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n° 14282Fiche technique24035 caractères24035
Temps de lecture estimé : 15 mn
15/02/11
Résumé:  Aline et moi sommes descendus en vacances. Nous continuons l'apprentissage de notre vie commune.
Critères:  fh jardin voir fmast hmast fellation coprolalie -vacances
Auteur : Hardi7273  (Hardi 7273)            Envoi mini-message

Série : Rencontre avec Aline

Chapitre 05 / 20
La suite de ma vie avec Aline

Aline a enfin accepté de se mettre en robe et oser des décolletés. Nous nous sommes promenés dans Toulon où j’ai pu remarquer les regards intéressés des autres hommes, ce qui lui a bien plu. Puis avons passé la soirée avec Brigitte et Patrick et sommes rentrés tard. Le lendemain matin…




C’est son absence qui m’a réveillé. J’entendais la douche couler. J’étais un peu déçu. Je pensais qu’elle me réveillerait comme d’habitude par un petit câlin. Lorsque je suis entré dans la salle de bain, je pouvais deviner son corps à travers les rideaux. Je me rasai et quand j’ai voulu la rejoindre sous la douche, elle m’a chassé en riant et en m’aspergeant avec la douchette.



Encore une fois un peu déçu, je m’habillai et partis faire les courses. Quand je revins, la table était mise. Aline devait être en train de s’habiller. J’étais un peu surpris de son attitude mais ne voulant pas la peiner, je ne dis rien. Je lui avais pris un petit bouquet de fleurs que je mis dans un vase et j’allais repartir à la cuisine avec mon petit sac de viennoiseries pour les mettre dans une panière quand je l’entendis me dire :



Je me retournai et en laissai tomber le sac de croissant tellement j’étais surpris. Ce qui, vous vous en doutez bien, la fit rire mais en même temps lui fit, je le vis bien tellement ma réaction avait été spontanée, un très grand plaisir.


Elle s’était effectivement habillée, enfin, quand je dis habillée… Elle portait une mini, non, plutôt une micro jupe qui ne cachait pratiquement rien de ses jambes. Elle devait mesurer tout au plus 20 ou 30 centimètres de long et un tee-shirt tellement échancré qu’il lui dévoilait quasiment toute la poitrine. Malgré tout, elle était toute rouge de se dévoiler comme cela. Elle s’approcha de moi en me disant :



C’est la voix rendue très rauque par le désir que je lui demandai :



Effectivement, je pus constater qu’elle ne portait ni culotte, ni soutien-gorge. La déformation de mon bermuda lui montrait, pour son plus grand plaisir, l’effet que cela avait sur moi. Bien que manifestement excitée, elle semblait quand même un peu anxieuse, c’est d’une voix inquiète qu’elle me demanda :



Pour toute réponse, je l’embrassai puis, me mettant à genoux, je passai, avec un peu de difficulté, ma tête sous sa jupe et me mis à embrasser son sexe. Il faut croire que cette tenue l’excitait autant que moi, car il ne lui fallut que quelques minutes pour presser ma tête contre son ventre et jouir avec un petit cri. Ce fut elle qui me releva, m’embrassa, m’enleva mon tee-shirt et, se mettant à son tour à genoux, retira bermuda et slip avant de prendre mon sexe dans sa bouche et me prodiguer une de ces fellations dont elle avait le secret. Rien qu’à sa manière de me sucer, je sus qu’elle était elle-même très excitée. Je pensais qu’elle allait me faire jouir dans sa bouche mais elle se releva, me fit asseoir sur une chaise et, m’enjambant, présenta mon sexe sur le sien et m’investit d’un coup avec un petit soupir de contentement.


Je posai mes lèvres sur ses seins pour les embrasser, alors fébrilement, elle retira son tee-shirt pour me les présenter. Je les suçais, les mordillais tandis qu’elle me faisait l’amour. Je pensais que j’allais jouir très vite mais, à ma grande satisfaction, excitée comme elle l’était, elle connut une seconde jouissance. La tête posée sur mon épaule, elle respirait très fortement. Je passai mes mains sous ses jambes, la soulevai en me relevant, la déposai sur la table et me mis à lui faire l’amour à grands coups de reins. J’avais tellement envie d’elle que je ne me maîtrisais plus. Elle semblait vraiment apprécier mes grands assauts car elle gémissait de plus en plus fort. Soudain, je sentis monter ma jouissance et je sus tout de suite qu’elle serait très forte. Ce fut effectivement un moment extraordinaire d’autant plus qu’elle connut elle-même une troisième jouissance. Elle se releva pour venir m’embrasser.


Je lui dis :



Elle eut un petit rire et me dit :



C’est dans un grand éclat de rire que je lui dis :



C’est avec un petit rire qu’elle me dit :



Mais c’est avec un grand sourire qu’elle remit le tee-shirt et qu’elle essaya tant bien que mal de rajuster sa jupe qui s’était totalement relevée tandis que nous faisions l’amour.


Je m’occupai du déjeuner. Nous avons mangé, moi avec le superbe spectacle d’Aline dans cette tenue affriolante. Quand nous avons fini de manger, mon désir était revenu. Alors, je me laissai glisser sous la table et me dirigeai vers Aline qui avait déjà écarté les jambes tout en me disant d’un air faussement courroucé :



Ma seule réponse fut de poser ma bouche sur son sexe et de lui donner du plaisir. Je pouvais encore sentir des gouttes de mon sperme pas totalement séché sur ses lèvres et les poils. Cela semblait l’exciter encore plus et pour la première fois, mais pas la dernière, pour mon plus grand plaisir, elle se mit à me parler d’une manière assez crue :



Et, se tendant, elle fit comme elle en avait pris l’habitude en serrant ma tête contre son ventre, puis me dit :



Elle se glissa à son tour sous la table et me fit la plus merveilleuse des fellations. Je fis comme elle, je lui parlais avec des mots crus, lui disant de me sucer, que j’aimais sentir ma queue dans sa bouche et, quand je sentis ma jouissance monter, j’appuyai sur sa tête pour faire comme elle et la presser contre mon ventre. Elle avala toute ma semence et quand elle se releva, elle vint m’embrasser et me fit couler un peu de mon sperme, qu’elle avait conservé, dans la bouche en me disant de goûter. Alors, excité comme je l’étais, je le fis, ne le trouvant pas si désagréable que cela. Ensuite, se relevant, elle me ramena vers notre chambre où elle me fit comprendre que c’était loin d’être fini et qu’elle allait se montrer très exigeante avec moi.


Sans que je le lui demande, elle garda sa tenue, jouant avec sa jupe ou son tee-shirt à genoux sur le lit, dévoilant ses charmes pour les recacher aussitôt. Elle joua ainsi un long moment, s’amusant à m’exciter et s’échappant dès que je voulais la toucher. Nous avons passé le reste de la matinée au lit. Moi complètement nu, elle avec sa tenue.


Quelques jours plus tard, nos vacances terminées, nous remontions vers chez nous. Elle avait mis une jupe et tout le long du trajet, je lui ai caressé les jambes, remontant très haut pour son plus grand plaisir. À un moment où il y avait peu de monde sur l’autoroute, je la fis même jouir avec mes doigts tandis qu’elle se caressait comme elle en avait pris l’habitude. Puis elle s’est baissée et m’a fait une fellation. Partagé entre la conduite et sa bouche qui me suçait, je ressentis mille sensations merveilleuses avant de jouir dans sa bouche.


Lors de notre pause-déjeuner, je lui dis :



En effet, plusieurs fois elle m’avait dit qu’elle souhaitait y aller. Ayant déjà fait un week-end à celui de Sologne, j’avais pu lui dire que c’était super. Après la semaine que nous venions de passer, j’avais eu envie de lui faire la surprise et avait réservé un bungalow. Manifestement, je lui avais fait un grand plaisir et j’en étais ravi.


Tout à mon bonheur, je ne savais pas à ce moment-là que j’allais provoquer, entre nous, la plus grave crise depuis que nous allions vivre ensemble et qui allait nous amener au bord de la rupture.



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Le temps a passé très vite. Aline avait maintenant l’habitude de mettre des jupes ou des robes pour mon plus grand plaisir. Elle s’était aussi un peu libérée et si, en société, elle était toujours réservée, en privée elle me parlait avec des termes de plus en plus crus, ce que j’adorais. Elle me disait pas exemple de « lui bouffer la chatte ou le cul », de « la baiser » de « la défoncer » etc. Moi aussi, je m’étais laissé aller et j’avais pu remarquer qu’elle adorait cela quand je lui parlais avec des mots très crus. Nous en tirions tous les deux un plaisir accru. De plus, maintenant qu’elle s’habillait plus sexy, elle aimait parfois profiter des regards appuyés des hommes sur ses jambes ou dans son décolleté. Elle me disait qu’elle aimait sentir qu’un homme était excité à cause d’elle. Elle imaginait qu’il allait se branler en pensant à elle.


Quant à moi, j’étais partagé entre excitation et jalousie. Nous avions failli ne pas aller au Center Parc. En effet, le vendredi matin, nous avions appris que la grand-mère d’Aline avait fait un malaise cardiaque et avait été hospitalisée d’urgence. Aline adore sa grand-mère avec qui elle s’entend super bien. Le samedi matin, elle avait pleuré tout le long du trajet pour aller la voir. Arrivés à l’hôpital, nous avions appris avec bonheur qu’en fin de compte ce n’était rien et qu’elle ressortirait le jour même. Bien que nous ayons souhaité annuler notre séjour et rester avec elle, sa grand-mère avait insisté pour que nous ne renoncions pas à cette semaine tous les deux. Quant à moi, j’étais ravi, j’avais rencontré la première personne de sa famille et Aline était très heureuse de constater que j’avais conquis sa grand-mère.


Nous venions donc d’arriver au Center Parc de Sologne. Il était presque 20 heures. Il faisait beau et encore assez chaud. Nous avons pris possession de notre bungalow et sommes allés nous promener dans le parc avant de nous diriger vers un restaurant où nous avons dîné. Nous sommes rentrés nous coucher et un peu fatigués, nous nous sommes endormis très rapidement. Le lendemain, dès l’ouverture, nous sommes allés à la piscine où nous avons profité du bain à vagues, nous nous sommes amusés comme des fous aux différents toboggans. Aline avait mis un splendide maillot bain deux pièces qui dévoilait bien ses charmes et je la trouvais terriblement désirable là-dedans.


Nous avons fait la connaissance d’un jeune couple, Roger et Christiane, et avons passé une partie de la journée tous les quatre, déjeunant ensemble, le midi. Ce fut le début du problème. Manifestement Aline plaisait beaucoup à ce Roger. J’avais déjà remarqué qu’il essayait toujours de se rapprocher d’elle dans la piscine à vagues ou sur les toboggans. Aline, elle, semblait sensible à ses attentions et se laissait un peu trop faire à mon goût. Je commençais à sentir monter une certaine colère en moi et j’avais de plus en plus de mal à me contrôler. Aussi, quand, sous le prétexte de jouer, il la prit à bras le corps, en profitant pour poser une main sur ses seins, l’autre sur ses fesses et qu’Aline le laissa faire en riant, semblant apprécier, je fis franchement la gueule. Aline ne le vit pas tout de suite et continua de s’amuser avec Roger et le laissait devenir de plus en plus entreprenant, le laissant lui caresser carrément les seins dans la piscine, je vis rouge et lui demandai d’une voix un peu agressive :



Le pire, c’est qu’elle semblait vraiment surprise de ma réaction. Ce qui me fâcha peut être encore plus.



Je ne répondis pas et sortis de la piscine, me dirigeant vers le vestiaire et me changeai rapidement. Je la vis arriver mais ne l’attendis pas et partis. Elle prit à peine le temps de mettre son paréo sur son maillot mouillé. Le problème avec Aline, c’est qu’elle a un caractère très fort. Elle n’avait pas du tout apprécié mon attitude et me le fit comprendre très vite.



Je voyais bien que j’étais de mauvaise foi, mais je n’arrivais pas à retrouver mon calme. Malheureusement, elle le prit très mal et a décidé de me provoquer à mon tour.



Je ne répondis même pas à cela. Nous étions arrivés au bungalow et je rentrai dedans toujours très en colère.


Aline reprit la parole :



Je fus consterné par cette phrase. Je ne voyais pas du tout le rapport. Moi, je ne l’avais jamais quittée pour aller avec une autre. Mais, je voyais bien une chose, si nous continuions comme cela, la rupture deviendrait presque inévitable. Alors je décidai d’aller faire un tour pour me calmer et laisser retomber la pression. Malheureusement, Aline était maintenant très en colère de mon attitude et, soit elle n’avait pas compris mon intention soit, vexée par mes propos, elle voulait me faire du mal, mais elle me dit :



Piqué sur le vif par cette réflexion, je me retournai. Je vis bien dans ses yeux qu’elle regrettait déjà ses paroles mais je ne lui laissai pas le temps de réagir et je partis en claquant la porte. Je fis un grand tour dans le parc, essayant de me calmer mais sa dernière phrase tournait dans ma tête. Quand je revins, il faisait nuit. Elle était couchée. Je m’allongeai sur le divan pour réfléchir. J’étais allongé depuis quelque temps quand je l’entendis me dire d’une toute petite voix :



Toujours en colère, je ne bougeai pas et fis semblant de dormir.



Elle repartit dans la chambre où je l’entendis se mettre à pleurer. Je mourrais d’envie de la rejoindre pour la prendre dans mes bras et la consoler mais mon orgueil, ce P… d’orgueil qui nous pourrit si souvent la vie m’empêcha de me lever et d’aller la rejoindre comme j’en avais envie. Puis ses pleurs se sont calmés et, comme chaque fois qu’elle est très fatiguée, je l’entendis ronfler.


Quant à moi, je dormis très mal. Quelques périodes d’oubli ponctuées de beaucoup d’insomnies. Je réfléchissais à tout ce qui venait de se passer. Cette façon qu’elle avait eu de se comporter m’avait déplu mais en même temps, pour être tout à fait honnête, excité. Me rappeler Roger en train d’essayer de la caresser et entendre son rire, me donna même un début d’érection. Je ne savais plus quoi penser.


Lorsque j’étais seul, il m’était souvent arrivé de fantasmer sur une partie à trois, deux hommes s’occupant d’une femme. Généralement, d’ailleurs, il m’arrivait de penser faire cela avec mes amis Brigitte et Patrick. Mais là, cela me semblait différent. C’était réel. J’aimais Aline, nous envisagions de nous marier, et elle s’était laissée faire avec un autre homme.


D’un autre côté, elle avait raison, même si elle faisait l’amour avec un autre, je savais que c’était moi qu’elle aimait. Je ne savais plus où j’en étais. La seule chose de certain dans mon esprit, c’est que je l’aimais et que je ne pourrais pas vivre sans elle. Que devais-je faire ? Quelle était la solution ?


Puis comme d’habitude, je réfléchis beaucoup et pris ma décision. Quand, ce fut fait, je pus enfin dormir un peu.

Le super marché du parc ouvrait à 7 heures. Je me levai doucement et partis nous chercher de quoi nous faire un bon petit déjeuner. Je lui pris aussi des fleurs pour me faire pardonner. J’étais toutefois un peu inquiet quand j’approchais du bungalow. Devais-je la réveiller ? Attendre qu’elle se lève toute seule ? Serait-elle calmée ou au contraire encore plus en colère contre moi parce que je n’avais pas répondu à ses avances de la nuit ? Et si elle me quittait ?


Quand je rentrais, je n’eus pas à me poser la question plus longtemps : elle était debout en larmes, téléphone à la main. J’eus immédiatement le cœur serré.



Elle me regarda interloquée.



Et de nouveau, elle fondit en larmes avant de me dire :



Ce fut seulement à ce moment-là que je vis que c’était mon portable et non le sien qu’elle avait en main. Alors, je jetai plus que je ne déposai tout ce que j’avais en main sur la table et, me précipitant vers elle, lui dis :



Je l’embrassai et tout de suite elle répondit à mon baiser.



Elle me regarda étonnée et la seule chose qu’elle me dit, les larmes aux yeux, fut :



Elle se rapprocha de moi et m’embrassa puis me dit :



Nous avons pris notre petit-déjeuner et, comme nous avions tous les deux mal dormi, nous sommes allés nous recoucher ensemble dans les bras l’un de l’autre. Quand je sentis que sa main descendait vers mon sexe, je la lui pris en lui disant :



Elle eut un petit rire et me dit :



Nous nous sommes rendormis et réveillé seulement vers midi. Ce fut après la douche, tandis que nous allions vers la bulle, qu’elle me dit en m’embrassant :



Nous n’allions pas tarder à nous apercevoir que si ! Cela allait arriver ! Et bien plus vite que nous le pensions.