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Temps de lecture estimé : 18 mn
21/02/15
corrigé 09/06/21
Résumé:  Après les ébats cachés de la veille, le souper de Noël prend une tournure inattendue, le faisant douter de plus en plus.
Critères:  fh ff extracon collègues vacances fête amour facial fellation cunnilingu préservati pénétratio -extraconj
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 04 / 08
Chroniques d'un séisme annoncé

Résumé de l’épisode précédent : ayant pris la route du chalet pour les vacances, au lendemain cette chaude soirée avec Anastasia, il remarqua que sa femme semblait de plus en plus troublée.

Au détour d’une piste de ski lors d’une descente, la journée de Noël, il remarqua Sara et Anastasia en grande discussion avec sa femme. Mettant le tout sur le hasard – qui n’y était pour rien – ses deux amantes l’avaient retrouvé jusque dans le Nord. Une invitation pour le souper fut bientôt faite, et c’est dans l’après-midi le précédent qu’il eut d’excitants moments avec ses deux maîtresses, tentant de maintenir la confidentialité de sa double vie.



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Les courses avaient été expédiées assez rapidement. Ils avaient quitté les deux filles et s’étaient précipités au village. Rôti de bœuf, ce serait. Ses provisions dans la voiture, il était revenu au chalet où il avait trouvé Karen. Resplendissante, les joues bien rouges, elle venait de rentrer de sa promenade. De la voir comme ça tout épanouie le rendit très heureux.


Sa recette, il la maîtrisait. Cela ne fut donc qu’une question de minutes avant que la pièce de viande, bien apprêtée, fût mise au réfrigérateur. Karen réapparut, propre, vêtue de sa charmante jupe légère en soie. Le pull qu’elle portait finissait de lui donner cette allure de beauté qui lui plaisait tant. Elle se servit une coupe de vin blanc bien frais et prit place sur un des tabourets autour de l’îlot.



Il aurait dû laisser sa voiture au chalet pendant qu’il baisait avec les deux filles. En allant la mettre dans le souterrain sous l’hôtel des filles, il avait pu faire croire à Karen qu’il était parti longtemps. Au point où il en était, il devait jouer le jeu.



La phrase resta en suspens ; il leva les yeux, abandonnant les instruments de cuisine un bref instant. Elle poursuivit :



Il faillit laisser échapper le couteau qu’il tenait.



Il se serait attendu à une invitation, une offre à joindre d’éventuels ébats, mais il n’en fut rien.


Elle alla prendre place dans un des divans et regarda le coucher de soleil, devant le feu crépitant. Il se dit alors que son épouse semblait troublée. Il ne savait pas si c’était dans le bon sens du terme, toutefois. Non, il ne voyait pas d’un mauvais œil qu’elle s’adonne à des plaisirs saphiques avec Anastasia. Mais le contexte entourant son amie et lui le placerait à coup sûr dans une position délicate. Il conclut de traverser le pont lorsqu’il en serait à la rivière et disparut en direction de la douche.



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Les deux filles étaient arrivées à l’heure prévue, et c’est avec un plaisir sans équivoque que Karen les accueillit. Elles passèrent rapidement au salon et une visite de la maison s’ensuivit pendant qu’il servait les apéros. Il les regarda disparaître à l’étage. Les jupes d’Anastasia et de Sara, bien que d’une longueur socialement acceptables, les rendaient encore plus craquantes ; et comme si elles s’étaient donné le mot, elles portaient toutes les deux un chemisier blanc épousant avantageusement ces formes qu’il aimait tant. Il ne put s’empêcher de penser qu’il y avait pire compagnie pour passer la soirée de Noël.

De retour au salon, une conversation animée prit place.



Elle nomma sa firme. Karen sembla être surprise.



Elle le regarda alors, et les deux filles firent également de même.



Si elle savait… Bien sûr qu’ils s’étaient déjà rencontrés. Après une longue journée de réunion, elle était venue le voir dans son bureau pour signer plusieurs documents. Ils s’étaient plus au premier coup d’œil, et il ne fallut pas bien longtemps avant qu’il se retrouve à quatre pattes devant son propre bureau, en train de lécher celle qu’il ne connaissait pas douze heures auparavant. Il avait tout de suite adorée sa grande sensualité et ses regards coquins. La porte fermée, alors que ses employés se trouvaient de l’autre côté, ils avaient par la suite baisé comme de vieux amants avant de se réajuster et d’aller rejoindre le reste des participants à ces réunions, soudainement plus complices.

Il répondit en premier, sans toutefois trop se précipiter.



Sara lui lança un regard complice, et à ces souvenirs, pendant que les filles continuaient de discuter, il fut pris d’un début d’érection très agréable, lui procurant de folles envies. Qu’il se força toutefois à réprimer, car maintenant n’était pas le moment.

Le four émettait de plus en plus une odeur qui donnait faim à tous les convives, et c’est avec un grand appétit qu’ils prirent place autour de la grande table. Karen indiqua à Anastasia de s’installer en face d’elle, ne laissant d’autre choix à Sara que de s’asseoir face à lui.


Ils vidèrent plusieurs bouteilles tout en se délectant des mets. La viande, rosée à point, combla les appétits et le vin délia les langues. Ces quatre adultes que tout et rien unissait à la fois discutaient de tout et de rien. Les rires des trois femmes étaient bien agréables à entendre, et si ce n’était du contexte, il aurait pu apprécier pleinement la soirée. Mais une petite partie de son esprit restait néanmoins sur ses gardes.


Sara mentionna qu’elle devait aller aux toilettes et quitta la tablée, emmenant avec elle son sac à main. Il se redressa et prit la bouteille pour remplir une fois de plus les coupes qui se vidaient si rapidement. Au moment où il reprenait place, son cellulaire vibra dans sa poche. Il le sortit et le consulta.


21:07 - J’ai envie de toi. J’en mouille.


Une photo suivait, sur laquelle Sara était bien visible dans le miroir de la salle de bain, le chemisier remonté sur ses seins nus. L’érection qu’il eut à ce moment vint très rapidement, et ce n’est qu’en ajustant sa position sur la chaise qu’il put la calmer.



Karen se remit aussitôt à discuter avec Anastasia, ignorant la nature des SMS.


21:08 - Moi aussi. Mais arrête, là. Ce n’est pas possible…

21:08 - Viens. Trouve un prétexte.

21:09 - Non. Reviens.

21:10 - Je vais juste mettre ta queue dans ma bouche, quelques secondes, et on y retournera.

21:11 - RE-VI-ENS


Sara revint prendre place à table quelques minutes plus tard, souriante, et immédiatement un autre sujet de nature féminine prit le dessus. Il écoutait d’une oreille distraite, son excitation l’empêchant d’être complètement attentif. Jusqu’au moment où Karen posa une question qui allait déclencher une suite d’événements :



Un éclat de rire résonna dans la pièce, et il se força à rire aussi. Elle n’allait pas oser parler de lui en ce moment. Elle ne pouvait pas oser.



Anastasia intervint à ce moment. Avant de parler, elle tendit la main sur la table jusqu’à celle de Karen et la saisit. Celle-ci, de plus en plus rouge, abandonna le regard de Sara et fixa son amie.



Karen rougit, laissant sa main dans celle d’Anastasia.



Anastasia venait-elle réellement de dire cela ? Il se dit alors que cette conversation, bien qu’excitante, ne pouvait pas vraiment prendre place. Comment cela était-il possible ?


Les conversations se poursuivirent, et plus la soirée avançait, plus il était évident que Karen n’avait d’yeux que pour Anastasia. Les regards étaient de plus en plus persistants, et il se dit que l’alcool ne pouvait pas être le seul responsable. Karen paraissait de plus en plus troublée, hésitant de manière apparente, semblant se laisser aller de plus en plus à ses envies et ses désirs.


Anastasia laissa échapper alors son ballon de vin dont le contenu se renversa sur son chemisier. Elle se confondit en excuses et essaya de tout essuyer avec sa serviette de table. Rien n’en fit car, commençant à devenir ivre, elle ne put rien faire contre le déluge de Saint-Émilion. Karen la rassura en lui disant que ce n’était pas grave et qu’elle pouvait lui prêter une tenue pour la suite de la soirée, ce qu’elle accepta. Elles disparurent à l’étage en riant. Il prit alors conscience du regard que Sara, doucement, maintenait sur lui.



Il prit une gorgée de ce vin qu’il aimait tant, et c’est à ce moment-là qu’elle mit un pied sous la table, entre ses deux jambes, palpant son érection du bout des orteils. Il repoussa doucement l’attouchement.



Elle le fixa alors pendant qu’il s’allumait une cigarette et qu’il en prenait de très longues bouffées. Pendant qu’il fumait, elle sirotait son vin. Il avait très envie d’elle mais il devait réprimer cette envie. Il y a des limites à ne pas dépasser.



Sa dernière réponse vint très vite et un peu plus fort que les précédentes. Elle se contenta alors de le regarder avec un sourire. Il crut même déceler une pointe de bienveillance. Il se dit alors que ça commençait à faire un bout de temps qu’elles avaient disparu à l’étage.



Bien honnêtement, à ce moment, il ne sut pas quoi répondre. S’il était pleinement satisfait dans son couple, il n’aurait probablement pas eu besoin d’aller voir ailleurs. Pourtant, il était là, le soir de Noël, en train de discuter avec son amante pendant que sa femme était à l’étage avec son amie, occupée à il ne savait trop quoi.


Curieux, il prit alors le chemin de la chambre, et à peine eut-il mis les pieds en haut de l’escalier qu’il aperçut le chemisier d’Anastasia par terre. Il poursuivit son chemin et entrouvrit la porte. Dans la chambre parfaitement éclairée, il vit sa Karen, la tête bien enfouie entre les cuisses de la brune qui, elle, portait encore sa jupe, mais complètement relevée jusqu’à la taille. Il l’observa alors qu’elle la léchait avec une gourmandise encore jamais vue. Anastasia, les mains sur sa poitrine, savourait ce traitement qu’elle recevait en poussant de longs râles. Son érection se fit de nouveau sentir, et bien que troublé par la situation, il commença à défaire sa ceinture, perdant le contact avec le monde qui l’entourait.



Il s’approcha alors du visage de Karen, à quelques centimètres de l’entrejambe d’Anastasia. Son épouse le regarda, et les lèvres bien humides, elle l’embrassa. Pendant ce baiser, il put sentir l’odeur chaude de la chatte de la belle brune tandis que l’amante de sa femme se contentait de les regarder.



Il crut alors que son monde s’écroulait. Bien qu’excité, il voulait participer et supportait difficilement d’être repoussé de la sorte.



Il se redressa et quitta la chambre, refermant la porte sans trop savoir pourquoi. Juste avant de partir, il eut le temps d’apercevoir son épouse replonger dans la chatte chaude qui lui était offerte, faisant rugir Anastasia de bonheur. Cette dernière le fixait alors qu’il sortait de la chambre.

Il descendit les marches, sonné, et alla se servir un verre qu’il s’enfila d’un trait. Il sentit la présence de Sara derrière lui ; elle vint se blottir contre son dos.



Elle descendit les mains vers sa queue qu’elle palpa et voulut descendre son pantalon. Il l’arrêta.



En un rien de temps, ils furent habillés et, animés d’un désir commun, l’esprit un peu embrouillé par l’alcool, ils prirent la direction du condo des deux filles.



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À peine furent-ils arrivés que les vêtements disparurent, et c’est couché entre les jambes de Sara qu’il commença son exploration. Il avait toujours adoré son goût, légèrement sucré, et juste à la bonne température. La première fois qu’ils avaient couché ensemble, c’est la lécher qu’il avait préféré. Dans son bureau, à l’heure du lunch il y a quelques années, là où tout avait commencé.

Elle arrêta de gémir subitement et repoussa sa tête de ses deux mains.



Il sentit sa tête vibrer. Il apprenait que sa femme le trompait depuis toutes ces années avec une femme, alors qu’il se trouvait lui-même en train de la tromper.



Elle lâcha la tête de son amant et il cessa de penser à ce qu’il venait d’apprendre. Il replongea alors goulûment dans la chatte chaude, s’en régalant. Lorsqu’elle commença à respirer plus fort, il inséra deux doigts, et tout en la doigtant il les replia vers le haut. Elle ondula alors du bassin jusqu’au moment où elle se cambra et jouit fortement, l’emprisonnant entre ses jambes. Ce n’est que de longues minutes plus tard qu’elle le libéra et qu’ils se couchèrent côte à côte.


Le cellulaire de Sara émit un son ; elle le consulta, esquissant un petit sourire. Elle tendit le bras et il prit son cellulaire ; il vit alors une photo de Karen, bien occupée à lécher Anastasia. Les yeux clos, la langue sortie, ses cheveux blonds en bataille.


23:07 - Merci d’être partie. Tu es gentille. Je suis en train d’avoir une des plus belles nuit de ma vie. Merci, beauté.


Il déposa le téléphone sur la table de chevet.



Elle se leva alors et vint se pencher en avant sur le divan de la chambre, les bras en appui sur celui-ci et les fesses bien en valeur.



Il se leva et se pencha pour lui lécher les fesses dans cette position tout en se masturbant de l’autre main. Lorsque sa queue fut dure de nouveau, il chercha des mains un condom. Elle le sentit.



Il se dit alors qu’il n’avait pas de raisons de refuser et qu’il avait bien envie de la remplir lui aussi. Il se releva, présenta sa queue à l’entrée de son vagin et s’y inséra très lentement. Lorsqu’il fut bien au fond, il lui saisit les hanches et commença à la baiser. Il ne se souvenait pas de l’avoir prise si fortement, mais lorsqu’il entendit ses cris d’encouragement, il sut qu’il n’était pas le seul à apprécier la situation. Ses cheveux pendant, ses seins bougeant au rythme de la pénétration, il était vraiment en train d’expérimenter les baises telles qu’il les aimait. Il donnait des coups si puissants que le divan bougeait, et ce n’est que lorsque Sara s’effondra, épuisée, après sa jouissance qu’il ralentit et qu’il quitta cet antre de bonheur, la queue toujours bien droite.



Il la poussa sur le lit où elle se positionna sur le ventre. Il grimpa sur elle, colla ses deux jambes, mit ses cuisses de chaque côté et la pénétra de cette manière. Les mains bien en appui sur le lit, il la pistonna littéralement de tout son long pendant qu’elle lui disait de continuer. Il se surprit même à tirer ses cheveux vers l’arrière pour lui relever la tête. Elle grimaçait de plaisir et se laissait faire, savourant chaque coup, chaque caresse, chaque parole. Il l’embrassait dans le cou, le mordillant de temps à autre, ce qui lui arrachait de petits gémissements.



Il poussa alors sa queue encore plus loin que les fois précédentes, la maintenant bien en place, serrant ses seins à pleines mains, prenant une grande respiration pour bien humer son doux parfum.



Ce n’est que lorsqu’il sentit la main de son amante s’aventurer sous son ventre et rejoindre son clitoris qu’il ne fut plus capable de se retenir. Il donna un dernier coup et commença à gémir au moment où Sara était secouée des soubresauts de sa propre jouissance. Il éjacula longuement en elle.

Souriants et repus, ils se blottirent dans le lit.



Ils tombèrent assoupis, et au bout d’un certain temps qu’il ne put évaluer, le son d’un cellulaire se fit entendre. Ce n’était pas le sien.

Sara, encore endormie, fit glisser l’icône de l’écran de veille et lut, puis elle lui relut à voix haute :


02:13 - Karen pense qu’il est couché au sous-sol. J’imagine que ce n’est pas le cas. Peux-tu lui dire de revenir pour 8 heures ? Je la tiendrai occupée jusque-là.



Ils s’endormirent, collants de sueur et de plaisir, le sourire sur le visage.



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Au petit matin, en ce lendemain de Noël, il s’éveilla et sans faire trop de bruit s’habilla et prit la direction de sa demeure. Cette nuit de plaisirs lui avait fait le plus grand bien, mais il se questionnait en même temps sur les intentions de sa femme. N’étaient-ce que des aventures, ou voulait-elle finalement plus après toutes ces années ? Toutes ces fois où il n’était pas à la maison, il se dit qu’elle n’était finalement peut-être pas au bureau. Toutes ces fois où ils se disaient qu’ils s’aimaient, le pensait-elle vraiment ? Mais qui était-il pour juger ? N’avait-il pas lui-même prononcé ces mots à de multiples reprises alors qu’il venait de baiser avec sa maîtresse quelques minutes auparavant ?


En entrant chez lui, il vit Anastasia en train de déjeuner. Seule.



Le chat sortait du sac. Il ne voulait effectivement pas qu’elle sache comment il avait meublé sa nuit. Il aurait alors pu lui dire qu’il savait qu’elle s’envoyait sa femme depuis une décennie et qu’elle était mal placée pour les jugements de valeur, mais décida de garder cette carte dans son jeu.



Elle partit sur ces paroles, lui adressant un sourire, sans demander son reste. Il se fit à son tour un café bien tassé qu’il accompagna d’une cigarette. Lorsque les deux furent terminés, il monta à l’étage et vit sa femme qui dormait, nue. Par terre, les vêtements de la veille gisaient partout. Son pied heurta quelque chose pendant qu’il avançait vers le lit : un gode rose. Long d’une vingtaine de centimètres, il était accompagné d’une ceinture en cuir. Mais d’où cela pouvait-il bien provenir ? Il prit place sur le bord du lit et posa sa main sur l’épaule de Karen ; elle ouvrit les yeux.



Son cellulaire sonna. Un rapide coup d’œil lui indiqua que c’était le bureau.



Sa secrétaire lui apprit alors qu’un dossier d’envergure, un de ceux qu’il se gardait pour lui, nécessitait son attention immédiate.



Il raccrocha.



Elle se tourna alors dans le lit et il quitta la chambre.


Au moment où il venait de rejoindre la route principale, son cellulaire sonna de nouveau. Il se gara sur le côté, désirant pouvoir communiquer en toute tranquillité.


11 :14 - J’ai bien aimé notre nuit. Anastasia et moi sommes en route pour la ville. J’ai hâte de te revoir.

11:15 - Moi aussi. Troublant et dangereux, tout cela. Mais excitant.

11:16 - À qui le dis-tu…

11:17 - Je me pose des questions…

11:17 - Moi aussi.

11:17 - J’ai envie de toi. De te prendre.

11:18 - J’en ai envie également. Envoie-moi un SMS à ton retour.


Il se dit qu’ils reverraient beaucoup plus tôt qu’elle semblait le croire. Inconsciemment, sa vie s’effondrait mais il se surprit à ne pas trouver cela nécessairement triste.


Il reprit la grande route et se dit que sa vie était en train de changer. Il avait toujours voulu mener une double vie, mais il n’était plus sûr d’en avoir ne serait-ce qu’une seule en ce moment… Bien que très excité par les événements récents, il ne pouvait enlever de sa tête l’idée que ce qui le bouleversait, dans le fond, n’était peut-être que le fait, pour la première fois de sa vie, de ne pas pouvoir complètement contrôler une situation.