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Temps de lecture estimé : 18 mn
27/01/11
Résumé:  Chrisss part en Guadeloupe garder ses petits enfants et fait connaissance d'un charmant voisin.
Critères:  fhh fplusag vacances plage fellation cunnilingu pénétratio double sandwich -occasion -fhh
Auteur : Calin 13  (Les aventures de Chrisss racontées par Chrisss)      

Série : Chrisss13

Chapitre 02 / 03
Chrisss en Guadeloupe

Dimanche 9 janvier, aéroport de Marignane, flanquée de deux valises, un vanity-case, un sac et la mallette de l’ordinateur, je pars en Guadeloupe. Ma fille et mon gendre m’offrent ce voyage sous les tropiques pour garder leurs deux enfants pendant qu’ils vont faire une croisière dans la mer des Caraïbes. Heureusement mon Chéri m’accompagne. Enfin, pas plus loin que le guichet d’embarquement. Je l’aime, je suis bien avec lui et si je suis ravie de passer trois semaines sous le soleil, surtout au mois de janvier, je suis quand même triste de quitter ses bras protecteurs, son regard bleu gris et les câlins qui vont avec.


Nous retrouvons mon gendre, ma fille et les deux petits, ce qui « gâte » la tendresse de nos adieux.


Je suis maintenant depuis trois jours à Saint-François, nous habitons chez la mère de mon gendre, une résidence qui donne directement sur la plage, avec un petit centre commercial à 50 m. J’ai vite pris mes marques, la plage, les courses, la sieste, l’apéritif, les enfants…

Ici, le rythme de vie est moins speed que chez nous, on prend le temps de respirer, de parler, de lambiner.


Hier, à la supérette, alors que je cherchais du dentifrice, j’ai remarqué un homme devant moi, grand, élégant, le bronzage qui faisait ressortir ses yeux bleus. « Belle prestance », me dis-je !

Arrivée à la caisse, il était derrière moi, aussi nos regards se sont croisés.

En rentrant vers l’appartement, j’étais dans mes pensées, c’est-à-dire que je pensais à ce regard, à cette silhouette que je trouvais attirante, quand une voix chaude dans mon dos me dit :



Me retournant, je vis mon inconnu, sourire aux lèvres, qui était derrière moi.



Je lui ai expliqué rapidement le contexte de mon séjour, que le pays était agréable… enfin les banalités habituelles. Je montai les escaliers extérieurs qui mènent à l’appartement. Arrivée sur la petite terrasse devant la porte d’entrée, alors que je cherchais mes clés, je le vis sur le même palier mais de l’escalier à côté.



Rentrée dans l’appartement, Dani me dit :



Rentrée dans ma chambre, je suis songeuse, je me regarde dans la glace, me redresse en pensant à mon Roger, avec le léger hale qui commence à me donner une bonne mine, je me trouve mignonne. Bon, c’est vrai que Marc doit avoir dans les quarante-cinq ans, soit huit ans de moins que moi, mais s’il m’a adressé la parole c’est au minimum qu’il me trouve agréable. Qu’est-ce qu’il me dirait mon amoureux ? « Tu es belle mon Amour, j’aime quand tu es belle, séduisante, quand les hommes te regardent, les femmes aussi d’ailleurs, je t’aime comme un fou et j’aime tout ce qui te trouble ».


Eh oui, il est comme ça mon Roger, mon Cœur, mon complice. Ça ne veut pas dire qu’il n’est pas jaloux, mais par-dessus tout, il veut me voir heureuse et bien dans ma peau et dans ma tête. C’est sans doute pour cela que je l’aime tant.


Ces pensées m’ont poursuivie tout l’après-midi. Sur la plage, surveillant d’un œil les enfants, allongée sous le parasol, je laissais vagabonder mon esprit, de Roger à Marc, imaginant une séance photo sur le voilier, dans une crique déserte. Mon Chéri me faisant poser dans les bras musclés de Marc en maillot de bain, moi en paréos et soutien-gorge, illustrant des situations de plus en plus proches où je devinais le trouble de mon cavalier.


Allongée en slip, les seins nus sous le soleil chaud, je commençais à me demander quand Dani, partie nager avec ses palmes et son masque, allait rentrer. Je me soulevai sur un coude pour mieux voir quand une ombre me masqua le soleil. Je cligne des yeux, devant moi deux silhouettes : Dani et Marc.



Je suis là, les seins nus devant celui qui m’a fait fantasmer tout l’après-midi et je ne sais quoi dire. Il me regarde, l’œil souriant et glissant sur mon corps. J’esquisse un geste pour trouver une serviette et voiler inutilement ce qu’il a eu tout le loisir de contempler. « Eh bien comme ça, il n’y a plus de mystère, c’est sûr qu’il ne s’intéressera plus à moi ». J’en veux à Dani.


Mais voilà que Marc me dit :



Prise de court, cachée derrière mes lunettes de soleil, je bafouille :



Dani vient à ma rescousse :



Et se tournant vers Marc :



Je n’ai plus qu’à acquiescer puisque tout le monde est d’accord.




Maintenant, il est presque 9 h et je suis sur le palier devant la porte et je guette la porte du voisin.

Je me suis réveillée très tôt ce matin après une nuit agitée où j’ai dû me caresser longuement pour me calmer. J’ai enfilé une jupe courte et un chemisier noué sur le ventre avec dessous le maillot de bain qu’aurait choisi mon Roger, celui qui est noué sur les hanches.


Mais ça bouge derrière la porte, mon cœur bat fort, trop fort pour une simple balade en mer.


Enfin elle s’ouvre et Marc apparaît, grand sourire aux lèvres en m’apercevant.



Mais la porte s’ouvre à nouveau et sort de l’appartement un autre homme, un peu plus jeune, un peu moins grand, mais les mêmes yeux, le même sourire, son frère sans aucun doute.

Je ne sais pas si je suis déçue ou pas, qu’est-ce que je m’imaginais aussi, une croisière en amoureux ?



Ne sachant que dire, je demande :



Marc m’invite à monter dans sa voiture, un 4x4 Toyota. Il m’ouvre la porte arrière pendant que son frère prend le volant. Il faut dix minutes pour aller jusqu’à la Marina.

Un instant je me demande ce que je fais là, avec deux parfaits inconnus, charmants certes mais inconnus quand même. Déjà nous arrivons. J’ai juste pris avec moi un petit sac de plage avec quelques bricoles, crème solaire, il faut être prudente, je ne veux pas griller au soleil, mon téléphone, un mouchoir…

Didier gare la voiture à l’ombre. Visiblement il a ses habitudes.


Encadrée de mes deux cavaliers, nous nous dirigeons au milieu des bateaux sur la jetée.



Je n’y connais rien en bateau mais il est beau, impeccable, superbe.



En effet un petit escalier descend et s’ouvre devant une pièce garnie d’une table et de banquettes. Je pose mon sac et remonte.



Je les regarde faire, je ne comprends pas bien leurs manœuvres mais ils ont l’air de professionnels qui savent ce qu’ils ont à faire.

Bientôt le voilier s’ébranle, Didier a mis un moteur en route ce qui m’étonne.



Bien que bretonne, je ne suis jamais montée sur ce type de bateau. Nous glissons sur l’eau, sortons du port et en quelques minutes nous sommes au large.

Je regarde Didier et Marc. Ils sont beaux. Je suis seule en mer avec deux beaux garçons. Je ne peux m’empêcher de sourire.



Marc et Didier se regardent, ils aimeraient en savoir plus visiblement, mais ils n’osent pas s’avancer plus.



Je pense à mon Amour, il aimerait, j’en suis certaine, faire une séance avec mes deux matelots, hélas il est à 5 000 km.



Prestement Marc descend dans la cabine et remonte avec une bouteille de champagne et trois coupes.



Tout d’un coup son regard me surprend, je regarde Marc, ce doit être le champagne, il a le même petit éclat dans les yeux. Je ne sais que leur sourire en rectifiant ma tenue, « tiens-toi droite » m’aurait dit Roger. Je me tiens droite, faisant ressortir ma poitrine.


Il commence à faire chaud, je veux enlever mon chemisier, mais une petite vague de travers me déséquilibre et je manque de tomber. Marc me rattrape au vol. Je suis dans ses bras.



Et passant ses mains autour de moi, Marc défait le nœud qui tient les pans du vêtement. Il prend son temps, simulant visiblement une difficulté inexistante. Je sens son buste chaud dans mon dos, ses bras autour de moi, ce contact me trouble, imperceptiblement je m’appuie contre lui, mais trop tard, le nœud est défait.


Je suis bien sur ce voilier qui glisse sur l’eau, une douce brise me caresse la peau, le soleil est chaud. Du coin de l’œil je regarde mes deux marins, je suis quand même troublée. Je me laisserais bien faire par l’un ou l’autre. Ils dégagent une impression de force et de douceur, les traits réguliers, un regard bleu qui vous transperce, un petit sourire craquant, des mains que j’imagine glisser sur mon corps. Je rêve ou je fantasme. J’aimerais que cette croisière ne se termine jamais.



Après quelques instants dans le canot pneumatique, nous arrivons sur la plage. Pas une maison, pas une route, des rochers comme pour nous protéger du monde.



Didier porte deux paniers avec le pique-nique et des serviettes et installe le tout méticuleusement ; et ayant fini, vient vers moi, me prend par la main et me tire dans l’eau. J’ai juste eu le temps d’enlever ma jupe. L’eau est délicieuse, j’y rentre sans sensation de froid.


Marc nous rejoint dans de grands jaillissements d’eau, nous arrosant au passage. Les deux frères s’éclaboussent dans de grands éclats de rires, puis se tournant vers moi, me prennent pour cible. J’essaie de me défendre mais la lutte est inégale.



J’ai de l’eau jusqu’à la poitrine. Marc s’approche et me tend la main.



J’obéis et tente de m’allonger, mais ça bouge et je ne suis pas rassurée. Didier s’approche à 2 m et me dit :



Marc pose sa main sous mon ventre et me maintient pendant que je fais les mouvements vers Didier. J’attrape Didier par le cou.



Maintenant c’est Didier qui pose sa main sous mon ventre pour me soutenir. Et je me dirige vers son frère. Au bout de quelques minutes, j’arrive à faire quelques brasses, mais je fatigue et surtout, je ne me suis pas rendu compte que nous nous sommes avancés vers le large et que je n’ai plus pied.



Je n’en peux plus. Arrivée à Marc, je m’accroche à lui comme une noyée à sa bouée.



J’ai passé mes jambes autour de la taille de Marc, les bras toujours autour de son cou, ma poitrine contre son buste, je récupère ma respiration.



J’avance la tête pour l’embrasser sur la joue, mais à ce moment il tourne la tête et ma bouche rencontre ses lèvres.



Je le regarde dans les yeux, je suis dans ses bras ; en fait, il a les mains sous mes fesses pour me tenir, je sens contre mon ventre son sexe raidi. Alors, n’écoutant que mon envie, je prends sa tête entre mes mains, pose délicatement ma bouche contre sa bouche, ses lèvres s’entrouvrent, sa langue vient forcer ma bouche et plonge à la rencontre de ma langue. Nous échangeons alors un baiser profond, sensuel, fougueux. C’est délicieux. Je ne sais pas ce qui m’a pris, c’est pas raisonnable, mais déjà Didier réagit.



C’est Didier qui est maintenant contre nous, un grand sourire aux lèvres.

Sans lâcher Marc, je me tourne, j’ai encore le goût de son baiser dans la bouche, mais Didier me prend de vitesse et me prend les lèvres, me forçant à céder sous la force de sa langue. Je ne comprends pas ce qui se passe, ça va trop vite. Je sens leurs doigts courir sur mon corps. Leurs bouches avides me couvrent de baisers, cherchent ma bouche, mon cou, une main tire sur les cordons qui tiennent mon slip. Bientôt le tissu se fait moins présent, je me sens plus nue. Derrière ma tête, Marc défait le nœud qui retient mon soutien-gorge et libère mes seins.



Ils me portent jusqu’aux serviettes, j’ai la tête en feu, que veulent-ils me faire ?


Ils me déposent délicatement, s’allongent près de moi, contre moi, me regardent intensément, posent leurs mains sur mes cuisses et sur mes seins. Je ne sais comment me défendre. Je ne sais même pas si j’ai envie de me défendre.


Marc se penche sur moi et m’embrasse de nouveau. Ses baisers sont impératifs, profonds, pénétrants. Alors je ne résiste plus ; Roger, je pense à toi mais j’ai envie d’eux. Alors je lui rends ses baisers, cherchant sa langue, profondément, les mains accrochées à ses cheveux pour le garder contre moi.


Didier glisse à mes pieds, me caresse le ventre, sa main descend le long de mes cuisses, les écarte doucement, il avance ses doigts vers mon sexe épilé, approche de mes lèvres, les écarte délicatement puis plonge sa tête vers mon minou et de sa langue douce et chaude, attaque mon clito, le fait vibrer, le frôle, le titille, l’aspire, puis il plonge sa langue entre mes lèvres, la rentre dans mon sexe, le lèche, goûte son parfum, remonte à mon clito. De son autre main, il plonge un doigt dans mon sexe, j’adore ; tout de suite après, il pénètre le deuxième. Je me cambre sous la caresse, l’index et le majeur explorent mon vagin, je lui offre mon intimité comme j’offre ma bouche à son frère.


Marc continue à fouiller ma bouche, je suis tout offerte, écartelée, sans pudeur et sans résistance, je veux partager mon excitation, leur donner mon corps ; je tends la main dans la direction de son slip tendu par son membre. Je l’attrape, le serre, il est raide et gonflé entre mes doigts ; j’en ai envie, je tire sur le tissu encore mouillé de notre baignade. Son gland apparaît, je le saisis et le masturbe lentement et fermement.

Je relève les cuisses et les passe autour du cou de Didier, je veux le garder prisonnier contre mon sexe, je veux qu’il me dévore le minou, ce qu’il fait avec passion, les doigts toujours dans mon vagin me pistonnent, je gémis sans retenue, je sais que mes soupirs les excitent encore plus, et moi aussi ça m’excite de leur faire partager ma jouissance. De ses doigts libres, Didier cherche le chemin de mon petit cul, trouve ma rondelle délicate et avec une douceur surprenante, vu le contexte, la force doucement.


Toujours accrochée au membre magnifique de Marc, je quitte ses baisers et me penche pour emboucher son gland congestionné. J’engloutis sa tête douce et soyeuse, la fait glisser sur ma langue, elle envahit toute ma bouche. On dirait un olisbos chinois en ivoire ou en marbre lisse. Je le tète, le suce, l’aspire, le masturbant de ma main libre. Il gonfle un peu plus à chaque succion, à chaque va-et-vient dans ma bouche, lui aussi laisse échapper des soupirs déchirants, je saisis ses testicules et les caresse, les malaxe doucement, l’effet est immédiat, son membre dans ma bouche augmente encore de volume. Je lui souffle alors comme une prière :



Didier qui a entendu, lâche alors mon sexe déjà endolori de toutes ses caresses et laisse la place à son frère qui, s’agenouillant entre mes cuisses, attrape son membre, le positionne entre mes lèvres et doucement force en avant. Je me redresse pour le regarder me pénétrer, avancer dans moi. Je le sens qui progresse, qui écarte mes lèvres, qui prend toute la place. Je suis envahie et j’aime ça. J’accroche mes mains à ses hanches et le guide, lui indique le rythme à suivre, la pression dans mon sexe. Et il vient et il recule et revient encore plus fort.

Je l’encourage :



Je veux exprimer ce que je ressens, leur faire partager, nous sommes seuls au monde et je suis prise et offerte.

Didier est remonté vers ma tête, et à son tour il prend ma bouche. Lui aussi je le veux, je veux me donner à lui aussi, sans retenue. Ses mains saisissent mes seins, pincent mes tétons, jouent avec eux ; il les suce, les agace avec la langue, puis se redressant un peu, il vient les caresser avec son membre, plus fin mais plus long que celui de son frère. Son gland frotte mes tétons, son visage est tendu, les mâchoires serrées, les veines du cou gonflées.


Marc continue à me pistonner, violemment, il me replie les jambes, me maintient pliée, appuyé sur ses bras, il lance son ventre contre le mien, je sens ses couilles battre contre mon derrière, ça m’excite encore plus ; après un long moment à ce rythme, il s’arrête, sort son membre de mon sexe et le pose délicatement à l’entrée de mon derrière.

Dans un réflexe, je lui souffle :



Il se positionne contre mon œillet rose et, se guidant avec la main, pousse délicatement. Je sens sa présence, j’ai peur d’avoir mal, je crains et me crispe, mais son gland franchit ma rondelle, lentement, chaudement, je suis envahie par sa présence. De le savoir dans mon cul, sans douleur, me soulage, j’ai maintenant envie de le sentir tout au fond, qu’il me reprenne avec passion. Je l’encourage encore.



Didier se sent un peu mis de côté, aussi il vient chevaucher mon buste et me plante son sexe dans la bouche, m’aidant à relever la tête pour que je puisse le pomper. Lui aussi veut m’encourager :



Je ne peux plus parler, mais je soupire et me déchaîne, sentant que je ne vais pas tenir longtemps à cette cadence. Nos rugissements sont trop violents, je suis trop offerte, ils sont trop excités.

Enfin, Marc et Didier, s’arc-boutent, de leurs gorges sortent deux râles de bête, leurs mains se crispent sur moi, ils se tendent, serrent les mâchoires et explosent en moi en de longs jets brûlants, Marc dans mon cul, Didier dans ma gorge. Je suis obligée d’avaler tout son sperme pour ne pas étouffer. Enfin, ils relâchent leur étreinte et nous nous écroulons sur la plage.


J’ai la tête dans un nuage, je suis très partagée, m’être donnée ainsi est insensé, c’est complètement fou mais je ne regrette rien parce que je me suis sentie pleinement femme.


Après quelques minutes de récupération bien méritée, nous retournons à l’eau pour nous laver, surtout moi qui coule de partout. Marc et Didier, très attentionnés, viennent me frotter sur tout le corps, s’attardant sur mes seins, glissant leurs doigts sur mon ventre plat, s’insinuant dans mon sexe et mon petit derrière encore endoloris par le délicieux traitement subi.


Mon maillot de bain flotte à quelques mètres de là, toute nue je vais le récupérer, Dani ne comprendrait pas que je rentre sans…


Je me sens bien ainsi, toute nue, sous le soleil et le regard de braise de mes compagnons. Je me sens belle.


Eux aussi sont nus et beaux. Sur un signe de Didier, nous retournons à l’eau. Ils viennent se coller contre moi, j’aime leur peau contre la mienne, leurs muscles qui brillent sous le soleil. Je me sens à la fois protégée et vulnérable mais aussi épanouie. Nous nous enlaçons tous les trois. Leurs mains glissent sur moi, sur mes fesses, sur mes seins, sur mon ventre, sur mes cuisses. Moi aussi, je caresse leurs fesses fermes et musclées. La transparence de l’eau ne cache pas leur vigueur qui remonte à la surface. Je leur attrape leur sexe, un dans chaque main, et les caresse doucement. Ils ferment quelques instants les yeux en ondulant du bassin. J’aime sentir mon pouvoir sur leur excitation.


Rouvrant les yeux, Marc me regarde avec tendresse, prend mon visage entre ses mains et m’attire contre sa bouche. Je me laisse faire, c’est tellement délicieux, j’aime lui rendre ses baisers, je le saisis au cou et comme tout à l’heure, je grimpe m’accrochant à sa taille avec les jambes. Dans cette position, son membre vient naturellement entre mes cuisses, à l’entrée de mon sexe. Sans qu’il n’ait rien à faire, je glisse lentement, guidant d’un simple mouvement de hanche son membre entre mes lèvres, et me laisse descendre jusqu’à ce qu’il soit planté en moi jusqu’à la garde. Nos bouches délicieusement unies, nos langues dansent frénétiquement, mes fesses ondulent dans l’eau, mon ventre occupé par son sexe ressuscité, j’ai encore envie de lui.


Didier s’approche par-derrière, Ses mains s’accrochent à mes petits seins délicats aux tétons raidis. Dans mon dos, je sens son excitation qui frotte contre mes reins. Il se colle à moi, m’embrasse dans le cou, puis il lâche mes tétons, glisse ses doigts le long de mon corps, franchit les hanches, empaume mes fesses et les caresse fermement. Une dans chaque main, il les pétrit sous l’eau tout en continuant de frotter son sexe contre moi. Maintenant mes fesses écartées, il fait glisser son membre dans le sillon et se positionne là où son frère m’a prise tout à l’heure.

Me retournant vers lui, je lui souffle :



Je suis totalement envahie, ils sont en moi, je serre mon vagin sur le pieu de Marc pour mieux ressentir sa présence, l’idée d’être possédée ainsi me plaît, je suis une vraie femme accomplie, désirable et désirée.


Ils restent longtemps à bouger en moi, lentement leur plaisir monte, puis leur tempo s’accélère jusqu’à devenir effréné, Didier a reposé ses mains sur mes hanches et me force à suivre son tempo crescendo.

Je jouis plusieurs fois en silence puis je laisse éclater mon plaisir jusqu’à ce que Didier d’abord, et tout de suite après Marc, explosent à nouveau en moi, en de longs jets chauds.


Je vois mille étoiles qui scintillent dans le ciel ou peut-être est-ce dans ma tête, je suis tout étourdie. Les jambes flageolantes. Mes deux amants reprennent leur souffle. Doucement, ils me reposent par terre et me soutiennent le temps de retrouver mon équilibre.


Il est temps de remonter sur le bateau et de rentrer.


Sur le chemin du retour, je pense à toi mon Amour, tu aurais été fier de moi.


Au fait, en descendant du bateau, je leur ai demandé s’ils aimeraient faire une séance photo, ils ont dit oui, mais sans bien savoir ce que ça cache.