n° 16194 | Fiche technique | 39641 caractères | 39641Temps de lecture estimé : 22 mn | 21/05/14 corrigé 10/06/21 |
Résumé: Léa découvre la soumission-domination homosexuelle entre hommes en spectatrice et entre femmes et là, elle est actrice... | ||||
Critères: ff fff hh fsoumise fdomine hdomine cunnilingu donjon attache yeuxbandés fouetfesse -sm | ||||
Auteur : Domibec Envoi mini-message |
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Dans les épisodes précédents : Léa s’est livrée à Wilfried pour un week-end d’initiation à la soumission. Après déjà bien des épreuves subies pendant lesquelles elle a dû surmonter sa honte, elle a été réduite à un objet de plaisir. Elle est accompagnée par la jeune et douce Anne. Le premier soir, elle a déjà fait la connaissance d’Éléonore qui est la soumise de Maîtresse Mathilde. Et elle a aussi fait connaissance de Cédric en apprentissage dans un magasin de vêtements…
Après une soirée brutale, Léa et Anne ont dormi dans le même lit.
Oh non ! Ça va recommencer. Je veux dormir, dormir, dormir… Oublier.
Mais elle finit par se lever quand même. Une rapide douche ensemble et elles descendent. Nues. Toujours !
Wilfried vient leur ouvrir. Il est enjoué.
En effet ! Éléonore est là. Nue également. Elles s’étreignent, s’embrassent…
Elles s’installent donc côte à côte. Éléonore au milieu, Anne et Léa de part et d’autre. Elles écartent les jambes comme l’a demandé Wilfried. Léa met même sa jambe par-dessus la cuisse d’Éléonore.
Éléonore caresse la cuisse et le genou de Léa et passe son autre bras autour du cou d’Anne pour lui caresser le sein. Anne caresse la cuisse d’Éléonore et caresse son autre sein… Léa caresse un sein d’Éléonore et le haut de sa cuisse tout contre son sexe…
Un coup de sonnette.
Et il sort pour aller ouvrir. Les femmes se regardent et sourient se demandant ce qui va se passer. Elles n’ont aucune crainte. Quelle que soit l’épreuve, elles sont là toutes les trois ensemble. Elles entendent ce qui se passe dans l’entrée.
Une voix d’homme. De jeune homme, même… Il semble à Léa reconnaître cette voix.
Les femmes retiennent un rire en imaginant ce qui va se passer. Un jeune homme nu va rentrer et va se mettre face à elles en position de soumission…
Elles entendent le bruit de vêtements qu’on retire et comme une claque sur les fesses.
Le jeune homme rentre dans le salon, nu. S’avance et aperçoit les trois femmes nues qui le regardent. Il a un mouvement de recul en se cachant le sexe de ses deux mains. Le cœur de Léa bondit : elle a reconnu Cédric, le jeune vendeur qu’elle a branlé hier dans le magasin de vêtements.
Mais il ne peut se dérober. Il va donc face aux trois femmes et se met en position. Il est rouge de honte et, comme l’autruche qui plonge la tête dans le sable pour se cacher, il ferme les yeux…
Léa, Éléonore et Anne, elles, n’ont pas les yeux fermés. Elles regardent intensément le jeune garçon qui n’est pas mal foutu. Particulièrement son sexe qu’elles voient se gonfler petit à petit, se mettre à l’horizontale, poursuivre la progression jusqu’à être parfaitement droit comme un I.
Wilfried rentre à son tour. Il s’est aussi déshabillé mais porte une serviette attachée autour des reins. Il s’approche du garçon. Lui pose violemment une main sur les fesses. De l’autre main, il donne une tape sur le sexe dressé qui agit comme un ressort et revient en position en claquant sur le ventre.
Le garçon s’exécute. Wilfried continue :
Cédric marmonne :
Nouveau grommellement.
Le jeune homme avale sa salive… Balbutie… Léa a pitié de lui mais ce petit jeu l’amuse.
Cédric se tait, ne sachant trop ce que son maître attend de lui…
Les deux jeunes filles s’approchent, amusées.
Anne et Éléonore commencent à caresser le corps de Cédric d’abord avec leurs quatre mains qui glissent sur ses épaules, son torse, ses cuisses, ses fesses… Chacune leur tour, elles prennent plaisir à écarter les deux lobes et à commencer à pénétrer un doigt dans l’anus…
Puis c’est avec leurs seins, leurs fesses qu’elles le caressent, dansant autour de lui, s’accroupissant, se redressant… Elles prennent aussi un malin plaisir à présenter leur pubis, leurs seins, leurs fesses aux mains du garçon croisées dans le dos. Au début, il gardait les poings fermés mais petit à petit, ses doigts se sont déliés et sont devenus actifs sur ces corps qui se présentent à eux… Elles se mettent, chacune de leur côté, de telle manière que les jambes du jeune homme se trouvent entre les leurs et elles frottent leurs sexes humides contre les cuisses…
Léa n’est pas inactive. Elle a remonté ses pieds contre ses fesses, a écarté impudiquement ses genoux et se caresse le bouton magique en faisant pénétrer deux doigts dans sa grotte…. Le spectacle que lui offrent ses deux amies et Cédric l’excite au plus haut point et elle sent un intense plaisir monter en elle.
Le garçon aussi sent la montée de la sève du fond de son corps. Il respire fort, il geint comme s’il souffrait… Une goutte de sperme perle sur le bout de son gland… Son sexe que personne ne touche frétille tout seul…
Les filles voient que son plaisir est proche… Elles veulent lui donner le coup de grâce… Elles s’agenouillent en caressant le haut des cuisses, à l’intérieur, effleurant les couilles, le périnée… Elles caressent ses fesses et l’une d’elle introduit profondément un doigt après l’avoir humidifié de sa salive dans son entrée secrète… De son côté, Léa qui voit aussi la tension monter chez le garçon, jouit sous ses doigts…
C’est plus que ne peut supporter Cédric… Son sexe se gonfle, bat la mesure et soudain explose en de longs jets qui s’écrasent sur son ventre, coulent le long de la hampe…
Wilfried arrache sa serviette et, nu, le sexe dressé, s’agenouille devant le garçon, prend son sexe en bouche et lèche tout ce sperme… Les trois femmes le regardent interloquées. Lorsqu’il se redresse, il voit leurs regards.
Et il plaque le garçon contre son corps en pétrissant violemment ses fesses…
Anne se met dans la position demandée. Le garçon se met à quatre pattes.
Cédric se redresse, prend le phallus dressé entre ses mains et le porte comme avec gourmandise à sa bouche. Il offre, en connaisseur, une fellation à son Maître…
Il s’avance sur ses genoux et ses mains vers la jeune fille qui l’attend, plonge le visage vers ce sexe ouvert… Le regarde. Sans doute n’a t’il jamais vu d’aussi près un sexe féminin… Puis il ose un premier coup de langue, puis un autre… Sans doute y trouve-t-il un certain plaisir car il appuie davantage…
Avec satisfaction, Anne entreprend de se masturber pendant que le jeune homme la lèche comme le ferait un chien sur une plaie ouverte.
Wilfried s’agenouille derrière lui. Il crache dans sa main et enduit de salive l’anus ouvert qui s’offre à lui. Il y fait pénétrer un doigt, puis un second… Il les fait aller et venir, il les tourne… Le garçon se cabre, gémit… Lorsque le maître considère que le chemin est suffisamment préparé, il présente son sexe et doucement, lentement, sans à-coup, le fait pénétrer dans le jeune cul jusqu’à la racine. Les trois femmes sont fascinées par ce sexe qui disparaît ainsi… Et elles sont aussi bien surprises. Elles l’ont vu pénétrer des sexes féminins, elles l’ont toutes les trois eu en elles, plusieurs fois même… Mais voir Monsieur, Wilfried, enculer un garçon, cela sort de leur imagination. Mais si elles sont surprises, elles sont tout excitées. Si elles ont été plusieurs fois spectatrices ou actrices de scènes lesbiennes, c’est la première fois qu’elles voient un homme pénétrer un autre homme. Et, sans qu’elles cherchent à savoir pourquoi, cela leur plait.
Wilfried s’installe bien dans le cul du garçon. Puis commence à aller et venir en tenant son partenaire par les hanches. Chaque coup de boutoir accentue la pression de la bouche du garçon contre le sexe d’Anne qui a repris avec plus vigueur encore sa masturbation.
Il fait venir Éléonore à côté de lui et, tout en continuant à besogner le jeune cul, il lui caresse doucement les fesses, les cuisses, glisse sa main entre elle pour effleurer son sexe… Il fait aussi venir Léa de l’autre côté, d’une pression au poignet, il la fait s’agenouiller contre lui, tout contre lui de sorte que ses seins caressent son corps…
Léa s’exécute avec plaisir ne perdant pas une miette du spectacle offert par ce vit allant et venant entre les deux fesses de Cédric…
Le garçon respire fort. Il devient goulu. Prend de l’assurance, entoure de ses bras les reins d’Anne. Wilfried aussi respire de plus en plus fort. Il lâche Éléonore, fait se redresser brusquement le garçon, le plaque contre lui… Il se saisit de sa verge qui est de nouveau dressée et il la branle rapidement tout en malaxant les couilles de son autre main… Et tous les deux poussent ensemble un râle puissant… Léa se rend compte aux mouvements du périnée que Wilfried jouit en longues saccades tandis que le malheureux garçon qui a déjà joui il y a à peine un quart d’heure sous les caresses d’Anne et d’Éléonore ne peut éjaculer que trois petits jets de sperme qui retombent sur la main du Maître…
L’Homme se retire et se redresse.
Et Cédric lèche, aspire son propre sperme.
Et le garçon se redresse pour prendre dans sa bouche, avec semble-t-il beaucoup de plaisir, le sexe qui est encore gonflé mais pend maintenant entre les jambes de Wilfried et est couvert de sperme… et de quelques traces jaunâtres !
Et s’adressant aux trois femmes :
Elles ne se le font pas dire deux fois et font des efforts pour ne pas trop montrer leur joie. Wilfried serait capable de changer d’avis. Elles vont vite à la cuisine où, effectivement, elles retrouvent leurs vêtements. Léa enfile son short si court et si moulant et son haut… Et elle regarde ses compagnes. C’est la première fois qu’elle les voit habillées. Et constate avec plaisir qu’elles sont habillées aussi légèrement qu’elle. Ni culotte, ni soutien-gorge pour aucune d’elles. Un short en cuir aussi mini que le sien et un gilet sans manche avec deux seuls boutons, également en cuir, pour Éléonore. Une mini-jupe et un chemisier pratiquement transparent, sans bouton, qui se ferme en nouant les deux pans juste au-dessous des seins, pour Anne.
C’est ainsi qu’elles descendent vers le parking souterrain. Elles trouvent Maîtresse Mathilde qui les attend devant sa voiture… Elles se précipitent vers elle.
Surprises, les trois femmes s’agenouillent devant elle. Mathilde se plante devant Léa et soulève sa jupe. Elle ne porte pas non plus de culotte.
Avec plaisir, Léa dépose un baiser sur les lèvres glabres qui s’offrent à elle.
Léa s’exécute et lèche le sexe déjà humide de la femme. Elle enfonce la pointe entre les lèvres… Trouve l’excroissance du clitoris, la pince entre ses lèvres…
Puis elle passe devant Anne pour réclamer le même baiser intime. Puis devant Éléonore. Satisfaite, elle leur ordonne :
Elles se relèvent.
Là, Léa n’a plus envie de rire. Elle ne va quand même pas se mettre nue dans ce parking. Quelqu’un pourrait arriver… Mais elle voit Éléonore qui a déjà enlevé son gilet et a le short à mi-cuisse. Anne commence à dénouer le bas de son chemisier…
Alors Léa se déshabille en espérant pouvoir rentrer vite dans la voiture dont elle s’est rendu compte que les vitres sont fumées.
Elle donne ses ordres comme un adjudant. Léa a envie de se révolter mais, comme ses amies, elle se montre docile. Mathilde se met face à elle et la fixe droit dans les yeux. Léa soutient le regard.
Léa baisse les yeux. Alors la femme passe sa main entre ses cuisses et, sans aucune précaution, pénètre deux doigts dans son sexe. Elle fait mal à Léa qui se raidit.
Léa reste silencieuse.
Et elle enfonce ses doigts encore plus profondément.
La femme la lâche. Mais se saisit aussitôt des tétons de ses deux seins et les fait tourner entre ses doigts. Léa ne peut retenir un cri de douleur.
Elles se serrent toutes les trois à l’arrière, Léa au milieu. Mathilde jette les vêtements dans le coffre.
Le temps qu’elle fasse le tour de la voiture pour s’asseoir derrière le volant, Éléonore souffle à ses amies :
Mais cela ne rassure pas Léa. Elle a peur de la suite. Elles a peur aussi de se retrouver ainsi, nue dans une voiture en pleine rue. Elle a beau savoir que de l’extérieur, avec les vitres fumées, personne ne peut deviner ce qu’il y a à l’intérieur. Mais elle, elle voit. Et s’ils étaient arrêtés par la police pour un banal contrôle ? Et s’il y avait un accident ?
En même temps, elle se sent rassurée, assise entre les deux jeunes filles. Elle aime sentir leurs cuisses nues contre les siennes… De plus, Éléonore qui a dû sentir sa tension, essaie de la rassurer en posant sa main sur sa cuisse…
La circulation est fluide en ce dimanche midi. Rapidement, elles sont sorties de Paris et roulent en banlieue. La voiture tourne plusieurs fois à droite, à gauche… Elle traverse maintenant une zone pavillonnaire. Et la voiture rentre dans une cour et s’immobilise devant le perron d’une grande maison.
Mathilde descend de la voiture, va ouvrir la portière arrière.
Les trois femmes sortent précipitamment de la voiture et grimpent non moins rapidement les quelques marches du perron, de peur que quelqu’un les aperçoive.
Éléonore les entraîne à travers un long corridor puis descend un escalier sombre en colimaçon. Léa et Anne marquent un temps d’arrêt en arrivant en bas. Une grande salle voûtée s’ouvre devant elles. Des chaînes pendent des murs, des cordes… Des anneaux aux murs… Une vieille table de gynécologue au milieu… Des fouets, des cravaches, une collection de godemichets sur une étagère et autres instruments bizarres dont des pinces, des tenailles, des instruments de torture… L’angoisse les étreint. Léa repense à la salle de torture vue hier soir chez le Baron.
Mais elles n’ont pas le temps de s’attarder et de se poser des questions. Mathilde les pousse à l’intérieur…
Elle va vers un mur, en décroche une chaîne et revient vers la jeune femme. Elle lui attache un collier métallique autour du cou, collier prolongé par une longue chaîne aux lourds chaînons… Entraînant Léa comme elle le ferait d’un chien tenu en laisse, elle va au milieu de la salle et fixe l’autre bout de la chaîne à un poteau.
Puis elle va vers Anne, l’amène non loin de là et, sans rien dire, attache chaque poignet à une corde qui tombe du plafond. La malheureuse se trouve presque suspendue dans les airs les bras écartés au-dessus de sa tête. Puis c’est Éléonore qui subit le même sort. Elle va ensuite chercher deux longues barres en fer se terminant à chaque extrémité par des anneaux. Elle en emprisonne les chevilles des deux filles qui se retrouvent ainsi, en un instant, écartelées et dans la totale incapacité de bouger… Pour finir, elle les bâillonne solidement.
Elle se recule et regarde avec grande satisfaction sa mise en scène. Et, d’un coup, elle enlève sa robe. Elle est nue. Elle se plante devant Léa en écartant les jambes.
Et elle prend à pleines mains les cheveux de la jeune femme et plaque son visage contre son sexe. Léa veut résister, reculer… mais Maîtresse Mathilde ne se laisse pas faire…
Et tout en maintenant d’une main Léa par les cheveux, elle attrape de l’autre une badine souple et commence à en donner des petits coups sur les fesses tendues. Et elle donne des coups de reins, frottant vigoureusement son sexe contre le front, le nez, les joues, le menton de Léa qui a bientôt le visage couvert de sa cyprine. Enfin, elle lâche les cheveux. Mais continue à donner ses petites frappes de sa badine.
Léa a les larmes aux yeux. Elle ne supporte pas cette humiliation. Les événements prennent une tournure qu’elle n’attendait pas et qui lui déplaît : elle, à quatre pattes, ainsi traitée, ses amies suspendues, entravées, bâillonnées… Et ce décor ! Et ces coups ! Ils ne lui ont pas mal mais l’agacent… Et elle a peur que soudainement, la femme lui donne un coup plus violent. Autant la satisfaire pour éviter cela, ne pas la provoquer par une résistance inutile.
Alors, elle commence à lécher les lèvres qui s’offrent à elle, elle trouve sans difficulté le clitoris qui est dur, dressé, l’aspire, le suce…
Les coups deviennent plus précis et tombent maintenant entre ses deux fesses. Mathilde tend le bras et la badine frappe entre ses lèvres. Parfois, elle effleure son bouton déclenchant comme une soudaine décharge électrique… Ces coups qui étaient jusqu’alors désagréables deviennent source de plaisir… Alors elle met plus de cœur dans son cunni…
La femme bouge le bassin à la rencontre de la langue, des lèvres. Léa se cabre encore plus pour offrir son sexe aux coups…
Bientôt, Mathilde est prête d’exploser… Elle repousse doucement la tête de Léa, lâche sa badine et se masturbe… Elle jouit immédiatement entre ses doigts.
Elle caresse la tête de Léa en lui tendant sa main qui l’a fait jouir :
Léa lèche sa main, doigt après doigt… Et elle regarde ses amies qui n’ont pas perdu une miette du spectacle. Anne semble avoir peur et ouvre de grands yeux. Par contre, Éléonore lui fait un grand sourire. Elle connaît bien Mathilde et veut sans doute rassurer Léa. À moins, qu’elle aime ce genre de spectacle… ces tatouages, ces piercings… Peut-être est-elle perverse…
Mathilde décroche le bout de la chaîne fixé au poteau et tire dessus, entraînant Léa derrière elle, toujours à quatre pattes. Elle s’approche d’Anne… Elle lâche la chaîne sur le dos de Léa et se poste derrière la fille en mettant ses mains sur ses seins.
Léa se rapproche et porte ses lèvres aux lèvres d’Anne et elle commence à la lécher… Pendant ce temps, Mathilde la caresse sur ton son corps en se plaquant contre elle, son pubis contre les fesses, ses seins contre son dos… Léa ose poser ses mains sur les longues cuisses de la jeune fille pour la caresser… Rapidement, malgré sa position inconfortable, elle jouit sous les caresses à quatre mains.
Puis Mathilde va vers Éléonore.
Léa s’approche de bon cœur de la fille. Et elle se réjouit du changement de ton de Mathilde. Elle pose les mains sur les fesses d’Éléonore et entreprend de la lécher…
Un peu déçue, Léa s’allonge donc comme maîtresse Mathilde le lui a demandé. Elle aurait tant aimé provoquer cet orgasme chez cette jeune fille. Le sol est froid et un peu rugueux… Pas très confortable mais elle prend plaisir à regarder le spectacle qui s’offre à elle : ce sexe ouvert, les fesses, les belles et longues cuisses…
Toute à sa contemplation, elle ne voit pas ce que fait Mathilde qui s’est légèrement éloignée. Quand elle sent le contact d’un objet froid et fin sur son téton droit suivi de rapides et successives petites décharges électriques. Par réflexe, elle donne un coup et se redresse brutalement, ce qui fait rire la femme. Elle tient à la main une longue tige métallique qui se termine par une grosse poignée que Mathilde tient dans sa main.
Et elle repose la pointe de la tige sur le corps de Léa. Nouvelles petites décharges saccadées… Pas très puissantes ces décharges… Mais pas très agréables non plus….
Mathilde se met face à sa soumise, pose son objet sur le sein droit… Éléonore se crispe… La femme s’attarde puis change de sein… Léa voit les muscles des cuisses bander, ses lèvres, ses fesses s’ouvrir et se resserrer… La femme bourreau fait glisser la pointe sur le ventre, les côtés de la fille… Qui a des mouvements de recul, de résistance, autant que ses entraves le lui permettent…
Lentement la femme contourne la jeune fille et pose maintenant le bout de la tige sous une fesse qui se contracte… Puis sur l’autre… Puis elle la fait pénétrer dans le sillon et la fait glisser lentement de haut en bas… Puis de nouveau… Plusieurs fois… avant de l’enfoncer dans l’anus… d’y aller et venir… Éléonore est toute crispée… Elle gémit à travers son bâillon… Est-ce de la douleur ou éprouve-t-elle du plaisir. Inquiète mais aussi fascinée, Léa voudrait bien le savoir.
Mathilde s’est remise devant, un genou au sol pour mieux voir ce qu’elle fait… Comme Léa l’avait imaginé, la pointe électrique s’accapare maintenant du sexe. Elle fait lentement le tour des grandes lèvres avant de tourner autour du clitoris puis de se poser dessus en y imprimant de minuscules petits cercles…
Tout le corps de la fille n’est que tremblements, crispations… Elle crie à travers son bâillon… Un premier jet de cyprine arrose le visage de Léa. Puis un autre… L’objet reste en place, insiste… Éléonore n’est plus que fontaine… Elle crie, elle gémit, elle se contorsionne…
Léa est trempée de la cyprine. Elle ouvre la bouche, l’étale sur son corps avec les mains…
Mais tout s’arrête. Mathilde fait tomber son instrument de torture par terre, s’approche d’Éléonore et la prend dans ses bras, la caresse sur tout le corps… La jeune fille retrouve sa respiration petit à petit.
Et elle entreprend d’attacher Léa comme le sont Anne et Éléonore ; les bras en croix au-dessus de la tête attachés à des cordes descendant du plafond, jambes écartées maintenues par une barre métallique. Mathilde s’approche d’Anne, enlève son bâillon et en couvre les yeux. Elle fait de même avec Éléonore et va chercher une autre bande de tissu dont elle couvre les yeux de Léa.
Et les trois femmes l’entendent sortir de la cave et monter les escaliers…
Anne intervient dans la conversation :
À ce moment, elles entendent des pas dans l’escalier. Il y a au moins trois personnes.
Léa comprend que c’est d’elle qu’il s’agit. Elle se crispe, la peur au ventre, s’attendant au pire. Et effectivement, elle sent quatre mains qui prennent possession de son corps. Ses épaules, ses bras, ses côtes, ses cuisses, ses fesses, ses seins, son minou, bien sûr… Un sein nu contre le sien. Un pubis glabre contre ses fesses. Ces femmes sont nues. Une bouche se pose sur la sienne. Elle accueille la langue qui cherche à se faufiler entre ses lèvres. Une autre bouche s’empare de son sexe. Les lèvres pincées tirent sur ses grandes lèvres, la langue joue avec le clito. Deux mains écartent ses fesses, un doigt inquisiteur pénètre l’anus. Deux autres doigts glissent sans difficulté dans son vagin. Léa s’abandonne. Elle ne sait plus qui est où. Le plaisir monte. Elle voudrait voir ces deux femmes, leur rendre leurs caresses…
Caresses des corps nus contre le sien. Doigts qui s’agitent en elle. Bouches qui mordillent, aspirent, lèchent, tètent, embrassent… L’orgasme monte. Elle a peur de tomber mais elle est retenue par les liens. Elle avance autant qu’elle peut son pubis à la rencontre de la bouche et des doigts… Elle jouit dans un grand râle…
Petites tapes sur les fesses. De nouvelles mains s’emparent d’elle. Elle n’a pas entendu les nouvelles personnes arriver, toute tendue vers son plaisir. Autre contact. Gestes plus maladroits ou au contraire plus précis… Nouveau parfum autour d’elle. Et de nouveau, intrusion de doigts dans son cul, dans son sexe… Elle gémit…
Et elle entend aussi ses amies gémir… Celles qui l’ont quittée s’occupent maintenant d’elles. À moins que ce soient d’autres femmes…
C’est le silence. Pas un mot. Mais des gémissements, des plaintes, bruits de succion… Un petit cri plaintif qui vient d’ailleurs que là où sont Anne et Éléonore… D’autres femmes font l’amour sans s’occuper d’elles trois. Nouveau cri d’intense jouissance. Léa reconnaît la voix d’Anne. Imaginer la jeune fille en train de jouir sous les doigts inconnus lui provoque un nouvel orgasme…
Lorsque des mains la quittent, d’autres prennent le relais, tout autant indiscrètes, précises, lui offrant un énorme plaisir.
Et toujours ces bruits, ces feulements, ces petits cris de jouissance, parfois une petite claque sur une fesse… Corps qui se frottent au sien. Des gras, des maigres… Parfums mélangés, odeur de sueur, de cyprine…
Combien sont-elles ? Que des femmes. Combien de temps cela dure-t-il ?… Léa n’en peut plus de jouir. Elle est épuisée. Sa position commence à lui peser… Mais tout s’arrête.
Successions d’embrassades, de remerciements, de petites tapes affectueuses… Elles remontent l’escalier. Le silence tombe. Les trois femmes ne disent pas un mot, trop épuisées, encore toutes remplies de ces plaisirs offerts…
Mathilde redescend vite.
Et l’une après l’autre, elle leur enlève le bandeau qui leur masquait les yeux… En clignant des yeux, un peu éblouies, elles se regardent l’une l’autre avec un grand sourire de contentement. Heureuses de ce temps de longues jouissance mais aussi heureuses que ça soit terminé car elles sont épuisées d’avoir tant joui.
La femme se baisse devant Léa et lui délie les pieds puis elle dénoue les cordes qui lui retenaient les bras écartés en l’air. Toute ankylosée, les articulations des épaules et des hanches un peu grippées par une si longue immobilisation, elle manque perdre l’équilibre. Mathilde la retient en la tenant affectueusement contre elle et en lui caressant les dos et les fesses. Léa se sent bien contre cette belle femme, solide. Elle aime sentir le contact de ses seins contre les siens et de son pubis encore humide contre le haut de la cuisse. Mathilde ne la relâche que lorsqu’elle est sûre que Léa a retrouvé son équilibre. Puis elle va délivrer Anne qui elle aussi a du mal à tenir debout. La femme la retient de la même manière qu’elle a retenu Léa. Puis va délivrer Éléonore. Pendant qu’elle s’occupe de sa soumise, Anne et Léa s’enlacent sans se dire un mot. Elles sont bientôt rejointes par la troisième…
Elles la suivent en haut et entrent dans une salle de bain. Il y a là une grande douche dans laquelle il y a largement de la place pour elles quatre avec plusieurs pommeaux… Elles se savonnent mutuellement avec beaucoup de douceur, de sensualité… Elles sont bien.
En se séchant, Léa ose poser une question :
Elles entendent un klaxon dans la cour.
Rapidement, les deux femmes se rhabillent. Mathilde et Éléonore restent nues. Puis elles s’embrassent avec beaucoup d’émotion.
Léa sort. Quand elle apparaît en haut du perron, Wilfried lui ouvre la portière de la voiture avec beaucoup de cérémonie.
Il ferme la portière, fait le tour de la voiture et s’installe au volant. Et démarre. Anne la salue du haut du perron avec Éléonore et Mathilde qui sont toujours nues…
Ils roulent en silence dans les rues de Paris. Léa est trop fatiguée. Et elle est aussi inquiète. Que lui réserve Wilfried ? Qu’a-t-il voulu dire en disant que ce restaurant était très particulier ? Que va-t-il lui arriver encore ? Il y a encore une soirée et une nuit à passer… C’est long…