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Temps de lecture estimé : 21 mn
05/07/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Je découvre la complexité sexuelle de ma conquête.
Critères:  fh 2couples fplusag hagé jeunes extracon caférestau boitenuit noculotte fellation init
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 03 / 10
Béatrice se dévoile

Résumé des épisodes précédents :

Étudiant en stage, je rencontre au cours d’un déplacement une bourgeoise friquée et beaucoup plus âgée que moi dont je deviens l’amant. Très portée sur le sexe, elle me propose de rester pour le week-end alors que je suis censé rentrer. Avec Jean-Claude, mon copain de stage, nous trouvons une astuce pour prolonger ce séjour de baise.



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BÉATRICE SE DÉVOILE




Je ne peux pas dire que, dans la pénombre du dancing ou de sa chambre, j’avais eu l’occasion de contempler chaque détail du physique de Béatrice. Je la repérai néanmoins facilement à la terrasse du bar où elle m’avait donné rendez-vous. Elle était accompagnée de deux autres femmes qui devaient avoir son âge. Cette fois, j’eus la possibilité de la voir en plein jour.

Elle était jolie de visage, brune aux cheveux mi-longs, avec des yeux bleu foncé. De taille moyenne, elle avait une poitrine assez importante, des hanches étroites et des jambes plutôt fines aux cuisses et aux mollets bien galbées. Elle avait entre 40 et 45 ans, soit sensiblement le double de mon âge. Mais ce qui me frappa le plus, c’était la qualité des vêtements qu’elle portait… et le nombre de bijoux! Collier, bagues, bracelets, broche, boucles d’oreilles, tout y était. Je n’étais pas expert en la matière, mais il semblait bien que ce n’était pas du toc.

Elle m’accueillit avec un grand sourire et fit signe au garçon qui s’empressa de prendre ma commande.



Neveu ! J’étais devenu le neveu ! J’avais envie de rire, mais je gardai le sérieux que la situation nécessitait. Je serrai les mains des deux femmes qui me considéraient d’un œil intéressé et vaguement ironique. Manifestement, si Béatrice souhaitait que notre aventure ne soit pas connue, c’était raté ! Je lus dans leurs yeux que, pas une seconde, ses deux copines n’avaient gobé l’histoire du neveu.

Je n’eus pas à m’immiscer dans la conversation qui tourna court puisqu’elles nous quittèrent très vite avec un sourire entendu.



Je trouvais tout ça un peu surréaliste. Béatrice ne cessait de me dire qu’elle ne voulait pas que les gens qui la connaissaient puissent lui attribuer un amant. Mais en même temps, elle semait des indices partout. Que ce soit dans la boîte de nuit, où le personnel – et sans doute les clientes – n’avaient pas les yeux dans leur poche, même s’il faisait très sombre. Ensuite, elle me donnait rendez-vous en plein jour, à une terrasse où elle m’attendait en compagnie de deux amies qui m’avaient l’air d’être des commères de premier ordre. Et maintenant elle m’invitait au restaurant en tête-à-tête. Tout ça avec l’explication foireuse du prétendu neveu… J’avais l’impression qu’en fait, elle était ravie que la rumeur lui attribue un jeune amant. Mais qu’en ne reconnaissant pas officiellement cette liaison, cela lui permettait de garder une certaine distance et d’éviter les questions. J’ai appris depuis que, dans certains milieux, sauver les apparences est primordial.


En fait, à partir du moment où elle avait choisi un amant, il lui était quasiment impossible que ça passe totalement inaperçu et que la rumeur n’existe pas. Mais comme elle devait être une excellente cliente dans les différents établissements qu’elle fréquentait, elle pouvait compter sur la discrétion du personnel pour que la rumeur ne se propage pas trop. Que le personnel soit au courant, ce n’était pas un problème : il n’appartenait pas à son monde (notre repas du soir allait venir conforter cette analyse). Quant aux amies, aux copines, elles n’étaient pas dupes, sans doute envieuses si elles-mêmes n’avaient pas la même bonne fortune, mais elles ne pouvaient qu’alimenter la rumeur. Et Béatrice avait une autre arme que je ne tarderais pas à découvrir.


Au restaurant, le maître d’hôtel nous accueillit dès le sas de l’entrée et nous mena immédiatement à l’étage dans un salon particulier où une table unique était dressée. Nous étions assis côte à côte, face à la porte, sur une banquette de moleskine rouge, devant une table parée d’une longue nappe blanche qui nous couvrait le bas du corps. Là aussi, ma nouvelle amie semblait avoir ses habitudes car le maître d’hôtel nous y avait guidés sans poser de question. L’endroit était idéalement choisi pour avoir un maximum d’intimité. Le maître d’hôtel refermait soigneusement la porte en sortant, et les craquements de l’escalier en bois étaient suffisamment bruyants pour nous prévenir de l’arrivée du service.


À peine installés, ma compagne se jeta dans mes bras et se mit à m’embrasser à pleine langue. Par réflexe, je lui caressai les seins. J’eus juste le temps de me rendre compte qu’elle avait remis son solide soutien-gorge avant qu’elle ne dévie mes mains vers le bas de son corps. Décidément, elle devait faire un vrai complexe de ce côté-là. Pourtant, j’y avais eu accès hier soir ! Je fus sur le point de lui demander le pourquoi de ce revirement, mais je me ravisai.

Qu’à cela ne tienne! J’entrepris immédiatement de fourrager sous sa jupe. Comme elle était plus ample que la veille, je n’eus aucune peine à atteindre ses fesses d’une main et sa chatte de l’autre. Sa culotte ne fut qu’une formalité car elle était tellement échancrée qu’il fut plus simple de l’écarter. Dans le même temps, je quittai ses lèvres pour l’embrasser dans le cou. La réaction fut la même que d’habitude : elle se cambra en poussant une sorte de hennissement, comme si elle avait reçu une décharge électrique. Aussitôt mes doigts qui titillaient son clitoris furent inondés de foutre, au point que je me demandai même si elle ne venait pas de jouir.



Notre petite querelle fut interrompue par le maître d’hôtel qui nous apportait le premier plat. Je n’ai plus le souvenir du menu, mais c’était excellent. J’étais en train de me dire que c’était certainement très cher. Ma maman m’ayant appris à être galant avec les dames, je commençais à me soucier de la note que j’aurais à payer en sortant, mais Béatrice ne me laissa pas le loisir de développer mes élucubrations. Repoussant la longue nappe, elle ouvrit ma braguette d’abord et dégrafa ma ceinture ensuite. En une minute, j’eus le pantalon sur les chevilles et elle entra en possession de ma queue qu’elle acheva de faire bander en deux coups de poignet, puis elle plongea vers mon ventre et enfourna sans hésiter ma virilité jusqu’au fond de sa gorge.

Bon sang, qu’elle avait la bouche chaude ! Torride !


Après avoir copieusement frotté le bout de ma bite contre son palais, elle remonta légèrement et sa langue se mit à jouer un véritable ballet sur la base de mon gland, juste à l’endroit où il y a le maximum de terminaisons nerveuses. Je me renversai en arrière pour lui laisser le plus d’espace possible, et elle en profita pour me tailler une pipe dans les règles de l’art. J’avais déjà constaté la veille qu’elle était douée pour ce genre d’exercice, et ce nouvel assaut sur mon sexe confirmait totalement la première expérience.

De la main, elle avait réussi à sortir mes couilles de mon slip, et elle les caressait délicatement sans cesser de me pomper le nœud. Sous un tel traitement, je ne tardai pas à ressentir les frémissements annonciateurs d’une bonne éjaculation.



J’étouffai mon cri, mais je ne pus me retenir plus longtemps et ma queue se mit à décharger toute sa jute à grandes giclées. Je jouissais à fond. Inconsciemment, j’avais posé ma main sur la tête de ma pipeuse, mais je n’eus pas besoin de la forcer : elle maintint sa bouche autour de mon sexe pendant toute l’éjaculation.

Quand les giclées chaudes et gluantes eurent cessé, elle lâcha ma bite avec un bruit de succion, se redressa, et me regardant dans les yeux elle ouvrit la bouche pour me montrer qu’elle était pleine de ma semence. La décharge avait été copieuse, et le sperme se mit à couler aux deux commissures de ses lèvres, encadrant son menton de traînées brillantes avant qu’elle ne referme la bouche et déglutisse avec satisfaction. Elle passa ensuite sa langue tout autour de ses lèvres sans parvenir à ôter complètement les deux traces.



La question était idiote ; c’était la deuxième fois qu’elle avalait toute ma sauce. Mais j’ai toujours aimé partager plutôt que d’imposer les joies du sexe. Ça me valut à nouveau de me faire jeter.



Le plat suivant nous fut également servi par le même maître d’hôtel. Je n’étais pas très versé dans les habitudes des restaurants huppés, mais cela me parut quand même un peu étrange. Je m’étais à peine dissimulé sous la nappe, mais il sembla ne rien voir, ne rien remarquer.

À peine avait-il refermé la porte qu’elle se renversait sur la banquette en relevant sa jupe. Puis en un tournemain, elle retira sa culotte qu’elle posa près de son couvert.



Fort de ma première expérience de la veille, je repris vite le rythme, astiquant son gros bouton et plongeant mes doigts dans son sexe ouvert. Les yeux fermés, la tête en arrière, elle gémit sans discontinuer. Elle ouvrait largement les cuisses et je sentais son sexe se mouiller doucement jusqu’à ce qu’elle m’inonde carrément les doigts de mouille lorsqu’elle se mit à jouir. Un liquide blanc épais sourdait de son vagin et coulait sur mes doigts et sur ses fesses jusque sur la banquette. Elle feulait sans discontinuer. Cela dura un long moment, puis elle resserra les cuisses sur ma main qu’elle emprisonna. Elle se redressa et m’embrassa à pleine langue.



Cette fois, nous avons pris le temps de déguster ce qu’il y avait dans notre assiette. Je crus comprendre que nos ébats n’étaient pas forcément finis puisque je n’eus pas le droit de me rajuster. Je mangeai donc avec le pantalon sur les chevilles, ma nudité à peine protégée par la nappe, ce qui me laissait une drôle de sensation. Elle-même n’avait pas remis sa petite culotte qui trônait sur la table, roulée en boule près de sa serviette. Blanche, elle ne se remarquait pas trop, mais quand même ! Tout cela sans aucun souci de ce que pouvait voir ou non le maître d’hôtel, qui assura lui-même tout le service sans paraître voir quoi que ce soit. Quand on connaît le don d’observation de ce type de professionnel…

Au dessert, tout en maniant avec dextérité la petite cuillère d’une main, elle entreprit, de l’autre, de réveiller ma virilité. Ce ne fut pas bien long. Elle abandonna alors son nougat glacé, écarta prestement la nappe pour dévoiler ma bite bien dressée.



Elle repoussa la table, releva ses jupes et m’enjamba pour venir s’empaler sur ma queue qui trouva le chemin toute seule et glissa sans problème jusqu’au fond de son vagin, tant elle était gluante de la mouille que lui avait procuré ma masturbation. Elle se mit ensuite à monter et descendre en cadence, mais pas trop vite, comme pour savourer chaque centimètre de la tige qui la pénétrait. C’était chaud et doux, et j’avais devant les yeux le spectacle merveilleux de ses fesses que je caressais à deux mains.

Bientôt je la sentis frémir ; les parois de son vagin commencèrent à se contracter autour de mon gland. Elle respirait plus fort. Sa cadence se ralentit. Elle gémit doucement :



Et puis d’un seul coup jaillit le flot chaud qui m’inonda le sexe, les couilles, collant mes poils aux siens. Elle jouissait à fond, arcboutée sur la table, ma bite enfoncée jusqu’à la garde, le vagin palpitant, mouillant, suintant. Elle gémissait de bonheur. Cela dura longtemps. Puis d’un coup elle s’amollit, s’appuyant du front contre ses bras croisés sur la table. Je n’osais pas bouger, toujours bandé en elle, mes mains caressant ses douces fesses qui frémissaient encore de plaisir.

Le maître d’hôtel risqua un œil et s’éclipsa, conscient d’arriver un peu tôt. Enfin elle s’anima. Elle m’offrit ses lèvres en se retournant.



C’est vrai que, finalement, depuis que je l’avais retrouvée, elle n’avait pas posé la question ; mais pour moi c’était évident, sinon j’aurais dû être sur la route de retour.



J’étais totalement interloqué. S’il y avait quelque chose à laquelle je ne m’attendais pas, c’était bien ça ! Son mari… Elle était folle, ou quoi ?



Houlà, il y avait encore du mystère ! Je commençais à m’inquiéter sérieusement. En plus d’être présenté à un mari soi-disant pas jaloux, il y avait encore des choses à découvrir ?



Elle eut un rire de gorge :



Un peu interloqué, je suivis docilement Béatrice qui m’emmena dans le dancing où nous nous étions rencontrés. Il y faisait toujours aussi sombre, et malgré l’affluence sa table était libre. Aussitôt assis, elle s’enroula autour de moi, sollicitant caresses et baisers. Sachant ses seins zone interdite, je mis de suite mes mains sous sa jupe. Sa culotte avait dû rester sur la table du restaurant car je trouvai la chair nue sous mes doigts. Je pris plaisir à fouiller à nouveau ses chairs mouillées. Peut-être que la culotte était le pourboire du serveur ?

Du pouce, je me mis à lui masser le clitoris qui était déjà dur, tandis que je l’embrassais dans le cou, ce qui la fit se cambrer violemment. Elle poussa son hennissement habituel, et je sentis une nouvelle coulée de mouille inonder ma main. Dans le même temps, elle se dégagea de moi.



Décidément, elle y tenait vraiment. Je décidai d’être franc.



Malgré cette explication, je me demandais où j’avais mis les pieds. Je n’étais pas très sûr de moi, mais je décidai de rester. Je ne voyais toujours pas où tout ça nous menait, mais il me restait toujours la possibilité de les quitter si les événements tournaient au vinaigre.

Nous avons continué à flirter, mais de mon côté le cœur n’y était pas vraiment. Je me demandais comment allait se dérouler la rencontre.


Un peu après 22 heures, elle me quitta pendant quelques minutes pour passer un coup de fil depuis le bar. De retour, elle m’annonça simplement :



Moins d’un quart d’heure plus tard, il s’asseyait sur une chaise en face de nous. J’avais encore les bras autour des épaules de Béatrice, et mon premier réflexe fut de le retirer. Devinant mon geste malgré la pénombre, il se redressa, me prit le bras d’une main ferme et le repositionna autour du cou de son épouse.



La pénombre devait dissimuler en partie ma totale incompréhension. Mais comme je ne disais rien, il poursuivit :



Un peu étourdi par ce maelström et par le rôle qu’on me faisait jouer, je me levai et je partis à la recherche de ma première cavalière.

Ce n’était quand même pas pour que je serve de rabatteur à son mari que Béa avait voulu que je reste ? Décidément, ils étaient un peu bizarres, ces gens-là. Sympas, mais bizarres…


Il me fallut un certain temps pour la repérer en train de danser avec un jeune blondinet dont la tête lui arrivait au niveau des seins et qui ne semblait même pas en profiter.

Je lui tapai sur l’épaule. Elle fit faire un demi-tour sur place à son cavalier, et me délivra un grand sourire en m’apercevant.



Elle lâcha son avorton qui faillit protester, mais se retira quand je l’eus regardé un peu méchamment. Aussitôt Christine vint se coller contre moi. Je l’entraînai vers le coin opposé à la table de Béa. Histoire de vérifier si elle était toujours aussi peu farouche et si elle n’était pas occupée par les Anglais, je lui mis d’autorité la main dans la culotte… Tout allait bien !




À suivre…