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Temps de lecture estimé : 34 mn
20/10/10
Résumé:   Sylvie, vieille copine de Catherine, lui demande de venir l'aider pour une soirée au service dans son restaurant. Catherine accepte et bien qu'elle n'en ait pas l'intention, cela va lui donner l'occasion de donner libre cours à ses vices habituels.
Critères:  ff copains caférestau voir exhib noculotte strip intermast cunnilingu 69 -fhomo -exhib
Auteur : Bijanus            Envoi mini-message

Série : Catherine

Chapitre 07
Je reprends du service



Encore bloquée dans ces satanés bouchons du vendredi soir et malgré la clim qui tourne à fond, je dégouline de transpiration. Je ne vais pas me plaindre non plus du retour de la chaleur après ce maudit hiver interminable. J’aime trop cette chaleur qui permet de porter des tenues légères, très légères… mais là, je me liquéfie derrière mon volant. Peut-être plus psychologique que réel car le froid de la climatisation est pourtant bien présent.


Mon téléphone sonne, je tends la main pour le prendre mais ma contravention de la semaine passée me revient à l’esprit. Prise en flagrant délit d’utilisation de téléphone au volant, j’ai eu droit à une belle prime. J’ai essayé de jouer de mes charmes avec les forces de l’ordre mais il n’y a rien eu à faire. J’ai juste récolté un regard plongeant dans mon décolleté et j’ai eu beau l’agrandir, je n’ai pas eu plus de succès. J’ai quand même pris mon petit plaisir à cette occasion mais ça fait cher l’exhibition. Le téléphone stoppe enfin sa mélodie mais reprend aussitôt, ça doit être important pour que cela insiste autant. Et puis tant pis, je suis à l’arrêt après tout.



Je tourne la tête dans toutes les directions, c’est bon, pas un uniforme à l’horizon. Je jette l’objet du délit sur le siège du passager juste quand la circulation reprend sa fluidité.

Sylvie est une de mes meilleures amies, amie dans le sens premier du terme et sans aucune ambiguïté sexuelle. Elle ne sait d’ailleurs rien de mes penchants lesbiens qui sont assez récents du reste, et bien postérieurs à notre amitié de plus de quinze ans.


En tant que meilleure amie, j’aurais pu lui en parler mais, curieusement, je trouve plus gênant d’aborder ce type de sujet avec une vieille connaissance plutôt qu’une plus récente. Elle ne connaît rien non plus de mes plaisirs exhibitionnistes et encore moins de ma récente découverte des joies de la soumission. Je me vois mal lui dire : « Au fait, Sylvie, tu sais, maintenant j’adore brouter les minous et montrer mes charmes ! » Quoique ça serait très drôle qu’elle me dise : « Tiens, puisque que tu en parles, j’adorerais te présenter le mien ! »


C’est vrai qu’elle a du charme, Sylvie, maintenant que j’y pense. Elle a mon âge à un ou deux ans près avec des rondeurs en plus – plus que moi, je veux dire – mais ça lui va bien, je trouve. Ça lui fait une belle poitrine, un bon cul aussi, certainement trop « bon » pour certains, mais en harmonie avec le reste, avec sa belle figure, ronde aussi, aux traits fins et des grands yeux ronds, eux aussi, et pétillants. Le tout encadré par la blondeur de sa chevelure taillée en une parfaite coupe au carré mi-longue. Elle arrive aussi toujours à trouver une tenue qui est en parfaite harmonie avec sa physionomie, moulant un peu les parties intéressantes et laissant dans le flou les parties moins flatteuses. Elle sait marier les couleurs avec goût et originalité, toujours très féminine.


Mais qu’est-ce que je fais là ? Ce n’est pas vrai, je suis en train de m’exciter sur Sylvie. Catherine reprends-toi ! C’est sur ta vieille amie Sylvie que tu es en train de fantasmer. Pensons plutôt au sujet de son appel. Qu’est-ce qui peut être si urgent pour qu’elle ait besoin de moi ? J’aurais bien une idée mais après si longtemps ça m’étonnerait… Elle a peut-être trouvé un nouvel homme et elle veut mon avis ? Elle est comme moi, divorcée depuis pas mal d’années. Cela dit, je ne l’ai jamais vue avec personne depuis qu’elle est séparée, cela pourrait expliquer son « urgence ».


Enfin chez moi je saute sur mon téléphone pour l’appeler à son restaurant. Sylvie tient un petit restaurant. Comme je l’ai déjà dit dans mes précédents récits, elle m’avait dépannée il y a quelques années en m’offrant un boulot de serveuse. C’était après ma séparation et pour ne pas arranger la sauce, j’avais perdu mon emploi quelques mois après. Aussi je n’avais pas hésité quand elle m’avait proposé ce job. Situation que j’espérais temporaire mais qui avait duré plus de deux ans. Après plusieurs sonneries la ligne décroche enfin.



Le samedi, je ne fais pas grand-chose, je ne tiens pas à arriver crevée pour la soirée. Je sais ce que c’est que de servir en salle. Vient le moment de choisir ce que je vais me mettre pour ma reprise de service. Il fait chaud, terriblement chaud, je fais mon choix en conséquence. Mon top dos nu blanc fera l’affaire. Les bretelles du corsage se nouent derrière la nuque et avec un soutien-gorge bustier, je serai suffisamment aérée.


Je l’enfile et décidément je l’aime, ce petit top, bien cintré à la taille ; trois boutons ferment le décolleté. Même entièrement boutonné, je garde un décolleté assez large. Je noue les bretelles au plus haut, comme cela, la vue que j’offre reste correcte malgré ma poitrine généreuse et arrogante. Je ne peux pas laisser libre cours à mes penchants exhibitionnistes à cette occasion, Sylvie risque de ne pas apprécier que je me laisse aller à mon jeu favori dans son restaurant.


Reste à trouver pour le bas, je cherche et finalement mon choix se porte sur ma jupe en cuir noir. Je la passe rapidement et regarde le résultat dans le miroir. Mince, elle est bien courte ! J’avais oublié ce détail. Enfin courte mais pas mini non plus, bien au-dessus du genou autrement dit, ou descendant peu sur la cuisse. L’éternel problème de la bouteille à moitié vide ou à moitié pleine, selon le ressenti. J’hésite un peu et puis, zut, ça ira ! C’est l’été et les deux vont bien ensemble. J’essaierai de la porter le plus bas possible sur les hanches. Assez tergiversé, en route pour La cocotte dorée, Sylvie doit m’attendre.


Comme prévu, je me gare dans la petite cour à l’arrière, elle donne en partie sur les cuisines et sur une porte de service. Un flot de souvenirs me revient à l’esprit et m’emporte quelques années en arrière. On ne peut pas dire que c’était vraiment le bon temps, même si j’étais quelques années plus jeune, mais je garde de bons souvenirs de cette période, grâce à Sylvie. On s’est marrées un bon nombre de fois avec des fous rires à n’en plus finir.

J’entre par la porte de service et je tombe sur le cuisinier :



S’ensuit le classique dialogue de retrouvailles et il m’indique que Sylvie est en salle en pleins préparatifs. Je la rejoins :



Après nos embrassades, je vois qu’elle ne peut s’empêcher d’examiner ma tenue, ma jupe semble la surprendre. Je crois utile de dire, un peu gênée :



Joignant le geste à la parole, je retrousse mon top pour lui montrer mon ventre arrondi.



J’abandonne Sylvie à ses derniers préparatifs, bien consciente qu’elle n’a pas le temps de jouer les pipelettes avec moi maintenant. Le restaurant est coupé en deux salles qu’on appelle par habitude la grande salle et la petite salle. Le couloir qui mène aux cuisines et aux toilettes donne aussi accès à la fameuse petite salle qui est en léger contrebas. Il faut en effet utiliser un large escalier de cinq marches, bien plus hautes que le standard. Elles descendent à l’intérieur, en plein centre de la pièce rectangulaire. Je n’ai aucune idée de la raison pour laquelle cette pièce est plus basse mais la bâtisse est très âgée et il doit y avoir une raison historique probablement.


Je finis de préparer la salle mais il n’y a quasiment rien à faire, elle contient sept tables disposées le long des murs, tout autour. J’en profite pour me renseigner sur les détails des menus en cuisine. Vers huit heures les premiers clients arrivent, deux couples de personnes âgées puis, comme s’ils s’étaient donné le mot, les suivants arrivent aussi, à intervalles réguliers. Un trio d’hommes entre la trentaine et la quarantaine, quatre filles en sortie entre copines, deux autres couples assez jeunes et finalement, un couple vers les trente-cinq ans dont la femme attire mon attention car c’est une splendide brune, aux cheveux très noirs et avec des yeux magnifiques.


Ce couple et les garçons sont installés aux tables en face de l’escalier. Les filles et les couples âgés de chaque côté des marches et, pour finir, les jeunes couples sur l’une des tables libres sur le côté.


Le début du service n’est pas de tout repos ; le temps que je reprenne mes marques, que je me trompe dans mes notes et que je retourne demander la confirmation des commandes. Ceci m’occasionne de nombreux allers-retours mais mes jambes résistent pour l’instant, bien que je sois juchée sur mes éternels hauts talons. Alors que je reviens les bras chargés des apéritifs, je vois qu’à leur table, les trois hommes se font des signes à mon arrivée et ils ne me quittent pas du regard lors de ma descente des marches. En servant la table des jeunes, du coin de l’œil je remarque qu’un des types fait une mimique de ses mains où visiblement il parle de ma poitrine généreuse. Lorsque je débarrasse leur table des verres vides de leur apéro, trois paires d’yeux plongent dans mon corsage, pourtant aussi fermé que possible, mais la position penchée doit l’ouvrir suffisamment pour leur plus grand plaisir.



En repartant, je sens toujours leurs yeux me suivre. Bien sûr, vous me connaissez, cela échauffe immanquablement mes sens. Je dois me répéter pendant tout le chemin vers la cuisine et retour : « Catherine, ne te laisse pas aller à tes vices habituels, n’oublie pas où tu es ! »


Ma nouvelle entrée reçoit le même accueil, voire pire car même le couple avec la si belle brune me regarde descendre comme s’ils s’étaient donné le mot auparavant. Je me demande quand même pourquoi je suis si spectaculaire et en sentant mes seins ballotter à chaque marche, je comprends un peu mieux. Le soutien-gorge bandeau a un maintien très moyen et malgré sa présence, les à-coups occasionnés par la descente des hautes marches font branler mes seins de façon voyante. Ma poitrine agressive rendant le tout encore plus charmant, je présume. Un frisson de plaisir me traverse le corps mais je fais le vide dans ma tête pour oublier.


Arrivée les mains pleines de la deuxième tournée d’apéro je demande :



Un des gars assis le plus loin de moi, contre le mur, me fait signe mais ne cherche aucunement à m’aider et me laisse me pencher pour déposer le verre à son niveau, de la même façon celui en face de lui. Chaque fois, les mêmes yeux plongent dans mon corsage pourtant si sage. J’essaye de refouler le plaisir que j’éprouve et y arrive péniblement. Je pars m’occuper de la table plus « troisième âge » qui est, heureusement, bien plus calme. Le plus dur reste à venir, lorsque je débarrasse les verres vides de la table du couple, j’ai la surprise de voir, là aussi, deux paires d’yeux aller fouiller mon corsage. J’ai en plus droit à un large sourire de la si belle brune qui finit de me mettre en transe. Dans le couloir, je transpire à grosses gouttes et pas seulement à cause de la chaleur.


Je me fais la morale car je sens que mon être s’échauffe dangereusement. Rien à faire, mon ventre s’électrise, mes seins se durcissent et mes tétons se tendent. Le large sourire de la belle brune et ces paires d’yeux fouillant mon corsage hantent mon esprit quoi que je fasse ! Et puis merde ! Autant en profiter pour s’amuser un peu. Quel mal y a-t-il après tout ? Sylvie est dans l’autre salle et j’ai bien mérité un petit bonus. Ils aiment mon corsage, autant leur en faire profiter un peu plus. Je dénoue les bretelles dans ma nuque et les rattache de façon bien plus lâche qu’avant et, tant qu’à y être, je déboutonne un bouton. En plus, je suis un peu plus au frais ce qui n’est pas plus mal. Ma nouvelle descente des marches a autant de succès qu’une montée des marches bien plus connue dans le milieu du cinéma. Je dois aller prendre la commande des garçons.



Il me montre une ligne sur la carte, mais en la conservant devant lui. Je me penche en avant pour la lire. Les yeux habituels s’en donnent à cœur joie. Un bref coup d’œil aux visages ne me laisse aucun doute sur le fait qu’ils apprécient encore plus maintenant mon décolleté. Du coup, le type du fond me demande de commenter tous les plats principaux du menu. Je reste penchée en appui sur la table pour leur plus grand plaisir. Je laisse glisser mon regard sur mon corsage un bref instant pour voir moi-même le spectacle que j’offre. Le tissu du top bâille largement entre mes seins. Laissant découvrir leur rondeur à moitié couverte par le soutien-gorge bien visible. Je prends mon pied à les laisser me mater ainsi mais je dois bien finir de prendre la commande.


Je passe à la table des filles, pleine d’espoir maintenant. Au lieu d’espérer y voir le moyen de me calmer, je serais ravie d’y trouver l’inverse. Mais malheureusement, je n’ai pas droit au moindre regard. Il n’y a pas une gay dans la bande malheureusement. Un nouveau groupe arrive, deux couples autour de la quarantaine ou plus, que je place à la dernière table disponible. Mon excitation ne m’a pas quittée pour autant et c’est avec un grand sourire que j’arrive à la table du couple à la belle brune.



Comme si elle avait copié sur ses voisins de table, elle me montre du doigt le premier plat sur la carte étalée devant elle. Pas sûre de mon coup et d’avoir pris mon désir pour une réalité, je me penche largement sur la table de nouveau. Comme ils sont au bout de la table prévue pour quatre, je reste un moment pliée en deux en appui dessus, un doigt montrant au fur et à mesure les plats que je décris. Mon corsage est largement ouvert et remporte le même succès que lors de mon passage précédent, aussi bien de monsieur que de madame, pour mon plus grand plaisir. Elle fait alors glisser son foulard qui reposait sur le dossier de la chaise. Par réflexe, je me penche pour le ramasser, ce qui me prend un peu de temps, la chaise vide me gênant. Je me relève enfin pour lui tendre son bien. Je vois qu’une fois encore, son regard est braqué sur mes seins. La position penchée ayant encore amélioré visiblement la vue. Avec un sourire charmeur et des yeux brillants elle me dit :



Je réponds juste par un sourire aussi charmeur que le sien. Quand je quitte leur table, je vois que les hommes à la table des derniers arrivés m’observent, les têtes que font leurs femmes montrent qu’elles n’apprécient guère leur intérêt pour moi. Je réalise que ma partie de gymnastique pour récupérer le foulard m’a fait leur présenter mon fessier en premier plan. La taille assez courte de ma jupe a dû faire le reste. Je sens aussi que cela a fait remonter la jupe sur mes hanches, la raccourcissant un peu plus. Même si l’idée m’effleure l’esprit, je ne fais rien pour la replacer plus bas.


Je passe rapidement aux tables devenues inintéressantes pour moi et quitte la salle les mains pleines de diverses choses débarrassées. Alors que je suis presque arrivée au couloir, une coupelle contenant des noyaux me glisse des mains et étale son contenu sur la dernière marche. C’est seulement une fois penchée pour ramasser mes bêtises que je réalise dans quelle position je suis. En léger surplomb de la salle, le postérieur en l’air, tout le bas de la salle a une vue immanquable sur mon fessier. D’autant plus que ma jupe en cuir est très rigide et conserve sa forme assez évasée sur le bas, elle reste ainsi bien décollée de mon corps masquant encore moins mon anatomie.


Je tourne un peu la tête pour regarder derrière moi et les deux tables du fond ne ratent pas l’occasion de me mater le cul. Les trois hommes ont les yeux braqués sur mes fesses et le couple à côté offre le même tableau. J’imagine qu’ils se régalent de voir mon postérieur seulement garni de mon string. Si j’avais pu prévoir, j’aurais écarté un peu plus les jambes.


Arrivée au bout de ma collecte, je me relève et je prends le couloir. Je suis maintenant sur des braises, tout mon corps bouillonne et surtout mon bas-ventre qui est un vrai volcan. Sensations que je ne connais que trop bien et qui me font perdre tout contrôle de moi et jeter aux oubliettes toute forme de raison. Je ne pense qu’à une chose : j’en veux encore et encore ! Je veux que mon excitation soit encore plus énorme, je prends trop de plaisir pour ne pas chercher à pousser le bouchon toujours plus loin. Le passage devant la porte des toilettes m’inspire.


Une fois enfermée à l’intérieur, je pose le bric-à-brac qui m’encombre les mains. Libres, elles glissent dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Une fois défait, il m’est facile de l’extirper de sous mon haut et libérer ainsi mes seins de leur protection. Après un bref regard sur le miroir placé au-dessus du lavabo, je suis satisfaite du résultat. Mes bouts excités dardent et tendent le tissu, une légère secousse de mon buste fait trembler tout l’ensemble dans tous les sens. Je jouis déjà par avance de l’effet que je vais faire une fois dans la salle. Mais je me retrouve bien bête, le soutif à la main sans savoir quoi en faire, pas de poche, je ne vais quand même pas sortir dans le couloir avec ça à la main.


Il y a une étagère dans un coin où reposent quelques serviettes propres. Parfait, je le mets là en attendant et je le récupérerai plus tard.

De retour dans le couloir, je suis à quelques pas de la porte de la cuisine quand elle s’ouvre et laisse apparaître Sylvie les mains pleines de plats. Ma poitrine ballottante attire son regard immédiatement, son visage exprime la surprise. Merde ! Que va-t-elle en penser ? Je réagis vite et je lui lance en excuse :



Son regard reste plein de surprise.



Disant cela, ses yeux restent rivés sur mon corsage béant, les mains prises, je ne peux même pas faire mine de vouloir corriger ma tenue. Gênée, j’écourte la conversation en repartant vers la cuisine et en disant :



Lorsque j’en ressors, elle a heureusement disparu du couloir. Les bras remplis de plats, je retourne vers mes clients. La discussion avec Sylvie n’a nullement atténué mon excitation et j’entame ma descente dans la salle, prête à jouir des regards que j’espère attirer. Objectif atteint dès les premières marches descendues, les cinq personnes habituelles me dévorent des yeux. Je sens mes seins se secouer à chacun de mes pas sur les marches, le tissu en titille les bouts tendus. D’autres yeux aussi, peut-être, me suivent mais mon attention est concentrée sur les tables du fond. Je dois servir les trois hommes ; comme pour mon service précédent, je me penche longuement sur la table. Je leur laisse ainsi le plaisir de profiter de ma nouvelle tenue plus aérée. Ils se régalent et échangent des gestes et rigolades dès que j’ai le dos tourné.


J’en profite pour prendre les commandes des derniers arrivants qui s’avèrent être des étrangers, Allemands je crois. Les hommes reluquent plus souvent ma poitrine que la carte, je me marre intérieurement en voyant les éclairs dans les yeux de leurs bonnes femmes.


Un rapide aller-retour vers les cuisines pour aller chercher les plats de la belle brune et de son jules.

Au passage, ma nouvelle descente des marches a toujours autant de succès, même auprès des Allemands. Le service de la belle brune me donne l’occasion d’exhiber encore une fois mon décolleté. Bien sûr, je fais un effort particulier pour elle, car elle semble apprécier autant que son mari. Penchée à côté d’elle, je tire sur mon stylo que j’ai accroché à mon top, entre mes seins, pour noter la commande. Ceci écarte encore plus le tissu déjà largement bâillant et lui donne l’opportunité d’admirer ma poitrine dans toute sa nudité, mes bouts tendus et gonflés, mes larges aréoles rouges d’excitation. Mes yeux sont fixés sur elle quand les siens, brillants, se lèvent enfin vers moi. Nos regards se croisent alors. Comme pour la remercier du plaisir qu’elle vient de me donner, je lui fais le sourire le plus charmeur que je connaisse, elle me le rend longuement. Alors que je repars les mains pleines, elle me dit :



Ses yeux montrent qu’elle a bien compris mon jeu.

Je me penche sur elle, la poitrine en avant. Elle tire d’une main le tissu entre mes seins, si fortement qu’elle découvre presque la totalité de ma poitrine. Comme par hasard, elle éprouve certaines difficultés à bien clipser le stylo dans l’encolure. Elle y arrive enfin et son regard de braise plonge de nouveau dans le mien. Je lui réponds toujours par ce même sourire aguichant :



Lorsque je repars, je sens ma chatte trempée et brûlante de désir, c’est alors que je vois Sylvie en haut de l’escalier, regardant dans ma direction. Elle a dû tout suivre de la scène qui vient de se passer. Confuse, je passe devant elle quand elle me demande :



Puis je m’éclipse, pressée de la quitter vu les circonstances mais aussi de jouir dans mon coin de ce qui vient de se passer avec la belle brune. Les gouttes sur mon front, si elle savait pourquoi elles sont là, pas vraiment la chaleur de la pièce mais celle qui bout dans mon bas-ventre plutôt.


Le reste du service se passe sur le même ton. Je fais de mon mieux pour laisser les trois tables qui ont montré le plus d’intérêt envers mes charmes profiter de mon corps selon le même stratagème. Les femmes allemandes font de plus en plus la gueule quand leurs maris s’écarquillent les yeux pour me mater les seins. Les trois hommes se laissent aller à des réflexions douteuses, me demandant si c’est une cochonne ou du cochon que je leur sers ou encore quand je me plains de la chaleur, ils me disent d’enlever le haut, que j’irai mieux après. Ces propos m’excitent encore plus, allez savoir pourquoi. Aussi je laisse faire, voire je les encourage. Comme quand ils me disent d’ôter le haut, je réponds que j’aimerais bien pouvoir le faire en rigolant et en tirant sur le tissu pour l’agiter et me faire de l’air, dévoilant encore un peu plus de ma poitrine. J’ai vaguement peur qu’ils fassent un geste déplacé tellement les allusions sont chaudes, mais non.


L’apothéose vient avec la table de la belle brune. En débarrassant, la poignée de couverts que j’avais posés en équilibre instable sur une assiette glisse et s’éparpille au pied de leur table. Je ne rate pas l’occasion, je m’accroupis face à eux mais au lieu de sagement serrer mes jambes, je les écarte généreusement. Ma jupe courte qui a glissé sur le haut de mes hanches depuis longtemps ne cache rien. Ils ne se privent d’ailleurs pas de reluquer mon entrejambe et mon petit string en dentelle qui essaye difficilement de masquer l’essentiel. Je me plais à imaginer qu’ils peuvent voir sous la dentelle à quel point mes lèvres sont ouvertes, gonflées et humides de plaisir. Je me relève enfin quand la belle me dit en tendant la corbeille à pain bien pleine.



Alors que je m’apprête à la saisir, elle la laisse glisser de sa main. Les tranches de pain roulent sur le carrelage.



Je me retrouve accroupie une nouvelle fois, j’écarte tellement les cuisses que je sens le string me pénétrer en profondeur. Chose qui n’est pas toujours agréable, mais là, ça l’est.



Je me lève et cette fois-ci, je me plie en deux pour attraper les deux rondelles qui font une tentative d’évasion. Pieds écartés, je leur laisse pleinement savourer l’autre face de mon intimité.

Je ne me rends pas compte que j’ai perdu tout contrôle de moi et que je me suis totalement laissé aspirer par mes pulsions exhibitionnistes. Je vois bien que Sylvie est de plus en plus présente en haut de l’escalier et qu’elle observe souvent ce qui se passe dans la salle mais je suis trop saoule du plaisir que je prends pour que cela ait un quelconque effet sur moi.


La salle se vide peu à peu, le couple si intéressant traîne et est le dernier à partir.

Je suis en train de finir de préparer la salle pour le lendemain quand Sylvie m’interpelle du haut des marches :



Je rigole avec elle et je suis à peine gênée de voir qu’elle scrute ma tenue débraillée et provocante. Je suis encore trop sous l’emprise de mon vice pour y prêter vraiment attention, là, j’ai juste envie de finir la soirée en apothéose pour en profiter à fond.

Après la bise de l’au revoir, je m’éclipse, je salue les cuisines au passage, trop pressée d’être seule. Seule pour quoi faire, me direz-vous ?


Une fois assise dans la voiture, je n’ai qu’une envie. Je remonte ma jupe sur la taille et une de mes mains se glisse sous mon string. Mes doigts sont vite au contact des lèvres trempées de mon sexe, Deux me pénètrent et commencent leur travail. Ils ressortent ; glissent sur mon petit bouton d’amour et replongent sans cesse. Mon autre main a extrait un des mes seins de mon haut et le caresse, le malaxe frénétiquement, joue avec le téton. Il me faut peu de temps pour jouir violemment. La voiture fait caisse de résonance et me renvoie mon cri dans les oreilles. Je continue mon œuvre de plaisir pour enfin arriver au bout du bout. Après quelques minutes peut-être, je reprends mes esprits et c’est là que je vois une silhouette à une des fenêtres du restaurant. Je reconnais Sylvie, elle doit se demander pourquoi je ne pars pas. Pourvu qu’elle n’ait rien vu. Mince ! La lumière de la cour est allumée. Je me dis qu’avec les reflets du pare-brise, il y a peu de chance de voir à l’intérieur et je démarre, encore tremblante.


Le dimanche passe à toute allure, je suis encore bercée par le souvenir de mon samedi soir, si torride. D’ailleurs, le soir même dans mon lit, bien que je sois exténuée, je m’étais adonnée à une nouvelle séance violente de masturbation. Celle de la voiture n’avait pas suffi à me calmer. Heureusement, le lundi je suis revenue sur terre pour reprendre le boulot, enfin dans un état plus normal si tant est qu’il le soit habituellement. Mon téléphone sonne en fin d’après midi, c’est Sylvie de nouveau :



.



J’entends son rire finir sa phrase.



J’entends son rire dans le téléphone.



Le soir venu, je reste un moment en réflexion devant ma penderie. L’idée me passe d’enfiler la robe dont l’achat m’avait été imposé (NDA : voir l’odieux chantage — 13833). Mais c’est peut-être un peu exagéré, même si c’est pour rigoler. Non, il me faut quelque chose de sexy mais qui reste correct aux yeux de Sylvie. Après quelques tergiversations, mon choix se porte sur une petite robe courte. Elle est légère, ce qui sera parfait vu la chaleur, et moulante avec un aspect noir satiné qui met en relief mes formes. Elle s’arrête assez haut sur mes cuisses et le reste est quasiment un bustier, seul un lacet central se nouant autour du cou coupe la ligne et maintient le tissu en le déformant.


Sylvie habite à quelques kilomètres et je suis vite arrivée à son appartement. Mais j’ai quand même le temps d’avoir horriblement chaud, la température est restée bloquée à 35 degrés toute la journée et la voiture a du mal à se rafraîchir. Dans l’ascenseur j’essaye d’imaginer la tenue de Sylvie, je suis curieuse de voir ce qu’elle peut trouver de si osé à mettre sur le dos.


Je sonne à sa porte, j’entends le bruit de talons dans son couloir. Déjà elle a mis des chaussures à talons ce qui ne lui arrive pas souvent. La porte s’ouvre et… je reste bouche bée.


Je la trouve très belle et il est vrai que sa robe est particulièrement sexy. Elle est blanche avec des petites paillettes dorées de-ci de-là, très courte, froncée sur le devant. Les fronces se rejoignent au centre donnant un aspect de toile tendue. Son décolleté est somptueux, un large V descend jusqu’au milieu de ses seins volumineux alors que la partie haute forme deux larges bretelles qui plongent dans son dos. L’ensemble est extraordinairement moulant ; les moindres formes de son corps ressortent. Un ruban doré est noué sous sa poitrine en une belle ganse soulignant celle-ci. Bien sûr, la rondeur de ses hanches est apparente ainsi que son ventre bien rond mais je reste malgré tout sous le charme, d’autant que son visage est embelli par un maquillage bien assorti au reste.


Je dois dire « magnifique ! » sans m’en rendre compte, car Sylvie me répond :



La partie pile est aussi bien que la face. Les bretelles se rejoignent dans le dos le laissant en partie dénudé. Ses fesses généreuses sont parfaitement moulées par le tissu élastique et sans fronces sur cette partie-là. Je me surprends à découvrir ma vieille amie sous un autre jour et sentir en moi des sensations inconnues en sa présence, ou peut-être toujours refoulées.

C’est d’ailleurs ce que je fais, du moins j’essaye de chasser les idées coquines qui me traversent l’esprit et surtout le corps.



.



Comme je sens qu’elle va dire « mieux que moi », je la coupe :



Sans me laisser le temps d’être gênée par cette remarque, elle me prend par la main et m’entraîne dans son salon.



La table du salon est déjà garnie de bouteilles d’alcool et de diverses choses à dévorer. Sans rien me demander, elle me sert un grand verre de Gin et un autre pour elle. Nous continuons à discuter de tout et de rien un certain temps quand Sylvie me dit en nous servant un nouveau verre :



Ses yeux brillent d’une étrange lueur en me disant cela



Je mens effrontément en disant cela car, bien sûr, je vois très bien de qui elle veut parler.



Sylvie scrute alors mon visage à la recherche d’une réaction quelconque.



Ma voix doit manquer d’assurance car je vois un sourire disant « toi ma cocotte, tu sais très bien pourquoi » s’afficher sur le visage de Sylvie. Elle se lève alors brusquement et me dit :



Et elle disparaît par une porte du salon en me laissant seule. J’ai le temps de gamberger sur ce qu’elle vient de me dire et surtout des mimiques qui ont accompagné ses paroles. Mon laisser-aller du samedi soir est loin d’être passé inaperçu et j’ai peur que bien des facettes de ma nouvelle personnalité soient apparues au grand jour, ce qui est un comble pour une soirée. Elle réapparaît soudain par la même porte en brandissant un soutien-gorge devant elle. J’identifie immédiatement ma propriété abandonnée dans les toilettes du restaurant, ce qui n’est pas fait pour arranger ma confusion grandissante.



Et je m’en saisis rapidement pressée de changer de sujet.



Joignant le geste à la parole, je vois ses mains plonger dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Il suffit de quelques secondes, ses bras font la gymnastique habituelle dans ces cas-là et je vois apparaître son soutif au bout de sa main. Elle se dandine alors du buste en disant :



Je vois ses seins libres se secouer sous le fin tissu. Si fin et si moulant qu’ils me semblent aussi visibles que si elle était nue. Sa poitrine lourde et un peu tombante m’apparaît dans toute sa splendeur, d’autant plus qu’une des bretelles de sa robe a glissé sur son épaule. Je sens mon corps s’électriser malgré moi, je résiste mais mon bas-ventre me chatouille. Par réflexe, je serre les cuisses comme pour dire : non, pas ça, pas maintenant, pas avec elle ! Mais au contraire, mon sexe me brûle encore plus après cette caresse involontaire. Je réalise soudain que mon regard est rivé sur cette poitrine depuis de nombreuses secondes, je lève brusquement les yeux. Je vois alors un visage épanoui où la satisfaction règne en maître absolu. Je bafouille :



Sylvie boit d’un trait le verre qu’elle venait de se remplir et me rejoint sur le sofa. Je vide aussi le mien et l’esprit encore embrumé par le déroulement inattendu de la soirée et peut-être aussi par l’alcool, je lui montre mon dos comme une automate. Une main baisse le tissu de ma robe pour dévoiler l’attache de mon soutien-gorge et l’autre main l’ouvre. Mon bustier se relâche et je sens sa poitrine rentrer en contact avec mon dos nu. Le tissu de sa robe est doux, la chair de sa poitrine se déforme sous la pression tellement elle est collée à moi. Elle me dit alors en chuchotant presque :



Bredouillant cela, je sens son souffle dans mon cou.



Elle tire brusquement sur mon soutien-gorge qui me quitte définitivement. Mes seins libérés ballottent un bref instant sous l’impulsion, elle poursuit :



Je sens sa main se glisser sous mon bras, venir cueillir mon sein droit comme un fruit trop mûr. Elle commence à le caresser par-dessous.



Ma voix se coupe, la caresse me laissant bouche bée, les yeux mi-clos.



Sa main tire alors sur ma robe, fait glisser le tissu et dévoile le sein qu’elle était en train de caresser. Mon regard se porte dessus par réflexe, je le vois à l’air, son téton long et droit planté dans sa large aréole très brune, dressé vers le plafond, excité. Sa main s’en empare et commence à jouer avec, je pousse un petit gémissement.



Son autre main tire sur l’autre côté de la robe, je me retrouve les deux seins libres de toute protection, ma robe est toujours suspendue à mon cou mais pend coincée entre ma poitrine excitée. Sa deuxième main entame le même travail que la première, mes lolos sont massés, malaxés, mes bouts tendus sont titillés, tirés. Je suis incapable de prononcer le moindre mot compréhensible, je bafouille et un gémissement sort de ma bouche de temps à autre. Sylvie continue à me parler doucement dans mon dos, la bouche collée à mon oreille :



Elle n’a pas arrêté de me malaxer les seins de plus en plus vigoureusement pendant son interrogatoire, ça me rend folle de désir. Je réponds de plus en plus mécaniquement sans me rendre réellement compte que c’est à ma vieille copine Sylvie que je parle.



Sa main droite stoppe ses caresses pour glisser sur ma cuisse. Instinctivement, j’écarte mes jambes, avide de sensations et de son toucher si magique. Il m’en faut plus désormais, j’ai perdu toute retenue. Elle tire sur ma robe pour la retrousser, je dandine du croupion pour la laisser passer sous mes fesses. Mon string apparaît sous mes yeux, ça m’excite encore plus. J’écarte mes cuisses davantage dans l’espoir de voir cette main aller y faire son œuvre de bienfaisance.


J’entends la respiration de plus en plus lourde de Sylvie, je sens le souffle chaud de sa respiration sur ma nuque. Soudain elle me tire violemment sur le bout du sein en me disant :



Sous la violence de son geste j’ai relevé la tête. La nuit est tombée dehors, je vois parfaitement les lumières allumées de l’immeuble d’en face et des silhouettes s’agiter en ombres chinoises à travers les vitres. Mécaniquement, je détaille les intérieurs des appartements visibles et je me dis que l’on doit aussi bien voir ce qui se passe ici d’en face, ce qui pousse encore plus loin mon excitation et mon envie. J’agite mon bassin dans l’espoir de faire glisser cette main toujours sur ma cuisse un peu plus haut, sur ma chatte en ébullition.



Sylvie se recule et me tire en arrière, je me retrouve couchée sur le sofa. Elle me passe par-dessus, je vois sa poitrine ronde m’effleurer le visage. Je finis de m’allonger totalement, ma jambe droite reste pendante dans le vide alors que je pose l’autre sur le dossier pour bien m’écarter. Son ventre tout aussi rond que ses seins me passe au-dessus du nez maintenant suivi par son bassin. Sa robe a glissé sur son fessier, je la retrousse sur ses reins pour dévoiler sa croupe majestueuse. Sans être vraiment surprise, sa chatte luisante de son humeur m’apparaît, pas la moindre culotte pour la masquer. Ses lèvres sont béantes et protubérantes, cette chatte est comme la mienne avide de caresses désormais. Alors que je commence à relever la tête, attirée par ce sexe en chaleur, une main tire sur le côté mon string et des doigts viennent au contact de mes lèvres humides. Sylvie commence à jouer avec mon sexe, caresse mes lèvres de haut en bas, de bas en haut et soudain me pénètre avec un doigt puis deux. Je pousse un cri de plaisir et halète au rythme de son va-et-vient. Mes mains sont restées crispées sur ses fesses, je les empoigne proportionnellement au plaisir reçu, mon bassin s’agite pour mieux sentir ses doigts me pénétrer. Je hurle enfin mon plaisir, ma jouissance à plusieurs reprises. À demi consciente, j’entends Sylvie me dire :



Elle avance un peu le long de mes jambes, ce qui me permet de me redresser et de prendre la position assise. Elle s’arrête, se couche sur mes jambes et relève ses fesses sous mon nez, les jambes aussi écartées que possible. Son cul ainsi dressé m’offre une vue immanquable sur sa chatte en feu et baveuse. Mon regard est aussi attiré par la porte-fenêtre restée ouverte et par les lumières des appartements d’en face. Je vois deux ombres se détacher dans l’encadrement d’une fenêtre un peu en surplomb de nous, ils seraient en train de regarder ce qui se passe ici qu’ils ne feraient pas autrement. Je n’en dis pas un mot mais, comme toujours, cette situation renforce mon excitation, je bombe le torse, fière d’exhiber ma poitrine généreuse, mes bouts tendus par le plaisir.



J’exécute son ordre avec tout le plaisir que l’on peut imaginer. Ma bouche va au contact de cette chatte en feu et mes doigts glissent dessus. Ce premier contact lui arrache un cri suivi d’un gémissement permanent dont seule la puissance varie selon mes mouvements. Je la pénètre avec mes deux doigts qui rentrent facilement, profondément tout en la dévorant à coups de suçons et de langue. Elle pousse un râle tonitruant, elle tortille son cul pour mieux s’empaler sur mes doigts qui rentrent et sortent, glissent sur son clitoris, rentrent de nouveau sans interruption. Aux bruits qu’elle pousse, je sais qu’elle jouit à maintes reprises. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie qu’elle exhibe ça à ses voisins si curieux.



Je la fais se placer de façon à ce qu’elle soit face à la porte-fenêtre, je l’enjambe et place mon cul au-dessus de son visage. J’empoigne ses jambes pour les glisser sous mes bras et rendre bien apparent son sexe en éruption. Avec défi, je me redresse, les deux ombres sont toujours derrière la vitre, d’une main je me caresse la poitrine tandis que l’autre rejoint la chatte de Sylvie toujours aussi accueillante et gourmande.


Son gémissement reprend mais à moitié étouffé car la vision de mon sexe sous son nez lui a donné de bonnes idées. Sa main tire mon string alors que sa langue fouille mon antre et en y faisant des ravages de plaisirs. La jouissance est telle que je suis obligée d’abandonner son sexe, mais en bonne copine, Sylvie n’arrête pas pour autant. Sa langue continue à me fouiller en profondeur, sa bouche à mordiller tout ce qui passe à sa portée. Mes deux mains sont maintenant en train de malaxer ma poitrine, je suis complètement redressée au-dessus de sa tête, je m’entends dire :



De temps en temps une de mes mains descend sur son sexe ouvert comme pour l’encourager à poursuivre son broutage de minou si jouissif. Tant de jouissance arrive à bout de ma résistance physique et je m’écroule entre les jambes de Sylvie. Nous sommes toutes les deux éreintées maintenant et nous avons un mal fou à nous extirper l’une de l’autre tellement nous sommes emmêlées. Nous y arrivons enfin et nous retrouvons toutes les deux assises sur le sofa. Pendant nos effusions la robe de Sylvie a glissé, sa poitrine lourde est à nu. Je relève les yeux et je vois son visage et je réalise que c’est bien avec ma vieille copine Sylvie que je viens de faire l’amour. Je reste muette tellement j’en suis encore abasourdie. Elle rompt le silence en me disant avec un sourire malicieux :