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Temps de lecture estimé : 17 mn
05/08/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Accompagné de mon amante et de son mari, je découvre un club échangiste.
Critères:  grp hplusag fplusag jeunes couplus extracon grossexe boitenuit noculotte partouze init
Auteur : Julius Cassiacus      

Série : Just a gigolo

Chapitre 05 / 10
Découverte du club échangiste

Résumé des épisodes précédents :

Étudiant travaillant l’été, j’ai rencontré Béatrice un soir dans une boîte de nuit et je suis devenu son amant. La quarantaine, riche et sensuelle, elle fait tout pour me garder le week-end et me présente à Charles-Henri, son mari. Ce dernier, nullement jaloux, me demande de lui trouver une jeune fille.

Je décide Christine à se joindre à nous, et la soirée se termine en partie carrée.

En se quittant, le couple nous propose de nous emmener le lendemain soir, Christine et moi, dans une boîte sympa… qui s’avère être un club échangiste.




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DÉCOUVERTE DU CLUB ÉCHANGISTE




Béatrice et Charles-Henri nous accueillirent à bras ouverts. Charles-Henri faisait très PDG en vacances. Chemise de grand couturier, foulard de soie et lunettes de soleil signées. Un peu grisonnante, sa chevelure poivre et sel ajoutait une note de maturité sans nuire à son charme.

Béatrice avait une jupe droite assez courte et un chemisier blanc qui se boutonnait sur le devant assez ouvert sur le sillon de ses seins.


Il était environ 20 heures, et ils nous proposèrent d’aller prendre un cocktail dans le bar d’un hôtel un peu à l’écart de la station. Béatrice nous prévint que, malgré l’ambiance très intime de cet endroit, il n’était pas question de galipettes ni même de flirter. Il fallait être très BCBG. Déjà qu’en sortant de l’hôtel, Christine ne passait pas inaperçue avec son haut noir léger qui dévoilait généreusement sa superbe poitrine sans soutien-gorge… Les regards de quelques hommes présents étaient attirés par ses mamelons qui marquaient visiblement le tissu. Elle avait aussi mis une mini-jupe assez ample qui voletait autour de ses cuisses, dévoilant presque à chaque pas le joli pli prometteur d’une fesse bien galbée.



La surprise passée, Charles-Henri se mit à rire bruyamment.



En allant à la voiture, Christine trouva le moyen – lorsque nous étions un peu à l’abri des regards – de faire voler sa jupette, au grand ravissement de Charles-Henri. Elle poussa même le jeu jusqu’à faire semblant de ramasser quelque chose par terre en passant entre deux voitures, livrant à notre vue toute son intimité. Charles-Henri était aux anges.



La grosse Mercedes était très confortable. Sans hésitation, Béatrice s’était installée près de moi sur le siège arrière, et dès que nous fûmes sur la route elle se pendit à mon cou pour m’embrasser, écartant largement les jambes pour faciliter la fouille profonde que j’avais entreprise entre ses cuisses. De son côté, Charles-Henri bien qu’occupé par la conduite de la voiture, passait son temps à mater Christine qui, relevant sa mini, lui offrait la vue de son sexe nu. C’était quelque peu dangereux car la route était sinueuse. Ça ne s’arrangea pas vraiment quand il ne put s’empêcher d’y porter la main, tout en conduisant de l’autre.


Tout le monde reprit une posture décente en arrivant au bar, qui en ce samedi soir faisait le plein. Béatrice et son mari étaient très connus. Ils ne cessaient de saluer par des signes de tête les personnes des autres tables. Avant d’entrer, ils nous avaient à nouveau alertés sur le fait qu’il n’était pas question de montrer ici nos véritables relations. Pour tous, Béa et Charles-Henri formaient un couple normal, et nous étions leurs invités, point !


Mais l’heure avançait et Charles-Henri, après avoir réglé la note, donna le signal du départ pour le club, où nous devions aussi dîner. Comme nous avions entamé une discussion technique entre hommes, Béatrice me suggéra de monter à l’avant pour la continuer. Je crois aussi que les embardées de l’aller, conséquences de l’attention portée par son mari à l’entrejambe de Christine, lui avaient fait assez peur. Après quelques minutes, nos hôtes s’inquiétèrent de savoir, maintenant que le moment fatidique approchait, si nous avions des appréhensions.



La route était déserte. Sans hésiter, Christine se mit à déboutonner le chemisier et à le dégager de la jupe, puis à l’ôter complètement. Béa, un peu figée, redressait le buste au maximum.



Passant les mains autour du buste, la jeune fille dégrafa et enleva le soutien-gorge blanc, libérant deux seins lourds mais parfaitement harmonieux, séparés par un sillon profond qui me donnait envie d’y mettre ma bite. Nous applaudîmes tous les trois.



Christine, de son côté, ne se privait pas de la peloter à pleines mains et même de lui sucer les tétons, déclenchant quelques soupirs.



J’approuvai, et à demi retourné sur le siège, je tendis la main vers ses seins pour en effleurer les mamelons qui s’érigèrent un peu plus. Mais je vis que ce qui lui faisait le plus plaisir, c’était le compliment de son mari.

Le chemisier remis en place, Béatrice était très sexy. Comme Christine, ses mamelons semblaient vouloir perforer le tissu, ce qui apportait une touche érotique certaine. Et puis la jeune fille avait empêché son aînée de boutonner le chemisier au plus haut. Les deux boutons ouverts laissaient donc voir le sillon et les deux seins jusqu’au torse de Béatrice.





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La superbe brune qui venait de nous ouvrir la porte du VIP se jeta littéralement au cou de notre cicérone. Elle avait détaillé notre groupe avant de nous laisser pénétrer dans un large vestibule qui devait servir de vestiaire en d’autres saisons. Agée d’environ 35 à 40 ans, elle était habillée (si l’on peut dire) d’une robe à bretelles, très courte, très décolletée et très transparente sous laquelle elle ne portait rien.

Si nous avions quelques doutes sur la présence d’une petite culotte, Charles-Henri nous apporta la preuve qu’aucun accessoire de cette sorte ne voilait l’intimité de la dame : en effet, dès qu’elle s’était pendue à son cou, il avait passé les deux mains sous la robe et l’avait remontée jusqu’à la taille, nous révélant deux superbes fesses toutes bronzées de partout. Non seulement elle n’avait pas de culotte, mais vu l’uniformité de son bronzage, elle devait passer de longs moments au soleil complètement nue.

Après avoir embrassé notre ami à langue-que-veux-tu pendant qu’il lui explorait les fesses, raie culière comprise, elle se tourna enfin vers nous en demandant :



Jessica me mit alors les bras autour du cou, écrasa ses deux seins contre ma poitrine et me roula une des plus belles pelles de ma vie. Sa langue était agile et mutine, sa bouche chaude à souhait. Je m’empressai de faire comme mon aîné en relevant sa courte robe et en prenant ses fesses à deux mains pour ensuite me délecter de leur rondeur et de la chaude douceur de son entre-fesse. J’allai même jusqu’à lui titiller l’anus d’un doigt. Immédiatement, elle tendit sa croupe en arrière pour me permettre de mieux l’explorer.



Elle écarta les épais rideaux rouges au fond du vestibule et nous pénétrâmes dans le cœur du club. La première impression fut que nous étions dans une ambiance chaude et feutrée, tant du point de vue de la lumière et de la musique que de la décoration. La salle dans laquelle nous pénétrions ressemblait à un dancing, avec ses deux pistes circulaires entourées de banquettes recouvertes de coussins. Elles étaient désertes pour le moment. Seuls deux couples étaient près du bar qui occupait le fond de la pièce. L’un de ces couples discutait avec un homme derrière le comptoir.



Jessica nous abandonna pour aller ouvrir la porte à de nouveaux arrivants, un couple un peu étrange : elle blonde et toute ronde, lui brun et tout maigrichon avec des lunettes.


Gérard était le patron et le compagnon de Jessica. C’était lui qui était derrière le bar et discutait avec les clients. Il nous accueillit avec un grand sourire, nous servit, et retourna à sa conversation. Pour ce que j’en jugeai, il draguait la dénommée Magali. Elle semblait ravie, et son compagnon plus que consentant. Appuyé au bar, j’étais tout proche et ne perdais rien de ce qui se passait.



Et sans attendre la réponse, il fit éloigner la jeune femme du bar et releva sa robe, découvrant les cuisses, le pubis et le ventre nus de sa compagne. Celle-ci, le regard noyé, semblait ravie et se laissait faire sans prononcer une parole.



Sans hésiter, le dénommé Jacques fit faire un demi-tour à sa femme qui semblait prendre plaisir à être complètement soumise. Elle se pencha en avant, cambrant bien les reins, offrant ses fesses. D’un geste, il releva sa robe légère jusqu’à la taille. Elle étalait avec complaisance ses hanches bien dessinées et son cul somptueux. Malgré la lumière discrète, j’avais une vue imprenable sur l’intimité de la dénommée Magali. Elle avait écarté les jambes juste ce qu’il fallait pour le spectacle. On voyait nettement les deux côtés renflés et garnis de poils frisés courts de sa chatte. Au milieu, les lèvres de sa fente s’ouvraient sur un clitoris assez large, et au-dessus la couture de son sexe qui se terminait entre les deux pommes de ses fesses par l’œil foncé de son anus. Je me mis à bander très fort.



Et le mari, écartant les deux fesses, plongea deux doigts entre les lèvres de la moule offerte. Magali gémit sous l’introduction et ouvrit le compas de ses jambes.



Gérard fit le tour du bar après avoir rapidement ôté son pantalon. Il bandait effectivement de fort belle façon et présentait un sexe de très fortes dimensions.



Le patron ouvrit l’entrée du vagin, et d’un seul élan fit entrer son sexe jusqu’aux testicules. Puis il se mit à limer en cadence. Bientôt, Magali gémit sans pratiquement discontinuer.



Je sursautai sous l’interpellation du mari. J’étais tellement pris par la scène que j’avais un peu perdu la notion de ce qui était autour de moi, et je m’aperçus que j’étais resté seul au bar avec le trio. Je bandais, et l’invite était claire. Je sortis prestement ma verge et je vins la présenter à la dame qui, sans hésiter, la prit d’une main pour l’engloutir entre ses lèvres la seconde d’après. C’était bon ! Elle se mit alors à me tailler une pipe en réglant son rythme sur celui qui lui était imprimé par les coups de queue du patron. Elle suçait bien. Sa langue jouait avec mon gland et ses lèvres s’activaient sur les endroits les plus sensibles de sa base. Je commençais à être vraiment chaud lorsqu’elle me lâcha pour redresser la tête. Elle gémissait plus fort et frottait ses fesses contre celui qui la baisait. Elle hochait la tête de droite et de gauche, et d’un coup se mit à crier sur un ton presque plaintif :



Quand elle eut terminé son orgasme, elle se dégagea sans se préoccuper de son baiseur qui se retrouva flamberge au vent et n’eut d’autre solution que de retourner derrière son bar. De son côté, elle alla embrasser son mari à pleine bouche.



Je me rajustai. Elle continuait ses baisers, et son mari fourrageait sous sa robe au niveau de la chatte qui devait être trempée. Elle-même se lança dans une fouille de la braguette de son compagnon.



Le reste ne me concernait plus, c’était leur affaire de couple. Ils avaient pris ce dont ils avaient besoin et s’étaient repliés provisoirement sur eux-mêmes. Peut-être en avaient-ils pour la soirée, peut-être iraient-ils recharger leurs fantasmes avec d’autres personnes avant de partir.


Après ce hors d’œuvre, je cherchai mes amis. Je m’aperçus que de nombreux couples étaient arrivés et avaient investi les banquettes, le bar et la piste de danse.

Béatrice était avec son mari à l’autre bout du comptoir, en grande conversation avec un autre couple. Marlène dansait avec le maigrichon qui était arrivé après nous. Quant à Christine, elle était au centre d’un groupe de quatre ou cinq hommes qui semblaient prêts à tout pour la séduire.

Me voyant la regarder, elle sortit du cercle en s’excusant et vint se pendre à mon cou.



Christine m’entraîna sur la piste pour un slow. C’est là que je vis que le sol était un miroir, et que l’éclairage était calculé pour qu’on puisse voir assez bien sous les robes. Les hommes qui étaient assis sur les banquettes n’en perdaient pas une miette, d’autant qu’apparemment presque toutes les femmes avaient oublié ou ôté leur culotte. Et que celles qui en portaient avaient choisi des dessous sexy, le plus souvent en forme de string.


Christine se colla à moi, frottant avec insistance son mont de Vénus contre ma braguette. J’observais les gens autour de nous. Ceux qui étaient sur la piste flirtaient outrageusement. Tous les hommes avaient les mains sous la jupe ou la robe de leur partenaire. Certains avaient carrément remonté le tissu et exhibaient les fesses de leur cavalière. Ceux qui étaient assis se régalaient du spectacle. Bientôt il y eut des caresses d’un couple à l’autre. Celles qui avaient les fesses dénudées attiraient les mains des danseurs voisins, hommes ou femmes. Certains danseurs se rapprochaient aussi des personnes assises, qui n’étaient pas les dernières à peloter les rondeurs qui s’offraient à leur portée. En regardant mieux, je vis que certaines femmes avaient même sorti la verge toute bandée de leur cavalier et les masturbaient doucement en dansant. J’aperçus Marlène. Son cavalier l’avait dépouillée de sa robe et elle dansait nue contre lui. Lorsqu’elle se tourna à demi, je vis qu’elle tenait dans la main une bite énorme. Elle était longue et d’un diamètre inhabituel. Il était sacrément monté, le maigrichon ! Quel que soit l’endroit où il comptait la lui mettre, elle allait le sentir passer ! Pour le moment, il cherchait à la faire agenouiller, sans doute pour qu’elle le suce. Mais elle résistait, secouant la tête en signe de protestation.

J’avais moi-même passé les mains sous la jupe de ma cavalière pour lui caresser le minou et plonger mes doigts dans sa moule. Puis passant à l’arrière, je soulevai sa jupe et je dévoilai ses jolies fesses. Très vite, une autre main rejoignit la mienne, et un autre couple fut tout contre nous.



Charles-Henri dansait avec Béatrice. Ils nous avaient rejoints. Il avait lui aussi dénudé les fesses de sa cavalière et me les offrait en échange.



Nous dansâmes bientôt tous les quatre en échangeant baisers et caresses sexuelles poussées. De temps en temps, d’autres mains venaient côtoyer les nôtres.

Je commençais à être assez chaud, et j’allais proposer aux autres de trouver un coin pour baiser lorsque Jessica vint nous appeler pour le dîner. C’est presque à regret que nous y allâmes.




À suivre