Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 15387Fiche technique52918 caractères52918
Temps de lecture estimé : 31 mn
09/01/13
Résumé:  Jenny, Myriam et Helen se réveillent après leur folle nuit ; mais le temps manque pour remettre ça, car elles doivent se préparer : elles ont rendez-vous avec leurs amis. Mais dans les vestiaires des pom-pom girls, ils vont faire une rencontre spéciale !
Critères:  fhh grp jeunes nympho grossexe école entreseins facial fellation cunnilingu 69 pénétratio double sandwich fdanus fsodo partouze -totalsexe
Auteur : Jenny Pirate      Envoi mini-message

Série : De chaudes études

Chapitre 04 / 05
De chaudes études - 4

Résumé de l’épisode précédent : Il n’aura fallu qu’une journée pour que Jenny et Myriam deviennent bonnes amies, puis même amantes, partageant d’abord une folle partie de jambes en l’air dans les vestiaires des footballeurs avec Drake, Shane, et un nouveau venu, Warren, puis en se rendant chez Jenny pour offrir une belle surprise à Helen. Et les six jeunes gens ont prévu de se retrouver à nouveau pour continuer à explorer les méandres d’une sexualité libérée…








Une lumière tamisée commence à éclairer la chambre et me tire de mon sommeil. Le soleil perce à travers les volets baissés et réchauffe la pièce, mais moi, je suis déjà bien au chaud au fond de mes draps ! Nous sommes toutes les trois, Helen, Myriam et moi, emmitouflées sous les couvertures, si étroitement enlacées que de dessus, il doit être difficile de distinguer où commencent ou finissent nos corps… Derrière moi, je sens les seins d’Helen se presser contre mes omoplates, son ventre chaud au contact de mes reins, et elle a passé un bras autour de moi pour glisser une main entre mes cuisses fermées. Vu sa respiration sifflante, je dirais qu’elle est toujours assoupie. Et devant moi, c’est ma toute belle qui repose dans les bras de Morphée et surtout dans les miens : sa tête est posée contre mon épaule, le visage tout contre mes seins ; ses jolis yeux sont encore clos, et sa chevelure châtain en bataille recouvre tout l’oreiller. Je peux voir sa belle poitrine se soulever à chacun de ses souffles, et tout au bout du lit je sens ses pieds emmêlés entre les miens. « Quel bonheur de te voir comme ça, ma toute belle ! Si mignonne, si sereine, si proche de moi… et avec dans ma tête les images de ce que nous avons fait hier ! »


Lentement, je viens déposer un baiser sur ses longs cheveux. J’essaie de ne pas la réveiller, mais elle se met à ronronner doucement sous la pression de mes lèvres, et enfouit encore davantage sa tête dans ma poitrine. Puis elle ouvre ses yeux, ses beaux yeux noisette, et nous nous sourions longtemps, en silence, sans rien nous dire. Cette fois, je le sais, j’en suis sûre : je l’aime, ma toute belle. Et ce que je peux voir dans son regard, c’est qu’elle a autant de tendresse envers moi que j’en ai pour elle ! Mais est-ce de l’amour comme pour moi ? Ou sommes-nous juste devenues de très bonnes amies qui couchent ensemble, juste pour expérimenter ? Bah, ça importe peu, au final. Pour un instant avec toi, ma toute belle, pour cette sensualité qu’il y a entre nous même lorsqu’il n’y a pas de sexe, je suis prête à tout accepter, y compris que mes sentiments ne soient pas réciproques. Et de toute façon, même si j’aime Myriam, je ne suis malgré tout pas prête à renoncer définitivement aux hommes, et je ne pense pas l’être un jour. Ne serait-ce que mon petit copain, là-bas, en Alabama… ou Warren, qui me fait décidément un drôle d’effet lui aussi !


Je l’embrasse à nouveau, sur le front, humant le parfum de ses cheveux et goûtant une fois de plus sa peau. Elle fait de même en promenant ses lèvres sur mes seins, prenant mes mamelons en bouche pour en titiller les pointes de sa langue. À nouveau, je me sens fondre, littéralement, alors que mes tétons s’érigent sous les bons soins de Myriam. Je voudrais pouvoir lui rendre la pareille, mais ça me semble impossible sans réveiller Helen ; et je n’ai pas envie de partager à nouveau Myriam : je la veux pour moi toute seule. Alors, je me contente de caresser son visage et sa chevelure, en essayant de retenir du mieux que je peux gémissements et mouvements des reins, sous l’excitation du moment. Mais c’est peine perdue : entre mes cuisses, je sens les doigts d’Helen s’éveiller et se mouvoir doucement vers mon intimité. Je me rends alors compte que je suis toute mouillée, et derrière moi ma compagne de chambre s’accole encore plus étroitement à mon dos pour me murmurer :



Alors que son pouce s’apprête à s’engouffrer dans mon intimité, je glisse à mon tour ma main en bas de mon ventre pour l’arrêter.



Pour toute réponse, Helen attrape un oreiller et me frappe violemment avec. Ah, elle veut jouer à ça ? Agrippant ma propre arme, je réplique en lui tirant un bon revers de polochon dans le ventre et, alors qu’elle s’écroule en avant sur le lit, je me jette sur elle pour lui chatouiller les flancs. Je la sais hypersensible, et elle s’étouffe presque de rire sous le passage de mes doigts sur sa jolie taille de guêpe. Puis je m’écroule à mon tour, ignoblement trahie par ma toute belle qui me chatouille sous les pieds. « Eh, moi aussi je crains ce genre de pratiques ! Et toi, Myriam, tu vas voir ce qui va t’arriver… » Helen reprend doucement son souffle, et tant qu’elle ne se rend compte de rien, j’attrape le pied de Myriam pour le lui coller entre les mains. Croyant qu’elle m’a attrapée, elle reprend ses assauts et c’est maintenant ma jolie châtaine qui pleure de rire. Contemplant mon œuvre, je reprends mon polochon et les assomme toutes les deux avec. Finies, la douceur et la sensualité de la veille : nous sommes à présent trois gamines qui jouent à leurs jeux de gamines, riant comme des folles de leurs amusements puérils. J’ai l’impression que l’on a fait l’amour pendant des heures, hier ; et aujourd’hui, j’ai l’impression que nous passons des heures à rire et nous assaillir à grands coups de chatouilles et d’oreillers. Et quand enfin nous cessons nos assauts, nous sommes aussi ravies, essoufflées et couvertes de sueur qu’après notre folle soirée de la veille. C’est pour ça que j’aime les filles : on peut prendre notre pied de multiples façons, sans que cela implique automatiquement stupre et concupiscence !


Enfin calmées, nous nous asseyons toutes les trois en tailleur sur le lit. Helen a même accepté de préparer le petit-déjeuner, et nous grignotons donc quelques céréales et du lait en bavardant.



Helen foudroie ma toute belle du regard. Oh, qu’ils sont noirs, ces yeux !



Avant qu’elle n’ait le temps de me sauter dessus et de recommencer nos ébats, Myriam me rattrape par l’épaule et nous dit :



Renonçant à une nouvelle partie de jeux plus ou moins interdits, Helen et moi obéissons à l’instruction de ma toute belle. Alors que nous nous dirigeons vers la douche, elle nous arrête, et avec raison : toutes les trois dans un espace clos, chaud et humide… ce n’est plus une bombe à retardement, c’est une arme sexonucléaire en puissance ! Ce n’est pas l’envie qui nous manque, mais si nous voulons honorer notre engagement, cela risque de ne pas être une très bonne idée. Je vais pour prêter des sous-vêtements et une tenue propre à ma toute belle, mais hélas sa si jolie poitrine qui me fait tant d’effet est plus menue que la mienne, et elle nage dans tous les soutiens-gorge que je lui propose. Finalement, elle résout le problème en choisissant une robe blanche appartenant à Helen et qui peut se porter sans soutien mammaire, ce qui a pour effet de ravir ma compagne de chambrée, ainsi que moi-même, je dois dire. Helen, elle, choisit de faire une entorse à la règle sacrée de la jupe, en jetant son dévolu sur un petit short s’arrêtant à mi-cuisse et un débardeur blanc. Enfin, pour ma part, je rejoue la carte de la robe avec un modèle vert pâle assorti à mes yeux. Et pour les dessous, je choisis un ensemble simple et sobre, comme l’avait fait hier Myriam. Enfin apprêtées, nous nous maquillons mutuellement, préférant pour ma part confier mon visage à ma toute belle plutôt qu’à Helen, dont je connais la passion pour les maquillages un peu trop outranciers à mon goût. Je renonce d’ailleurs vite à m’occuper d’elle, excédée par ses remarques incessantes. De même, je n’essaie même pas de toucher à ses cheveux, connaissant sa maniaquerie en la matière ; mais sur ce point, je ne peux pas lui en vouloir, je suis exactement pareille, personne ne touche à mes boucles blondes ! Par contre, Myriam me laisse sans problème m’occuper de sa magnifique chevelure châtain, et je promène mes mains et ma brosse parmi ses belles boucles bien dessinées, reniflant au passage leur douce odeur. Je pourrais y passer des heures, mais nous voilà toutes trois fin prêtes et, quand il faut y aller, faut y aller !




Quelles idiotes ! Quand nous sommes sorties de la résidence sur le campus, le ciel était gris, mais rien ne menaçait réellement. Mais, alors que nous arrivions en vue des terrains de sport, un brusque coup de tonnerre a fait trembler tout le campus. Et on a à peine eu le temps de lever le nez que des gouttes commencèrent à tomber, nous forçant à courir à l’abri des vestiaires. Par chance, aucune de nous n’a commis la bêtise de mettre des talons ; nous avons donc pu nous abriter assez vite. Par contre, aucune n’a eu non plus la présence d’esprit de prendre un parapluie… c’est moi qui, la première, essaie de faire passer ma voix par-dessus les gouttes :



Aucune de nous n’est vraiment enthousiaste à cette idée… mais a-t-on vraiment le choix ? Passant nos sacs au-dessus de nos épaules pour nous protéger le mieux possible de la pluie maintenant torrentielle, nous courons comme des dératées sur toute la distance qui nous sépare des vestiaires. On arrive là-bas trempées ; la robe de Myriam se plaque délicieusement sur ses formes, et je ne peux détacher mon regard du tissu collé à ses seins nus, ses petits tétons pointant sous la robe à présent presque transparente. Mais comme il faut bien que chaque moment de grâce soit gâché par quelqu’un, c’est Helen qui s’y colle, pour une fois sans faire de remarque graveleuse :



Elle nous les lance et commence à se sécher de son côté. Par chance, elle n’a pas dû voir la poitrine de ma toute belle, sinon elle n’aurait sûrement pas agi ainsi. Nous commençons donc à nous essuyer quand nous entendons des voix dans le hall.



Alors qu’il finit sa phrase, il débouche enfin dans la buanderie où nous nous étions réfugiées. Constatant l’état de nos vêtements et de nos cheveux, il rectifie en riant :



Reposant sa serviette, Helen fait sa coquette et lorgne sur les beaux bras musclés de Shane :



Shane l’y accueille bien volontiers et baisse les épaules pour poser ses lèvres sur celles d’Helen. Les deux autres garçons arrivent et voient le couple déjà enlacé.



L’effet est immédiat : Drake rougit, bafouille et ne sait plus où se mettre. Les yeux et la voix font partie des premières et meilleures armes des femmes, m’a-t-elle appris, et j’ai déjà eu plusieurs occasions de voir à quel point c’est vrai.



C’est une évidence. Aussi nous nous mettons tous en route vers les douches, traversant le même genre de couloirs qu’hier. On débouche dans les vestiaires principaux, côté casiers, mais nous nous arrêtons net quand nous nous rendons compte que nous n’y sommes pas seuls : des bruits proviennent des douches, là-bas au fond. Prudemment, Warren s’approche pour voir ce qu’il en est, avant de revenir, hilare.



Curieux, nous nous avançons pour voir ce qui fait tant rire Warren. Passant la tête avec précaution derrière les rangées de casiers, nous comprenons d’un coup : le vieux concierge des terrains de sport est là, les fesses à l’air, en train de renifler un maillot de pom-pom girl et de se tripoter l’engin.



Nous retournons dans le hall et éclatons de rire tous ensemble, en essayant quand même de pas se faire remarquer.



Lui, Myriam et moi commençons déjà à nous diriger vers la sortie quand Shane, à qui Helen vient de murmurer quelque chose à l’oreille, nous arrête :



Gros blanc. Je t’aime bien, Helen, mais même pour tes beaux yeux, j’irai pas toucher à ce vieux crade. Et ma toute belle encore moins, elle qui semble à deux doigts de vomir rien qu’à l’idée.



Et Helen nous plante là pour retourner dans la buanderie. À son retour, on la devine toute nue sous la serviette qui la recouvre. J’y crois pas… elle va vraiment le faire. J’aime bien cette fille, je l’apprécie énormément et je la remercie pour ce qu’elle va faire, mais non, moi, je ne peux pas la suivre sur ce terrain-là. M’offrir à un inconnu, ok, à condition qu’il soit mignon et attirant ! Quel intérêt sinon ? Quel plaisir peut-elle bien retirer de ce genre de… d’accouplement ? Soit elle fait vraiment ça uniquement pour nous exciter, soit parce qu’elle en a envie, mais dans les deux cas, c’est une vraie, une pure, une irrécupérable nymphomane. Malgré tout, curieux de voir jusqu’où elle va aller, nous la suivons et essayons de nous trouver un poste d’observation discret.


Sans aucune gêne, Helen se dirige droit vers les douches, laisse tomber sa serviette sur le sol et ouvre les robinets. Le concierge sursaute et se retourne, mais avant qu’il puisse dire quoi que ce soit, il a le souffle coupé par la sublime jeune fille qui vient de lui passer devant et de se dévoiler entièrement sous ses yeux. Sans lui prêter la moindre attention, elle se laisse arroser par l’eau chaude, frottant ses seins, son ventre, son entrejambe, elle se mouille abondamment toujours sans regarder le « vieux Jack ». Celui-ci remue les lèvres, mais semble incapable de produire le moindre son. Je ne lui en veux pas : voir une vraie fille nue se doucher devant lui alors qu’il se branlait minablement sur un vieux maillot, ça a de quoi lui couper le sifflet. Il a l’air au bord de la crise cardiaque quand Helen lui demande soudain :



Comme un zombie, le vieux Jack s’exécute, apportant le savon dans sa main tendue à Helen. Celle-ci le gratifie d’un simple « merci », sans chaleur ni sourire, et se met à se savonner de partout en ignorant à nouveau le concierge. Elle se masse la poitrine, et de là où je suis je peux voir ses tétons s’ériger sous les pointes de ses doigts. Puis elle passe à son intimité et se frotte doucement, lavant avec précaution chaque centimètre carré.


Même si le vieux me rebute toujours autant, je commence à être pas mal excitée ; voir Helen se doucher, mon Dieu ! Elle sait y faire. Et pour le faire avec un type pareil… elle aurait une belle carrière dans le porno, j’ai l’impression que rien ne la rebute. Il y a enfin du changement : n’y tenant plus, le vieux Jack a retiré la veste de son uniforme et quitté le pantalon qu’il avait aux chevilles, et il vient d’empoigner l’une des tendres belles fesses de ma camarade de chambre. Celle-ci affecte toujours de ne rien voir, ne rien sentir. Comment elle fait, enfin, avec ce vieux sauvage qui la tripote ? J’ai presque l’impression de sentir ses sales pattes sur moi et… EH !



C’est Warren qui intervient et qui ôte sa patte de ma culotte. Pour être sûr que Drake ne m’importune plus, il se glisse à sa place dans mon dos et je peux sentir qu’il doit se sentir très à l’étroit dans son short.



Pour lui signifier ma gratitude, je glisse même mes fesses en face de la bosse qu’il a entre les jambes. Je sais, la règle implique pas d’attouchements d’aucune sorte, mais nous ne faisons rien de mal, si ?


Là-bas, Helen continue de feindre l’ignorance, alors que le vieux concierge lui pétrit de plus en plus fort la fesse. Prenant sans doute cela pour une invitation à continuer, il pose son autre main sur les seins encore savonnés de la jolie brunette, et en masse le globe laiteux en cadence. Je vois même son doigt s’insinuer entre ses fesses et aller lui titiller l’entrée de son tunnel intime, déclenchant enfin une réaction chez Helen :



Empoignant à pleines mains le membre viril, de dimensions plutôt honorables même s’il n’égale pas les trois étalons que nous avons à notre disposition, elle s’occupe de le savonner en le masturbant doucement. Elle fait également mousser la toison intime, abondante et drue, du vieux Jack, ainsi que son ventre et ses cuisses. Quand elle estime qu’il est assez propre, elle l’amène sous le jet pour le rincer, chassant tout reste de mousse de ses doigts fins, avant de tomber à genoux et d’attirer à elle le gland pour le prendre en bouche.


Ce n’est pas la première fois que je vois Helen pratiquer une fellation, surtout que c’est elle qui m’a enseigné cet art, mais de la voir ainsi sous le jet brûlant de la douche accueillir entre ses lèvres la queue de ce vieux sagouin est vraiment étrange et… malgré tout, plutôt excitant. Toutes ses leçons, comment lécher doucement les testicules et les gober l’un après l’autre, comment lubrifier la verge pour pouvoir la branler sans douleur, comment suçoter le gland et l’aspirer pour rendre fou son partenaire, je la vois les mettre en application avec le vieux Jack. De ses doigts agiles, elle caresse tout le manche, avant de faire le tour de ses reins avec ses bras, pour amener au plus profond de sa gorge la virilité du concierge pervers. Ce dernier a un long râle de plaisir lorsqu’il atteint les amygdales d’Helen, et lui empoigne la tête pour pouvoir y aller et venir à sa guise. Helen se laisse un moment aller à cette pénétration buccale, sans résister, écarquillant le plus possible sa petite bouche pour le laisser aller le plus loin possible. Elle m’a assuré qu’un jour, avec la pratique, je saurai moi aussi avaler une queue comme elle le fait, mais comme l’a montré l’expérience de Shane hier, j’ai encore un peu de mal pour les gorges profondes les plus hardies. Pas elle, qui n’interrompt l’expérience que lorsqu’il manque vraiment de l’étouffer en lui plantant sa queue de longues secondes dans sa bouche.


Elle se relève alors, et de ses yeux qui rendent fou, elle lance une invitation muette à la prendre, se retournant pour poser ses mains contre le mur et cambrer ses hanches. J’en profite pour jeter un œil à mes camarades : Warren, toujours gentiment calé entre mes fesses, ne perd pas une miette de la scène, hypnotisé par les yeux et le corps d’Helen ; Drake, lui, après être allé se frotter à Myriam et s’être fait remballer, s’est glissé derrière une autre rangée de casiers, et remue étrangement du bras. Je le soupçonne de ne pas respecter la règle du jeu, mais tant pis pour lui, Shane l’a remarqué et me fait un clin d’œil avant de retourner au spectacle. Quant à ma toute belle, elle est elle aussi hypnotisée, l’air mi-choquée par ce qu’elle voit et mi-excitée par la scène. Elle est d’ailleurs tellement captivée qu’elle n’arrive plus à regarder autre chose. Je reviens moi aussi à la scène qui se déroule sous la douche quand, dans un grand rugissement, le vieux Jack empale ma petite Helen d’un seul coup de reins. Il se met à la pilonner violemment contre le mur, la tenant par ses fines hanches, et je suis intriguée par quelque chose, sans pouvoir mettre le doigt dessus, jusqu’à enfin comprendre ce que c’est : si fort qu’il la lime, si durs que soient ses coups de boutoir, Helen garde le silence le plus absolu et tourne vers le vieux Jack un masque absolument neutre. En fait, elle a presque l’air de s’ennuyer, alors que la connaissant, je sais qu’elle aime bien trop avoir le membre d’un homme en elle pour s’ennuyer dans un moment pareil. Je me rappelle alors qu’il s’agit d’une autre de ses leçons : quand on fait l’amour à un homme, on peut lui donner satisfaction en gémissant bien gentiment sous ses efforts et en criant quand on en lit le besoin dans ses yeux, ou on peut jouer la carte de l’indifférence absolue. Dans ce cas, il ne comprendra pas pourquoi on ne réagit pas, s’énervera et partira dans une surenchère de râles bestiaux et de coups de reins, perdant alors tout contrôle et toute dignité. Helen, mon Helen… tu es une vraie petite garce !


C’est aussi ce que semble penser le vieux Jack, qui semble enfin avoir retrouvé l’usage de la parole :



Air suprêmement blasé de ma camarade de chambrée.



On pourrait parler des relations internationales du Nicaragua à Helen qu’elle n’aurait pas l’air moins concernée.

Le concierge tombe enfin dans le piège, donnant des coups de bassin de taureau entre les cuisses de ma petite Helen. Il grogne, puis couine de façon grotesque, tandis qu’il continue à l’assaillir de plus en plus fort. Enfin, d’une pulsion en arrière, il s’arrache à elle et lui répand son jus blanchâtre sur les fesses.



Et le vieux Jack, l’air totalement perdu, commence à s’en aller. Il nous passe devant, à Warren et moi, mais il est tellement à côté de ses pompes qu’il traverse l’allée sans nous voir et se prend la porte en sortant. Il a même oublié de se rhabiller avant de partir ! Quand on entend finalement claquer la porte du bâtiment, nous nous écroulons de rire à nouveau.

Helen, après avoir nettoyé ses fesses du sperme du concierge pervers, nous rejoint avec un large sourire.



Pour ma part, je tiens à la féliciter pour la façon dont elle a mené le vieux Jack en bateau :



Hilarité générale, moins un, Drake partant bouder dans son coin.



Et nous quittons tous les vestiaires pour aller à la cafétéria. La pluie diluvienne s’est changée en bruine entre-temps, toujours désagréable mais au moins plus facile à traverser. Et alors que nous courons entre les gouttes, Myriam me glisse :



Et nous rions, nous rions, à en pleurer sous la pluie d’automne. Ah, ma toute belle, que j’aime ces instants simples passés avec toi !



La bruine a finalement cédé la place à un soleil timide et frisquet, mais au moins, on peut sortir sans être trempé. Hormis Warren et Helen, qui avaient leurs propres cours à suivre, nous sommes restés tous les quatre, avec Myriam, Drake et Shane, unis face aux cours qui nous sont prodigués et à l’infini ennui qu’ils entraînent. Maintenant, je sais ce que Helen avait en tête pour garder son indifférence alors que l’autre dégoûtant lui pilonnait les fesses ; rien qu’en repensant à ces trois dernières heures, j’ai l’impression que plus jamais un sourire ne fleurira sur mon visage. Quelle libération que la fin des cours ! Et alors que nous retournons au vestiaire des pom-pom girls, nous savons que cela ne fait que commencer…


De retour dans les douches, nous attendons tranquillement l’arrivée de nos deux derniers compères. Enfin, tranquillement, au début du moins… nous sommes jeunes, nous sommes beaux, nous sentons bon le sable chaud, comment pourrions-nous nous asseoir en rond et faire une belote ? Cela faisait à peine cinq minutes que nous avions pris place, et déjà les garçons étaient à genoux, promenant leurs langues le long de nos cuisses écartées tandis que Myriam et moi nous embrassions à pleine bouche. Et maintenant c’est sur ses jolis seins que se posent mes lèvres, happant ses petits tétons et les titillant du bout de ma langue pour les faire pointer. Pendant ce temps, la langue de Drake écarte mes lèvres et semble vouloir s’engouffrer toujours plus loin en moi, me faisant mouiller et fondre littéralement. Le bougre n’est peut-être pas très malin, ni très délicat, mais je dois lui rendre ça : il sait y faire avec les dames ! D’ailleurs je ne peux m’empêcher de plaquer ma main sur sa tête pour l’obliger à continuer son œuvre, tout comme ma toute belle qui voit l’énorme langue de Shane s’insinuer en elle. Ils sont si doux, si doués, tous les deux !


Soudain, Drake s’arrache à mon entrejambe en feu et, débouclant sa ceinture, il libère sa grande virilité pour me la coller sous le nez. Bon, le message est clair… et il a été si efficace avec sa bouche, je peux bien lui rendre la pareille ! J’ouvre grand mes mâchoires et l’accueille contre ma petite langue. Il s’enfonce sans ménagement, vient heurter mon palais puis cherche à atteindre ma gorge, sans même me laisser prendre les choses en mains. Je retire ce que j’ai dit : il sait y faire avec les dames le temps d’obtenir ce qu’il veut d’elles. Et moi, je sais y faire avec les hommes, à condition qu’ils s’en montrent dignes !



Eh bien, non, je n’en ai plus envie, na. Qu’il aille se tripoter dans son coin, comme le concierge. Et c’est ce moment que deux silhouettes choisissent pour sortir de l’ombre :



Soit ! Après tout, avant qu’il réussisse à épuiser ou heurter Helen, il a de la marge. Myriam s’adjuge Warren, qu’elle n’a pas encore eu l’occasion d’essayer, et je récupère donc Shane, dont j’ai pu goûter le puissant organe avec ma bouche mais que je n’ai pas encore tâté entre mes reins. Mais avant cela, j’ai envie de m’amuser un peu avec lui… J’attrape une bouteille d’huile de massage qu’on a trouvée rangée avec les savons, et j’en arrose généreusement mes seins, palpant et massant pour bien la répartir sur toute ma poitrine. Puis j’agrippe le sexe dressé de Shane et l’attire à moi, d’abord en passant ma langue sur le bout enflé qu’il me présente, ensuite en glissant la grande hampe entre mes gros globes mammaires. Grâce à l’huile, il coulisse sans problème entre mes seins, que je serre au maximum pour masser efficacement le sexe de Shane. Et on dirait que ça lui fait de l’effet, vu sa face réjouie ! Je le regarde droit dans les yeux, le vert de mes prunelles dans le noir des siennes et, pour parfaire le tableau, je passe ma langue sur mes lèvres pour lui faire perdre tous ses moyens. Cela marche à merveille, puisqu’il se met à donner de grands coups de reins sur ma poitrine, son gland venant taper ma gorge à chaque allée et venue. J’ai peur qu’il ne tarde pas à perdre le contrôle et à lâcher sa semence trop tôt comme la dernière fois, alors je le retire de mes seins et l’invite à s’allonger sur le banc près de moi. Seul son mât reste fièrement dressé à la verticale, et je le guide du bout des doigts contre mon intimité trempée alors que je le chevauche, pour m’y enfoncer jusqu’à sa base.


Quelle explosion de sensations ! Je le sens emplir mon ventre, distendre mes parois intimes, et buter au fond de mon antre… jamais je n’avais accueilli une queue pareille entre mes cuisses ! Je me mets à aller et venir doucement au-dessus de lui, tendrement, me laissant envahir par son membre et la douce chaleur qu’il répand en moi. Shane me pétrit les hanches, mais me laisse maîtresse du rythme, se contentant de donner de légers coups de reins pour accentuer sa pénétration. Je cambre mes reins pour me jeter en arrière, et je vois derrière moi Myriam embarquée dans un soixante-neuf avec Warren sur le banc voisin tandis que Drake grogne, profondément enfoncé dans Helen, à qui il fait l’amour contre le mur. Le dos appuyé sur la paroi de la douche, celle-ci me lance un regard sulfureux alors que je reviens à mon bel amant. Son membre semble se raidir encore davantage, et je dois me hisser sur mes cuisses pour pouvoir coulisser dessus. Alors que je continue mes va-et-vient, je glisse une main entre mes cuisses pour titiller mon petit bouton tandis que de l’autre, je m’occupe de ma poitrine encore huileuse ; Shane quant à lui, me palpe tendrement les fesses et les reins, et me lance un regard passionné alors qu’il commence à donner des coups de bassin plus prononcés. Je ne me rends plus bien compte, mais je suis à peu près sûre qu’il y a la même fièvre dans les yeux que je pointe sur lui…


Soudain, je sens une étrange sensation me titiller, comme si l’on voulait – à nouveau ! – forcer mon anus. M’attendant à trouver Warren ou Drake la main dans le sac et dans mes fesses, je me tords le cou pour apercevoir en réalité Helen, un petit sourire sadique aux lèvres, en train de glisser un doigt contre mon petit trou. Elle ne s’occupe plus de Drake, elle ? Je me tourne de l’autre côté pour le trouver, membre à la main, en train de se caresser alors qu’un second doigt vient rejoindre le premier entre mes fesses. Shane a compris leur manège, et il a ralenti son allure pour me laisser le temps de m’habituer à cette nouvelle pénétration. Mais c’est qu’elle me fait mal, Helen, avec ses longs ongles pointus ! Un troisième doigt arrive, plus épais et large ; celui de Drake, je présume. C’est maintenant un ballet digital qui a lieu contre mon œillet, et je lance :



Mes seins frottent maintenant contre les pectoraux musclés du bel athlète d’ébène, et sa langue vient danser avec la mienne au fond de ma bouche. Mais alors que les doigts ont quitté mon fondement, je sens le gland de Drake appuyer contre mon orifice distendu et s’enfoncer dans mes entrailles avec une certaine brutalité. Il m’arrache un cri alors qu’il me pénètre jusqu’à la garde, et passe ses bras autour des miens pour m’enserrer contre lui. Ce sont maintenant deux puissantes queues qui vont et viennent en moi, coulissant entre mes cuisses et mes fesses sans discontinuer. Je les sens se frôler en moi, alors que mes entrailles se plient à la volonté de ces deux conquérantes. Oh mon Dieu… que c’est bon ! Que j’aime ce qu’ils sont en train de me faire ! Et juste à côté, Helen se masturbe du bout des doigts, contemplant de tous ses yeux sa blondinette adorée gémir sous les coups de reins des deux étalons qui me possèdent en râlant de plus en plus fort.


Leurs virilités me fouaillent mes deux tunnels intimes avec une fougue et une passion croissantes ; ma langue se bat contre celle de Shane, et celle de Drake explore ma nuque. Tous deux me pilonnent littéralement le bas-ventre, et un orgasme ravageur ne tarde pas à briser ma volonté et ma résistance. Je crie sous leurs assauts, mais mes deux taureaux semblent retenir encore leur semence plutôt que de la lâcher en moi. Quand je m’arrête enfin de remuer, ils ralentissent eux aussi la cadence, et Drake s’extirpe de mes entrailles avant de partir se rincer en vitesse, tandis que Shane m’invite à me relever. J’abandonne à regret son puissant membre, et vais rejoindre Helen. Derrière, ma toute belle qui hurlait sous les coups de bassin de Warren qui la prenait en missionnaire a aussi été libérée, et elle vient compléter notre trio. Elle demande :



Que faire, hormis obtempérer ? Nous nous agenouillons donc en rang d’oignons, épaules contre épaules, dans les douches communes. Je ne résiste pas à la tentation de goûter une fois encore l’épiderme couvert de sueur de ma toute belle, mais Helen nous interrompt, réprobatrice. Les garçons nous rejoignent alors et se plantent devant nous, Shane faisant face à Myriam, Warren devant Helen et Drake promenant une fois encore sa virilité sous mes yeux.



Les trois hommes se masturbent frénétiquement, leurs engins luisant de nos sécrétions glissant entre leurs doigts. Nous essayons de happer les glands quand ils nous passent devant, mais ils s’amusent à s’esquiver au dernier moment. Ils se tripotent le dard de plus en plus fort, et je peux voir leurs organes enfler et atteindre les spasmes ultimes : leur jouissance est proche ! Et en effet, de longues giclées blanches jaillissent bientôt des trois membres et viennent s’écraser sur nos visages. Helen semble savourer cette semence qui recouvre son visage et elle ouvre grand la bouche pour inviter nos mecs à la lui remplir. Myriam et moi, on est plus mesurée. Ma toute belle ne sait plus vraiment où se mettre, et moi-même, je sens les jets heurter mon visage et ma gorge – de l’extérieur, pour une fois – sans vraiment comprendre ce que peut bien y trouver ma copine de chambrée. C’est rigolo, ok, mais je préfère partager l’orgasme de mon partenaire en accueillant sa jouissance en moi. Au moment où Helen se penche sur moi pour laper mon visage couvert de sperme, je lui glisse à l’oreille :



Ayant fini de se sécher, c’est-à-dire de récupérer avec ses doigts et sa langue tout le jus qu’elle avait sur elle, elle se relève et va voir les garçons, qui se sont assis comme une belle brochette de beaufs sur le banc un peu plus loin. Sans la moindre gêne – mais comment en avoir encore après ce qui vient de se passer ? – elle s’assoit sur les genoux de Drake et prend sa tête dans ses mains. Puis elle lui susurre :



Elle nous lance un clin d’œil et continue :



Sans même lui laisser le temps de répondre, Helen commence à se rhabiller et jette ses vêtements à sa victime qui, l’air d’un zombie, les enfile et la suit sans discuter. Au moment où les deux s’engouffrent dans le couloir, Helen se retourne vers nous et dessine silencieusement sur ses lèvres les mots « Trop facile ! ».


Myriam se penche alors vers moi et me fait :



Et une fois de plus, nous mêlons nos lèvres, effaçant les dernières traces de semence qui les maculaient. Oh, ma toute belle, je sais que je me répète, mais si tu savais combien je t’aime !


Sans dire un mot, Shane et Warren se lèvent et se rhabillent eux aussi, en faisant de leur mieux pour ne pas déranger notre étreinte. Leur dernière action est d’ouvrir à fond les robinets de la douche avant de nous abandonner là toutes les deux, nues, sous le jet d’eau chaude qui finit de laver notre peau et nos cheveux, toujours tendrement enlacées, soudées l’une à l’autre, comme si plus rien ne devait nous séparer pour l’éternité.




### à suivre ###