Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 16063Fiche technique54298 caractères54298
9504
Temps de lecture estimé : 39 mn
23/02/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  La star a visité la salle de concert, et en a profité pour faire un peu de sport avec son garde du corps et Marie, une jeune sportive rencontrée sur place. La chanteuse en a profité pour séduire Marie et prendre du plaisir avec elle dans sa suite.
Critères:  #policier fh cunnilingu anulingus
Auteur : Starpom      Envoi mini-message

Série : Le garde du corps

Chapitre 04 / 07
Une star pas comme les autres...

Résumé de l’épisode précédent :


La star a visité la salle de concert, et en a profité pour faire un peu de sport avec son garde du corps et Marie, une jeune sportive rencontrée sur place. La chanteuse en a profité pour séduire Marie et prendre du plaisir avec elle dans sa suite.







J’ai quelques courbatures ce matin, les muscles des jambes un peu durs… 4 km seulement ! J’ai perdu la forme. Il n’y a pas si longtemps, c’était 8 bornes avant le petit-déj, sans même forcer. À mon avis, Marlène doit en avoir aussi. Il ne faudrait pas que cela la gêne pour le concert de demain.

Je termine de me raser, le petit déjeuner « continental » m’attend dans le salon de la suite.

Avec la télécommande, j’allume l’écran sur Télé matin de ce bon vieux William. Évidemment, je tombe sur des pubs. Je commence à déjeuner. Fin des pubs, et voici la rubrique « Culture ». Je monte le son.


« … et l’évènement de ce week-end, c’est bien sûr demain soir, à Nice, le concert géant de la reine de la chanson française, notre Marlène nationale. Frédérique, vous êtes en direct de Nice avec nous ce matin, comment se présente ce concert ? »


« Tout à fait, William. Eh bien, je suis devant le Palais du Nikaia, 36 heures environ avant l’évènement, et déjà, une file d’attente commence à se former. Les tentes fleurissent sur le parking du stade, l’ambiance est très bon enfant. Il faut dire que la météo radieuse rend l’attente plus agréable. La police et les services municipaux ont installé des barrières pour canaliser les fans, mais tout se passe dans la bonne humeur.

J’ai discuté avec une jeune femme, elle m’a appris qu’elle venait à tous les concerts de Marlène Mongeot, depuis plusieurs années. Que voulez-vous, William, être fan de la grande Mongeot, c’est limite un sacerdoce… »


« Et vous avez pu, Frédérique, avoir quelques informations sur le chéri de Marlène ? Car contrairement à la rumeur persistante qui voulait nous faire croire que Marlène n’aimait pas la compagnie des hommes, comme on dit en politiquement correct, paf, elle nous lâche une bombe, elle nous annonce son mariage avec un inconnu. Avouez que c’est fort de café, elle a pris tout le monde par surprise. »


« Oui, William, j’ai eu quelques infos. Il s’agit bien d’un ancien militaire. D’ailleurs, nous avons interrogé le ministre de la Défense, voici sa réponse en images. »


Apparaît le visage du ministre, entouré de journalistes.


« Effectivement, nous connaissons le compagnon de madame Mongeot, qui a servi brillamment pendant 20 ans les couleurs de la France sur plusieurs théâtres d’opérations extérieures, toujours dans l’honneur et le respect de nos valeurs. Ceci étant, vous comprendrez bien que je ne m’étends pas plus sur le sujet, il s’agit de la vie privée d’une grande artiste que nous aimons tous, il lui appartient, leur appartient devrais-je dire, de communiquer ou non, selon leurs souhaits. Toutefois, je pense pouvoir vous dire que cet officier a reçu, à de nombreuses reprises, des décorations pour son mérite et son engagement à défendre notre pays et nos intérêts. Je vous remercie. »


L’image revient sur le journaliste en direct de Nice.


« Voilà William ce que le ministre a bien voulu dire à une de nos équipes. Vous conviendrez que Marlène n’a pas choisi son compagnon dans le milieu du showbiz, c’est à se demander comment ils se sont rencontrés. »


« Oui, Frédérique, Marlène aime bien surprendre son monde. Ceci étant, ils forment un beau couple, souhaitons-leur tout le bonheur du monde. Et nous ne lâchons pas le morceau, nos investigations sont en cours. Vous irez au concert samedi ? »


« Bien sûr, je ne manquerais ça pour rien au monde, j’ai déjà mon pass VIP. Je vous raconterai, William. »


« C’est bien, mon petit, vous me raconterez. C’est pas un beau métier, journaliste ? On côtoie les plus grandes stars, on se fait inviter aux plus grands concerts… À Paris, dimanche prochain… »


Je coupe le son. Eh bien, il semblerait que le buzz de Marlène fonctionne à plein rendement. Elle vient, nous venons plutôt, d’avoir les honneurs du JT de France 2. J’ai peur que cela ne me gêne dans mon travail, il va me falloir composer avec ça.


Sandrine rentre dans la suite après avoir frappé à la porte.



Marie a dû avoir du mal à tenir sa langue. Ou un employé de l’hôtel. Ceci dit, c’était prévisible, je suis même étonné que ça ne se passe que maintenant.



Elle sort. Je vais faire le point avec l’équipe de protection périphérique. Ils sont débordés, les fans tentent de rentrer dans l’hôtel, et sont devant toutes les issues.



Je remonte dans la suite, et frappe à la porte de Marlène.



Marlène est en culotte, à plat-ventre sur le lit. Le masseur est en train de ranger ses flacons. Il est grand et un peu en surcharge pondérale, moitié chauve, débonnaire. Je le verrais bien en Père Noël pour les enfants.



Le gars s’en va, emportant sa mallette.



Elle s’assoit au bord du lit. C’est vrai que sa poitrine est magnifique… Restons concentré.



Reste à trouver un deux-roues, maintenant. Et deux casques. Je descends au parking souterrain. Plusieurs motos et scooters sont parqués. Ils doivent appartenir aux employés de l’hôtel, je pense. J’ai le permis moto, mais il y a quelques années que je n’ai plus conduit. Voyons, voyons…

FZX de Yamaha… trop brutal…

FJ 1000… un peu gros…

Scooter 50… trop léger…

Ah, tiens, un Honda S-Wing 125. Parfait. Bulle haute, top case avec dossier, suffisamment de puissance pour la ville. Il ne me reste plus qu’à trouver son propriétaire.

Je monte à l’accueil. Le concierge est là.



Euh… bah, passons.



À mon avis, vu sa tête, il n’a pas gobé un mot de mon histoire. Tant pis.



Je vais au fond du hall, pousse les portes battantes. Me voici dans la cuisine. Il y a pas mal de monde, et ils sont tous à bloc. Un jeune passe à côté de moi, les bras chargés de cagettes de tomates.



Je me dirige vers le gars. 25 ans, plutôt beau gosse, l’air affairé.



J’hésite à lui balancer mon histoire bidon, ou être honnête avec lui. L’honnêteté paye toujours.



Il est marrant, ce gars. Il a failli faire un lapsus…



Il va au vestiaire, et revient quelques instants plus tard, avec un casque.



Il est futé, le gamin, il a tout pigé.



Je remonte dans la suite après avoir pris le deuxième casque au sous-sol, frappe à la porte de Marlène, et entre dans sa chambre.



Elle prend son smartphone.



En quittant la chambre, je tombe sur Sandrine.



Je les prends, et redescends à la cuisine, où je trouve Jérémy en train de peler des pommes de terre.



Je lui tends les invitations. Il s’essuie les mains sur le tablier, et les saisit.



Bien, il est 10 h 30. Je retourne voir le concierge.



Pendant son absence, je me rapproche discrètement de la sortie. Effectivement, c’est le bazar dehors. Un monde fou. Je retourne à l’accueil de la conciergerie.



Je prends les deux vestes, elles sont immaculées.



Bien, j’ai tout ce qu’il me faut. Je descends au sous-sol, enlève le cadenas, et me familiarise avec le scooter. OK, pour démarrer, il faut serrer le frein avant gauche, et enlever la béquille. Il ronronne. Beau matériel, sont forts, les Japonais. Je roule un peu dans le parking, histoire de le prendre en main. Il se manœuvre facilement, et a un peu de pêche aussi. Il sera parfait.

Je remonte dans la suite, et vais donner la veste de cuisine à Marlène.



Joli rattrapage. Je fais semblant de ne pas avoir relevé.



Marlène éclate de rire.



Pendant que j’enlève mes vêtements, après avoir vérifié que les rideaux étaient bien tirés, Marlène ôte sa culotte. Elle est vraiment belle, nue. Nue et habillée, elle est belle.

Je m’allonge sur le lit, sur le dos. Marlène se met à côté de moi, à genoux, et prend mon sexe en érection dans sa main gauche. Avec la droite, elle me caresse la joue.



Marlène me branle lentement, tout en douceur.



Elle m’embrasse à pleine bouche, tout en accélérant le mouvement sur mon sexe. Je ne vais pas tenir bien longtemps à ce rythme-là, et elle le sait très bien.



Elle accélère encore… Je sens arriver la jouissance… Elle y va gaiement ! Et j’éjacule. Mon sperme gicle sur mon ventre, et Marlène n’arrête pas le mouvement, tout au plus elle ralentit en augmentant l’amplitude et en serrant bien la main. Je me vide littéralement…



Elle se retourne, attrape une serviette sur la table de nuit, et m’essuie soigneusement. Elle jette la serviette par terre, passe par-dessus moi, et s’allonge à mes côtés.



À mon tour, je m’agenouille à côté d’elle, me penche vers sa bouche que j’embrasse goulûment, tout en commençant à la masturber. Je commence par masser tendrement son sexe, sa toison rousse. Puis, délicatement, j’écarte ses lèvres intimes, pars à la recherche de son clitoris. De mon majeur, je le caresse doucement, un long moment. J’embrasse ses joues, son oreille, et lui caresse sa tête de mon autre main. Elle a les yeux fermés, elle se laisse entièrement aller à mes caresses. Mon majeur la pénètre doucement. Sa grotte est humide, il n’a aucune difficulté. Marlène frémit. Je joins mon annulaire à mon majeur, et la pénètre profondément. C’est trempé. Ma paume s’appuie sur son clitoris en même temps.



Je me déplace sur le lit, me mets entre ses jambes. Je lui prends les chevilles, replie ses jambes et les écarte. Son sexe est grand ouvert devant moi. Marlène se masse les seins, les triture, elle pince ses tétons. Je me penche en avant, et ma langue vient chahuter son clitoris.



C’est marrant, quand elle part, elle me tutoie. Je continue. Je rentre ma langue le plus loin possible dans son sexe.



Je repousse encore ses jambes, pour lui relever un peu les fesses et les écarter. Ma langue s’aventure vers son anus tout rose, et le lèche doucement.



J’enfonce un peu ma langue dans son petit trou, de quelques millimètres. Il est bien serré, et Marlène se contracte.



Je viens de rentrer mon pouce dans son sexe, et je masse un peu plus fort son bouton d’amour. Elle part complètement…



Heureusement qu’elle m’a branlé, sinon je l’aurais prise sans autre forme de procès. Je lui lèche le sexe en même temps que mon pouce la pénètre. J’enfonce ensuite mon majeur dans son sexe, et le lubrifie le plus possible. Ensuite, je le présente devant son petit trou, et entreprends de la pénétrer par là tout en la léchant de plus en plus fort.



Marlène a des contractions, elle vient de jouir brutalement. Je sors délicatement mon doigt de ses fesses, tout doucement…



Marlène se tourne sur le côté, et replie ses jambes, genoux sous sa poitrine.



Dans cette position, j’ai les fesses de Marlène pile face à moi. Elles sont superbes. J’aimerais bien la prendre comme ça. Pas à dire, elle me plaît bien, la Diva. Et pas que pour le sexe, j’apprécie beaucoup sa façon d’être, de parler, de chanter bien sûr, de vivre, tout simplement. Elle est cash, mais plutôt gentille.



Et allez, zou, agenda bouleversé. Elle récupère vite, la miss.



Je me penche, la ramasse et lui tends.



Rapidement, nous nous rinçons sous sa douche, puis, une fois habillés, nous mettons les vestes de commis, prenons nos casques. J’ai juste le temps d’informer l’équipe de protection de la modification du programme, mais à mon avis, on va arriver avant eux, vu qu’ils sont en voiture.

Arrivés au sous-sol, nous mettons nos casques. Marlène se débrouille pour que ses cheveux roux restent bien dedans. Je l’entends maugréer…



Je déploie les cale-pieds et stabilise l’engin. Marlène l’enfourche, et se cale bien contre le dossier. Elle m’attrape les hanches.



Elle se serre contre moi, nos casques s’entrechoquent.



Contact. Le scooter ronronne. Un tour de poignée des gaz, et nous voilà partis. Arrivés en haut de la rampe, la barrière s’ouvre. Devant nous, une cinquantaine de personnes au moins, certaines avec des appareils photos, des caméras, d’autres sans rien. Tout le monde nous regarde, nous inspecte. Avec les visières fermées, ils ne doivent pas voir grand-chose. Je reste stoïque. Au bout d’une vingtaine de secondes, plus personne ne semble s’occuper de nous. Je lance un petit coup de klaxon, pour qu’ils se poussent…



Un peu à contrecœur, ils se poussent. J’en profite pour rejoindre la Promenade des Anglais, direction le port, en me faufilant parmi les voitures arrêtées. Je surveille mes rétros, mais personne ne nous a pris en chasse semble-t-il. Nous contournons le port, et prenons la basse corniche. Feu orange bien mûr, je passe… Parfait, personne ne nous suit. Je mets les gaz, et nous voilà roulant tranquillement à 80 km/h. Premier carrefour, feu vert, je passe. Ah tiens, c’est limité à 50. Je ralentis, inutile de prendre un PV.

Une petite dizaine de minutes plus tard, Villefranche-sur-Mer. Je suis les panneaux « Port ». Effectivement, dans un paysage de carte postale, un alignement de restaurants, de bars, de commerces, le long d’un quai. Magnifique. Je gare le scooter sur une place pour deux-roues. Nous descendons.



Marlène ôte son casque et met sa casquette et ses lunettes noires. Coup d’œil périphérique, RAS. Une terrasse de café nous tend les bras.



Nous nous installons face à la mer. Un serveur vient prendre notre commande. Un Monaco pour moi, un thé vert pour la diva.



Bien. Option 1, je saute dans le port. Mais vu la profondeur… Option 2, je pars en courant ? Option 3, je laisse venir ? Option 3.



Elle baisse le ton et se penche vers moi et me parle à l’oreille.



Pfou, j’ai chaud, là. C’est vrai que ça me tente beaucoup… Elle sait y faire, la diva.



Et elle me regarde avec un grand sourire.



Vu son grand sourire, ça ne peut que m’aller…



Elle pose 20 € sur la table, et nous allons enfourcher le scooter.

Pendant que nous revenons vers Nice, Marlène pose sa tête casquée sur mon dos, s’appuie sur moi, et croise ses bras autour de mon torse. Je sens sa poitrine contre mon dos. Je dois avouer, elle est en train de me faire craquer. Ma seule inquiétude est de savoir si elle est sincère ou juste manipulatrice.

D’un autre côté, je n’ai pas de petite amie, juste des « copines » occasionnelles, une bonne soirée, un gros câlin, et au revoir à bientôt… Et puis, j’aime bien l’imprévu, les voyages, les pays étrangers, bouger… C’est tentant. À condition qu’un connard ne la flingue pas. Je vais rester concentré sur ce problème, et je ne prendrai de décision que lorsqu’il sera traité. Traiter une cible, en langage militaire, veut dire… détruire. J’ai deux raisons maintenant pour contrer une éventuelle attaque.


Enfin, nous arrivons au palais Nikaia. Il y a foule, effectivement. Comme pour l’hôtel, je me faufile, direction l’entrée des artistes.

Les deux gendarmes de faction nous interceptent.



J’enlève mon casque.



Le gars se marre. Il regarde Marlène, qui lève sa visière.



Elle sort quelques cheveux roux du casque…



Instinctivement, j’ai retrouvé mon ton d’officier. Le gars marque le coup…



Son collègue écarte une barrière, nous entrons. Une fois le scoot sur sa béquille, nous montons dans le hall. Le gendarme nous a suivis.



Marlène enlève le casque, sa chevelure se déploie. Elle est sublime.



Elle s’approche du gendarme, et lui colle une grosse bise sur la joue.



Nous allons déposer nos affaires dans la loge. Marlène s’assoit à la table recouverte de victuailles, le fameux catering.



Elle va finir par me faire bander à nouveau, si elle continue. Je me dirige vers la scène. C’est un foutoir monstre, des caisses partout, des gars et des filles avec des micro-casques, une ruche en pleine effervescence.

Je rejoins le chef de l’équipe de sécurité.



Je ne sais pas pourquoi, mais je le sens mal, le concert. Mon instinct essaie de m’alerter. Je retourne à la loge, et frappe à la porte.



Elle déverrouille et ouvre le battant.



Point de vue sécurité, aucun problème. Une sortie non programmée, complètement aléatoire, quasiment aucun risque, à part l’accident. Pourquoi pas, après tout.



Nous prévenons les gendarmes de garde que nous allons revenir dans environ deux-trois heures, et nous voilà partis pour Monaco, Marlène et moi.

Une grosse vingtaine de minutes plus tard, nous voici sur le port de Monaco. Des yachts en pagaille, des voitures de luxe de partout, c’est vrai que Monaco est une ville à part. Les prix des consommations aussi, si j’en juge l’affiche du bar où nous prenons place en terrasse.



Je la soupçonne de tenir ce genre de propos pour me faire accepter sa proposition. Nous n’échangeons plus un mot, nous contemplons le panorama, les mouvements des bateaux dans le port, les passants qui… passent, tout est calme. On est bien…



Je ne dis rien, elle profite du moment, elle est dans ses pensées…



Une mouette passe en « riant » au-dessus de nous. Un gros yacht donne trois coups de corne.



Je me tais toujours. Que dire… Elle continue son monologue.



Tiens donc… il faudra que je demande à François quelle photo, et comment il se l’est procurée, vu que je ne lui en avais pas envoyé.



Il faudra vraiment que je discute avec François Delaporte, je crois. Il a des explications à me fournir !



Oui, tu parles, je m’en souviens… Beyrouth-Ouest, une grosse Mercedes stoppée par un tir de RPG7 heureusement défaillant, mais ça fait des dégâts quand même, et la gamine qui pleurait à l’arrière… Je me demande si elle a survécu… Si elle est toujours vivante, elle doit avoir… 27, 28 ans, maintenant… Je garde toujours le silence.



Le silence s’éternise…



Je suis abasourdi. Je me souviens de notre premier contact. C’est vrai que j’ai trouvé qu’elle sentait très bon, qu’elle était très belle, mais voilà… Ceci étant, j’étais plus concentré sur mon éventuelle embauche qu’autre chose…



Ouf… Je ne sais pas quoi dire… J’attends.



Un groupe de touristes passe en parlant fort. Des Néerlandais, apparemment.



Un jeune à moto passe en montant le régime moteur. Je suis étonné qu’à Monaco, ils autorisent ce genre de comportement ! J’attends la suite des pensées de Marlène, mais j’ai déjà pris ma décision. Ce sera oui, un oui franc, rien à voir avec ses fesses, même si c’est très attrayant…



Et dire que certains, dans la presse, disent que Marlène est une excentrique, une fofolle… Au contraire, elle est sensible, sensée, futée, intelligente…



Revoilà le sourire mutin ! Elle essaie de détendre l’atmosphère je pense.



Et voilà, c’est fait. J’espère qu’elle était sincère, que ce n’était pas un jeu, car maintenant que j’ai dit oui, que ma décision est prise, j’ai très envie qu’elle devienne… ma femme ? Ben oui, ma femme…



Elle a l’air angoissé, elle se tord les mains en disant ça… Et moi qui avais des doutes sur sa sincérité !



Elle se lève brutalement, sa chaise tombe en arrière avec un grand bruit. Les autres consommateurs nous regardent. Je me lève aussi. Elle se jette dans mes bras, et m’embrasse.



Elle me sert très fort dans ses bras. Bon, je la crois sincère, ou alors, une sacrée comédienne !

Je lui rends son baiser, et j’arrive à écarter ma bouche de la sienne.



Elle se tourne vers la terrasse, où quelques couples et quelques consommateurs esseulés, ainsi que deux serveurs, se trouvent, elle enlève sa casquette, ses lunettes de soleil. Sa chevelure retombe sur ses épaules.



Gentiment, ils commencent à applaudir. Puis un gars d’une quarantaine d’années parle à l’oreille de sa femme, et regarde Marlène.



Tout le monde applaudit, je ne sais plus trop que faire, où me mettre. Elle est vraiment explosive et exubérante, il faudra que je m’y habitue.



Marlène est comme une gamine, elle fait des bises à tout le monde, accepte de faire des selfies, signe des autographes. Tout le monde est heureux pour elle. Sa cote d’amour est proche du maximum.

Hum, pas bon, ça. J’essaie de surveiller dans tous les azimuts, l’annonce de Marlène provoque un attroupement. Les passants s’arrêtent, se font expliquer la situation. Ça risque de déborder rapidement.

Un des serveurs s’approche de moi, et me tend un téléphone.



Je prends le combiné sans fil. Le gars a dû appeler le palais princier.



Il a l’air sympa, le prince. J’attrape Marlène par la manche, et la tire vers moi.



Une grosse Mercedes 500 se gare en double file, escortée par quatre motards rutilants.



Marlène signe encore quelques autographes, fait quelques bisous, et nous nous engouffrons dans la limousine, dont le chauffeur nous tient la porte ouverte.



Quelques minutes plus tard, grâce à l’escorte de motards sirènes hurlantes, nous arrivons en haut, au palais. Le prince nous attend sur le perron. Un huissier ouvre la portière de Marlène, qui descend.



Je sors du véhicule. Heureusement que nous avons laissé nos vestes de commis de cuisine dans le top case du scooter ! J’ai l’impression d’être déplacé, en jean et tee-shirt, dans ce palais. Le prince est en costume. Bah, tant pis, après tout, c’est de l’impro totale.



Nous nous serrons la main. Sa poignée de main est franche et ferme.



Nous le suivons dans une grande pièce magnifique. Une table, des chaises, et des invités qui nous applaudissent à l’entrée.

Le prince prend la parole.



Le silence se fait.



Toutes les personnes présentent se mettent à applaudir.


« Bravo ! »

« Excellent ! »

« Magnifique ! »



Rires dans l’assistance, la bonne humeur est palpable.



C’est vrai que Monaco a une grande histoire de princes et d’artistes.



Nous prenons donc le café avec le prince de Monaco et plusieurs membres du gouvernement. Ils n’ont d’yeux que pour Marlène, pour son prochain concert, ses nouvelles chansons. J’avoue que cela m’arrange, je n’ai guère l’habitude de ce milieu.

Je profite de la paix relative pour envoyer des SMS au groupe de protection, afin qu’ils se mettent en relation avec les carabiniers monégasques pour la sécurité du site. Je ne pense pas que le prince se déplace sans protection, il vaut mieux aplanir d’avance d’éventuels soucis.

Enfin, nous prenons congé, le chauffeur du prince nous raccompagne jusqu’au scooter.



Nous sortons de Monaco, direction l’A8. Après le péage de La Turbie, une longue descente. Je sens la main de Marlène s’immiscer entre ma ceinture de pantalon et mes abdos, se faufiler entre mon ventre et l’élastique de mon caleçon, pour enfin m’attraper doucement le sexe.

Je tourne un peu la tête et crie :



Marlène continue à me peloter le sexe, qui commence à durcir. Pas évident de conduire un deux-roues dans ce cas de figure.



Je ne comprends rien à ce que me dit Marlène, avec le bruit du moteur et celui du vent.



Elle ouvre sa visière et me crie :



Je lui attrape le poignet et sors sa main de mon pantalon.

Enfin, nous franchissons le péage de Saint-Augustin, et rentrons dans le complexe Nikaia. Les gendarmes nous ouvrent la barrière, Marlène leur envoie un baiser avec sa main.

Enfin, nous sommes de retour dans sa loge.



Elle me tourne le dos, baisse son pantalon, sa culotte, pousse les assiettes de la table, et se met à plat-ventre dessus, bras croisés autour de sa poitrine, fesses en l’air.



Vu sous cet angle… J’enlève mes chaussures, chaussettes, pantalon et caleçon. Je m’approche d’elle, prends mon sexe en main, l’avance devant son sexe, me positionne bien, et d’une poussée, me voilà en elle. Je commence à la pilonner doucement.



Ses fesses sont sublimes. Je vois mon sexe entrer et sortir de son ventre, de plus en plus vite. Elle halète. Je décide de prendre mon temps, la sensation étant trop agréable, il faut en profiter. Je ralentis la cadence, et augmente l’amplitude. Marlène gémit doucement, puis plus fort. Pendant plusieurs minutes, je profite du ventre de Marlène. À un moment, je sens qu’elle jouit et qu’elle se retient de crier. Je continue encore, le plus profond que je peux. Marlène a les yeux fermés, elle sourit.

Enfin, je sors du sexe de Marlène, pose mon sexe entre ses fesses, me frotte un peu, et je jouis longuement, encore une fois, sur ses fesses, entre ses fesses plutôt.

Nous restons serrés l’un contre l’autre quelques instants, puis je vais dans la salle de douche, prends une serviette. J’essuie consciencieusement les fesses de Marlène recouvertes de mon sperme.



Nous éclatons de rire.




À suivre…