n’en est plus jamais repartie.
Quelques jours plus tard, après avoir prévenu son propriétaire, nous avons pris les quelques meubles, télé, magnétoscope et autres bibelots personnels et avons rendu l’appartement. Comme elle était en meublé, ce fut très vite fait.
Nous avons indemnisé le propriétaire de trois loyers pour qu’il ait le temps de trouver un autre locataire sans perdre d’argent. C’était un homme très gentil et fort honnête. Ayant reloué le logement le mois suivant, il nous a remboursé deux mois de loyer. À cette occasion, il dit combien il regrettait le départ d’Aline avec qui il s’était toujours bien entendu.
Elle a très rapidement pris ses marques chez moi.
Comme elle savait que j’avais pris cet appart après ma séparation d’Isabelle, elle ne répugnait pas à s’y installer.
Un goût très sûr, une bonne capacité de bricolage, quelques semaines et beaucoup d’heures de travail commun plus tard, elle avait transformé mon chez moi, en chez nous.