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n° 16300Fiche technique28042 caractères28042
Temps de lecture estimé : 17 mn
08/07/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Je découvre la partie carrée avec ma conquête bourgeoise, son mari et ma première cavalière.
Critères:  grp fplusag hagé jeunes cocus hotel boitenuit
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 04 / 10
Partie carrée à l'hôtel

Résumé des épisodes précédents :

Béatrice, ma conquête de la station thermale, m’a présenté à son mari venu la rejoindre pour le week-end.

À mon grand étonnement, Charles-Henri ne voit aucun inconvénient à ce que je fasse l’amour à son épouse, et me demande de lui présenter une copine de mon âge. Je retrouve Christine, mon tout premier flirt, qui accepte de venir se joindre à nous.



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PARTIE CARRÉE À L’HÔTEL





Les présentations faites, nous nous installâmes autour de la table, moi à côté de Béatrice, ce qui mettait forcément Christine près de Charles-Henri. Après quelques banalités, j’invitai Béatrice à faire un slow pour laisser le loisir à son mari de draguer ma jeune copine et de l’inviter à danser. Ils ne tardèrent pas à nous rejoindre sur la piste.

Les préliminaires prirent peu de temps, car au bout de deux danses, ils se rapprochèrent de nous et Charles-Henri déclara :



Ainsi fut fait, et quelques minutes plus tard nous étions dans la chambre de Béatrice. Comme je l’avais déjà constaté, la pièce était très grande et comportait, outre un canapé et deux fauteuils, un superbe lit « king size » qui devait permettre de s’ébattre à plusieurs couples sans se bousculer.

Sur la table basse, devant le canapé, trônait le seau à glace toujours garni de sa bouteille de champagne. Charles-Henri s’empressa de la déboucher tandis que nous prenions place et que son épouse mettait en route un quelconque appareil qui se mit à débiter, sur un niveau sonore assez élevé, de la musique de slow et de blues.



En quelques minutes, après avoir vidé deux flûtes remplies à ras bord, ma copine était bien gaie.



Je poussai la table basse sur le côté pour faire de la place, et face à face, nous entreprîmes de nous déshabiller mutuellement avec lenteur pour faire durer le plaisir. Après chaque vêtement enlevé, nous parcourions de nos mains la surface du corps qui venait d’être découverte. De voir et de caresser ainsi le corps de Christine me faisait de l’effet, et je me trouvais à l’étroit dans mon slip.


Je n’avais pas encore vu son corps nu ; mes souvenirs étaient uniquement tactiles, mais Christine avait des seins haut plantés et bien droits. Ils étaient assez volumineux mais avec des attaches très larges, ce qui fait qu’ils ne tombaient pas. Elle avait un ventre arrondi et doux, la taille un peu épaisse, des hanches en amphore et des fesses assez longues et bien cambrées. Enfin, son pubis était garni d’une toison plutôt fournie de poils noirs bouclés dans lesquels je fourrageai pour extraire un bouton rose suintant.


Quand elle-même retira mon slip, ma verge était bien dressée. Elle la masturba un peu puis, s’agenouillant, elle la prit délicatement entre ses lèvres et se mit en devoir de me sucer. À ce moment, je pensai à jeter un œil vers nos hôtes, que j’avais un peu oubliés dans ma concentration sur Christine. Tous deux étaient restés assis dans les fauteuils pour nous regarder. Charles-Henri avait ouvert sa braguette d’où il avait extrait une grosse bite qu’il masturbait doucement en s’attardant sur le bout. De son côté, Béatrice s’était carrément troussée jusqu’à la taille. Comme sa petite culotte était restée sur la table du restaurant, elle pouvait sans obstacle s’astiquer le minou. Elle ne s’en privait pas, une jambe sur le bras du fauteuil et les cuisses largement ouvertes.

Christine s’aperçut aussi que le couple se branlait en nous matant.



Et sans attendre, elle m’abandonna pour aller les dévêtir. Ce fut rapidement fait pour Charles-Henri qui en profita pour peloter les seins et l’entrecuisse de la jeune femme. Elle alla ensuite vers Béatrice qui se laissa faire jusqu’au soutien-gorge, qu’elle voulut garder à tout prix. S’ensuivit une discussion entre les deux femmes, où l’une soutenait qu’il fallait se mettre entièrement nue, et l’autre que sa poitrine était trop grosse et pas du tout érotique. Finalement, Béatrice céda à condition que les lumières soient réduites aux lampes de chevet. La demi-pénombre obtenue, elle libéra ses deux seins lourds aux larges aréoles brunes qui, certes, n’avaient pas la tenue de ceux de Christine, mais qui n’avaient rien d’inesthétique, bien au contraire. Christine se joignit à moi pour confirmer à notre amie qu’elle avait une poitrine superbe. Joignant le geste à la parole, nous entreprîmes de lui sucer chacun un sein. Manifestement, c’était pour elle, malgré son complexe, une zone érogène car elle fut rapidement excitée. Parcourue de frissons, elle nous maintenait contre sa poitrine de ses deux bras tandis que je fourrais ma main entre ses cuisses ouvertes. Mais je trouvai la place déjà occupée par les doigts de Christine. De son côté, Béa avait investi le minou de la jeune femme et tendait l’autre main vers ma tige dressée.



Cette dernière injonction nous incita à rejoindre le lit.

Sans nous concerter, les couples se formèrent. En fait de partie carrée, on était plutôt dans un 2 + 2, car nos amis n’avaient apparemment pas l’intention de reprendre les ébats conjugaux. Je pris donc Béatrice dans mes bras et Christine se jeta dans ceux de Charles-Henri. Je commençai par caresser le clitoris bien dressé et les grandes lèvres tout humides de sécrétions avant de l’embrasser dans le cou, provoquant sa réaction immédiate habituelle. Puis je m’allongeai tête-bêche sur elle pour lui lécher consciencieusement le minou pendant qu’elle enfournait ma bite dans sa bouche. J’adore cette position, lyonnaise par excellence, bien que je préfère lorsque je suis dessous et la femme dessus.

Mais Béatrice était trop excitée :



Elle voulut que je la prenne en levrette. Elle semblait affectionner particulièrement cette position. Et dans le cas présent, cela lui permit aussi de se mettre juste en face de Christine que son mari avait mise dans la même position et tenter de lui rouler une pelle quand les coups de boutoir que nous leur infligions en les pistonnant le permettaient. J’en profitai pour lui peloter les fesses et pour lui titiller l’anus, qui m’apparut bien souple. Cette caresse parut lui plaire, et j’en déduisis qu’elle ne détestait pas se faire enculer. De son côté, Charles-Henri n’avait pas l’air de s’ennuyer. Manifestement, le jeune postérieur de Christine lui convenait tout à fait. Il n’arrêtait pas de le parcourir à deux mains tandis qu’il faisait coulisser sa queue dans le vagin qui semblait très bien lubrifié.


Tout de suite, la situation me plut ; le climat était bien plus érotique que si j’avais été en train de baiser avec Béatrice seule. Le spectacle était superbe : ces deux femmes à quatre pattes, les reins bien cambrés, le cul en arrière, les seins ballottant légèrement, en train de se faire des langues pendant que nos bites allaient et venaient dans leurs chattes… c’était sublime !


Ce fut Béatrice qui jouit la première. Elle quitta la bouche de Christine et s’affala soudain sur le lit. De la main droite qu’elle passa sous son ventre, elle entreprit de se branler le clito ; en même temps, elle se recula d’un mouvement presque violent à la rencontre de ma verge, oscillant le cul de droite et de gauche, frottant ses fesses contre mon bas-ventre, entraînant ma bite dans une espèce de mouvement rotatif la mettant en contact avec toutes les parois de son vagin. Elle gémit longuement. Puis, comme je sentais un liquide chaud envelopper ma queue et mouiller mon pubis et mes couilles, tout en s’astiquant le bouton de plus en plus vite, elle cria qu’elle jouissait, que c’était bon, que je la baisais bien, et d’autres choses de ce genre qui semblaient la libérer et l’exciter en même temps.


À peine avait-elle fini de crier que j’entendis son mari grogner de plaisir. Il tenait sa partenaire fermement aux hanches et redoublait d’ardeur pour la pistonner. Sous cette accélération de l’assaut, je vis le visage de Christine se crisper, et elle gémit en jouissant elle aussi. J’imaginais que son sexe devait palpiter et se resserrer autour de la verge de Charles-Henri et lui procurer une superbe excitation. Effectivement, ce dernier ne tarda pas à jouir aussi ; mais alors que je pensais qu’il profiterait de ce superbe fourreau torride pour s’épancher, il se retira et vint placer sa queue dans le sillon culier de telle sorte que son gland vienne dépasser au-dessus des fesses de la belle. Il fit quelques allers et retours en se frottant et lâcha sa décharge.

Il avait une belle grosse bite, Charles-Henri, mais aussi une grosse bourse, et elle était bien pleine. La première giclée fut si violente qu’elle retomba dans les cheveux de Béatrice, prostrée en position de levrette, ma bite toujours enfoncée dans son vagin dégoulinant de foutre. Les autres vinrent maculer tout le dos de Christine qui, elle aussi, finissait de jouir.

Fasciné par le spectacle des orgasmes de mes camarades de jeu, j’étais le seul à ne pas avoir éjaculé. Christine, qui était celle qui avait le moins perdu la notion du réel, se dégagea de l’étreinte de Charles-Henri et, se redressant, attira l’attention des autres.



Elle me fit coucher sur le dos, m’enjamba et vint s’empaler sur ma verge qu’elle tenait droite d’une main. Aussitôt elle se mit à me chevaucher avec application.



Les yeux fermés, je savourais ce moment. Je lui pris les fesses pour rythmer le mouvement m’appliquant à les caresser avec douceur. Elle se coucha plus sur moi, et les pointes de ses seins vinrent frôler ma poitrine, créant des ondes frissonnantes sur ma peau.

Puis je sentis qu’une main empoignait la base de mon sexe, tirait la peau sans doute pour bien me décalotter le gland, me caressait les couilles et profitait certainement de cette position pour investir aussi le sexe de ma cavalière qui se tortilla avec volupté, amplifiant les caresses de ses bouts de seins sur ma poitrine.

J’avoue que je me suis un moment demandé si la main qui me caressait la bite et le doigt qui me titillait l’anus n’étaient pas ceux de Charles-Henri. Je fus rassuré quand je le vis allongé près de nous. D’une main il pelotait les seins de Christine, et de l’autre il se manipulait la verge pour la faire bander à nouveau. C’était donc Béatrice qui officiait. Elle ne tarda pas à remplacer sa main par sa bouche, me léchant doucement les boules et la base du sexe.

C’est à ce moment que je déchargeai. Contrairement à Charles-Henri, je ne cherchai surtout pas à concurrencer l’arrosage municipal. Je pris un pied terrible à jouir dans cette chatte bien chaude et bien plus serrée que celle de ma compagne de ces derniers jours.

Seigneur, que c’était bon !

Christine semblait ravie de se faire remplir de sperme :



En effet, je sentais que le sperme coulait le long de mon sexe et qu’une langue avide s’escrimait à en récupérer chaque goutte. Le sexe de Christine qui jouissait enserrait plus fort ma colonne de chair qui continuait à déverser toute sa semence à grandes giclées.

Lorsque ma fontaine de sperme eut cessé de couler, Christine, s’appuyant sur un pied, se souleva, et ma bite quitta sa chaude prison. Je vis alors de longs filets gluants de jute et de mouille mêlés tomber de ses lèvres vaginales sur mon sexe encore très bien gonflé et sur mon ventre frissonnant de plaisir. Béatrice vint boire cette liqueur à la fontaine même. Elle aspira, lécha tout ce qui sortait du vagin de Christine puis, sans hésiter, elle se jeta sur ma verge qu’elle suça consciencieusement pour la nettoyer de ses sécrétions, m’arrachant des ondes de plaisir tant mon sexe était encore sensible de la jouissance qu’il venait de connaître. Après quoi elle fit disparaître d’une langue habile les petites flaques qui stagnaient encore sur mon ventre.


Cette situation hautement érotique avait contribué à me faire jouir comme rarement j’en avais eu l’occasion auparavant. Décidément, je trouvais que pour une première partie carrée, j’avais vécu un grand moment.

Charles-Henri avait réussi à faire à nouveau bander son sexe, mais il était bien tard et nous étions tous fatigués. Christine consentit à lui tailler une pipe, mais elle abandonna le terrain au bout d’un moment, son partenaire n’ayant pas l’air d’être prêt à éjaculer à nouveau.

Nos hôtes auraient souhaité nous garder pour le reste de la nuit, mais nous décidâmes de les quitter. Ils nous firent alors promettre de venir les retrouver sans faute le lendemain.



Comme Christine regagnait son hôtel, je l’accompagnai pour qu’elle ne soit pas seule, bien qu’il n’y ait aucun danger dans le bourg. Sur le chemin, nous échangeâmes quelques impressions.




Il était plus de trois heures du matin lorsque je suis arrivé à l’hôtel. Jean-Claude avait dû rester coucher avec sa dévoreuse de santé, et je ne rencontrai pas la patronne comme lors de notre première sortie.


Le lendemain, j’eus du mal à émerger à 7 heures. Après une bonne douche et un rasage de près, je descendis pour prendre un petit déjeuner. La patronne me sourit à peine et me considéra avec un air de reproche.



Décidément, j’avais ma chance avec elle, mais la séance de la veille m’avait beaucoup plu et la perspective de la partouze en boîte était si tentante que le choix était de suite fait.



Je suis allé bosser sans Jean-Claude. Il ne me rejoignit que vers 11 heures.



On a bien travaillé quand même. À 17 heures, on pouvait quitter le chantier. Pour un samedi, ça suffisait largement.

De retour à l’hôtel, le temps de se doucher, de se changer, j’embarquai mon Jean-Claude et je repris le chemin de la station. Vers 19 heures j’étais devant l’hôtel de Christine. Elle devait guetter mon arrivée, car elle vint de suite vers moi.



Marlène avait vraiment besoin d’un séjour dans cette station thermale. Brune aux cheveux courts, elle était très ronde, avec des formes généreuses et pour tout dire un peu pléthoriques. Heureusement, elle n’était pas petite et son visage, bien qu’un peu poupin, était très joli. Après les présentations, la conversation roula quelque temps sur des banalités, puis Christine donna le signal du départ.




À suivre