n° 15621 | Fiche technique | 24949 caractères | 24949Temps de lecture estimé : 18 mn | 28/05/13 |
Résumé: Rencontre discrètement planifiée avec le collègue de ma puce. Cette fois, elle voulut garder l'esprit clair pour s'offrir elle-même du bon temps avec nous sans savoir qu'un voyeur... | ||||
Critères: fhh couple couplus extracon cocus collègues caférestau amour cérébral voir exhib fellation cunnilingu confession -couple+h | ||||
Auteur : 1bichon (homme aimant les femmes et le triolisme) Envoi mini-message |
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Résumé de l’épisode précédent : L’envie de voir ma puce se donner à son collègue m’a conduit à l’exhiber progressivement en nous la partageant durant plusieurs slows, avant de donner l’occasion à Damien de se coller à elle et se joindre à nous pour la nuit.
Lorsqu’un soir, deux semaines après ma rencontre avec Damien, j’ai évoqué sa présence en faisant l’amour avec Véro, celle-ci me dit qu’elle me voyait venir. Cette phrase m’incita à lui remémorer notre soirée, et rien qu’en la revivant ensemble oralement, cela nous fit jouir tous les deux, deux fois en restant dans la position du missionnaire.
Devant un tel enchantement, le lendemain, je me permis d’appeler Damien sur le numéro de portable qu’il m’avait laissé en douce pour lui suggérer de nous voir le week-end suivant. Il acquiesça et me proposa de venir dîner chez lui mais, pour ne pas risquer de tout compromette en précipitant les choses, je lui ai rétorqué que je préférerais un lieu neutre d’abord. Il le comprit puisqu’il me proposa une crêperie proche de chez lui, en précisant pour la forme : « En compagnie de Véronique, bien entendu ! ».
Je lui ai bien entendu demandé de garder le secret au cas où ils se croiseraient au travail et l’ai informé que je ferai de mon mieux pour que ma puce lui cède de nouveau. Voyant tout le bénéfice qu’il pouvait tirer de la situation, il s’empressa d’accepter ma proposition, me parla du plaisir qu’il avait eu à baiser ma moitié en ma compagnie et de son corps qu’il rêvait de dénuder à nouveau avant de la faire jouir en ma compagnie. Cette évocation m’amena à lui dire que j’en bandais déjà, ce qui était faux. J’espérais qu’elle serait partante pour renouveler une telle expérience, même si je savais qu’avec un peu de persuasion, vu qu’elle m’était je reconnais un peu soumise, cela ne devrait pas trop poser de problèmes.
Les deux jours précédant notre rendez-vous, je fus tout excité. Je me gardai bien de le montrer à mon amour pour ne pas risquer de vendre la mèche et je ne lui fis pas l’amour pour la laisser en manque…
Le jour J, je l’ai informée que j’avais eu vent d’une nouvelle crêperie à dix kilomètres de chez nous, qui apparemment méritait le détour avant de lui proposer de la tester. Gourmande de spécialités bretonnes, elle accepta mon invitation sans poser de question.
Nous étions en été, il faisait bon ; ma puce était en jupe et chemisier clairs depuis le matin. Je me réjouissais d’une telle tenue.
Nous prîmes la route, et intérieurement je me dis que si elle reconnaissait le chemin, c’est qu’elle s’était déjà rendue dans mon dos chez Damien. Son mutisme me rassura et nous nous garâmes à deux rues sans qu’elle n’évoque son amant d’une nuit.
Arrivés au coin de la rue, elle comprit que j’avais comploté dans son dos en voyant ce dernier devant la porte du restaurant. Elle me regarda et voyant Damien venir vers nous en me tendant la main, et n’eut d’autre choix que de lui faire la bise en disant :
Nous entrâmes à sa suite dans l’établissement et découvrîmes une salle voûtée en pierre du plus bel effet. Aussitôt, une demoiselle que j’aurais volontiers croquée vint vers nous et nous entraîna vers une table au fond de la salle. Ma puce prit place sur une chaise dos au mur, tandis que je m’assis aux côtés de Damien pour pouvoir croiser le regard de Véro durant le repas. Effectivement, les crêpes ou galettes étaient délicieuses, le cadre et la serveuse sympathiques. Nous parlâmes cinéma et loisirs durant le repas pour ne pas brusquer les choses.
Lorsque Damien s’empara de la bouteille de cidre pour la resservir, Véronique rétorqua à ma grande surprise :
Qu’entendait-elle par là ? Avait-elle deviné la suite que nous envisagions, ou au contraire refusait-elle toute ivresse relative pour pouvoir se refuser ?
Qu’importe : elle avait abordé le sujet, ce qui permit à Damien de rebondir en lui demandant si elle regrettait cet écart.
La serveuse la sauva en se présentant avec l’addition. Celle-ci fut aussitôt prise par Damien qui annonça :
Malgré mes protestations, nous nous étions mis d’accord auparavant. Il insista, ce qui m’amena à déclarer :
Ce qui nous mit tous d’accord et me permit de programmer discrètement une autre entrevue.
Une fois à l’extérieur, il nous proposa de venir boire une coupe chez lui pour ne pas nous séparer si tôt, en reprécisant qu’il habitait à deux pas. Vu qu’il n’était pas tard, j’ai aussitôt accepté sans demander son avis à ma chérie afin qu’elle ne puisse répondre par la négative. J’ai ensuite pris Véro sous mon bras pour nous rendre tous les trois chez lui. Lorsque nous franchîmes le seuil de son deux pièces, passant du coup devant lui, j’ai échangé avec lui un clin d’œil complice, heureux que ma puce ne nous ait pas refusé tout bonnement cette escale car j’étais sûr qu’elle savait sûrement à quoi s’attendre en venant ici, se doutant que notre complot ne s’arrêtait pas au repas.
En gentleman, il la débarrassa de son gilet et alors qu’elle parcourait les lieux du regard, s’empara de sa main pour la faire tourner sous sa main tel un mouvement de rock avant de l’attraper dans ses bras. Après un regard, il tenta de l’embrasser. Sachant que je lui donnais carte blanche, c’était notre accord ; le seul risque qu’il encourait était de prendre une claque.
Malicieusement, ma puce se refusa en tournant la tête… certainement pour mieux se faire désirer… et se dégagea de ses bras, mais pas de sa main, avant de me regarder en espérant que j’intervienne.
Volontairement, je regardais ailleurs pour la laisser gérer, même si elle avait compris depuis longtemps le traquenard…
M’abstenant de répondre, je rejoignis Damien pour lui proposer une aide qu’il déclina avant de me diriger à sa demande sur le canapé clic-clac de la pièce principale en prenant ma puce par la main pour l’attirer à mes côtés.
Nous fûmes aussitôt rejoints par notre amphitryon qui posa un plateau muni de trois verres et d’une bouteille sur une petite table face à nous. Après avoir débouché cette dernière et rempli les coupes, Damien s’assit de biais à côté de Véro, à qui je n’avais laissé le choix de la place, et proposa de trinquer à notre précédente soirée. L’idée fut bonne car elle me permit, elle nous permit, de reparler de cette soirée particulière à plus d’un point. Nous nous amusions des réactions faussement gênées de ma puce lorsque nous évoquâmes le frottement de nos corps durant les slows et la chaleur de son corps que nous observions, puisque nous étions de fait assis de biais à ses côtés.
Cet aveu amena Damien, juste après que j’aie empaumé la joue de ma puce pour la détendre tout en lui adressant un sourire de connivence, à reposer son verre et à poser sa main sur le genou découvert. Consciente du danger que représentait l’acceptation de cette main sur sa peau, Véro la repoussa mais ne se montra pas suffisamment convaincante. Il insista et la reposa, telle une caresse, en lui précisant que lui avait beaucoup apprécié le fait de la caresser et découvrir son corps avant de lui faire l’amour. Tout en disant cela, il se rapprocha du visage de ma belle et attendit un geste de sa part alors qu’elle cherchait du secours de mon côté. Devant mon lent signe affirmatif de la tête, voyant que je la débarrassais de son verre, elle réalisa que nous allions revivre une aventure à trois et se rendit compte que Damien attendait à proximité de sa bouche.
Pourquoi lui refuser un baiser alors qu’elle en mourrait d’envie ? Sentant sa présence, elle tourna la tête vers lui, bascula un peu en avant, ferma les yeux et ouvrit sa bouche pour l’inviter à l’embrasser. Ayant posé mon verre et celui de ma puce sur ces entrefaites, j’ai positionné à mon tour ma main sur elle ; sur son ventre, dans un premier temps, avant de prendre son petit sein en main en lui souriant lorsque ses yeux mutins s’ouvrirent vers moi. Damien obtint également gain de cause plus bas car il réussit à lui écarter un peu les jambes et à faire progresser sa main un peu plus haut entre ses cuisses.
Ils partagèrent un doux baiser que Damien interrompit en restant à proximité de sa bouche pour mieux faire languir ma chérie, ce qui me permit de m’approcher à mon tour pour l’embrasser sur l’épaule, sachant qu’elle adore ce type de sensation.
Elle cédait doucement mais ne voulait pas aller trop vite ; aussi, lorsqu’elle sentit que la main se rapprochait inévitablement de sa chatte, elle sembla se reprendre et resserra les cuisses en emprisonnant la main au chaud. Sa jupe, remontée sur ses cuisses en même temps que les doigts de mon comparse, dévoilait plus qu’elle ne cachait ses jambes et la main que j’observais.
Elle le regarda fixement, sentant sûrement naître progressivement l’envie, ce qui me permit de profiter de sa distraction pour défaire deux boutons de son chemisier avant qu’elle ne tourne le visage vers moi avec des yeux réprobateurs.
Aussitôt ma bouche prit possession de la sienne pour la faire taire et nos langues se mêlèrent pour un ballet endiablé jusqu’à ce que Damien demande tendrement :
Trop contente de l’entendre prêt à patienter, je la vis desserrer un peu les cuisses mais elle ne le vit pas venir et se rendit compte trop tard que c’était pour saisir son sein par l’échancrure que j’avais provoquée qu’il avait besoin de sa main.
Sachant que nous étions deux contre elle, elle abdiqua et le laissa la peloter à même la peau en pénétrant dans son soutien-gorge, ce qui m’entraîna à déplacer ma main sur sa cuisse en reprenant notre baiser, les yeux ouverts pour faire diversion.
Je la sentis soudain bouger légèrement pour lui permettre de libérer le chemisier de sa jupe et lui laisser prendre son sein à pleine main. Moi, je l’embrassais en remontant ma main sur sa cuisse dénudée pour qu’elle sache que je partageais ce moment érotique et que cela, comme la dernière fois, m’excitait.
Soudain je sentis la main de ma puce se poser sur mes cuisses et, en y regardant mieux, je vis son autre main au diapason sur la cuisse de Damien. Le feu vert était donné : elle participait à son tour.
Damien, parvenu à détacher totalement son chemisier et avec son autre main lui décrocher le soutien-gorge, se pencha avec gourmandise pour prendre son tétin en bouche et se délecter de cette petite framboise qui pointait vers sa bouche. La réaction de ma puce permit à ma main d’arriver au niveau de sa fourche. J’y découvris une lingerie humide, preuve que la soirée s’engageait bien, puis de nouveau sa bouche et sa tête se tendirent vers moi.
Le bout de mon majeur lissa sa culotte, dessina l’entrée de sa vulve, mais une nouvelle fois j’ai préféré laisser mon amphitryon découvrir sa féminité. La voyant réceptive à sa bouche, ce dernier replaça sa main sur le genou de Véro, abandonna le sein mis à nu et glissa ses doigts, sans les quitter du regard, à l’intérieur des cuisses de ma mie. La grande différence par rapport à la première tentative fut que celles-ci ne se refermèrent pas et lui autorisèrent à atteindre progressivement son objectif.
Nous n’en perdions pas une miette et observions avec excitation cette main progresser, cette jupe se rehausser et, me semble-t-il, ses cuisses s’ouvrir toujours un peu plus pour lui laisser le champ libre. Lorsqu’il arriva à toucher son sexe, Véro écarta franchement les cuisses et Damien en profita pour plaquer deux doigts sur l’emplacement de la vulve. Se sachant perdue, ma puce appuya sa tête sur le dossier du fauteuil et ferma les yeux tandis que les doigts de notre serviteur remuaient légèrement pour l’exciter encore un peu plus.
La jouisseuse, nous tenant toujours chacun une cuisse, se laissa aller sous nos caresses car de mon côté j’en profitais pour lui caresser la poitrine sous les yeux de Damien qui, comme moi, regardait nos mains agir.
Cependant, son soutien-gorge me gênait un peu pour la caresser ; et pour le lui retirer, il me fallait d’abord retirer son chemisier. Puisque visiblement elle acceptait nos caresses, je me suis adressé à mon comparse et lui ai demandé :
Aussitôt, ce dernier dégagea la manche gauche tandis que je m’occupais de la droite ; et bien que non prévu, Véro nous aida en se contorsionnant pour accélérer notre manœuvre. Les mains libérées, elle retira elle-même son soutif, l’envoya balader au loin vers la table et remit ses mains sur nos cuisses ; sur nos protubérances, devrais-je dire.
Damien sembla ravi de revivre une nouvelle fois une aventure avec ma puce, et l’un comme l’autre, nous nous emparâmes d’un sein pour le cajoler, le caresser. Nous savions que nous avions le temps car elle aussi avait envie d’aller plus loin ce soir.
Sa petite main s’est attaquée difficilement aux boutons de mon pantalon, si bien que la voyant galérer un peu, et devant cette volonté de participer, j’ai décidé de l’aider avant de m’apercevoir que Damien faisait de même de son côté. Elle sourit en nous regardant l’aider, preuve que ce soir-là elle était à fond dans notre trip.
Pour ne pas être gêné par la braguette qui, du fait de mon érection, risquait d’être douloureuse, je fis glisser mon pantalon et mon slip afin d’être plus à l’aise. Aussitôt, mon comparse fit de même et nous exhibâmes nos sexes raides à ma puce qui, calée dans le canapé, posa sa main sur nos queues et entreprit de nous caresser délicatement. Nos mains reprirent possession de son corps, et rapidement sa jupe fut rehaussée pour que mon nouvel ami suive le trajet qu’empruntaient mes doigts.
Profitant du fait qu’elle ouvrait les cuisses, j’ai écarté volontairement sa culotte pour montrer son minou à Damien puis j’ai introduit mon doigt sous l’étoffe pour glisser entre ses lèvres baveuses. Quelques commentaires informèrent Damien de ma découverte et, après avoir déniché son clitoris, je mis vicieusement mon doigt dans ma bouche en exprimant un « hum » révélateur.
Mon comparse, tel un pygmalion entre les doigts de fée de ma belle, prit ma place au chaud alors que Véro nous masturbait tout doucement pour ne pas nous faire jouir trop vite.
La scène était bizarre : nous étions quasi nus et chacun prenait son temps pour caresser l’autre. Comme moi, Damien goûta la sève de ma compagne au bout de son doigt, puis il lui demanda d’attendre deux minutes avant d’enlever la main de son sexe. Ce dernier se déplaça, se mit à genoux face à elle pour lui enlever sa culotte à deux mains. Dans le feu de l’action, il l’attira un peu vers le bord du canapé pour mater son minou avant d’approcher sa bouche de sa vulve. Sachant que rien ne pressait, il l’embrassa entre les cuisses en la fixant du regard puis remonta progressivement, en alternant des baisers sur chaque cuisse, vers la fontaine d’amour qu’il s’était fixé comme objectif. Aussitôt Véro cessa sa masturbation sur ma queue et savoura les bienfaits de la bouche qui ne tarda pas à se poser sur son calice. Après deux trois baisers sur sa vulve, deux doigts ouvrirent sa fente pour permettre à la pointe de la langue de Damien de titiller le clitoris. Bien entendu, j’observais toutes les manœuvres de mon nouvel ami en me retenant de faire travailler ma libido pour ne pas jouir illico. Je produisais cependant une belle quantité de liquide séminal.
Ressentant une première phase d’excitation, Véro s’empara de la tête de son collègue jardinier qui, avec un petit jeu de mot, lui broutait bien le gazon. Elle la plaqua contre son sexe en creusant le bassin en avant et je me suis rendu compte que l’orgasme était très proche. Je vis sa tête basculer en arrière et ses cuisses trembler puis, quelques secondes après elle fut prise de soubresauts. Véro repoussa soudain Damien en émettant quelques sons évocateurs d’une bonne jouissance.
Notre partenaire, heureux de lui, se leva et resta face à ma puce qui, comprenant le message, avança sur son assise pour le prendre en bouche à son tour. J’observais inerte sa bouche se déformer et sa petite main agir tel un piston sur le sexe qui s’offrait à elle. Elle y mit du cœur et du plaisir car peu de temps après avoir commencé sa fellation, Damien s’empara de sa chevelure pour ne pas qu’elle se retire au moment de sa jouissance. Gentilhomme, il l’avisa qu’il sentait l’orgasme venir et vu qu’elle continuait, sans la contraindre, quelques secondes après il déchargea dans sa bouche son nectar en fermant les yeux.
Je lui avais dis qu’elle adorait faire des fellations complètes pour mon plus grand plaisir, mais ce jour il put se rendre compte que je ne mentais pas. Elle le vida complètement avant de se mettre à son tour à genoux au sol face à moi et me réserver le même sort sous les yeux ébahis de notre amphitryon.
Bien entendu je ne pus me retenir très longtemps après ce qui venait de se passer sous mes yeux depuis le début de la soirée.
Lorsqu’à mon tour elle me nettoya le sexe, je ne pus m’empêcher de demander son avis sur les talents de pipeuse à mon comparse.
Se relevant pour saisir son verre, elle nous regarda alternativement et vicieusement annonça après s’être rincé la bouche :
Tout était dit. Nous trempâmes ensembles nos lèvres dans nos verres puis, après avoir posé mon verre, je me suis placé derrière ma puce pour saisir sa poitrine à deux mains. Ses seins étaient fermes mais lorsque mes mains descendirent en vue de lui enlever la jupe, elle s’esquiva et prononça :
Il savait que, sitôt lavé, si Véro passait derrière lui, rien ne pourrait l’empêcher de profiter d’elle tandis que je me doucherais.
Pendant qu’il se lavait, ma puce se fit câline en s’asseyant sur mes genoux, me laissant gentiment glisser ma main sous sa jupe pour lui flatter le haut de la cuisse et toucher son sexe.
Damien ne fut pas long pour se laver et dès qu’il annonça « au suivant » en revenant vers nous entouré de son peignoir, Véro se leva et se dirigea vers la salle d’eau en enlevant sa jupe en route, ce qui nous dévoila furtivement son petit postérieur.
Quelques minutes plus tard, elle sortit à son tour de la salle d’eau avec une serviette autour de la taille en énonçant :
Aussitôt je pris leur place dans la douche en laissant volontairement la porte de la pièce ouverte car je me doutais que Damien n’allait pas m’attendre pour s’occuper de mon amour. Effectivement, quelques minutes plus tard, plein de savon, je les vis passer nus en direction de la chambre. Lorsque je sortis pour les rejoindre, je découvris en pleine lumière ma puce à cheval sur son collègue, en pleine action. Ils ne m’avaient pas attendu, je n’en attendais pas moins. Ma puce se donnait du plaisir en se servant du pieu dressé à sa guise tandis que Damien lui tenait les fesses à deux mains. Lorsqu’elle me vit, elle m’adressa un sourire complice pour couper court à toute parole et remua ses fesses sur le pubis de son amant pour le faire pivoter vicieusement en elle. Me déplaçant pour voir le sexe de mon comparse disparaître sous son pubis châtain, je ne pus contrôler une nouvelle érection.
Je m’aperçus ensuite en levant la tête que le volet de la chambre n’était pas fermé et cela me fit aussitôt tilter sur le vis-à-vis qu’offrait cette rue aux vieilles façades. Curieusement, je me mis de suite à imaginer que je n’étais pas le seul à me rincer l’œil.
Tout à leur jouissance, mes acolytes ne firent que peu attention au déplacement qui me permit d’aller espionner discrètement d’éventuels voyeurs. Comme je le prévoyais, une silhouette se déplaça au moment où j’ai écarté légèrement le bord du rideau. Homme ou femme, je ne peux le dire, mais nous avions un spectateur qui pouvait se rincer l’œil grâce aux grandes fenêtres de l’appartement de notre amphitryon, et cela m’excita encore un peu plus.
Damien et Véro explosèrent dans une jouissance a priori très forte au moment même où j’entrouvris très légèrement le rideau pour donner un meilleur champ de vision au voisin indiscret. Quoi ! Juste dix à quinze centimètres.
J’ai profité du fait que ma puce bascule sur le lit pour ouvrir ses cuisses aux trois quarts vers la fenêtre et me placer entre celles-ci pour l’honorer à mon tour. Sachant que nous étions épiés, je pris mon temps et me fis très vicieux en lui relevant les jambes.
Damien, revenu parmi nous, décida à son tour de laisser courir ses mains sur le corps de Véro. Il se plaça côté voisin indiscret, ce qui me conduisit à la faire mettre en levrette, de profil par rapport à la fenêtre pour que notre voyeur puisse se rincer l’œil. J’ai demandé à Véro de s’occuper de nouveau de Damien en sachant que sa position ne lui permettait qu’une fellation ou éventuellement une double pénétration. Cette dernière option m’aurait pourtant étonné puisqu’elle est assez étroite et refuse la sodomie.
Tout en observant les fesses et la tête de ma puce caressée par les mains de mon comparse, je m’enfonçais en elle doucement et profondément afin de lui permettre de donner du plaisir à notre amphitryon. Cela permettait aussi à notre voyeur de se masturber à notre rythme. Elle était trempée et je glissais en elle sans me sentir à l’étroit malgré sa petite vulve. Mon sperme rejoignit celui de Damien après cinq minutes de pénétration et, pour l’offrir un peu plus, je ne pus m’empêcher de l’allonger contre moi face à la fenêtre pour exhiber son corps au voisin. Damien, n’étant pas au courant de mes intentions, voyant la poitrine offerte, en profita pour jouer avec son tétin avant de se pencher sur le lit. Il entreprit avec sa main de doigter la chatte trempée pour mener une dernière fois ma compagne au plaisir. Il prit un malin plaisir à étaler le trop-plein de sperme qui s’échappait de sa vulve sur son pubis et sur sa poitrine que je malaxais du bout des doigts.
En nous rhabillant, curieux de connaître l’identité de notre espion, j’ai demandé en aparté à Damien qui occupait l’appartement d’en face. Contre toute attente, ce dernier me répondit :
Était-il au courant que l’un d’eux nous observait ?