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Temps de lecture estimé : 25 mn
08/07/14
Résumé:  Après une matinée agréable et bien remplie, c'est l'heure pour Jérôme et Hélène de reprendre des forces au restaurant.
Critères:  fh travail fsoumise hsoumis fdomine hdomine
Auteur : Cedral      

Série : Vies parallèles

Chapitre 06
Déjeuner et dessert

Résumé des épisodes précédents : Après un bien agréable samedi matin passé dans les bureaux de Jérôme situés sur la plus belle avenue du monde, c’est l’heure d’une pause-déjeuner bien méritée.




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Quelques minutes plus tard ils firent ensemble les quelques centaines de mètres qui les séparaient de ce restaurant où l’on servait sans façon et presque sur le pouce du caviar et quelques autres spécialités amusantes. Le choix de la table avait manifestement été réglé préalablement et ils se trouvèrent rapidement confortablement assis. Deux Perrier en apéritif, car il voulait que l’haleine reste fraîche pour ce qu’ils auraient à faire plus tard, et le maître d’hôtel vint pour la commande. Il ne laissa pas sa partenaire se saisir de la carte.



Elle ne trouva rien à redire et le maître d’hôtel repartit avec cette simple commande.



Interloqué et pris de court, il releva les yeux vers elle, qui souriait doucement et naturellement, et sentit subitement sa nature intime entreprendre un petit mouvement d’érection. Il se reprit quand même assez rapidement.



La commande arriva à la fin de cet échange un peu leste auquel elle venait de prendre grand plaisir, ce qui permit à son amant de ne pas donner une réponse qui eût été positive. Ils dégustèrent effectivement, en esthètes amateurs qu’ils étaient – pour tout – ce plat superbe. Ils savaient décidément se montrer l’un à l’autre qu’ils pouvaient préparer et déguster les meilleures choses de la vie. Le plat se présentait superbement et ils s’apprêtaient, l’un et l’autre, à y faire honneur quand elle prit la parole avant de commencer.



Les propos étaient bien sûr tenus à voix assez basse et les tables étaient suffisamment espacées pour que tout ceci reste confidentiel ; mais l’échange était quand même bien direct.



Il ne répondit pas et ils commencèrent tous les deux leur déjeuner.

Entre deux bouchées qu’ils dégustaient, il changea de sujet en passant sans transition du coq à l’âne, comme il était prouvé qu’ils savaient et aimaient le faire.



Ils sourirent de nouveau de concert.



Elle piqua un petit morceau de truffe de sa fourchette et lui demanda de le goûter, et de commenter.



Pour la première fois depuis longtemps, il venait de la désarçonner un peu.



Serait-ce la première dispute de leur relation ?



Jérôme comprit, en voyant sa partenaire rosir, que sa dernière phrase venait de provoquer de nouveaux et conséquents dégâts.



Il aima l’observer effectuer quelques belles contorsions, aussi discrètes que possible, afin de remonter très progressivement et le plus discrètement possible sa jupe, pourtant droite et ajustée, en étant directement en prise avec la banquette.



Elle reprit ses esprits et sa contenance, et ils finirent sans autre perturbation cette partie du repas en commentant ces premières semaines depuis leur rencontre tellement fortuite dans un TGV.



Cette déclaration fut interrompue par l’arrivée du garçon qui avait remarqué qu’ils avaient terminé.



Jérôme avait compris qu’il était définitivement inutile de discuter.



Il acquiesça.

Quand le maître d’hôtel stylé et discret revint rapidement présenter addition et automate de paiement, Jérôme le prit en confidence.



Il quitta la table avec discrétion et self-control. Il n’est pas certain qu’il eût deviné ce dont il retournait.



Les quelques mots qu’ils échangèrent donc encore furent plus anodins et ne servirent que de prétexte à l’ajustement évoqué. Une fois que les choses furent de nouveau en place, un très rapide signe au maître d’hôtel permit d’organiser une sortie discrète et naturelle.

En dépit de la qualité de l’endroit qu’elle quittait, Hélène fut donc rassurée de se retrouver à l’air libre. D’abord parce que tout s’était finalement convenablement terminé, mais aussi parce qu’elle se faisait un plaisir de cet après-midi dont elle avait annoncé prendre la direction. En remontant les quelques mètres des Champs-Élysées, ils constatèrent tous les deux que l’interposition sollicitée du maître d’hôtel n’avait vraiment pas été inutile, tant l’auréole présente sur la jupe traduisait encore la nature et le volume de l’émoi récent de celle qui la portait.



Ils ne mirent que trois minutes pour rejoindre l’immeuble de bureaux et son désormais célèbre sixième et dernier étage. L’ascenseur n’avait effectivement pas bougé depuis qu’ils l’avaient emprunté pour descendre une heure auparavant. Ils s’y engouffrèrent et appuyèrent sur la touche du sixième. Jérôme, et lui seul, fut très étonné sept ou huit secondes plus tard de le sentir brutalement s’arrêter entre deux étages. Il n’eut en fait pas le temps de s’inquiéter très longtemps.



Elle releva elle-même sa jupe, écarta les jambes et lui présenta sa toison. « Pour action » aurait-elle dit avec autorité à un de ses collaborateurs.

Il s’acquitta avec entrain et savoir-faire de la première partie de cette douce mission en léchant et léchant de nouveau la toison de la dame. Il eut la confirmation – il n’en était nul besoin – que cette toison avait connu tout récemment une intempestive mais goûteuse humidification. Il butina avec sa seule langue poils, pubis, lèvres, clitoris. Il poussa à un moment un peu plus loin. Il sut remonter plusieurs fois pour faire partager régulièrement le goût du dessert par un baiser complet. Avant de s’accroupir de nouveau, bête à son tour. Il passa plusieurs fois des lèvres aux lèvres, déposant sur celles du haut les goûteuses sécrétions intimes de celles du bas.

À l’ascenseur qui reprit sa montée, il comprit que le dessert était terminé et il se releva prestement avec en bouche ce goût dont il était devenu friand.



Sourires des deux amants.

Elle le laissa chercher les clés du bureau et ouvrir la porte avant de l’arrêter sur le seuil au moment précis où il pensait entrer.



Il y avait bien sûr plusieurs manières de procéder. Elle décida d’imposer la plus simple, et la plus pratique pour le partage, en s’allongeant elle-même par terre sur le tapis d’entrée qui était doux, épais et accueillant, en remontant sa jupe, qui était du coup assez fripée, et en envoyant complètement ses jambes écartées vers l’arrière. Ceci donnait à son amant toute latitude pour procéder à ce qu’on appelle plus scientifiquement un anulingus. Là encore, il lui fallut faire plusieurs allers-retours entre le trou rond et la bouche ouverte de son intransigeante maîtresse.



La réponse de Jérôme ne la satisfaisant pas :



Ils passèrent donc encore bien une dizaine de minutes à cette activité qu’il commençait à apprécier, comme elle, avant qu’il reprenne la parole.



Ceci mit fin à l’épisode. Elle se releva, rajusta sa jupe et le laissa fermer la porte derrière eux. Pour l’après-midi !



Pourquoi aurait-il eu des réserves sur ce point ?



Il va sans dire qu’il ne discuta pas ce qui était présenté comme une requête polie mais qui n’était rien de moins, dans le contexte, qu’une injonction impérative.

De son côté, elle profita de son absence pour récupérer sa culotte et redonner une seconde jeunesse à sa jupe afin de pouvoir le recevoir sous son aspect le plus présentable.

Quand il se présenta quelques minutes plus tard dans son propre bureau, en slip et les cafés à la main, il ne fut qu’à moitié étonné de la voir assise à sa place de directeur et dans son fauteuil.



Elle ne se trompa pas en interprétant cette réponse comme un blanc-seing complet.



Elle avait eu le temps, au moment de la préparation du café, de se mettre – fait inédit depuis le début de leurs relations – du rouge à lèvres.



Il était donc dit que cet épisode les suivrait longtemps.



Confortablement installée dans son fauteuil, elle aima le corps très grand et musculeux de cet homme plus tout jeune auquel une longue pratique de nombreux sports avait permis de garder une silhouette plus que convenable en dépit des années passées. Elle le dévisagea complètement quand il revint avec le drap de feutrine qu’elle lui demanda de placer sur son propre bureau. Elle l’arrêta quand il fut obligé de passer à deux doigts d’elle-même. Sans rien dire, elle le plaça debout devant elle assise, entre ses jambes, et sans un mot, sans un geste, sans un attouchement, par la seule force de sa pensée pourrait-on dire pour sourire, elle devina le sexe qui montait sous le slip.



Elle le fit s’appuyer face à elle, les fesses au bord du bureau, et lui descendit son slip à mi-cuisses. Elle voulut le mieux connaître et en analyser le curieux et subtil mécanisme. Alternant de douces caresses, effleurements, timides succions, elle voyait le sexe de l’homme monter rapidement et régulièrement pour redescendre, plus rarement, après quelques instants de moindre sollicitation. Elle commençait à le connaître, globalement. Même si elle trouvait parfois qu’il n’aurait rien perdu à être un peu plus long, elle le considérait en revanche d’un diamètre quasi idéal, d’une rigidité très satisfaisante et considérait, sans grande expérience autre que conjugale, son propriétaire comme un utilisateur averti.



C’était elle seule qui parlait en ce début d’après-midi.



Il comprit ainsi sa feuille de route et entreprit de lui enlever les bas sans l’aide de ses mains. Pour l’aider un peu, à démarrer au moins, elle se leva et se mit en appui sur le bureau. Avec les dents, en mettant la tête sous sa jupe il fit descendre progressivement, centimètre par centimètre les bas de sa maîtresse, très dominatrice en cet instant précis. L’exercice était difficile, d’autant qu’elle lui proposa de faire une tentative avec le sexe. Quand l’un des bas fut à mi-mollet, elle se rassit dans le fauteuil directorial, plaça la jambe en appui sur le bureau, lui demanda d’enjamber à l’envers cette jambe et elle l’aida à glisser son sexe entre sa jambe et son bas afin de tenter de lui enlever. Elle aima plus que tout cette lubrique tentative et en profitait, par derrière, pour observer le cul de son esclave qui poussait fort dans le seul objectif d’enlever un seul de ses bas. Il serait faux d’affirmer qu’elle ne l’aida pas du tout, mais il s’acquitta fort convenablement de cette tâche inédite. Les bas étaient par terre au milieu de la pièce. L’homme, désormais nu, transpirait d’abondance alors que son sexe turgescent prenait quelques repos mérité.

Elle lui demanda de ramasser ses bas, éparpillés sur la moquette, afin de les lui donner. Il allait se baisser pour les ramasser quand il entendit ce seul mot prononcé sur le ton interrogatif :



Il comprit qu’il n’avait pas plus qu’il y a quelques minutes le droit d’utiliser ses mains. C’est donc à genoux qu’il ramassa, avec les dents, les bas de sa maîtresse qui apprécia de le voir dans cette situation. Elle mit un soin tout particulier à lui en bander les yeux avant de lui demander de s’allonger par terre, sur la moquette douce, propre et épaisse, et de laisser passer un certain temps sans aucune autre action ni aucun son. Il l’entendit uniquement – elle lui avait laissé l’usage de l’ouïe – se réinstaller dans le fauteuil, qui avait des roulettes et s’approcher de l’endroit de la pièce où il se trouvait. Elle aima lui parler.



Il sentit sur son sexe le contact des escarpins. Elle avait entrepris de jouer avec lui. Elle alternait habilement, avec et sans les escarpins, debout et assise dans le fauteuil. De temps en temps, autant pour le plaisir que pour le surprendre, elle allait lui déposer un baiser, tendre ou profond ou, agenouillée, le prendre en bouche pour quelques secondes.

Elle l’aida à se relever, suspendit à la patère de son sexe l’un de ses talons-aiguille.



Cette évocation la fit sourire, et elle le guida vers le bureau où elle l’aida à s’allonger sur le dos, sur la feutrine. Elle lui écarta les bras, lui donnant l’allure d’un crucifié.



Il l’entendit faire, et au prix de quelques contorsions elle parvint rapidement à son but. Elle avait attaché l’un à l’autre grâce à sa ceinture et sa cravate, par dessous le large bureau, les deux bras de son amant, d’un lien ferme qui le rendait là crucifié aussi longtemps qu’elle le voudrait, et totalement soumis ; il était là, sur son bureau, nu, bandant, soumis, offert, sans défense possible.



Ce qu’elle fit vite. Il l’entendit prendre sa place de directeur à son bureau. En sirotant son café, elle voulut se confier à lui.



Il voulut alors lui répondre quand elle lui mit sur la main sur la bouche.



Il comprit qu’elle se défaisait de sa culotte, la lui fit sentir et la lui mit complètement en bouche. L’odeur en était effectivement très forte et elle fut obligée de beaucoup forcer pour introduire de force dans la bouche de Jérôme le morceau d’étoffe dont il ne pouvait désormais, sans les mains, pas se défaire.



Il comprit qu’elle montait sur la table, l’enjambait à califourchon à l’envers, plaçait son sexe et sa pilosité sur sa bouche bâillonnée et son cul exactement au niveau de son nez ; pas de préliminaire ensuite : elle suça, suça, suça ; et caressa ; et masturba ; et suça de nouveau.

Il ne résista pas longtemps en effet à ce rythme endiablé qu’il ne maîtrisait pas. Il explosa rapidement dans la bouche de sa partenaire et sentit ensuite son sperme couler sur son ventre. Elle se dégagea en le laissant attaché sur le bureau, nu et offert.


Elle s’absenta quelques minutes pour se préparer de nouveau un café qu’elle se plut à revenir savourer sur le bureau du directeur. Celui-ci restait allongé sur son propre bureau, solidement attaché par les poignets liés l’un à l’autre, incapable de parler à cause du slip d’Hélène qu’il avait enfoncé dans la bouche, et les yeux bandés par les bas noirs de sa maîtresse. Il n’était donc qu’un jouet passif qui devait se contenter d’entendre ce qu’il y avait à entendre et d’attendre le bon vouloir de sa cavalière.



Installée dans le grand fauteuil, elle caressait à volonté le corps allongé qui lui était offert. De son côté, il ne savait pas d’où venait chaque caresse, et d’où proviendrait la suivante. De temps en temps elle se levait pour se pencher sur telle ou telle partie du corps de son amant, pour emboucher son sexe qui reprenait progressivement quelque vigueur, pour humer ses aisselles odorantes, pour lui enlever quelques instants, avant de la lui remettre juste après, la culotte qu’il avait en bouche pour l’embrasser profondément, pour le chevaucher sur la table en frottant son propre sexe sur plusieurs parties différentes de l’anatomie de l’homme, pour enfoncer le nez de Jérôme dans sa propre intimité, puis dans la deuxième ; bref, pour profiter complètement, à fond, et à fonds, du cadeau qui lui était offert et qu’elle avait su mériter : le corps offert, ouvert, disponible et sans défense qu’elle avait là sous la main, sous les mains. Parfois même sous le sexe !


Il était allongé au milieu de son immense bureau en chêne. Elle était pour sa part assise dans le grand fauteuil en cuir. Elle n’avait rien d’autre à faire que de jouer doucement avec ce qu’elle avait sous les yeux. C’est bien entendu le pieu de l’homme qui l’intéressait surtout. Il était maintenant bien dressé. Elle le caressait doucement, l’enserrait voluptueusement, le massait, le sentait, le goûtait ; le faisait coulisser. S’en délectait en le mettant en bouche. Elle en parlait à Jérôme, avec d’autant plus de plaisir qu’il ne pouvait répondre.

À un moment, il comprit qu’elle avait saisi une feuille de papier pour y écrire quelques phrases, assez longuement. De temps en temps, comme autrefois les écoliers trempaient leur porte-plume dans l’encrier, elle avançait le bras et entourait le sexe dressé de son amant, ce qui semblait lui redonner de l’inspiration dans son écriture.



Pour l’heure, il crut entendre Hélène enlever ce qui lui restait de vêtements – mais il faut bien dire que, sans l’aide de la vue, il ne savait plus très bien où il en était – avant de monter sur la table et venir s’installer à califourchon, et à l’envers, sur lui.



Il comprit bien entendu ce qu’il avait à faire et s’employa avec application à lécher tout ce qui était à portée de bouche. De son côté, elle s’allongea tête-bêche sur l’homme et l’emboucha avec une belle vigueur. Elle aimait vraiment avoir ce sexe uniquement pour son bon plaisir.

C’est à ce moment qu’elle décida de prendre son téléphone afin de donner un appel dont Jérôme entendit bien entendu la teneur.



Il n’y avait pas de vrai doute sur la manière dont serait occupée cette demi-heure. Elle monta donc à son tour sur la table, s’accroupit sur le corps plat et lisse de son amant et se pénétra elle-même du sexe redevenu dur de Jérôme. Elle eut le plaisir de pouvoir coulisser un très grand nombre de fois, de frotter successivement toutes les parois de son sexe à toutes les faces du dard masculin, de conduire celui-ci jusqu’au fond de la paroi. De se retirer parfois, pour sucer un peu. De revenir tout de suite après, pour limer de nouveau. En gémissant, car elle était près de l’orgasme. Elle se plaisait dans ce rôle de cavalière. Elle se penchait en avant pour appuyer sa bouche sur celle de son bel étalon pendant qu’elle le pénétrait.



Elle eut dans cette très agréable séquence le bonheur de connaître trois beaux orgasmes qui la firent tous exploser, sans que Jérôme, qu’elle avait vidé quelques quarts d’heure auparavant, n’éjacule en elle.

Il comprit qu’elle descendait de la table et qu’elle rassemblait ses affaires à portée de main. Sans doute afin de se rhabiller avant de prendre son taxi, pensa-t-il.



Elle remonta sur la table et lui enleva la culotte qu’il avait encore dans la bouche avant de se mettre de nouveau à califourchon sur lui, en tête-à-queue cette fois-ci, et en lui donnant ses dernières instructions.



Ils se trouvaient ainsi, sur ce bureau, dans cette position classique où chacun s’occupait de l’autre sans un mot, mais avec application et gourmandise. Penchée sur lui, avec ses tétons qui frôlaient parfois ceux de l’homme, elle l’embouchait voluptueusement et faisait coulisser sa queue dans sa bouche gourmande. De son côté, il avait compris, dans les propos d’Hélène mais aussi parce qu’elle lui présentait, avec ses cuisses complètement écartées, un anus demandeur, que c’est de son petit trou qu’il devait exclusivement s’occuper.



Avec sa langue, il lécha plusieurs fois la rondelle d’Hélène, dont il appréciait le goût. Avec son nez, qu’il poussait autant que possible, il en sollicita progressivement l’entrée, qu’il essaya d’élargir un peu, tout en appréciant la forte mais belle odeur qui s’en dégageait. Avec sa salive surtout il en lubrifia les contours afin que le moment venu l’intromission soit facilitée. Quand Hélène estima que le moment était venu, elle décida de se faire sodomiser en face-à-face et se retourna en conséquence sur le corps de Jérôme. Le dard était dur et son trou était prêt. Elle procéda elle-même à l’ajustement de l’un et de l’autre après avoir remis sa culotte dans la bouche de Jérôme, et elle entreprit de forcer un peu le passage. Les premiers mouvements furent sans doute un peu douloureux, mais progressivement et rapidement elle réussit à s’enfoncer chaque fois un peu plus. Elle était de plus en plus satisfaite et, au sens propre du terme, comblée par cette tige chaude qu’elle sentait de plus en plus profondément dans son cul. C’est elle qui conduisait la danse en s’empalant à volonté, selon un rythme qu’elle décidait et avec la profondeur qu’elle imposait.


Elle était ainsi superbement à la manœuvre quand sonna le téléphone qu’elle avait utilisé pour récemment commander le taxi. Elle ne voulut pas pour autant interrompre sa besogne et put décrocher simultanément, car le sexe de Jérôme étant désormais complètement introduit, il ne s’agissait plus désormais que de va-et-vient à contrôler. Ce qui ne nécessitait plus l’utilisation de ses mains. En train de se faire enculer par son amant, et sans cesser ses mouvements de haut en bas, elle prit donc la conversation.



Elle parlait assez lentement au chauffeur de taxi qui était manifestement à l’autre bout de l’appel, en contrôlant le rythme de ses propos car elle ne voulait évidemment pas que celui-ci entende les feulements, de plus en plus insistants, qu’elle émettait avec une grande régularité.



Elle accéléra fortement, amplifia, et approfondit les mouvements de va-et-vient, qui prirent un rythme endiablé. Elle était bellement chahutée, son cul coulissant à merveille sur la bite droite de Jérôme qui s’introduisait souvent jusqu’à la garde dans le trou d’Hélène.

Dans ces bureaux du huitième arrondissement de Paris, sur cette superbe et solide table de travail, une belle femme mûre, nue, et dont les seins ballottaient au rythme des mouvements empalait donc son cul sur le sexe dur et droit d’un bel étalon. Les deux amants en étaient arrivés au point de rupture, simultanément, et leurs gémissements initiaux n’étaient désormais plus que des cris presque bestiaux et très crus. Ils explosèrent en même temps à l’occasion de cette belle sodomie qui n’avait en fait été retardée que de quelques heures.


Hélène descendit de la table, et Jérôme comprit qu’elle remettait rapidement les quelques effets qu’elle avait préparés. Quand elle fut habillée, elle contempla avec tendresse cette queue, désormais molle, retombée et couverte de sperme, qui venait de la remplir et de la combler de si belle manière.



Il l’entendit appeler l’ascenseur sur le palier avant de revenir dans la pièce.



Il l’entendit encore ouvrir un des tiroirs de son bureau, et sans doute y placer quelque chose. Ensuite, d’un geste rapide elle détacha le lien qui lui entravait les bras sous son bureau, avant de sortir rapidement de la société, de s’engouffrer dans l’ascenseur qu’il entendit descendre.

De son côté, il n’eut que le temps de défaire le lien de ses pieds, d’enlever le bandeau qu’elle lui avait mis sur les yeux, de se diriger, nu, vers la porte-fenêtre qui donnait sur les Champs-Élysées et de voir, plus bas, une belle femme qui s’engouffrait dans un taxi qui l’attendait.



À suivre…