Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15342Fiche technique38086 caractères38086
Temps de lecture estimé : 23 mn
15/12/12
corrigé 11/06/21
Résumé:  Mes rencontres avec une nympho avide de bites, de sodomie et de sperme.
Critères:  fhh fhhh extracon cocus nympho fépilée lingerie facial fellation cunnilingu anulingus 69 fgode fist fdanus fsodo hdanus hgode -totalsexe
Auteur : Jeuxentreadultes            Envoi mini-message

Série : Les aventures d'un libertin

Chapitre 03 / 04
Les aventures d'un libertin: une nympho hors normes.

Résumé de l’épisode précédent : La suite de ma découverte du monde libertin, puis la rencontre en privé avec des couples.

Dans l’épisode précédent, j’ai fait mention d’un site libertin, fermé depuis, qui m’avait permis de faire nombre de rencontres coquines.








C’était l’époque aussi des groupes MSN ; j’explique pour ceux qui ne connaissent pas. C’était en fait l’ancêtre des blogs actuels, mais dont l’accès pouvait être totalement géré (et donc bloqué ou autorisé) par le membre qui avait créé le groupe. Cela différait surtout des blogs actuels par l’obligation de passer par un compte Hotmail. Pour le reste, on y trouvait un forum, la possibilité d’échanger des messages, des photos, etc.


Je ne sais plus exactement comment – par mon site libertin préféré, si mes souvenirs sont exacts – j’avais reçu une invitation à joindre le groupe MSN d’une jeune femme se faisant appeler l’Avaleuse. J’acceptai l’invitation, curieux. Très vite, je compris que cette jolie jeune femme n’usurpait pas de son pseudo. Nombre de témoignages d’autres membres du groupe ne tarissaient pas d’éloges sur les capacités de la belle. Elle semblait, lors de ses sorties, croquer les hommes et les vider de leur substance qui, pour elle – elle était fière de l’annoncer – était vitale : le sperme. Elle se vantait de se taper tous les mecs présents dans un club, que leur compagne soit d’accord ou pas. Elle pompait à tout va, se faisant allègrement ramoner au passage.


Les photos montraient une femme très mince, nantie d’une toute petite poitrine (qui, je l’apprendrai plus tard, la complexait profondément), aux cheveux courts – « mais assez longs pour qu’on les attrape pour me forcer à sucer », selon ses propres commentaires – et qui adorait visiblement se faire enfiler par tous les orifices.


Je n’y fis pas beaucoup plus attention que cela, me disant que je la rencontrerais bien à l’occasion. Et cette occasion ne tarda pas. Elle lança une invitation à tous les membres de son groupe à venir en club la baiser. Seuls les membres de son groupe s’étant annoncés auraient la priorité ; si personne ne se signalait, elle se contenterait d’une sortie « classique » (c’est-à-dire vider tous les mecs présents). La veille du jour prévu, si certains avaient signalé qu’ils ne seraient pas présents, personne n’avait répondu positivement. Je me signalai donc, et en messagerie privée elle me confirma que si j’étais le seul à se déclarer présent, elle serait à moi pour toute la soirée.


Et, le soir dit, personne d’autre ne s’était annoncé. Je me préparai donc à posséder à moi tout seul une véritable furie du sexe… De plus, le club qu’elle fréquentait était celui qui avait vu mes premiers pas dans le libertinage. Je n’y étais pas retourné depuis longtemps ; le club avait changé de propriétaire, mais avec toujours bonne réputation dans le milieu libertin sur le net.



J’arrivai largement avant elle : je voulais être sûr de ne pas la rater (ou bien qu’elle pense que je n’étais pas présent et qu’elle commence à vider tous les hommes présents). Elle arriva en retard car son homme avait insisté pour dîner en ville avant de la déposer au club. Oui, son homme la livrait aux mâles en rut, mais ne participait jamais. Son grand plaisir était d’écouter sa compagne lui expliquer tout ce qu’elle avait fait, avec combien de mecs, et il aimait sentir les effluves de semence d’autres hommes sur son corps et son visage. Un cocu heureux, quoi ! Ayant bien observé les photos d’elle sur son blog, je la reconnus assez vite, malgré qu’elle soit habillée, contrairement aux photos. Enfin… habillée… Un long manteau, et dessous, une robe rikiki qui lui cachait tout juste les fesses, mettant en valeur ses jambes fines dont le galbe était encore accentué par des escarpins très fins. En fait, je l’apprendrai plus tard, c’est tout ce qu’elle portait d’habitude. Pas de sous-vêtements, été comme hiver : la foufoune à l’air !



Je l’accueillis en me présentant, et après que nous eûmes déposé son manteau au vestiaire, nous nous installâmes au bar pour faire connaissance. Elle s’appelait Sylvie ; elle m’expliqua qu’elle venait souvent ici, mais que souvent des amis l’emmenaient dans d’autres clubs, parfois même à l’étranger, et que son compagnon adorait la voir revenir couverte de sperme. À ma question :



Elle me répondit du tac au tac :



Mon sang n’a fait qu’un tour ; ma bite s’est instantanément mise au garde-à-vous. Ben oui, ce n’est pas tous les jours qu’une jolie femme vous dit, sur le ton de la conversation, qu’elle adore se faire sodomiser.


Je lui répondis :



Elle me précéda dans les escaliers ; j’avais tout loisir de mater ses jolies fesses sous sa micro-jupe, et je pouvais constater qu’elle était de ces femmes tellement fines que son sexe et son petit œillet sont visibles sans qu’elle n’ait besoin d’écarter les cuisses. J’en profitai pour flatter sa croupe et la félicitai pour son beau cul. Elle me répondit que je pourrais en faire ce que je voulais, qu’il m’appartenait – comme tout le reste – pour ce soir. Croyez-moi, je comptais bien en user, en abuser, de son mignon postérieur !


Nous nous installâmes dans l’alcôve la plus discrète. C’était une toute petite pièce ; deux cloisons en bois formaient le coin opposé aux murs, l’une de ces cloisons étant munie d’une entrée par laquelle on passait à quatre pattes, et percée de trois ou quatre trous à des hauteurs idéales pour y passer un sexe en érection. Un glory-hole, donc. La pièce était fort sombre ; seule une petite lampe diffusait une lumière très intime. Il était difficile de voir ce qui s’y passait depuis l’extérieur : nous avions une certaine intimité.


Nous nous sommes installés sur le matelas à même le sol. Les seuls autres objets dans la pièce étaient un bol avec des préservatifs, un rouleau d’essuie-tout, un seau servant de poubelle, et deux ou trois coussins de salon. Nos nous sommes embrassés chaudement ; ses mains partirent directement à l’assaut de mon pantalon pour sortir l’objet de sa convoitise. De mon côté, je n’eus aucun mal à trouver sa chatte totalement épilée et déjà trempée. Je le lui fis remarquer ; elle me répondit qu’elle était tout le temps comme ça, du lever au coucher, qu’elle avait tout le temps envie de baiser, et qu’elle n’avait jamais eu besoin de lubrifiant. En riant, je lui fis remarquer qu’habillée comme ça, en hiver, elle risquait le rhume de la chatte.



Sa liberté d’expression, pouvant choquer, ne fit au contraire que m’exciter.


Avant qu’elle ne puisse emboucher mon membre, je pris les devants et commençai à lui lécher sa chatte toute trempée ; j’avais envie de goûter un vrai minou de nympho en chaleur.



J’évitai donc de passer sur son piercing, ce que je trouvai dommage ; c’était mon premier piercing clitoridien. Par contre, je pouvais à loisir lécher sa rondelle, et je compris pourquoi elle disait ne jamais faire usage de lubrifiant : sa chatte coulait tellement que son anus aussi était en permanence humidifié.


Sylvie avait envie de me sucer ; sans un mot, elle se plaça en 69 au-dessus de moi et goba ma verge d’un coup. Sa bouche était chaude et douce, sa langue agile savait comment tirer le meilleur des plaisirs à un homme. Sans hésiter, sa bouche lâcha ma queue. Elle déplaça un peu la tête, écarta d’autorité mes cuisses, et sa langue vint titiller mon anus.




« Note à moi-même : mon premier anulingus ! »




Sa langue se fit dard ; elle me pénétra, pour mon plus grand bonheur. D’une main, elle continuait de me branler ; de l’autre elle passait ses ongles tantôt sur mes cuisses, tantôt sur ma poitrine, mais en veillant toujours à ne pas laisser de traces. Très vite, je lui demandai d’arrêter : j’allais jouir. Sans un mot, sa bouche revint prendre possession de mon vit, et elle me pompa avec une efficacité mortelle. Incapable de résister plus longtemps, j’inondai sa bouche en de longues giclées de son sirop préféré. Elle n’en perdit pas une goutte et me surprit en se retournant et en venant m’embrasser alors qu’elle n’avait pas encore tout avalé.




« Note à moi-même : mon premier cumswap ! »




Sous le coup de la surprise, je ne réagis pas tout de suite, mais sa langue couverte de ma propre semence avait quelque chose de terriblement excitant et j’appréciai le goût salé de mon propre sperme. Après tout, on apprécie de voir une femme avaler notre bon jus à pépère ; pourquoi devrais-je refuser ce que j’aime que les femmes acceptent ?


Nous étions encore tout excités ; de toute façon, elle, elle n’en n’avait jamais assez. Elle reprit mon sexe en bouche, et alors qu’il n’avait pas encore ramolli complètement, s’appliqua à me faire reprendre vigueur, ce qu’elle arriva à faire très rapidement. Elle savait vraiment comment jouer avec le corps des hommes ; elle connaissait très précisément les gestes efficaces.


Elle me revêtit d’une capote et se mit en position de levrette, disant :



Pour la forme, donc, j’investis son con. Malgré le préservatif, la chaleur de ses entrailles m’était facilement perceptible et je lui donnai des coups de queue dans un clapotis révélateur de son état.


Quand elle avait dit adorer la sodomie par-dessus tout, elle ne mentait pas. Après même pas deux minutes, elle fit sortir mon sexe de son vagin, le remplaça par deux doigts pour qu’ils se gorgent de cyprine, fit passer sa main par-dessus ses fesses et se planta sans autre forme de procès les deux doigts d’une traite dans le fondement, qui fut ainsi lubrifié et un minimum dilaté. Elle reprit ma queue, la plaça à l’entrée de son entrée des artistes, et me dit :



Je voulus commencer en douceur, m’enfoncer centimètre par centimètre, comme il se doit lorsque l’on visite un petit trou fragile. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille ! Elle voulait de l’enculade ; elle allait se servir. Elle poussa ses fesses contre moi, engloutissant toute la longueur de mon chibre en une fraction de seconde dans ses entrailles brûlantes. Le tout accompagné d’un « Han » de satisfaction de sentir son conduit anal bien rempli.


Si je ne me considère pas comme étant particulièrement bien monté, je sais que mon sexe est de taille respectable, certainement en ce qui concerne l’entrée dans l’orifice le plus étroit de la femme. Au début d’une sodomie, j’y vais donc toujours doucement : le but n’est pas de faire mal, bien au contraire. Mais avec Sylvie, c’était différent. Elle n’aimait pas seulement la sodomie ; elle adorait se faire défoncer le cul le plus fort possible. Sans doute un psychiatre y trouverait-il un symbole, je ne sais pas, du genre « elle se punit de son passé, d’une relation paternelle défaillante ». Je ne suis pas réducteur de tête ; alors, bien que je me demande parfois pourquoi telle personne agit de telle façon, sur le moment-même je ne voyais qu’une chose : voilà une femme qui balaye toutes les limites, qui prend son pied là où la plupart des femmes refusent même qu’on les touche. Là où certaines femmes acceptaient tout juste une visite de temps en temps, et encore, avec moult précautions, des tonnes de lubrifiant et de douceur, réclamant des précautions et de la patience ; et voilà que je défonçais un cul comme je ne défonçais que rarement une chatte.


À chaque mouvement que je faisais en poussée, Sylvie jetait ses fesses à ma rencontre. Mes couilles venaient battre contre sa chatte dégoulinante, et bientôt mes cuisses furent aussi trempées que les siennes. Je l’agrippai par ses fines hanches (elle était tellement fine que je m’imaginais presque pouvoir joindre mes deux mains en enserrant sa taille) pour accentuer encore la force des coups de boutoir.


Je me rappelai ce qu’elle avait écrit sur le groupe, à propos de ses cheveux courts. Ils étaient effectivement assez longs pour qu’on puisse les attraper, et je tirai donc sur ses cheveux. Son « oh oui ! » m’encouragea, et je tirai encore plus fort. Sa tête se retrouvait tirée tellement vers l’arrière que j’eus peur de lui rompre le cou ; mais dans cette position, son corps se cambrait tellement que je parvins à m’enfoncer encore un tout petit peu plus loin dans son fondement.


Elle devenait incontrôlable, elle forçait sa tête en avant pour que la traction sur ses cheveux se fasse encore plus sentir, et moi je tirais plus fort pour la ramener en arrière. Puis sa tête commença à basculer dans tous les sens ; elle criait de plus en plus fort, parfois de simples cris de plaisir, parfois des paroles comme « Encule-moi encore plus fort », « Défonce-moi », « Plus fort, plus vite, bordel ! », « Éclate-moi le cul, j’adore ! ».


J’étais déchaîné ! Sincèrement, je n’ai jamais baisé quelqu’un aussi fort, même vaginalement. J’étais devenu une bête qui défonçait sans merci sa femelle qui ne demandait pas mieux ; je grognais, je soufflais sous l’effort, et comme je venais de jouir (elle l’avait fait exprès, la garce expérimentée !) j’avais une endurance qui m’étonna moi-même. Jamais je n’aurais cru pouvoir baiser aussi longtemps et aussi fort, qui plus est dans un cul !


Les gouttes de sueur tombaient de mon front sur son dos, nous étions trempés de sueur et de sa cyprine, rien autour de nous ne comptait plus, nous étions totalement perdus dans le déchaînement de nos corps dans une course vers la jouissance.


C’est d’ailleurs elle qui lâcha prise en premier. Dans un grand cri, elle cessa tout mouvement, se crispa tellement fort que je sentis ma queue se faire écraser par ses sphincters.


D’un coup, elle s’arracha à mon étreinte, se retourna de façon à être couchée le visage à quelques centimètres de ma bite, arracha la capote, et elle me dit :



C’étaient ses propres termes !


D’une main, elle tiraillait un peu la peau de mes bourses ; de l’autre, elle allait chercher sa mouille puis suçait avec application ses doigts pour goûter sa propre intimité. Je ne fus pas long : je crachai de longs fils blanchâtres sur son visage, du front au menton, un peu dans sa bouche. Quelques gouttes entrèrent dans ses yeux qu’elle garda bien ouverts ; d’autres gouttes vinrent maculer sa courte chevelure noire.


Je sais bien que certaines femmes doivent sentir leurs poils se hérisser à ces mots, et pourtant je ne pouvais faire autrement que d’admirer son joli visage d’ange éclaboussé de traînées blanches et gluantes. Oui, elle était belle, le visage souillé de ma semence. Semence qui, à la vue de ce spectacle, arrivait encore. Je ne pense pas avoir déjà émis une telle quantité de foutre…



Le temps de reprendre notre souffle, la musique au rez-de-chaussée changea, Sylvie me dit :



En hâte, nous quittâmes notre abri, en ramassant vaille que vaille nos vêtements épars, et nous sommes descendus. Le spectacle consistait en une démonstration de pole-dancing très impressionnante. La danseuse était une magnifique blonde à la longue chevelure ; son corps musclé et gracile s’enroulait avec grâce sur le piquet, à croire que sa discipline était facile. Une seconde danseuse sauta sur la petite estrade sur laquelle était monté le piquet. Elle fit elle aussi quelques mouvements impressionnants, mais lorsqu’elle se retrouva la tête en bas, les mains et le haut du corps enserrant la barre, elle commença un grand écart. Sa mini-jupe à l’écossaise s’était retournée sur son nombril, dégageant son bassin et son pubis en une pose indécente mais excitante. D’ailleurs, sa collègue en profita pour lui manger la chatte. Elle l’accompagna lorsque la belle descendit le long de la barre pour le dos au sol, les fesses contre la barre, les jambes quasiment en équerre. La seconde danseuse vint se placer sur son visage et elles entamèrent un 69 d’enfer. Ensuite elles se roulèrent sur la petite estrade se léchant, se doigtant, en un show lesbien de la plus belle facture.


J’étais assis sur un tabouret de bar, ma complice ayant préféré rester debout entre mes cuisses ; elle frottait ses fesses et son dos contre mon sexe qui ne resta pas longtemps au repos, grâce à ses caresses et au spectacle appétissant. Elle-même, m’avoua-t-elle, n’avait rien contre une partie de jambes en l’air avec une autre femme ; mais quand il y avait des hommes dans les environs (en fait, elle parlait de « bites » en parlant des hommes), elle refusait de partager, et tout devait être pour elle.


Le spectacle fini, elle se retourna vers moi, passa la langue sur ses lèvres en me regardant droit dans les yeux, les baissa vers mon chibre redevenu bien dur, et se baissa pour m’emboucher à nouveau. Elle se laissa aller à quelques mouvements de gorge profonde, noyant ma queue dans la salive, et lorsqu’elle releva la tête pour me parler, des fils de salive pendaient de son menton, de ses lèvres. Elle s’approcha de mon oreille et y glissa un bref :



Je ne sais pas pour vous, chers lecteurs, mais c’est le genre de phrases dont je raffole. Entendre une femme me demander de l’enculer, de lui prendre le cul, ce genre de phrases, ça a le don de me rendre fou d’excitation.



Nous nous retrouvâmes vite dans les escaliers, mais cette fois je ne me contentai pas de mater son beau fessier : je dardai ma langue dans son croupion, je plantai un doigt dans sa chatte et un second dans son cul. Nous n’eûmes pas le temps d’atteindre la pièce de tout à l’heure ; elle se planta dans le canapé dans le couloir, les genoux écartés, les coudes plantés dans le dossier, et me regarda avec son air qui semblait dire « alors, qu’attends-tu pour me défoncer ? ».


Jamais je n’ai été aussi rapide pour déballer et enfiler une capote ; je m’enfonçai d’un coup dans sa croupe accueillante et impatiente, et je recommençai à lui défoncer le fondement.



Je lui répondis :



Elle se déplaça ; ma queue quitta son entre-fesses bien chaud. J’ai cru entendre un « plop » lorsque mon sexe se libéra. Elle me fit signe de m’asseoir sur le haut du dossier, et elle commença à me pomper avec science et application.


Et là, il arriva quelque chose que je n’avais encore jamais vu auparavant : elle eut un orgasme rien qu’en suçant, sans se toucher elle-même. Elle n’avait pas menti à propos de la sodomie ; elle n’avait pas non plus menti à propos de son amour de la fellation, au point d’être capable de jouir en suçant.


Je ne sais pas quel orgasme déclencha celui de l’autre ; encore est-il que je déchargeai mon foutre en partie dans sa bouche, en partie sur son visage, et ce sperme coulait sur ses tout petits seins.


La soirée étant déjà bien avancée, je dus prendre congé d’elle, mais ce n’était que la première d’une longue série de rencontres… Elle m’expliqua le lendemain sur Messenger qu’après mon départ, elle avait vidé tous les hommes encore présents au club.



Je la rencontrai encore plusieurs fois dans ce même club ; parfois je lui servais de chauffeur soit à l’aller, soit au retour ; à chaque fois elle me gratifia d’une fellation jusqu’au bout, la voiture arrêtée juste avant d’arriver à destination. Nous avions commencé à entretenir une relation véritablement amicale ; je l’accompagnai même un jour en tournée shopping durant laquelle elle m’attira dans les cabines d’essayage et put mesurer l’effet de ses tenues courtes d’après la bosse dans mon pantalon. Elle eut la gentillesse de me soulager deux fois, d’ailleurs.


Elle pratiquait aussi les gang-bangs organisés chez des particuliers. J’étais devenu une sorte de garde du corps, lorsque mon boulot me permettait de l’accompagner. Du coup, je ne payais pas la participation aux frais dont devaient s’acquitter les autres participants.


Elle était toujours d’une humeur joviale ; elle rayonnait la joie de vivre et la simplicité, en toute circonstance. Je me souviens que lors d’un gang-bang, un jeune avait du mal à bander devant les autres ; alors elle le prit à part et coquina en particulier avec lui dans la chambre à coucher du propriétaire des lieux pendant que nous attendions en devisant dans le salon où des matelas avaient été placés à même le sol. Je me souviens aussi que ce gang-bang fut le dernier en cet endroit, un abruti s’étant débarrassé d’un préservatif entre deux coussins du canapé ; et, évidemment, il a fallu que l’épouse du propriétaire tombe dessus…



Elle fit en sorte que je devienne co-admin de son groupe, et son homme et moi discutions aussi sur MSN. Il appréciait la façon dont je m’occupais de sa belle, tant au point de vue sécuritaire qu’au point de vue de l’amitié. Il me demanda d’ailleurs de faire en sorte qu’elle tombe amoureuse de moi : il voulait être cocu de cœur en plus du corps… J’aurais dû me méfier…


J’en discutai avec Sylvie, ne voulant pas jouer au con dans son dos. Elle me répondit que :



Oui, j’avoue que je commençais à ressentir des sentiments plus qu’amicaux pour Sylvie. Oh, je n’en n’étais pas amoureux, non, pas encore…


Donc, si son mec voulait jouer à ce jeu-là, on allait lui en donner pour son argent !


Je l’invitai donc pour une soirée rien que nous deux : pas de club, pas de gang-bang. Je réservai une table dans un petit resto sympa, pas loin de l’hôtel Ibis où j’avais réservé une chambre et dont je me munirais de la clé avant le rendez-vous.



Je passai la chercher devant chez elle, comme à notre habitude, et je fus étonné de la voir porter une robe s’arrêtant juste au-dessus des genoux au lieu de son habituelle mini ras-des-fesses. Lorsqu’elle entra dans ma voiture, elle prit bien soin de faire remonter sa jupe assez haut pour que je puisse voir la jarretière de ses bas et l’élastique de ses porte-jarretelles. Tiens, me dis-je, une première : de la lingerie. Comme à notre habitude, nous nous roulâmes un patin, et je passai la main entre ses cuisses pour lui mettre un doigt. C’était devenu une sorte de rituel entre nous. Quelle ne fut pas ma surprise, qu’elle remarqua car s’y attendant, de buter contre la dentelle d’un string.



Notre repas avait un arrière-plan érotique permanant. Il ne se passait pas deux minutes sans qu’un de ses pieds, débarrassé de son escarpin, vienne masser mon sexe par-dessous la table. Sexe qui, bien entendu, n’avait pas l’occasion de se reposer ; je passai toute la soirée, à mon grand plaisir, avec une trique d’enfer dans mon pantalon.


De plus, jamais sage, Sylvie s’arrangeait pour que tout le monde sache que quelque chose de trouble se passait, et elle allumait régulièrement le garçon à qui elle offrait une vue imprenable sur ses dessous dès qu’il passait, en croisant les jambes à son passage, ce qui ne manquait pas de faire remonter sa jupe et donner une vue plongeante. Cela fit grincer des dents, car notre garçon agit presque comme si nous étions sa seule table.


Sylvie provoqua une scène de ménage à une table voisine, car le monsieur n’arrêtait pas de mater ma belle, qui ne se gênait pas pour lui montrer outrageusement ses atours. L’épouse du monsieur, qui avait vu le cinéma, engueula son mari et nous lança des regards noirs. Point de dessert pour ces deux-là, pressés que madame était de quitter le restaurant et de nous soustraire au regard de son mari.


Après le repas, je proposai une petite promenade à ma belle, qui se doutait que j’avais prévu quelque chose, mais ne savait pas quoi exactement.



Sous la devanture d’un magasin, en face de l’hôtel, je l’entraînai dans l’ombre, l’embrassai fougueusement, mes mains partant à l’exploration de son entrecuisse et de son voisin l’entre-fesses. Puis, sans un mot, je l’entraînai par la main pour traverser, entrer dans l’hôtel, traverser le hall pour nous rendre directement devant l’ascenseur. En attendant que celui-ci arrive, je l’attirai à moi et, devant le regard ébahi du concierge de nuit, je soulevai sa robe pour tâter les fesses de ma belle, lui écarter la ficelle de son string et lui fourrer sans ménagement un doigt dans le cul. Je voyais bien qu’il n’en ratait pas une miette, et qu’il devait regretter que l’ascenseur fût rapide à arriver.


Une fois dans la chambre, la porte à peine fermée, Sylvie se jeta sur moi, m’embrassa comme une furie tout en s’arrangeant pour ouvrir ma braguette, sortir ma queue encore toute dure et me branler furieusement. Lâchant mes lèvres, elle me dit :



Ah, je ne sais pas si vous avez déjà connu cette situation : toujours debout, une belle jeune femme accroupie devant vous, occupée à vous tailler une pipe d’enfer, la queue juste sortie du falzar. Oui, comme dans les films porno ! Il a fallu que je la tire par les cheveux pour qu’elle arrête ; je ne voulais pas jouir de suite, pas avant de m’être bien occupé d’elle.


Je la guidai vers le lit ; nous nous embrassions en chemin, elle reculant, moi la poussant. Elle me branlait toujours, et ce n’est qu’en la repoussant sur le lit que je m’aperçus que je n’avais pas encore lâché ses cheveux.


Elle se retrouva allongée sur le lit ; dans sa chute, sa robe s’était retroussée et j’avais accès à ses cuisses et à tout le reste. Je me jetai à genoux, écartai le string et commençai à lui manger la chatte. Un instant plus tard, elle se redressa pour ôter sa robe, et remonta plus haut sur le lit, de façon à pouvoir s’adosser aux oreillers et pouvoir profiter du spectacle de ma tête entre ses cuisses gainées de bas. Elle garda ses dessous ; moi, je me dessapai en quatrième vitesse pour m’allonger ventre sur le lit, et reprendre ma gâterie orale.


Je ne sais pas combien de temps je suis resté dans cette position, à lui laper le con (oui, vous me connaissez, et son petit anus aussi !). Je pense que j’ai dû rester comme ça plus d’une heure à lui arracher un orgasme après l’autre. Je dus arrêter car ma nuque commençait à devenir douloureuse ; j’en ai gardé des douleurs pendant plusieurs jours.


Elle n’avait pas l’habitude de se faire gâter autant ; elle, qui s’était habituée à revêtir le rôle de fournisseuse de plaisirs, avait gémi, crié, appuyé des mains ma tête contre son intimité, serré plusieurs fois ses cuisses en m’emprisonnant le temps de ses orgasmes. Je ne sais pas combien de fois elle jouit, mais visiblement c’était une grande première pour elle.


J’étais passé dans la chambre avant d’aller la chercher, et j’y avais déposé une bouteille de champagne dans un sac réfrigéré. Je débouchai la bouteille et nous trinquâmes à cette soirée qui avait si bien commencé.


Vous vous en doutez, coquine un jour, coquine toujours. Elle voulut goûter du sexe au champagne : elle me fit me redresser, et plongea plusieurs fois mon membre dans sa coupe avant de me sucer. Les bulles, la légère piqûre du froid et de l’alcool tranchaient avec la chaleur humide de sa bouche ; la sensation était sublime.


De son sac, qui s’était à demi renversé lorsque je l’avais poussée sur le lit, dépassaient les deux vibromasseurs que je lui avais offerts quelque temps avant, lorsqu’elle m’apprit qu’elle n’en n’avait jamais essayé. Enfin, pas des objets créés pour cette fonction. Elle avait essayé une brosse à dent électrique ; quelle idée ! J’avais donc acheté deux vibros, d’une même longueur d’une vingtaine de centimètres : l’un assez fin pour commencer, le second bien plus gros, un bon cinq centimètres de diamètre. Je m’en saisis, vérifiai l’état des piles, et lui demandai lequel elle voulait. « À ton avis ? » Bon, j’ai compris, le gros ! Je le glissai sans problème dans sa chatte toujours détrempée et mis directement les vibrations à fond.


Les verres furent vite déposés ; elle était allongée, je lui godais le vagin avec le gros vibro, le string toujours écarté (elle le garda durant toute la soirée, sachant combien j’aimais qu’une femme garde ses dessous pendant les ébats). Moi, j’étais agenouillé près de son visage ; elle me suçait avec douceur. Elle se saisit du vibro plus fin, le fit passer sur la langue, dans la bouche pour bien le mouiller, vu son humidité permanente, nul lubrifiant à portée. Elle cessa de me sucer, glissa le vibro sous moi, le présenta contre mes fesses, et son regard plongé dans le mien demandait « alors, tu en veux toi aussi ? ». Je ne répondis pas verbalement, mais lui fis comprendre mon accord en descendant et en m’enfonçant sur le vibro.


Elle me suçait, me godait le fondement. Je retirai le plus gros vibro de sa chatte, le plaçai contre sa rondelle et l’enfonçai d’un seul geste lent et continu dans son anus. Le jeu n’était plus « je te tiens, tu me tiens, par la barbichette » mais « je te gode, tu me godes, par le petit trou » (je sais, ça ne rime pas ; mais j’ai beau chercher, je ne trouve pas de mot en « ette » pour l’anus !).


Évidemment, elle eut vite fait de me faire jouir et j’explosai à moitié dans sa bouche, à moitié sur son visage. Pour me venger, je glissai trois doigts d’un coup dans sa fente, vite rejoints par un quatrième. Je n’avais jusque-là encore jamais tenté de la fister ; je plaçai donc mon pouce dans le creux entre les autres doigts, et vlan, elle avala ma main entière. La main dans la chatte, le gode fiché dans son anus (je le sentais vibrer à travers la fine paroi séparant les deux conduits), elle ne tarda pas à jouir à son tour.


Elle m’avoua que j’étais le troisième à parvenir à la fister (ah, zut, jalousie : je n’étais pas le premier ! Mais bon, dans les deux prédécesseurs, il y avait une femme). Bien qu’elle adorât être remplie, voire dilatée, peu de mecs savent comment placer les doigts, et surtout savent le faire avec patience.


Durant le reste de la soirée, nous fîmes plus l’amour que nous baisâmes, bien que la sodomie, les éjacs faciales ou buccales étaient toujours au rendez-vous. Les pénétrations étaient toujours protégées ; si elle avait confiance en moi, moi je ne tenais vraiment pas à prendre de risque, vu le nombre de kilomètres de bites qu’elle s’était déjà enfilés et la quantité de foutre qu’elle avait déjà avalé…


Ni l’un ni l’autre ne pouvions nous permettre de rester la nuit ; nous dûmes donc nous résigner à reprendre la route. Je pris une douche ; Sylvie refusa, désirant montrer à son jules les traces de sperme sur son visage. D’ailleurs, le concierge faillit avoir une crise cardiaque lorsqu’elle s’approcha pour déposer la clé sur le comptoir. Elle se regarda dans un miroir et, avisant une goutte de sperme dans ses cheveux, elle la prit au bout d’un doigt. Tout en regardant le concierge droit dans les yeux, elle dit :



Nous riions encore lorsque j’arrêtai la voiture devant chez elle. Là, une certaine gêne s’installa. Nous avions tous les deux envie de dire quelque chose, mais nous savions aussi que nous n’en n’avions pas le droit. Je lui dis :



Elle acquiesça ; nous nous fîmes un bisou avec ce sourire qui signifie « je regrette de ne pas pouvoir parler ». Elle sortit de la voiture et s’engouffra dans la porte d’entrée de sa maison. Ce fut la dernière fois que je la vis.



En rentrant chez moi, après trois-quarts d’heure de route, j’allumai mon ordinateur pour lui laisser un petit mot. Tiens… je ne parvenais pas à me connecter au groupe. J’essayai avec un autre compte. Là, je pus entrer, et je vis avec effroi que la page de garde du groupe avait été modifiée : son homme parlait de moi en me nommant « le requin » ; il disait que j’avais tenté de lui voler sa femme. Il m’avait banni du groupe et il invitait tous les membres à me fuir comme la peste, prétextant que je comptais les faire chanter.

Les messages d’insultes commencèrent à pleuvoir, tant sur le groupe que sur mon mail.


Mais ce qui me fit le plus mal, c’est un message de Sylvie, qui se moquait de moi. Je soupçonnai son mec de l’avoir écrit lui-même ; alors j’essayai de lui téléphoner quelques jours plus tard ; elle me répondit sèchement, et ricana encore.


Comme elle avait mon numéro privé et en savait énormément sur moi, tant au niveau privé que professionnel, j’ai préféré ne pas insister, elle (ou lui, ou eux) pouvait très bien me faire du tort.



Oui, j’avais commencé à ressentir des choses pour Sylvie ; mais, encore une fois, je n’étais pas vraiment amoureux d’elle. De toute façon, je ne pense pas que j’aurais pu suivre avec son appétit vorace pour la bite, et je n’avais aucune intention de quitter mon foyer pour une autre, aussi formidable que pouvait être le sexe avec elle.


Cette relation m’a bien calmé durant une bonne année : je vivais toujours dans la crainte qu’elle ou son mec, dans un pétage de plombs, se décident à me nuire.


J’avais gardé des contacts avec certains membres de son groupe, qui ferma peu après notre aventure. On m’expliqua qu’elle avait accéléré la cadence au point de vue gang-bangs, puis avait cessé les rencontres à pluralité masculine et commencé à vendre ses services dans des salons de massage. On parlait de moins en moins d’elle sur les forums ; elle avait été une étoile filante dans le monde libertin, et certains la suspectaient d’avoir attrapé le SIDA car ses pratiques devenaient de plus en plus dangereuses. Certains l’auraient vue dans des clubs en Allemagne, où les relations non protégées se pratiquent moyennant des tarifs en fonction de la demande particulière.



J’en entends d’ici me soupçonner d’avoir inventé cette histoire, en tout ou en partie. Il n’en est rien : tout est vrai. Seuls les dialogues ne sont peut-être pas conformes dans les termes, mais bien dans le sens.



À très bientôt pour la suite de mes aventures coquines, si du moins vous en voulez…