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Temps de lecture estimé : 9 mn
16/01/12
Résumé:  De retour à la colo, Héloïse se livre.
Critères:  f fh ff fff grp jeunes cousins vacances voir exhib fmast intermast cunnilingu anulingus 69 fdanus -fhomo
Auteur : Kitty Lévine      Envoi mini-message

Série : La colo

Chapitre 07 / 09
Confession

Nathalie, animatrice de colo en 1975, se trouve au cœur d’une mêlée érotico-amoureuse où les découvertes des plaisirs de la chair se mêlent à celles de l’amour, dans une ambiance très « œcuménique ».




Rentrés à la colo, nous trouvâmes Sylvie debout, mais très fatiguée. Je lui proposai donc de lui donner un coup de main à l’économat quand je n’étais pas prise par les malades qui commençaient à aller mieux. Pierre s’inquiétait de la météo qui semblait nous ramener à la nuit tant les nuages étaient noirs. Après déjeuner, j’envoyai Sylvie se reposer, après lui avoir déposé un léger baiser sur les lèvres. Avant de repartir vers sa chambre, elle me dit d’une voie amusée :



J’étais soudain décomposée, ne sachant comment il fallait que je réagisse. Je la regardai dans les yeux, perdue.



Rassurée, je lui souris et posai ma tête contre son épaule.



À peine installée à calculer le prix de journée que le téléphone sonna. C’était Nora qui nous appelait à l’aide depuis un café proche du campement. Cela faisait deux heures que l’orage faisait rage. Les tentes, les duvets, les affaires, tout était trempé. Le sol était devenu un marécage et elle demandait de les rapatrier de toute urgence. À ce moment, Pierre passa dans le bureau et prit en main la suite des opérations.

Puis il me dit :



Tard dans la soirée, je m’endormis dans les bras de Corinne, épuisée mais si bien. Ce soir-là, notre relation intime consista seulement à dormir nues, l’une contre l’autre, après nous être embrassées doucement, les yeux dans les yeux.


Dans les jours qui suivirent, le boulot nous occupa pas mal l’esprit et nous n’eûmes pas l’opportunité de réitérer ce qui s’était passé à la base nautique.


Un soir, Nora vint nous rejoindre dans notre lit pour une nuit où la tendresse domina nos corps.


Un autre soir, ce fut Héloïse.


Là, ce fut plus chaud, surtout qu’elle essaya de nous diriger et que notre union charnelle, à Corinne et à moi, l’obligea à accepter un autre rythme. Repues d’un orgasme libérateur, nous nous retrouvâmes allongées sur le lit, Corinne et moi côte à côte, et Héloïse la tête aux pieds, entre nous deux. Nous nous regardions, toutes les trois calées sur notre oreiller en souriant. Héloïse caressait nos cuisses à l’unisson, doucement, machinalement. Je me posai des questions sur son parcours qui l’avait amenée à une telle assurance.



Elle me regarda en souriant.




Un samedi matin, j’étais partie en cours de 8 h à 10 h puis je rentrai à la maison. Les parents étaient en week-end, et il n’y avait que ma cousine qui venait d’arriver pour quelques jours. Durant le trajet du retour, je me suis justement remémorée mes nuits de branle avec ma copine, et j’étais mouillée et excitée. Je me dis que j’allais me recoucher et que j’allais prendre un peu de bon temps. Arrivée à la maison, je passai à la salle de bain pour un petit pipi et en profitai pour me déshabiller. Puis je rentrai dans ma chambre pour y trouver ma grande cousine (de quelques mois seulement), Isabelle, un tee-shirt sur le dos, les fesses à l’air en train de se faire plaisir doucement en lisant le bouquin que je t’ai prêté l’autre jour, Nath ! Tu sais : Anaïs Nin. Et on se retrouve toutes les deux, bêtes, face à face.


  • — Ben que fais-tu là ? me dit-elle ?
  • — J’avais pas cours. Toi, je ne te demande pas ce que tu fais là, je vais te le dire. Tu es en train de te masturber dans mon lit.
  • — Hmm bon, et alors ? J’ai voulu t’emprunter ce livre dont tu m’as parlé et je n’ai pas eu le temps de rentrer dans ma chambre.
  • — Tu voulais me l’emprunter pour te branler avec ?
  • — Ben oui ! Tu fais quoi avec, toi, d’habitude ?
  • — Ça ne te regarde pas.

Je remarquai qu’en fait, Isabelle continuait à se caresser doucement, sans gêne. Elle remarqua mon regard.


  • — Et toi, que fais-tu à poil en sortant des cours ?

Ben… J’eus un petit rire et je lui avouai :


  • — En fait, je voulais faire la même chose.
  • — Alors, viens, on va le lire ensemble.

Je la regardai dans les yeux, consciente de ce qu’elle me proposait. Mais pas sûre ! Lire, peut-être.

Elle posa le livre et écarta un peu les jambes.


  • — Qu’est-ce que ça peut être bon, ça ! Allez, viens petite coquine, me montrer comment tu te caresses.

J’entrai dans mon lit et lorgnai sa main s’activant sur sa fine toison blonde. Puis je regardai la mienne qui contrastait par sa noirceur touffue… et…


  • — Allez, vas-y Lolo


Pendant qu’elle nous racontait cela, Héloïse avait laissé ses mains se balader sous nos jambes, et je sentis un doigt passer sur mon minou trempé, et descendre investir mon petit trou. Au mouvement de bassin de Corinne et au regard qu’elle me lança, je compris qu’il y avait une certaine symétrie dans ses actes. Alors je me dis qu’il serait impoli de ne pas lui rendre la pareille, et en arrivant à sa raie poisseuse, je rencontrai la main de Corinne. Comme un ballet de natation synchronisée, nous remontâmes à la recherche de son jus. Je sentis Corinne aller lui flatter un instant son petit bouton, puis nous redescendîmes de concert sa vallée intime et, après avoir atteint son œillet étoilé, nous y introduisîmes chacune notre index, doucement.




  • — Je veux te voir, Lolo. C’est beau ! Ça me fait de l’effet.

Alors c’est sans doute là que je me suis aperçue que si je demandais j’étais servie. Je lui dis :


  • — Moi aussi je veux te voir. Mets-toi au-dessus de moi, inversée. Comme ça on se verra.

Et Isabelle s’exécuta. J’eus alors sa moule au-dessus de mes yeux, ses doigts alternativement au fond d’elle et sur son clito. Je savais qu’elle me voyait pareil. Soudain, cela s’est passé tout seul sans que j’y réfléchisse, je l’ai prise par la taille et haussai ma tête. Puis j’enfonçai ma langue pour la première fois dans une chatte, celle de ma cousine, sans que jamais j’en aie eu l’idée. C’était doux, sirupeux, délicat, étonnant. Je l’entendis gémir et elle laissa son bassin tomber. Je pus reposer ma tête et continuer à m’enfouir, quand soudain je sentis une chaleur sur mon intimité. Isabelle aussi avait craqué. Elle avait de même, sans le savoir, cédé aux sirènes de l’homosexualité. Mais nous n’y pensions pas à ce moment. Nous ne mimes pas deux minutes à jouir ensemble, à hurler notre bonheur.






  • — Après, on a recommencé je ne sais combien de fois dans la journée jusqu’au moment où son petit copain « spécial vacances » a sonné. Isa a enfilé un peignoir et est sortie de ma chambre. J’ai attendu quelques minutes et je suis sortie aussi. En descendant au rez-de-chaussée, je les ai trouvés. Mais je ne m’attendais pas à la découvrir, sa bite dans la bouche. Elle avait le feu au cul, la cousine. Soudain elle m’aperçut. Lui me tournait le dos. J’ai senti dans ses yeux brillants qu’elle avait quelque chose dans la tête. Elle interrompit ce qu’elle faisait pour dire :
  • — Michaël, je te présente ma chère cousine. Je te préviens, elle suce divinement.

Bling, il se retourna et moi je me demandai à quoi elle jouait. Pas question de raconter ce qu’on avait fait. Heureusement, l’allusion était à double sens ! et j’étais coincée. Michaël ne savait que dire et moi que faire. Isabelle dit :


  • — Viens, Héloïse, je te le prête.

Ce fut le début d’une relation à trois sans que Michaël ne sache jamais qu’en son absence, on se livrait à des choses qu’il aurait adoré voir mais que la rumeur publique aurait condamnées s’il en avait parlé. Juste quelques mains baladeuses entre nous deux lorsqu’une acrobatie ne lui permettait pas de le voir. Puis, lors d’une soirée, un couple d’amis se joint à nous et nous pûmes révéler au grand jour nos penchants lesbiens avec la fille qui ne demandait que ça. Les garçons nous l’ont bien rendu en se tripotant en nous regardant toutes les trois sans vraiment comprendre qu’Isabelle et moi avions dépassé le stade de tendres cousines pour passer à celui d’amantes. Je m’aperçus durant ces moments que je devenais directive et que les autres faisaient comme j’en avais envie. C’était grisant…




Me prenant soudain à son jeu, je décidai de voir si on pouvait renverser la manœuvre et je lui répondis :



Héloïse ne savait plus où elle habitait. C’était la première fois qu’elle était dominée ainsi. Alors elle s’exécuta, lâcha prise et partit dans une masturbation effrénée pendant que je lui labourais l’anus de mes deux doigts. Et elle explosa. La tête dans tous les sens, un pouce dans la bouche, elle se recroquevilla pour ne plus bouger. Puis, doucement, elle pleura. Corinne et moi, un peu désemparées nous approchâmes chacune d’un côté pour la câliner de nos mains, de nos corps, de nos respiration.

Après un moment, je lui demandai :



Elle s’endormit.


Alors, avec Corinne, on sortit nos duvets, on installa le lit à l’envers et on se pelotonna autour d’Héloïse pour une nuit de rêves roses…