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Temps de lecture estimé : 19 mn
15/06/13
Résumé:  L'envie de revoir Damien s'occuper de ma puce me conduit à comploter un avec lui un week-end au cours duquel nous nous offrirons du bon temps... et aiguiserons l'appétit d'autrui.
Critères:  fhh couplus cadeau cocus collègues hotel caférestau voyage amour voir exhib fellation anulingus pénétratio double confession
Auteur : 1bichon  (Homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 03 / 05
Envie de passer le week end ensemble

Résumé des épisodes précédents : Après avoir fait la connaissance d’un collègue de ma compagne et partagé une soirée un peu alcoolisée au cours de laquelle nous avions eu une aventure à trois, nous avions revu Damien, à mon initiative. Véro s’était de nouveau livrée à lui, à nous, en refusant cette fois de boire trop pour pouvoir apprécier la soirée. Après la crêperie, Damien nous avait invités chez lui avec la ferme intention de profiter à nouveau, comme nous l’avions secrètement convenu entre hommes, du corps de ma compagne. Sans le savoir, elle s’était livrée à nous devant une autre personne qui, profitant du vis-à-vis des appartements, s’était rincé l’œil un peu grâce à moi.








Quelques semaines s’étaient écoulées depuis notre dernière rencontre chez Damien lorsqu’un soir, Véro m’informa qu’elle s’était fait raccompagner par ce dernier suite à un dossier urgent à terminer avant la fin de journée. Au moment de franchir le seuil de porte de la CCI, ils s’étaient croisés et Damien s’était gentiment proposé de lui faire gagner du temps. Ce jour-là, j’étais déjà parti car je travaillais en service de nuit et ne rentrais qu’à deux heures du matin.

En tout bien tout honneur, Damien s’était fait une joie d’accepter le verre que lui avait proposé ma puce à titre de remerciement pour ce petit service. Elle lui avait appris mon absence, et vu que cela faisait un petit bout de temps qu’elle ne l’avait vu, ils avaient discuté un peu. L’heure avançant, elle lui avait proposé de souper avec elle et s’était débrouillée pour confectionner une salade avec les ingrédients présents dans le frigo. Elle était contente de sa présence. Il avait un peu tenté sa chance en la titillant et même poussé le vice à lui avouer qu’il avait aimé lui faire l’amour et rêvait de recommencer.


Lorsque vers vingt-et-une heure je lui ai passé un appel téléphonique, elle me raconta son début de soirée et m’assura que Damien venait de partir. Mon imagination se mit immédiatement en route. Nous étions au printemps et les journées étaient clémentes. Je me fis un petit film en imaginant les yeux de ce coquin dévorer la silhouette de ma puce pendant qu’elle préparait la salade et ses mains se retenir de la déshabiller. Ne me rappelant plus dans quelle tenue elle était partie travailler, je me fis des films en l’imaginant en jean, les fesses bien moulées puis en jupe, les cuisses à l’air. Je ne pus m’empêcher d’imaginer une étreinte, voir un baiser, un début de flirt voire un effeuillage ; mais faisant confiance à Véro, je me suis refusé à croire à une pénétration. Ces pensées fusèrent dans mon esprit tout le reste de ma soirée professionnelle et heureusement, même si j’étais ailleurs, ne perturbèrent pas mon travail.

Je me remémorais nos précédentes rencontres et l’envie de renouveler l’expérience prit le dessus sur la raison.


Le lendemain, je me mis en charge de programmer un week-end complet entre nous et pris l’initiative de consulter les hôtels dans les environs de Blois. L’idée, visiter deux ou trois châteaux ensembles et bien entendu, faire l’amour à ma puce. Restait à trouver comment intégrer Damien à ce week-end et à faire partager l’idée à Véro, qui ne manquerait pas de comprendre aussitôt que les châteaux n’étaient qu’un prétexte pour l’offrir à nouveau, pour qu’elle se charge de lui proposer.

Une pensée me vint à l’esprit : appeler Damien pour faire en sorte que cette proposition vienne de lui et que ma puce soit obligée de me demander mon avis. Primo, il serait au fait de mes intentions ; deuxio, il pourrait tout comme moi travailler mentalement Véro ; et tertio, je pourrais mine de rien le questionner sur la soirée qu’il avait passée à deux.

Le soir même, un mardi, l’air de rien je dis à ma compagne en regardant par la fenêtre le beau ciel bleu :



L’idée était lancée, restait à Damien à faire de même de son côté. Pour cela, un petit appel en pleine journée du mercredi devait faire l’affaire. Le soir même, Véro me raconta qu’elle avait croisé Damien à la cantine, comme je l’avais prévu, et que celui-ci prévoyait d’aller en Touraine visiter quelques châteaux. Lorsqu’elle lui avait dit que cette idée nous avait aussi effleuré l’esprit, ce dernier lui avait demandé lesquels nous envisagions de découvrir et avait proposé à la volée :



Le soir même, je pris le téléphone pour concrétiser cette merveilleuse idée entre nous trois. L’affaire fut entendue et notre nouvelle partie de jambes en l’air bien engagée. Évidemment, juste après avoir raccroché, Véro s’enquit de savoir si je n’avais pas une idée derrière la tête devant mon empressement à appeler Damien, et bien entendu je lui fis une réponse évasive. Ce soir-là, chacun dans son coin dut échafauder secrètement des plans en attendant le week-end avec impatience pour les réaliser.




—ooOoo—




Le samedi à neuf heures, les sacs mis dans le coffre de mon coupé 104, nous prîmes la route dans la bonne humeur. Véro, peut-être en prévision d’une chaude journée, avait passé un chemisier fleuri à manches courtes sur une jupe légère de couleur rose pastel. Nous fîmes route vers chez Damien pour le prendre au passage puis, une fois arrivés, Véro descendit pour qu’il puisse passer à l’arrière tout en profitant de lui faire la bise au passage.

Une fois tous à bord, je pris la direction d’Orléans pour regagner l’autoroute tandis que mon comparse, les bras en appui sur les deux sièges, matait autant qu’il le pouvait à l’avant de la voiture. Son petit jeu de voyeur m’amusa, et comme à mon habitude, je mis ma main sur la cuisse gauche de Véro pour faire saliver mon acolyte.


Une judicieuse pause-café à Orléans-Saran leur permit d’intervertir les places. Véro se retrouva à l’arrière et s’appuya sur les sièges entre nous deux. En 1988, la ceinture n’était pas obligatoire à l’arrière, je crois. La bonne humeur nous fit reprendre les chansons qu’émettait la radio jusqu’à Chambord et chacun apprécia la présence de l’autre en le vannant ou en le regardant.


Arrivés à destination, je pris mon temps pour obliger Véro à sortir du côté de Damien. Je savais que pour s’extraire de la voiture elle devait écarter les cuisses et que Damien ne manquerait rien de la vue ainsi offerte. Comme nous, et contrairement à nos accords précédents, il avait pris son appareil photo pour garder quelques souvenirs de ces deux jours passés ensemble.


Après un sandwich-tarte-coca, nous prîmes la direction de la visite libre. Je pris la main de Véro, pas pour marquer une distance avec notre partenaire, mais je ne voulais pas que sa présence nous empêche de nous comporter comme un jeune couple amoureux. Je rappelle que nous avions 22 et 23 ans alors que Damien en avait 27. Durant la visite, Véro retint toute notre attention. Nous la choyâmes l’un ou l’autre en la prenant alternativement par les épaules ou la taille. Lors de la montée d’un petit escalier, je mis ma main entre ses cuisses pour la taquiner et je me rendis compte que mon acolyte en fit autant au pallier suivant. Quelques visiteurs remarquèrent notre manège et certains hommes durent se poser des questions en la voyant m’embrasser après être passée dans les bras de cet autre soupirant, mais peu m’importait : nous étions jeunes, amoureux, et surtout sur la même longueur d’onde. Nous savions que le soir même nous ferions tous les trois l’amour et que les préliminaires avaient déjà commencé.


La promenade le long du canal nous permit d’aborder un sujet plus intime puisque Damien nous apprit qu’il avait fait la connaissance de ses voisins, les jeunes d’en face, l’un de ceux qui nous avait épiés. Il avait réussi à provoquer une rencontre sur le perron de son immeuble et les avait astucieusement invités à boire l’apéro pour faire connaissance. Au cours de la discussion, ils avaient parlé du vis-à-vis et la demoiselle s’était trahie en parlant de Véro. Sur le ton de la confidence, la conversation avait dévié sur elle, sur l’amour à trois. Vu qu’elle participait au débat, Damien s’était proposé pour lui faire connaître le même plaisir en la regardant droit dans les yeux. D’abord gênée devant son copain, elle avait hoché négativement la tête en souriant avant de revenir un peu plus tard à la charge avec une question précise :



Voyant qu’elle voulait des détails, il lui en avait donné en enjolivant certainement un peu puisque les deux tourtereaux s’étaient révélés curieux. Il avait réussi à leur faire admettre qu’ils étaient exhibitionnistes et les avait informés qu’il les avait déjà observés lui aussi.

La belle avait piqué un fard mais Damien avait rattrapé le coup en lui avouant qu’il avait adoré la voir se donner et qu’il apprécierait voir cela de plus près. L’idée était semée ; restait à la laisser germer et récolter le fruit de cette première approche.


Le retour de l’invitation pour l’apéro avait amené la demoiselle à revenir sur le sujet, et finalement son copain s’était arrangé pour offrir cette dernière à notre compagnon. Je sentais Véro jalouse en le regardant jubiler, mais elle semblait aussi intéressée car elle demandait des détails que Damien se faisait une joie de révéler. Contrairement à notre relation, il avait mis une capote à la demande du gars et n’avait pas embrassé la demoiselle sur la bouche.

Mathieu s’était chargé des préliminaires sous le regard attentif de notre comparse. Géraldine était une blonde très chaude qui s’était offerte à lui de face, allongée sur les cuisses de son copain. Après lui avoir fait un cunni, Damien l’avait pénétrée tandis que Mathieu lui caressait les seins en regardant le sexe invité fendre l’abricot de sa compagne. Ils n’avaient pas réellement fait l’amour à trois, mais avaient vécu une expérience excitante. Vraie ou fausse, son histoire déclencha ma libido et me donna une idée pour la soirée à l’hôtel. Au cours de son histoire, Damien avait passé sa main sur l’épaule de Véro et avait glissé négligemment sa main sur son sein. Coincée entre nous, je la tenais par la taille ; elle se laissait faire, sûrement excitée par l’histoire que nous venions d’entendre.


Nous regagnâmes la voiture, et après un smack prîmes la route de Blois pour prendre possession de notre chambre d’hôtel. Dans la voiture, de nouveau à l’avant, Véro demanda si nous prenions une ou deux chambres à l’hôtel en arguant que nous pourrions faire des économies. Puisque les chambres du Première Classe possèdent un lit simple superposé à un lit double, nous proposâmes en chœur avec Damien : « Une seule suffira. ». Je mis ma main sur la cuisse de Véro en remontant un peu sa jupe et mon acolyte, prenant position entre les deux sièges, passa ses mains derrière le repose-tête de ma puce pour laisser de nouveau sa main errer sur son sein droit. Heureuse d’être l’objet de nos désirs, elle se laissa caresser quelques minutes avant de nous repousser en disant vicieusement :



Pourtant, lorsque Damien revint à la charge, elle le laissa faire pour aiguiser ma jalousie et mieux se faire désirer. Il ne s’occupa que de son sein droit… et il ne se priva pas d’en profiter, tout en douceur.

Après quelques kilomètres, la main de ma puce se posa sur ma cuisse et je compris qu’il venait d’y avoir du nouveau. D’un regard, je vis que la main de son collègue était passée sous son chemisier. Un autre regard m’informa qu’il avait fait sauter un bouton pour pouvoir agir à sa guise à l’intérieur. L’air de rien, il garda le petit sein au chaud dans sa main jusqu’à l’hôtel.

Obligé de faire attention à ma conduite du fait de la circulation qui s’intensifiait à l’approche de Blois, je bandais sous mon bermuda et je savais que je n’étais pas le seul à être excité, vu les rictus de complicité que je partageais avec eux lors des arrêts.


Une fois la chambre en notre possession et les sacs déchargés, nous décidâmes après une halte toilette de gagner Blois pour aller boire un pot à la terrasse d’un café avant de partir à la recherche d’une pizzeria. Excité par notre petit trajet et profitant de l’absence temporaire de Damien, je fis une requête à ma puce :



Elle fit d’abord la moue puis, son petit 85 B pouvant se passer pour quelques heures de cet artifice, accéda à ma demande comme elle le faisait de temps à autre. Damien nous rejoignit peu de temps après que le sous-vêtement eût disparu, sans sembler remarquer ce changement de tenue. Savoir Véro à même à se laisser plus librement caresser me fit jubiler et je fus peu de temps après gâté en la regardant monter à l’arrière de la voiture. Effectivement, en se penchant à l’intérieur de l’habitacle, elle m’offrit furtivement une jolie vue sur sa poitrine, ce que paradoxalement ne remarqua pas mon comparse lorsqu’elle en sortit. Il s’aperçut plus tard que le téton était libre, en dégustant sa bière tout en zieutant l’échancrure du chemisier alors que nous regardions déambuler les passants. Surpris, il chercha mon regard, me fit un petit signe pour attirer mon attention et fut étonné de ma répartie :



Ce qui attira l’attention de Véro.



Elle regarda son quadra mateur, puis tourna la tête vers moi et annonça crânement :



Se sentant en sécurité, elle mit finalement ses pieds sur la barre de sa chaise, ce qui releva et dévoila ses genoux. Damien fut bluffé car il ne la croyait pas capable de montrer ce qui se cachait sous sa jupe à un inconnu, lui qui la connaissait professionnellement sage et discrète. Véro, en écartant un peu les cuisses, se pencha vers moi pour me dire à l’oreille :



Là, ce fut moi qui tombai des nues en la voyant se redresser et refermer les cuisses. L’espace de quelques secondes, le quadra en face de nous venait de se rincer l’œil pour de bon. Pour ne pas faire de jaloux, ma puce se pencha vers Damien pour lui dire je ne sais quoi et recommença son manège sous mes yeux. L’homme en face la matait comme le loup de Tex Avery. Cela nous excita encore un peu plus et Véro poussa le vice au maximum en nous embrassant alternativement, proche des lèvres, devant lui. Il en avait vu plus qu’il ne pensait en voir et rougit en remarquant que nous avions découvert son jeu de voyeur, vu que nous le fixions tous les trois en rigolant.

Reposant un pied au sol, elle lui remontra habilement l’intérieur de ses cuisses en faisant mine de se gratter et prit un malin plaisir à le faire suffoquer en faisant glisser de la main le pan de sa robe. Elle était en confiance avec nous, excitée depuis un petit bout de temps, et assurément prête à aller très loin.


Nous décidâmes de quitter la terrasse du café et laisser ce pauvre gars se faire du bien chez lui. Pour l’achever, je pris Véro par la fesse en la poussant contre Damien. Ce dernier passa son bras autour de son cou en la serrant contre lui ; je la pris par la taille et nous partîmes vers la rue piétonne en imaginant la tête de notre victime. Le regard soupçonneux des envieux que nous croisâmes nous encouragea aussi à en rajouter.


Nous dînâmes gentiment dans une pizzeria quelconque, Véro face à moi et à droite de Damien, le laissant mater de temps à autre son sein par l’échancrure du chemisier lorsqu’elle se penchait. S’ensuivit vers 22 heures un petit tour sur les bords de Loire bras dessus, bras dessous à trois, puis nous reprîmes le chemin de l’hôtel pour enfin prendre et nous donner du plaisir. Véro monta à l’arrière et nous chauffa verbalement jusqu’à destination en nous chatouillant le cou.


Sitôt sortis de la voiture je lui fis payer cette douce torture en l’embrassant à pleine bouche tout en relevant sa jupe au-dessus des fesses, en plein parking. Elle s’échappa et courut vers la chambre rejoindre Damien qui, comme moi, n’avait qu’une envie : baiser et profiter d’elle le plus possible. Nous étions tous les trois du même avis, ce qui allait faciliter amplement les choses. Elle avait au cours de cette journée su aiguiser ma jalousie pour mieux se faire désirer et pardonner, en vue d’être honorée.


Une fois dans la chambre, par chance à l’étage et à l’extrémité de l’établissement, après un passage pour se laver les mains, elle se laissa tomber de dos sur le lit en nous souriant. Feu vert ; Damien, le deuxième à avoir les mains propres, prit place du meilleur côté, me laissant la place à leur gauche (je suis droitier). Le temps que je les rejoigne, ils s’embrassaient à pleine bouche et leurs mains se chargeaient de la mise à nu. Lorsque je me fus allongé à mon tour, ma puce tourna la tête vers moi et m’embrassa voracement en passant ses mains derrière nos têtes. Elle s’offrait à nous en fait. Durant notre baiser, mon comparse lui mangeait les seins en caressant déjà son entrejambe. Il était en rut. Elle tournait alternativement la tête vers nous et nous inversâmes les rôles plusieurs fois jusqu’à ce que je me lève pour me déshabiller totalement. Damien, ne voulant pas être en reste, fit de même sitôt ma présence sur le lit et Véro, déjà nue malgré sa jupe et son chemisier, se souleva pour m’aider à retirer ses vêtements afin de ne pas être gênée.


Elle fut bien sûr caressée, goûtée, mangée, dévorée par nos soins. Son sexe était trempé, ses lèvres gonflées et ses tétins dardaient. Elle se chargea de nous sucer à tour de rôle avant de se donner à nous en profitant de la barre de protection du lit superposée pour se tenir droite et offerte, debout les cuisses écartées sur le lit du bas. Damien fut le premier à la pénétrer ainsi tandis qu’à genoux sur le lit, je matais son sexe fendre le sexe de ma puce en lui caressant les seins. Elle me regardait par en dessous et me faisait partager le plaisir qu’elle prenait en sentant ce pieu coulisser en elle. Il jouit d’un premier jet au fond de son ventre et aussitôt s’extrada pour se frotter contre ses fesses. Véro se recula pour lâcher la barre et me poussa pour s’empaler sur moi et reprendre le rythme avec un autre sexe raide en elle. Damien, toujours excité, lui étala son sperme dans la raie des fesses et essaya de préparer son rectum avec son doigt. Même s’il nous arrivait de pratiquer la sodomie, ma puce n’était pas une fervente adepte de cette pénétration et lorsque mon acolyte lui perfora l’anus en profitant du fait que je lui écartais les fesses, elle chercha à lui échapper. Il se mit donc debout sur le lit et lui présenta son sexe à nettoyer. Elle refusa dans un premier temps, mais la main de Damien lui fit comprendre qu’elle n’avait pas le choix et il obtint gain de cause. Véro se calma sur mon sexe et de petites tapes sur les fesses lui firent faire un choix : d’abord me finir avant d’attaquer une autre queue, tout du moins dans cette position. Libre d’agir à nouveau, nous jouîmes tous les deux quelques minutes plus tard.


Une fois apaisée, se moquant de l’état des draps et du lit, elle se mit en levrette et entreprit de redonner de la vigueur à Damien et de lui faire une fellation pendant que je louchais sur l’appareil photo posé sur la tablette. Nous avions dit « pas de photos » lors de la rencontre où nous avions conclu notre accord ; mais j’avoue que là, cela me démangeait de passer outre. Lorsque Véro jugea Damien en forme, elle se retourna et se mit face à moi pour m’administrer le même traitement, pensant certainement que sa victime allait la pénétrer. Mais mon comparse ne l’entendit pas de cette façon en voyant les fesses de ma mie offertes car il se mit sur le lit derrière elle et lui fit une feuille de rose… Il avait décidément de la suite dans les idées quant à l’envie de s’approprier son petit trou. Il la branlait certainement en même temps car je l’entendais gémir et elle se laissait lécher l’anus en me gobant lentement.


Je suivais l’intrusion de la langue et des doigts de Damien en me retenant de jouir pour ne pas écourter nos caresses, mais cela n’était pas facile car le mental était aussi de la partie et sachant Véro très chaude… Il la détendit suffisamment a priori car lorsqu’il présenta son sexe à l’entrée du rectum tout en la tenant fermement par la taille, elle arrêta sa fellation et participa doucement à l’intromission en creusant le dos. Lorsqu’elle me reprit en bouche quelques secondes plus tard, je ne pus me retenir d’éjaculer dans sa bouche ; et gourmande, elle me but entièrement. Damien s’activa un peu en elle puis le passage étant fait, lui demanda si elle ne voulait pas tenter une double pénétration. Entre nous deux. Craintive, elle refusa puis se donna à lui en levrette en le faisant profiter de l’étroitesse, relative, de son œillet. Juste après avoir éjaculé en ahanant, Véro s’échappa aux toilettes pour évacuer le trop-plein de sperme qui coulait en elle.


Nous eûmes quelques minutes de répit pour nous remettre de ce premier round, et naturellement lorsqu’elle nous rejoignit après une petite toilette, elle vint se placer entre nous pour m’embrasser amoureusement. Son petit derrière avait souffert, sa bouche et son con avaient été honorés : il fallait donc repartir doucement en multipliant les caresses pour retrouver nos forces. Ce fut l’occasion pour moi de redemander à Damien comment il avait réussi à se faire offrir et honorer sa voisine. Il renouvela son histoire avec plus ou moins de variantes, puis proposa à ma puce de se mettre à la place de Géraldine en s’allongeant sur mes genoux en nous donnant les positions à adopter. Il expliqua comment Mathieu tenait sa compagne, et lorsque le tableau que nous lui offrions lui convint, il vint faire un cunnilingus très lent entre les cuisses de mon amour. Nous jouions à un jeu bizarre car je m’imaginais à la place de Damien entre les cuisses de cette inconnue blonde. Véro fermait les yeux. S’imaginait-elle avec Mathieu ? Je ne le saurai jamais ; pourtant l’idée me traversa l’esprit !

Il la fit jouir avec sa langue en lui maintenant les cuisses ouvertes, et ses convulsions nous informèrent d’un orgasme puissant.


Cet intermède d’une demi-heure nous avait redonné une érection digne de ce nom et Damien revint à la charge avec sa double pénétration, assurant Véro qu’elle en redemanderait. Pour nous faire plaisir, elle céda mais la tentative échoua et elle nous proposa de nous relayer dans son vagin. Je fus le premier à l’honorer en levrette ; Damien l’entreprit ensuite en missionnaire.


Éreintés, nous déclarâmes forfait. Damien monta sur sa couche sans manquer de remercier Véro d’un tendre baiser au coin des lèvres. Elle vint se blottir contre moi pour me chuchoter un délicieux :



Le réveil fut difficile ; les voisins nous rendirent la monnaie de notre pièce et ne se gênèrent pas pour faire du bruit. La matinée se déroula tranquillement. Chacun prit sa douche avec une attention auditive accrue vis-à-vis des deux autres.


Pour lézarder un peu ensemble avec ma compagne, Damien fut le premier à investir la salle de bain, nous laissant un peu d’intimité dans les bras l’un de l’autre, puis Véro m’expédia hors du lit et regarda notre ami s’habiller avant de s’extraire du lit pour se rafraîchir à son tour. Pour nous faire plaisir, elle accepta de ne pas mettre de sous-vêtements à condition que nous ne l’exhibions pas… sans son accord, ajouta-t-elle avec un petit sourire. Nous fûmes d’accord bien entendu, Damien sachant ses seins accessibles, moi sachant que je pourrais lui toucher le sexe en conduisant. Elle enfila une jupe patineuse et un chemisier sans manches ouvert sous les bras. Sa tenue nous plut car son haut permettrait un libre accès pour les yeux ou nos mains vers sa poitrine. Ses cheveux mi-longs en mini vague sur ses épaules lui donnaient un air espiègle très excitant.


Le château de Chaumont fut notre troisième étape, après celui de Blois, mais aussi le départ du deuxième acte sexuel. Elle nous gratifia chacun d’une fellation en nous laissant lui peloter les seins partiellement à l’air dans le bois bordant le château, mais refusa d’aller plus loin par crainte de nous faire surprendre dans ce lieu touristique.


Sur le trajet du retour, Damien laissa la place à l’avant à mon amour pour pouvoir cajoler ses seins par derrière et me permettre de dévoiler et toucher son sexe sur l’autoroute. Elle nous laissa la caresser une bonne partie du trajet, mouilla beaucoup et fut prise d’une jouissance peu de temps avant le péage en enserrant ma main. Elle refusa cependant l’invitation de Damien de monter boire un verre car elle savait qu’il chercherait encore à la baiser. Elle m’avoua lorsque nous le quittâmes qu’elle n’était pas contre, mais que son rectum lui faisait encore un peu mal et que sa chatte avait eu sa dose pour ce week-end.


Ce qui me rassura, c’est que durant ce week-end elle ne lui avait fait de véritables baisers que durant les actes sexuels, me réservant l’exclusivité de sa bouche pour partager des baisers amoureux au cours de nos promenades, preuve que Damien n’était qu’un partenaire, certes sympathique, mais à but uniquement sexuel. Nous savions cependant que nous le reverrions bientôt sous prétexte de voir nos photos respectives des lieux visités. Quoiqu’il en soit, il avait respecté nos desiderata ; et cela, c’était le plus important pour nous !