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Temps de lecture estimé : 19 mn
18/02/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Il ne pensait pas que les deux femmes allaient mettre en exécution leur plan si rapidement, et c'est au chalet que le terrain devint glissant.
Critères:  f fh ff ffh frousses couple extraoffre collègues nympho fépilée vacances sport forêt campagne froid hotel voyage telnet hsoumis voir fmast entreseins facial fellation anulingus préservati pénétratio fsodo
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 03 / 08
Sports de glisse

Résumé des épisodes précédents : Alors que débutait le congé des fêtes de fin d’année, une amie de sa femme s’était invitée chez eux pour une soirée qui s’annonçait tranquille. Après plusieurs verres, dans l’ambiance bien confortable du salon, elle leur avait dit vouloir avoir une nuit de plaisir de sa femme. Celle-ci avait rapidement accepté l’offre et il avait finalement rejoint le duo pour une soirée des plus chaudes. C’est alors qu’après les ébats, sa femme ayant regagné la chambre, que l’amie s’était approchée de lui et lui avait dit connaître sa maîtresse. Sous le choc, il l’avait regardée s’éloigner, la peur au ventre.





Cette double vie, il savait au fond de lui-même qu’elle ne pourrait pas durer toujours. Rationnellement, il ne pouvait pas penser qu’il serait en mesure à la fois d’être en couple avec la fille de sa vie, au demeurant purement splendide et tout simplement parfaite, tout en batifolant à gauche et à droite. C’est vrai que ces dernières années, il avait accordé plus d’attention à sa deuxième vie, ne manquant pas une occasion d’aller voir sa maîtresse. Son travail l’avait aussi énormément occupé. Karen lui avait semblé bien s’accommoder de la situation. Mais pourrait-ce être le cas encore longtemps ? Ou était-ce plutôt réellement le cas?


Il était demeuré de très longues minutes, immobile, devant le foyer. Des pensées diverses tiraillaient son esprit. Elles allaient de l’envie viscérale de baiser, purement et fortement, avec Anastasia et Sara à la peur d’être découvert. Il s’était servi de nouveau un doigt de scotch et s’était forcé à analyser le tout de manière froide. N’était-ce pas de cette manière, après tout, qu’il exigeait de ses collaborateurs qu’ils analysent les situations en période de tourmente ?


Et il en vint finalement aux conclusions suivantes :


1. Pour l’instant, il continuerait à baiser avec son amante. Même s’il le désirait, il ne serait pas, de toute manière, en mesure d’y dire non. Il appréciait trop le genre de plaisir charnel qu’ils échangeaient.



2. Si cette petite brune d’Anastasia avait voulu tout dévoiler à sa femme, elle l’aurait déjà fait. Donc, il n’y avait pas de raison pour ne pas apprécier les plaisirs à venir. Et après tout, il était sûr qu’elle adorait Karen. Il était donc également dans son intérêt que cette situation perdure.


3. Il devrait, tôt ou tard, reprendre l’initiative et redevenir maître du terrain. Comment ces deux petites garces pouvaient-elles bien se connaître, et comment avaient-elles pu remonter jusqu’à lui ?


Il se promit d’enquêter sur le dernier point. Et ces pensées quittèrent son esprit lorsqu’il entendit un long gémissement. La voix de son épouse, visiblement sur le point de jouir, fit naître en lui un désir plus fort encore que lors de leurs derniers ébats. Son verre déposé sur la table, il avait parcouru le chemin jusqu’à la chambre principale, son organe masculin grossissant au fur et mesure que les bruits de plaisirs féminin devenaient plus distincts.


Sa femme, sa Karen, se délectait des sucs de sa nouvelle amante. Celle qui, depuis maintenant vingt minutes, le faisait chanter. Lui, généralement si en contrôle. Faiblement éclairée par la lumière de la rue, il avait vu son épouse lécher, à très grands coups de langue, son amante. Celle-ci, le dos confortablement vautré dans un oreiller placé contre la tête de lit, l’encourageait à poursuivre son exploration en lui caressant délicatement les cheveux. Lorsqu’elle l’avait vu entrer, elle l’avait à peine regardé, toute à son plaisir. Karen, sur le ventre, les jambes pendantes à l’extérieur du lit, avait fait une cible bien trop facile. Et c’est en s’approchant d’un pas décidé qu’il l’avait pénétrée d’une seule poussée. Karen, lâchant ce qui semblait être pour elle un succulent repas, avait poussé un long cri de plaisir avant de se remettre à la tâche. Tâche que, lui, n’avait pas abandonné.


Au bout d’un accouplement quasi animal, le trio avait joui, emplissant la pièce de leurs cris, de leur chaleur et de leurs respirations saccadées. Son épouse, nouvellement remplie de sperme, avait même trouvé la force de se faire jouir de nouveau pendant qu’Anastasia lui caressait les seins. Et c’est avec un grand sentiment de vide qu’il s’était endormi, instantanément, entouré d’un si joli spectacle.





Une plaque de glace sur la route de plus en plus campagnarde le fit sortir de ses pensées. Cette route, dont il avait autrefois tant apprécié les charmes, n’était que secondaire aujourd’hui. Les récents événements tournaient trop dans sa tête.



Bien assise dans le siège du passager, Karen avait capté son attention avec une telle question. Depuis qu’ils s’étaient levés, bien plus tard qu’à leur habitude, la soirée de la veille n’était pas revenue sur la table. Mais elle avait été très douce, semblant même très sereine. Il se serait attendu à tout, mais pas à cette forme de détachement.



Il aurait voulu savoir si elle le referait à deux, sans qu’il soit présent, mais il sentit que ce n’était pas le moment de poser la question. Surtout que la table semblait mise. À leur réveil, un mot les attendait sur la table de la cuisine :


« Merci, Karen. Ce fut génial. Je t’adore. On se voit bientôt. »


Elle lui prit la main, mais elle semblait quand même tourmentée. Il mit cela sur le compte des vieilles sensations réveillées hier soir et se concentra de nouveau sur la route. Après tout, pourquoi ne pas être heureux ? Ils partaient pour leur traditionnelle semaine de ski au chalet. Ce véritable nid d’amour, qu’ils avaient acheté au début de leur relation, avait été le lieu de tant de plaisirs. N’ayant plus de famille proche, ils partaient toujours du 24 décembre au 2 janvier. Ce pèlerinage de ski annuel leur avait toujours fait le plus grand bien. Lui et elle, seuls en montagne, à proximité de plus belles pistes de la région. Feu de foyer, lectures, bonne nourriture et baises. Ce programme court, quoique complet, le fit sourire ; et c’est finalement le cœur léger qu’il passa la cinquième pour la dernière ligne droite de cette route balayée par le vent.





À peine la voiture fut-elle arrêtée que Sara sortit ses skis. En un rien de temps, malgré le froid, elle avait mis ses bottes et s’apprêtait à arrimer les deux longs skis.



Et aussitôt dit, aussitôt fait. Elle disparut, au travers de la haie, sur la piste enneigée. Cela lui sembla assez particulier, car d’habitude, elle aurait essayé de le persuader afin de le faire venir à tout prix. Pas cette fois.


Il prit place sur le rebord du coffre qu’elle avait laissé ouvert et s’alluma une cigarette. Une fois la première bouffée prise, il observa l’horizon. Cette demeure, bien isolée des voisins, les avait séduite dès le départ. Les chambres à l’étage, une grande pièce commune ainsi qu’un grand salon au rez-de-chaussée, et les pièces de service au sous-sol. Ce qu’il avait eu comme plaisirs, ici, ces dernières années… Il reprit contact avec son environnement lorsque ses jointures commencèrent à geler et il décida de jeter son mégot et d’entrer. Jean, leur homme à tout faire, n’avait pas manqué à son devoir car tout était tout simplement parfait : malgré les semaines qui s’étaient écoulées depuis leur dernière venue, pas une trace de poussière n’était apparente. Du bois en quantité suffisante était présent, et la cave à vin avait été remplie, leur cépage préféré bien en vue. Il ne regretta pas de l’avoir engagé il y a déjà bien longtemps, et d’avoir veillé depuis à bien le rémunérer.


Le feu réchauffa bien rapidement ses esprits et une fois la voiture déchargée, il prit le temps de se verser un verre et de se caler bien profond dans un des divans. En observant le feu crépiter, il laissa aller sa tête vers l’arrière et déposa le verre sur la table.


À peine fut-il assoupi qu’il entendit son cellulaire. Karen n’avait pas encore terminé ; alors, pourquoi l’appellerait-elle ? Le sortant de sa poche, il le consulta.


16:02 - Toujours au chalet à cette période ? J’ai pourtant envie de toi.

16:03 - Il faudra qu’on discute. J’ai envie de vous deux, mais pas dans ces conditions.

16:03 - Peu importe les conditions. Tu aimeras.


Elle n’avait pas tort. Son cerveau pensa très vite.


16:05 - À mon retour, on disparaît pendant deux jours. Amène ton amie si tu veux.

16:06 - Il serait dommage d’attendre jusque là, ne crois-tu pas ?

16:07 - Que veux-tu dire ?


Il attendit de longues minutes, mais sans réponse. Suite à quelques relances, toujours aucune réponse. Il décida de chasser ces pensées car le moment viendrait bien assez vite. Et à son grand désarroi, son excitation prit le dessus.


Karen arriva après avoir skié, et dès qu’elle fut à l’intérieur, toujours en tenue de ski, pieds nus, elle lui lança, du hall, qu’elle avait envie de lui. C’était toujours comme ça qu’elle se sentait après s’être exercée sur les pistes. Et il ne se fit pas prier.


Ce soir-là, le soir du réveillon, il oublia tout. Sauf les envies de sexe qu’il avait. Ils firent l’amour d’une manière passionnée. Il avait été très content de partager ce moment avec uniquement son épouse car hormis les câlins de la veille, cela faisait trop longtemps qu’ils n’avaient pas fait l’amour. Elle exigea toutefois qu’il la fasse jouir avec sa langue après la pénétration, durant laquelle elle n’avait pas joui. Cela n’arrivait pas très souvent. Il s’était tout de même prêté à l’exercice de bon cœur, et c’est complètement éreintés qu’ils s’endormirent, après qu’elle eut un orgasme fulgurant, agrippant ses cheveux et pressant sa tête à l’intérieur de ses cuisses.





Un bruit le réveilla soudain. Il vit, dans la pénombre, juste à côté de lui, son cellulaire qui s’illuminait. Le sexe encore en feu, dégoulinant de sperme, il se tourna et le saisit. Karen dormait à poings fermés.


01:07 - Nous avons bien hâte de te voir. Tu nous as manqué. Ah, et Joyeux Noël.


Et une photo suivait. Il aperçut rapidement Anastasia et Sara. Elles avaient pris un « selfie » tout en s’embrassant, le haut du corps nu, leurs seins bien en vue. Derrière elles, dans ce qui semblait être la nuit, il reconnut son chalet. Il leva alors les yeux et fixa l’obscurité. Au loin, dans celle-ci, il aperçut l’immeuble de condominium. Un de ceux comprenant plusieurs unités que les touristes pouvaient louer. Son érection, ainsi que son trouble, allèrent grandissant.


Sans faire de bruit, il se leva et s’habilla. Sa grosse parka enfilée, il sortit et marcha dans la nuit. Il obtint rapidement le numéro de l’unité où ses deux amantes restaient. Il y fut très rapidement.






Sara fut la première à répondre.



Anastasia renchérit :



Pensif et très excité, il ne sut pas quoi répondre. Après tout, il était vrai qu’il les désirait. Depuis qu’il était entré dans leur unité, elles n’avaient pas bougé. Vêtues toutes les deux de strings et de soutiens-gorge foncés, étendues de tout leur long dans le grand lit. Lui, debout, devant la porte, semblait ne pas être sûr de la marche à suivre.



Mais quelles étaient les chances que cela se produise ? Il regretta les entrevues qu’il avait données dans les derniers mois. Ça l’avait amusé de voir sa figure dans tous les médias, et l’effet que ça avait eu sur ses affaires avait été bénéfique ; mais là, il aurait préféré être un sombre inconnu.



Sara reprit la conversation :



Là, elle marquait un point.

À ce moment, il décida de plonger.

Comme si elles l’avaient perçu, les deux filles se levèrent et vinrent se mettre à genoux devant lui. Elles abaissèrent sa fermeture Éclair, et d’un habile mouvement de main elles sortirent sa queue.



Quatre mains et deux bouches se mirent alors à effectuer un délicieux ballet sur son organe. Les yeux fermés, il savoura leurs caresses. Pendant qu’une l’avalait, l’autre lui gobait les bourses. De délicieux bruits de succion émanaient de la fellation et sa queue, déjà très dure et longue, semblait vouloir atteindre de nouveaux sommets. Il abaissa le regard et s’aperçut que tout en le suçant, elles le fixaient, ce qui finit de l’exciter, de le rendre fou.



Et les deux filles se relayant, une branlette endiablée s’ensuivit. Au bout de quelques minutes, il ne put se retenir plus longtemps et il les aspergea, toujours habillé, debout devant la porte. Son sperme éclata sur les poitrines qui lui étaient offertes, maculant les sous-vêtements de soie noire. Le tableau qui s’offrait à lui était purement délicieux. Elles se levèrent et vinrent l’embrasser, partageant le goût de son sperme avec lui. Sara brisa le silence la première :



Et sans ajouter un mot, il quitta le condo et reprit la route de sa demeure. Il n’était pas capable de vraiment bien évaluer ce qui lui arrivait : une pure catastrophe, ou le début de la plus excitante aventure qu’il avait vécue de toute sa vie ?





En cette journée de Noël, le réveil se passa tout en douceur. Ils appréciaient visiblement tous les deux d’être en vacances, et c’est dans la plus grande quiétude qu’ils ouvrirent les yeux au même moment. Il fut inquiet que Karen lui parle de sa petite sortie d’hier, mais elle n’en dit pas mot. Il avait été suffisamment discret. Le petit déjeuner enfilé, Karen alla prendre une douche. Il la vit marcher, nue, se dirigeant vers la salle de bain et il l’admira. Elle se retourna et lui fit un grand sourire.

Son cellulaire vibra à ce moment.


08:44 - Nous avons envie de toi. Viens nous voir à 13:00.


Merde. Comment allait-il pouvoir s’éclipser en plein milieu d’une journée de ski pour aller batifoler avec ses deux amantes ? Il se dit qu’il trouverait bien un moyen, mais il bénit le Ciel que les deux filles ne soient pas ici pour la durée complète de ses vacances. Ce petit jeu l’excitait, mais il ne fallait tout de même pas jouer avec le feu. Finissant son espresso, il alla finalement se vêtir chaudement. Peu après, Karen fut prête également, embaumant la pièce de son parfum enivrant. Et c’est avec un grand plaisir qu’ils attaquèrent les pistes fraîchement damées.





Ils skiaient maintenant depuis deux heures. Enfilant les pistes qu’ils adoraient, le froid éveillant tous leurs sens, la vie était vraiment belle. Les virages serrés succédaient aux prises de carre, et ces descentes nécessitèrent toute sa concentration pour qu’il reste bien en contact avec la piste. En sortant de la remontée, alors que le vent les saisissait une fois de plus, elle s’adressa à lui :



Et c’est à toute vitesse qu’elle s’élança, le distançant rapidement. Malgré toute sa bonne volonté, il ne serait jamais en mesure de la rattraper. Au détour d’une courbe il l’aperçut, mais pour la perdre de vue aussitôt.

Lorsqu’il la rejoint enfin, c’est avec grande surprise qu’il la vit en grande conversation. Avec deux personnes. Qu’il identifia rapidement comme étant ses deux amantes. Le cœur ne lui fit qu’un tour.



Elle lui fit un grand sourire. Une conversation animée s’ensuivit, les trois filles riant de bon cœur sous le soleil, splendides dans leurs pantalons serrés de ski.



Les arrangements furent très vite pris. Non, elles n’avaient pas besoin d’apporter quoi que ce soit. Et oui, il leur enverrait un SMS avec l’adresse. Ils savaient tous les trois qu’elles n’en avaient pas besoin, mais maintenant plus que jamais il était important de donner le change. Le groupe se sépara, et c’est en prenant la direction du chalet que la conversation reprit.



Cette phrase, elle l’avait prononcé avec un grand sourire coquin. Il la fixa bien, mais c’est apparemment sans sous-entendus qu’elle l’avait prononcée. Il crut toutefois noter une pointe d’envie lorsqu’elle parla de Sara et Anastasia partageant le même lit. Elle s’élança dans la dernière descente ; avant de la rejoindre, il consulta sa montre : 11 h 31.






En s’approchant de lui, il eut envie qu’elle lui touche la verge. Il en avait envie, mais elle resta à quelques pas et le regarda calmement.



Elle lui sourit et l’embrassa, juste avant de quitter, ses raquettes bien en main.


Son cellulaire émit ce petit son si caractéristique.


12:34 - On t’attend. Ne nous fais pas trop languir.

12:36 - Nous jouons un jeu dangereux.

12:36 - Oui, et tu sais que tu en as envie comme nous.

12:37 - Elle finira par se douter de quelque chose. Pourquoi cette rencontre-surprise ?

12:38 - Tu penses qu’on se passera de sexe avec toi ? C’est une belle occasion.


Un autre SMS arriva :


12:38 - Sara a bon goût. Viens te régaler avec moi.


Il prit une douche chaude et enfila un jeans, une chemise, ses bottes et sa parka. Après avoir enfilé ses gants, il quitta le chalet et refit la même route qu’il avait faite hier au milieu de la nuit. Cet après-midi allait probablement être très agréable…





En approchant de la porte, il la vit entrouverte. Au dernier étage de l’hôtel, il n’y avait que peu de circulation dans le corridor. En la poussant légèrement, il vit que le grand lit était dans le même état qu’hier. Une odeur de parfum et de sexe embaumait la pièce. Des pièces d’équipement de ski traînaient un peu partout, et en observant attentivement il vit aussi, çà et là, des sous-vêtements féminins. Il chercha ses amantes du regard ; elles n’étaient pas visibles. Un petit bruit lui parvint et il vit une main qui cognait sur une fenêtre. Il ouvrit la porte du patio et s’aperçut qu’elles étaient là, bien au chaud dans le spa extérieur de l’unité. Encastré entre les trois murs, c’était un véritable havre de paix. Ou de sexe, selon les occupants. Dans la mousse jusqu’au cou, elles le regardèrent dans le cadre de porte. Sara brisa le silence :



Il se dévêtit et marcha rapidement dans le froid jusqu’au spa. C’est avec un grand bonheur qu’il y pénétra, observant les deux filles qui s’embrassaient maintenant passionnément.



Elles vinrent à lui et se blottirent de chaque côté. Il passa ses bras autour d’elles et savoura le moment. Les cheveux qui reposaient sur ses épaules sentaient bon, et de ses mains il pouvait sentir que ses deux amantes avaient un début de chair de poule. Il leur caressa le haut du corps tout en se reposant. Il sentit deux mains atteindre chacune de ses cuisses et il n’en fallut pas plus pour que sa queue prenne une belle érection.



Sitôt que Sara eut prononcée cette phrase, elle se leva, suivie de près par ses deux comparses. Il ne put s’empêcher d’observer les corps qui s’offraient à lui. Le groupe s’essuya avec une serviette et prit place dans le lit. Sara, bien que visiblement excitée, ne semblait pas vouloir lancer les hostilités. Elle caressait simplement Anastasia, faisant onduler ses mains sur la poitrine de son amie, les laissant parfois vagabonder jusqu’entre les cuisses ouvertes… Le spectacle, tout en douceur, ne le laissait pas indifférent.



Anastasia dit cela avec le sourire, l’excitation bien visible dans les yeux. Son érection était complète, sa queue sautillant de spasmes d’excitation. La brune se tourna alors et se mit à quatre pattes, plongeant son visage dans les draps, faisant jaillir ses fesses. Il se leva et prit place sur le bord du lit.



Et elle l’engouffra. Au complet. Faisant ce qu’il aime tant. En ne tenant que son gland en bouche, elle le branlait, juste assez rapidement. Changeant de main de temps à autre, elle l’avalait alors soudainement, le gardant au complet en bouche, ne bougeant que sa langue. Et au bout de longues secondes, la masturbation recommençait alors qu’une succion s’exerçait sur son gland. Il leva les yeux et aperçut Anastasia, qui avait deux doigts bien en elle. Elle les faisait aller et venir, et son humidité rendait l’opération des plus faciles. Il l’entendait gémir. Son pénis sortit alors de la bouche qui le suçait.



Il n’avait pas cette intention. Il se pencha pour saisir son manteau et en sortit un condom, qu’il tendit à Sara. Pendant qu’elle le lui enfilait, il se pencha et lécha les fesses d’Anastasia. Elle était mouillée à souhait et avait visiblement pris la peine de bien répandre sa mouille sur son anus. Malgré l’incongruité de la situation, il savourait à l’avance la possibilité qu’il avait de sodomiser une femme en ce bel après-midi. Depuis qu’il avait goûté à ce plaisir, il ne pouvait plus s’en passer.

Il tira Anastasia vers lui et lui mit les fesses bien en évidence sur le bord du lit. Il se redressa et, la queue bien en main, la présenta à l’entrée du trou vierge de sa nouvelle amante.



Elle lui embrassa alors l’oreille et se coucha sur le lit à côté d’elle. Son gland touchait maintenant l’anus. Il poussa un peu, et sans trop de difficulté il y inséra le début de sa queue. La nouvelle sodomisée poussa un petit cri et se crispa. Sara le regardait toujours, le désir dans les yeux, les jambes bien ouvertes. Il y glissa même brièvement la main avant de se reconcentrer sur sa tâche. Une fois le gland bien en elle, le reste se fit plus en douceur. Il n’entra pas au complet tout de suite et lui laissa quelques secondes pour s’habituer à cette présence dans son fondement. Lorsque les exclamations de douleur cessèrent et que la respiration d’Anastasia redevint normale, il entreprit un va-et-vient, entrant plus loin à chaque passage. Les sensations que ce cul vierge lui procurait étaient indescriptibles. Douloureuse pour lui au départ, cette pénétration était rapidement devenue une pure extase. Les mains agrippant solidement les draps, elle bougeait au même rythme que lui, ses petits seins se balançant.



Anastasia reposa sa tête dans les draps et ferma les yeux. Sara, qui ne manquait pas un morceau de la scène, se caressait la poitrine et semblait manquer de mains pour toucher tout ce qu’elle voulait toucher au même moment.


La pénétration continua un bon moment, et les gémissements d’Anastasia devenaient de plus en plus lourds et profonds. Juste à l’écouter, il ne pouvait déterminer si elle avait mal ou si elle en voulait plus, mais il ne put arrêter ; et quand il l’entendit, il sut qu’il était en train de lui faire quelque chose qu’elle aimait.



À cet instant précis, elle cria si fort qu’il songea l’étouffer. Tout l’immeuble l’entendait, il en était sûr. Mais son cul était si confortable qu’il la laissa s’exprimer, tout en la limant plus fort. Il commençait à manquer de forces, mais il continuait quand même à la sodomiser. Son orgasme vint par vagues, et lorsqu’elle serra les fesses, il crut que sa queue allait exploser. Elle finit par s’effondrer sur le lit, laissant cette queue sortir de son postérieur.

Reprenant ses esprits, elle sourit, les yeux fermés. Sara vint l’embrasser.



La queue pendante, il enleva le condom car il devait jouir, lui aussi. Il n’en pouvait plus. Il monta sur Sara qui, toujours sur le dos, était bien offerte et glissa sa queue entre ses deux gros seins. Elle les rapprocha alors, l’enfournant bien confortablement dans cet étau de peau bien chaud. Et elle lui fit une des choses qu’il adorait le plus : une branlette espagnole. Il se faisait aller et venir, ne désirant que gicler, sa queue étant tellement tendue qu’elle en était douloureuse. Anastasia approcha alors et vint poser sa tête sur l’épaule de son amie. Et il entreprit alors une valse très agréable : il quittait les seins et insérait sa queue dans la bouche de la brune, qui ne se faisait pas prier pour le sucer. Après plusieurs allers-retours de la sorte, il ne put se contenir plus longtemps et se branla au-dessus des visages enjôleurs.


Lorsqu’il cria son bonheur, il aperçut par la fenêtre de la chambre la silhouette de son épouse, avançant dans la neige, dans les sentiers non loin de l’hôtel. Elle ne se doutait de rien, marchant paisiblement dans la neige, et il se dit qu’il était impératif que ça reste comme cela. Les jets se succédaient, et malgré toute sa bonne volonté, Sara ne put recueillir les deux premiers, qui allèrent choir sur le lit, plus loin. Les deux comparses se délectèrent finalement du restant de la récolte et échangèrent un baiser passionné.


Remarquant qu’il était déconcentré au-dessus d’elle, la queue maintenant pendante, Sara se redressa et observa à son tour par la fenêtre, le sperme coulant lentement sur son visage et sa poitrine.



Il n’eut pas envie d’argumenter et se laissa tomber sur le lit. Il sentit son sperme encore chaud toucher son épaule, et bien rapidement les deux filles vinrent se blottir dans ses bras.



Anastasia sourit de toutes ses dents.



Sara reprit la balle au bond.



Il en avait envie aussi, et commença aussitôt à la toucher, son désir naissant de nouveau. Elle repoussa sa main.



Anastasia tendit le bras en direction de son cellulaire et composa un numéro. Blottie dans ses bras, dégoulinante de sperme, elle finit de composer un numéro et appuya sur le bouton vert. Il aperçut du coin de l’œil le numéro de Karen, et avant qu’il puisse faire quoi que ce soit, elle l’avait en ligne… Elle se mit à discuter avec son amie tout en jouant avec le sperme qui la recouvrait, tendant parfois un doigt par-dessus lui jusqu’à Sara. Cette dernière le gobait et le léchait, n’en laissant pas tomber une goutte. Il écoutait tout en observant…



Elle raccrocha finalement et il les regarda d’un air médusé. Les deux filles se mirent à rire de bon cœur, et il se dit qu’une longue soirée s’annonçait.