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n° 16061Fiche technique42663 caractères42663
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Temps de lecture estimé : 31 mn
21/02/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Arrivés à Nice pour son concert, la Star et son garde du corps ont profité d'un après-midi calme pour se reposer et faire des jeux sexuels avec une collaboratrice, Diane.
Critères:  #policier fh ff fff sport hotel douche
Auteur : Starpom      Envoi mini-message

Série : Le garde du corps

Chapitre 03 / 07
Une star pas comme les autres...

Résumé de l’épisode précédent :


Arrivés à Nice pour son concert, la Star et son garde du corps ont profité d’un après-midi calme pour se reposer et faire des jeux sexuels avec une collaboratrice, Diane.






Voici donc la salle Nikaia… On dirait une mouette qui vole à l’envers. Ceci étant, je trouve l’édifice très beau.

Bon, manifestement, nous sommes attendus, il y a des costards cravates dehors.

Le chauffeur rentre dans le complexe, et se gare au bas des marches.

Je sors de la Mercedes blindée et, comme d’habitude, je bloque la sortie à Marlène, le temps de contrôler les abords.

J’observe sur 360°. Rien à signaler, j’entraperçois l’équipe de protection autour du bâtiment, au niveau des entrées notamment.

Marlène ne dit rien, elle a dû comprendre ce que je faisais à chaque fois que l’on sortait de la voiture. Galamment, je lui tends la main pour l’aider à sortir du véhicule.



Les gars en costume se rapprochent en souriant. Chacun y va de son baisemain…



Pendant ces mondanités, les deux techniciens de Marlène qui sont venus avec le minibus de la production vont voir la salle, et inspecter le contenu des deux semi-remorques qui ont transporté la technique son et lumière.

Marlène et les deux gars montent les marches. Je passe devant eux pour inspecter le hall d’entrée.

Nous sommes tous dans le palais Nikaia. Ça en jette ! La salle est quasiment neuve, tout est conçu pour accueillir le public.

Nous franchissons les portes vitrées, prenons un couloir.



Le directeur de la salle a l’air stressé. Il transpire, son front chauve est brillant de sueur. Marlène ouvre la porte, allume la lumière et rentre dans la loge. Elle prend appui sur le chambranle, croise les jambes et parcourt la pièce des yeux.

Un canapé, une table basse, une table contre le mur recouverte de fleurs et de panières de fruits, un comptoir pour le maquillage en face d’un miroir gigantesque entouré de lampes. Ça envoie du lourd à Nikaia. Il y a même un cabinet de toilette et une pièce avec un lit. Les murs sont blanc cassé, le mobilier rose très foncé, limite bordeaux. Lie de vin, je crois, le nom exact.



Un seul accès, facile à contrôler, la porte. Pour le reste, pas de fenêtre, pas de sortie de secours.



Le directeur du palais Nikaia stresse… il a l’air angoissé comme pas permis. Je trouve ça plutôt amusant, vu que je commence à comprendre comment fonctionne Marlène.



Marlène gratte sa lèvre inférieure avec son index, tout en regardant la loge.



Elle s’approche de la table, prend deux poires, m’en lance une que j’attrape au vol. Le gars semble se dégonfler d’un coup, de soulagement.



Bon, elle remet une couche avec son « mon chéri »… Je n’ai pas encore eu le temps de voir si son « buzz » fonctionnait, mais manifestement, elle l’entretient…



Le pauvre Jacky ne sait plus à quel saint se vouer… Je décide de calmer le jeu.



Nous voilà partis vers le fond du bâtiment. Nous montons sur la scène, côté jardin si j’en crois un panneau. Faudra que Marlène m’explique cette histoire de côté jardin et côté cour…



Pour un peu, il se frotterait les mains, le Jacky. Mais bon, je le comprends, vendre toutes les places rapidement, ça doit rassurer. En plus, elles sont plutôt chères… 49 à 109€, selon l’emplacement. Une affaire qui roule comme on dit.

Les deux battants glissent sur leurs rails et s’ouvrent entièrement. Effectivement, la scène donne directement sur la pelouse. Elle est magnifique, d’un vert vif profond.

Il y a quelques sportifs et sportives qui courent sur la piste en tartan qui entoure le terrain de football.

Un entraînement de rugby a lieu aussi, sur la pelouse. Les gars y vont mollo sur les placages, ce sont des vétérans, ils jouent pour le plaisir.

Il y a aussi un emplacement de saut en hauteur, une piste de haies. Vraiment sympa, le stade, il me donne envie d’aller faire un peu de footing, histoire de m’aérer, et de me joindre aux rugbymen… Mais bon, boulot, boulot…


La scène est entourée par les gradins. Plusieurs rangées en escalier, et pas de toit de protection. Quatre pylônes d’éclairage aux points cardinaux. Aucun autre point haut ne donne sur la scène, rien que le ciel. Parfait, si un tireur de précision, vulgairement appelé « Sniper », veut prendre une ligne de mire sur la scène, il en sera pour ses frais. Juste contrôler les pylônes d’éclairage, et c’est sécurisé.



Marlène m’interroge à distance, en souriant.



Elle me dit ça d’une façon sibylline… je la trouve craquante. Serais-je en train de m’attacher ? Pas bon, ça…



Quelques coureurs commencent à se rapprocher de la scène, par curiosité je pense. Une jeune fille montre du doigt la Star, je suis sûr qu’elle l’a reconnue. Je me positionne au bord de la scène, et ne les quitte pas des yeux. Je crève de chaud avec mon blouson, il doit faire au moins 28°. Il faudra que je demande un holster de port discret pour mon Glock, histoire de le mettre sous une chemisette…

Le groupe de joggers passe, seule la jeune fille s’arrête devant moi, en-dessous de moi, en fait. Elle doit avoir une vingtaine d’années, elle est toute mince, son abondante chevelure retenue en queue de cheval. Elle doit venir des îles, elle est noire, et son sourire est éblouissant.



Elle est attendrissante, on dirait une petite fille qui demande une faveur. Je jette un coup d’œil, rien de particulier autour de la scène ni dans le stade.



Je rejoins le groupe au fond de la scène, où les discussions vont bon train. J’attends la fin de la discussion en cours, qui porte sur les kilowatts, les lyres, le micro HF… Enfin, Marlène se retourne vers moi.



Marlène regarde dans la direction indiquée, mais de la jeune fille, on ne voit que le haut de la queue de cheval…



Elle part à grandes enjambées vers le devant de la scène, ses talons claquent sur le sol en bois. Vite, je la rattrape et passe devant, l’œil aux aguets…

Arrivée au bout de la scène, Marlène interpelle la joggeuse.



La fille est comme scotchée, elle ouvre grand les yeux, et la bouche aussi. C’est fou l’effet que fait Marlène sur ses fans…



Marlène est comme une gamine, elle veut un truc, et tout de suite il faut le faire. Ceci dit, je préfère, et de loin, un déplacement imprévu que programmé, c’est beaucoup moins risqué.



Je tends le bras vers Marie. Un bon point, elle m’attrape l’avant-bras au niveau du poignet ; je lui attrape le sien, et d’une traction, voici Marie sur la scène du Nikaia, à côté de Marlène.



Elle soulève son petit top. Effectivement, elle porte une ceinture porte téléphone en-dessous. Elle a un petit ventre tout plat et tout musclé… Ah, que c’est bon d’avoir 20 ans… Elle sort le Smartphone de sa sacoche.



Marie me tend le téléphone pendant que Marlène se met à côté d’elle. Elle passe son bras sur l’épaule de Marie, et met sa tête à côté de celle de Marie.



Je fais des photos en rafale, il y en aura bien une de bonne dans le tas…



Je rends le portable à Marie.



Et voilà Marlène qui tourne les talons et repart vers le fond de la scène, dans la salle. Marie, souplement, saute de la scène, et me fait un petit signe de la main.



Je rattrape la Diva.



Petite Marie, je parle de toi

Parce qu’avec ta petite voix

Tes petites manies, tu as versé sur ma vie

Des milliers de roses.


Petite furie, je me bats pour toi

Pour que dans dix mille ans de ça

On se retrouve à l’abri, sous un ciel aussi joli

Que des milliers de roses *


Il n’y a pas à dire, Marlène chante divinement bien, même a capela. Je comprends mieux pourquoi elle envoûte les spectateurs, sa voix est douce, nette, parfaitement placée, un vrai bonheur.



Elle prend son portable, pianote dessus…



Elle raccroche.



Pas à dire, quand elle a une idée derrière la tête, elle ne l’a pas ailleurs, la Diva. Hop, un SMS pour prévenir du changement de programme. J’en connais qui doivent être blasés…

Je vais prévenir les gars de la technique que nous partons. Ils rentreront à l’hôtel avec le minibus. Je sors ensuite du Palais Nikaia, un petit coup d’œil circulaire… rien de particulier. La Mercedes est garée en bas des marches, mais je ne vois pas le chauffeur. Marlène sort du palais à son tour.



Et c’est qui, qui se fait manipuler ? C’est le père Julien… Ceci dit, ce n’est pas méchant non plus, mais elle m’inquiète un peu, avec ses « mon chéri », « mari et femme »…

Le véhicule de l’équipe périphérique n’est plus là, ils doivent être en train de contrôler les abords du supermarché sportif…



Je suis un peu scotché je dois dire… On verra bien.

Nous montons dans la voiture, je prends le volant. Pas à dire, les Allemands, ils savent faire de belles voitures… Le volant est en cuir souple, le tableau de bord digne d’un Airbus A380.

Je prends une casquette dans la boîte à gant, et la tends à Marlène.



Nous sortons du Palais Nikaia, et suivons les panneaux N202. Ça tombe bien, un panneau publicitaire indique que le Décathlon est à 3 minutes, dans le centre commercial de la Lingostière.

La voiture est une merveille à conduire, malgré son poids conséquent. Marlène pianote sur son iPhone, la musique est en sourdine, la clim est enclenchée, mais ne fait aucun bruit. Le top !

Quelques minutes plus tard, je prends la bretelle de sortie pour le forum commercial, et rentre dans le parking du supermarché.



Effectivement, une Jaguar est en train de sortir de stationnement. Hop, je me gare. Je regarde attentivement, mais rien de particulièrement inquiétant dehors, des clients aux bras chargés de sacs, des couples, des jeunes…

Nous sortons de la voiture. Marlène a un peu de mal à ouvrir sa portière, vu le poids… Je contourne la Mercedes et l’aide à sortir de la voiture.

Ensuite, nous nous dirigeons vers l’entrée du Décathlon.



Nous déambulons dans les rayons. Marlène prend des chaussettes, choisit ses chaussures de « Running ». Au rayon shorts, elle tombe sur un short moulant noir, un peu du genre de ceux que mettent les cyclistes, mais sans le renfort de selle. Du lycra, d’après l’étiquette.



Nous allons aux cabines d’essayage. Marlène referme le rideau. J’attends devant, en regardant dans tous les azimuts.



Elle ouvre le rideau… Ouahhh… pas à dire, ça lui va bien. Elle est vraiment bien foutue, la star…



Marlène termine ses achats. Je prends une paire de chaussures, des chaussettes et un short basique. Arrivée à la caisse, Marlène insiste pour payer. Pour l’instant, personne ne l’a reconnue. Il faut dire qu’entre la casquette et les lunettes de soleil…

Je prends les sacs de la main gauche. Direction la voiture.



Avant de démarrer, j’envoie un SMS à l’équipe de protection, pour les informer du programme de la soirée.

Arrivés à la suite, chacun va dans sa chambre. Il est 19 h. Je branche la télé sur BFM. Tiens, ils font un reportage sur Marlène ! Je monte le son…


La grande Marlène Mongeot a officiellement annoncé sa liaison lors d’un repas caritatif. Voici l’heureux élu, à sa gauche. D’après nos informations, il s’agirait d’un ancien militaire. Toutefois, nous n’avons pas pu savoir précisément qui il est. Nous vous tiendrons informés dès que nous aurons des informations supplémentaires. En Centre Afrique…


Effectivement, pour buzzer comme elle dit, ça buzze… Je sens que ça va être chaud pour le concert.



Marlène m’appelle de sa suite. Je la rejoins.



Elle a enfilé le short et le petit top noir. Elle est super attirante comme ça…



Elle s’approche de moi, prend ma tête entre ses mains, et m’embrasse. Sa langue cherche la mienne. Elle relève une jambe et appuie sur mon sexe qui durcit instantanément…



Ensuite, d’une main, elle dégrafe ma ceinture, ouvre ma braguette, fait descendre mon pantalon sur mes chevilles. Elle passe sa main dans mon caleçon, et saisit mon sexe qu’elle commence à caresser avec fougue. C’est divin.

Elle continue à appuyer mon entrejambe avec sa cuisse. Je lui saisis les fesses, que je caresse à travers le lycra.



J’attrape Marlène, lui fais faire demi-tour, et l’approche du lit. Elle prend appui sur le matelas avec ses mains, penchée en avant. Je lui descends le cuissard jusqu’aux chevilles. Marlène soulève les pieds l’un après l’autre pour que je puisse lui enlever. Ensuite, toujours en appui, elle écarte un peu les jambes.

Je me positionne derrière elle, et je guide mon sexe pour la pénétrer. Marlène me facilite la tâche. Son ventre est déjà très humide, mouillé même. Me voilà profondément planté en elle. Je commence mes allers-retours en lui tenant les hanches.

La situation est tellement excitante que, rapidement, je sens la jouissance arriver. Je passe une main sur le ventre de Marlène, la descends vers sa toison, et entreprends de la masturber. Sa respiration saccadée m’indique qu’elle apprécie ce traitement. Ses seins ballottent sous le petit top noir.

Je ralentis un peu, le temps pour elle d’arriver à l’orgasme. Quelques instants plus tard, Marlène jouit bruyamment. Je continue quelques instants, puis rapidement, je sors mon sexe de son ventre, le pose entre ses fesses. Quelques mouvements encore et c’est à mon tour de jouir. Je me répands sur ses fesses, longuement…



Décidément, Marlène m’étonnera toujours. J’aurais dû me douter qu’il y avait anguille sous roche.

Je me rhabille après m’être essuyé. On frappe à la porte de la suite.



J’entrouvre la porte. Ok, c’est bien le serveur avec la table roulante. Je vérifie la table, pas d’appareil d’enregistrement quelconque, et les plats sentent bon. Je pousse le tout dans le salon et dresse la table.



Marlène me rejoint en peignoir ; elle a pris une douche. Galamment, je lui tends la chaise. Elle s’assoie.



Nous prenons notre repas comme un couple qui se connaît depuis longtemps. Nous parlons de l’actualité, du buzz, de son concert, de mon passé. Le repas se passe à merveille, très agréable.



Je m’habille en sportif. Sous mon t-shirt, je suis obligé de mettre une ceinture pour tenir le holster du Glock dans mon dos. Pas très pratique ni confortable, mais mieux que rien.

Je mets le t-shirt. Ça va, on ne voit pas trop l’arme. Il faut dire que le t-shirt est une taille trop grande, pour masquer l’étui et l’arme.

Je rejoins Marlène dans le salon. Elle est en tenue de sport.



Ascenseur, parking, voiture. C’est parti pour le stade. Marlène a mis sa casquette et de grandes lunettes à peine teintées. Parfait.

10 minutes plus tard, je me gare sur le parking du stade. Je repère la voiture de l’équipe de protection, ils doivent être en place.

Quelques minutes plus tard, nous entrons dans le stade. Les projecteurs sont allumés en veille, la nuit n’est pas encore tombée. Marie est assise dans un gradin, elle écoute de la musique sur son téléphone, avec des écouteurs. Nous la rejoignons.



Marlène lui fait la bise, Marie n’en revient pas apparemment…



Pendant une dizaine de minutes, nous faisons des étirements, des abdos, bref, l’échauffement de tous nos muscles. Ça fait du bien, ça me manquait… je m’en rends compte maintenant. Et puis, travailler son corps avec deux magnifiques femmes à ses côtés, pas à dire, c’est génial.

Ensuite, nous faisons une dizaine de tours de piste. Les premiers se passent bien, mais arrivés au sixième, nous commençons à sentir nos muscles un peu raides… Je laisse les deux filles prendre un peu d’avance. Le spectacle est très attirant, elles sont vraiment bien foutues, toutes les deux. Marie est beaucoup plus véloce que Marlène, ça se voit. Il faut dire qu’il y a quand même une quinzaine d’années d’écart…

À la fin du dixième tour, nous récupérons un peu, les mains sur les genoux, penchés en avant pour bien se ventiler.



Marie ne sait plus où se mettre, et moi non plus…



Je dois être tout rouge, ma figure chauffe, et ce n’est pas la chaleur du stade je pense.



Je bafouille, je ne m’attendais pas à ça.



Elle se retourne vers Marie, lui prend la main.



Marie nous regarde avec des yeux écarquillés.



Marlène tient les deux mains de Marie en lui posant la question. Elle lui sourit.



Marie est indécise. Elle nous regarde l’un après l’autre…

Marlène l’attire vers elle, et lui embrasse tout doucement la bouche.



Marie va chercher son sac. Marlène me regarde, me sourit.



Marie nous rejoint. Nous allons prendre la Mercedes, direction l’hôtel.

Pendant le trajet, les filles parlent des chansons de Marlène, que Marie connaît par cœur manifestement.

Arrivées dans la suite, Marlène et Marie se dirigent vers la douche. Je vais dans ma chambre, range le pistolet dans un tiroir, me déshabille et prends une bonne douche. Ça fait du bien, l’eau est bien chaude. Ensuite, je mets mon peignoir et rejoins les filles dans la chambre de Marlène.


Elles sont toujours sous la douche. J’enlève mon peignoir, et rentre dans la salle de bain. Marlène et Marie sont en train de s’embrasser sous la douche. La vision de ces deux corps, l’un tout blanc, l’autre tout noir, est magnifique. Marie est en train de savonner Marlène. Elle fait ça tendrement, en insistant bien sur le bas ventre et sa toison rousse. Marlène semble apprécier ce traitement.


J’hésite à les rejoindre. Marlène me voit, et me fait signe de rentrer dans l’immense cabine de douche. J’ouvre la porte. La vapeur s’échappe. Je rentre et referme le battant.

Marie est devant moi, de dos. Je prends du savon liquide, et entreprends de lui savonner le dos. Elle a une peau douce. Je lui savonne les épaules, puis descends sur le dos, les reins, et enfin, les fesses. Elles sont toute fermes, et bien galbées, bien que petites.


Je remets du savon dans mes mains. Je passe ma main entre ses jambes, et lui savonne la chatte. Tiens, elle est rasée. Dommage. Le savon mousse bien néanmoins. Délicatement, je rentre un doigt dans son vagin. Marie a une petite contraction, puis elle écarte un peu les jambes, pour faciliter mes mouvements.

Je sors mon doigt, le fais glisser vers ses fesses. Arrivé sur son petit trou, je lui fais un massage doux avec mon majeur. Elle cambre un peu les reins, m’ouvrant mieux le passage. Elle ne semble pas réfractaire de ce côté-là non plus. Je ne veux pas aller trop vite, je sors mon doigt d’entre ses fesses, et lui caresse les reins.

Une main noire vient prendre mon sexe et le branle doucement. Une main blanche la rejoint, et me saisit les testicules par en dessous. La sensation est fantastique.


Je continue à caresser les fesses de Marie, et me penche en avant pour embrasser la bouche de Marlène. Marie appuie sa bouche contre nous. Nous nous mettons un peu en biais, afin de pouvoir nous embrasser à trois en même temps. Je vois que Marie, de son autre main, est en train de masturber la Diva. Je coupe l’eau, et nous continuons nos jeux de main. Heureusement que Marlène et moi avons fait l’amour plus tôt dans l’après-midi, sinon, j’aurais déjà joui, vu le traitement dont je bénéficie.


Je caresse en même temps leurs fesses. Celles de Marie sont un poil plus fermes que celles de Marlène, mais les deux sont incroyablement agréables à caresser. Marlène sort de la cabine de douche, en tenant la main de Marie. Elles se sèchent avec des serviettes. Marlène entraine ensuite Marie sur le lit, où elles s’enlacent. Je ne sais pas trop quoi faire, je reste debout à contempler ce tableau idyllique. Tout à coup, mon HTC se met à vibrer sur la commode. Je le prends. C’est un SMS de l’équipe de protection extérieure qui m’indique qu’ils ont une inquiétude sur une fenêtre qui fait face à la chambre de la Diva.


Immédiatement, je vais fermer le double rideau. J’essaye de ne pas trop attirer l’attention des deux filles qui sont en train de faire l’amour. De toute façon, les volets étaient bloqués en position « soleil », si il y a un tireur embusqué, il ne doit pas voir grand-chose de la chambre.


Je sors discrètement de la chambre et compose le numéro du chef d’équipe.



Je raccroche, éteins la lumière, et vais à ma fenêtre dont les volets sont grand ouverts. J’écarte le rideau intérieur, et regarde les fenêtres en vis-à-vis. Quelques-unes sont éclairées, d’autres non. J’observe attentivement. Ah… voilà… ok, je prends mon téléphone et appuie sur « bis ».



La silhouette disparaît de la fenêtre. Le gars va ouvrir la porte ?



Je raccroche. Bien, j’espère que le gars n’a pas pu faire de photo de Marlène à poil avec Marie… et moi… Je retourne dans la chambre de Marlène. Marie est en train de la lécher, la Diva est sur le dos, les jambes écartées. Je me mets dans l’alignement de la petite ouverture entre les volets, vers la fenêtre du journaliste. Parfait, au pire, il a photographié le pied de la commode. On s’en tire bien.


Marlène m’interroge :



Je saisis mon peignoir, l’enfile, et rentre dans ma chambre. Je me rhabille. Jean noir, T-shirt noir, holster à même la peau. J’ai dans l’idée de faire une petite patrouille dans les couloirs, histoire de tâter l’ambiance. J’ai confiance en mon instinct, mais encore faut-il le travailler un peu.C’est vrai que les paparazzis sont un vrai problème. Il faut les traiter comme des tireurs embusqués, car les procédés sont les mêmes, seul le matériel change. Je sors de la suite, et tombe sur Diane.



Je regarde attentivement Diane. C’est vrai qu’elle me plaît beaucoup. J’aime son sourire éclatant, son corps voluptueux, son regard souriant. J’ai envie d’elle, son physique me fait vibrer, et sa gentillesse me plait. Il faut dire que la scène avec Marlène et Marie m’a laissé dans un état d’excitation assez fort, aussi. Je décide de taquiner Diane.



Elle repart dans sa chambre. 2 minutes plus tard, elle est de retour. Elle s’est changée, elle a mis un collant noir et un t-shirt rose, bien échancré, et ses sandales. Elle est bandante comme ça !



Je regarde Diane marcher. Sa croupe se balance agréablement, on voit qu’elle n’a pas de culotte. Dans l’ascenseur, je lui caresse les fesses…



Nous descendons au bar. La clientèle ne présente aucune caractéristique spéciale, des clients lambda. Pareil dans le hall d’entrée, rien de spécial. Les hommes présents ont tous un regard sur la plastique de Diane. Nous prenons l’ascenseur, direction l’étage.

Lorsque nous entrons dans la suite, nous trouvons Marlène et Marie en peignoir, en train de boire un thé, assises à la table.



Diane me regarde, me sourit, et se met à quatre pattes, comme demandé par sa patronne. Elle baisse d’elle-même son caleçon noir, et me présente ses magnifiques fesses bien écartées. Ensuite, elle replie ses bras l’un sur l’autre, y pose sa tête et me présente sa croupe.

Je m’agenouille derrière elle, me caresse un peu pour bien durcir, lui masse un peu le sexe qui est déjà mouillé à ce que je ressens, et d’une poussée, je la pénètre. Je prends ses hanches voluptueuses en main, et j’y mets de la cadence. Mon ventre claque sur les fesses de Diane. C’est vrai que c’est un bonheur de la pénétrer… c’est tout doux, moelleux, humide…

Diane cambre les reins, s’offrant encore plus à moi. Je repousse son t-shirt vers le haut, par-dessus sa tête, libérant ses seins, qui se mettent à se balancer au rythme de mes coups de boutoir. Je vois Marlène et Marie qui se caressent en nous regardant.


Au bout de plusieurs minutes, Diane jouit longuement, en râlant. Son cri me fait éjaculer dans son ventre, en plusieurs saccades. J’espère qu’elle prend la pilule…

Je me retire de Diane, et re-calotte mon sexe. Diane tourne sa figure sur ses avant-bras, les fesses toujours levées. Elle me regarde. Elle rayonne. Cette fille est faite pour l’amour, c’est pas possible !



Diane se relève et remet son caleçon, après avoir mis un mouchoir entre ses cuisses, pour absorber mon sperme je suppose, sans tacher le collant.



Une fois Marie et Diane sorties, Marlène me regarde.



Elle me plante un baiser sur les lèvres, et rentre dans sa suite.

Drôle de nana, cette Marlène. Un coup je pense qu’elle se croit amoureuse de moi, un coup elle m’envoie baiser sa collaboratrice. Sexualité très compliquée, je n’ai pas encore compris la totalité du mode d’emploi.

Bon, allez, une douche, au dodo. Je me demande ce que demain me réserve… Un petit coup d’œil sur l’agenda… « Balance et RepGEn tout l’après-midi ».

Balance ? Ah oui, l’ingénieur du son m’a expliqué qu’il fallait régler tous les instruments et micros pour que le son soit parfait partout dans la salle, et que ça prenait du temps.



*Petite Marie — F. Cabrel


À suivre…


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