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n° 15295Fiche technique40444 caractères40444
Temps de lecture estimé : 24 mn
24/11/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Une femme apprend que son mari reçoit chez elle deux femmes alors qu'elle est en stage loin de sa maison. Elle décide de se venger, mais la vengeance en appelle une autre. Comme on dit dans les pubs : À ne pas copier !
Critères:  fh ff ffh parking vengeance photofilm intermast fellation 69 pénétratio double sandwich fsodo confession -vengeance -extraconj
Auteur : VincenLise      Envoi mini-message

Série : Manque de confiance

Chapitre 02 / 04
2 - Dénouement

Résumé de la première partie :


Anne est en stage à Paris et elle apprend par une voisine que son mari, Nathan, a reçu deux jeunes femmes dans leur maison à Marseille et cela pendant deux nuits. Elle décide de se venger et profite de la présence de Guillaume, jeune stagiaire qui lui fait la cour, pour coucher avec lui. Le lendemain, elle profite de l’arrivée impromptue du colocataire de Guillaume pour entreprendre une partie à trois. Elle découvre le bonheur d’être prise par deux hommes. De retour à Marseille, son mari l’attend à la gare. Il lui propose de prendre un verre avant de rentrer chez eux. Une fois au café, il lui annonce qu’il a une confidence à lui faire…








ANNE





Mais il insiste.



Quel culot. En quoi mes parents sont-ils responsables de son infidélité ?



Je ne peux m’empêcher de laisser poindre ma colère.



Il me dévisage.



Et il éclate de rire.



Le ciel me tombe sur la tête. Virginie, le désespoir de ses parents ! La lesbienne affichée ! C’est elle et sa copine que Marie a prises pour des maîtresses de mon mari. Ce n’est pas possible ! Et moi qui suis partie dans un délire de folle jalouse. Moi qui ai… Que je suis conne ! Oh, mon dieu, qu’est-ce que j’ai fait ! C’est moi la salope qui couche et qui trompe son mari. En un éclair, je revois tout ce que j’ai fait. Comment me faire pardonner, même si Nathan ne le sait jamais ? Comment me pardonner ? Oh surtout il faut que je pense à supprimer les photos de mes exploits dans mon ordi.


Pendant ce temps mon mari me détaille ce week-end atypique avec un couple de lesbiennes et les situations cocasses créées.


D’abord oublier – enfin essayer – mes propres turpitudes. Ensuite, redevenir la fidèle épouse. Mais, bien sûr. La fidèle épouse qui est heureuse de retrouver son mari, son homme, après deux semaines d’abstinence. Pourquoi ne pas commencer maintenant ? Je glisse mon pied sous la table pour venir monter le long de sa cuisse et toucher son entrejambe.



En me penchant, je chuchote dans son oreille.



Je l’entraîne en abandonnant un billet sur la table.



Elle est garée au fond du parking souterrain, le coffre contre le mur. Il charge la valise et j’en profite pour défaire la ceinture de son pantalon.



Mais je ne l’écoute pas et je continue. Je sors sa verge et presque aussitôt je la vois se déployer sous mes caresses. Mes lèvres retrouvent le chemin du gland et, comme une pute de parking, j’attaque une fellation que je veux sauvage, digne d’une femme qui n’a pas baisé depuis quinze jours. Vous savez que ce n’est pas mon cas, mais Nathan l’ignore et je veux me mettre entièrement à son plaisir. Je le gobe en entier, comme il aime, et je suce avec avidité pour le faire cracher dans ma gorge de salope. Mais il m’arrête.



Qu’à cela ne tienne ! Je me relève, me penche en avant en relevant ma jupe sur les fesses, descends ma culotte et guide sa queue vers ma chatte. Je pousse, il avance et sa bite gonflée glisse dans mon vagin. Elle entre si facilement que c’est la preuve de mon excitation.


Nathan perd toute retenue devant cet aveu et il m’entreprend avec une vigueur de jeune homme. Sous ses coups de boutoir, la voiture bouge, attirant l’attention d’un couple qui passe devant nous. Ils s’arrêtent, craignant une agression mais sont vite rassurés par nos agissements. L’homme, curieux, se glisse entre les voitures et nous découvre. La femme qui a compris l’appelle et ils s’éloignent.


Enfin seuls. Pas vraiment, car ces voyeurs de passage déclenchent ce petit goût de fruit défendu en public. Encore quelques va-et-vient. Il me prend avec tant de force que j’ai l’impression de décoller du sol. Ses mains sont plaquées sur ma poitrine et me retiennent. Oh comme j’aimerais sentir sa peau sur mes seins, ses doigts qui jouent avec mes tétons.


Une autre fois, peut-être. Il jouit, rugit et m’éclabousse de son sperme. C’est si bon de sentir ce liquide, chaud, puissant qui m’inonde. C’est autre chose qu’avec une capote. Et c’est sur ce rappel que mon plaisir arrive et m’envahit.




NATHAN




Je me suis senti comme un jeune homme après avoir accompagné Anne à la gare. Deux semaines en célibataire ! Des vacances !


Mais, en réalité rien ne s’est passé comme prévu. Mes copains n’ont pas pu se libérer. Certainement un effet pervers de leurs femmes ou copines. J’ai attrapé la crève et je n’ai pas pu monter à Paris. En plus, il a fallu que je dépanne les deux gouines pour deux nuits. Je ne parle pas de la nième tentative de Marie pour m’attirer dans son lit. Il faudrait que je sois complètement fou pour coucher avec la meilleure amie de ma femme, alors que je les soupçonne de ne pas avoir de secrets l’une pour l’autre.


Marie, je lui pardonne. Elle est très souvent seule. Son mari est officier sur un paquebot de croisière en Méditerranée. Il est absent la moitié du temps et j’imagine qu’elle a des besoins. C’est une belle femme que l’on sent pleine de vie et je sais par son mari, qui est un ami, qu’elle n’est pas la dernière pour la bagatelle.


Le retour d’Anne s’est transformé en feux d’artifice. On devrait se quitter plus souvent. La séance dans le parking était vraiment « top ». Et les jours suivants n’ont pas démenti notre envie de faire l’amour. Enfin tout va bien.


Le week-end suivant, je rencontre Marie au marché et nous bavardons. Et puis, sans avertissement elle me demande.



Et elle change de sujet.



Arrivés devant sa porte, elle prend cet air coquin qu’elle me fait à chaque fois.



Je sais bien sûr, que c’est une nouvelle tentative et j’essaie encore de me dépêtrer en douceur.



Je continue.



Et elle me tourne le dos pour ouvrir sa porte. Je l’entends marmonner. Rien de bien clairement identifiable mais tout de même je crois reconnaître des mots comme : « Paris, hommes, idiot, cocu ». En reprenant le chemin de ma maison, mon imagination construit des phrases avec les mots entendus. C’est comme un puzzle, mais quelle que soit la façon dont je place ces mots, le résultat est inquiétant. Sans même vraiment réfléchir, je fais demi-tour pour aller sonner à sa porte.


Elle ouvre. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, j’entre et referme derrière moi. J’ai décidé d’y aller au bluff.



Elle est complètement abasourdie.



Alors je tente le tout pour le tout.



Cette affirmation l’ébranle. Je sens qu’elle réfléchit. Pour forcer la décision et lui montrer que je suis déterminé, je vais m’asseoir dans son salon. Alors elle finit par me raconter une histoire abracadabrante d’Anne qui aurait couché avec des hommes pendant son stage à Paris. Le comble, c’est cette journée où elle aurait fait l’amour avec les deux en même temps.


Jamais je n’aurais imaginé que Marie soit prête à salir sa meilleure copine pour arriver à ses fins. Comme j’ai du mal à la croire, défendant mon épouse de ces mœurs improbables, surtout cette histoire de double pénétration, elle me rétorque.



Là, elle marque un point.



Elle est gênée.



Voilà, les soi-disant preuves disparaissent, comme par hasard. Il ne reste que la parole de Marie. Je n’insiste pas et la laisse sans dire un mot.


Mais le ver est dans le fruit. Je tourne tout cela dans ma tête.


Le soir même, alors qu’Anne est au lit, je décide d’aller regarder tout de même dans son ordi. Rien, bien sûr. Peut-être un échange de mails énigmatiques avec Marie parlant de moments « de grande tendresse » qui lui a fait le plus grand bien. Mais, pas de photos compromettantes. Mais, plus surprenant, pas une seule photo du stage, pas une seule photo de Paris, des collègues.


Et si Marie avait raison ? Des photos, toutes les photos de ces deux semaines effacées. Effacées ? Perdues pour toujours ? Pas si sûr. Qui pense que la corbeille récolte ces fichiers et les conserve jusqu’à ce qu’on lui demande de les faire vraiment disparaître pour toujours ?


Des photos. Une vidéo. Voilà ce que je découvre. Tout est vrai. Ma femme avec un autre. Ma femme avec deux hommes. Ma femme, salope, organisatrice de son plaisir, de sa dépravation, qui suce et qui se fait prendre par tous ses orifices. Quel choc, quelle honte d’entendre dans sa bouche « dans le cul » alors qu’avec moi elle minaude en parlant « de la porte de derrière ». Et son visage ! Oh oui, son visage qui exprime son plaisir, ses jouissances.


Marie a raison. Anne a découvert une nouvelle étape du plaisir dans la double possession. La salope. La garce.



Vous l’entendez, la chienne qui m’appelle pour se faire couvrir. Maintenant je comprends ce goût retrouvé pour la baise. Elle veut du mâle ? Je vais lui donner. Fini la douceur. Elle va le sentir passer. Je n’ai qu’une queue mais je vais la prendre par tous ses trous si c’est ce qu’elle aime. D’ailleurs je sens ma verge déjà raide.



Si elle savait que ce sont ses photos et vidéos que je copie sur ma clé USB, peut-être qu’elle serait moins chaude. En tout cas, je vais garder le secret et préparer une vengeance.

Le lendemain, je retourne voir Marie. Je reconnais qu’elle avait raison, mais qu’il n’est toujours pas question que je change d’attitude, au moins tant que je n’aurai pas « digéré » la présence de cornes sur ma tête. J’en profite, presque par hasard, pour lui demander en quoi consiste « leurs moments de grande tendresse ».


Vivre depuis si longtemps avec une femme et si peu la connaître. Apprendre le même jour, ou presque, qu’elle vous trompe avec deux hommes, mais aussi qu’il lui arrive de coucher avec son amie, a de quoi vous ramener sur terre. Marie, très fair play, insiste pour reconnaître que c’est elle qui sollicite Anne pour « des moments de tendresse », en réalité une partie entre deux femmes. La pauvre, son mari est si souvent absent.


Je ne peux pas m’empêchera de blaguer, et il en faut du courage, dans mon état.



Charmante Marie qui est si directe.



Voilà c’est dit. Anne la dévergondée. Hommes, femmes, tout est bon à prendre. Si je peux encore admettre ses parties de « broute-minou » avec son amie, par contre je ne supporte pas qu’elle me trompe avec des hommes. Si cela se trouve, je suis peut-être cocu depuis notre mariage.


Divorcer, voilà ce que je vais faire. Non, non, pas si vite. Il faut d’abord me venger.


Vengeance ! Vengeance ! Vengeance !



Le samedi suivant, je profite que les enfants sont invités à un anniversaire pour prévenir Marie de ma venue. J’ai été assez explicite au téléphone pour qu’elle comprenne que je suis enfin d’accord. Elle s’est mise sur son trente-et-un pour me recevoir. Coiffure, maquillage, jupe, même hauts talons. Le parfait assortiment de la ménagère séductrice. Un baiser fougueux et torride scelle notre accord et alors qu’elle veut m’entraîner vers sa chambre, j’insiste pour le salon, avec un « c’est plus érotique » qui la convainc.


Nous commençons le lent effeuillage du partenaire. Une veste, un gilet. Une chemise, un chemisier. Un pantalon, une jupe. Chaussettes, bas. La partie n’est pas égale. Je suis en slip alors qu’elle est en sous-vêtements avec le petit côté coquin du porte-jarretelles. Tiens, je pensais que cet article était passé de mode. En tout cas, cela lui va très bien. Chaque chute de vêtement s’accompagne de baisers et d’attouchements. Pendant que mes mains s’aventurent sur sa peau, elle m’embrasse le torse. Sa langue joue avec mes seins. Je détache son soutien-gorge et libère une poitrine que je savais plantureuse et que je découvre étonnamment ferme.


Lentement je recule, l’entraînant avec moi, pour aller m’asseoir dans un fauteuil. Elle fait glisser mon shorty, prenant bien soin de délicatement libérer ma verge déjà bien raide. Je m’installe et j’ai le charmant spectacle de Marie en string et porte-jarretelles qui s’agenouille face à moi. Elle a enfin sous les yeux l’objet de son désir. Elle me prend dans ses mains, masse, presse, caresse et enfin me branle.



Elle ne se fait pas prier. Bientôt je ne vois plus que sa chevelure qui frotte aussi doucement sur mon ventre et mes cuisses. Alors j’attrape mon portable dans la poche de mon pantalon, que j’ai négligemment abandonné près de ce fauteuil. D’un doigt j’envoie le sms déjà préparé. Pas de bruit, option silence. Il suffit d’attendre.


J’ai le plus grand mal à résister aux caresses de Marie. Elle se débrouille très bien, me suce et m’engloutit dans sa gorge. Il faut que je tienne. Pour résister, je relis dans ma tête, le texte de ce sms que je viens d’envoyer à Anne.


« Viens me rejoindre. Je suis chez Marie. La porte est ouverte. »


Si vous connaissez d’autres cas où c’est le mari qui fait venir sa femme pour se faire surprendre avec une maîtresse, dites-le-moi.


Les minutes passent. Je me demande si elle a bien vu mon message. Si ! Oui ! Une ombre derrière la fenêtre. Elle va ouvrir la porte ! Enfin je peux me laisser aller. Jamais je n’ai tenu si longtemps. Mes mains retiennent la tête de ma suceuse et j’éjacule. Étrange sensation de juter dans la gorge d’une femme alors que la vôtre pose le pied dans l’entrée et vous découvre ainsi.


La surprise d’Anne se voit sur son visage. Je suis sûr que des sentiments et des réflexions contradictoires se bousculent. Un instant, j’ai peur qu’elle reparte sans rien dire. Mon plan tomberait à l’eau. Je l’appelle.



Ces mots font l’effet d’une bombe sur Marie. Elle abandonne mon sexe pour tourner la tête et se relever lorsqu’elle voit qu’Anne est effectivement dans la pièce. Elle bredouille, non sans difficulté, avec mon sperme encore dans sa bouche :



Et elle insiste.



Je suis gêné pour elle et un instant regrette de l’avoir placée dans cette situation. Nue, enfin presque, des traces de mon sperme sur les joues, elle doit faire face à son amie, droite, figée dans son rôle de femme bafouée. Mais Anne réplique :



Et, faisant demi-tour, elle se dirige vers la porte. Je la stoppe en disant :



Elle répond :



J’attrape à nouveau mon téléphone et lance une des vidéos que j’ai trouvées. Elle est trop loin pour voir, mais le son porte jusqu’à elle. Même déformé par le haut-parleur, elle peut se reconnaître.



Elle espère encore, mais après quelques pas, constate que l’écran du Smartphone montre ses turpitudes.



Je réponds pour dédouaner Marie.



Alors elle me raconte les appels de Marie signalant deux femmes dans notre maison. Le quiproquo tragique qui déclenche son désir de vengeance. Son obsession de rendre œil pour œil à mes coucheries supposées.

À la fin de son récit, tout paraît simple, logique et on est presque amené à excuser son comportement. Mais une question dérange.



Elle ne répond pas.

J’insiste.



Le pire c’est que je la crois. Mais dans ma tête des pensées contradictoires se bousculent. Pardonner, pourquoi pas ! Impossible si je revois les photos et les vidéos que j’ai regardées en boucle toute la semaine. Pourtant il faut bien tourner la page. Nous n’allons pas divorcer pour une faute, si grave soit-elle. La tendresse et l’amour font partie de notre vie. Mais comment sortir, par le haut, de ce problème. Après tout, c’est moi qui suis cocu. Je dois reprendre la main.


J’ai l’impression que mes réflexions ont duré un long moment, mais les deux femmes n’ont pas bougé d’un pas. Marie toujours en string et porte-jarretelles à ma droite. Elle a juste essuyé les traces de sperme de son visage. Anne, en face, habillée simplement d’un polo et d’un jean.



Cet ordre adressé à ma femme les surprend.



Et je relance la vidéo sur le Smartphone que je pose sur l’accoudoir de mon fauteuil. Anne hésite un instant, regardant simultanément Marie et moi. Enfin elle s’exécute. Mais chaque bouton semble être une souffrance.



Et m’adressant aux deux.



Ma femme comprend que même ce secret est connu de moi. Elle jette un regard courroucé à Marie, mais celle-ci fait un geste d’impuissance.


Au début leurs gestes sont un peu artificiels, mais j’apprécie la prestation de Marie. Manifestement elle a décidé de jouer le jeu. C’est vrai qu’après tout, elle a tout à gagner de mes découvertes. Elle déshabille son amie avec sensualité et chaque centimètre de peau révélé fait l’objet d’attouchement. Anne semble résister mais je vois bien que lorsque le soutien-gorge tombe, sa poitrine est déjà gonflée et ses pointes érigées. Son amante, collée contre son dos, se frotte à elle pendant qu’elle lui caresse les seins.


Je crois que c’est lorsqu’elle a vu que je bandais, que ma femme s’est décontractée et petit à petit, prise au jeu. L’effeuillage terminé, j’ai sous les yeux, presque à portée de la main, deux créatures qui se trémoussent l’une contre l’autre, échangeant des baisers d’un érotisme torride. Elles sont de la même taille et les poitrines s’écrasent l’une contre l’autre, ajoutant le frottement aux caresses des lèvres. Mais le plus excitant c’est la façon dont elles glissent une cuisse pour aller frotter le sexe de l’autre.


Ma queue est maintenant largement déployée et dressée raide vers le ciel. À mon tour de m’immiscer entre les femelles. Je me lève et fais le tour du couple, flattant une croupe, frottant ma verge tendue contre les fesses, embrassant chacune tendrement dans le cou. Aucune ne se dérobe, au contraire elles se cambrent pour mieux me sentir.


Puis je prends ma femme par la main et la guide vers la table basse. Je la dirige de façon qu’elle s’y allonge sur le dos. D’un geste, j’attire Marie et lui montre pour qu’elle se place tête-bêche sur son amie. Cela se passe si naturellement que cela doit faite partie de leurs jeux entre femmes.


Chacune entreprend de caresser sa partenaire dans ce qu’elle a de plus intime. Anne écarte les lobes fessiers pour que sa langue parcoure le sillon, glissant du clito à l’anus. Marie, que je découvre gourmande, se presse si fort entre les cuisses de ma femme que son nez semble disparaître entre les petites lèvres pendant qu’elle suce le clitoris. En un instant, elles ont oublié ma présence et ce ne sont que grognements étouffés, bruits humides et mouvements saccadés.


Ce spectacle me trouble, et m’excite encore plus. Quel homme n’a pas rêvé de se trouver dans ma situation, les cornes en moins. Je tourne autour de cette bête à deux dos. Mes doigts explorent. Elles ne me refusent rien. Je suis leur maître. Je bataille avec une langue pour plonger dans un sexe si ouvert qu’aucune résistance n’est visible. Même l’anus se laisse posséder, œil grand ouvert sur des abîmes de lubricité. Marie aussi accepte ce chemin. Inutile de demander si Anne est une adepte de la sodomie. Déjà avec moi, elle acceptait de se faire « enculer » et les vidéos ne font que renforcer son goût pour ce chemin.


Mon sexe semble si lourd que jamais il n’a été si gros. Je présente ma queue aux portes de ma maîtresse d’un jour et j’investis ce vagin qu’elle m’a si souvent proposé et que j’ai bêtement refusé. J’entre sans effort et bientôt je suis au fond.


Quel délice d’investir une chatte toute neuve pour moi. Quel délice de sentir mes bourse caressées par une langue familière, celle de ma femme. C’est comme une autorisation, un blanc-seing, un encouragement, peut-être même une sollicitation.


Mais oui, une demande que je m’empresse de réaliser. Quelle bonne idée. Sortir doucement ma verge de ce lieu accueillant et la laisser se faire happer par la bouche gourmande de mon épouse. Elle a tant à se faire pardonner. J’ai encore sous les yeux les images de sexes qu’elle suce et qu’elle va…


Sans m’en rendre compte, emporté par ma colère, je pousse si fort ma queue dans sa gorge qu’elle l’absorbe complètement, mes bourses venant buter contre ses lèvres. Elle étouffe et ses sursauts me ramènent à la réalité. Je me retire et plonge dans le con de Marie. Quelques coups de va-et-vient puis je reviens dans la bouche de ma femme que j’utilise encore avec violence. D’habitude je suis beaucoup plus doux, mais je veux qu’elle ressente ma hargne de cocu. Elle ne se plaint pas et se prête à mes ardeurs. Après tout, peut-être qu’elle aime être traitée ainsi et baiser avec plus de violence que nous ne faisions. Je l’abandonne pourtant pour me consacrer entièrement à Marie qui a bien mérité mes attentions. Je la baise longuement allant de plus en plus vite jusqu’à ce qu’elle jouisse, dans ce feulement étouffé entre les cuisses de ma femme. Ma queue est si dure qu’elle est presque insensible. Je pourrais durer des heures mais je veux conclure car une idée germe dans mon esprit. Surprenante mais parfaitement adaptée à ma situation.


Je reprends mes mouvements mais seul maintenant mon gland entre et sort du vagin. Les frottements sur la peau si sensible de cette partie finissent par m’apporter le plaisir et doucement je sens le sperme monter et jaillir au fond du vagin que j’ai réinvesti d’un coup de rein.


Tout le temps que je reste dans cette position, Anne me lèche et suce mes bourses maintenant vidées. Je me retire doucement pour qu’elle puisse me nettoyer et lorsqu’elle a terminé, je me recule pour regarder. Mon sperme coule doucement et ma « salope » de femme s’applique à bien nettoyer la chatte de son amie.


Salope. Voilà un mot qui signifie tout et rien. Tout dépend de l’état d’esprit de celui qui le dit. Lorsque j’ai vue Anne se faire prendre par deux hommes, alors dans ma bouche, « salope » était le pire qualificatif qui me venait à l’esprit. Alors que lorsqu’elle me suce, suce son amie, récupère sans retenue les sucs de nos jouissances, « salope » prend une toute autre signification. C’est plus près de « femme qui aime faire l’amour » ou de « gourmande », en tout cas une femme que l’on apprécie dans ces moments-là. Trêve de réflexions, je dois mettre mon idée en route et pour cela je dois m’absenter.


C’est Marie qui me demande, avec un air déçu, pourquoi je m’habille. Anne se garde bien de faire la moindre remarque.



Deux heures plus tard – les embouteillages – je retrouve les filles confortablement installées sur le lit de la chambre, juste recouvertes d’un drap, la télé allumée. Leurs yeux ne quittent pas le paquet que je tiens dans la main, mais je me dirige vers la salle de bain pour bien nettoyer l’objet en question. J’en profite pour me déshabiller, puis les rejoindre, le dissimulant dans une serviette.


Personne ne parle. Je m’installe entre elles, repoussant le drap et retrouvant les deux corps offerts. Mon premier mouvement est d’embrasser ma femme, manifestement inquiète de la situation. Petit à petit, elle me rend mon baiser et se décontracte, surtout que je la caresse longuement, m’attardant sur ses seins avant de plaquer une main sur son pubis. Ma paume frotte son clito et mes doigts jouent avec son sexe. Petite tentative pour glisser l’index autour de son œillet que je masse lentement.


Puis je m’occupe de la même façon de notre amie qui fait plus que se prêter au jeu. Elle me caresse la verge qui reste encore bien molle après ses deux éjaculations. Doucement Marie me pousse à m’allonger pendant qu’elle vient jouer de sa bouche avec ma verge. Anne décide de se joindre à elle dans un concours bien agréable de celle qui réussira à me réveiller. Elles échangent des baisers en se servant de mon gland comme d’une troisième langue. C’est très chaud. Elles dégagent un érotisme torride. Aussi, pas à pas, nous voyons mon sexe gonfler doucement et se déployer.


Il est temps de commencer. D’abord je sors un bandeau que je place sur les yeux de ma femme. Elle ne parle toujours pas mais je la rassure d’une caresse sur la joue. Puis je sors l’objet que j’ai acheté deux heures plus tôt tout en signifiant à Marie de ne pas parler. Il s’agit d’un double gode ceinture que j’ai choisi de taille raisonnable. Il n’est pas question de rechercher l’exploit. J’appareille notre amie en introduisant le côté le plus petit, dans sa chatte. Il glisse facilement dans le vagin déjà bien humide. Enfin nous fixons les lanières autour de sa taille et de ses cuisses. Ainsi équipée elle dégage un mélange de féminité et de virilité très troublant.


D’un geste je l’installe, allongée, les fesses au bord du lit. Pendant tout ce temps Anne est immobile et essaye de deviner ce qui se prépare en tendant l’oreille. Elle sursaute lorsque je la prends par la main pour la conduire et la faire agenouiller face à Marie. Je guide ses mains pour qu’elle découvre le mandrin artificiel et lui demande de le sucer. Si elle est surprise ou inquiète, elle ne le fait pas remarquer et c’est en femme obéissante qu’elle suce, lèche et branle le gode, tout de même bien membré.


Quelques minutes plus tard, la salive recouvre la bite. Bien sûr elle sait que c’est pour elle, aussi elle la prépare. D’un geste sous ses fesses, je l’invite à se lever et je la pousse pour qu’elle enjambe son amie. Tout naturellement sa chatte se place face au pieu et en appuyant sur ses épaules, je lui fais comprendre de s’empaler dessus. Elle s’exécute et doucement descend, le faisant disparaître dans sa grotte. Les deux femmes sont soudées l’une à l’autre, traversées par un axe commun.


Chacune prend la mesure de sa possession. C’est comme un round d’observation. Marie qui voit que je reste à l’écart, décide de réagir. Elle tend ses mains pour attraper les seins de ma femme et en même temps qu’elle tire sur les tétons, donne des coups de reins, comme un homme le fait, pour essayer de posséder encore plus sa partenaire. Anne, la cavalière, comme elle aime le faire avec moi, commence alors ses mouvements de montée et de descente pour se baiser à son rythme. Voilà, c’est parti. À moi. Je monte sur le lit et enjambant les corps, je place ma verge au bord des lèvres de mon épouse. Elle hésite. Pourquoi ? Je ne sais pas. Je pousse un peu et elle accepte de l’emboucher. Comme je ne suis pas encore en pleine possession de mes moyens, ma queue est encore souple et accepte de plier pour mieux se faire sucer. Elle me branle avec ses lèvres au rythme de ses mouvements sur le mandrin qui la possède. C’est terriblement excitant de la voir faire. Avec le bandeau, j’ai l’impression de me faire faire une pipe par une inconnue. Mon sexe durcit. Il brille de salive et des filets s’étirent entre le gland et ses lèvres. Je me retire.


Les deux femmes gémissent doucement sous leurs assauts. Qui possède ? Qui est possédée ? Chacune joue avec les seins de l’autre comme l’application de la maxime : « ne fait aux autres que ce tu aimerais que l’on te fasse ». Je fais le tour du lit. Charmant spectacle des fesses de mon épouse. Je me penche pour lécher son sillon. Ma langue s’attarde sur l’œillet. Un doigt prend sa place et déflore une nouvelle fois l’anus. De la salive. Beaucoup de salive.


Arrivé à ce stade, elle sait ce que je vais faire. Elle se penche un peu plus sur sa partenaire. Ma queue est en place. Le gland est à la porte. Je joue à simuler la sodomie en poussant légèrement. Aussitôt Anne se prépare en se décontractant. Mais je ne vais pas plus loin. Je veux quelque chose de plus qu’une simple sodomie. Mon Smartphone est dans ma main. Je déclenche le montage que j’ai largement eu le temps de préparer dans l’embouteillage. Je fais passer en boucle le moment où elle dit « Non, dans mon cul ». C’est surréaliste de l’entendre, même si sa voix est déformée par le mauvais haut-parleur, répéter, dix, vingt fois « Non, dans mon cul ».


Enfin je l’éteins et j’attends. A-t-elle compris ce que je veux ? Car je veux qu’elle me demande de la sodomiser. Je veux qu’elle soit « cochonne » comme elle l’a été avec les deux autres. Je veux, moi aussi, avoir le meilleur. Pas seulement la mère de famille qui, même si c’est vrai, ne rechigne pas au sexe, ne se livre pas comme avec les autres. Non je veux une femme, cochonne, salope, prête à jouer la pute, à provoquer, à demander, proposer les positions les plus « bandantes ». Car si je peux pardonner, il faut que chacun y trouve son compte.


Je fais sauter son bandeau. Elle tourne la tête. Nos regards se croisent. J’esquisse un sourire. Elle aussi. Sans parler, tout est dit.



Voilà le pas est franchi. Je savoure l’instant.



C’est idiot, mais je suis heureux. Pourtant ces mots sont vulgaires. Ou vont se nicher les fantasmes ! Une poussée et mon gland perce l’anus, dilate le sphincter, ouvre le chemin en avant-garde de la hampe. Oh, ce n’est pas si facile. Le gode a pris ses aises et semble occuper toute la place.


Ahhh ! Cri de plaisir ou de douleur ? Anne se tortille, comme pour desserrer l’étreinte sur ma bite. J’avance lentement, rampant le long de ce bâton rigide déjà en place de l’autre côté de la fine paroi. Ce serait plus facile si une vraie queue remplaçait le gode, plus souple, plus partageuse.


Ahhh ! Toujours. Elle ne cesse de geindre, mais ne se dérobe pas. Enfin, j’y suis arrivé. À fond, bien au chaud, mais serré, étranglé comme dans la chatte d’une pucelle.


Un instant, personne ne bouge. Anne surtout qui doit se sentir pleine. Je me penche sur elle pour la recouvrir de mon corps. Je ne peux m’empêcher de lui susurrer à l’oreille.



Je lui sais gré de ne pas rappeler qu’elle a déjà vécu cela. Je me redresse pour la laisser plus libre de ses mouvements. Elle connaît le scénario. C’est celui qu’elle a testé à Paris. Je m’accroche à ses hanches. Elle commence à onduler du bassin, de gauche à droite, d’avant en arrière. Progressivement elle bouge sur nos deux bâtons. D’abord de toutes petites amplitudes comme pour prendre la mesure. Marie reprend ses tétons entre ses doigts et accompagne le mouvement. Moi je glisse une main entre leurs deux corps et l’immisce vers leur pubis. J’ai le privilège rare de pouvoir caresser deux clitoris en même temps.


Oui ! Oui ! Oui !


Anne ponctue chaque nouvelle pénétration de petits cris. Elle accélère son rythme, semblant perdre le contrôle. Elle se soulève si haut que ma queue sort de son cul, mais ma main la replace et elle s’empale à nouveau dessus. Son anus est maintenant ouvert et je m’engouffre plus facilement. Elle est déchaînée, hystérique. Elle parle, gémit. Sa voix est devenue rauque.


Un cri. Strident, fort, comme une délivrance. Elle jouit. Sa jouissance coule. La mienne suit. Sperme trop rare de ma troisième éjaculation de la journée. Suffisant tout de même pour le voir suinter de l’anus après que ma verge ramollie glisse hors du trou.


Quelques minutes après, tous trois reprenons notre souffle, allongés côte à côte sur le lit. Marie libère le gode et le donne à son amie, comme on donne un cadeau. Bel objet, à la fois dur et souple. Peut-être un peu trop dur. Ma queue garde le souvenir d’un contact un peu trop viril. Il est sûr qu’une verge d’homme serait plus agréable, autant pour Anne que pour moi.


Je suis dans cette pensée alors que je remarque la photo de Marie avec son époux. Oui cet époux souvent absent et qui manque tant. C’est devenu un ami au fil des années. Il lui est arrivé de me confier ses aventures avec des passagères. Prestige de l’uniforme.


Et si… Pourquoi pas… Je suis sûr qu’il serait d’accord… Lui, moi et Anne… Peut-être même tous les quatre…