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Temps de lecture estimé : 17 mn
12/11/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Paul, adepte de naturisme, a une petite fixation sur ses deux jolies voisines de camping.
Critères:  h ffh fplusag vacances forêt voir exhib nudisme humour québec -voisins -voyeuract -camping
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Camping

Chapitre 05 / 11
Voyeur ou héros ?

Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.


Le lendemain matin, alors que Suzanne dort encore, Paul retrouve la belle rousse, une dame très sympathique et avenante, même à 67 ans. Ils sympathisent au point que Pierrette lui taille une petite pipe. L’exercice s’achève sous les yeux de Marie, la nièce de Pierrette venue en vacances en sa compagnie, et qui est d’ordinaire une animatrice de télévision sur laquelle Paul a déjà fantasmé.

Paul les aide à installer leur roulotte, puis se trouve soudain surpris par Suzanne, qui lui avoue avoir filmé la fellation matinale. Tabarnouche ! Heureusement que Suzanne n’est pas jalouse !


Paul apprend que sa copine doit le laisser seul pour quelques jours. Il se trouve aussitôt une excuse pour retourner voir ses jolies voisines de camping et a droit à un strip-tease involontaire de la part de la belle Marie Lemieux, lectrice de nouvelles à la télé. Et cela a été possible grâce à la complicité de sa tante Pierrette. Voilà une journée qui a bien commencé pour Paul !


Paul, nu et armé de sa minicaméra, décide de retourner au campement des deux rousses pour les filmer en douce. Mais l’aventure s’avère plus périlleuse que prévu, voire douloureuse. Toutefois, cela en valait la peine, car il les surprend à parler de lui et de sexe en prenant un bon café, bien installées toutes les deux au soleil et légèrement vêtues. Cela l’excite évidemment au plus haut point. Caché dans les buissons, il ne manque rien de leur conversation tout en filmant.








Elles restèrent silencieuses un moment puis Pierrette ouvrit les yeux, bomba le torse et souleva ses seins qui sortirent presque du bikini.


Je faillis m’étrangler en zoomant dessus.



Marie entrouvrit un œil et regarda sa tante qui se pressait les boules, elle grimaça en plissant la bouche, amusée.



Comme sa tante, Marie se les soupesait et y enfonçait ses doigts en se les regardant, menton baissé. Petit Jésus ! Les genoux m’en tremblaient de les voir faire. Marie Lemieux se pognant les boules ! C’était comme trop… si le premier ministre voyait ça !


Pierrette laissa retomber sa poitrine, Marie également, mais cela avait fait resurgir leurs pointes à toutes les deux. Je déglutis bruyamment en reprenant ma bite sans cesser de filmer. Cette fois, il fallait que je me finisse.



Je filmai à nouveau Marie.



Là, elle ouvrit la serviette pour se le tapoter, se pincer la peau et la tirer. Je me redressai, mais elle avait gardé ses cuisses fermées. Quand même, sans petite culotte, c’était une sacrée belle vision !



Encore des rires.

Je décidai de me finir, leur conversation devenait ennuyeuse et puis elles s’étaient tripoté les seins. « Je n’aurai pas mieux ! » me dis-je convaincu en me pompant sans trop faire de bruit.



Et là, mains dans le dos, elle détacha son haut de bikini, l’enleva et le jeta par terre. Sa poitrine dénudée tomba en se balançant mollement près de son nombril sous le regard surpris de Marie et du mien. Merde !


Je refis un gros plan sur ses seins en me lâchant la bite encore une fois. Une vraie torture.

J’en rêvais tellement depuis ce matin de les caresser, de les embrasser et de les téter et là, je les avais sous les yeux. Wow !



Je suais comme un obèse dans un hammam !



J’admirai ses belles jambes encore musclées pour son âge tandis qu’elle se débarrassait du pantalon. Il ne lui restait que son slip noir en coton qui se démarquait nettement sur la pâleur de sa peau et qu’elle descendit avec ses pouces pour le retirer.



Pierrette se redressa, une main sur les hanches, et laissa tomber la petite culotte d’un geste théâtral sur le sol. Je me dépêchai de filmer sa splendide toison rousse et son vagin aux grandes lèvres rouge sombre pendant qu’elle était encore debout. Elle avait des courbes magnifiques : les hanches pleines, de belles cuisses bien rondes, des seins lourds et des fesses un peu larges, mais pas trop.

Une vision de rêve ! Je me remis à me branler, cette fois, ça me suffisait amplement. Mais elle se rassit en disant à sa nièce…



Marie la lui donna en répondant :



J’arrêtai encore de me masturber, priant pour que la serviette de bain s’envole, mais je n’y comptais pas trop. Tout de même, je priais fort, fort, fort, les Dieux de la forêt.


Pierrette commença à se frictionner la poitrine.

Gros plan là-dessus : des doigts fins, luisants de crème, compressant les seins, les soulevant, faisant enfler encore plus les mamelons roses. Ouf !



« La belle et encore séduisante Marie Lemieux, malgré sa cinquantaine », hurla-t-elle quasiment en regardant sa tante, « surprise à faire du naturisme dans le bois à Sacré-Cœur avec une dame âgée ». Ce serait bon pour ma carrière, ça aussi !



Là elles rirent de plus belle puis sa tante rajouta en se frottant l’entrejambe avec de la lotion (gros plan là-dessus aussi) :



Là, elle rit de sa blague et moi je me sentis à nouveau un peu coupable de les filmer, mais je n’avais pas l’intention de lancer ça sur le net. Ça apaisait un peu ma conscience.



Elle tournait la tête et regardait partout. Visiblement, ça la tentait. Doux Jésus ! Ça me fit déglutir d’envie, j’en avais même des palpitations.



Je me retenais depuis trop longtemps, fallait que je vienne… mais là, j’attendais les yeux hagards.

Pierrette se frottait les cuisses un peu molles et allait dire quelque chose, mais…


Marie se leva, enleva la serviette d’un geste brusque, la jeta sur la table et se rassit jambes bien écartées, complètement nue, le sourire aux lèvres en surveillant à nouveau les alentours.


Je faillis m’évanouir, les yeux tout ronds, la mâchoire décrochée, tout en filmant.


Pierrette la regarda, amusée, et pointa la rivière du doigt en criant à la blague :



Elle me pointait du doigt, enfin presque. Je me baissai comme un fou en refermant la bouche.

Gros soupirs de Marie.



Mon cœur cognait encore plus fort, j’étais aux anges. Je me redressai un peu. Là, j’avais une vue imprenable sur leur sexe ; puis je me concentrai sur la grande rousse. Sa poitrine, surtout, que tout le monde rêvait de voir et que je n’avais pu qu’entrevoir tout à l’heure. Plan rapproché.


Des seins un peu lourds débordant de son torse étroit, parfaitement symétrique, au petit mamelon brun-rouge, dur et gonflé pointant un peu vers le bas, mais pas trop. Marie avait encore, à 51 ans, le corps mince et élancé d’une femme de 35, 40 ans. La taille fine, le ventre plat, un long cou, de longs bras et de longues jambes minces. Une vraie déesse à mes yeux d’obsédé. Et je l’avais nue, sur film, la grande lectrice de nouvelles ! J’aurais pu vendre ça une fortune, mais pas question ! C’était pour moi et moi seulement.


Même Playboy n’avait pas eu ça !

Ouais ! C’était vraiment ma journée, j’aurais dû leur demander de m’acheter un billet de loto.


Je passai dix minutes fabuleuses à faire des gros plans et des plans d’ensemble des deux femmes nues en salivant pendant qu’elles s’enduisaient de crème solaire. L’une faisant le dos de l’autre, même les fesses, en riant. Ça, ça allume son homme, j’en avais mal au ventre. Ah ! les filles !


Elles finirent par se rasseoir pour profiter du soleil en silence.


Plus excité que jamais, je me remis à genoux et fermai ma caméra pour me masturber encore une fois. J’en pouvais plus, mais au moment où je pris ma bite, un petit nuage de fumée brun pâle s’éleva d’entre mes cuisses.


Abasourdi je regardai mes jambes en me demandant si mes couilles n’avaient pas explosé, finalement. Mais je vis que j’avais posé un genou sur une vesse-de-loup, un petit champignon rond très courant. Quand on l’écrase, cette étrange fumée brunâtre en jaillit ! Des spores, sans doute.


Je cessai de respirer aussitôt en me rappelant (avec mon esprit tordu) Howard Carter et la malédiction de Toutânkhamon. En réalité, c’était des champignons dus à la décomposition des corps qu’ils avaient respirés en ouvrant la tombe qui avaient fini par tuer les découvreurs. Je voulais juste ne pas prendre de chance au cas où. Je retenais ma respiration en dissipant le petit nuage avec la main, mais lentement pour ne pas attirer l’attention des femmes.


Quand ce fut fait, je respirai un bon coup en reprenant ma bite pour recommencer à me masturber en fixant les filles nues et resplendissantes.

Jésus-Christ ! J’allais-tu finir par me finir ?


Mais là… j’entendis un grognement rauque et profond sur ma gauche, provenant du chemin. Les femmes aussi l’avaient entendu, les yeux déjà tout ronds elles regardaient dans cette direction, complètement affolées, et Marie croisa les mains sur ses seins. Pourquoi ? Mystère.


Ça grogna encore… et plus près.


Tout mon corps devint électrique, mes cheveux ultra-courts coupés en brosse se dressèrent quand même et ma bite dégonfla dans ma main en un clin d’œil. Je la lâchai, elle tomba en se balançant et mon gland fixa Gaya.


L’autre mâle du coin arrivait et il était bien plus imposant que moi… Aucun doute là-dessus.


Les filles, déjà blanches comme des zombies, se levèrent pour se réfugier derrière leurs chaises, prêtes à s’enfuir.

L’ours apparut en soufflant bruyamment, dodelinant de la tête. Une bête énorme et d’un noir bleuté fascinant suivi par un tas de grosses mouches noires. Le même que tout à l’heure probablement. Je m’ennuyais de ma blonde tout à coup. Les longues griffes brunes de ses pattes avant labouraient la terre battue tandis qu’il passait sans s’occuper de nous.


Je le perdis de vue à cause du 4x4, puis j’entendis la suspension de la roulotte grincer et je la vis tanguer. La porte était sans doute restée ouverte et il avait senti la bouffe. Un brouhaha épouvantable en parvint.



Étrange.


Pétrifié de peur j’enregistrais tout ça bouche ouverte. Si l’ours fonçait sur elles, je ferais quoi ? Je ferais comme Suzanne, j’essaierais de lui faire peur en faisant du bruit et en criant, en tout cas j’essayerais. Je détournerais son attention pour qu’elles puissent s’enfuir et je courrais comme un damné. Et Dieu sait que ça court, un damné. Mais elles penseraient quoi de me voir surgir du bois, tout nu, justement au bon moment ? « Tant pis », me dis-je, « un problème à la fois ».



Mais Marie cria comme une hystérique tout à coup, la prit par le bras et l’entraîna à toute vitesse vers le chemin sans qu’elle ait eu le temps de ramasser quoi que ce soit.


Elles filaient chez moi et complètement nues.


Eh ben !


L’ours devait être sorti de la roulotte. Mes couilles se contractèrent. J’attendis quelques secondes, les plus longues de ma vie, pour voir s’il leur courait après, mais non. La roulotte bougea à nouveau.


Je filai à mon tour, la queue entre les jambes, c’est le cas de le dire, vers l’endroit où j’avais laissé mon sac. Je voulais arriver avant elle à ma roulotte, en longeant la rivière c’était possible. La peur donne vraiment des ailes, mais malheureusement, celles-ci ne me protégèrent pas des branches ni des ronces qui m’égratignèrent à peu près partout tandis que je courais dans les bois à toute vitesse.


En sautant par-dessus un arbre mort, mon pied droit l’accrocha et je m’affalai durement tout du long. Ça me coupa le souffle, et en me relevant étourdi, j’entendis un gros craquement quelque part derrière moi. Décharge d’adrénaline supplémentaire, je repartis en panique et heurtai de l’épaule gauche un arbre qui me fit dévier sur la droite, me forçant à enjamber un petit sapin qui m’arrivait à la taille et qui plia sous mon poids tandis que je passais. Étrangement, je trouvai ça agréable en fuyant de plus belle. Et là, ma tête heurta une grosse branche plus basse que je le croyais, m’assommant à moitié. Mes genoux devinrent tout mous. Je continuai, chambranlant en croyant entendre grogner. « Au diable, mes affaires ! » me dis-je terrifié. Je filai tout droit à la roulotte d’un pas rapide, les yeux à demi fermés à cause des branches que j’écartais de peur de me crever un œil et soudain… J’entendis crier les filles.


Ça éveille quelque chose de protecteur chez un homme des cris pareils. Même chez un gars comme moi qui tremble devant une petite araignée.



« L’ours est déjà là-bas, il a dû me dépasser par la rivière et il a quatre pattes, moi deux ! » pensai-je subtilement.


Je repartis à courir, bien décidé à sauver les deux femmes nues et en danger, et plus je m’approchais, plus elles criaient. Je surgis du bois comme un halluciné : pantelant, les genoux comme de la guenille, essoufflé, le corps zébré d’égratignures et regardant partout, les yeux fous.

J’étais tellement surchargé en adrénaline que je me sentais capable d’assommer Louis Cyr en personne et d’un seul coup de poing.

Elles hurlèrent en sursautant, se tenant toutes les deux par les mains et la taille, les yeux ronds en me fixant.



Elles se détendirent en me regardant de bas en haut et rirent, même que Pierrette regarda ma bite en penchant la tête et Marie se reprit les seins pour se les cacher en croisant ses longues jambes pour cacher son sexe.



Leurs sourires s’évanouirent.



Je barrai la porte, fermai les stores, comme si ça pouvait arrêter un ours, et grimpai sur mon lit pour regarder par la fenêtre arrière. J’étais à bout de souffle en scrutant la forêt, je tremblais, mon cœur cognait et j’avais mal partout. J’enlevai la caméra attachée à mon poignet et la jetai sur le lit.



Là, je souris, réalisant qu’elles regardaient mon derrière, et je vis que ma bite avait à nouveau durci. La peur sans doute, mais pas juste ça. J’étais trop conscient malgré tout d’être là, nu avec Marie Lemieux, à poil également. Pas croyable !


Je me retournai et m’assis sur le lit en lâchant un long soupir, heureux d’être en vie, avec ma bite bandée dur qui tanguait. Marie souriait, assise à la petite table de cuisine, les mains encore croisées sur ses seins, et Pierrette me regardait amusée, debout, les bras croisés, mais elle, sous sa poitrine.

J’avais mal partout : la tête, l’orteil, les couilles, les fesses et les cuisses me brûlaient. C’était ma punition sans doute pour mon trip de voyeur. Je l’assumais pleinement en grimaçant.


En moins de deux minutes, j’étais passé du stade de voyeur à celui de sauveur. Je n’en revenais pas. C’était vraiment une bizarre de journée.

La toison rousse de Pierrette flashait dans la pénombre de la roulotte. Quelle belle vision, oh oui !



Je me mis à rire comme un fou. Le stress, la peur, la fatigue, la douleur et l’adrénaline qui retombait encore une fois sans doute.

Elles aussi riaient comme des malades, à présent, nues et magnifiques. Et là, je réalisai que je venais de sortir de la jungle et d’amener les deux rousses dans ma roulotte. OK ! Peut-être pas comme Brad Pitt ou Tarzan l’aurait fait, mais bon, on était-là tous les trois et nus. C’est le résultat qui compte, non ?



Elles rirent de plus belle.



Elle devait regretter d’avoir enlevé sa serviette.

Les yeux pleins d’eau, riant à nouveau, je me regardai tout en réfléchissant. Mon corps était couvert de plaques rouges et d’égratignures. Je me cherchai une excuse pour avoir surgi du bois tout nu et dans cet état…



Celle-ci me regardait les yeux mi-clos. Je voyais bien qu’elle pensait plutôt que j’étais allé me faire une petite branlette dans le bois et peut-être en les espionnant. Ses yeux brun-vert semblaient me transpercer et ça me rendit pas mal nerveux, mais elle dit :



Je déglutis en disant :



Là, elle plissa les yeux en jetant un petit regard à sa nièce.



Elle plaqua mes mains sur ses seins mous et chauds. J’en oubliai mes petites douleurs, ma bite pulsa contre sa craque de fesses. Mais là, je vis la caméra et la poussai discrètement du coude entre le mur et le matelas au cas où elle voudrait regarder mes photos de champignons.


Pierrette me fixait les yeux luisants tandis que je caressais sa poitrine devant Marie Lemieux. Penser cela me fit presque jouir. Je planais, la douleur et le plaisir, sans doute.



J’entendis rire Marie, puis un gros soupir, craquer le plancher et soudain je sentis une main délicate presser mes couilles, une autre prendre ma bite et une langue humide taquiner mon gland…


Petit Jésus !








Un peu de vocabulaire…


Tout croche : tout de travers

Pogné : ému, embarrassé, intimidé, réservé

Pogner : prendre, attraper

Pis : puis

Chut : je suis

Asteure : maintenant

Barré : verrouillé, fermé à clef

Nono, nonote : niais(e), imbécile

Chambranler : vaciller, tituber

Enfarger : trébucher

Triper, flipper : fantasmer

Ma blonde : ma copine, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…

Pantoute : du tout

Tabarnak : gros juron

Tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers qu’on prononce pour éviter « tabarnak »

Câlis, ciboire, maudit, sacrement : autres jurons

Par exemple : par contre

C’est cute : c’est chouette, c’est mignon, sympathique

Le fun : l’amusement, le plaisir

Babouches : sandales de plage

Sa plote, sa noune : son sexe (femme)

La craque de fesses, la craque de plote : la raie du cul, la fente du sexe

C’est plate : c’est fâcheux, c’est ennuyeux