n° 15687 | Fiche technique | 26831 caractères | 26831Temps de lecture estimé : 19 mn | 10/07/13 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Après avoir testé l'amour avec deux hommes, Véro me réserve une agréable surprise en me cachant la venue de Géraldine, et son besoin de tendresse et d'amour physique. | ||||
Critères: ffh couple couplus cadeau amour voir noculotte intermast fellation cunnilingu pénétratio confession | ||||
Auteur : 1bichon (homme aimant les femmes et le triolisme) Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Nous avions, par le biais de ma compagne, rencontré un de ses collègues que nous avions intégré à notre couple afin de tester l’amour à trois. Damien avait passé une nuit chez nous, et bien entendu fait l’amour avec Véro suite à un petit stratagème qui m’était progressivement venu à l’esprit. Nous nous étions ensuite revus chez lui et avions refait l’amour, mais devant l’un de ses voisins spectateur, ou spectatrice. Lors d’un week-end châteaux, il nous avait annoncé qu’il avait noué des liens avec son jeune couple de voisins et même goûté aux sucs de Géraldine, la petite curieuse, avec la bénédiction de son copain. Nous avions fait leur connaissance lors d’une soirée en boîte et avions fini tous les cinq nus, chez lui, à honorer nos deux compagnes ; mais le comportement dominateur de Damien ne nous avait pas plu.
Suite à notre soirée trop poussée en compagnie de Damien, Mathieu et Géraldine, nous avions décidé de ne plus fréquenter Damien. Concernant le couple Mathieu-Géraldine, notre opinion était mitigée, car même si nous avions eu le même ressenti avec Véro, le fait qu’il soit voisin de Damien ne nous disait rien qui vaille. Toutefois, Véro était susceptible de croiser ce dernier au travail ; il continuait de respecter nos accords de discrétion. Le fait de refuser toute relation sexuelle ne voulait pas dire le bannir, mais il ne fallait plus lui donner l’occasion d’essayer d’aller plus loin.
Véro et Géraldine était devenues copines ; l’aventure qu’elles avaient vécue les avait rapprochées et, de fil en aiguille, après plusieurs repas à quatre, notre amitié nous permit d’envisager au bout de six mois de décider de passer nos vacances ensemble.
Dans l’ambiance festive de L’Éléphant Bleu, Mathieu et Géraldine nous avaient appris au cours du réveillon du Nouvel-An que, comme nous, après deux trois rencontres, ils avaient pris un peu de distance avec Damien car ils avaient eu le même ressenti que nous le concernant.
Les vacances s’étaient bien passées et chacun s’était montré fidèle à son partenaire. Certes, l’envie de refaire l’amour à Géraldine m’avait tiraillé l’esprit, mais l’occasion ne s’était pas présentée et je m’étais contenté de reluquer son corps exposé, comme celui de Véro, en topless à la plage.
Certes, nous avions eu plusieurs contacts corporels les uns les autres, quelques gestes plutôt osés en se chamaillant ou lors des soirées, mais chacun était resté avec sa chacune. Les vacances avaient été agréables, et malgré le fait d’être en tente de camping, nous en avions gardé le souvenir d’une grande complicité.
Malheureusement, quelques mois plus tard, Mathieu – plus jaloux qu’il ne le prétendait – avait reproché à Géraldine de trop souvent s’exhiber et d’être trop souvent avec nous, ainsi que diverses autres choses. Ces prétextes futiles étaient surtout destinés à lui permettre de se tourner vers une autre.
Au téléphone, elle nous avait raconté ses misères ; et comme Mathieu semblait nous avoir oubliés, nous avions fait notre choix.
Elle avait accusé le coup. Devant son incartade, Géraldine était repartie vivre chez ses parents en emballant ses cliques et ses claques, plantant son ex avec le loyer de leur appartement. Cela faisait deux mois ; elle refaisait progressivement surface et, je l’appris ce fameux soir, reprenait progressivement goût à la vie… sexuelle.
Nous ne nous étions pas vus depuis leur rupture, malgré quelques longs appels téléphoniques et l’envie de lui changer les idées.
Ce vendredi soir, je travaillais en phase de soirée, soit jusqu’à 1 h 30, plus le trajet du retour. Fidèle à mon habitude, j’avais appelé Véro vers 20 heures et il m’avait semblé l’entendre chuchoter quelque chose sans vraiment y prêter attention puisque je la savais théoriquement seule. Elle avait d’ailleurs éludé la question lorsque je lui avais demandé de répéter.
En rentrant, quelle ne fut pas ma surprise d’entendre pouffer des rires féminins en provenance du salon éteint. Après m’être délesté de mon blouson et de mes chaussures, je fis mon entrée dans la pièce. Après avoir allumé, je vis une forme étrange en appui contre le mur remuer à même le sol, cachée sous une couverture.
Visiblement une surprise m’attendait.
Je me mis à genoux et, croyant que Véro me jouait un tour, je me mis à caresser les contours de la forme pour en évaluer la teneur. Je compris vite que deux personnes se cachaient sous la couverture : deux filles.
Après en avoir un peu profité, je mis leurs têtes à découvert, et quelle ne fut pas ma joie de découvrir Géraldine et Véro enlacées sous la couverture. N’étant pas informé de sa visite, je fus ravi de les voir sourire en constatant ma surprise.
En tirant sur la couverture, je les découvris assises les jambes repliées, recouvertes de grands tee-shirt à Véro. Elles cachaient leur corps sous l’unique vêtement, ce qui me permit, après m’être agenouillé pour embrasser Véro sur les lèvres et Géraldine sur les joues, de mater les poitrines libres… ce fut mon premier émoi.
En enlevant la couverture pour les aider à se relever, j’eus une deuxième vision intéressante sur l’anatomie de Géraldine en apercevant l’intérieur de ses cuisses lorsqu’elle déplia ses jambes, suivie d’une nouvelle vue sur son décolleté lorsqu’elle se pencha pour se lever. Véro était au diapason, mais je connaissais déjà bien son corps.
En prenant ma main pour se lever, Véro m’annonça que Géraldine n’avait pas le moral et qu’elle lui avait proposé de passer. Le temps était passé si vite qu’elle lui avait proposé de dormir chez nous et elles avaient finalement décidé de m’attendre.
Véro me prit à témoin en me demandant mon avis, ce qui m’incita à les prendre toutes les deux par le cou. Aussitôt, les serrant contre moi, je sentis leurs bras m’enserrer par la taille. La bonne humeur me donna envie de leur faire à chacune un baiser sur la joue, comme le ferait des adolescents heureux.
En les serrant contre moi, je fis involontairement bâiller leurs tee-shirts et, vu qu’elles étaient plus petites que moi, cela me permit de mater leur poitrine une nouvelle fois sans l’avoir prémédité.
Voyant pertinemment mon regard dévié à l’intérieur du vêtement de Géraldine, Véro me cueillit sur le fait et, sachant mon attrait pour le voyeurisme, ne trouva rien de mieux que de dire :
Ce qui m’obligea à les libérer de mon étreinte.
Les deux filles éclatèrent de rire et voyant mon air béat, s’éloignèrent et se firent une joie de me chambrer en jouant avec leurs mains pour découvrir leurs épaules… Ce petit jeu de chipies m’excita et, vu leur complicité, je me mis à imaginer leur début de soirée. Elles ne semblaient pas saoules, mais sérieusement enjouées.
Sans que je m’y attende, Véro passa derrière Géraldine, joua vicieusement avec l’épaulette de l’ample tee-shirt, et pour mon grand plaisir fit apparaître la naissance du sein et du tétin de notre invitée. Le jeu devenait plus vicieux car Géraldine, la main derrière le dos, semblait caresser la cuisse de ma compagne. Elles cherchaient à me provoquer, et mon envie d’en voir plus n’échappa ni à l’une, ni à l’autre. Véro, décidément très active ce soir, passa sa main sous le sein de Géraldine, le soupesa puis fit rouler le tétin sorti entre son pouce et son index, histoire de nous exciter un peu plus. Le doute m’assaillit en les observant : il avait dû se passer quelque chose entre elles avant mon arrivée pour qu’elles se montrent aussi vicieuses et complices, car notre invitée se laissait faire en caressant le dos de ma compagne.
Croisant mon regard envieux, ma partenaire habituelle me dit comme si ce n’était pas une évidence :
Quoi qu’il en fût, le ton était donné et je commençais à savourer leur jeu de rôles, m’abstenant volontairement de leur sauter dessus pour voir jusqu’où elles iraient. Continuant leur jeu, je fus surpris d’entendre Géraldine prendre la parole pour dire, en rehaussant légèrement le tee-shirt de Véro pour faire apparaître la naissance de son postérieur :
Les deux filles jouaient les effrontées en se caressant en même temps qu’elles m’offraient des visions excitantes de leur anatomie. Bien sûr, le corps de Véro n’avait plus de secrets pour moi ; mais la voir caressante avec une autre fille laissait présager une fin de nuit agréable. Je gardais avec de plus en plus de mal mon self-control, dévoré par l’envie de me joindre à ces petites chipies. Je voyais la pointe de leurs seins percer le tissu et la quasi-totalité de leurs cuisses. Géraldine, vêtue d’un tee-shirt appartenant à une fille plus petite qu’elle de 10 centimètres, avait pratiquement les fesses à l’air pour mon plus grand plaisir. Malgré la fatigue, je me régalais… Qu’avaient-elles fait et manigancé pendant mon absence ?
Naturellement, ce qui devait arriver arriva. Les filles, après un regard intense, s’embrassèrent devant moi pour la première fois. Leur baiser fut si voluptueux que je n’eus pas envie de les interrompre et que mon sexe, à l’étroit dans mon pantalon, me fit mal. De jeu mutin, la situation devint plus érotique car leurs mains ne restèrent pas inactives. L’une comme l’autre caressait sa partenaire sans se soucier de ma présence. Muet, j’observais, sachant que c’était le fantasme de Véro de goûter à l’amour saphique. J’avais d’ailleurs tout à y gagner car elles s’aimaient tendrement en laissant leurs mains parcourir le corps de l’autre.
Comme lors de notre première rencontre, elles se caressèrent mutuellement le sexe en s’embrassant et, après quelques minutes, semblèrent se rappeler ma présence. Se désengageant, elles m’ouvrirent leur couple et m’accueillirent en échangeant un baiser. À quelques centimètres de ma bouche, je vis leurs bouches s’unir amoureusement. Debout, enlacés tous les trois, nous mélangeâmes ensuite nos langues en nous caressant le dos et les fesses, à même la peau, la main sous les tee-shirts.
Au contact de mes mains sur leur peau nue, mes deux petites garces se sourirent. Constatant que j’étais complice, en les regardant fugitivement dans les yeux je pus me rendre compte qu’elles étaient toutes les deux très excitées. Véro semblait, après avoir goûté à deux hommes, vouloir se lâcher pour approfondir une relation féminine avec Géraldine.
Après un signe de tête entre elles, elles entreprirent de me déshabiller et de me caresser ; d’abord le torse, puis rapidement le sexe avant de m’entraîner sur le lit-canapé du salon. Elles me poussèrent à m’asseoir contre le mur, puis se firent félines en se mettant à quatre pattes pour venir me mordiller le cou et la poitrine tout en laissant leurs mains se promener sur mon corps. Je me laissais faire en savourant, tout en regardant à l’intérieur des tee-shirts qui bâillaient allégrement.
Avaient-elles comploté leur action ? Je ne sais pas, mais tandis que Véro me donnait un agréable baiser, Géraldine ouvrait mon pantalon et mon slip pour libérer mon sexe de sa prison. Elle le prit en main et sa petite langue gourmande me déclencha un soupir d’aise qui consolida mon érection. Me sentant remuer pour être plus à l’aise, Véro descendit partager mon pieu avec sa copine. Elles me retirèrent, avec mon aide, mon pantalon avant de s’attaquer à mon slip. Ensemble, telles des chattes en chaleur, elles se partagèrent mon sexe en s’embrassant de temps à autre au-dessus de mon corps. Véro me demanda si j’aimais ce qu’elles me faisaient, connaissant par avance la réponse. Devant mon approbation, les deux demoiselles, fière d’elles, se mirent à genoux de part et d’autre de mon corps et reprirent leurs occupations, ce qui me permit de leur toucher soit les cheveux et le dos, soit un sein par-dessus leur tee-shirt.
Après un rapide passage sur leur dos, mes mains furent inévitablement attirées par leurs seins. Je les ai empaumés et intérieurement comparés, sachant par avance que ceux de Géraldine était plus gros (90C contre 85B). Quoi qu’il en soit, il y avait deux points communs entre leurs seins : la fermeté et des tétins érigés. Un rien cérébral, je n’avais aucun doute sur le fait qu’elles aient commencé à s’exciter avant mon arrivée, vu qu’elles s’embrassaient sans gêne apparente.
Me penchant légèrement vers Géraldine, je fis remonter son tee-shirt pour mettre à nu ses fesses et pouvoir glisser ma main sur sa féminité. Elles avaient malheureusement gardé leur culotte. Après avoir glissé ma main entre ses cuisses ouvertes, touché sa vulve par en dessous, et constaté qu’elle mouillait bien en lui glissant deux doigts dans la fente, j’ai œuvré de la même manière de l’autre côté avec Véronique. Pour ne pas faire de jalouse, je me suis efforcé de lui prodiguer les mêmes caresses et j’ai constaté les mêmes résultats : elles mouillaient toutes les deux.
Léchant depuis quelques minutes alternativement mon sexe, vint évidemment le moment où Géraldine voulut l’avaler. Véro lui laissa ce plaisir en venant m’embrasser amoureusement, m’empêchant de les caresser intimement et renouvela sa fameuse question :
Je ne pus lui répondre que d’un signe positif de la tête car l’orgasme me saisissait, et aussitôt elle redescendit partager ma semence et mon sexe avec notre gourmande invitée. Elles me vidèrent totalement avant de s’embrasser pour une énième fois depuis mon retour.
Elles se redressèrent ensemble et se collèrent poitrine contre poitrine pour continuer leur baiser en se caressant mutuellement la poitrine, juste sous mes yeux. C’était super excitant car elles prenaient leur temps, se retirant mutuellement leur tee-shirt, dévoilant leur corps quasi-nu devant moi.
Étrange sentiment : j’avais envie de participer tout en voulant rester dans le rôle du voyeur. J’étais assis, nu, et elles étaient dressées sur leurs genoux, en culotte de coton, de part et d’autre de mes jambes à se caresser.
De nouveau, la main de Géraldine se faufila entre les cuisses de Véro, à l’intérieur de la culotte et chercha à lui donner du plaisir en exerçant de petit mouvement circulaire. Elle lui stimulait sans aucun doute le clitoris car Véro redressa la tête vers le plafond et tendit sa poitrine vers la bouche de sa partenaire. Cette dernière la faisait languir puis, voyant mon amour fermer les yeux de bonheur, Géraldine avala le téton et branla plus énergiquement Véro. Moi, je lui tenais les fesses pour ne pas qu’elle s’éloigne de sa tortionnaire.
Une fois la jouissance atteinte, Véro se décala pour me permettre de me dégager, puis aussitôt après elle poussa Géraldine pour qu’elle s’étende sur notre lit-canapé. Après l’avoir enjambée, elle se coucha sur elle et alla de nouveau l’embrasser en prenant un sein dans sa main. Après un baiser éclair, elle descendit le long du corps de notre invitée en embrassant chaque parcelle de peau jusqu’à atteindre sa culotte, aspirant au passage ses deux tétons sortis.
Après un échange de regard avec sa nouvelle copine de jeu, Véro s’empara du dernier rempart de coton à deux mains puis, après un rapide regard vers moi, baissa doucement la lingerie en matant le chaton blond qui s’offrait à notre vue.
Gourmande, elle embrassa le pubis sous le regard ravi de Géraldine puis, timidement, glissa sa langue entre les muqueuses en prenant bien soin d’empêcher sa proie de se relever. Sa main faisait, pour ce faire, pression sur la poitrine de notre jolie blonde.
Je les regardais en récupérant et exauçai un autre fantasme en les laissant profiter l’une de l’autre dans un premier temps.
Véro prit progressivement de l’assurance et, connaissant les goûts féminins, elle se chargea de faire partager les mêmes plaisirs à son amante. Géraldine avait les cuisses ouvertes en grand et je me régalais en matant la langue de mon amour s’occuper de son chaton avec envie.
Visiblement, même si c’était la première fois qu’elle effectuait un cunni, Véro savait aussi y faire avec une femme puisque rapidement, en me regardant, Géraldine fut prise de soubresauts. Elle jouit à grand renfort de gémissements tout en repoussant la tête qui s’était incrustée entre ses jambes. Reprenant ses esprits, elle se dégagea pour retirer la culotte de sa lécheuse avant de lui rouler un patin d’enfer. Durant ce baiser, Véro me regarda vicieusement. Elles mélangèrent leur langue puis tournèrent la tête vers moi avant de m’intégrer à leur couple et me faire partager leur bouche l’une après l’autre. Bien entendu, de les voir agir ainsi m’avait procuré une forte érection que leurs mains ne manquèrent pas de flatter.
Mes mains partirent à la découverte de leurs fesses et je ne me suis pas privé de les toucher l’une comme l’autre, même si une petite différence de taille, 10 cm, était présente. D’abord par des gestes larges, mes doigts se regroupèrent vers leur sillon anal et mes majeurs cherchèrent à glisser au contact de l’entrée de leur vulve humide, par derrière. Nous étions collés les uns aux autres, debout au milieu de la pièce à nous embrasser et nous caresser, lentement, comme si la nuit nous appartenait. Nous avions tous joui au moins une fois ; nous avions le temps à présent de savourer.
Soudain, Véro me demanda d’aller prendre une douche en me faisant un clin d’œil… Je compris le message, non pas que je fusse sale, mais elle voulait aller plus loin avec Géraldine, seule dans un premier temps. Cette dernière me dit un « À tout de suite » plein de promesses tandis que Véro concentrait ses caresses sur la poitrine de Géraldine.
Une fois dans la salle de bain, porte volontairement ouverte, j’entendis les filles discuter d’une voix suave. Visiblement complices, elles venaient d’échafauder un plan avant de se diriger vers notre chambre.
Lorsque je les rejoignis, nu, elles étaient sous la couette, chacune dans les bras de l’autre et se caressaient tendrement en m’attendant. Lorsqu’elles me virent, elles se décalèrent pour me faire une place à leur côté – côté Véro – puis reprirent leur baiser comme si je n’étais pas là. Véro, allongée sur le dos, savait qu’elle m’excitait et que cette forme de trio était aussi un de mes fantasmes.
Je me joignis à elles, embrassant ma compagne, ce qui incita Géraldine à descendre plus bas dans le lit et s’occuper de la vulve de ma compagne avec sa bouche. Virant la couette pour la voir agir, je lui permis ainsi de prendre ma bite en main et, malgré un cunni sympa, de me gratifier de deux trois mouvements de fellation. Véro, me voyant observer Géraldine la déguster, me sourit et me chuchota :
Géraldine en profita, joua de ses petits doigts et de sa langue, se concentra sur le clitoris pour rendre la monnaie de sa pièce à mon amour, avide elle aussi de la faire jouir. Véro, devinant mon envie, me chuchota à nouveau ce pseudo-ordre :
Bien entendu, cela faisait partie de leur plan ; et Géraldine, même si ce n’était que chuchoté, me sourit en se positionnant pour nous permettre de prendre du plaisir à trois. Pas besoin de préparation supplémentaire : je l’ai enfilée doucement en écartant ses fesses et me suis mis en mouvement lentement pour lui permettre de laper le clitoris de mon amour. Le plaisir montait crescendo entre nous, et les gémissements des uns entraînèrent la jouissance des autres. Je me suis vidé pour la seconde fois à l’intérieur de notre invitée pendant qu’elle triturait habilement le point G de mon amour. Nous nous écroulâmes tous les trois, moi au milieu, et les filles se blottirent dans mes bras après avoir retiré la couette sur nous.
Même si leur tête était posée sur ma poitrine, je sentis un échange de regards et une complicité indescriptible. Pour éluder une crainte naturelle de la part de Véro due à un sentiment amoureux, je l’ai rassurée en lui disant que je l’aimais. Comme elle l’avait fait lors de notre union avec Damien, je l’ai aussi informée que j’étais très heureux de vivre une telle aventure avec elle et Géraldine, ce qui était plus que vrai.
Les filles se donnèrent la main sur mon ventre et je vis leurs doigts s’entremêler. Un nouveau cap venait d’être franchi pour nous, une autre étape qui finalement nous ravit et nous rapprocha de Géraldine.
Même si, de peur de rompre le charme, aucun de nous n’osait bouger, chacun savait qu’il allait bien falloir dormir, vu l’heure bien avancée. Notre lit en 160 nous permettait d’être à trois ; nous l’avions déjà testé avec Damien. Certes, nous étions un peu moins libres qu’à deux, mais chacun trouva sa place et, entre les deux filles, je ne fus pas le plus mal loti. Savourant plutôt la présence des deux filles à mes côtés, je ne dormis pas beaucoup. Je dirais que j’ai plutôt somnolé en fantasmant.
Le réveil fut original car – éveillé depuis quelque temps – j’ai préféré les laisser se réveiller toutes les deux avant de bouger.
J’ai partagé dans un premier temps un regard profond avec Véronique qui ne put s’empêcher de mettre sa main sur ma queue pour vérifier que Géraldine, encore endormie, ne s’en occupait pas déjà. Son but était peut-être aussi de commencer à m’exciter… car je ne l’avais pas pénétrée la veille.
Le fait de la prendre à l’intérieur de mon bras réveilla notre invitée. Celle-ci se retourna, se redressa pour nous embrasser chacun sur les joues, ce qui me permit de sentir le contact de sa jolie poitrine lorsqu’elle dit bonjour à mon amour.
Dans un premier temps je ne fis rien d’autre que d’être passif, mais une telle situation en guise de réveil me provoqua irrémédiablement une nouvelle envie. Pour masquer celle-ci, j’ai demandé à Géraldine si elle avait fait de beaux rêves. Sa réponse ne fit qu’augmenter mon envie de la serrer contre moi. Son regard vicieux fut agrémenté de la phrase suivante :
Elles se regardèrent et dirent ensemble en me fixant avec des yeux coquins :
Lorsque Géraldine se rendit compte que quelque chose se tramait sous la couette, elle souleva le tissu et contempla mon érection avant de me caresser le torse. Véro, qui n’avait pas été pénétrée la veille, vint se mettre à califourchon sur moi et présenta mon pieu à l’entrée de son chaton avant de se pénétrer elle-même sous nos yeux. Elle remua son corps jusqu’à sentir l’orgasme la saisir et se déchaîna sur mon sexe sous les encouragements de Géraldine qui lui roulait les tétons. Nous jouîmes de bon matin tous les deux tandis que je doigtais notre invitée, à genoux sur le lit. Cette dernière goûta sans que je lui demande nos sécrétions en me nettoyant, dès que ma compagne libéra ma queue.
Géraldine passa le week-end avec nous et partagea longuement les bras de Véro. Nous fîmes un petit passage chez elle pour prendre le nécessaire et elle prit pour me – pour nous – faire plaisir, une liquette très sexy qu’elle enfila dès six heures du soir. J’étais dans un état d’excitation tel que je me prenais pour le roi du monde, avec mes deux amantes qui faisaient tout pour me faire chavirer. La belle blonde partagea notre lit pour une deuxième nuit, prenant la place du milieu ce coup-ci. Sa position centrale nous permit de la téter âprement en mélangeant nos doigts au niveau de son sexe, pour finalement la doigter à deux.
J’eus les honneurs des deux filles : Géraldine se posa sur ma bouche et me donna son calice à laper alors que Véro me chevauchait, puis les positions furent inversées. Je pus à loisir les caresser, les peloter et même glisser mon majeur dans l’anus de Géraldine pendant que Véro jouissait sous sa langue. La soirée fut pleine d’érotisme et la nuit très chaude car les filles s’aimaient pendant mes phases de récupération.
Véro me raconta leur début de soirée le dimanche soir une fois au lit. Les plaintes de Géraldine concernant sa rupture, puis le réconfort d’une oreille attentive firent qu’elles se mirent l’une contre l’autre, innocemment au début. Plusieurs petites caresses sur la tête de Géraldine après, sans comprendre pourquoi ni comment, elles échangèrent un premier baiser. Géraldine avait en fait besoin de tendresse. Puis voyant l’heure tourner, Véro voulut prendre sa douche. Géraldine l’accompagna dans la salle de bain sans que ni l’une ni l’autre n’y trouve à redire. Elles prirent leur douche à deux, dans notre baignoire en se lavant mutuellement. De fait, elles échangèrent de petites caresses qui finirent par une masturbation réciproque en règle, comme devant nous chez Damien, mais en allant jusqu’à la jouissance cette fois-ci. Elle m’avoua aussi que cela aurait pu se produire durant une douche prise à deux lors de nos vacances si elles n’avaient pas été interrompues par des enfants bruyants à proximité.
C’est pour cette raison qu’elles étaient tout excitées lorsque je suis rentré deux heures plus tard. Par la suite, elles échafaudèrent un plan pour que Géraldine, en manque d’amour, puisse aussi renouer avec une queue masculine – la mienne – car elle ne voulait pas de relation de couple pour le moment… voulant d’abord digérer sa séparation avec Mathieu. Sachant que je ne ferais aucune difficulté pour satisfaire Géraldine, Véro avait pris sur elle pour me montrer qu’elle aussi savait partager et m’offrir la chance de profiter de deux partenaires prêtes à me donner du plaisir.
Pour finir, ma compagne me demanda si elle pouvait réinviter Géraldine en mon absence, lorsque je travaille le weekend de nuit notamment, pour lui tenir compagnie (avec un sourire en coin qui en disait long). Sachant que moi aussi j’y trouverais mon compte, je fis un signe positif de la tête, sachant qu’avec mon accord cette invitée resterait la nuit et me procurerait l’enthousiasme d’honorer un deuxième sexe féminin.
Notre relation triangulaire dura environ six mois, à raison de huit week-ends d’amour à trois. Géraldine rencontra ensuite un gars sympa qui devint un ami. Peut être caressera-t-il et honorera-t-il Véro un jour, si Géraldine lui parle de cet épisode de sa vie. Quoi qu’il en soit, je suis toujours aussi cérébral et je me fais déjà ce film d’un échange en bonne et due forme, même s’il tarde à venir car cette évocation stimule la libido de notre couple ; mais nous ne voulons pas briser celui de notre amie… Alors, nous laissons faire le temps !