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n° 14682Fiche technique40340 caractères40340
Temps de lecture estimé : 22 mn
03/12/11
corrigé 12/06/21
Résumé:  Seul en camping, Paul a de petites aventures avec ses voisines, deux jolies rousses, et l'une d'elles est une personnalité connue de la télé québécoise.
Critères:  fh extracon extraoffre vacances forêt fellation pénétratio humour québec -humour -extraconj -camping
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Camping

Chapitre 08 / 11
Parole de scout !

Résumé : Alors qu’ils sont occupés à baiser en pleine nature, Paul et Suzanne, deux campeurs, sont surpris par une jolie cycliste rousse apparemment décomplexée au point d’apprécier au passage le spectacle du couple en action.


Le lendemain matin, alors que Suzanne dort encore, Paul retrouve la belle rousse, une dame très sympathique et avenante, même à 67 ans. Ils sympathisent au point que Pierrette lui taille une petite pipe. L’exercice s’achève sous les yeux de Marie, la nièce de Pierrette venue en vacances en sa compagnie, et qui est d’ordinaire une animatrice de télévision sur laquelle Paul a déjà fantasmé.

Paul les aide à installer leur roulotte, puis se trouve soudain surpris par Suzanne, qui lui avoue avoir filmé la fellation matinale. Tabarnouche ! Heureusement que Suzanne n’est pas jalouse !


Paul apprend que sa copine doit le laisser seul pour quelques jours. Il se trouve aussitôt une excuse pour retourner voir ses jolies voisines de camping et a droit à un strip-tease involontaire de la part de la belle Marie Lemieux, lectrice de nouvelles à la télé. Et cela a été possible grâce à la complicité de sa tante Pierrette. Voilà une journée qui a bien commencé pour Paul !


Paul, nu et armé de sa minicaméra, décide de retourner au campement des deux rousses pour les filmer en douce. Mais l’aventure s’avère plus périlleuse que prévu, voire douloureuse. Toutefois, cela en valait la peine, car il les surprend à parler de lui et de sexe en prenant un bon café, bien installées toutes les deux au soleil et légèrement vêtues. Cela l’excite évidemment au plus haut point. Caché dans les buissons, il ne manque rien de leur conversation tout en filmant.


La chance lui sourit quand elles se dévêtent complètement, mais c’est à ce moment qu’un ours décide de s’inviter à la fête. Panique totale et tous trois filent (complètement nus) se réfugier dans la roulotte de Paul. Pierrette en profite et lui saute aussitôt dessus, bientôt imitée par sa nièce, mais leurs petits jeux se terminent plutôt rapidement et Paul, épuisé et endolori, s’endort. À son réveil elles ont disparu, mais il trouve une note sur sa table de cuisine. La nièce, la belle grande vedette de la télé, l’invite à souper en tête-à-tête.


Pendant que Paul se fait beau, un garde-chasse débarque et lui apprend que l’ours qui rôdait dans les parages a été capturé. Soulagé, mais le corps meurtri et avec un tour de reins, il se rend pénitent à son rendez-vous, s’attendant à passer un bon moment avec une baise facile. Hélas ! les catastrophes se succèdent et un ouragan leur tombe dessus. Mais une fois réfugiés tous deux dans la roulotte de Marie, la belle se dénude et…








Marie me poussa et je m’écroulai sur le lit en me cognant la tête contre la vitre arrière, le store faillit se décrocher.

Une bosse de plus.


Elle grimpa sur moi tandis que je m’installais plus confortablement sur la couchette en posant ma tête douloureuse sur l’oreiller, excité comme un petit mulot avant sa première baise.

Yes ! Enfin ! J’y étais !


J’en frémissais de plaisir, un plaisir animal. L’intello en moi s’était volatilisé. Je n’étais plus qu’une bête, un préhumain qui salivait d’envie devant une femelle, et une des plus belles qui soient, la plus bandante de la tribu. Quelle fierté !


« C’est pas encore fait », me dit cette damnée voix.

« Ta gueule ! » hurlai-je mentalement.

« Cette fille-là est dangereuse… »

« OK ! OK ! »


Je frémis malgré moi, mais j’avais fermé le propane, alors… Et c’est pas un petit ouragan qui allait m’empêcher de la baiser, enfin, plutôt de me faire baiser, comme c’était parti.

Des trombes d’eau s’abattaient sur la forêt et la roulotte, c’en était assourdissant tout en rendant ce moment magique plus intime, mais surtout plus humide. On était encore tout trempés tous les deux et le taux d’humidité devait être à 200 %.


Il faisait si noir à présent que je ne voyais pratiquement d’elle que les marques blanches de son bikini qu’elle devait porter plus souvent que son une-pièce, mais quand un éclair déchirait le ciel, là j’admirais son corps aux proportions parfaites même pour une femme de 51 ans. Quand le noir revenait, avec ses petites tresses mouillées, on aurait juré une adolescente. Un mélange de bombe mature et d’ado, que demander de plus ? Ma queue était si dure que je me sentais capable de perforer un trou dans une plaque d’acier.


Elle ne souriait plus, maintenant, visiblement, elle était tout aussi excitée que moi et me fixait les yeux mi-clos bouche entrouverte à genoux au-dessus de ma bite, me laissant un moment pour caresser ses longues cuisses, son ventre un peu mou et finalement sa poitrine douce, chaude et encore ferme pour son âge avec ses pointes tendues que j’agaçai timidement. Mes mains pressaient et soulevaient ses seins lourds dont j’avais tant rêvé, dont tellement d’hommes avaient dû rêver devant leur télé. Elle, elle me caressait les cuisses fraîchement rasées et semblait apprécier.



D’entendre sa voix plus basse et plus rauque qu’à l’habitude me fit saliver.

Puis elle soupira doucement en agrippant fortement mon sexe entre ses cuisses tout en se penchant pour plaquer ses lèvres pleines, si douces et humides sur les miennes. Moment magique. Nos dents se cognèrent.

Outch !


Je posai une main sur sa nuque, l’autre sur ses cheveux mouillés.

Sa langue pointue se faufila dans ma bouche et on se frencha frénétiquement, pendant qu’elle frottait mon gland un peu trop durement contre son sexe d’avant en arrière, du pubis à la craque de fesses attendant sans doute d’être bien mouillée pour le pousser à l’intérieur du vagin. Elle en profitait aussi pour s’agacer le clitoris au passage et c’était un peu douloureux. Mon gland était si sensible que je sentais très bien son petit bouton et presque chacun de ses poils pubiens. Nos langues humides s’agitaient furieusement l’une contre l’autre quand elle recommença son mouvement de pendule avec ma bite. Si elle continuait, j’allais lui jouir dans la main, encore une fois, j’étais beaucoup trop excité. Comment ne pas l’être ? J’étais au lit avec Marie Lemieux et à deux doigts de la mettre.


Je grognai dans sa bouche si sensuelle en ravalant sa salive mélangée à la mienne, incapable de lui dire d’enfoncer ma bite en elle. Elle devait déjà pourtant être mouillée et prête. Je décidai de prendre les devants, après tout j’étais le mâle, non ?


Pendant que je lui suçais la langue en sentant ses tresses mouillées me caresser les joues et les oreilles, je poussai en soulevant le bassin sentant ma hampe glisser dans sa main.

Mon gland coinça, légèrement enfoncé dans quelque chose d’étroit, je la sentis frémir, et ma bite plia. Une autre douleur de plus.



Et mon gland y entrait en se compressant. Je cessai de pousser.



Un petit rire.



Gros rire.



Petit soupir.



Gros frissons, un peu plus et j’enculais miss nouvelles. Ooouuu ! Quoi ? Elle avait dit les deux entrées. Doux Jésus !



Là, elle s’installa mieux, on était joue contre joue, son souffle chaud me chatouillait l’oreille pendant que je laissais mes mains glisser sur son dos osseux, ses hanches pleines et ses fesses si douces. Puis elle plaça mon gland au bon endroit à l’entrée du vagin et s’empala par à-coups sur ma bite en soulevant et rabaissant son beau cul que j’apercevais par intermittence comme s’il y avait un stroboscope dans la roulotte. Je soupirai longuement en sentant, enfin, ma queue s’enfoncer en elle de plus en plus profondément jusqu’à ce qu’elle soit obligée de me la lâcher.


Je soupirai de soulagement en sentant son sexe humide et si chaud bien enserrer le mien.



Dehors c’était la folie furieuse. Un vent violent faisait tanguer la roulotte et grincer la suspension, la pluie crépitait contre les fenêtres et sur le toit et le tonnerre et les éclairs s’en donnaient à cœur joie. On entendait craquer des arbres comme si un géant s’amusait à les casser comme des allumettes ou qu’un tyrannosaure voyeur s’amenait au pas de charge pour placer un œil gigantesque contre la fenêtre à côté du lit.


Une fois ma bite en elle jusqu’aux couilles, elle resta un moment sans bouger, soupirant contre ma joue, sa poitrine lourde, en sueur, écrasée sur moi ; et elle ondula juste un peu des hanches de gauche à droite et c’était fabuleux. Elle était si mouillée que ça me coulait sur les couilles et là elle me demanda dans le creux de l’oreille sur un ton de confidence des plus érotiques en me passant les mains dans les cheveux :



Une petite décharge électrique me traversa le bas-ventre.

Jésus Christ ! Les filles ont le tour parfois de vous couper le plaisir en pleine baise avec juste une question. Mais une bonne. Et elle continua :



Je déglutis, malheureux, et elle rajouta :



J’étais sans voix, assommé, découvert… Je l’imaginais déjà m’arracher les yeux pour les jeter au corbeau dans la tempête.



Étrangement, je bandai plus dur.

Sa voix rauque était enjôleuse et elle continuait à bouger son derrière lentement en faisant des ronds.



Grosse sueur froide et grimaces de plaisir. Les femmes, on peut ne rien leur cacher et moi je n’aimais pas mentir alors je dis tout bas avec une voix de jeune garçon pris en défaut voulant amadouer sa mère :



Elle me lécha l’oreille et me suça le lobe en me l’étirant. Ça, c’était cochon.



Un petit silence angoissant sous un fond de tempête et mon cœur qui cognait.



Ma queue s’enfonça plus creux en elle tandis que mes yeux devenaient tout ronds. Mon poil se dressa, enfin, le peu que j’ai.


« Ton chien et mort », me dit la maudite voix.

« Ta gueule ! »


Là, j’eus droit à une tape qui me déboîta l’épaule gauche, enfin presque. Et une autre au même endroit douloureux. Chaque fois qu’elle remuait, ça m’agaçait tellement que je me tortillais sous elle.



BANG !


On sursauta tous les deux et elle se cacha les seins. Pourquoi ? Quelque chose de gros venait de heurter la roulotte violemment.



J’écartai les stores de la fenêtre arrière à portée de main pour regarder en me redressant un peu sur un coude, m’attendant à voir un œil reptilien géant. Mais non, juste une chaise de camping qui filait comme un missile à travers les sapins rudement secoués par les vents violents et la pluie. Je crus voir aussi un canoë rempli de pêcheurs apeurés volant dans le ciel, emporté par l’orage, mais j’avais dû rêver.



Enfin je l’espérais.



Un autre demi-tour. Outch !



Là, elle rit et rajouta :



Un autre demi-tour.

C’est pas possible, a me les dévisse !



Elle lâcha mes mamelons douloureux, je me les frottai en grimaçant. Elle me regardait en souriant, mains sur ses cuisses en bougeant un peu les hanches.



Elle rit encore.



Elle rit plus fort, si belle.



Petit Jésus ! Tout mon corps se raidit. À la lueur des éclairs, on aurait juré un démon.



Ouf ! Je m’en étais sorti pas si mal finalement. Mais je lui avais un peu menti quand même. Moi, ça faisait 30 ans que je sortais avec des filles, même plus.

Son sourire disparut et elle commença à gémir bouche entrouverte en me chevauchant.


« Je te l’avais dit, avec elle c’est pas évident… » fit la petite voix.

« Ça, je le sais, ta gueule ! »


Elle se baisait lentement en se déhanchant merveilleusement, menton en l’air en geignant tout bas, une vraie torture. J’ai toujours été incapable de venir dans cette position. J’endurai mon mal en silence. Je ne me lassais pas de palper ses seins, son ventre, sa toison pubienne ovale, brune, presque noire si douce et ses cuisses, la laissant prendre son plaisir. J’allais caresser son pubis du pouce pour peut-être la faire jouir, mais là un craquement sinistre se fit entendre. Je pensai aussitôt à mes genoux, mais un bruit infernal suivit aussitôt quelque part près de la roulotte, puis une alarme d’auto.



Grosse grimace de ma part. Elle se pencha pour regarder par les stores.

Une autre grimace…



Je soupirai un peu découragé en me remettant sur un coude pour regarder aussi tout en repoussant un peu ma bite en elle, dents serrées.


Dans la tourmente, je ne vis que les feux arrière du véhicule qui clignotaient, puis à la lueur d’un éclair je vis le meurtre : le transformer avait presque été coupé en deux par un immense sapin déraciné par les vents violents. L’alarme stoppa et les lumières s’éteignirent. Il venait de mourir.



Oufff…



Elle se pencha sur moi pour allumer une petite veilleuse sur le mur. Comme ses seins se baladaient juste au-dessus de mon visage, je voulus les amener à ma bouche, mais elle se redressa. Merde !

Gros soupir en pliant et dépliant les orteils, car chacun de ses mouvements agaçait mon membre terriblement.


C’est à peine si la minuscule ampoule jaune perçait les ténèbres, mais c’était suffisant pour mieux distinguer son corps de rêve.



Gros soupir de découragement.



Là, elle regarda le plafond en se grignotant un ongle un bras sous ses seins. Moi, je me languissais de ne pas pouvoir bouger. D’habitude c’est pas si compliqué de baiser une fille, y me semble…

Puis, elle me regarda inquiète.



Gros sourire de Marie, surprise. Elle me fit des yeux doux qui me donnèrent la chair de poule.

J’ai le tour pareil avec les filles.



Là elle me regarda drôlement tête penchée, sourire aux lèvres, et se mit à me tapoter les mamelons avec ses index en faisant des petites mimiques de gamine. Drôle de fille, et ça me faisait mal, ils étaient encore douloureux.

La femme si sérieuse, si brillante, faisant la petite nonote. Bizarre et bandant à mort.



Elle dit ça pour me provoquer en secouant la tête, tout sourire, sourcils relevés, me fixant les yeux brillants. Les femmes aiment ça, jouer la carte de la jalousie pour nous rendre plus vigoureux ; et ça fonctionna et au-delà de ses espérances.


Ma main droite se referma avec force sur son sein gauche – grosse surprise sur le visage de miss télé –, la droite sur sa nuque et je la soulevai sans effort, malgré mon dos. Ma bite toujours en elle, je la retournai tandis qu’elle criait et la laissai retomber sur le dos. J’arrachai l’oreiller de sous sa tête pour le lui fourrer sous les reins. Quelque chose tomba par terre. Je plaçai ses mollets sur mes épaules et m’agrippai à ses seins comme si ma vie en dépendait pour la besogner comme un dément.



La voir comme ça me fit redoubler d’efforts.

Chaque fois que mon bas-ventre frappait bruyamment le dos de ses cuisses, tout son corps de déesse en tremblait. Ses poings serraient le drap tandis que je la fourrais avec l’énergie du désespoir, car je voulais jouir en elle avant de mourir comme le transformer. Avec la journée que j’avais connue, je ne serais pas étonné qu’un arbre de deux tonnes me casse les reins.


Je la baisais en réalisant la chance que j’avais. Je ne me lassais pas d’admirer son corps en sueur et son doux visage déformé par le plaisir à la lueur de la petite veilleuse et des éclairs qui se calmaient un peu.


Je lâchai ses seins pour caresser ses longues cuisses musclées un moment.

Ma bite allait et venait tantôt lentement, tantôt rapidement dans son sexe bien lubrifié et c’était fabuleux, enivrant de baiser une fille pareille.


Et là, j’entendis quelque chose de si étrange que je faillis en pleurer. Maudite journée de fou !

C’était Dominique Michel qui chantait… « En veillant sur le perron ». Une vieille chanson des années 50 ou 60.

Je soupirai, les yeux hagards.



Je me penchai et le vis qui clignotait par terre, une photo de Pierrette souriante s’affichait avec Dominique Michel qui chantait toujours. « Une sonnerie ridicule », me dis-je, « pour une intello ». Décevant. Enfin ! Personne n’est parfait.


Je le ramassai en me cramponnant d’un bras à ses longues jambes sans sortir d’elle. Maintenant que j’y étais… Je le ramassai, le lui donnai et recommençai à la pistonner bras croisés sur ses cuisses, mais plus doucement et plus profondément. L’écran LCD n’éclairait que son visage magnifique tandis qu’elle répondait comme si de rien n’était. Les filles sont comme ça.

C’était quand même bandant de la pénétrer pendant qu’elle jasait au téléphone.



J’en profitai pour amener un de ses mollets magnifiques à ma bouche ; je l’embrassai, le léchai, le mordillai, soudainement fou d’amour pour cette partie de son corps et elle en frissonna en retroussant les orteils. Sa peau douce goûtait salé. Hummm…



Elle me tendit le téléphone, tout sourire.

Surpris, je dus lâcher son bon mollet le laissant luisant de salive et pris l’appareil, puis elle ferma les yeux en amenant une main sur son pubis pour se masturber tandis que de l’autre elle se caressait les seins. Sa bouche s’ouvrit aussitôt et ses grands yeux en demi-lune se refermèrent automatiquement. Je stoppai encore, bien enfoncer en elle, sentant le bout de ses doigts toucher ma bite. Moi, faire deux choses en même temps…



La belle voix de Pierrette, légère et hautaine, me fit saliver… Lui parler avec ma bite dans sa nièce était très motivant.



Ouuumm… Marie grimpait tout seule à 7e ciel. Même pas besoin de petits becs sous les genoux.

Décevant ! Sa tête tournait de droite à gauche sur l’oreiller et elle rougissait à vue d’œil jusqu’aux épaules.



Ma bite pulsa.



Le vagin de Marie se mit à se contracter autour de ma bite. Ouf…



Roulement de tonnerre.



Une copine en balade nues fesses, wow !



Marie ferma soudainement les genoux et si fort près de mon menton que ça fit… TOC ! On aurait dit un piège à ours qui se déclenche. Si j’avais eu la tête là, je serais mort. Puis elle cria de plaisir et gémit, sans doute en plein orgasme. Ma bite frémit de jalousie.



Je jetai l’appareil sur le lit pendant que Marie s’agitait de plus en plus, une pure merveille. Elle remua tellement du bassin que mon pénis sortit du vagin. Sans quitter son visage des yeux, tellement je la trouvais belle dans cet état, je repris ma bite et poussai pour la remettre en elle, mais…



Encore cet air et cette voix de petite nonote. Wow !



Gros sourire les yeux toujours fermés.



Voulant aider, je rajoutai en me remettant à l’ouvrage tout en commençant à trouver ses jambes lourdes sur mes épaules.



Gros fou rire.

Des branches fouettaient la roulotte.



Mes mamelons l’obsédaient, pas de doute. Mais ça me distrayait un peu de ma mission.



Gros craquement pas loin, un arbre tomba.



Et là, on entendit Homer Simpson crier : « Marge, mes empreintes de fesses ont disparu… Marge, mes empreintes de fesses ont disparu… Marge, mes empreintes de fes… »



Une photo de Suzanne s’affichait.



Marie me poussa avec ses pieds juste assez pour que ma bite sorte de son sexe, puis elle se mit à quatre pattes cul vers moi, reprit ma bite et se la replaça dans le vagin. Je m’enfonçai encore en elle les yeux rivés sur son anus brun pâle et son cul splendide de vedette en entendant…



Automatiquement je suivis le mouvement, mon ventre heurtant ses fesses doucement. Les petites cerises tatouées sursautaient.



Je mis sur haut-parleur et posai mon téléphone dans le creux des reins de Marie, qui me regarda intriguée. Comme ça je pus lui agripper les hanches solidement pour mieux la baiser en jasant !



Chaque fois que je frappais les fesses, le téléphone tanguait et là, Suzanne dut entendre le bruit de mon ventre heurtant Marie, car elle demanda.



Gros fou rire de Marie et de ma blonde.



Encore des rires.



Encore des rires. Ah, les filles !



Gros silence inquiétant tandis que je passais un pouce sur l’anus plissé de Marie Lemieux. Ça me fit frissonner.



Je fermai l’appareil et le jetai derrière moi. La tentation de m’en servir pour filmer le cul de Marie était trop grande.



Ses seins étirés se balançaient au même rythme que mes couilles.



Là, je me mis à la besogner avec plus de force, ses fesses rebondissaient merveilleusement.



Son cul sembla s’élargir, un cul tout blanc que j’admirais que je pressais et que je caressais en salivant tout en regardant ma bite luisante de déjection vaginale aller et venir en elle.



Je m’acharnai un long moment, concentré sur mon plaisir, mais sans pouvoir décharger. On changea de position, elle se mit sur le dos, ramenant l’oreiller sous sa tête, jambes croisées sur mes reins et je la pénétrai à nouveau. J’embrassai sa gorge tendre, ses joues, puis on se frencha longuement et enfin j’amenai la pointe de ses seins à ma bouche, lui arrachant de jolies plaintes tandis qu’elle me caressait les fesses. Mais rien à faire, l’orgasme m’échappait et je fatiguais. Ça faisait déjà près d’une heure que je la besognais, à mon âge c’est pas si mal.



Elle me fit rouler sur le dos, ferma la veilleuse et s’agenouilla entre mes jambes écartées. Je la sentis avaler ma bite et me faire une pipe baveuse en me masturbant comme ce matin avec ses tresses qui me chatouillaient les cuisses.


Tout mon corps se raidit quand elle ne garda que mon gland entre ses lèvres et qu’elle me masturba plus vite.

Cette fois, je jouis… Elle sursauta un peu et avala tout jusqu’à la dernière goutte. Puis elle fila à la salle de bain et revint s’étendre contre moi.

La tempête faisait toujours rage et la roulotte tanguait, secouée par le vent et la pluie.



J’étais si fier de la sentir blottie dans mes bras.











Un peu de vocabulaire…



Asteure : maintenant

Agace : femme provocante

Un bec : un baiser

Barré : verrouillé, fermé à clef

Babouches : sandales de plage

Baveux : arrogant, moqueur

Brasser : secouer

Ma blonde : ma copine, même si elle est brune, ou rousse, ou chauve…

Ça regarde bien : ça s’annonce bien

Cégep : le collège

Chambranler : vaciller, tituber

(La) craque de fesses, la craque de plote : la raie du cul, la fente du sexe

Creux : profond, lointain

Câlis, crisse, ciboire, christi : jurons

C’est cute : c’est chouette, c’est mignon, sympathique

Chut : je suis

Crampé : plié de rire (ou pris d’une crampe)

(Tout) croche : tout de travers

Décrisse ! : fous le camp !

Enfarger : trébucher

Frencher : embrasser avec la langue

(Le) fun : l’amusement, le plaisir

Garnotte : gravier

Gazou : mirliton

Gratteux : billet de loterie

Liqueur : soda, boisson gazeuse

Moumoune : délicat(e)

Maudit : juron

(Avoir de la) misère : avoir des difficultés

(Sa) noune : son sexe (femme)

Nono, nonote : niais(e), imbécile

(Un) pouce : un auto-stop

Par exemple : par contre

Pogné : ému, embarrassé, intimidé, réservé

Pogner : prendre, attraper

Pis : puis

(Sa) plote : son sexe (femme)

Pantoute : du tout

Pareil : quand même

(C’est) plate : c’est fâcheux, c’est ennuyeux

Sacrement, shit : jurons

Tabarnak : gros juron

Tabarnouche, tabarouette : jurons plus légers qu’on prononce pour éviter « tabarnak »

Triper : flipper, fantasmer