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n° 14273Fiche technique19883 caractères19883
Temps de lecture estimé : 12 mn
10/02/11
Résumé:  Aline vit enfin avec moi. Nous descendons en vacances ensembles et je vais découvrir d'autres facettes de ma petite chérie.
Critères:  fh couple jardin exhib fmast hmast fellation pénétratio -couple
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Rencontre avec Aline

Chapitre 04 / 20
Début de la vie commune avec Aline

Résumé : après avoir montré mon string à ma collaboratrice et qu’elle m’ait montré ses seins, je suis rentré chez moi. Nous sommes devenus amis et après que son mec ait annulé, au dernier moment, un voyage en Tunisie elle est venue passer deux semaines avec moi dans le sud, du côté de Toulon. Pendant ce séjour, nous avons fait l’amour puis à notre retour, je me suis aperçu que j’étais amoureux d’elle tandis qu’elle reprenait la vie commune avec son compagnon. Après bien des péripéties, Aline et moi vivons enfin ensemble et sommes très amoureux l’un de l’autre.




Voici la suite de nos aventures…



Quelques semaines avaient passé, nous avions pris une semaine de vacance. Aline, comme moi, préférait partir moins longtemps mais plus souvent.


Conformément à la règle de l’entreprise, nous étions allés voir Jean Pierre pour lui dire que nous nous aimions et que nous vivions ensembles. Il avait une marotte, il ne voulait pas qu’un couple travaille dans la même succursale, cela évitait des problèmes de dates de vacances par exemple ou, comme il l’avait rencontré une fois, des problèmes de jalousie.


En tant que DRH, ma place était nécessairement au siège avenue Foch, Aline, elle, a été mutée dans notre centre de La Défense. Pour nous remercier, d’abord d’être allés spontanément le voir, et ensuite de ne pas faire d’histoire pour cette mutation qui augmentait sensiblement son temps de transport, Aline avait eu une promotion et se retrouvait chef de service alors qu’elle avait à peine cinq ans de présence dans la boîte. Je me souvenais avec tendresse de son premier entretien d’embauche, petite fille timide sortant de ses études. Si j’avais su à cette époque-là que je décidais de mon avenir ! Chaque soir, elle me rejoignait au bureau et en profitait pour aller voir ses anciennes collègues puis nous rentrions tous les deux, profitant de ce temps supplémentaire ensemble. Parfois, nous restions la soirée sur Paris, nous faisant un petit resto ou une soirée théâtre ou cinéma.


Nous étions donc descendus dans ma maison de La Farlède et cette fois, j’avais dit à mes amis, Patrick et Brigitte que nous sortions ensembles et que c’était du sérieux.


Nous nous connaissions tous les trois depuis le CP. À l’âge de quinze ans, Patrick et moi, étions tous les deux amoureux de Brigitte, nous avions convenu que celui des deux qui ne sortirait pas avec elle, ne s’interposerait jamais. À mon grand désespoir, Brigitte avait préféré Patrick et ils ne s’étaient plus quittés depuis.


Selon certaines confidences que Patrick m’avait faites certains soirs de beuveries, je savais que, bien qu’ils soient toujours très amoureux l’un de l’autre, sexuellement ce n’était pas trop cela. À priori, Brigitte n’aimait pas trop faire l’amour et ils semblaient s’en être accommodé tous les deux.


Au début de leur relation, Brigitte semblait craindre que je ne continue à vouloir avoir une aventure avec elle. J’ai mis les choses au point très rapidement, lui signifiant qu’être l’amie de mon ami la rendait intouchable et c’était ainsi que notre amitié a continué à se développer au fil des ans, les choses étant parfaitement claires entre nous trois.


Le soir après un bon resto tous les quatre, Aline et moi sommes rentrés chez nous. Nous nous étions mis dans le jardin pour profiter de la douceur de la nuit. J’étais bien et ne souhaitais qu’une chose, tenir ma chérie dans mes bras.



Et elle descendit à niveau. Après l’avoir libéré, sa bouche prit possession de mon sexe et elle commença une longue fellation. J’étais au comble du bonheur. J’adorais cette caresse, surtout quand je voyais, comme ce soir, qu’elle avait très envie de me la faire. Soudain un mouvement attira mon attention. Derrière la fenêtre du voisin, j’avais vu un rideau bouger et manifestement quelqu’un nous observait. J’arrêtai Aline et la remontai vers moi. Je lui dis à l’oreille :



Paradoxalement, cela parut l’exciter encore plus.



Et après un long baiser, elle redescendit vers mon sexe qui s’était quelque peu détendu. Je vis un nouveau mouvement derrière la fenêtre. Cette fois-ci, j’en étais sûr, quelqu’un nous observait. Je le dis à Aline qui de nouveau me dit :



Sa bouche était tellement douce que je me laissai aller et fermai les yeux pour m’isoler de ce voyeur. Très vite, mon sexe reprit de la vigueur au grand contentement d’Aline. J’avais l’impression que de savoir que quelqu’un nous regardait, l’excitait encore plus et elle me suçait avec, à la fois une vigueur et une douceur, qui eurent très vite raison de moi et je me laissai aller dans sa bouche avec de nouveau ce plaisir, accentué par le fait que ce soit la femme que j’aimais et qui m’aimait, qui me le fasse. Dès que j’eus joui dans sa bouche, elle remonta et m’embrassa passionnément en me demandant :



J’étais un peu surpris. Je découvrais une nouvelle facette de ma petite chérie.



Aline me fit un grand sourire et m’embrassa en me disant un grand « je t’aime ».


Il me vint une idée, mais j’hésitai un peu craignant qu’elle ne me juge mal.



Elle hésita longuement. Je connaissais sa répugnance à se montrer mais, excitée comme elle l’était et sachant que la nuit la dissimulerait, elle semblait manifestement tentée. Puis elle prit sa décision. Elle se tourna un peu, pour être face à moi tout en étant parfaitement visible pour le voisin (si toutefois il était vraiment là) elle enleva son tee-shirt et son soutien et fit descendre lentement son pantalon jusqu’à mi-cuisse, puis fit glisser son slip. Elle se caressa doucement les seins et descendit sa main vers son sexe. Elle se mit à se caresser. Je voyais son doigt tourner sur son clitoris tandis que de son autre main, elle faisait rentrer un puis deux doigts. Je voulus la rejoindre mais elle me dit d’une voix rendue oppressée par son plaisir :



Ce spectacle, l’idée que quelqu’un d’autre (homme ou femme on ne savait pas et en fin de compte, il n’y avait peut être personne) était peut être en train de la regarder m’avait rendu ma vigueur. Alors, je me levai, me plaçant en face d’elle, je me retrouvai de profil face à cette fameuse fenêtre, prenant mon sexe à pleine main, je me masturbai comme elle. Elle me regardait et me disait :



Et moi



Et très vite, c’est ensemble que nous avons atteint notre plaisir, le mien s’envolant et tombant sur son pantalon et son tee-shirt. Nous sommes montés nous coucher. Le baiser qu’elle me donna lorsque nous fûmes au lit me montra bien plus que tout autre parole, le plaisir qu’elle avait pris.



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Le lendemain, nous avions fait un grand tour à Giens et en fin de matinée, je l’emmenai dans un centre commercial pas très loin de chez moi qui s’appelle Grand Var.


Nous avons fait les boutiques de vêtements de la galerie. J’avais une idée derrière la tête. Aline ne mettait jamais ni jupe ni robe et encore moins de décolleté. Je trouvais cela dommage car elle avait de très jolies jambes ; quant à ses seins, je vous en ai déjà parlé. Quand elle a compris ce que j’attendais d’elle, elle a tout de suite fait la gueule. Elle m’a dit :



Cela la fit sourire mais elle rajouta :



J’abandonnai parce que je voyais vraiment que je la gênais. Nous avons quitté la boutique en saluant la vendeuse qui était venue nous demander si elle pouvait nous aider et avait entendu malgré elle la fin de notre conversation. Mais je ne pus m’empêcher de rajouter d’un ton déçu :



Elle ne dit rien. Nous sommes partis faire quelques courses au Carrefour. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, je repris très vite ma bonne humeur, le fait d’être avec elle et de lui donner des petits bisous ou lui tenir la main me remplissait de bonheur.


Dès que nous avons rangé les affaires dans la voiture, elle m’a pris la main et m’a dit :



Elle m’a alors ramené à la boutique où nous étions allés avant de faire les courses. Dès que nous fûmes entrés dans la boutique, elle s’adressa à la vendeuse qui nous avait reçus très rapidement et très gentiment tout à l’heure :



Très hésitante, rougissante et gênée, Aline retira son tee-shirt et la vendeuse estimant ce qu’elle pourrait amener, revint quelques instants plus tard avec différents modèles. Le premier qu’elle lui passa ne lui allait pas du tout et je voyais deux choses, un, Aline faisait la gueule et deux, se confortait dans l’idée que ce genre de vêtements ne lui irait jamais. J’allais protester quand la vendeuse me fit un clin d’œil tout en disant à Aline:



Et elle lui passa une robe que j’avais aperçue en vitrine et qui m’avait bien plu. Aline rentra de nouveau dans la cabine pendant que la vendeuse me disait avec un sourire et tout doucement :



Et de fait, quand elle ressortit, bien qu’elle essayât de le cacher, je vis bien qu’Aline avait le sourire. La vendeuse et moi avons eu la même réaction :



Bien que manifestement séduite, Aline semblait encore hésitante.



Je venais de constater quelque chose, Aline et la vendeuse qui s’appelait Patricia venait de se tutoyer presque sans s’en rendre compte. La vendeuse se tourna vers moi :



Il faut dire que Patricia avait le compas dans l’œil, la robe lui descendait juste au-dessus des genoux. Elle avait un petit décolleté en carré qu’Aline avait essayé de remonter le plus possible.



Et joignant le geste à la parole, elle fit redescendre le décolleté, dévoilant légèrement, la naissance de ses seins.



Aline souriait et me regarda un peu inquiète :



Je ne pus que le lui répéter d’une voix un peu rauque ce qui les fit bien rire toutes les deux :



Je la reconnaissais bien là. Comme moi, elle était parfois longue à se décider mais quand elle prenait sa décision, elle allait jusqu’au bout. Quand, quelques instants plus tard, elle ressortit de la cabine, je fus époustouflé. Une mini-jupe qui lui arrivait à mi-cuisse dévoilant ses jambes superbes, un décolleté en pointe vertigineux, assorti d’un soutien-gorge adapté que Patricia avait amené en même temps, dévoilait la courbe de ses seins. Je la trouvais très belle.



Au sourire qu’elle me fit, je vis bien qu’elle était heureuse de ses achats. Il était en même temps rempli de promesse pour la soirée à venir. Pendant qu’elle se rhabillait, j’allais payer nos achats et pris le sac dans lequel elle avait rangé les vêtements. Je vis Patricia aller vers la cabine, donner quelque chose à Aline en lui parlant à l’oreille. Aline se mit à rougir très fort, tout en la remerciant. Quand je lui demandais ce qui s’était passé, elle me dit :



L’après midi, nous sommes allés nous promener en ville. Elle avait mis sa robe mais semblait toujours inquiète quand elle se regarda dans la glace avant de partir :



Cela la fit rire. Tandis que nous nous promenions, je vis avec amusement que dès qu’elle passait devant une vitrine, elle se regardait. Elle faisait aussi attention au regard des autres. Quand elle s’aperçut que je la regardais, elle eut un petit sourire et dit en m’embrassant :



Le soir, nous sommes allés manger chez Patrick et Brigitte. Quand elle vit le regard de Patrick à son arrivée et plus tard son regard traînant dans son décolleté quand elle se penchait, elle me fit de nouveau de grands sourires, se penchant souvent plus que nécessaire. À ma grande surprise car je la pensais très jalouse, Brigitte sembla beaucoup s’en amuser. Mais comme elle avait développé une grande amitié avec Aline, je me dis qu’elle pensait qu’il en allait entre Aline et Patrick comme entre elle et moi.


Comme souvent avec Brigitte et Patrick, la soirée se termina fort tard. Aussi, comme nous sommes rentrés à la maison, le temps que je me prépare pour la nuit, Aline (qui allait toujours à la salle de bain avant moi) s’était endormie. Je fus un peu déçu car j’avais très envie d’elle, mais à peine, couché et collé contre elle, je m’endormis à mon tour.