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Temps de lecture estimé : 25 mn
05/05/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  À New York, un type nous raconte avoir visionné des films X avec des "futas". En appelant la boîte de production, nous obtenons un entretien à Las Vegas avec une réalisatrice.
Critères:  humour ffh grossexe piscine trans facial fellation double
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Futa's fever

Chapitre 03 / 05
Pornstars

Résumé de l’épisode 1 : Un samedi soir, en boîte, une petite blonde magnifique et pulpeuse à souhait a mis le feu au dance floor, avant d’aller rouler des pelles à une jolie petite brune qui l’attendait sur le bord de la piste, dégoûtant tous les mecs qui essayaient de la séduire. J’ai quand même tenté ma chance et les ai toutes deux invitées à boire un verre. Et je n’ai pas été déçu : les filles ont souhaité finir la soirée avec moi dans l’immense suite qu’elles occupaient dans un hôtel grand luxe. Mais alors que nous étions en train de baiser tous les trois, j’ai découvert avec stupeur que Pauline, la brune, était hermaphrodite, dotée, en plus de son sexe féminin, d’un pénis plus que conséquent, dont elle se servait à merveille pour le plus grand bonheur de Laetitia, sa somptueuse compagne.


Résumé de l’épisode 2 : Les filles ont souhaité que je passe la nuit et la journée du lendemain avec elles. Elles m’ont appris que des hommes et femmes fortunés étaient prêts à payer des sommes considérables pour coucher avec Pauline. Elles devaient justement retrouver le dimanche soir un couple de millionnaires chinois, Monsieur et Madame Li, qui au moment de partir, ont confié à Pauline avoir déjà rencontré, à Amsterdam dix ans plus tôt, une autre « futa », une femme comme elle dotée d’organes mâles. Pauline nous a convaincus, Laetitia et moi, de nous rendre à Amsterdam, où nous avons éclusé le Quartier Rouge jusqu’à retrouver Stella, la pute hermaphrodite, ou plutôt l’épave qu’elle était devenue. Celle-ci nous apprit l’existence probable d’une communauté de « futas » qui vivraient à New York.



*****



Aéroport John Fitzgerald Kennedy, mercredi 11 h 15. Je profitai de l’attente des bagages et de la douane pour compléter un peu ma garde-robe ; si on devait rester plusieurs jours à New York, j’aurais de quoi tenir. Il allait aussi falloir qu’on se trouve un hôtel, et surtout qu’on décide par où commencer à chercher. Avec le peu de renseignements qu’on avait, c’était pas gagné : une communauté de « futas », à New York.


Est-ce qu’on avait une tête qui revenait pas aux douaniers new-yorkais, ou bien juste pas de bol ? Toujours est-il qu’on fut sélectionnés pour être examinés de près, nos bagages explorés jusqu’à la racine, et nous-mêmes fouillés de fond en comble. Tout aurait pu bien se passer, mais la nana qui inspectait Pauline s’énerva soudain : elle avait trouvé quelque chose de dur en palpant son bas-ventre, et lui enjoignait déjà de la suivre pour une fouille plus approfondie.



Pauline suivit la nana en direction d’un local marqué « security ».



Je regardai autour de nous ; passée la douane, il y avait des toilettes. Je demandai à un type qui protégeait la frontière s’il voulait bien nous garder nos deux sacs de voyage ; il m’envoya chier ; mais lorsque Laetitia insista en ayant pris soin d’ouvrir largement son décolleté, le type se fit une joie de nous rendre service.


C’était la première fois que je me tapais Laetitia toute seule (ou tout seul, c’est selon le point de vue) ; la pulpeuse blonde se montra plus acharnée que jamais et ne fut calmée qu’après son troisième orgasme après plus de trois quarts d’heure de baise. On se lavouilla vaguement comme on pouvait dans les pauvres chiottes et on revint en hâte vers le loufiat qui gardait nos sacs, en imaginant que Pauline ferait la gueule de nous avoir attendus, mais que dalle ! Elle était apparemment toujours à la fouille !


Une douanière ressortit enfin du local « security », toute rouge et en rajustant son tailleur ; elle revint vers le poste de contrôle où elle papota quelques secondes à voix basse avec une autre nana qui s’affubla soudain d’un air espiègle et se mit à marcher à grands pas vers le local en question sous le regard protecteur de celle qui venait d’en sortir.



On attendit encore vingt bonnes minutes avant de voir enfin se radiner Pauline, parfaitement ravie, et qui précédait deux costumées qui donnaient l’air d’avoir tout juste terminé un marathon.



Je me marrai franchement ; Laetitia un peu moins. Notre compagne la prit tendrement dans ses bras :



La jolie blonde grommela vaguement.



Laetitia soupira avec amertume. Moi je rigolai encore.




***



Elle se retint en effet, jusqu’à ce qu’on investisse une chambre grand luxe d’un hôtel qui dominait Central Park, où elle me sauta presque dessus alors que le bagagiste achevait à peine de déposer nos quelques sacs. On décida, comme à Amsterdam, de s’accorder une journée de répit avant de commencer d’investiguer. D’autant qu’on ne savait pas du tout par où commencer. Peut-être qu’après quelques visites… La Statue de la Liberté, le Parc, Chinatown, Little Italy… Mais le soir venu, on n’avait pas plus d’idées.


Le lendemain ne fut pas meilleur ; on continua de déambuler dans les avenues new-yorkaises, dans les grands magasins, dans les taxis jaunes… Mais les Américains, qui ont par ailleurs un bon côté puritain, ne dédaignent pas tous une bonne baise un peu délirante ; et il se trouvait qu’un club de nuit sévissait à quelques pas de notre hôtel. Et Pauline estima que ça tombait bien, comme on savait pas quoi faire le soir venu…


Laetitia et moi étions plutôt explosés, avec les balades interminables et le décalage horaire, mais notre compagne sut nous motiver, et nous débarquâmes tout propres et fringants à presque minuit dans le « Sugar Mansion », club libertin de son état. Je ne les avais pourtant pas fait picoler, mais Pauline et Laetitia mirent encore le feu à la boîte ; à peine une heure après qu’on y fut entrés, elles étaient en train de faire un show incroyable en plein milieu de la partie commune, à se bécoter en se pelotant de toutes leurs forces.


Un gradé en costume leur suggéra de prendre une alcôve, mais elles en avaient rien à foutre et elles se désapèrent bientôt complètement sous les yeux ravis des clients. Et comme j’avais la gaule et que j’entendais autour de moi des trucs comme « j’irais bien me taper la nana et le trans », je les rejoignis sur l’espèce d’estrade où elles s’étaient mises à baiser, pour montrer à tous ces clowns que c’était pas un trans. Je n’aurais jamais cru être ainsi capable de sexer devant tout un tas de gens, mais l’ambiance et l’excitation furent les plus fortes, et je défonçai bientôt Pauline en la portant cuisses grandes ouvertes dans mes bras face à la foule pendant que Laetitia la suçait profondément.



On le remercia de son appréciation, mais le type avait l’air de vouloir papoter et poursuivit :



J’en apprenais tous les jours. Mais son blabla donna une idée à Laetitia ; une idée qu’on aurait sans doute déjà dû avoir eue, mais qui nous avait même pas effleurés : les films de boules. Les « dickgirls », les « futas » étaient forcément des trucs exploités par les industries pornos.



Le type bavait à moitié en s’imaginant sans doute déjà baiser avec plusieurs « dickgirls ». Mais il finit par se reprendre :




***




La boîte de prod en question avait bien entendu ses bureaux à l’autre bout du pays, à Los Angeles ; mais avant d’éventuellement s’y rendre, on avait essayé de les appeler. Pauline décida d’y aller franco :



Elle reprit la feuille qu’on avait imprimée avec les références du film.



Pauline nous regarda pour nous demander notre avis, mais Laetitia et moi n’avions pas non plus d’idée toute faite.




***



Pauline avait filé le numéro de l’hôtel et de notre piaule et nous n’eûmes pas à patienter bien longtemps avant d’être recontactés par Miss Lisa Trenton qui n’eut de cesse, toute la conversation durant, de se féliciter de toutes ses forces qu’une telle aubaine lui tombât du ciel : une dickgirl, une vraie, qui prenait contact d’elle-même. Alors elle voulut évidemment convenir d’un rendez-vous. C’était délicat de lui demander par téléphone le nom des « futas » avait qui elle avait déjà tourné, donc on décida effectivement de la rencontrer.



Ça allait sans doute faire short, mais bon… Pendant que Pauline décidait à quel endroit et à quelle heure retrouver la réalisatrice, Laetitia était déjà en train de pianoter pour nous prendre trois places dans un New York – Las Vegas pour le vendredi soir ou le samedi matin très tôt.



***



Le samedi, à onze heures à l’heure locale de Las Vegas, nous frappions à la porte d’une piaule de luxe du Bellagio Hotel, au-dessus du casino plus ou moins désert en cette fin de matinée. Une espèce de catcheuse poids lourd nous ouvrit. C’était sans doute la réalisatrice. Elle nous regarda de pied en cap et nous demanda qui nous étions. Pas le genre de nana à qui on avait envie de dire une connerie. Pauline lui expliqua qu’elle avait contacté Miss Trenton pour un rendez-vous et la montagne de viande nous laissa entrer.


Je constatai avec soulagement que le mammouth qui nous avait reçus n’était vraisemblablement que la secrétaire, ou la garde du corps, ou la cuisinière, ou que sais-je encore… de la réalisatrice, qui, elle, avait une bonne tête d’actrice de cul, peut-être légèrement sur le tard. Elle nous accueillit chaleureusement.



Puis elle se tourna vers Pauline, qui commençait à faire la gueule.



Elle me gavait déjà. Je soupirai très fort.



Elle soliloquait en se retournant, et on ne savait pas trop à qui ça s’adressait, mais Pauline décida que c’était à elle et l’interrompit :



N’eût été la boxeuse qui nous surveillait toujours, je pense que j’aurais employé la manière forte.



La montagne de muscles s’ébroua et s’éloigna pour attraper une mallette.



Comme, dépités, nous gardions parfaitement le silence, la greluche s’arrêta pour nous regarder d’un air niais :



Le tas de viande, entendant le ton monter, se précipita vers moi pour me montrer sa face la plus menaçante. Mais l’autre repartit de plus belle :



J’étais sur le point de craquer. Tant pis, j’allais me mesurer à miss poids-lourd, mais j’aurais quand même le temps de balancer un pain à cette connasse de réalisatrice avant de m’en prendre un sur la gueule. Laetitia dut voir que j’allais péter un câble et me prit la main en tentant de négocier :



Je n’en pouvais plus ! Je m’éloignai vers le fond de la suite pour être sûr de pas frapper cette andouille.



Tu m’étonnes !



Mais l’autre était déjà en train de prendre des photos de Pauline et de Laetitia, qui ne savaient pas encore trop quoi faire.



Elles s’exécutèrent pendant que la star du catch m’apportait un immense bourbon.



Et elle s’avança pour toucher. Laetitia se dévêtit complètement ; et l’autre poussa de grands cris de joie. Mais Pauline avait l’air d’hésiter.



Ma jolie brunette hésita de nouveau, évidemment.



Et Pauline s’exécuta. Et elle baissa finalement sa culotte sous les vivats de Miss Trenton qui était au bord de l’apoplexie.



Mais la réalisatrice se tourna vers Laetitia.



Les filles se regardèrent sans trop savoir quoi faire, puis me dévisagèrent comme si elles attendaient ma bénédiction. Je soupirai une fois de plus et plongeai dans mon whisky. Et incroyablement, elles s’exécutèrent : Laetitia s’approcha de Pauline et l’embrassa à pleine bouche en posant ses mains sur sa poitrine.



L’autre dégénérée avait effectivement une caméra portable sur l’épaule et ne manquait pas une miette de la scène. Mes deux nymphes se roulaient des pelles et se pelotaient à qui mieux mieux, et Pauline commençait à bander sous les hourras de la vieille. Moi aussi, d’ailleurs, à force de les regarder, ça me chauffait un peu dans le calebar.


Laetitia s’agenouilla bientôt pour sucer la verge gonflée de Pauline et la caresser entre les jambes. Celle-ci gémissait de plaisir, pour le plus grand bonheur de la réalisatrice, qui paraissait faire des efforts pour ne pas se masturber devant nous.


Moi je ne fis pas d’effort. De voir pointer relevé vers moi le cul de Laetitia qui pompait profondément la queue désormais toute dure, avait achevé de m’exciter. Je dégrafai ma ceinture et ouvris mon jean, et me ruai sur le derrière de la jolie blonde.



Elle non plus ne faisait plus franchement d’efforts : elle avait relevé sa jupe et se caressait sans ménagement. Y avait que la pauvre Shawna qu’était obligée de se retenir pour filmer.



Elle se tortilla une dernière fois en beuglant pendant que Pauline et moi continuions de défoncer Laetitia, qui hurlait de plaisir.



***




La sumotori s’exécuta et apporta trois feuillets pré remplis que la réalisatrice déplia sur la table autour de laquelle nous nous étions installés une fois remis de nos émotions.



Laetitia, qui avait sans doute vu venir le truc, répondit du tac au tac :



L’autre fut tout de même un instant désemparée, mais reprit rapidement :



J’éclatai de rire, ce qui décontenança encore un peu notre interlocutrice.



La pauvre réalisatrice soupira.



Elle s’éloigna pour téléphoner pendant que l’énorme Shawna était en train de passer sur un ordi la scène qu’elle venait de filmer.




***





***



Laetitia lâcha à quinze mille dollars pour Pauline et dix mille pour elle-même, ce qui avait rendu folle de rage l’ex-pornstar qui s’était débattue avec son producteur (et devait surtout être verte de n’avoir jamais gagné que la moitié de ça même au plus fort de sa carrière). On relut dix fois nos contrats avant de les signer de noms d’emprunt, on y fit ajouter des tas de mentions pour nous dégager de toute obligation autre. Miss Trenton s’arrachait les cheveux. Mais rendez-vous fut finalement pris pour le surlendemain aux studios Pasadenas en banlieue de Los Angeles.


On passa la journée qui suivit et celle du lendemain à Las Vegas, à flamber dans des casinos. Laetitia mit le feu à une table de roulette, et Pauline gagna dix mille dollars d’un coup sur un blackjack improbable, mais on reclaqua presque tout et on ressortit de notre week-end au pays des jeux guère plus riches qu’on y était arrivés.


En quelques heures de taxi, on fut vite aux studios Pasadenas, qui étaient en fait une simple baraque plutôt classe avec piscine, sauna, et tralala, mais qui n’avaient rien de vrais studios. Toute une fine équipe nous attendait là : Lisa Trenton et sa catcheuse, le producteur, un coproducteur, une accessoiriste, une maquilleuse, et deux autres mecs et trois autres nanas qu’on supposa être des acteurs.



On haussa les épaules. Miss Trenton présenta mes compagnes à tout le monde comme « les deux merveilles, les nouvelles futures grandes stars qu’elle avait découvertes », et moi comme « un bel acteur et il a une grosse bite ». On se serra tous les louches, heureux d’œuvrer bientôt tous ensemble pour un super long métrage : Dickgirls dreams.


Il fallut commencer par la scène où les filles et moi devions baiser ensemble. Le coproducteur et la réalisatrice nous expliquèrent longuement le script complexe : Laetitia (qui s’appelait pour l’occasion Sharon) devrait nager dans la piscine puis se masturber au bord, Pauline (Tanya) et moi arriverions sur ces entrefaites, habillés ; Sharon, en manque, se précipiterait sur nous pour baiser, paniquerait soudain en découvrant la vraie nature de Sharon, mais se reprendrait bien vite et nous pourrions baiser tranquilles. On nous raconta encore ensuite en détail ce que nous devrions faire :



J’arrivais difficilement à me retenir de me bidonner. Mais le type continuait :



On acquiesça gravement, et on répéta ensuite, habillés, une espèce de mise en scène virtuelle où Miss Lisa Trenton et son assistante, l’apprentie-sumo, nous montrèrent à quel endroit nous tenir, où regarder, quand beugler, etc. Et puis ce fut le moment d’aller nous doucher. Le producteur demanda aux filles de faire un lavement ; la réalisatrice répliqua qu’il n’y avait pas d’anal de prévu ; le coproducteur apporta sa pierre à l’édifice en expliquant qu’on ne sait jamais ; mais Laetitia leur dit d’aller se faire foutre, qu’il n’y aurait pas d’anal ou alors qu’il fallait payer dix mille dollars de plus, mettant ainsi fin au débat.


On nous habilla, Laetitia d’un bikini microscopique, Pauline d’une belle robe de soirée et moi d’un somptueux costume. On nous maquilla, on nous coiffa, et puis on nous dit de plus bouger. C’était le tour de Laetitia, qui devait aller faire deux longueurs dans la piscine devant la caméra, si possible en roulant des fesses, et en mettant pas trop d’eau sur son visage pour pas donner trop de travail supplémentaire à la maquilleuse. Un génie eut alors l’idée de tourner cette scène à la fin, quand Sharon serait douchée après l’éjac faciale, que de toute façon on verrait pas qu’elle est pas maquillée et qu’au pire elle aurait qu’à nager sous l’eau.


Et ainsi fut décidé. Laetitia put donc aller directement se masturber sur un transat près de la piscine, face à une dizaine de péquins qui la contemplaient gravement. Ça dura pas loin de trente minutes, Miss Trenton n’arrêtant pas de lui demander de gémir plus fort, de foutre ses doigts, de les ressortir, de les lécher, de se caresser les seins, etc. La pauvre n’avait pas l’air d’y prendre grand plaisir, mais elle s’exécutait. Et nous on la regardait… Ça me faisait pas le moindre effet, pour le coup, mais ça paraissait plaire à Pauline que je sentais déjà bander à travers sa belle robe quand elle se serrait contre moi.



On marcha donc, et on s’approcha de Laetitia avec un air salace.



Pauline rougit presque sous son maquillage.



Et Sharon me suça, lentement, profondément. L’effet fut assez net. J’oubliai rapidement où je me trouvais et tous les guignols qui nous entouraient ; c’était finalement presque comme d’habitude depuis une semaine : Laetitia me suçait, et divinement ! Y avait juste Shawna, le gros tas, qui me tournait autour avec une caméra pendant que Miss Trenton zoomait sur ma queue avec une autre et qu’un autre gus tenait une perche au-dessus de nous pour m’entendre soupirer. Et pendant ce temps, ça papotait un peu plus loin.



J’avais envie de les engueuler, mais je ne savais pas si ça se faisait. En tout cas, à côté de moi, la nana en question, Pauline, avait l’air quelque peu mal à l’aise. Elle dansait en permanence d’un pied sur l’autre, et appuyait régulièrement entre ses jambes. Je compris que c’était parce qu’elle avait une gaule d’enfer et que sa bite ne tenait plus en place. Elle ne respecta d’ailleurs pas le script et fit tomber les bretelles de sa robe pour se caresser doucement la poitrine, ce qui sembla quand même convenir à Miss Trenton. Et elle baissa bientôt d’un seul coup complètement sa robe et sa culotte. Sa queue gonflée à bloc sauta presque au visage de Laetitia, qui eut malgré elle un sursaut et un mouvement de recul, et Miss Trenton trouva ça formidable. Les autres marioles qui nous regardaient avaient poussé en chœur un cri de stupeur en découvrant l’engin de Pauline et un type s’était mis à se toucher carrément à travers son fute.


Dans le script, il fallait que je branle un peu Tanya, mais j’en eus pas le temps ; Sharon, sa vraie et sa fausse surprises passées, s’était précipitée sur nos deux bites qui pointaient l’une à côté de l’autre vers son visage et nous travaillait avec ardeur de sa bouche et de ses mains. Du coup, je décidai de lui mettre plutôt un doigt. C’était pas non plus prévu dans le script, mais je me dis que ça lui plairait sûrement.


Le reste se passa plus ou moins normalement ; nous baisâmes dans l’ordre où on nous avait dit de le faire, ne nous autorisant que quelques rares écarts. Seule la fin déconna : j’étais allongé par terre, Laetitia par-dessus moi et Pauline derrière elle, pour la double vaginale, comme ils disaient ; et Pauline ne tint pas aussi longtemps qu’elle l’aurait souhaité. Elle se retira ; Miss Trenton beugla un truc que personne ne comprit tellement Laetitia gueulait fort ; et notre belle hermaphrodite nous contourna pour venir éjaculer à gros bouillons sur la tronche et la langue tendue de notre partenaire.


Ça me coulait à moitié dessus, et Laetitia, qui était toujours en transe, se fit un plaisir de me rouler une grosse pelle en me bavant le reste du sperme dans la bouche. Et c’en fut trop pour moi ; j’allais jouir aussi. Je me souvins en hâte que le producteur et la réalisatrice avaient dit qu’il fallait absolument tout faire pour que ça se voie. Je me tournai à toute vitesse sur le côté, renversant Laetitia qui se retrouva sur le dos, et je me redressai puis m’avançai à genoux juste à temps pour balancer la sauce sur la poitrine de ma partenaire. Elle se fit un plaisir de tout étaler, et Pauline, sur les conseils avisés de Miss Trenton, s’agenouilla à côté de nous pour me sucer un peu et lécher le sperme sur les seins de Laetitia, et l’embrasser ensuite, le tout en regardant la caméra que portait l’apprentie catcheuse.



Laetitia avait continué de se caresser tout ce temps-là, et continuait toujours. Visiblement, elle en voulait encore, et du coup, je la léchais. Rien que parce que ça faisait chier tous ces clowns, ça me plaisait ! Et elle se tortillait devant moi tandis que je lapais sa fente et son clito. Ça dut amuser aussi Pauline, ou bien peut-être qu’elle aussi en voulait encore, car elle s’agenouilla à califourchon sur le visage de Laetitia, sans doute pour que celle-ci la lèche aussi. Ha ha ! Ça c’est sûr que c’était pas dans le script !




***



Bon, le point positif, c’était que même si la fin s’était pas passée comme ils voulaient, ça leur convenait quand même, et notre petit extra les avait bien bottés aussi. Donc la première scène était réglée, et on allait pouvoir empocher nos vingt mille dollars. Pour ça, je faisais confiance à Laetitia. Elle foutrait pas le camp sans les avoir eus. Il restait l’autre scène, celle où Pauline devait baiser finalement toute seule avec l’autre « futa ». C’était d’ailleurs juste pour ça qu’on était venus dans ce merdier.



Pauline acquiesça.



Et elle partit bientôt s’énerver un peu plus loin. Nous, on se mit effectivement à l’aise ; on alla prendre une douche, se rhabiller, boire des coups. Il fallut encore refilmer Laetitia qui nageait, et puis on finit par squatter la piscine tous les trois, tranquillement, à poil, pendant que Miss Trenton et sa Godzillette filmaient plus loin les trois autres mecs qui baisaient les deux autres nanas (dont aucune n’était finalement « futa »). Il n’y avait plus qu’à attendre Kate.



À suivre…