n° 14633 | Fiche technique | 18267 caractères | 18267Temps de lecture estimé : 11 mn | 01/11/11 corrigé 12/06/21 |
Résumé: Paul se trouve une excuse pour retourner voir ses voisines de camping. | ||||
Critères: ffh frousses vacances voir exhib humour québec -humour -camping | ||||
Auteur : Ingyt Envoi mini-message |
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Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.
Le lendemain matin, alors que Suzanne dort encore, Paul retrouve la belle rousse, une dame très sympathique et avenante, même à 67 ans. Ils sympathisent au point que Pierrette lui taille une petite pipe. L’exercice s’achève sous les yeux de Marie, la nièce de Pierrette venue en vacances en sa compagnie, et qui est d’ordinaire une animatrice de télévision sur laquelle Paul a déjà fantasmé.
Paul les aide à installer leur roulotte, puis se trouve soudain surpris par Suzanne, qui lui avoue avoir filmé la fellation matinale. Tabarnouche ! Heureusement que Suzanne n’est pas jalouse !
Une fois dans la roulotte, prêt à regarder le petit film, je vis le sac de sucre resté sur le comptoir et je souris. J’avais une bonne excuse pour retourner voir les deux rousses. Dans la catastrophe de la roulotte, la tasse de sucre n’avait pas dû résister. Je pris mon vieux sac de l’armée, qui se portait en bandoulière, y mis la caméra au cas où, avec un peu de chance, je les surprendrais à se baigner en petit bikini ou à se faire bronzer nues, y ajoutai un cruchon de sucre et je partis. J’allais prendre la route mais je repensai à l’ours et décidai de passer par la rivière. J’ai des petites couilles mais j’y tiens.
La rivière est peu profonde et on peut la suivre aisément sur des miles. Il y avait quelques trous de sable assez creux pour se baigner mais en général on avait de l’eau aux chevilles. J’arrivai plus vite à leur campement et trouvai Pierrette en train de prendre un café en grimaçant, bien assise dans une chaise de camping à l’ombre d’un énorme sapin. Un bruit de pompe électrique provenait de la roulotte, Marie se douchait. La belle grande rousse mince et sexy, lectrice de nouvelles, originaire du Saguenay. On fait vraiment des belles filles dans notre région.
Elle me regarda sortir de la rivière, un peu surprise sans doute de me revoir aussi vite, mais dès que je sortis le cruchon de mon sac un large sourire s’épanouit sur son joli visage. Je le posai sur leur table de pique-nique pliable en plastique sur laquelle il y avait de la lotion à bronzer, des slips et un soutien-gorge en dentelle noire un peu usés, un kit de maquillage et une brosse à cheveux. Ça c’est des filles en camping ! Pierrette avait échangé sa camisole contre un haut de bikini fleuri bleu et blanc qui soulevait sa poitrine qui en débordait largement.
Je déglutis bruyamment en souriant, ne me rappelant que trop bien la douceur de sa bouche sur mon gland.
Le bruit de pompe cessa et la porte de la roulotte s’ouvrit soudainement, heurtant le mur avec fracas. On regarda tous les deux dans cette direction. J’aurais tout donné pour filmer ce que je voyais. La belle grande rousse sortait de la douche, déjà enveloppée dans une courte serviette de bain humide qui cachait à peine son sexe et sous laquelle ses deux mamelons pointaient terriblement, le droit plus que l’autre. Wow !
Tête penchée vers l’avant, elle ne m’avait pas vu et séchait ses longs cheveux avec une petite serviette ce qui faisait remuer ses seins étirés et lourds.
Je me mis à saliver comme un naufragé perdu en mer depuis une semaine qu’on a rescapé et qui se voit offrir un gros steak bien cuit avec des petits oignons, mais sans pouvoir y toucher.
Je soupirai en regardant la belle grande animatrice de 50 ans qui ne les paraissait pas du tout. J’admirai ses longues jambes à peine bronzées et sa poitrine, sans m’en lasser, puis elle releva la tête en repoussant d’une main ses cheveux derrière son dos, les yeux toujours fermés. Ça souleva un peu la serviette, juste assez pour que j’aperçoive une partie de son sexe entouré de petits poils noirs. J’eus l’impression de recevoir une décharge électrique, en écarquillant les yeux. Elle souleva sa chevelure rousse, que je savais teinte maintenant, en chignon et y enroula la petite serviette et l’attacha, toujours sans savoir que j’étais là. Cette fois, les deux bras en l’air comme elle était, la serviette leva un peu plus, je vis sa vulve au grand complet et sa toison brun-noir, ovale, aux longs poils lisses et mouillés. Elle avait de belles grandes lèvres vaginales brun-rouge et gonflées. Je faillis m’étrangler. Pierrette, elle, s’amusait follement, retenant un grand fou rire, tenant sa tasse de café à deux mains. Puis Marie baissa la tête en ouvrant les yeux, toujours sans nous regarder et posa ses mains sous ses seins et soupira très fort en se les soulevant et les pressant. Ils débordaient de ses mains sous la serviette et ses mamelons pointèrent plus. Ma circulation sanguine redoubla de vitesse et ma bite enfla, mais sans bander.
Là, je faillis m’évanouir, j’avais tellement rêvé de voir ça un jour, en photo dans un magazine ! On peut toujours rêver, mais là… C’était le bonheur total. J’avais droit à un petit spectacle privé des plus excitants.
Mon cœur eut des ratés et je déglutis plusieurs fois en admirant, les yeux écarquillés, les belles fesses si blanches, et en pensant à ma caméra, mais j’osais pas. Elle avait un petit tattoo sur la fesse droite, deux cerises roses. Je suais à grosses gouttes sans croire à ma chance.
Elle avait littéralement crié mon nom, ça me fit sursauter.
La serviette retomba aussitôt, Marie se retourna avec un air catastrophé. Elle m’aperçut et se figea, mâchoire décrochée, quelle referma en le réalisant et nous regarda l’air furieux. Elle ferma quasiment ses yeux, très consciente du show qu’elle venait de me donner, et rougit jusqu’à la naissance des seins. J’avais lu dans un article quelle était très gênée et que la télévision l’avait aidée à surmonter sa timidité. C’était dur à croire en la regardant au télé-journal de 5 h, elle semblait tellement sûre d’elle habituellement ; mais là, présentement, vraiment pas.
Elle soupira en faisant une drôle de moue, plissant les lèvres avant de sourire finalement et de secouer la tête de découragement.
Marie me regardait avec des yeux luisants et assassins.
Là elle pouffa de rire avant de préciser.
Je la regardai, intrigué, en fronçant les sourcils.
Pierrette me fit un clin d’œil.
Marie réapparut, toujours en serviette, une tasse à la main et nous fit son plus beau sourire en descendant les trois marches lentement et prudemment comme un mannequin à la télé.
Elle enfila des babouches vertes qui traînaient là et vint vers nous toute fière, tête haute, en souriant, et son pied buta sur une racine. Les yeux arrondis, l’air catastrophé, elle cria en tombant. Je me précipitai pour la retenir mais j’eus tout juste le temps d’attraper la tasse de café et elle s’affala durement sur un genou puis le ventre.
La serviette avait remonté sur ses reins, dévoilant encore son beau cul.
Rouge de honte, elle voulut frotter la terre noire collée sur la serviette, mais celle-ci se détacha et tomba à ses pieds, la laissant nue comme un ver. Cette fois, éberlué, je vis tout ce qu’il y avait à voir et c’était magnifique.
Elle lâcha un petit cri en cachant ses seins avec son bras gauche et se pliant en voulant rattraper la serviette, mais en même temps que moi, par réflexe, et nos fronts se heurtèrent violemment. À moitié assommé, je tombai sur le cul, renversant du café, elle sur une main et les genoux, le cul en l’air juste devant moi. La vue panoramique que j’en avais finit de m’étourdir. Gros plan sur sa plote et son anus rosé et plissé. Mon cœur menaçait de lâcher encore une fois. Elle s’assit par terre et remit la serviette avant de se lever et me tendit la main, riant comme une folle en se frottant le front. Une fois debout, je me le frottai aussi, j’allais avoir une grosse bosse.
Pierrette était morte de rire en regardant Marie sucrer son café et en pendre une grande gorgée.
Elles rirent de plus belle, puis je me rappelai l’offre de Pierrette à propos de l’épicerie. Suzanne était partie avec l’auto, évidemment. Je sortis mon portefeuille et deux billets de 20 dollars que Marie me vola aussitôt en disant :
Pierrette s’étira et lui vola à son tour.
Je les regardai un peu découragé, tandis qu’elles riaient encore à mes dépens et dis :
Je fis quelques pas et j’entendis :
Je les regardai rire et leur criai en m’en allant…
Là, elles ne riaient plus du tout et surveillaient les bois.
Un peu de vocabulaire…
Camisole : maillot de corps, débardeur, « marcel »
Pogner : prendre, attraper
Pogné : ému, embarrassé
Tabarnak : gros juron
Tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers qu’on prononce pour éviter « tabarnak »
Câlis, ciboire, maudit : autres jurons
C’est cute : c’est chouette, c’est mignon, sympathique
Babouches : sandales de plage
Sa plote : son sexe (femme)
C’est plate : c’est fâcheux, c’est ennuyeux