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n° 15795Fiche technique18138 caractères18138
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Temps de lecture estimé : 13 mn
11/09/13
Résumé:  Pour refaire l'amour avec notre amie Géraldine, Véro corrompt son compagnon pour l'obliger à s'assumer et à accepter ensuite de faire l'amour ensemble, avec nous.
Critères:  fh couple couplus extracon cocus copains amour exhib cunnilingu pénétratio confession
Auteur : 1bichon  (homme aimant les femmes et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 06 / 05
Comment compromettre quelqu'un

Véro avait un appel de Géraldine qui lui demandait si son compagnon pouvait venir chercher ma perceuse le lendemain matin, pour pouvoir bricoler durant le week-end. J’étais en phase « matin » et donc absent pour raisons professionnelles de cinq heures à midi, mais nous nous connaissions suffisamment bien et cela ne me posait pas de problème de la lui prêter. Il me suffisait juste de la préparer pour qu’il puisse faire une visite éclair avant de partir bricoler.


Le soir pourtant, toujours plein d’imagination, je pris un malin plaisir à chambrer Véro en la chatouillant en disant que si cela se trouvait, Dominique, exploitant pour une fois mon absence ou de celle de Géraldine, en profiterait pour lui faire la cour.

Ce dernier n’avait jamais eu de gestes déplacés mais je savais qu’il était au courant de nos frasques sexuelles avec Géraldine, tout comme avec Damien… Il regardait souvent Véro avec un regard curieux et j’étais convaincu qu’il lui sauterait volontiers dessus si nous n’étions pas là avec Géraldine à chacune de nos rencontres. Cela faisait un an que nous le connaissions et nous n’avions pas franchi le pas de l’échange, et pourtant le corps de Géraldine m’attirait toujours autant. Les filles en avaient parlé et Géraldine ne savait pas comment Dominique réagirait en me voyant faire l’amour avec elle ou après coup vis-à-vis de Véro.


Étrangement, étant cérébral, cette idée m’excita toute la soirée. Elle me conduisit à orienter mes chatouilles répétitives vers des caresses puis vers des préliminaires en incorporant verbalement Dominique jusque dans notre accouplement. Nous eûmes l’un comme l’autre un orgasme agréable en imaginant qu’il s’était joint à nous pour nous regarder pour la première fois.


En rentrant du travail à treize heures le lendemain, je fus étonné de la trouver en peignoir. Elle m’embrassa, sourit puis, devant son air guilleret, je me mis à aborder la visite matinale. Elle remua la tête en laissant planer un suspens puis répondit à mes questions. Comme nous avions l’habitude de ne rien nous cacher, elle me conta sa matinée que je me remémore ainsi :


Prévue à 10 heures, la visite eut lieu à 9 heures, sous prétexte initial que cela laisserait plus de temps à Dominique pour bricoler. Il surprit Véro au moment où elle prenait son petit déjeuner, uniquement vêtue du peignoir qu’elle avait enfilé après sa douche. Après les bises d’usage, elle lui offrit de partager un café avant de lui donner la perceuse. Il accepta et se mit à table à la cuisine face à elle.


Cette visite théoriquement « éclair » s’attarda un peu. Ils prirent leur temps pour discuter des dernières nouvelles et Véro s’aperçut que Dominique louchait de temps à autre vers sa poitrine, au niveau des pans de son peignoir pourtant fermé. Elle repensa à notre discussion de la veille et, pensant au plaisir que je prends lorsqu’elle s’exhibe un peu, eut l’envie de s’amuser un peu à ses dépens. En posant sa tête dans sa main, elle s’accouda sur la table, ce qui inévitablement déforma son peignoir. Elle savait que cela augmenterait l’échancrure et ne manquerait pas d’attirer l’attention de son vis-à-vis.


Ils discutaient toujours de tout et de rien, vu que nous étions devenus amis par le biais de Géraldine ; mais Dominique se fit soudain curieux en questionnant Véro sur notre passé. Il voulait en savoir plus sur notre façon de vivre notre complicité amoureuse et la questionna sur nos relations avec Géraldine… puis avec Géraldine et Damien. Véro l’avait vu venir avec ses gros sabots et répondait sommairement pour le pousser à se dévoiler. Elle savait qu’il savait, Géraldine le lui avait confié… mais elle ne voulait pas lui raconter trop de détails. Cependant, elle finit tout de même par lui avouer quelques réponses du style :


  • — Nous nous aimons très fort et nous sommes toujours complices dans ses moments-là ; d’ailleurs, après nous en avons toujours parlé, et à chaque fois nous avons partagé du plaisir pendant… et après. Géraldine te l’a déjà raconté, de toute façon.
  • — Oui ! Je ne sais pas si je pourrais accepter de voir Géraldine avec quelqu’un d’autre.
  • — La base, c’est le plaisir sexuel, ce n’est pas les sentiments ! Moi, je n’aime que Laurent, tu sais ; mais j’ai joui avec un autre en sa présence, tout comme il a fait jouir Géraldine en ma présence.
  • — Et tu l’as déjà trompé en étant seule ?
  • — Non ; lorsque j’ai fait l’amour avec un autre, il a toujours été présent, et inversement avec Géraldine : c’est notre accord.
  • — Et si tu te faisais draguer ?
  • — Je lui raconterai, et je suis sûre que cela l’exciterait ; c’est suite à cela que nous avons fait l’amour la première fois avec Damien. D’ailleurs, il me draguait ; je lui en ai parlé, et ce vicieux a voulu le connaître et nous a tendu un agréable piège.
  • — Et tu as aimé !
  • — Tant qu’il me respectait, oui. C’était flatteur d’être leur protégée, mais il est allé trop loin et nous a déçus.

Lorsque Dominique se fit trop curieux, elle lui proposa un deuxième café pour changer de sujet. Il la regarda se lever, la suivit du regard en la questionnant sur ma façon de voir les choses, pendant qu’elle préparait le breuvage. Il se leva pendant qu’elle allumait la machine et l’attrapa par le bras pour l’attirer face à lui. Surprise, elle perdit un peu l’équilibre avant de se retenir à son bras. Après un regard fixe, il lui déclara enfin :


  • — Cela fait longtemps que j’attends ce moment-là !
  • — C’est-à-dire ?

Sans répondre, il avança ses lèvres pour embrasser Véro.


  • — Que fais-tu ? As-tu pensé à Laurent et Géraldine ? répliqua-t-elle en se reculant légèrement, prisonnière de ses mains.
  • — Ils ont déjà fait l’amour ensemble, pas nous ! Et là, tu m’attires, reprit-il en lui souriant, tout en la détaillant du regard.
  • — C’était dans des conditions particulières, tu sais ; nous étions trois !
  • — Je sais : Gégé m’a raconté, et je sais que vous avez envisagé de le faire avec moi… Mais je suis moins libéré que vous.
  • — Ce n’est pas une histoire d’être libéré ou pas : je ne veux pas détruire votre couple. Géraldine sait que tu es ici.
  • — Elle m’a dit que tu étais toute seule, et que si je tentais ma chance… peut-être que nous quatre… ensuite…
  • — Tu es sûr de cela ? Je lui demanderai, tu sais !
  • — Je sais.

Elle le fixa et, devant cet aveu, se laissa embrasser une seconde fois de manière plus engageante cette fois-ci. Elle le prit par la taille et lui donna sa bouche. Nos relations sexuelles avec Géraldine nous manquaient, nous en parlions des fois et le fait d’entendre qu’elle aussi voulait nous revoir intimement lui donna la force de se laisser faire par son hôte. Les corps étaient collés, et Dominique laissait ses mains s’égarer sur les fesses de ma compagne en les massant vicieusement tout en remontant le peignoir pour essayer de les toucher à pleines mains. Véro, dans un premier temps, l’en empêcha… à ses dires. Mais à quel moment ?


Rompant leur baiser, Dominique changea naturellement de cible et écarta doucement d’un doigt le haut du peignoir de Véro pour admirer sa poitrine. Il l’avait déjà entrevue sous un maillot de bain lors d’une sortie pique-nique au bord d’un lac, mais jamais à ma connaissance, vue aussi découverte.

Elle resta immobile, les mains le long du corps en observant son visage. Il lui sourit en avançant l’autre main et lui caressa le pourtour des deux seins à deux mains pour évaluer leur taille, puis il la regarda dans les yeux en lui disant :


  • — Toi aussi, tu as de beaux seins ! avant de pencher sa tête pour suçoter ses tétons mis à nus.

De sa main, il dénoua la ceinture du peignoir en embrassant ses seins, puis une fois celui-ci ouvert, se redressa pour se rincer l’œil en observant le pubis par l’ouverture créée.

Le café ayant fini de couler, Véro releva les bras pour ne pas perdre son peignoir mais laissa la ceinture défaite pour que Dominique sache qu’elle ne se refusait pas. Elle s’empara de la cafetière et rejoignit la table en esquivant Dominique. Le voyant la suivre du regard, elle lui lança en lui souriant, tout en restant debout à faire le service :


  • — Et moi, je n’ai pas le droit de me rincer l’œil ?

Elle était comme cela, surprenante par moments mais toujours adorable.


  • — Attention : si je me déshabille, je ne réponds plus de rien !
  • — Qui te dit que je suis contre ? Si Gégé est d’accord… fit-elle en lui tendant sa tasse.

Aussitôt, Dominique déboutonna sa chemise pour la poser sur la chaise. Il se retrouva torse nu devant ma compagne. Il s’empara de la tasse et la leva pour trinquer ; une rasade de café après, il passa sa main sous le peignoir pour prendre ce coup-ci la fesse de Véro à pleine main. Il l’approcha de lui et, après avoir posé les tasses, ils s’embrassèrent à nouveau, pratiquement torse contre torse, vu le peu de vêtements qu’ils portaient.


Véro me raconta que Dominique l’avait collé contre lui pour lui faire sentir l’érection de son pieu, malgré le pantalon. Elle continua en me parlant de la main qui lui parcourait à même la peau le dos et les fesses. Lorsqu’il cessèrent leur baiser, Dominique passa son autre main sur le sein gauche et plongea vers le nid de mon amour. Il la tint prisonnière entre ses mains, l’une en appui sur sa fesse, tandis que l’autre découvrait la moiteur de son minou. Elle m’avoua avoir volontairement savouré les premières caresses de l’ami de notre amie en le tenant simplement d’un bras autour de la taille avant de se mettre face à lui.


  • — Tu sais, je n’ai jamais fait l’amour sans Laurent ! lui dit-elle textuellement pour calmer un peu ses ardeurs.
  • — Je n’ai jamais trompé Géraldine non plus ; mais là… répondit-il en faisant glisser le peignoir sur ses épaules, la dénudant complètement sans qu’elle ne résiste.

Elle ôta l’éponge qu’elle posa sur la chaise, et aussitôt Dominique enleva son pantalon pour révéler une érection conséquente. Ils s’observèrent puis se rapprochèrent, et Dominique recommença à embrasser Véro. Cette dernière, suffisamment excitée, toucha son sexe à même la peau pour la première fois en glissant sa main dans son slip.

Ils découvrirent leurs corps manuellement pendant de longues minutes tout en s’observant ou en s’embrassant, puis Dominique entraîna Véro vers notre canapé-lit, au salon. Celle-ci s’assit face à lui et, le visage au niveau de son sexe, fit glisser le slip une fois pour toutes. Elle prit son pénis dans sa petite main, lui lécha le gland puis finit par le gober pour lui donner un aperçu de son savoir-sucer. C’était une reine, il n’y a pas d’autre nom : jamais je n’ai trouvé aussi bonne fellatrice qu’elle.


Dominique ne voulait visiblement pas jouir de suite, ou peut-être pas dans sa bouche. Il s’agenouilla entre ses jambes et lui ouvrit les cuisses pour lui rendre la politesse. Il lui embrassa d’abord les seins puis la poussa à s’allonger à moitié pour glisser sa bouche vers son puits d’amour. Cette image perverse de ma Véro offrant son buisson et son intimité les cuisses écartées me vint immédiatement à l’esprit lorsqu’elle évoqua sa position. Elle le regarda s’exécuter en savourant la langue qui s’affolait sur sa vulve, encourageant certainement son propriétaire à continuer.


Elle m’avoua avoir bien aimé cette langue vicieuse et les doigts qui roulaient ses tétons de bon matin. Cela lui donna envie d’aller plus loin que l’objectif qu’elle s’était fixé : juste une mise en bouche pour pouvoir le compromettre devant Géraldine et qu’il ne s’oppose pas à une partie fine entre nous. Elle n’avait pas prévu qu’il la fasse jouir en la doigtant et en la dégustant si délicatement. Lorsque les soubresauts s’emparèrent d’elle, elle tenta de le repousser, mais sans se refuser, et accepta finalement qu’il l’amène vers des cieux agréables.

N’ayant pas envie de le boire, pour lui permettre de jouir aussi, elle prit le parti de vivre notre fantasme de la veille et de lui offrir son corps. Pour lui faire comprendre, elle lui dit simplement lorsqu’il releva la tête pour la regarder :


  • — Viens en moi.

Leur excitation, provoquée par leurs préliminaires buccaux, fut suffisante pour que le pieu glisse lentement entre ses lèvres vaginales. Tout au long de cette première pénétration, ils se fixèrent comme s’ils étaient conscients de fauter vis-à-vis de nous, me certifia Véro ; mais, en même temps, la sensation ressentie était agréable car Dominique s’enfonçait lentement pour observer ses réactions. Il attendit un peu au fond d’elle avant de se mettre en mouvement, puis regarda leur sexe entrer en harmonie. Véro garda volontairement les cuisses le plus écarté possible pour que Dominique puisse graver dans son esprit cette pénétration et la vision de sa petite chatte qui engloutissait son membre, de taille normale, en émettant des petits « flocs » témoins de leur excitation.

Il jouit en elle assez vite, premier écart de conduite vis-à-vis d’une Géraldine complice à distance, mais réussit tout de même à faire jouir Véro en poursuivant sa pénétration après l’éjaculation.


Elle se donna à lui comme elle s’était donnée à Laurent, Damien, Mathieu, Jonathan : avec plaisir, en lui offrant son corps et la possibilité de jouir en elle ; mais cette fois, sa pensée se tourna vers moi au moment de l’orgasme, me confia-t-elle, car elle repensa à notre conversation de la veille en plein acte. Celle-là même où je lui disais que Dominique nous regardait faire l’amour et qu’il rêvait peut-être de la prendre et de la faire jouir. Elle vivait cela moins de vingt-quatre heures plus tard grâce à Géraldine.

Lorsqu’il sortit de l’antre de ma compagne, il frotta son pénis sur son pubis puis s’allongea sur elle en lui mangeant délicatement les seins. Il la masturba encore un peu pour calmer son corps puis s’excusa en mentionnant l’heure qui tournait.

Véro le congédia en lui annonçant qu’elle avait apprécié, mais que la prochaine fois cela serait avec Géraldine et moi, charge à lui d’organiser cela, juste histoire de l’amener à se dénoncer à notre amie pour avoir la certitude de sa complicité.

Elle avait repris une douche, puis lut un livre érotique en m’attendant, allongée nue sur le lit, heureuse de savoir que, discrètement, Géraldine rêvait aussi de reprendre une relation multiple avec nous.



Dominique lui avait donné du plaisir et de la douceur ; donc rien ne nous empêchait de refaire l’amour avec lui, sauf peut-être une jalousie qu’il exprimerait vis-à-vis de Géraldine. Mais il n’avait plus les mains propres !


Bien entendu, mon côté cérébral me fit vivre la scène au fur et à mesure que Véro me la contait ou répondait à mes questions en mangeant. Elles étaient plus vicieuses les unes que les autres ; et l’un comme l’autre, pris par l’excitation de vivre ou revivre l’action, nous eûmes envie de faire l’amour en parlant de Dominique et de Géraldine. Au diable le dessert – froid, de toute façon – ; je me suis placé derrière elle pour glisser ma main sur ses épaules. Glissant sous son peignoir, j’ai entrepris de caresser sa poitrine à deux mains par derrière. J’ai refait pratiquement les mêmes gestes qu’avait dû faire Dominique quelques heures plus tôt en la regardant vicieusement, d’abord debout derrière elle, puis face à elle lorsqu’elle se leva. Son corps était on ne peut plus réceptif à mes caresses ; et même si elle m’avait un peu trompé, le fait de me le raconter juste après méritait mon pardon, car c’était pour mieux partager son aventure et faire un peu comme si nous l’avions vécue ensemble. Elle avait certes eu une aventure sans moi – c’était un peu une brèche dans notre contrat – mais elle savait qu’en me racontant tout, je la questionnerais et je m’imaginerais son corps et celui de son amant. L’objectif était louable, le but étant de me permettre de refaire l’amour avec Géraldine, et pourquoi pas de nouveau à trois ou à quatre.


Elle se donna à moi avec beaucoup de ferveur, puis se blottit dans mes bras une fois l’orgasme passé. Elle me confirma que sa relation n’avait été que sexuelle, même si des baisers avaient été échangés pour se stimuler, et que Géraldine serait informée pour ne pas que Dominique devienne un amant encombrant. Une étape restait à franchir puisqu’elle avait prévenu Dominique qu’elle m’informerait de leur aventure ; la restitution de la perceuse et l’attitude qu’il tiendrait devant moi à cette occasion, à moins qu’il ne vienne avec Géraldine…


Lorsque cette étape eut lieu, il vint seul. Pour le tester un peu, je pris le parti de lui offrir l’apéro en lui demandant si Géraldine était au courant de son incartade, et comment elle avait pris la chose.



Véro hocha positivement la tête pour approuver mes dires.



Elle fit un signe affirmatif puis fit la bise à Dominique en échangeant un sourire avec nous. L’avenir était sous-entendu : nous ferions bientôt l’amour à quatre, soit en échangeant nos partenaires habituelles, soit proches les uns des autres, soit en trio devant l’un de nous… et chacun y trouverait du plaisir.