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28/07/14
corrigé 10/06/21
Résumé:  Julie rencontre Bernard, amoureux de sa cousine décédée il y a 20 ans. Elle en est le sosie. Elle en tombe amoureuse. Après le retour d'une ex de Bernard elle propose de ne rien se cacher de leur passé. Cela entraine des complications.
Critères:  fh fhhh boitenuit danser exhib vidéox photofilm fellation sandwich fdanus fsodo jeu -totalsexe
Auteur : Bernard Nadette      Envoi mini-message

Série : Je peux vous donner une photo ?

Chapitre 04 / 05
Effraction

Résumé : Julie rencontre Bernard, amoureux de sa cousine décédée il y a 20 ans. Elle en est le sosie. Elle en tombe amoureuse. Après le retour d’une ex de Bernard elle propose de ne rien se cacher de leur passé. Cela entraine des complications.



oooo0000oooo



Le lendemain matin, Julie n’a pas besoin de boule de cristal pour se rendre compte que Bernard n’a pas passé une bonne nuit, ni besoin d’être grand clerc pour deviner ce qui le trouble. Décidément cette Catherine sous couvert de « vérité » a lancé un beau pavé dans la mare. Julie ne sait trop ce qu’elle doit dire ou faire.


Une fois Bernard parti au bureau pour achever le travail qu’il avait un peu précipitamment quitté la veille, à son tour elle se met à ruminer. Peu à peu une idée s’impose à elle. Pour détourner les pensées de Bernard de cet hypothétique paternité, car après tout on n’est sûr de rien, le mieux serait de lui donner un enfant. Un bien à lui, bien à eux. Comment doit-elle s’y prendre ? Doit-elle en parler avec lui ? Doit-elle simplement arrêter la pilule ? Comment réagira-t-il à l’annonce d’une grossesse ? Que pense-t-il d’avoir des enfants ?


Un coup de téléphone de sa mère vient interrompre le cours ses pensées. Coïncidence, c’est pour lui parler de grossesse que sa mère l’appelle. Marie-Thérèse lui annonce que pour sa onzième grossesse elle attend des… triplés. À peine a-t-elle raccroché après une heure de conversation que le téléphone sonne à nouveau. C’est Bernard qui lui demande si elle veut bien venir dîner chez sa mère ce soir, sa sœur Jacqueline et son mari Jean-Jacques de passage à Paris, habitant Nantes, seront là aussi. Elle accepte d’enthousiasme.


Ainsi donc elle fait la connaissance de la famille de son chéri. Marion, la mère de Bernard, approche des soixante-cinq ans. Jacqueline de dix ans plus jeune que son frère est une belle grande jeune femme épanouie et souriante aux longs cheveux auburn et aux yeux verts. Elle tient sa beauté de sa mère à qui elle ressemble énormément. Son mari n’a rien à lui envier, ils forment un couple très bien assorti. L’accueil est chaleureux, visiblement tout le monde est ravi que Bernard ait trouvé l’âme sœur.


Marion et sa fille sont stupéfaites de la ressemblance de Julie avec sa cousine. Pendant le repas, la sœur annonce qu’elle est enceinte. Décidemment, pense Julie, on nage dans les marmots jusqu’au cou. Elle-même, une fois les félicitations et congratulations faites, mentionne que sa mère attend des triplés pour sa onzième grossesse. De la discussion qui roule ensuite sur les enfants, il apparaît on ne peut plus clairement à Julie que Bernard souhaite et désire en avoir. Sa décision est donc prise, elle cesse de prendre la pilule. Elle espère pouvoir faire le plus rapidement possible à son chéri la surprise de sa grossesse. Il est bien tard lorsqu’il rentre à la maison.


Le lundi le train-train reprend. Les semaines passent à toute allure. Un vendredi soir après le dîner, Bernard se rappelle que Julie avait parlé de photos et de films de ses prestations et suggère qu’ils les regardent. En entendant cette demande, elle regrette de l’avoir proposé, car elle doute à présent que ce soit une idée lumineuse de s’engager sur cette voie, mais n’ose refuser. Elle allume donc l’ordinateur pour y connecter un disque dur externe. Les premières photos montrent Julie et Luc lors de sorties. Bernard en le voyant comprend pourquoi les filles se laissent avoir par lui, il a indéniablement beaucoup de charme. Si comme Julie le dit il a le bagou qui va avec il doit vraiment être irrésistible. Viennent ensuite des clichés de quelques séances en chambre des plus traditionnelles. Elle précise qu’avant de récupérer l’ordinateur chez Luc elle ne savait pas qu’il avait pris toutes ces images. Julie montre ensuite des photos et des vidéos de ses prestations sur scène. La troisième est plus osée encore que les précédentes. Elle y écarte largement les cuisses, jusqu’au grand écart, ouvrant même son sexe avec ses doigts. Nul dans la salle n’ignore plus rien de l’anatomie intime de Julie. Bernard finit par dire d’une voix un peu rauque :



Sentant qu’elle à besoin d’être rassurée, car elle a senti sa perplexité, il poursuit :



Julie le regarde en disant qu’elle n’y avait jamais pensé.



Julie qui a arrêté la vidéo est un peu rassérénée. Elle préfère passer à autre chose, mais est mal inspirée en ouvrant les dossiers d’autres victimes de Luc. Elle ne perçoit pas que ce n’est pas la meilleure des initiatives, car Bernard se sent gêné de regarder les ébats de ces filles qu’il est susceptible de rencontrer, puisque des liens d’amitié se sont tissés entre elles. Julie fait une sélection, car si elle devait tout montrer, cela prendrait plusieurs jours.


Après quelques images des filles lors de promenades ou de sorties, elle choisit, pour chacune d’elle, ce qu’elle se rappelle être le plus chaud. Pour certaines les images, même les plus chaudes, restent plutôt soft, striptease ou toilette. Pour d’autres cela devient plus hard. Scènes de baise, en chambre bien sûr, mais parfois aussi dans la nature ou des toilettes publiques. La sodomie est aussi largement représentée, de même que les godes. Bernard constate que Julie n’a pas été la seule à jouer au jeu du gode gonflable dans le cul. Plus on avance, plus Bernard se dit en voyant certaines de ces demoiselles et même de ces dames, puisque d’après Julie quelques-unes sont mariées, que les prestations de sa chérie font presque animations de patronage et qu’il faut reconnaître à Luc qu’il est fort doué pour les prises de vue.


Bernard ne tient pas à poursuivre, et Julie arrête l’ordinateur. Il s’inquiète : peut être ce Luc a-t-il conservé d’autres copies. Julie pense que non mais elle n’est sûre de rien. Il faudrait mieux, pense Bernard, avoir des certitudes et pouvoir vérifier. Les jours suivants elle s’inquiète car il veut aller chez Luc pour fouiller son ordinateur. Elle essaie de l’en dissuader, mais n’y réussit pas. Il lui expose son plan : demander à une amie de se laisser draguer et retenir l’individu loin de chez lui le plus longtemps possible, le temps qu’il pénètre dans l’appartement et fasse ses recherches. Capitulant elle prose de demander à une cousine de faire la chèvre et lui fournit un jeu de clefs qu’elle avait subtilisé lors de son raid chez Luc. C’est à Christine qu’elle demande de se laisser séduire par Luc. Elle y parvient aisément et peu de temps après lui accorde un rendez-vous à l’autre bout de Paris.


D’autre part Bernard pense qu’il faudrait réunir les autres filles victimes de Luc pour les tenir au courant. Julie objecte qu’il n’est pas censé avoir vu les films et les photos, que cela la mettrait dans une situation impossible. Ce à quoi il répond que ces images elle ne les a pas montrées. Un disque dur confisqué à Luc s’est égaré et quand Julie a déménagé chez lui, il a été embarqué et un jour il est tombé dessus et comme il en avait un de la même marque sur lequel il avait des dossiers il l’a ouvert. C’est en voyant un dossier à son nom qu’il a compris, Julie lui ayant parlé de sa mésaventure avec Luc. Elle lui a ensuite confirmé. Julie regrette d’avoir montré tout ça à Bernard et même d’en avoir conservé des copies. Mais il n’est hélas pas possible de revenir en arrière.


Elle essaye encore de faire changer d’idée son chéri et se rend compte qu’elle n’y réussira pas. Elle finit par capituler, craignant que si elle discute encore les choses ne finissent par s’envenimer entre Bernard et elle, tant il est remonté. Elle promet de contacter les filles pour cette réunion. Julie aurait bien voulu accompagner Bernard, mais celui refuse catégoriquement. C’est donc seul qu’il entre dans le logement du Don Juan. Un problème se pose : impossible d’ouvrir l’ordinateur. Il est verrouillé par un code. Heureusement, il finit par mettre la main sur un petit carnet qui donne tous les mots de passe. Il trouve des dossiers de deux filles visiblement tombées depuis Julie dans les rets de Luc, sans compter celui de Christine. Il en trouve aussi d’autres que Julie avait détruits. Il y a donc des copies quelque part.


Grâce au carnet que Luc a laissé trainer il découvre les références d’un site d’archives. Là tout y est. Chaque dossier est accompagné d’une feuille que l’on pourrait qualifier de suivi. Luc y note tout ce qui concerne chacune des filles, depuis la rencontre, l’évolution des relations, leurs goûts depuis les culinaires jusqu’aux sexuels en passant par les animaux ou les couleurs, leurs violons d’Ingres, leurs moyens financiers, leur caractère, les services demandés, les sommes soutirées… etc. Tout vraiment tout est consigné, avec renvoi à des photos ou des films. Copier prendrait trop de temps et son disque dur n’a peut-être pas une capacité suffisante. Il se contente de changer le mot de passe et installe un logiciel, que lui a fourni un ami, qui devrait lui permettre d’avoir accès à l’ordinateur de Luc à distance. Il photographie le carnet avant de le remettre en place. Il a fait le plus vite qu’il a pu, mais cela lui a pris du temps. Il téléphone à Christine pour l’avertir qu’il a fini et à Julie pour lui dire que tout s’est bien passé. Puis il retourne à son bureau en avalant un sandwich.


Bernard peine à se mettre au travail. Les événements de la matinée ont, malgré tout, été perturbants. Il ne réussit pas à faire quelque chose de valable. Il capitule et décide de s’octroyer une pause. L’idée lui vient que Luc pourrait récupérer ses données sans trop de mal malgré le changement de mot de passe. Il décide donc de tout transférer et de supprimer l’original. Il se met donc à l’ouvrage. Cela prend du temps, vu la taille des fichiers. L’un des premiers transféré est celui de Julie. Pour vérifier le bon déroulement des opérations. Il l’ouvre, avec à peine une hésitation à le faire sans elle. Il se dit qu’elle n’y verrait pas d’inconvénient, puisqu’elle-même le lui avait montré, sans penser qu’elle avait peut-être fait du tri avant de lui présenter. Il commence par regarder la fiche de suivi des relations de Julie et de Luc. Elle est accompagnée de commentaires et de liens renvoyant à des photos ou des vidéos. Il y a la date de la rencontre dans un café et pour le soir même un premier commentaire :



Suivent quelques considérations sur leurs rencontres suivantes où il confirme ses premières impressions. Vient ensuite :



Bernard passe ensuite au passage qui traite de des soirées en boîte.




Bernard reste dubitatif devant ce qu’il vient de lire. Les commentaires sur cette chère Julie le laissent rêveur. Il doit reconnaître qu’ils ne sont pas faux, que sa chérie a vraiment du tempérament, que son goût pour les exercices génésiques est indéniable. Il décide de parcourir la partie image. Il reconnaît certaines montrées par Julie. Puis il arrive à une série qu’il ne connaît pas. Elle montre l’insertion de la série de godes dans le cul de Julie, s’achevant par la vidéo de l’épisode de la poire. Bernard constate de visu que Julie n’avait pas exagéré en avouant qu’elle avait mis de l’ardeur à se dilater la rondelle, mais il n’imaginait pas que ce soit à ce point-là. La montée du plaisir, savamment dosée par Luc, l’a mise dans une espèce d’état second ou plus rien ne compte que prendre son pied. Par rapport aux autres filles, que Julie lui a montrées, c’est elle qui a, et de loin, le plus appuyé sur la poire. De ce côté elle a des dispositions, il peut en témoigner.


Vient ensuite la boîte de nuit. Quelques photos et de courtes vidéos illustrent ses deux premières prestations. Julie s’y montre une fort bonne danseuse et son spectacle serait digne d’un grand cabaret. Vient enfin la troisième qui bénéficie d’un dossier à part que Bernard n’a pas vu. De nombreuses photos et une vidéo le composent. Il commence par la vidéo. Celle-ci débute dès la montée sur scène. Le spectacle ne diffère guère de celui des jours précédents. Bernard note que Luc apparaît sur l’image, c’est donc un autre opérateur que lui derrière la caméra. Il voit les encouragements du garçon et ses mimiques désolées. Ceux-ci produisent leurs effets et Julie prend des attitudes de plus en plus osées. Le spectacle ne relève bientôt plus du cabaret mais du peep-show. Elle disjoint largement ses cuisses pendant ses arabesques, grands battements, pirouettes fouettées et autres sauts de chats. Son grand écart suscite aussi l’enthousiasme du public.


Elle descend ensuite dans la salle pour esquisser quelques pas de danses avec des spectateurs et spectatrices. Elle remonte ensuite sur scène et après quelques nouveaux pas de danse torrides elle commence à se masser les seins, se passer la main sur le pubis, puis sur la fente avant d’écarter ses lèvres et de franchement se masturber. La salle rugit à chaque nouvelle initiative. Chacune de celles-ci est précédée de figures de ballet, une pause en quelque sorte avant la suivante qui monte d’un cran dans l’obscène. Julie s’enfonce un doigt dans la chatte, puis deux avant de se les lécher consciencieusement. À la phase suivante elle va jusqu’à s’en enfoncer quatre. Elle tourne ensuite résolument le dos pour se planter un doigt dans le cul et même deux.


Julie se lance ensuite dans un grand écart facial, qu’elle abaisse lentement. Mais cette fois-ci elle est, si l’on peut dire, attendue. Pendant qu’elle faisait ses pas de danse, quelqu’un, probablement Luc, a installé au sol un gode luisant d’huile. Elle ajuste sa descente et fait doucement pénétrer l’objet… dans son cul, jusqu’à l’y faire disparaître complètement. Cela fait elle entreprend de se masturber longuement.


Julie se relève pour une danse lascive avec un garçon vêtu simplement d’un string, et Luc torse nu. Lascive elle ne le reste pas longtemps, car elle devient X. Sur une invite de Luc, elle ouvre sa braguette pour caresser ce qu’elle en extrait, avant de l’embrasser et de le sucer. Quand l’autre protagoniste se présente, elle ne fait ni une ni deux, elle lui prodigue le même traitement, les suçant alternativement ou même ensemble.


Elle s’interrompt pour redescendre dans la salle. C’est presque l’émeute. Elle est entourée, pressée de toute part. Elle finit par se dégager et remonter sur scène, ayant perdu l’air excité qu’elle avait pour prendre celui d’une bête traquée. Elle se rhabille prestement, ignorant Luc qui essaye de la retenir, et s’enfuit vers les coulisses.


Bernard a regardé fasciné le film. Ce qu’elle lui a montré il y a quelques jours est une version expurgée. Il se rappelle qu’elle a interrompu le film pour montrer les autres filles. Il n’y avait pas prêté attention. Maintenant il comprend pourquoi. De même elle avait passé la séance du gode gonflable. Le récit de Julie fait bien pâle figure à côté des images. Baiser sur scène est la seule chose qui manque à sa prestation. Et si elle n’était pas descendue parmi les spectateurs, pense-t-il, cela aurait été certainement l’étape suivante du spectacle. Et vu comme elle était lancée avec double pénétration en point d’orgue. Il est sidéré. Il ne sait plus trop que penser. Il n’est pas un saint. Mais là avec cette exhibition, on passe dans une autre catégorie. Perdu dans ses réflexions il ne s’aperçoit pas qu’il a machinalement cliqué sur un autre film. C’est la voix de Luc qui le ramène à l’écran. Julie est filmée dans son studio tandis que le garçon lui explique :



  • — Tu as bien compris ? Où on va on joue de manière un peu spéciale. Si tu gagnes, tu empoches les mises, si tu perds, tu peux te refaire et récupérer des jetons avec un striptease.
  • — Et si on perd une seconde fois ?
  • — Fait gaffe, ça devient plus corsé. Si on ne peut pas régler ses dettes, il faut payer de sa personne.
  • — Ne t’en fais pas. Je suis une grande fille. Et puis il faut savoir prendre quelques risques pour gagner.
  • — Ouais. Combien tu as avec toi ?
  • — Deux cents euros.
  • — Ça devrait faire. Allons-y, il est temps de mettre les voiles.


La scène suivante montre Julie de dos marchant dans une rue la nuit. Elle se retourne de temps à autre et envoie des bisous au caméraman. La voix de Luc annonce à un moment : c’est là. Ils pénètrent alors dans un immeuble, traversent la cour. Le garçon frappe à une porte selon un rythme particulier. Celle-ci s’ouvre. Toujours suivie par l’œil de la caméra elle pénètre dans une vaste pièce meublée d’une demi-douzaine de tables de jeux. Environ vingt-cinq personnes sont réparties autour, mais seulement cinq filles. Si deux sont complètement habillées et une en soutien-gorge, les deux dernières sont seins à l’air. Deux billards et un bar complètent le décor. Quant aux hommes nombre d’entre eux portent des lunettes teintées qui leur mangent la moitié du visage.


Julie prend la place d’une des filles vêtues, celle-ci partant avec ses jetons transformés en une liasse de billets de 50 euros. Pendant quelque temps il ne se passe rien de spécial. Bernard a le choix entre plusieurs angles de vue, probablement pris par des caméras de la maison et celle tenu par Luc. Il peut agrandir au choix l’une d’entre elles, les autres se mettant en petit dans le coin droit. Julie perd et gagne un peu alternativement. Puis l’autre fille à la vêture complète abandonne la place, mais munie d’une liasse moins épaisse que sa collègue.


La caméra de Luc quitte Julie quand une des filles poitrine nue se fait à nouveau ratisser. Quand elle se lève, Bernard constate que ses seins ne sont pas seuls à être à l’air. Pour récupérer ses vêtements elle commence par pratiquer une fellation au premier de ses créanciers, puis elle fait subir au second le même traitement. Le premier abandonné enfile un préservatif et profitant de la croupe tendue empoigne la fille par les hanches et la pénètre d’un coup sans préliminaires. La fille a un sursaut, mais ne s’interrompt pas pour autant. Elle s’active si bien que celui qu’elle suce finit par lâcher la purée dans sa gorge. À peine a-t-il fini que l’autre retire son sexe, ôte le préservatif, la retourne pour à son tour inonder son visage et sa bouche. Cela fait, ils lui rendent ses vêtements et glissent en prime dans sa fente autant de jetons qu’elle peut en supporter. Elle en retire trois billets de 100 euros et quelques autres de 20 euros.


Voyant la scène la fille en soutien-gorge, qui venait de gagner, en profite pour récupérer ses vêtements et partir avec un fort mince pécule. Elle n’est manifestement pas tentée par le genre d’exercice auquel elle vient d’assister. Quelques hommes s’éclipsent aussi dont les deux ayant bénéficié des faveurs de la perdante. Après ces départs les joueurs se regroupent autour d’une grande table. Il ne reste que deux représentes de gent féminine : Julie et l’autre fille seins nus, et une dizaine de messieurs. Julie commence par être du nombre des gagnants. Puis Bernard se rencontre que tous se liguent contre elle, y compris l’autre fille. C’est d’ailleurs contre elle, principalement, que Julie se met à perdre le plus.


Petit à petit elle lui abandonne les pièces de son habillement jusqu’à se retrouver en tenue d’Ève. Cela a peu l’air de l’émouvoir, car elle redemande des plaques, continue à jouer… et à perdre. Quand les derniers jetons l’ont abandonnée, la fille lui fait signe d’approcher et lui demande si elle veut payer ses dettes. Julie répond aimablement que s’il y avait un autre moyen de les régler elle aimerait autant. La fille lui propose alors pour récupérer ses fringues de lui faire un broute-minou. Julie choisit cette seconde solution et illico se met à l’ouvrage.


Bernard note au passage que quand Julie lui avait dit qu’avec sa sœur c’était la première fois qu’elle faisait ça avec une fille, elle avait oublié ce précédent. De même il voit que l’autre fille, bien qu’ayant ramassé nombre de plaques, ne reprend pas ses habits. Après avoir joué de la langue une dizaine de minutes au vif plaisir de sa partenaire, Julie, nullement échaudée par l’interlude, revient à la table et reprend la partie.


Bien sûr elle se remet à perdre. Quand elle se retrouve à nouveau à poil, sans hésitation, elle fait signe à Luc de lui apporter des plaques. Après un avertissement qui n’en est pas vraiment un, mais qui s’apparente plutôt, de la manière dont il est formulé, à un encouragement à continuer, il lui donne ce qu’elle réclame. De ce moment, dès qu’elle commence à en manquer il lui en redonne automatiquement.


De temps à autre elle gagne et par deux fois au moins de quoi quitter la table et probablement avec un petit bénéfice. Mais elle ne saisit pas ces opportunités. Ses gains finissent par fondre comme neige au soleil. Et Luc inlassablement la fournit en plaques jusqu’au moment où il lui annonce que son crédit est épuisé, qu’il ne peut plus lui en donner et qu’elle a perdu plus de deux cent mille euros. Cela ne semble pas émouvoir Julie qui demande simplement à qui elle doit de l’argent. La réponse est simple… à tout le monde.


On lui demande si elle est prête à régler ses dettes. Il est évident pour tous qu’elle ne peut payer une telle somme, y compris pour elle-même d’ailleurs. C’est tout sourire qu’elle le confirme en disant qu’elle ne peut disposer d’autant argent, et elle ajoute que bien sûr elle est toute prête à se plier aux arrangements prévus par la maison en pareil cas. Pour avoir confirmation de cette profession de foi, son voisin se lève et défait son pantalon. Julie se penche et le gobe. Tous les participants imitent le premier homme et se retrouvent le sexe à l’air, dans l’attente de leur tour. Elle se rend alors dans un espace libre aménagé au milieu des tables et entreprend, passant de l’un à l’autre, de les sucer à tour de rôle. L’un d’entre eux l’arrête et se fait enfiler un préservatif, puis s’allonge sur le sol. Comprenant l’invite Julie vient s’empaler sur le sexe offert.


Du coup ce sont les hommes qui défilent devant elle pour se faire sucer, la femme prenant son tour parmi eux. C’est d’ailleurs elle qui, Bernard le voit grâce au plan d’une caméra maison, va chercher une queue de billard qu’elle enduit de beurre au bar, avant de l’enfiler dans le l’orifice encore disponible de Julie. Le cul accueille l’intrus sans opposer de résistance, ni protester, ensuite, au vigoureux va-et-vient qui lui est imprimé. C’est toujours avec lui fiché dans son fondement que Julie change de partenaire pour venir chevaucher un autre sexe. La queue de billard est peu après retirée pour être remplacée par celle d’un homme. Bernard regarde fasciné sa chérie une bite dans la chatte, une seconde dans le cul, en suçant une troisième et en branlant un quatrième.


Alternativement tous les hommes présents goûtent à tous ses orifices et déchargent sur sa figure ou dans sa gorge, Julie s’efforçant ensuite de la langue, des lèvres et de la main à leur redonner vigueur. Ils peuvent alors renfiler un préservatif et de nouveau la baiser ou l’enculer. Le sol se couvre de capotes usagées et concomitamment le visage de Julie de foutre. La bacchanale s’éternisant, c’est un Bernard quelque peu dégoûté qui accélère le film. Ce n’est d’après le compteur qu’un peu plus de trois heures après le début que ces messieurs s’emparent de Julie pour l’allonger sur une table et lui enfiler un gode dans la chatte et un autre dans le cul. Après les avoir agités, ils laissent à Julie le soin de les extraire.


Bernard s’aperçoit alors que ce ne sont pas vraiment des godes, mais des tubes dont elle extrait des rouleaux de billets de 100 euros qu’elle agite, ensuite tout sourire, tels des éventails devant son visage où le foutre ruissèle jusqu’à sa poitrine. Il y en a pour plusieurs milliers d’euros.


Tandis que les participants se dirigent vers les toilettes, Julie est arrêtée par Luc qui lui dit que ce serait marrant de rentrer chez elle sans se nettoyer pour voir les réactions des gens. L’idée la séduit et illico elle s’habille et quitte l’antre de débauche tel quel. Elle s’engage dans la rue, toujours escortée de Luc et de sa caméra qui la suit quelques mètres en retrait. Le jour se lève à peine, et les passants sont peu nombreux. Probablement encore endormis certain d’entre eux ne remarquent même pas le maquillage de Julie, quant aux autres Luc s’attache à saisir leurs mimiques. Un homme s’arrête bouche bée pour la regarder venir vers lui, une femme donne un coup de coude dans les côtes de son compagnon pour lui faire faire remarquer. L’étonnement, et même la stupéfaction, se lisent sur les visages des personnes tant hommes que femmes, jeunes ou vieux que croise Julie. Trois ou quatre lui lancent quelques mots, que Bernard ne peut saisir. Mais tous se retournent pour la regarder s’éloigner et lorsqu’ils sont plusieurs les commentaires vont bon train, parfois accompagnés d’airs franchement rigolards.


Bernard accélère à nouveau le film. Après une ballade de plus d’une demi-heure, ils arrivent au domicile de Julie où la vidéo s’achève. De nouveaux commentaires suivent :



Bernard n’ouvre plus les liens, lisant simplement les légendes.



  • — Lui ai amené la fucking machine. Waouh elle s’est déchaînée avec, fallait voir ça. Le top ça a été quand je l’ai enculée en même temps… Deuxième visite samedi au club, pas de bol elle était fatiguée et a gagné direct 300 et on est parti avec, dommage… Nouvelle virée au club samedi. Ça s’est mieux passé que la fois d’avant, mais ça a été quand même moins chaud que la première. 2.000… Lui ai proposé d’aller visiter le château de Fontainebleau avec des copains. On part avec le minibus de Jean-Louis. Comme il est plein, Marc suit dans sa voiture avec sa copine et deux autres mecs. Je chauffe un peu Julie avant l’arrêt pique-nique en forêt. Ça la fait taire, elle commençait à nous gonfler à jouer les guides touristiques, surtout que le château on en avait rien à foutre. C’est son cul qui doit être visité. Comme prévu après la préparation à l’arrière du mini, pas difficile de la faire démarrer. Avons commencé à baisouiller. Puis laissé place à Jean-Louis, les autres ont suivi. Sauf Marc dont la copine a joué les mijaurées et est restée qu’avec lui. Dommage l’aurait bien sautée la meuf. Heureusement Julie a assuré sans problèmes. Sommes rentrés sans avoir visité le château. Pour agrémenter le retour Jean-Louis a eu une bath idée. Il a coincé entre deux sièges un marteau avec une capote sur le manche et surtout un goupillon pour nettoyer les bouteilles qu’il venait d’acheter. Y a pas eu besoin d’expliquer, Julie s’est assise dessus. Le manche dans le cul, le goupillon dans le con. Elle les a gardés pendant tout le trajet. Elle n’a pas arrêté de se tortiller. Y a que quand il a fallu retirer le goupillon qu’elle a fait du ramdam, les poils y étaient plus dans le bon sens. Ai récolté 1.500 pour la virée. À renouveler… Cette histoire de goupillon c’était une connerie elle a plus voulu baiser pendant deux semaines.


Après cette période d’abstinence, toute relative, car Luc précise qu’il l’a enculée, Bernard constate qu’ils ont dû vouloir rattraper le temps perdu, car les visites au club de jeux se succèdent. Souvent un jour en semaine, le mardi ou le mercredi et les vendredis et samedis. C’est simplement noté avec la date, le chiffre du gain et un lien vers des images.



  • — Mardi club 1.000
  • — Vendredi club 2.000
  • — Samedi club 2.500
  • — Mercredi club 1.200
  • — Vendredi club 2.000
  • — Samedi club 2.400
  • — Passe beaucoup de temps avec Julie. Néglige un peu d’autres filles, mais ça vaut le coup. Une comme elle toute seule en vaut au moins cinq sans avoir à la pousser. Quand il est question de baiser elle ne fait pas la gueule et ça les mecs y préfèrent. Les autres filles que j’ai emmenées au club renâclaient, sauf Rachel. Mais Rachel elle n’arrive pas à la cheville de Julie. Julie c’est Rachel puissance 10. Ne me file que 10 à 20% de ses gains, mais ne veux pas la brusquer en lui demandant plus. On verra plus tard.
  • — Vendredi club 3.000
  • — Samedi club 3.500
  • — Il y a de plus en plus de monde au club. Ça s’est dit qu’il y avait une nympho de première qui fréquentait et plus y a de monde plus ça peut rapporter.
  • — Mardi club 2.000
  • — Vendredi club 4.000
  • — Samedi club 4.500

N’avons pas pu aller au club cette semaine elle avait ses règles. Lui ai proposé d’aller dimanche à l’auberge à Provins. Y avait beaucoup de monde, j’avais prévenu le patron. Après le déj on est passé dans la partie privée. On a commencé à baiser tous les deux, pépère, parmi les autres couples. Quand l’ai laissée n’est pas restée seule dix secondes et après c’est parti mon kiki jusqu’au soir le départ, presque sans arrêter même pour dîner. Avec tout le foutre qu’elle a bouffé normal qu’elle a pas faim. Dans la voiture s’est endormie à peine assise. Faut dire qu’elle s’était donnée. Le patron était content de l’affluence m’a filé 1.000.


  • — Vendredi club 5.000
  • — Samedi club 5.000
  • — Mercredi 3.000
  • — Vendredi 5.000
  • — Samedi 5.500
  • — Mardi 3.500
  • — Vendredi 5.000
  • — Samedi, au Club nouveau record 10.000. Elle a de l’or entre les cuisses. Cette fille à elle toute seule ferait la fortune d’un fabricant de capotes. Vais bientôt la ramener à la boîte de nuit, maintenant y aura plus de problèmes si on la tripote un peu dans la salle.
  • — L’ai envoyée chez ce connard de Corrrini. Une fille avec ce tempérament devrait le calmer.
  • — Merde, pensais que ça poserait pas de problèmes, croyais qu’elle allait passer la nuit. Revenue plus tôt que prévu, aurais pu rattraper le coup s’il n’y avait pas eu Annette. En la voyant est devenue folle, a failli me tuer. Merde merde, merde, ai perdu deux filles. Annette pas grave car vraiment coincée, mais une chaudasse comme Julie, ça ne se rencontre pas tous les jours. Aurais pas dû l’envoyer seule, mais l’accompagner, l’aurais convaincue facile pour une partie à deux, après ça aurait roulé tout seul. Avec son tempérament à contenter 10 mecs à la fois, ça n’aurait pas posé de problèmes.
  • — Avec les photos espérais la ramener, mais elle se fout que je les montre. N’insiste pas, ce pourrait être dangereux elle est capable de faire du foin et d’ameuter les flics. Pas bon s’ils viennent mettre le nez dans mes affaires.
  • — Une vraie dingue est venue avec des copines, ai cru qu’elles allaient m’assommer. Ai dû les conduire chez moi, elles ont tout retourné et piqué mon ordi. Heureusement que les originaux étaient pas dessus.
  • — Cette garce a contacté les filles.


Lorsque cette petite gouape de Luc écrit que c’est une dingue de la baise, Bernard doit bien reconnaître qu’il a raison. Il s’est bien rendu compte, même si c’est dans de moindres proportions, que quand il est question de sexe, elle a tendance à perdre la mesure, ne plus se contrôler et devenir capable de n’importe quoi. Il n’a qu’à penser pour cela à l’épisode avec sa si indiscrète sœur. Mais là… !


Ce qu’il vient de voir et de lire lui met le cerveau en ébullition. Pourquoi a-t-elle proposé que chacun raconte son passé, alors qu’elle n’avait pas l’intention de le faire ? C’était plutôt dis-moi tout et moi des miettes. Comment a-t-elle pu se laisser aller à ce genre d’excès ? Pourquoi n’a-t-elle pas réagi plus tôt en voyant la dérive ? Pourquoi la visite chez ce Corrini a-t-elle déclenché une réaction et pas d’autres avant ? Il y avait pourtant de quoi largement faire fuir une fille normale. Pourquoi a-t-elle fait ces très aveux partiels alors qu’il ne demandait rien ? Comment a-t-elle pu accepter en plus de se laisser ainsi filmer et photographier, car visiblement elle ne l’ignorait nullement, bien qu’elle ait prétendu le contraire ? D’ailleurs l’idée de se faire filmer par sa sœur est dans le même esprit.


Faut-il qu’il lui parle de ce qu’il a découvert ? En plus de son gout pour les galipettes est-elle aussi intéressée par l’argent ? En une vingtaine de visites au club de jeu elle a récolté près de 80 000 euros, même en ôtant ce qu’elle a pu donner à Luc il lui en est resté au moins 65 000 en à peine plus d’un trimestre. Quand il songe à l’air qu’elle avait pris quand il lui a dit qu’il pouvait tenir plusieurs heures. Un air de dire mon Dieu est-ce possible de faire l’amour aussi longtemps, alors qu’avec ses gang-bangs elle se faisait troncher pendant des demi-journées ou des nuits entières. Il n’y a que le bus qui ne lui soit pas passé dessus réalise-t-il avec un goût de fiel dans la bouche. Car pour ce qui est des humains, elle doit être bien incapable de dire combien. Les questions, réflexions se bousculent dans sa tête, sans qu’il puisse en arrêter la ronde infernale.


Il est si absorbé par ses pensées qu’il ne voit pas le temps passer. C’est un coup de téléphone de Julie, inquiète de ne pas le voir rentrer, qui le fait émerger. Elle lui annonce que Christine est arrivée de même que les filles dont les dossiers étaient en cause. Durant le trajet, pourtant court, qui le ramène à la maison ses pensées reviennent au « Dossier Julie ».


La cousine lui fait un récit détaillé, et enthousiaste, de son rendez-vous, jubilant de la tête de Luc quand elle l’a envoyé promené. De son côté Bernard expose les résultats de son expédition. La découverte du carnet donnant accès aux archives de Luc et leur effacement, mais il s’abstient de mentionner l’installation du logiciel espion sur son ordinateur. Moins de personnes seront au courant, mieux ce sera. Il parle par contre des deux autres filles accrochées par Luc et préconise de les contacter au plus tôt. C’est Julie qui s’en chargera. Il propose également que soit conservés tous les documents de et sur Luc, car il pense qu’ils seront des arguments contre celui-ci en cas de problèmes. Le journal de bord des relations et les commentaires étant explicites en cas de problèmes ultérieurs, pour étayer des faits de proxénétisme ou de chantage. La discussion est longue et animée, certaines étant réticentes à ce que soit conservées les traces de ce passé douloureux. In fine, toutes finissent par accepter ses arguments et à se ranger à son avis. Ces dames, de plus, lui confient la conservation et la protection des documents. Bien qu’il eût préféré que l’une d’elles s’en occupe, il accepte cette charge, en les assurant que bien sûr rien ne serait exploité sans le consentement des intéressées. Après cette journée fertile, chacune retourne dans ses foyers.