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n° 16185Fiche technique41685 caractères41685
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Temps de lecture estimé : 30 mn
13/05/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Le concert se rapproche, et la menace sur la Star est toujours là.
Critères:  #policier f fh ff ffh hotel douche fist fdanus hsodo
Auteur : Starpom      Envoi mini-message

Série : Le garde du corps

Chapitre 05 / 07
Une star pas comme les autres...

Résumé de l’épisode précédent :

La Star a réussi à convaincre son garde du corps de l’épouser. Toutefois, des menaces planent toujours sur son concert. De retour au Palais Nikaia pour les derniers réglages…









La vache, comme elle tient bien la note. Pas de trémolo, plat et linéaire… superbe !



Marlène est sur la scène, entourée de ses musiciens. Ils viennent de faire une semi-filée, à savoir enchaîner les chansons en mode réduites, caler les arrêts où Marlène parle au public, les enchaînements. Je dois avouer que c’est top niveau ! Je comprends mieux le pourquoi de son succès. Par contre, ouf, je n’ai plus de tympans. La sono envoie du lourd, et les portes d’accès vers le stade sont fermées.



Arrivés dans sa loge, nous nous attablons devant le catering, et commençons à grignoter.



Elle se lève, va prendre une robe dans la penderie, enlève le plastique de protection.



Ah… Bon, bon, bon. Une robe transparente pratiquement, avec des perles brillantes au niveau des cuisses et des genoux, fendue des deux côtés.



J’envoie un SMS à François Delaporte, où je résume la conversation que je viens d’avoir avec Marlène. Je sais qu’il va faire le nécessaire pour faire contrôler le gars. On n’est jamais trop prudent.



Nous allons prendre le scooter. Il y a foule dehors. Heureusement, ainsi camouflés, nous passons tranquillement. Quelques minutes plus tard, nous arrivons en vue du Negresco. Les services techniques de la mairie ont mis en place des barrières pour canaliser la foule de fans qui entoure l’hôtel. Encore une fois, notre tenue fait merveille, nous arrivons sans trop de difficultés à rejoindre le parking souterrain de l’hôtel. Je gare soigneusement le scooter, mets le cadenas. Ensuite, nous rejoignons la suite.


Arrivé dans ma chambre, je range mes affaires, prends le casque de Marlène et descends aux cuisines rendre son bien à Jérémy.



Je lui tends un billet de 20 € pour le plein.



Retour à la suite. Diane et Amélie sont dans le salon



Tout le monde éclate de rire.



À ce moment-là, la sonnerie d’alerte SMS sonne.


« Michel Harold – Bravo 3 »


Aie, le code d’alerte d’urgence.



Diane verrouille la double porte d’accès à la suite, et Marlène se dirige vers sa suite. Je passe devant elle, et m’assure que les volets sont fermés et les rideaux tirés. Une fois tout le monde en sécurité, j’appelle la boîte.



Je raccroche. Je regarde les photos. La cinquantaine, un peu dégarni, plutôt empâté, et je n’aime pas son regard. Je mémorise la tronche du gars.



Amélie sort pour téléphoner. Ce qu’il y a de bien avec Marlène, c’est qu’elle m’écoute pour ce qui est de sa sécurité. Elle ne discute pas, elle suit.



Je descends dans le hall, et regarde attentivement toutes les personnes présentes. Rien de bien tangible toutefois. Je croise le responsable de la sécurité du Negresco.



Nous entrons dans une pièce « accès interdit au public ». Sur le mur, un panneau d’écrans montrant les abords de l’hôtel, l’accès du parking, et le hall d’entrée. Les visages sont encadrés d’un carré vert luminescent.



Il me tend une carte de visite où est inscrite l’adresse. Je prends mon Smartphone, « partager », « mail », « l’adresse », et hop, c’est parti.



Il branche son téléphone sur un câble USB connecté à un gros PC.



Nous regardons les écrans de contrôle, où les petits rectangles verts sautent d’un visage à un autre… Rien….



Je lui note le numéro sur sa carte de visite. Il la prend.



Je sors du PC Sécurité, je remonte à l’étage de la suite.



De retour dans ma suite, je tente d’appeler François Delaporte, mais sans succès. Répondeur. J’appelle ensuite Cédric au siège.



On frappe à ma porte. C’est Amélie, avec le numéro de téléphone que je lui avais demandé. J’appelle le responsable sécurité du Palais Nikaia, mais ils ne sont pas équipés en caméras biométriques. Tant pis, il fallait le tenter.


L’alarme SMS de mon HTC pépie.


« 19H15 : 54 CAM7 SUD 84% »


Alors, si je me souviens bien… 19 h 15, la caméra 7, orienté Sud, donc Promenade-des-Anglais, a identifié un visage correspondant à 84% à celui de Michel Harold. Je cours aux ascenseurs tout en appelant l’équipe de sécurité qui se trouve aux abords de l’hôtel. 70 / 80% au mieux, et là, 84%… Intéressant…



Je raccroche, l’ascenseur arrive enfin, je m’engouffre dedans. Ensuite, j’allume la radio numérique, la règle sur 7.02. Je glisse l’oreillette dans mon oreille, et appuie sur le bouton émetteur.



La cabine arrive enfin au rez-de-chaussée. Je parcours le hall rapidement, emprunte la porte à tambour, et sors côté droit.



Putain, il y a plein de monde. Ce n’est pas gagné. Je scrute tous les visages… la cinquantaine, dégarni… Je jette un coup d’œil sur mon Smartphone, sur la photo…



Je me fraie difficilement un passage au travers de la foule. J’aperçois Paul au loin qui marche. Je joue des coudes, et arrive enfin à ses côtés.



Paul me montre un gars qui marche une vingtaine de mètres devant nous. De dos, pas facile de vérifier.



Je marche vite. Quelques minutes plus tard, je suis au niveau de la cible. À ce moment-là, Paul crie : « Michel ! » Je me retourne, et le gars aussi ! Je fais un signe de la main à Paul, comme si j’étais surpris de le voir là.



La cible se retourne à nouveau, et poursuit son chemin. Je rejoins Paul.



Je retourne dans la suite. Bien, une menace potentielle sous surveillance. Ceci étant, rien n’indique clairement que c’est « la » menace. Il convient de rester vigilant. Je rejoins Marlène. Je toque à la porte de la salle de bain.



Je rentre. Marlène est dans son bain. Elle a mis une cocotte sur sa tête, pour éviter de mouiller ses cheveux.



Quand elle me regarde avec ses yeux de biche, je craque complètement. Surtout lorsqu’elle me demande un tel service ! Il y a pire… sortir les poubelles, tondre la pelouse…



Je trouve Diane dans sa chambre. Elle est au téléphone, avec sa mère manifestement.



Elle raccroche.



Je retourne dans la salle de bain. Je trouve Marlène en train de se caresser dans son bain.



On frappe à la porte. C’est Diane, et elle a mis son body noir. Elle est super bandante.



Diane s’exécute. Marlène se redresse, la prend dans ses bras et l’embrasse. Pendant ce temps, je me déshabille. Mon sexe est déjà au garde-à-vous, ce qui n’est pas étonnant, vu le spectacle auquel j’ai droit.


Marlène descend les bretelles du body sur les bras de Diane. Diane les replie pour les sortir, faisant ainsi pendre les bretelles sur ses flancs. Ensuite, Marlène descend le haut du body sur le ventre de Diane, faisant ainsi apparaître ses seins. C’est vrai qu’ils sont gros, et beaux. Elle a une sacrée poitrine, la « petite ».

Marlène entreprend de lui caresser, de les malaxer. Elle joue avec les tétons de Diane, tout en continuant à l’embrasser. Ensuite, elle replie les côtés du body entre les fesses de Diane, pour faire comme un string en gros. C’est vrai que Diane a des fesses… superbes… Diane, de son côté, caresse le dos de Marlène.


Je m’approche de la baignoire, et caresse les épaules de Diane, en descendant jusqu’à ses fesses… Marlène m’attrape une main, et la descend sur un sein de Diane. Je comprends l’invite, et commence à le malaxer, tout en continuant à lui caresser le dos et les fesses.


D’une main sous l’eau, Marlène entreprend de masturber Diane. Elle la glisse sous le body, et j’imagine qu’elle doit la doigter comme il se doit. Du reste, Diane commence à gémir.



Diane se met debout, et prend la barre du rideau de douche. Debout, bras levés, elle est sublime. Marlène se lève aussi. Elle saisit le body, et le fait glisser le long du corps de Diane, qui relève l’une après l’autre les jambes pour que Marlène puisse lui enlever complètement. Elle est nue, exposée à nos regards.



Marlène commence à la masturber avec sa main gauche, et sa main droite descend vers les fesses de Diane.

Diane lève la tête vers le plafond. Manifestement, elle apprécie le traitement que lui inflige la Diva.



Je ne me fais pas prier. Je caresse la poitrine de Diane et les fesses de Marlène en même temps. De temps à autre, mon sexe entre en contact avec la cuisse de Diane, et je reçois des ondes électriques à chaque fois. Diane gémit. Marlène vient de lui rentrer un doigt dans son anus et un autre dans sa chatte, qu’elle agite rapidement.



De mon côté, j’écarte les fesses de Marlène, et commence à lui caresser son petit trou.



Je lâche les seins de Diane, et commence à caresser la magnifique toison de ma star. Je déloge son clitoris, que je masse doucement.



Mon sexe frôle la cuisse de Marlène. Je me rapproche pour qu’il s’appuie dessus, et me frotte contre elle.



Diane ondule du bassin sous les caresses de Marlène.



J’attrape le flacon sur le lavabo et lui tends.



Elle met une grosse noisette de gel sur son doigt, et entreprend de bien enduire les fesses de Diane.



Elle reprend du gel, et continue à enfoncer profondément son doigt dans l’anus de Diane, pour bien lubrifier le passage. Elle insiste, rentre deux, puis trois doigts. Diane ondule et gémit.



Les filles sortent du bain. Marlène enlève sa cocotte, et ses cheveux retombent en cascade sur ses épaules. Elle est sublime. Elle attrape la main de Diane, prend la mienne, et nous nous dirigeons vers le lit.



Diane s’exécute, et cambre les reins. Marlène se met à genoux à côté d’elle, une main entre les cuisses, et commence à se masturber à nouveau.



Après avoir mis un préservatif, je me mets à genoux derrière Diane, lui saisis les hanches, et positionne mon sexe devant son petit trou. Diane passe une main entre ses cuisses, attrape mon sexe, et le positionne bien dans l’axe de ses reins. Marlène attrape la tête de Diane de sa main libre, pose sa tête contre la sienne, joue contre joue, bien serrée…



D’une main, Marlène me fait signe de ne pas pousser pour le moment, elle doit vouloir continuer à s’exciter avec sa conversation avec Diane. Je pousse un peu, pour bien plaquer mon gland contre l’anus de Diane, mais sans rentrer.



Marlène me fait signe, je peux commencer à sodomiser Diane. Je tire ses hanches vers moi. Mon gland appuie de plus en plus fort sur l’anneau de Diane, qui commence à céder.

D’un coup, aidé il est vrai par le gel, mon gland rentre dans ses fesses.



Tout en disant cela, Marlène lui serre un sein dans sa main, et le malaxe plutôt « virilement ».



Marlène se redresse, et d’une main, tire les cheveux de Diane vers l’arrière pour lui faire relever la tête et cambrer encore les reins, et de l’autre, elle saisit le sexe de Diane, et la masturbe. J’entends des bruits mouillés, Diane, doit être complètement ruisselante.



Marlène intensifie ses mouvements sur le sexe de Diane. Puis, elle me regarde, me sourit.



Mes abdos sont contre les fesses de Diane. Je tire encore plus fort sur ses hanches, en projetant mon bassin en avant. Je ne peux pas rentrer plus dans les fesses de Diane, je suis à fond…



Marlène, tout en continuant à la masturber, se penche sur les fesses de Diane.



Je redresse le buste, les épaules en arrière, tout en restant bien fiché dans les fesses de Diane. Marlène regarde.



J’ai la croupe de Diane devant moi, bien écartée, ses hanches fines, son dos… Je me penche en avant, saisis ses seins et les malaxe. Puis, je commence mes va-et-vient.



Marlène se masturbe furieusement…



J’amplifie mes mouvements. La jouissance n’est pas loin, je la sens monter rapidement. Mon ventre claque contre les fesses de la petite, qui émet des gémissements de plus en plus rapides.



Marlène se masturbe de plus en plus vite. Elle a aussi enfoncé plusieurs doigts dans la chatte de Diane.



À cette évocation, j’éjacule brutalement dans les reins de Diane. Je me vide en de longs jets. Je me serre très fort contre Diane. Instinctivement, je lui serre fort les seins. Ensuite, doucement, je sors de ses fesses, et enlève le préservatif, que je jette dans la poubelle.



Marlène se positionne derrière la petite, tout en se masturbant intensément. Elle met ensuite plusieurs doigts dans la chatte de Diane, puis entreprend de la fister.



Petit à petit, la main de Marlène disparaît dans la toison de Diane.



Diane vient de jouir, et ça doit être communicatif, car Marlène jouit en même temps !



Elle sort doucement sa main de Diane, puis lui tape les fesses.



Diane enfile son peignoir, récupère son body, et repart dans sa chambre.



Nous allons dans la salle de bain, et prenons tour à tour une bonne douche. En sortant de la baignoire, j’enlace Marlène, et l’embrasse tendrement. Elle glisse une main entre nos corps, saisit mon sexe, et le caresse. Je la serre contre moi, et lui malaxe les fesses.



Nos lèvres se joignent à nouveau, et notre baiser est long et langoureux. Puis, nous nous écartons.



Une fois habillé, j’appelle François à nouveau. Répondeur direct. Bon, de toute façon, s’ils ont des infos, ils me contacteront. Je sors dans le couloir. Le garde est à poste. Je le salue, et continue mon chemin. Arrivé dans le hall d’entrée, je tombe sur Paul.



Je passe par la chambre de Diane. Je la trouve en train de fouiller dans son armoire, en peignoir, les cheveux humides. Elle a dû prendre une bonne douche elle aussi.



Elle ôte son peignoir, et apparaît nue. De la voir ainsi, avec ses gros seins qui tombent légèrement, sa toison bien fournie, j’ai à nouveau des fourmillements dans le sexe. Elle a des hanches bien larges, une taille assez fine, et des fesses bien rebondies, comme j’aime.

Elle va à la porte, et la ferme à clé. Ensuite, elle prend dans l’armoire un vanity-case.



Elle ouvre le vanity, et en sort un gode-ceinture pas très long, et relativement fin, plus fin que mon sexe en tout cas.



Diane m’implore, son sextoy à la main, nue comme une déesse qui sort de l’onde… Ensuite, elle enfile le gode, règle les sangles, et se retrouve devant moi, avec son faux sexe qui pointe vers moi.



Elle est ultra excitante comme ça. Après tout, j’aime bien quand Marlène m’enfonce un doigt dans les fesses, et puis, le gode est plutôt petit…



Effectivement, le vanity est rempli d’accessoires, de godes, il y a même une boule avec des sangles, pour bâillonner manifestement… Mon sexe durcit à nouveau.



Je me déshabille et pose mes vêtements sur le fauteuil. Une fois nu, je prends Diane dans mes bras pour l’embrasser. Son gode vient heurter mon sexe, et s’appuie dessus. Diane me rend mon baiser, nos langues se chahutent…



Je monte sur le lit, cambre mes reins. Diane s’installe derrière moi, et entreprend de lécher délicatement mon petit trou. C’est très agréable en fait, surprenant, mais agréable.

Tout en me léchant, elle masse mes testicules, et de temps à autre, caresse mon sexe. C’est divin. Enfin, je l’entends farfouiller dans son vanity, puis un contact froid sur mon anus. Le gel. Elle masse mon trou doucement, puis je sens un doigt forcer le passage.



Elle enfonce de plus en plus son doigt, tout en le ressortant fréquemment pour l’enduire de gel. Son majeur est complètement enfoncé dans mes fesses. C’est vrai que c’est plutôt agréable, en fait. Elle entame des va-et-vient. Mon sexe est dur. D’une main, j’entreprends de me masturber doucement. Diane bouge derrière moi, puis je sens un contact plus dur sur mon petit trou. Le gode. Aie, le moment est arrivé. J’avoue que je suis un peu inquiet.



La pression se fait plus forte, puis, petit à petit, je sens le gode pénétrer mes fesses. C’est bizarre comme sensation. Au niveau de l’anus, c’est un peu douloureux, mais plus profond, ce n’est pas désagréable. Je serre les dents, Diane continue sa pénétration.



Diane s’immobilise. La douleur commence à disparaître, laissant place à une autre sensation assez particulière.



Elle commence à agiter ses reins. Le gode commence à aller d’avant en arrière, m’envoyant des pulsions sexuelles très inhabituelles, mais non douloureuses, juste… étranges… Diane me tient par les hanches, comme moi tout à l’heure, et amplifie les mouvements. Elle y va gaîment, de plus en plus vite, de plus en plus profond. Mon sexe ballotte, raide comme la justice.



Tout en disant ça, elle accélère le mouvement. Elle est complètement partie dans son trip. Son ventre tape mes fesses.



Le gode est sorti d’un coup, puis rentré brutalement à fond…



Elle ralentit le rythme. Tout en m’enculant, elle me caresse le dos, les hanches, les fesses.



Elle sort le gode de mes fesses, et l’enlève. Elle le jette dans la salle de bain, s’allonge à plat ventre sur le lit, les bras et les jambes écartés, offerte. Elle tourne la tête sur le côté.



Je me redresse. J’ai un peu mal aux fesses à vrai dire. J’attrape Diane, la retourne sur le dos. Je lui lève la tête, glisse un oreiller dessous. Ensuite, je l’enjambe, pose mes fesses sur sa poitrine. Je mets mes mains sous sa tête pour la redresser. Ensuite, je rentre mon sexe dans sa bouche, et imprime à sa tête des mouvements de va-et-vient. Diane s’applique à bien lécher mon sexe avec sa langue, tout en serrant bien les lèvres autour de ma verge.


J’attrape un gode dans le vanity. Je me tourne un peu sur le côté, et le présente contre sa toison. Elle écarte les jambes. Je pousse sur le gode, qui commence à rentrer dans sa chatte. Diane continue à me sucer, c’est trop bon, elle a du talent, la petite.

J’agite un peu le gode… Diane l’attrape dans sa main, et commence à se pilonner avec. Je lui reprends la tête, et imprime un mouvement plus profond et plus rapide…

Au bout de quelques minutes, j’éjacule à nouveau. Je lui tiens la tête bien contre moi, mon sexe bien enfoncé dans sa bouche.



Elle me fait oui avec les yeux, tout en gardant les lèvres bien serrées. Doucement, je sors mon sexe, et avec mes doigts, lui pince les lèvres. Diane comprend. Elle avale mon sperme.



Je saute du lit et vais prendre une bonne douche. Je savonne bien mes fesses, pour enlever le gel résiduel. Aïe… Je vais garder quelque temps le souvenir de la sodomie que m’a prodiguée Diane, je pense…


Une fois vêtu, je quitte la chambre de Diane, après l’avoir embrassée sur les joues. Pfou, je n’en peux plus… Deux fois de suite, à mon âge !

Je rejoins l’équipe dans le salon de la suite. La table est dressée. Je vais dans ma chambre, et m’allonge sur le lit. Je suis crevé. Une bonne sieste, en attendant des nouvelles, ne sera pas du luxe.



À suivre…