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Temps de lecture estimé : 13 mn
29/10/13
Résumé:  Après un passage en cabaret, nous poursuivons notre soirée en dansant langoureusement en vue de nous offrir du plaisir et d'intégrer l'ami de Géraldine à notre relation.
Critères:  2couples couple couplus extracon copains danser amour voir exhib cunnilingu échange champagne confession
Auteur : 1bichon  (H aimant les femmes,le voyeursime et le triolisme)      Envoi mini-message

Série : Du fantasme à la réalité 3

Chapitre 07 / 05
Une soirée érotique pour le nouvel an

Envisageant de refaire l’amour avec Géraldine, sur demande de cette dernière, ma compagne avait corrompu son petit ami pour tester sa loyauté en vue de l’unir à nous. Ils avaient fait l’amour et Dominique s’était montré honnête envers elles. Nous lui avions donc parlé de notre relation avec Géraldine, puis avec les autres. Cela l’avait intéressé et malgré une certaine crainte de jalousie, il nous avait quittés avec l’envie d’essayer une relation multiple en écoutant mon conseil :



Ce que bien sûr ma compagne, un peu soumise et ralliée à mes idées, avait approuvé. L’avenir avait été sous-entendu : nous ferions bientôt l’amour à quatre, soit en échangeant nos partenaires habituelles, soit proches les uns des autres, soit en trio devant l’un de nous… et chacun y trouverait du plaisir.


Du coup, nous nous retrouvâmes chez eux pour le réveillon du Nouvel-An. Les filles s’étaient arrangées entres elles et nous avaient concocté une soirée riche en couleur. Elles s’étaient vêtues de jupes et chemisiers de couleurs chaudes avec des Dim-Up et nous avaient demandé de nous faire beaux. Pour le programme, elles avaient retenu dans le plus grand secret quatre places au cabaret L’Éléphant bleu, un cabaret « polynésien » proche des Champs-Élysées. C’était une première pour chacun de nous.


Les tables étaient composées de grandes tablées de douze personnes… Nous n’étions que quatre, et nous dûmes partager, sans choisir, notre tablée avec d’autres personnes. Le repas – quoique original – fut délicieux et le spectacle sur scène intéressant. De belles Polynésiennes se déhanchaient devant la centaine de personnes présentes. À minuit, repas terminé, des confettis couleur or tombèrent du plafond, les cotillons envahirent la salle et des boulettes en papier volèrent de table en table. Une charmante demoiselle installée à la table voisine se chargea de me prendre pour cible pour attirer mon attention tandis que mes compagnons visaient d’autres convives.


La musique reprit et chacun gagna la piste de danse pour s’essayer aux danses polynésiennes… dans une sacrée partie de fou-rire. La demoiselle s’arrangea pour venir près de moi et nous dansâmes en groupe sans aller plus loin. J’aurais bien tenté ma chance si je n’avais pas été en couple… mais je ne serais pas aller au cabaret non plus.


Slows avec Véro, Géraldine et même avec cette fameuse demoiselle, danses diverses, ambiance festive, nous passâmes une belle soirée qui se termina vers deux heures du matin. De retour chez Géraldine et Dominique, nous montâmes boire une coupe de champagne pour commencer agréablement l’année entre amis. Tout chauffés par cette chaude soirée, nous ne pensions à rien d’autre qu’à nous amuser. Je rejoignis du coup Géraldine à la cuisine alors qu’elle préparait le plateau avec les verres. Naturellement, sans chercher midi à quatorze heures, je la pris par la taille, par derrière et lui fit faire un déhanché langoureux comme celui que nous avions effectué sur la piste une heure plus tôt. Elle joua le jeu, ce qui me donna envie de me coller à elle. Il va s’en dire que je fus rapidement pris d’un début d’érection en sentant ses fesses contre mon bas-ventre. Véro remarqua notre danse et répliqua à l’intention de Dominique :



Ce qui me fit sourire car elle ne pouvait pas mieux provoquer Dominique.

Il la prit donc par la taille, par derrière, comme nous, et ils se déhanchèrent en chœur, lentement, sur une musique imaginaire.

Au diapason de leur couple, je pris les mains de Géraldine pour lui faire lâcher ses verres et les mélanger avec les miennes.

Étant tous sur la même longueur d’onde, peu de temps après avoir repoussé ses cheveux, mes lèvres se posèrent sur son cou et ma bouche taquina sa peau. Dominique m’imita en offrant les mêmes sensations à Véro avant de proposer :



Chacun retrouva son calme ; Géraldine apporta les verres et le champagne sur la table du salon, Dominique alluma la chaîne hi-fi, changea la luminosité pour créer une ambiance plus chaleureuse et Véro me fit une merveilleux sourire de complicité. Il faut croire que c’était prémédité, car peu de temps après du blues se fit entendre, en sourdine vu l’heure, et nous reprîmes nos partenaires respectives par la taille, les uns face aux autres dans la même position que précédemment.


Nous déambulâmes plusieurs minutes ainsi, délivrant quelques baisers dans le cou de nos princesses tandis qu’elles nous caressaient le visage en se laissant guider, clignant des yeux sans toutefois perdre leur compagnon respectif du regard. Les morceaux s’enchaînaient très lascivement, tous plus cool les uns que les autres, et aucun d’entre nous ne voulait casser ce moment de douceur. La bouteille de champagne n’était pas débouchée, nous n’en avions le temps.


Nos mains se joignaient sur leur ventre ; les leurs, posées sur le nôtre, entremêlaient leurs doigts aux nôtres tandis que leur tête reposait sur nos épaules. Nos deux « faux couples » étaient au diapason. Très tactile, en superposant mes mains, je fis glisser mon index et mon majeur entre les deux boutons ventraux du chemisier de Géraldine pour toucher sa peau. Sentant sa tête se frotter un peu plus contre moi, comme si elle était envoûtée par la musique, je fis discrètement sauter un bouton pour glisser le bout de ma main sur son nombril. Véro et Dominique nous regardaient de temps à autre ; elle avait posé ses mains derrière elle, sur l’extérieur des cuisses de son partenaire, alors que ce dernier la tenait d’une main par la taille, de l’autre par les côtés. Sa main était proche de sa petite poitrine (85B) et nul doute que tout en frottant son corps contre le dos de ma compagne, il cherchait un déclencheur pour débuter un pelotage en règle de son sein droit.


Plus téméraire que lui, je fis le premier pas en glissant ma main – et celle de Géraldine – lentement vers le sein de cette dernière. Empaumant progressivement son sein gauche, nous donnâmes le feu vert à Dominique pour copier notre mouvement.

Véro se laissa faire, tout comme Géraldine qui lâcha ma main, et l’échange de regards que Dominique m’adressa me dévoila le plaisir qu’il prenait à changer de partenaire. Cela dit, après quelques minutes de douces caresses sur leur poitrine, les deux filles rompirent le charme en se retournant pour nous embrasser à pleine bouche pour la première fois de la soirée. D’un commun accord, elles changèrent de partenaire et Véro se lova contre moi pour m’embrasser en fermant les yeux, à l’unisson de nos amis.


Chacun avec sa chacune, nous partageâmes des gestes affectifs, puis l’envie de danser face à face reprit le dessus. Plus libre, je me mis à déboutonner lentement le chemisier de Véro qui, la tête en appui sur moi, se laissa faire en fermant les yeux, ce qui incita Dominique – avec un léger retard – à exécuter la même opération avec Géraldine. Progressivement, tous les boutons furent défaits puis les pans des vêtements s’ouvrirent naturellement pour révéler le centre des soutiens-gorge. Les filles nous laissèrent agir à notre guise et tout comme moi, Dominique semblait prendre plaisir à vouloir exhiber sa compagne.


Ma main glissa sous le tissu pour empaumer une nouvelle fois le sein de Véro tandis que mon index, lui, se faufila au contact de sa peau nue, sur son téton. Dominique, me sembla-t-il, se contenta de passer sa main sur le ventre de Géraldine en l’embrassant dans le cou. Quelques secondes de caresses plus tard, Véro se retourna face à moi pour réclamer un baiser en m’enserrant le cou. M’arrangeant pour retirer son chemisier, nous partageâmes un délicieux baiser chargé de complicité qui lui permit de dégrafer ma chemise et de me la retirer tandis que je venais de faire sauter l’attache de son soutien-gorge sous le regard complice de nos amis.


Le disque prenant fin, Géraldine, en soutien-gorge, proposa de trinquer le champagne à la nouvelle année pendant que Dominique changerait la musique. Ce dernier en profita pour retirer lui aussi sa chemise, ce qui nous amena à partager le champagne quasiment torse nu, Véro venant d’enlever son sous-vêtement. Mes yeux mataient la poitrine cachée de Géraldine malgré la faible luminosité ; idem pour Dominique vis-à-vis de Véro, pouvant lui aussi profiter de sa semi-nudité pour se rincer agréablement les yeux.


Une fois les coupes vides, je pris Géraldine par la main pour l’entraîner vers un nouveau slow érotique, bien décidé à lui retirer rapidement son soutien-gorge. Sentant ma main proche de l’agrafe, cette jolie blonde me regarda et tendit sa bouche vers la mienne. Notre baiser fut hésitant mais mes doigts agirent eux aisément. Elle se décolla de moi pour ôter sa lingerie et aussitôt recolla son 90B chaud contre mon torse. Derrière elle, Dominique observait avec intérêt l’évolution de la situation.


Véro, s’en rendant compte, le saisit par la main pour se coller à lui et le pousser à unir à leur tour leurs lèvres. Étant tous les quatre sur la même longueur d’onde, je fis retourner ma partenaire pour pouvoir exhiber et caresser sa poitrine tout en observant ensemble nos conjoints. Ses seins fermes et ses tétins clairs furent un plaisir à effleurer, à cajoler. Dominique, avisant de la scène, fit un signe à Véro qui, tournant la tête, décida d’adopter la même position que notre amie. Ce retournement permit à son cavalier de lui offrir les mêmes caresses. Face à face, les mains jointes derrière nos cous, les deux demoiselles savouraient nos lentes caresses en offrant leur poitrine tendue en appuyant leur tête contre nous. Elles se fixaient intensément, le regard chargé de complicité, de sous-entendus. Nous étions au diapason les uns des autres.


Nos caresses leur donnèrent vraisemblablement envie, et l’une comme l’autre penchèrent la tête en arrière pour quémander un nouveau baiser. Après un rapide coup d’œil entres hommes, nous partageâmes à nouveau leur langue si bien qu’elles finirent par se retourner pour plus de praticité. Jusqu’à présent, Dominique ne semblait pas jaloux tandis que sa compagne me flattait le torse en me tenant le cou par l’autre main.

Avec un temps de retard, Véro imita Géraldine et caressa à son tour le torse de Dominique tout en l’embrassant. Satisfaites de la tournure des événements malgré une certaine fatigue, nos compagnes se tendirent la main et s’attirèrent pour s’embrasser à leur tour, puis revinrent vers leur régulier pour ne pas faire de jaloux.


Chacun reprit son conjoint en main et nous partageâmes un slow langoureux en nous caressant amoureusement. Ce fut l’un des rares où nous effectuâmes de vrais mouvements de rotation. Un regard vers l’autre couple nous informa qu’il était comme nous, amoureux, dans l’envie, dans l’attente. Peu de mot avaient été échangé depuis notre arrivée ; ce n’étaient que gestes de complicité, de tendresse. Le slow fini, Géraldine tendit à son tour la main vers Véro, partagea un nouveau baiser puis en profita pour provoquer un nouvel échange de partenaires et revenir dans mes bras. Ce coup-ci, elle se pendit franchement à mon cou, m’embrassa puis recolla sa poitrine contre mon torse tout en dansant sur la pointe des pieds. Lorsqu’elle rompit le baiser, je sentis sa main glisser sur mon ventre et venir tâter mon sexe par-dessus mon pantalon. La garce ! Elle m’excitait depuis longtemps et elle le savait, si bien qu’en remontant sa main, elle défit le bouton de mon pantalon et dénoua ma ceinture avant de s’attaquer à ma fermeture Éclair. Pour finir, elle fit passer sa petite main à l’intérieur de mon pantalon et toucha mon sexe du bout des doigts. Nos yeux se croisèrent et, juste après, nos regards se tournèrent vers l’autre couple.


Véro avait collé son visage contre le torse de Dominique. Elle jouait de ses doigts sur sa poitrine. Il la regardait d’un air attendri. Lorsqu’elle nous observa, son regard se dirigea vers la main de Géraldine et elle comprit que son amie avait une certaine avance sur elle. Elle se mit en charge de combler celle-ci en abaissant sa main plus bas pour faire « subir » à son partenaire le même sort que moi. Ce qui me fit sourire, c’est que ce dernier, un peu surpris, regarda par-dessus sa tête si Géraldine ne l’observait pas. Croisant mon regard, il saisit qu’il valait mieux les laisser faire. La main de Géraldine caressa mon pénis par-dessus mon slip, doucement, jusqu’à ce que je lui propose d’attendre deux secondes pour me permettre d’ôter mon pantalon car je ne voulais pas la blesser avec ma ceinture qui pendait. Elle se dégagea, et rapidement je fis choir chaussures et pantalon loin de nous.


Dominique, avec un temps de retard, copia mon envie à me mettre à l’aise et quitta lui aussi ses effets. Les filles se regardèrent et je surpris un sourire de complicité entre elles. Autant les laisser mener la danse, car elles se débrouillaient très bien jusqu’à présent et étaient vraisemblablement dans le même état d‘excitation que nous. Toujours dans le même esprit, elles se firent un signe de tête et échangèrent à nouveau de partenaire. Véro revint dans mes bras et naturellement chercha à échanger un baiser avec moi, tandis que Géraldine, souriant à son homme, entourait son cou de ses bras.


Danser corps à corps, en slip dans les bras d’une fille partiellement déshabillée qui se love contre vous, et ce face à un couple d’amis dans le même apparat procure une sensation étrange. Une envie de baiser, empreinte de retenue pour faire durer le moment et obtenir un orgasme titanesque. Le corps de nos compagnes respectives n’avait pas de mystère pour nous ; celui des conjoints non plus d’ailleurs, car nous avions déjà fait l’amour avec Géraldine, et Véro s’était chargée de corrompre Dominique. Mais nous prenions tout simplement notre temps. Peut-être était-ce dû au champagne ingurgité, à la musique suave ou à l’envie de faire partager à Dominique ce moment de bonheur que nous partagions auparavant avec Géraldine. (Voir mes autres publications.)


Ce fut d’ailleurs ce dernier qui choisit de passer à l’étape suivante en relevant la jupe de sa compagne sur ses fesses pour glisser sa main sous sa culotte. Je vis sa main bouger sous le voile et cela me donna envie de lui offrir le même spectacle. Le visage des filles était collé à nous et leurs regards se cherchaient par-dessus nos épaules. Elles semblaient apprécier cette audace, tant et si bien que lorsque je me mis à baisser la fermeture de la jupe de Véro, celle-ci m’aida, retira sa jupe et vint se coller dos à moi pour danser en culotte face à nos amis. D’un signe de la tête, Dominique fit comprendre ce qui se passait à sa moitié, et aussitôt celle-ci releva le défi en imitant Véro. Nous nous observâmes quelques minutes en partageant quelques caresses manuelles sur la poitrine des filles, puis Géraldine s’approcha de nous pour mêler sa langue à celle ma compagne. Les laissant s’embrasser, Dominique et moi partageâmes le reste de la bouteille en les regardant se caresser.


Nous étions tous les quatre debout au centre de la pièce, quasiment nus lorsque Géraldine faufila sa main par-devant dans la culotte de Véronique, à la grande surprise de son compagnon. Véro glissa sa main à son tour dans la culotte de sa vis-à-vis mais par derrière, en vue de nous exhiber sa fesse. Les deux filles s’amusaient à nous exciter et, au détour d’un mouvement, Géraldine dévoila le pubis de ma compagne à l’assemblée en décollant sa lingerie avec le dos de sa main. Vu l’emplacement de ses doigts, nul doute qu’elle lui caressait le clitoris d’ailleurs. Ce fut cependant Véro qui interrompit la caresse en s’agenouillant et en entraînant par la même occasion la culotte de notre hôte.


Aussitôt relevée, Géraldine lui rendit la monnaie de sa pièce et les deux femmes se retrouvèrent cul nu devant nous. Elles se chuchotèrent deux ou trois mots à l’oreille puis revinrent finir leur verre avant d’unir leurs lèvres avec les nôtres pour nous faire comprendre, en tirant sur l’élastique de nos slips, que ceux-ci devait disparaître. Tandis que nous nous exécutions, elles mataient nos érections. Elles intervertirent cependant leur place, et Géraldine m’ouvrit ses bras. Quasi nus les uns contre les autres, elles avec leurs bas autofixants, nous dansâmes traditionnellement en laissant nos mains s’égarer sur le corps de nos partenaires, puis les filles se mirent dos à nous pour se regarder. Les hostilités étaient déclenchées. Je pris le sein de ma partenaire en main en voyant Véro frotter sa tête sur le torse de son cavalier. Il me singea, puis mon autre main s’aventura vers son pubis blond faiblement poilu. Bénéfice de la taille, Dominique, s’il voulait maintenir le contact, ne pouvait que toucher le haut du pubis châtain de ma compagne, cette dernière n’étant pas très grande. Nous savourâmes tous ce moment d’excitation, nos cavalières s’offrant totalement à nos caresses. Nos sexes perlaient ; cependant, personne ne s’en offusquait.


Lorsque le bout de mes doigts s’engagea dans le sillon vulvaire de ma partenaire, Dominique s’empara des tétins de Véro pour les rouler entre ses pouces et index. Sachant que cette dernière adore cette caresse si elle est faite avec douceur, je me suis douté que ma compagne n’allait pas tarder à vouloir passer à l’étape suivante. Effectivement, au moment où le clitoris de Géraldine se révélait à moi, Véro pivota, s’agenouilla et emboucha le sexe de son futur amant. Géraldine, qui savourait ma masturbation les yeux fermées, ne se rendit compte de ce fait qu’en entendant quelques clapotis. Aussitôt elle se tourna vers moi, m’embrassa à pleine bouche puis descendit à son tour m’administrer une caresse manuelle et buccale très appréciable.


Leur savoir-faire et notre excitation latente eurent raison de notre éjaculation, et les deux garces se firent un malin plaisir à ne pas nous laisser les arrêter. Elles nous burent avec gourmandise, s’occupant de nous jusqu’à la dernière goutte puis se relevèrent et s’embrassèrent amoureusement pour mélanger nos goûts en laissant leurs mains s’égarer sur leur corps. Avec Dominique, nous nous regardions d’un air penaud, car ni lui ni moi n’avions prévu de jouir ainsi. Suite à cela, les deux garces s’assirent côte à côte sur le canapé, main dans la main, puis après un regard complice entre elles, écartèrent les cuisses en s’adressant à nous en ces termes :



Sans nous concerter, nous nous installâmes entre les cuisses de la compagne de l’autre, nos mains enserrèrent leurs cuisses à la lisière des Dim-Up et nos bouches se rapprochèrent de leur sexe gonflé d’envie. Nous mîmes un point d’honneur à faire jouir les deux amies le mieux possible en ne jouant qu’avec nos langues. Leur chatte était trempée, leur nectar barbouillait nos bouches, mais le plaisir qu’elles partageaient en se tenant la main était beau à voir. Leurs gémissements nous encouragèrent à ne surtout pas nous arrêter, et lorsque l’une comme l’autre posa une main sur notre tête, nous sûmes que l’orgasme allait nous délivrer.


Géraldine plaqua peu de temps après ma tête contre sa vulve, m’étouffant presque contre sa chatte, resserra les cuisses en se contractant puis cria son orgasme. Véro, au grand soulagement de Dominique, la suivit de quelques secondes alors qu’elles se tenaient toujours la main.

Une fois l’orgasme passé, l’une comme l’autre repoussa notre tête de leurs cuisses. Chacun avait pris son pied et nous étions trop fatigués pour aller plus loin ce soir-là. Nous nous effondrâmes à côté de notre compagne régulière en la serrant contre nous, par le cou, afin de reprendre notre souffle. La phrase que Dominique prononça fut approuvée par chacun :



Une conclusion s’imposa à chacun de nous : nous recommencerions prochainement, mais après une soirée moins épuisante.

Nous nous quittâmes peu de temps après pour retrouver un lit fort accueillant, jusque tard dans la matinée.