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Temps de lecture estimé : 17 mn
18/01/12
corrigé 12/06/21
Résumé:  Paul et Marie vont enquêter, tous frais payés, sur une affaire de loup-garou dans un petit village perdu du nord du Québec ; et ce dans le cadre de leur émission de télévision "Les chasseurs d'entités".
Critères:  fh bizarre soubrette fellation pénétratio fantastiqu québec -humour -occasion
Auteur : Ingyt            Envoi mini-message

Série : Le loup-garou de Sainte Marie des Bois

Chapitre 03 / 08
Une visite surprise

Résumé : Paul et Marie vont enquêter, tous frais payés, sur une affaire de loup-garou dans un petit village perdu du nord du Québec, et ce dans le cadre de leur émission de télévision Les chasseurs d’entités. Ils acceptent, sans croire à ces histoires d’homme-loup, tout simplement pour avoir l’occasion d’aller passer une belle semaine de vacances ensemble, en automne et en amoureux dans un magnifique coin de pays, loin de la grande ville.


Nos amis sont en route pour le nord du Québec, l’Abitibi, un pays de mines, de bûcherons et de pêcheurs. En traversant un parc national, Paul passe tout près de frapper une outarde qui semble mal le prendre et les suit. Ils sont bientôt poursuivis par toute une envolée d’oies sauvages, ce qui met ses nerfs à rude épreuve. La route est longue mais magnifique et à la nuit tombée, presque à la fin de leur périple, Marie qui conduit heurte une grosse bête dans le noir sans pouvoir dire ce que c’est : élan, chevreuil ou… loup-garou…








20 h 30 – Le village



Au sommet d’une autre longue côte, on aperçut enfin, sous la pleine lune, Sainte Marie des Bois nichée au creux des montagnes le long d’une rivière tumultueuse qu’enjambait un vieux pont de bois couvert.

Une rue principale bordée de vieilles maisons canadiennes, quelques commerces et c’était à peu près tout. Un vrai village de carte postale, perdu en pleine forêt et loin de tout.



On survécut et on entra dans le stationnement désert de la seule auberge de la place sans avoir rencontré âme qui vive, un vrai village fantôme balayé par le vent qui s’était levé et qui entraînait des tourbillons de feuilles mortes tout partout. Heureusement, la plupart des fenêtres des maisons étaient éclairées et il y avait une multitude de décorations d’Halloween qui illuminaient la rue principale ; citrouilles, fantômes, sorcières, squelettes avaient pris possession des balcons et des terrains… Cela prouvait qu’il devait bien y avoir des citoyens quelque part.


Marie jubilait, Halloween était sa fête préférée. Navrant.


L’auberge était une superbe maison ancestrale, tout en bois peint en blanc sur trois étages avec une cuisine d’été sur le côté et une grande véranda sur le devant qui devait servir de terrasse pendant la belle saison. Mais pour l’instant, elle était remplie de grosses bottes de foin sur lesquelles on avait déposé des citrouilles grimaçantes aux yeux flamboyants illuminés de l’intérieur par des chandelles et un épouvantail assis dans une chaise de camping en partie recouvert de feuilles mortes. Le pauvre avait reçu trois flèches dans le thorax. Tout là-haut sur le toit une girouette tournait mollement en grinçant. Typique !



Épuisé par la route et frigorifié, je me contentai de grogner en l’entendant rire.


On entra à la réception, qu’on trouva déserte, avec un minimum de bagages et j’appuyai sur la cloche de comptoir en bâillant.


Ding ! Ding ! Ding !


Dans le silence de l’endroit, ça résonna comme les cloches de l’enfer. Il n’était que 8 h 30 du soir et personne ne venait. Trois autres coups, puis finalement des bruits de pas et une porte qui claque.


Sally, sans doute, arriva en robe de chambre rose et pantoufles assorties, mignonne comme tout.

Une petite brune dans la quarantaine aux cheveux courts tout en rondeurs, gros seins, grosses fesses qui remuaient au moindre mouvement avec des yeux d’un bleu clair étincelant et qui sourit à personne en particulier. Elle marchait étrangement un peu comme un zombie en traînant les pieds, bizarre. Et apparemment elle n’était pas plus étonnée que ça de voir Marie Lemieux, la vedette, chez elle, même si elle devait nous attendre. Même qu’elle ne semblait pas la voir du tout, comme si j’étais seul et Marie transparente. Pour une fois que c’était l’inverse.



Enfin quelqu’un qui me reconnaissait. Gros sourire en lui répondant.



Elle tourna un grand livre vers moi et je vis que l’on était les seuls clients. Je tournai quelques pages, elles étaient toutes blanches. Marie en fut aussi surprise que moi, même si on était hors saison, il devait bien y avoir eu quelques visiteurs pendant les vacances à moins que ce livre de signature soit tout neuf.



Et elle me remit un petit menu.

On commanda du vin blanc, des viandes froides et du fromage avec du pain baguette.

Même ton d’automate en me donnant une clef.



Elle ne clignait jamais des yeux et fixait quelque chose d’invisible à travers mon crâne.

Vraiment bizarre ! Marie qui me regardait en reprenant ses bagages semblait se dire la même chose.

Sally repartit avec la même démarche traînante, je ne pus m’empêcher de regarder son beau derrière et je reçus un coup de coude, je regardai donc le beau derrière de ma blonde en grimpant les escaliers.


La chambre au deuxième était spacieuse avec deux fenêtres à pignon de chaque côté d’un grand lit massif en fer forgé et c’était meublé un peu à l’ancienne avec une belle salle de bain et une grosse télé à écran plat. Yes ! Et malheureusement des petits lampions d’Halloween sur le bureau que Marie s’empressa d’allumer avec mes précieuses allumettes de bois.



Je fus surpris par son petit ton de reproche, une première, pourquoi ?



Gros sourire en sortant de sa valise une belle grande combinaison en flanalette comme en portaient nos grands-pères, couleur saumon avec une rangée de boutons qui descendait jusqu’à la fourche et deux paires de gros bas de laine gris.


Un peu surpris, le monsieur.



Toc ! Toc ! Toc !



Mais je vis plutôt un homme solidement charpenté dans la quarantaine portant de grosses lunettes à verres ultra épais et très avenant qui nous apportait un plateau bien rempli ; vin et victuailles. Hum ! Il nous expliqua en déposant tout ça sur une table basse que sa femme était somnambule et s’excusa de ne pas nous avoir accueillis. Il avait des problèmes d’audition dus à son ancien travail dans une scierie, la clochette ne l’avait pas réveillé, ils s’étaient endormis devant la télé tous les deux.


Vive la campagne !


Il ne cessait de regarder Marie en parlant, évidemment. Elle avait enlevé sa veste de cuir et s’étirait en bâillant, bras en l’air, dos courbé, cul rebondi. Une pure merveille avec ses jeans taille basse et son chandail noir à col roulé qui moulait sa poitrine à la perfection et celui-ci était remonté jusque par-dessus son beau nombril dévoilant son ventre un peu rond.

5’8’’ de bombe sexuelle et à 52 ans, elle était encore considérée comme l’une des plus belles femmes du Québec.


Ah ! les filles !


Je mis un billet dans la patte d’ours du gars figé et l’expulsai adroitement en mimant une fatigue extrême tout en bâillant. Ma mâchoire craqua méchamment.



Marie éclata de rire en baissant les bras et retourna à sa valise.



Elle fit rouler un autre string, rouge celui-là, au bout de son index en prenant une pause de pin-up, une main sur les hanches, un genou fléchi en m’expédiant un bisou à la Marilyn Monroe. Wow !



Le string venait de s’envoler pour tomber sur un lampion où il prit feu.

J’essayai de ne pas écouter un chapelet de gros mots en défaisant mes bagages le sourire aux lèvres.




21 h – Une visite surprise



Ma douce se dévêtit et fit couler un bain dans lequel elle vida une bonne demi-bouteille de savon moussant. La voir déambuler comme ça, en tenue d’Ève, dans la chambre était un pur ravissement même quand elle se cogna un orteil contre une des grosses pattes du lit. Quelques jurons plus tard, elle amena en boitant ses petits lampions orange et mauve qui créaient des ombres de sorcières et de chauve-souris sur les murs près de la baignoire sur pieds puis y plongea en m’appelant par la porte laissée entrouverte.



J’avais trop faim et trop soif pour attendre.


Nu dans le lit, jambes croisées, de gros oreillers bien calés sous mes reins, je me servis du vin et avec la télécommande j’ouvris la télé. Une bonne odeur de tissu brûlé montait de la corbeille en métal. Je versai un peu de vin sur le string qui avait repris feu et commençai à faire défiler les différentes chaînes de télévision.


Rambo bouffi se bavant dessus en abattant de pauvres Asiatiques… Navrant.

Infopub.

Infopub.

Pas de canal découverte.

Pas de canal science.

Décourageant, la semaine allait être longue.

Une superbe miss météo qui riait toute seule. Bizarre.

Canal sport. Ennuyeux !

Un gros gars avec un masque de hockey en feu et une machette. Pouah…

Pas de film de fesses. Merde !

Ahhh…


« Luke, tu es mon fils… Hi ! Hi ! »


Je me tartinai du pain avec du foie gras au poivre fait maison, en salivant, y mis des tranches de salami épicé, fait au village, du fromage à pâte molle, fait au village et me versai une coupe de vin blanc de la région d’Oka au nord de Montréal et m’installai confortablement sur les gros oreillers pour écouter ce classique et…


La porte de la chambre s’ouvrit lentement, miss zombie entra, referma derrière elle, se planta à côté du lit et commença à se déshabiller. Par réflexe j’avais caché mon petit paquet avec mon lunch… Mais rapidement mon lunch fut trop petit pour cacher mon équipement et Marie fredonnait dans le bain. La jaquette tomba par terre. La dame avait une peau d’une blancheur de lune et sans aucun défaut. Magnifiquement ronde, pas trop, juste ce qu’il fallait pour faire saliver son homme et portait des dessous de dentelle blanche qui ne cachaient pas grand-chose. Ses gros mamelons étaient bien visibles ainsi que sa toison fournie écrasée sous le slip.

Je me mis à saliver comme un berger devant… Enfin.



Aucune réaction tandis qu’elle dégrafait son soutien-gorge entre ses seins plantureux. Visiblement elle était encore somnambule. J’essayai de me rappeler un excellent documentaire que j’avais vu quelques années plus tôt sur le somnambulisme et les dangers de… de… oh !


Le soutien-gorge s’ouvrit, elle l’enleva et le laissa tomber, ses gros seins aux larges aréoles brunes roulèrent sur son ventre et elle se pencha pour retirer son slip, là ils se frappèrent ensemble mollement. La trace du soutien-gorge était restée imprimée en rose sur les seins blancs. « Doux Jésus ! » me dis-je en la regardant se débarrasser de son slip. Et pas de mari qui frappait à la porte, il devait s’être rendormi probablement et je savais que Marie en avait pour une bonne heure dans le bain comme d’habitude.


« Rejoins-moi, Luke… »


Je fais quoi ? J’en profite ou pas ? Je vais chercher Marie et on baise à trois ? Marie est pas mal toujours partante pour ce genre de chose, mais là, après son petit sermon, je n’osais même pas lui en parler. D’un autre côté, je me demandais si cela était moralement acceptable de profiter de la situation en déposant mon lunch sur le plateau et le plateau sur la table de chevet. La dame était vraiment appétissante et visiblement elle avait le béguin pour moi, elle n’avait vu que moi à la réception et même somnambule elle était visiblement venue pour ça après tout, s’éclater.


J’hésitais tout de même, mais elle se pencha et commença à me sucer le gros orteil du pied droit. Mon membre redoubla de volume et se mit à pulser. En donnant de la tête, ses gros seins se frappaient mollement en se balançant.


Seigneur !


Était-elle consciente ? Pensait-elle qu’elle me suçait la bite ? Dormait-elle vraiment ? Peut-on être somnambule à ce point ? Est-ce que… sa petite langue s’enroula autour de mon orteil et sa main droite empoigna mon membre pour me masturber. Hi ! Puis elle leva la tête, les yeux brumeux, s’approcha et avala ma bite. Ho !


Mon cerveau d’homme se vida complètement, plus de petites questions.


Et puis, merde ! Pourquoi pas un petit hors-d’œuvre avant de m’occuper de ma douce ? Un petit coup vite fait avec la télé qui jouait c’était faisable pourvu que Marie ne sorte pas du bain.


« Ramène-la à son mari », me dit tout de même une petite voix, « si Marie s’amène, t’es mort, mon grand… »



Ouf, elle me suçait avec vigueur en jouant de la langue, ses gros seins effleurant ma cuisse, cul en l’air. Tous mes petits orteils étaient au garde-à-vous, y compris le chanceux qui était encore tout mouillé.



Je déglutis en regardant le corps de rêve de miss Sally, comment résister à ça. Impossible et puis elle en avait vraiment envie et c’était elle qui me sautait dessus, alors…

Je remplis l’autre coupe et je la forçai à se redresser, elle se lécha les lèvres et grimpa sur le lit à quatre pattes.


« Tant pis, me dis-je, je tente le coup. »



Sally se pencha pour me sucer encore.



« Luke, ne fais pas ça… »



Je me levai, la zombie me suivait en débarquant du lit derrière moi avec ses grosses boules qui se balançaient mollement.



Je poussai la dame sur le lit et filai rapidement dans la salle de bain toujours bandé.

Marie se pratiquait sans doute pour une pub de savon moussant. Elle avait levé une de ses longues jambes et pointait le pied vers moi tout le reste de son corps disparaissait sous les bulles, sauf la tête évidemment et elle loucha vers mon membre qui sursautait.



Elle rit si belle.



Je le fis rapidement sans poser de question, coinçant le pied de la coupe entre ses jolis orteils aux ongles couverts d’un rouge éclatant, la porte s’ouvrait derrière moi. Je le voyais dans le miroir au-dessus de l’évier. Palpitations. Marie amena la coupe à sa bouche avec son pied et prit une gorgée. Stupéfiant.



Je ressortis pressé et fermai la porte. Sally me regardait toujours avec ses yeux de poisson mort bleu tandis que je la ramenais au lit puis j’allai barrer la porte de la chambre au cas où et on y frappa au même moment.


Le cœur m’arrêta tout net… et repartit. Ouf !



Un frisson me traversa la colonne en ouvrant la bouche pour répondre, mais…

Une main me pogna les couilles par-derrière l’autre les fesses, je sursautai comme un rat mordant dans un cordon électrique.



Sally se frottait les seins sur mon dos et me léchait la nuque en me pressant les couilles et les fesses. Petit Jésus !



Je l’entendis débouler l’escalier, sortir et crier dehors : « Sally ! Saaaally ! »



Miss zombie me frencha aussi sec tout en m’agrippant la queue et me branlant avec force. J’empoignai ses seins lourds et les lui caressai en la repoussant vers le lit où on tomba en se cognant les dents.



Merde. Je ravalai ma langue.



Je fermai la fenêtre qu’avait ouverte Marie pour laisser la fumée de son petit incendie s’évacuer. Miss zombie se relevait déjà et je la recouchai dans le lit. Elle s’étendit cuisses écartées et se frotta le sexe, c’était sans équivoque.

Grosses boules, grosses fesses, sexe luisant d’humidité, wow !



Et j’avais intérêt à la tenir, s’il y avait quelque chose que Marie ne digérait pas, c’était bien les gens qui ne respectaient pas leur parole.



Je bandai plus dur en m’étendant sur Sally et elle me fixait les yeux petits.



Elle me frencha avec force en agrippant ma bite pour la poser à l’entrée de son vagin et je poussai d’instinct. En trois petits coups j’étais bien au fond et commençai à m’amuser avec ses seins lourds et si doux en la besognant lentement sur un fond sonore de guerre des étoiles. Ses beaux yeux bleus se fermèrent de moitié et elle commença à gémir jambes en l’air en me prenant les fesses.



Oufff !


Je me levai, elle se leva. Je la repoussai sur le lit, exaspéré.

Je sortis le petit sac contenant les produits de Marie de sa valise en quatrième vitesse et repoussai encore Miss zombie et courus à la salle de bain, j’y entrai essoufflé et bandé dur.

Marie était en train de relever ses longs cheveux cuivrés pour les attacher en chignon avec une grosse pince en plastique et fixa ma bite.



Tant pis, je laissai les produits à portée de main et filai tombant nez à nez avec l’autre déjà dans la salle de bain. Hi ! Retour au lit le souffle court en la poussant par les boules.

Mais en passant devant une des fenêtres, sous la lumière lunaire je vis qu’il y avait un attroupement devant l’auberge. Les recherches s’organisaient. Tant pis.


Je renfilai ma bite dans la zombie un peu pressé d’en finir et commençai à m’agiter comme un petit mulot effrayé bien agrippé à ses épaules. C’était étrange et très excitant de penser qu’elle dormait, mais éveillée, enfin, je n’en étais pas vraiment sûr, il y a quand même des limites à être somnambule. Et si c’était vrai et si elle se réveillait… Stop. Petit moment de panique. Tout de même perplexe, je me remis à la besogner d’autant plus qu’elle semblait apprécier et puis je me disais que si le mari la surprenait à le tromper, c’était bien pratique de prétendre dormir, enfin pour elle, pas pour l’amant.

Elle était bien mouillée à présent, ma bite allait et venait de plus en plus vite, je haletais contre sa joue et…



Gros soupir.



L’autre croisa ses pieds sur mes reins.



Bite malheureuse qui sort à nouveau d’un vagin bien accueillant, mais impossible de me lever. Les filles ont les jambes plutôt fortes. Je dus forcer pour m’en extirper, mais elle m’agrippa par la queue pendant que je débarquais du lit.


Outch !


« Elle a dû me la rallonger d’un bon pouce et gratis en plus ! » me dis-je en y enlevant ses petits doigts potelés.


Je courus pour apporter le plateau à Marie, mais…



Je reculai, Miss zombie revenait. Je la repoussai du cul, pris la bouteille de blanc et rentrai dans la salle de bain le cœur battant.



Petit rire coquin.



Je ramenai l’autre dans le lit et sautai dessus encore. Cette fois je la fourrai d’aplomb main sur ses lèvres humides. Toutes ses belles rondeurs revolaient gaîment, super. En lui suçant un mamelon du lait sucré en jaillit me remplissant la bouche. Hum ! Je la baisai avec plus d’ardeur tandis qu’elle haletait les yeux révulsés jusqu’à conclusion. Mais je déchargeai sur elle au cas où. À genoux entre ses cuisses, je me vidai les couilles sur son ventre et ses seins plantureux, excité, troublé, nerveux, inquiet et… bref.


« Dark Vador est mon père… »


Marie fredonnait à nouveau, mais elle fredonnait faux…


Miss Sally me regarda faire en silence les yeux brumeux en se pressant les seins. Des petits geysers de lait jaillirent par une multitude de petits trous se mélangeant à mon sperme qui s’étalait sur sa peau blanche. Wow !

Je frottai mon gland dans la belle toison sombre puis essuyai la dame avec une serviette, la relevai, la rhabillai tant bien que mal, l’embrassai rapidement et la repoussai hors de la chambre en douceur et barrai la porte. Elle y gratta un instant et je crus entendre « merci », puis plus rien.


Gros soupir.


Je m’écroulai sur le lit, épuisé.


Je calai ma coupe de vin puis je fermai les yeux un instant.








vocabulaire :



(ma) blonde : (ma) copine, même si elle n’est pas blonde

(tout) croche : (tout) de travers

frencher : embrasser avec la langue

(avoir le) goût : (avoir l’) envie

(des) lulus : coiffure réunissant les cheveux en deux touffes de chaque côté de la tête

marchette : déambulateur (appareil pour aider à la marche les blessés ou les personnes âgées)

maudit ! : (juron)

niaiser : taquiner

pis : puis

pogner : attraper, empoigner

poutine : plat de fast-food, au Québec. Frites, fromage, sauce brune.

sacrement ! : (juron)

sasquatch : synonyme de yéti, au Canada

tabarnouche ! : (juron)