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n° 16608Fiche technique42810 caractères42810
Temps de lecture estimé : 25 mn
26/01/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Ce qui a commencé comme un divertissement pour deux va s'élargir à d'autres.
Critères:  fhh cadeau cocus vacances fsoumise fellation cunnilingu sandwich fdanus jouet attache bondage yeuxbandés confession
Auteur : Roby      

Série : Vive le scoutisme !

Chapitre 02 / 03
La patrouille se forme

Résumé de l’épisode précédent : Jean et Martine ont découvert, par un surprenant concours de circonstances, de nouveaux jeux qui agrémentent une sexualité qui s’étiolait, au point que Martine avait pris un amant, Gérard. Ces pratiques de cordes et de bondage sont le prétexte à des jeux de rôles où l’un et l’autre se découvrent de nouveaux talents.

Mais Jean a découvert que Gérard a été l’amant de sa femme. Après la colère, la réflexion lui fait utiliser cet état pour corser, sans que sa femme sache qu’il est au courant, les scénarios.



_____________________________





(Cette question est devenue un rituel entre nous. Un jeu, bien sûr, que je ne pratique que lorsque nous sommes seuls.)



Elle réfléchit, cherchant un anniversaire, une référence familiale.



Et je lui montre une chaise en avant de la table. Elle commence à comprendre.



Elle avance pour me prendre dans ses bras. Elle sent bon le soleil. Depuis tout ce temps passé sur la plage, sa peau est dorée et je sais que sous sa petite robe il n’y a pas un centimètre carré qui n’a pas été honoré par les rayons de l’astre. Elle m’embrasse. Ses lèvres sont douces, et lorsque je promène le bout de ma langue sur sa joue, sa peau est toute salée.



Elle me regarde m’affairer. Je débarrasse la table qui nous sert de table de repas. Comme elle est en métal et en verre, je la recouvre d’une couverture. Religieusement, je vais chercher dans le placard de notre chambre soigneusement fermé à clef mes cordes et quelques accessoires. Elle me suit des yeux. J’imagine qu’elle cherche où sera la nouveauté. Ce n’est pas la première fois que j’utilise cette table pour nos ébats.

La nouveauté est lorsque j’apporte de la cuisine un seau à champagne et sa bouteille, des amuse-gueules et trois coupes. Je m’amuse en répondant à son interrogation muette.



Je débouche la bouteille, remplis deux coupes. Nous trinquons, échangeons quelques baisers, goûtons des petits fours.

Ostensiblement je regarde ma montre.



Comme toujours maintenant, Martine entre dans le scénario. Elle n’a plus peur d’oser proposer les choses les plus folles, et encore plus de les accepter de ma part. La confiance et la complicité sont totales, et notre vie de couple – même en dehors du sexe – s’en est trouvée améliorée. Finies les disputes pour des broutilles. Mieux, l’amour qui s’était effiloché avec le temps est revenu. Elle resplendit, et moi j’ai chassé cette dépression, emmenant avec elle mes pannes d’érection. Je bande comme un jeune homme.



Au fil des jours nous avons créé de toutes pièces une panoplie de mâles, mélangeant les fantasmes masculins aux féminins.



La mise en condition psychologique est importante pour nos jeux. Chacun doit se mettre dans la peau du personnage pour que le plaisir soit bien au rendez-vous. Elle n’insiste pas.


Il me faut bien vingt minutes pour la mise en place de la prisonnière. Le plus long, c’est ce bondage des seins que je m’applique à rendre le plus symétrique possible. La tension ne doit pas être trop forte pour ne pas risquer d’abîmer les prothèses, mais suffisante pour que les deux globes se transforment en quasi-boules parfaites, avec comme unique protubérance le téton. Petit à petit ils se colorent d’un rouge sombre. Une pince sur chaque téton complète mon œuvre.


À chaque avancement, je ne cesse d’effleurer Martine. Une fois allongée sur la table, c’est plus rapide. La table est courte et étroite, juste une table pour quatre couverts que l’on trouve dans certains restaurants. Elle tient à peine en longueur. Tirer les poignets pour les solidariser avec les pieds va très vite. Sa poitrine en ressort encore un peu plus. Pour les jambes, c’est un peu plus long : j’ai prévu de les plier pour attacher la cheville au haut de la cuisse ; un dernier lien va des cuisses aux pieds de table.


Ma prisonnière est ainsi particulièrement offerte de façon perverse. Ses seins forment deux énormes îlots, tels des pains de sucre dans la baie d’Along, et les cuisses repliées et totalement ouvertes donnent une vue splendide sur sa chatte et son œillet.


Je parfais mon montage par un plug anal que Martine accepte de bien engluer de salive avant que je lui enfonce dans le cul. J’ai choisi celui avec une queue de cheval qui prolonge sa raie sur la table. L’œuf vibrant, lui aussi bien salivé, glisse sans difficulté dans son vagin. Une fine ficelle terminée par un anneau reste hors de la chatte. Une pression sur la télécommande vérifie qu’il fonctionne.


Voilà ! Parfait ! Rien ne cloche. Le temps de prendre ma tablette pour faire des photos. Depuis quelque temps, j’ai pris l’habitude de filmer nos ébats. Martine peut ainsi revivre ces parties et s’admirer en pleine action.

Je regarde l’heure et je déclare :



Martine ne réagit pas. Elle est déjà dans son personnage. La femme soumise qu’un mari punit de ses infidélités.



Je crie assez fort.



Puis, me tournant vers ma femme, un baiser sur son front pendant que je fixe l’indispensable bandeau.



Je recouvre totalement Martine avec une nappe à fleurs et je vais ouvrir. Mon invité entre. Alors que je le précède dans la pièce, je dis :



Le champagne coule dans les verres. Les coupes se choquent.



Nouveau bruit de bulles.



Martine, qui n’a rien perdu de cet étrange monologue, sent le tissu glisser doucement de son corps et aller chuter à terre. Elle admire le sens de la mise en scène de son mari, ce mari que chaque jour elle aime encore un peu plus. Elle bénit les jours pluvieux de mai et le scout qui vit encore dans le cœur de Jean pour avoir enclenché ce renouveau. Rétrospectivement, elle a honte d’avoir pris Gérard comme amant ; mais d’une certaine façon, c’est grâce à lui qu’elle a pu supporter cette longue période où son mari était soit perdu dans ses pensées, soit désagréable au point d’enclencher dispute sur dispute. Même sans le sexe, les échanges de mails avec son amant lui remontaient le moral. Mais maintenant c’est fini, elle est redevenue une femme fidèle. Fidèle, perverse, cochonne, un peu salope, mais uniquement avec son mari.


La pièce est étrangement silencieuse malgré la musique.



Des mains courent sur le corps de la prisonnière. Dans un premier temps, elles semblent juste effleurer, mais peu à peu elles deviennent plus audacieuses, n’hésitant pas à presser les seins pour en tester la dureté, se glisser entre les lèvres de Martine et se faire sucer les doigts.



Une bouche court sur les seins, la langue abandonnant des traînées rafraîchissantes.



Les pinces son enlevées et remplacées par la bouche et la langue qui passent d’un téton à l’autre. Martine gémit.



Alors je raconte rapidement nos découvertes successives, cordes et bandeau. Et puis j’arrive à l’épisode de la tablette.



Le silence est assourdissant dans la pièce. Juste Martine qui dit :



Je m’approche de Martine et cherche ses lèvres pour un tendre baiser. Puis je la rassure en lui confirmant mon pardon et la remercie.



Je m’éloigne un peu et dis :



D’abord on n’entend rien, mais la prisonnière réagit aussitôt.



On entend maintenant la vibration.



La langue s’active. Les lèvres pompent le clito qui grossit et devient la petite bite si sensible. Martine ne parle plus mais elle se tortille, profitant du peu de liberté pour profiter au mieux. Elle respire fort.



Elle est près de la jouissance. Je le reconnais à sa façon de respirer de plus en plus fort, s’essoufflant uniquement par le plaisir.



J’adore ce cri libérateur. Manifestement, le prénom de Gérard l’a galvanisée. C’est la preuve que j’ai raison et que je peux continuer sur ce chemin.

Je lui laisse un peu de temps pour retrouver ses esprits, puis je lui dis :



On entend un bruit de ceinture et de zip.



L’œuf quitte la grotte avec regret, mais c’est aussitôt un gland qui prend sa place. Il faut dire que le vagin semble ouvert, avec les cuisses si écartées.



La queue devient un piston qui entre et sort sans fatigue apparente. La chatte est grande ouverte et bâille lorsque le mandrin se retire trop loin. Quel spectacle magnifique ! Un homme ne se lasse jamais de la vision d’une queue bien raide qui va-et-vient dans ce conduit humide et gluant, d’autant que la position de Martine expose largement son entrecuisse.



La queue accélère ; nul doute que ces échanges l’excitent. Ma femme est si ouverte que les couilles frappent le disque du plug, ce plug qui participe aux sensations.



Depuis un moment, il n’est plus nécessaire de questionner : elle parle, se libère. Moi aussi, je laisse sortir des vulgarités bien perverses, mais excitantes.



Mes propos orduriers ne parviennent peut-être pas distinctement aux oreilles de ma femme, emportée par sa jouissance, mais au moins elle en comprend l’envie. Elle y répond par des cris indistincts mais si forts que j’ai peur que des passants s’inquiètent.

La queue, elle aussi donne des signes de fatigue. J’interroge :



La queue grasse fait le tour de la table pour y découvrir Martine les lèvres entrouvertes.



Martine joue parfaitement le jeu. Maintenant, sa bouche est grande ouverte et le bâton s’y glisse pour progresser le plus loin possible. Une belle longueur disparaît, mais malheureusement pas tout, malgré l’inclinaison.


J’imagine déjà la prochaine punition pour la femme infidèle : je vais à force d’exercices lui faire avaler la totalité d’un mandrin. J’imagine qu’il suffit d’un peu d’apprentissage et de faire disparaître ce réflexe malvenu. Ah, voir la bite n’être arrêtée que par les couilles !

En attendant, la queue décide de prendre l’offensive. Il n’est pas nécessaire de dire au propriétaire que cette gorge est à sa totale discrétion. Pas besoin de bloquer le visage, la table s’en charge. Elle piaffe d’impatience et elle trace son chemin.



La gorge gargouille. La salive coule à flots des lèvres soumises. Que c’est beau, ce viol accepté par amour ! Enfin la sève monte et déferle. Elle jaillit, abondante, et inonde le palais, titillant la glotte qui n’en demandait pas tant. La bite reflue.



La langue pousse la crème épaisse pour la faire admirer. Le palais sert de réservoir. C’est délicieusement obscène.



En bon petit soldat, ma femme avale. Ah, il me suffit de fermer les yeux pour suivre la progression de la crème le long de son œsophage, glisser doucement en des lieux mystérieux. Quelle preuve d’amour !


Je vais chercher une coupe de champagne, et en lui proposant quelques gouttes délicatement versées entre ses lèvres, je la félicite.



Elle tire sur ses liens mais rien ne bouge. On ne défait pas ce que j’ai patiemment construit.

Je n’ai pas seulement attaché avec raffinement mon épouse, j’ai aussi tissé d’autres liens. Des liens avec son amant, avec Gérard. Avant, c’était juste une connaissance ; après la révélation de son état d’amant de ma femme, son statut a changé. Une maîtresse commune crée des liens.

J’ai pensé que Martine et moi avions fait beaucoup de chemin, alliant mon imagination fertile avec des montages et des plaisirs de plus en plus poussés, mais que malheureusement déjà les limites apparaissaient. Bien sûr, des variantes, et même des répétitions étaient toujours possibles. Mais la proximité avec Gérard – et je dois reconnaître certains fantasmes que je croyais hors de portée ou réservés à de jeunes couples pratiquant très tôt l’échangisme – m’ont amené à ce subterfuge.


Il est évident que la présence imaginaire de Gérard avait beaucoup plu à Martine. J’en ai eu la preuve sous les yeux. Il ne reste plus qu’à lui faire constater que ce soir je n’ai pas inventé cet amant imaginaire comme les autres fois. Que Gérard était avec nous dès le début, que bien sûr il s’est prêté au jeu en restant silencieux, mais que par contre tout ce que j’ai dit était vrai. Que c’est bien lui qui l’a sucée, que c’est bien lui qui l’a baisée, et que c’est bien lui qui a juté dans sa gorge.

C’est lui d’ailleurs que je charge de défaire le bandeau.



C’est le seul mot que ma femme prononce lorsque ses yeux confirment ce qu’elle a entendu.



Mais c’est un "salaud" plus tendre qu’injurieux et de reproche. Moi aussi je m’approche. Nous échangeons un regard qui vaut tous les pardons. Je l’embrasse. Elle me souffle à l’oreille "Merci".



Quelques minutes plus tard, tous trois dégustent le champagne et les petits fours. Bien sûr, Martine nous questionne. Moi d’abord : comment, depuis quand, comment j’ai réagi, etc. Gérard ensuite, le traître qui s’est laissé embrigader par le mari pour la tromper !


Il commence à faire nuit, et la troisième bouteille est descendue comme du petit lait. Il y a des évènements qu’il faut vraiment célébrer ! Je fais un cours de bondage à Gérard, avec photos à l’appui, celles que la mémoire de l’ordi nous livre. J’en profite pour montrer à Martine ce qu’elle vient de vivre et copie le fichier en sauvegarde. Ces petites bêtes, c’est bien, mais une vidéo a vite fait de remplir la carte SD. Par contre il n’y a rien à dire sur la définition. C’est Gérard qui suggère de balancer ce que je viens de filmer sur la télé. C’est saisissant et terriblement excitant !


Tous trois, affalés et même un peu ivres, nous regardons mais aussi entendons. Je suis sidéré de ce que nous – surtout moi – avons pu dire dans le feu de l’action. Martine, qui est assise entre nous – quelle meilleure place qu’entre mari et amant ? – vérifie de la main que nos sexes sont en verve. Elle s’agenouille et commence à nous sucer. C’est bon. C’est divin. Je ne résiste pas au plaisir de ralentir la vidéo. Son image est justement en train de se faire envahir la gorge par son amant.


Maintenant il n’y a plus de différence entre jeu et réalité. Elle pompe la queue de son amant, et comme une pro du porno, chasse ses longs cheveux pour que son mari puisse bien le voir.

Est-ce une impression, mais la gourmande a-t-elle déjà eu raison de son amant ? Mais oui, elle s’immobilise, enserrant la hampe de ses lèvres pour lui former un étui étanche. Gérard, de toute façon, ayant bien appris sa leçon, enserre la tête entre ses mains. Il la libère.


Précautionneusement, elle remonte et aussitôt ferme la bouche pour se relever vers moi. La coquine vient me montrer sa cueillette, mais plonge aussitôt sur ma queue. La perverse a noyé la queue de son mari avec le foutre de son amant ! Et dire que je craignais de l’avoir choquée par mon langage et mon piège… Le bruit est torride. Elle m’a pris au mot. Elle doit se souvenir de ce que j’ai dit et que l’on vient d’entendre distinctement, quelque chose comme « Combien de fois ma queue a-t-elle glissé dans le foutre de son amant ? » Ce n’est pas moi qui vais au foutre : c’est le foutre qui vient à moi. C’est le foutre qui enduit ma bite si dure qu’elle en devient douloureuse. Mais je ne résiste pas plus longtemps, d’autant que contrairement à Gérard, moi je n’ai toujours pas joui.


Ma perverse de femme accepte mon don, et ma semence vient se mêler à celle de l’amant. La voilà qui se redresse et vient nous monter le résultat de nos œuvres ; le jus a coulé un peu des lèvres, accentuant encore un peu plus la lubricité de ses actes. Elle s’approche si près de mon visage que la flaque qui roule sur sa langue est un océan de sperme. Sans que je puisse réagir, la voici qui m’embrasse et me fait partager sa collecte. La dévergondée m’oblige à en accepter une partie. Aussitôt elle me quitte pour aller faire la même chose à son amant.


Du temps de ma jeunesse, à l’époque des scouts, des jeux de piste, des cow-boys et des Indiens, les pactes se faisaient par une goutte de sang. Ce soir, symboliquement et concrètement, j’en ai encore le goût dans la bouche, Martine a vraiment établi un lien entre nous trois. Gérard est comme moi. Je ne sais pas s’il a déjà goûté du sperme, mais même s’il n’aime pas il se retient de tout reproche. Il a raison. Nous aurions l’air assez con de demander à notre femme et maîtresse d’avaler alors que nous refuserions.

Contente d’elle, elle va nous cherchez à boire. Nous en rions, complices.


Il fait si chaud et la pièce sent si fort le sexe que nous sortons dans le jardin. Il fait plus frais. Ce n’est bien sûr pas la première fois que nous sortons nus, mais en prenant certaines précautions car la maison voisine n’est pas très loin et la haie qui nous sépare, si elle est haute, laisse des endroits clairsemés. C’est une location, et souvent ce sont des familles, donc avec des enfants. Par contre, sans mettre l’éclairage, nous restons dans l’ombre car leur jardin est fortement éclairé par un lampadaire public.

Martine nous propose quelque chose à manger, et c’est encore l’occasion de boire.


Assis dans mon fauteuil, je regarde le ciel étoilé et je reconnais Orion, la Grande Ourse, Cassiopée et d’autres constellations. C’est un nouveau rappel à mon passé de scout. Qui aurait pensé que cela m’aurait amené là, ce soir ? Il a suffi de quelques nœuds. Si ma fille savait qu’un réglage mal ficelé des paramètres sur la tablette m’avait fait découvrir l’infidélité de sa mère et amené à organiser cette soirée ! Vraiment, le destin est étrange et il suffit de si peu de choses… Mais dans notre cas, qui s’en plaindrait ?


À côté, on entend des voix. C’est samedi, et le changement de locataires a eu lieu. Martine m’a dit avoir croisé un couple de jeunes. Le début de septembre sonne la rentrée, et les nouveaux vacanciers profitent de prix plus bas. Souvent des couples sans enfant ou des retraités.



« Jeune con. Des vieux qui viennent de baiser comme des malades ! »



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J’ai du dormir. Il fait frais et pourtant quelqu’un m’a mis une couverture. Ah, ma chère femme, vicieuse mais attentionnée. Au fait, où sont-ils ? Les fauteuils sont vides, ils ont dû rentrer. La lune est partiellement cachée par un nuage, mais les étoiles scintillent sur la vitre de la baie vitrée. Une lueur rouge semble bouger comme un feu follet. Un regard autour de moi me fait penser que cela vient de l’intérieur. Je me lève, m’approche, et le visage collé à la vitre je comprends ce que cela peut être. On dirait la pierre synthétique du plug de Martine. Elle n’a pas dû l’enlever. Tout ce temps avec ce truc dans le cul ! Il faut dire que je le lui fais porter pour faire les courses, avec souvent l’œuf vibrant. Je bande de la voir se trémousser discrètement chez les commerçants, en particulier le gros boucher qui ne quitte pas ses seins des yeux.



Ma douce vicieuse se baise sur la bite de Gérard. Elle se tient bien droite ; certainement qu’ils n’en sont qu’au début car elle ne se sert que de ses reins pour faire bouger le mandrin dans son intimité, ce qui explique le reflet mouvant et ondulant de ce que j’ai pris pour un feu follet. Un feu, certainement, car ma dépravée de femme nous montre qu’elle a bien le feu au cul.


En faisant le tour, j’ai la surprise de constater que tous nos gadgets traînent sur le canapé dans un désordre que des mains impatientes ont créé. À propos de mains, celles de Gérard tirent délicatement sur les chaînettes dont l’autre extrémité est fixée aux tétons. Martine, au fil de mes achats, est devenue accro à ces joujoux qui excitent en les maltraitant ses mamelons. Je pense sérieusement à lui proposer dès notre retour à Paris de se faire monter des piercings. Il en existe de toutes les tailles et de toutes les formes, et je me vois déjà offrir à ma femme bien-aimée des petits diamants pour les décorer. Voilà une très belle idée de cadeau.


Gérard tire maintenant si fort sur sa cavalière qu’il l’entraîne sur elle. Finies les lentes oscillations, danses du ventre délicates et sensuelles ; il lui faut maintenant du plus lourd, et elle retrouve le bon vieux réflexe du va-et-vient.

Penchée ainsi, le rubis de plastique apparaît dans toute sa splendeur, tache rouge où se frotte une tige d’un rose sombre et brillant. Bien sûr, je bande de ce spectacle. J’ai l’impression que je ne me lasserai jamais de voir ma femme si épanouie, profitant de la liberté accordée et se vautrant dans une luxure qui me ravit.


Elle se baise, cavalière que Gérard dirige à l’aide de rênes bien particulières. De cavalière, la voilà monture. Une monture fougueuse qu’un mari pourrait bien dresser un peu. Le plug semble soudé au cul de Martine, et je dois tirer fort pour que le cône veuille bien faire le chemin inverse, dilater la couronne musculeuse que l’anus forme. Enfin il cède, mais je le bloque avant de le faire expulser, le temps de me positionner.


Je suis en place. Bien sûr, ce n’est pas la première fois que je vais sodomiser ma femme, mais jamais après un plug, ni surtout avec un vagin déjà occupé par une bite que je sais maintenant respectable. Mais la vision est magnifique lorsque je retire le plug : le petit trou est devenu un abîme sombre, une caldera grande ouverte, un trou noir clignant de l’œil pour attirer tout ce qui passe à sa portée. Je sais que si je tarde trop, l’orifice va lentement se refermer et qu’il me faudra le convaincre de s’ouvrir à nouveau.


Ma queue est raide, certainement aussi dure que celle que le jeunot d’à côté doit chercher à faire sucer par sa copine. Moi, c’est mon gland qui entre dans le gouffre. Mais s’il entre, aussitôt il se trouve en compétition avec l’occupant d’à côté. Martine s’est immobilisée, la queue de son amant bien à fond comme si elle avait peur de la perdre. « Attends, ma cocotte ! » De tout mon poids je pousse et annonce que le mari est là, bien là, que la bite qui encule veut sa place elle aussi.


Waouh, la pression est énorme, mais moi aussi je l’embroche à fond. Les deux tiges parlementent et décident que, finalement, il y a pour deux. Ma femme est bel et bien prise en sandwich, plantée par deux bâtons. Gérard me fait un clin d’œil complice. La situation n’est pas si confortable… J’ai déjà fantasmé sur ce genre de scène, imaginant les deux queues baisant synchrone les deux orifices, mais ce n’est pas possible. De toute façon, moi j’ai envie d’enculer ma femme et qu’elle sente son cul chauffer jusqu’à ce que j’éteigne l’incendie par ma semence.


Au début, c’est presque douloureux tellement le conduit est étroit, mais petit à petit le chemin se fait. Martine ne proteste pas de mon ardeur alors que je ne cherche pas son plaisir mais le mien. Pourtant, ma brutalité et mes coups si violents que le couple d’amants tremble sous mes assauts finissent par l’exciter et elle se tortille. Comment une femme embrochée et remplie de bites peut-elle encore chercher à se frotter un peu plus ? Mystère !


J’éjacule avec délice dans ses entrailles. Mon jus facilite les mouvements, les derniers, ceux qui cherchent à pousser le plus loin possible la crème épaisse.

Dès que je retire ma queue, Martine se sent libérée ; et si j’ai éteint un incendie, un autre a couvé dans sa chatte. C’est une furie qui monte son amant. Les fesses claquent sur le ventre. D’une main elle s’est emparée des deux chaînes qu’elle tire très fort alors que de l’autre elle se caresse le petit bouton. Gérard grimace d’une telle puissance. Elle doit lui tirer le filet de peau si fragile qui doit bien porter son nom de frein.

Non, ce sont des grimaces de mec qui va jouir et qui se retient. De l’amant parfait qui veut attendre la jouissance de sa maîtresse avant de balancer la purée.



Putain, ce cri est si fort que je regarde vers la baie que je n’ai pas refermée. En cette saison, on dort encore la fenêtre ouverte et j’ai peur qu’on l’entende. Peut-être pas, si la voisine est occupée par son mec. À côté de ça, le gémissement de Gérard est un murmure…


On se quitte comme on dit, bons amis. Gérard rentre chez lui. Un moment j’ai envisagé de lui dire de rester pour être là le matin, mais j’ai décidé qu’il faut tout de même garder une certaine distance, surtout après une première fois. J’ai besoin de parler un peu avec Martine. Il est pas loin de six heures du matin et je ne trouve pas le sommeil. Le petit somme de tout à l’heure a cassé le rythme, et en plus je ne cesse de penser. Tout était parfait, mais à froid, je me demande si nous n’avons pas été trop loin…


_____________________________



On sonne à la porte. Merde, c’est qui ? Qui peut venir si tôt ? Tôt, pas tout à fait, il est plus de 9 heures. Le temps de passer un pantalon et je vais ouvrir. C’est un homme, jeune, qui commence par s’excuser lorsqu’il voit ma tête de déterré.



« Tiens donc, le jeune con qui vient emmerder le vieux. »



Il se lance alors dans une tirade où, en résumé, la box de sa maison ne marche pas, malgré les promesses du proprio… Qu’au mieux ce sera réparé dans huit jours…Que pour son boulot il a impérativement besoin du Web… Que par sécurité et confidentialité il ne peut pas se brancher sur un spot… Qu’il a vu qu’une liaison wi-fi, manifestement la mienne, arrivait jusque dans son jardin… Que… Que…


Tout cela me gonfle. Le « vieux » a envie de retourner se coucher.


Il continue : Qu’il ne peut pas utiliser mon réseau wi-fi communautaire car il n’est pas chez le même opérateur. Que si j’étais sympa je pourrais lui donner l’autorisation… Que bien sûr il ne s’en servirait que pour le boulot, pas de téléchargements, etc. Qu’il me dédommagerait… Que je lui sauverais la vie…


Ouf, enfin il se tait.



Ah, ces jeunes cons qui font les malins ! Il a fallu que je lui écrive sur un papier.

Martine, du coup, est réveillée. Elle me demande qui c’est. Je lui explique. Je vais à la douche et prépare le petit déjeuner pendant qu’elle prend la sienne.

Nous prenons le petit déj’ sur la terrasse. En débarrassant, dans la cuisine ma douce me susurre à l’oreille comme si elle n’osait pas trop l’afficher :



Comme je ne veux pas de "trémolos", je réponds :



Et là, elle sourit et venant contre moi me parle.



Et elle me le raconte. Je suis surpris par tant d’imagination et on peut le dire, de perversité. Je ne peux que lui demander si elle pense vraiment le réaliser, ou plutôt si elle va nous demander de le réaliser. Sa réponse est ambiguë.



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Le lendemain, nouveau passage du voisin, Fabian. Il m’apporte une bonne bouteille, mais je sens qu’il est mal à l’aise. Martine n’est pas là et je lui propose de s’asseoir. Je vois bien qu’il tourne autour d’un sujet qu’il veut aborder. Enfin il se lance.



Et là, je comprends. Il est tombé sur les vidéos que je stocke sur le disque dur pour libérer de la mémoire sur la tablette.



J’accepte sa proposition, et pendant une bonne heure il réorganise ce qu’il faut pour que je sois vraiment protégé. Une capote des temps modernes, pourrait-on dire.


Il a terminé, m’a tout expliqué, mais encore une fois je vois bien qu’il est mal à l’aise. Enfin il se lance :




À suivre.