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n° 14740Fiche technique13916 caractères13916
Temps de lecture estimé : 9 mn
05/01/12
Résumé:  Pierre raconte sa nuit à Nathalie.
Critères:  fh grp fbi hbi jeunes collègues vacances exhib fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo hsodo partouze -initiatiq -fbi -hbi
Auteur : Kitty Lévine      Envoi mini-message

Série : La colo

Chapitre 06 / 09
Confidences dans une 4L

Nathalie s’initie progressivement à l’art de l’amour sous toutes ses facettes, en 1975, dans une colonie de vacances…




Arrivée sur la N94, je fis les quelques kilomètres qui me séparaient de Largentière-La Bessée, et je réalisai que j’étais en avance. Je m’attablai à un café, à côté de l’arrêt du car. C’était le point de rendez-vous de la colo quand on devait chercher quelqu’un au car. Pourquoi on l’appelait « pré de Madame Carle » ? Mystère, car le célèbre point de rendez-vous étaient à plusieurs kilomètre.


Un café et un « Canard enchaîné » plus tard, Pierre arriva, s’enquit de suite du baromètre intestinal de la colo, et nous reprîmes la voiture.



Je le regardai, soupçonneuse.



Héloïse la grande ordonnatrice, Héloïse la manipulatrice, Héloïse, quoi ! En plus, Sylvie devait avoir raison au sujet de l’attrait de son petit cul sur Pierre. J’enchaînais d’un air machinal :



Je m’imaginais la scène tout en conduisant. Je commençais à être dans un drôle d’état. Pierre continuait en revivant son histoire.



Mon cœur se serra à l’évocation de Corinne. Je l’imaginais, j’aurais voulu la voir, être elle et vivre la même chose. Pierre continuait son évocation. Il m’avait oubliée…



Je sortis de la voiture toute chose avec une envie entre les jambes. Son histoire m’avait chauffée. En même temps, j’avais envie de vivre avec lui ces instants qu’il avait passés avec Corinne. Mais j’étais déboussolée. Jusqu’à présent la sodomie n’avait été qu’une vue de l’esprit pour moi. En fait, tout ce qu’on vivait me fascinait et en même temps m’effrayait. La pharmacie me ramena quelques minutes au monde du quotidien et je retournai à la 4L. Je redémarrai et le relançai.



Le campement des petits était composé de quelques tentes marabouts avec des lits, pour initier les 6-7 ans aux joies du camping. Il était près d’un torrent pour leur plus grande joie lorsqu’ils venaient. Cela faisait trois jours qu’il était inhabité, dans ce terrain prêté par un propriétaire. J’arrêtais la 4L, la tête pleine d’un Pierre faisant l’amour à Corinne. Il descendit de la voiture et entra dans le marabout d’intendance. Je le suivis et n’en pouvant plus, je lui pris la main pour qu’il se retourne. Je le regardai droit dans les yeux, nos visages à quelques centimètres…



Il me regarda un instant en silence et me dit doucement.



En le disant, je sus que je voulais sa queue, cette queue qui l’avait fait jouir, elle. Alors je m’approchai, et posai mes lèvres sur les siennes. Puis lui demandai :



Et je fourrai ma langue dans sa bouche, vorace, à la recherche de traces de Corinne. Il me prit dans ses bras, me caressa le dos, descendit jusqu’à mes fesses, et je m’extirpai en m’agenouillant, fébrile, à la recherche de ce sexe qui avait dû la faire jouir. Une fois son short baissé, je découvris une érection d’un sexe long et fin, que j’embrassai, léchai, suçai, avalai, avec passion. Il se dégagea soudain, s’assit au sol et entreprit de me retirer mes vêtements. Je m’offris jambes écartées, les yeux dans les yeux.



Alors il entra en moi doucement et commença de doux allers-retours. Puis il me dit :



Ce qu’il me dit là me provoqua un frisson, comme un coup de tonnerre. Je sentis la jouissance monter en moi. Ce qu’il me disait était intime, obscène et tellement beau à la fois. Je faisais l’amour avec le groupe. Je sentais Corinne trembler sous cette bite, je les ressentais tous, chacun, un à un : Héloïse léchée par Nora, la tête entre ses jambes, avec Eric dans son fondement, jouissant de l’impression de dominer tout ce groupe, Michel ressentant les vibrations d’Eric, de Pierre et d’Héloïse en même temps, Nora, la bouche sur la jolie chatte musquée d’Héloïse, les yeux devant la bite qui ouvrait l’anus de la belle, Corinne encore, une main dans son intimité, l’autre sur son bouton, en train de tout enregistrer dans sa tête pour qu’elle puisse me le restituer. Eric encore, faisant l’amour à son Héloïse, fou d’elle et en même temps légèrement inquiet de se demander jusqu’où l’emmènera-t-elle.


Soudain, Pierre me souleva légèrement, me retourna et me reprit à quatre pattes sur l’herbe, dans la tente. C’est quand il introduisit un doigt dans mon anus que je jouis, par saccade, l’entraînant avec moi.


Quelques minutes plus tard, écroulée sur le sol, je sentis un bisou râpeux d’un mec qui ne s’était pas rasé dans mon cou, et il susurra :



Je lui souris, puis conscient qu’on avait aussi un métier, on reprit la 4L pour rentrer au centre…




À suivre…