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n° 15394Fiche technique40304 caractères40304
Temps de lecture estimé : 23 mn
12/01/13
corrigé 01/06/21
Résumé:  Marylène et Christophe ont redécouvert le plaisir en écoutant au téléphone le récit coquin de Vanessa qui leur a décrit les jeux d'un groupe en club libertin. Si elle retrouve son journal... celui-ci risque bien de l'émoustiller et lui donner des idées...
Critères:  f fh couple amour voir exhib miroir noculotte fmast cunnilingu fgode fsodo jouet jeu attache exercice portrait -couple
Auteur : Cheminamants  (Les pensées nous mènent, là où nos pas imaginent un chemin.)      Envoi mini-message

Série : Envie d'envies

Chapitre 04 / 06
Marylène se réveille !

Envie d’envies - 4




Résumé : C’est une fiction, où j’ai imaginé le cheminement d’un couple de quinquas qui participe à une thérapie de groupe. Les pensées se libèrent, les envies montent crescendo, et des plaisirs de plus en plus grands retrouvent vie d’épisode en épisode.

Première partie : Marylène et Christophe, bien décidés à retrouver la petite étincelle de désir et leur amour, assistent à leur premier cours.

Deuxième partie : Nos quinquas font la connaissance de Vanessa et de Grégory, un jeune couple qui s’exhibe dans l’escalier juste avant le deuxième cours.

Troisième partie : Marylène et Christophe se sont abandonnés à la redécouverte du plaisir en écoutant au téléphone le récit coquin de Vanessa qui leur a décrit les jeux d’un groupe en club libertin. La jeune femme a expliqué aux quinquas l’aide qu’elle attend d’eux.









Marylène se réveille !



Super ! J’ai enfin retrouvé mon recueil de pensées au fond de ma commode. Il était sous une pile de petite lingerie et, maintenant que je l’ai dans les mains, je vais pouvoir revivre mon passé pour me libérer de ce qui me bloque aujourd’hui. Je pense que Christophe va être heureux de voir que sa Marylène chérie se réveille.



Je l’agite au-dessus de ma tête et je regarde Christophe d’un air triomphal. Il est tranquillement allongé, bien calé dans le canapé avec le coussin au camélia derrière sa tête.



Tout en parlant, Christophe s’est mis assis sur le canapé, nettement mieux réveillé que tout à l’heure. Il est temps que je l’émoustille un peu, car moi, je me sens en pleine forme, même légèrement excitée.





—oooOooo—




Je m’installe dans le fauteuil et j’ouvre mon journal. J’imagine alors à quel point Vanessa sera surprise lorsque je lui en parlerai au prochain cours. Dès la première page, des détails précis refont surface :



« Ensuite je suis allée poser devant l’entrée de la petite salle avec l’arcade en fer forgé et j’ai été ravie de les revoir tous les trois, un peu plus tard, quand ils sont venus s’acoquiner sous mes yeux. Quel trio ! J’étais excitée ! Eux étaient littéralement sulfureux et se sont rassasiés de plaisirs intenses en assouvissant leurs fantasmes. Le moins que je puisse dire, c’est qu’ils ne manquaient pas d’idées ! C’était étonnant de voir qu’ils satisfaisaient leurs besoins comme s’ils étaient dans l’urgence. Ils se couvraient de caresses et sortaient des mots crus avec une certaine brusquerie. C’était incroyable !

« Plus ils échauffaient leurs esprits et leurs corps, plus ils faisaient d’acrobaties sulfureuses à me donner le tournis, comme en transe, cambrés sous le plaisir et gémissant sans retenue. Quand je voyais leurs bouches avides se partager les chattes dégoulinantes ainsi que les petits culs des deux femmes, j’avais envie… mais de quoi ? Pas facile à dire car je n’arrivais pas à définir ce que je ressentais au plus profond de moi. Elles offraient toutes leurs ouvertures pour recevoir tour à tour la verge dressée et insatiable du vigoureux bel homme qui passait de l’une à l’autre pour revenir à la première en se retenant d’éjaculer. C’était… Wouhaouuu !





—oooOooo—




Je me lève alors du fauteuil et pose mon recueil de souvenirs sur la table basse du salon, puis je me plante debout à un bon mètre de Christophe, les jambes légèrement écartées pour contrôler avec un doigt l’état du tissu.



L’envie me prend à ce moment de faire une petite démo d’ondulations lascives, juste pour montrer à mon mari que je sais encore jouer de mes charmes et le convaincre de dire oui.

Je me mets à bouger sensuellement mon bassin et balance mes belles rondeurs à chaque fois que je plie ma taille un peu à la manière orientale des danseuses du ventre. Puis je lui susurre :



Il l’attrape à la volée et la renifle littéralement en faisant des « uhmmmm… » à n’en plus finir !



Il part sans lâcher ma petite culotte.




—oooOooo—




À ce moment, je sais que la soirée promet d’être délicieusement polissonne et que Christophe est heureux de me retrouver telle qu’il m’a connue : pétillante comme le sont les bulles de champagne. Mais aux promesses d’ivresse à boire jusqu’à la lie, je préfère me comparer à la lumière explosive d’un volcan jamais éteint mais seulement endormi.


Et je me réveille enfin !


Quand il revient, il pose les ciseaux sur la table basse et se réinstalle sur le canapé. Je le vois encore plus fébrile et il commence par poser ma culotte sur le coin du canapé pour enlever son pull fin, puis retrousse les manches longues de son tee-shirt avant de me proposer :



Je m’éclipse quelques minutes dans notre chambre, puis je vais dans la salle de bain, ensuite dans le bureau afin d’écrire mon souhait avant de revenir dans le salon.




—oooOooo—




J’entre pieds nus dans la petite pièce et je pose le grand miroir à côté de la porte. J’ai remplacé ma jupe par une étole légère, orange et chatoyante accrochée sur le côté de ma hanche juste en-dessous de ma taille et j’ai mis mon soutien-gorge coordonné que je porte quand je me lâche sur les danses orientales.



Je me mets à danser, sans musique pour l’instant, et mon soutien-gorge recouvert de paillettes brille de tous feux. Il a une frange faite de perles et de petits médaillons fins et légers en acier doré qui font des petits « gling-gling » à chaque mouvement y sont accrochés. Je secoue mes nénés ainsi parés en m’approchant de mon Christophe subjugué. J’ondule des hanches et je fais danser mes mains avec sensualité.



Christophe fait passer son tee-shirt par-dessus la tête et me tend les bras :



Je réponds dans un souffle :



Puis, d’un pas de danse léger, les épaules secouées en saccades souples, ma poitrine cachée sous les paillettes avec la frange qui se balance en cliquetis agréablement musicaux, je me dirige vers le meuble de la télé où se trouve la minichaîne stéréo.



—oooOooo—




Je m’immobilise quelques secondes en le regardant et hop ! un petit roulé d’épaule aguicheur, puis je me penche en gardant les jambes bien droites pour que l’étole ainsi relevée au niveau de mes reins laisse entrevoir que je n’ai pas remis de culotte. Le tissu est à peine transparent !


Je me demande bien combien de temps il tiendra, mon cher mari ; mais l’idée ne lui vient pas de venir me prendre par-derrière, même si je lui présente au mieux ma croupe prête à servir ! Cette idée m’excite, mais je continue mon jeu.


J’installe le CD qui lance alors ses notes orientales et voluptueuses dans tout le salon puis je me retourne pour faire face à mon mari, heureuse de lui avoir redonné la place unique que mon cœur peut offrir.



Sa respiration devient plus profonde, plus intense et il frotte avec insistante son sexe à travers le pantalon.

Biennnn… je sens qu’il se prépare !




—oooOooo—




Je me dirige vers l’entrée et je reprends le miroir, puis je colle mon dos contre la porte et je me frotte à elle de manière érotique en suivant la musique. J’ondule en regardant dans le miroir le reflet de mon entrejambe, de mes cuisses et de mes fesses qui caressent le bois peint. Je suis dans le plaisir, lascive, alanguie et suggestive.


Au lieu de défaire seulement sa braguette et de se caresser le sexe, il pourrait bien venir me plaquer contre la porte et s’enfoncer dans ma chatte, car elle commence sérieusement à me démanger ! Mais puisque j’ai de belles idées pour la suite des réjouissances, plutôt que de l’appeler pour qu’il me prenne, je continue à me satisfaire au mieux avec la porte, ma main et le miroir.


Et là, je pense aussi que c’est bien dommage que la petite poignée ovale ne soit pas à la bonne hauteur, sinon j’aurais sûrement aimé me masturber avec. D’abord en la coinçant entre mes fesses puis, en me retournant, la même délicieuse petite chose saurait bien… uhmmmmmm… régaler mon clito en se frottant à lui bien au chaud entre mes lèvres trempées. Si en plus à ce moment ma petite rondelle pouvait recevoir un doigt, ce serait Byzance ou Versailles ! Je souris car ce serait surtout… Christophe !



—oooOooo—




Miracle ! Mon vœu est exaucé ! Enfin, pas celui avec la poignée de porte, mais mon chéri s’est levé, sûrement grâce à l’attraction suggérée par sa queue.



Il enlève son pantalon, se déchausse et fait valdinguer ses chaussettes sans que je le lui demande ; et là, ça mérite que je le souligne :



Il me rejoint en riant de bon cœur, me retire le miroir de la main et le pose au sol en l’adossant au mur tout à côté. Puis il se colle à moi et m’embrasse passionnément en soulevant mon étole d’une main pour mettre rapidement une jambe entre les miennes et me permettre d’appuyer ma vulve sur sa cuisse. Wouaaaah, ce n’est pas mal du tout, et j’en profite longtemps ; mais il faudra un jour que j’essaye… en démontant la poignée…


D’ailleurs, pourquoi attendre ? J’appuie sur sa jambe pour qu’il me laisse pivoter dans ses bras et je me retourne ; puis, pendant qu’il m’embrasse la nuque et les épaules, je fais sauter avec l’ongle le petit clou qui la retient et, enfin déboîtée, la tentatrice est dans ma main. Je lui montre mon gode improvisé en lui disant :



Enfin ! Il m’attrape par les hanches et me retourne comme un rien, puis il agrippe ma crinière et me penche en avant, retrousse jusqu’à ma taille mon étole et s’exclame :



Je n’en dis pas plus…




—oooOooo—




Penchée en avant, Christophe m’écarte les jambes et prend ma mouille pour lubrifier ma rondelle. Je suis très excitée, impatiente qu’il me prenne. Quelques petits titillements suffisent pour que je sois prête. Je jubile ; mon plaisir monte au moment où il plante son doigt en moi, tout de go, puis il frictionne l’intérieur de mon puits intime avec ardeur !


La poignée, quant à elle, s’est chauffée dans ma main et je la glisse délicatement entre mes lèvres.


Pas besoin de dire à quel point les caresses sur mon petit bouton et celles de mon mari sont jouissives : il suffit de m’entendre gémir et soupirer d’extase en petite chatte comblée et me voir me cambrer et me tordre de plaisir pour le comprendre. Puis la cadence s’accélère, rendant les petits « gling-gling » de mon soutien-gorge encore plus sonores, au point de couvrir la musique orientale.



Personne ne peut dire mieux que moi ce que je ressens à l’instant ou sa verge tendue s’enfonce dans mes entrailles pendant que je continue à frotter la poignée contre mon abricot, non personne ! C’est comme si je revivais après m’être endormie, et pas besoin de préciser à quel point je suis bien réveillée ! Je vibre de tout mon corps et je suis encore plus attisée quand j’entends :



Il redouble d’ardeur, et à chaque coup de boutoir je me dis qu’il m’aime !

Le fond de ma grotte reçoit le bout de son gland qui perle de plaisir : je me dis qu’il m’aime à fond !

Il veut m’empaler encore plus loin : je me dis qu’il m’aime encore plus !

Il écrase ses bourses contre mes fesses pour repousser mes parois : je me dis qu’il m’aime partout pour toujours !


Bien sûr, il me désire aussi : ça, c’est une évidence ; mais je me dis surtout qu’il m’aime, sinon il ne serait pas en moi, même pas pour prendre son plaisir s’il n’y avait pas de sentiments qui nous unissent autant qu’on le fait de manière charnelle. Je m’enflamme ! Heureuse de mon bonheur et je sens monter, monter le feu qui m’envahit tout entière comme la lave qui escalade les parois sans que rien ne puisse la retenir et qui explose !



Je lâche la poignée et mes muscles m’abandonnent ; je vacille un peu puis je me retrouve dans le salon, appuyée à la porte. Christophe se retire et me soutient en m’attrapant par la taille.


Fulgurant ! Hors du temps et de l’espace pendant un bien long moment, j’ai été transportée vers… rien du tout, absolument indéfinissable mais incroyablement bon !




—oooOooo—




Christophe me prend dans ses bras et retourne m’allonger sur le canapé. Je me mets à rire quand mon visage se retrouve à côté de ma culotte, la petite oubliée qui a attendu sagement qu’on vienne s’occuper d’elle ! Je me relève, ayant retrouvé toute mon énergie, puis je prends les ciseaux qui sont posés sur la table basse et je fais un nœud autour avec la jolie dentelle.



C’est le moment idéal pour retourner chercher la glace.

Je la place entre ses mains et, pendant un instant, nous la tenons tous les deux. Je regarde dans le miroir le reflet de nos quatre mains qui se frôlent ; mais je le vois, surtout lui, mon homme, et je me régale de découvrir ainsi son visage qui passe par de multiples expressions balançant entre étonnement, surprise, curiosité et impatience. Puis, quand je découvre dans ses yeux une profonde reconnaissance mêlée de fierté, je suis touchée, vraiment touchée. Le miroir se brouille alors à cause d’une larme que j’ai laissée tomber sans m’en rendre compte. J’enlève mes mains et j’essuie la glace avec un coin de mon étole ; mais je garde imprégnée en moi la sensation d’intense émotion qui m’apporte un bien-être absolu, si rare et si précieux.




—oooOooo—




Émue au possible, je ne perds toutefois à aucun moment le but de mon jeu érotique et je recule d’un tout petit pas jusqu’à ce que l’arrière de mon genou touche la table basse au plateau de verre épais et biseauté.



J’enlève les ciseaux attachés avec ma culotte et les place sur l’étagère, sous le plateau de verre. Lorsque la musique aux notes exotiques reprend, je fais pivoter mes jambes. Je me retrouve tout entière sur le plateau en verre puis je danse, me contorsionne, me déhanche et me cambre en appui sur mes mains comme si j’allais au-devant de doigts invisibles caressant sans relâche mes seins à travers le soutien-gorge. Oui, l’imaginaire fait des miracles et je m’abandonne à l’irréel.



À peine sa phrase finie qu’il est là, à côté de moi sous la lumière du lustre qui fait briller mes paillettes et les petits médaillons dorés qui se balancent en rythme sur le haut de mon ventre. Il me caresse les jambes, les cuisses… Il est temps d’aller plus loin dans l’offrande et le partage des plaisirs, alors je demande à Christophe qui n’a pas détaché ses yeux de moi, comme hypnotisé :



Il place la grande glace de manière stratégique et me laisse la liberté totale de m’exprimer avec mon corps pour exalter ma passion. Il est enthousiaste et se penche pour découvrir le dessous de mon corps comme il ne l’a encore jamais fait.


J’écarte mes fesses des deux mains, puis je les écrase sur la vitre. Il regarde le reflet de mon anus complètement ouvert. Je bouge pour faire danser ma petite rondelle ; il exulte, fou de plaisir, fou de bonheur et fou d’amour :



J’ai envie de me lâcher comme jamais je ne l’ai fait.

Il y a la musique et ma danse pour un seul mot qui m’envahit : Amour !

Et je danse et je danse…


Amour, celui que j’ai cherché, eu, puis perdu et retrouvé.

Celui « pour » Christophe et celui « de » Christophe.

Et je danse et je danse !


Amour qui éloigne de plus en plus ma tristesse à chaque mouvement !

Et je n’en finis pas de danser sur la musique orientale.

Amour ! qui me fait devenir Shéhérazade, captivante conteuse, et je parle avec mon corps.


Puis je me fais Amazone en me mettant à genoux, en écartant mes cuisses et en balançant en musique ma croupe d’avant en arrière, comme pour une chevauchée fantastique. Et je laisse à ma mouille le droit de perler sur la table pour que Christophe regarde apparaître sur le miroir mon plaisir qui coule.



Excité, il vient récupérer ma goutte du doigt, l’avale et s’active encore plus sur son membre turgescent rougi par les frottements de sa main.

Je bascule ma tête en arrière et je deviens Aphrodite, déesse d’amour et de tendresse à la quête d’un baiser dans le cou que je lui réclame en posant un doigt dessus :



Il vient m’embrasser et passer sa langue sur mon cou. J’adore ! Il sait bien me faire vibrer, mon coquin de mari.



Je m’allonge sur la table basse avec mes jambes resserrées et repliées pour qu’elles prennent appui sur le plateau de verre. Puis j’attrape les ciseaux retenus par ma culotte, je les lui tends et d’une voix… indéfinissable :



Je serre mes poignets l’un contre l’autre au-dessus de ma tête, mes yeux dans les siens.



Il cisaille la dentelle sur les deux côtés et place le fond qui a reçu ma première coulée de cyprine entre mes poignets, puis les tours de cuisses séparées en deux par les ciseaux lui permettent de lier mes mains.



Solennellement, d’un coup de ciseaux, le soutien-gorge s’ouvre en deux entre mes seins. Avec délicatesse, il s’applique ensuite à couper les bretelles en haut de mes épaules. Quelques secondes plus tard, le nœud qui retient mon étole sur mes hanches est défait et les bords du tissu tombent en recouvrant la table basse.



Là, il les fait à la Marylène, ses petits jeux de mots et ça me fait sourire car, pour appuyer ses paroles, il a attendu de me délivrer du reste de mon soutien-gorge et de tendre entre ses mains les liens improvisés.



Le jeu est tout à fait agréable, et de me sentir ainsi pieds et poings liés me donne très envie de faire l’amour. Je ferme les yeux et je m’abandonne sous le regard de mon mari.


Sa main parcourt mon ventre, mes seins, mes bras en effleurements plein de tendresse, puis il embrasse ma poitrine et gobe littéralement mes tétons.



À présent il les dévore, les tète goulûment et je gémis. C’est banal, mais quand j’ai du plaisir, je ne sais faire que ça : être sonore, même très sonore, bruyante à faire des vocalises agréablement mélodieuses ; et comme mon homme apprécie, je n’ai aucune gêne à me laisser aller spontanément. Mais ce n’est pas encore le moment, puisqu’il a quelque chose à faire avant :



Christophe m’observe un bref instant et, en me voyant rougir, il comprend.



Il admire mes formes rondes et harmonieusement pulpeuses puis, une main sur chaque genou, il écarte mes cuisses. Je le sens avide et impatient à présent. Il plonge sa tête dans mon entrejambe et me mordille, me goûte, me lape, me lèche. Plus il dévore ma vulve et mes lèvres, plus je gémis. Mon antre s’ouvre pour accueillir sa langue et lui offrir mes liqueurs. Quand il sent que je suis offerte, au lieu de sa verge je reçois deux doigts qui plongent en moi pour aller chercher ma feuille de souhait. Il est surpris quand il ressort de mon vagin une fine éprouvette en plastique soigneusement fermée.


Il dévisse le bouchon, découvre la feuille pliée et roulée qui remplissait le tube. Il l’ouvre et lit. Puis il éclate de rire en découvrant…



Christophe me tend la feuille que j’avais remplie ainsi :



Nous retournerons dans ce club libertin

où nous nous sommes connus

pour notre première expérience.

Tu chercheras sur un site libertin :

1)……………………………..

2)……………………………..

3)……………………………..

pour nous y accompagner.


°°°°°°

Nous retournerons aussi dans ce parc

où nous avons fait l’amour la première fois.

Pour fêter cet événement, tu lanceras un appel ici :

1) ……………………………..

2) ……………………………..

3) ……………………………..

pour trouver des couples ayant vécu la même chose

et qui viendront nous y rejoindre.

Nous contacterons nos premiers amours pour savoir s’ils viendraient.

Cherchons à savoir si nos collègues pourraient être tentés.



Je ne peux que lui répondre :



Christophe m’embrasse avec passion puis, en me laissant attachée, il me prend dans ses bras. Sur le canapé où il m’a déposée, bien accrochée au dossier, je lui présente ma croupe : cette fois-ci, il ira jusqu’au bout !


L’étole qui recouvre le plateau de verre de la table basse a caché le miroir et plus rien ne peut refléter les heures de bonheur que nous partageons à faire l’amour.