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Temps de lecture estimé : 20 mn
25/02/15
Résumé:  En pleine réflexion sur sa vie personnelle, il est de retour en ville et sa relation avec Sara prend un nouveau tournant lors d'une soirée dans un club...
Critères:  f fh couple couplus extracon extraoffre cadeau inconnu nympho boitenuit telnet amour fmast fellation préservati fsodo échange partouze
Auteur : Sweetguyqc            Envoi mini-message

Série : Du plaisir interdit

Chapitre 05 / 08
Intermède et réflexion

Résumé de l’épisode précédent : lors du réveillon de Noël, Karen a fait le choix de rester seule avec Anastasia pendant que, légèrement sous le choc, il s’éclipse avec Sara. Un problème au bureau le ramène précipitamment en ville.



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Il avait été soulagé de voir que le problème qui avait nécessité un retour au bureau d’urgence avait pu finalement se régler en quelques heures. Un gros dossier, mais son équipe restreinte et lui avaient finalement pu arranger la situation, à la satisfaction de tous. Immédiatement après, il avait libéré tout le monde pour un retour bien mérité aux vacances.


Mais il n’avait pas le goût de retourner dans le Nord. Se savoir trompé le laissait perplexe. Bien sûr, il était mal placé pour protester, mais il ne s’était pas attendu à ce que Karen lui rende la pareille. Il ne lui avait jamais vraiment été fidèle, tout au long de leur union. Mais la répétition de ces actes adultères en avait fait inconsciemment une chose qu’il en était venu à considérer comme normale.


C’est donc avec des sentiments mitigés qu’il appela finalement son épouse, assis derrière son bureau, un verre à la main.



Il raccrocha et prit une gorgée. La prochaine semaine pourrait lui permettre de réfléchir, mais avant cela il avait envie de voir Sara. Il la contacta par SMS. Après tout, la vérité était venue par elle.


18 : 12 - J’ai envie de te voir.

18 : 13 - Quelle belle surprise ! Mais tu es un peu loin.

18 : 13 - Non, je suis en ville.

18 : 14 - Ah oui ?

18 : 14 - On peut se voir seuls ?

18 : 15 - Oui. Je ne sais pas où est Anastasia. Mais j’imagine que ça a un rapport avec le fait que tu n’es plus dans le Nord, non ?

18 : 16 - Chez moi, ça te va ? 20 : 00 ?

18 : 17 - Oui, j’y serai.


Si Anastasia était retournée voir sa femme dans son chalet, il se sentait après tout bien fondé d’inviter sa maîtresse chez lui. Il avait envie de prendre une femme.



Il observa sa secrétaire lui tourner le dos et se dit qu’elle ne perdait rien pour attendre. Il faudrait bien vérifier, un jour, si ces sourires coquins et ces tenues sexy n’étaient que le fruit du hasard ou un plan volontaire pour le faire craquer.



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Lorsqu’il entra chez lui, c’était accompagné de sa maîtresse qu’il avait croisée dans la rue. Elle venait de stationner sa voiture lorsqu’il passa à côté d’elle et il se trouva chanceux d’avoir une femme si belle avec lui ce soir, au moment où il ne se sentait pas à son meilleur. Ils prirent plaisir à marcher ensemble et elle se serra bien confortablement contre lui. Il prit son manteau, le rangea et ils passèrent au salon. Elle lui servit un verre et vint s’assoir à ses côtés. Et mit sa main sur sa queue. Comment pourrait-il un jour se passer d’une femme qui était aussi directe et ouverte à ses envies ?


Elle défit la fermeture et prit son sexe en main. Sans un mot, elle se mit à le branler. Verre en main, il savourait chacune des secondes qui passaient. Le souffle chaud se rapprocha de son gland et elle le prit enfin en bouche. Tout en sensualité, elle le fit coulisser, prenant bien soin de l’humidifier à souhait. Après quelques passages, elle prit dans sa poche de tailleur un petit gant de soie qu’elle décida d’enfiler, tout gardant le sexe en bouche. Un sourire apparut sur son visage. Elle savait bien qu’il adorait se faire branler dans une main gantée de soie. Et cette branlette devint encore plus délicieuse à la seconde où elle posa de nouveau sa douce main sur sa queue. Levant les yeux, elle l’observait tout en continuant son doux mouvement, lui murmurant de très excitantes paroles. Lorsqu’elle le sentit venir, elle le reprit en bouche. Il éjacula et elle avala. N’en manquant pas une goutte, elle déglutit toute son éjaculation. S’il avait pu payer une fortune en ce moment pour ne pas sortir de cette bouche, il l’aurait fait. Ainsi, c’est avec regret qu’il la sentit retirer tranquillement sa queue de sa bouche. Elle vint l’embrasser et reprit sa place à ses côtés, retirant son gant.



Et là, elle marquait un point. Si lui avait pu le faire, pourquoi pas elle ? Toutes ces fois où il avait inventé des réunions de dernière minute et des voyages d’affaires, il ne lui était pas venu à l’idée qu’elle pourrait le tromper avec un autre homme. Mais le problème était là : c’était avec une femme !



Il la fixa. Elle rougit.



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Il avait voulu prendre sa voiture mais elle avait insisté pour que ce soit un taxi. Assis à l’arrière, il regardait les rues du centre-ville défiler et bien qu’il connaisse le secteur de l’adresse qu’elle avait donnée au chauffeur, il n’en savait pas plus. Elle avait été discrète, et n’avait pas voulu répondre à ses questions. En jupe courte et tailleur, sous un grand manteau, elle était splendide. Il regretta de ne pas avoir pris un verre de plus avant de quitter la maison. Il en aurait eu besoin.


Le chauffeur les laissa derrière un bâtiment industriel, dans une ruelle mal éclairée. Il paya et ils sortirent. Le taxi disparut dans la nuit.



Elle présenta une carte magnétique devant une porte qui se déverrouilla et elle la tira, lui faisant signe d’entrer. À l’intérieur, des vitres sans tain des deux côtés d’un corridor qui menait à une autre porte. Lorsque la première porte fut close, la deuxième s’ouvrit, et c’est dans un vaste lobby qu’ils apparurent. Il n’en croyait pas ses yeux. Le plancher semblait être en marbre et des boiseries couvraient tous les murs. Elle le tira par la main et se présenta au bureau. Un homme d’âge mûr les accueillit.



Le maître d’hôtel regarda Sara, puis il le fixa.



Ils s’éloignèrent un peu et il lui prit le bras pour la faire se retourner.



En se retournant, il aperçut un magistrat connu marcher vers la sortie, en charmante compagnie. Il leur adressa un sourire et il le salua en s’adressant à lui par son titre. La salutation lui fut retournée et il disparut dans le corridor qu’ils venaient de quitter.



Son sourire finit de l’exciter. Dès que leurs vêtements d’extérieur furent aux vestiaires, le majordome leur ouvrit la porte, et c’est dans un très long corridor qu’ils débouchèrent. Tout respirait le luxe, et des peintures hors de prix étaient aux murs. Tout en le tenant par la main, elle le guida dans le corridor et ils passèrent une longue série de portes capitonnées. Les portes étaient numérotées, tout simplement.



Arrivés devant la 7, il ouvrit la porte. Elle s’amusa de son air retenu, car cela n’était pas son habitude.


À l’intérieur, un vaste salon, du style des salons-fumoirs très à la mode. Des tables rondes autour desquelles étaient disposés des fauteuils de cuir vert attendaient les convives. Dans la pièce se trouvaient majoritairement des hommes, mais aussi quelques femmes. Principalement plus vieux qu’eux, mais quelques convives étaient de sa génération. Des visages se retournèrent sur son passage, mais se détournèrent bien rapidement. Un homme, en complet sombre, leur indiqua une table et tira une chaise pour Sara. Une fois assis, il voulut commander un verre mais l’employé réapparut avec un gin-tonic qu’il déposa devant elle et un verre à fond profond de scotch fut déposé devant lui. Il en prit une gorgée.



Il tourna la tête, et ce faisant il s’aperçut que le volume des voix des autres personnes s’était tu. Le mur du fond de ce salon était éclairé sur un tiers de sa surface, et tous les yeux étaient tournés dans cette direction. À l’intérieur, un grand lit, complètement fait comme dans les meilleurs hôtels. C’était littéralement une chambre, richement meublée. Il tâta la poche de son veston à la recherche de son paquet de cigarettes, mais une boîte en bois apparut devant lui. À l’intérieur, un rang de Dunhill soigneusement disposé. L’employé referma la boîte dès qu’il en eut pris une et l’alluma avec un Zippo doré. Dès qu’ils furent de nouveau seuls, il regarda Sara.



Dans la chambre, que tous dans le salon observaient, une femme entra. Visiblement dans la cinquantaine, mais admirablement bien formée. Complètement nue, elle se coucha sur le lit, sa voluptueuse poitrine bien en vue, et très exactement treize hommes entrèrent. De toutes les couleurs et de tous les âges, et ils étaient également nus. Placés autour du lit, ils se masturbèrent, la regardant se toucher. Les verges s’allongeaient au rythme des attouchements et un premier homme s’approcha du visage de la femme. Par petits jets, il aspergea le visage de la receveuse qui sortait la langue. Et un incessant ballet d’éjaculations s’ensuivit. À tour de rôle, ils se présentèrent devant son visage et y laissèrent le fruit de leurs orgasmes. En à peine dix minutes, tout fut terminé et les hommes partirent. Une jeune fille vint porter une serviette à la dame qui la saisit et s’essuya tout en quittant la pièce, sans précipitation et tout sourire.


Dans son pantalon, son pénis était douloureux de dureté.



Il éteignit sa cigarette et finit son verre. Un autre réapparut aussitôt.

Autour d’eux, la salle se vidait, petit à petit.



Il fit signe à l’employé et il se présenta à eux. Sara demanda « la carte » et il lui ramena un grand carton qu’elle lui tendit.


Salle 1 : Ébats en couple.

Salle 2 : Ébats en couple.

Salle 3 : Ébats comprenant de 3 à 5 convives.

Salle 4 : Ébats comprenant plus de 5 convives.

Salle 5 : Ébats anaux.

Salle 6 : Ébats anaux.

Salle 7 : Éjaculations corporelles.

Salle 8 : Ébats lesbiens.

Salle 9 : Ébats lesbiens.

Salle 10 : Ébats gays.


Il était médusé par ce qu’il y lisait.



Elle le prit par la main et ils quittèrent le salon au moment où un autre spectacle débutait.



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Ils aboutirent devant une autre porte à l’autre bout du corridor, et lorsqu’ils furent à un mètre d’elle, elle coulissa de côté. Un homme les salua et Sara lui laissa son tailleur, restant en chemisier. L’homme lui souhaita un bon moment et il lui indiqua de passer par une autre porte. Elle s’avança et l’embrassa.



À l’invitation de l’homme, il pénétra dans un couloir feutré, parallèle à celui qu’il avait vu lorsque la porte par laquelle Sara avait disparu s’était ouverte.


Une série d’une douzaine de cloisons séparait autant d’espaces et un autre employé lui indiqua l’un d’eux. Une table basse, sur laquelle l’attendait un verre, et un fauteuil en cuir composaient l’ameublement. La particularité des lieux était qu’il voyait tout ce qui se passait de l’autre côté. Deux femmes, à genoux, faisaient face à la cloison opposée, et à voir leurs mouvements, elles étaient occupées à prodiguer de chaleureuses fellations. Mais à qui ? Il les voyait mais elles faisaient face à un mur. Il les observa l’espace de quelques instants et réexamina le mobilier de son antre. Et c’est alors qu’il vit un trou de 7 à 8 centimètres de diamètre à environ un mètre vingt du sol. Était-ce possible ?


Il vit une très légère lumière verte s’allumer au plafond sur la cloison de l’autre côté et il aperçut Sara s’y diriger, marchant à pas feutrés. Elle observait partout autour d’elle et finit par se mettre à genoux devant la lumière. Elle tapa sur la cloison et une queue, plus petite que la sienne mais bien bandée, y fit son apparition. Elle la prit immédiatement en main et l’observa. Sans plus tarder, elle commença à la branler. À sa grande surprise, il appréciait d’être témoin de cet ébat.


Il vit alors une splendide rousse, grande et élancée, marcher le long de sa cloison. Elle observa Sara, puis les deux autres femmes déjà agenouillées. La rousse s’arrêta finalement à la hauteur de son trou et frappa délicatement de sa jointure le verre. L’air gourmand, elle attendait. En levant les yeux, il vit alors la même lumière verte que de l’autre côté, et il comprit.


Il baissa son pantalon et son boxer, et sans plus réfléchir, inséra sa queue bien droite dans le trou. La rousse eut un petit mouvement de recul en voyant sa grandeur apparaître et y déposa ses doigts. La douceur de sa main lui fit le plus grand bien, et lorsqu’elle commença de très vagues mouvements de va-et-vient, il faillit défaillir. Sa queue toujours en main, elle se mit lentement à genoux, et après l’avoir observée une dernière fois elle l’avala. La moiteur et la chaleur de sa bouche lui firent presque perdre l’équilibre et c’est alors qu’il remarqua deux poignées recouvertes de velours auxquelles il s’agrippa. En complet cravate, il était en train de se faire sucer par une inconnue qui ne le voyait pas. Lui, il la voyait très bien ; ses cheveux roux bougeaient à un rythme maintenant devenu effréné. Ce n’était pas nouveau qu’il adorait se faire sucer, mais il y avait quelque chose de divin à se faire sucer à l’aveugle de la sorte, avec la conséquence qu’il sentait son plaisir venir très rapidement.


En levant les yeux, il aperçut Sara toujours affairée sur la queue, et c’est en la branlant avec vigueur avec des yeux d’envie qu’elle réussit à faire venir son amant inconnu. Elle recula un peu la tête et il vit qu’elle se laissa couvrir le cou de sperme. Pas en très grande quantité, mais cela sembla lui faire plaisir. Lorsqu’elle eut terminé, la queue disparut et elle se releva. Un employé apparut avec une serviette qui paraissait chaude, et Sara la saisit pour se nettoyer. Ce faisant, elle fixait la vitre derrière laquelle il se trouvait, et de temps à autre son regard s’abaissait sur la rousse qui l’astiquait.


Il ne la connaissait pas, mais elle savait y faire. Sara disparut derrière une porte mais il n’en eut pas vraiment connaissance, se concentrant sur la bouche chaude de sa bienfaitrice. Il sentit finalement qu’il allait venir et se laissa immédiatement aller. Il serra les poignées aussi fort qu’il le put et se sentit comme pris dans un tourbillon de bonheur. Lorsqu’elle sentit la première giclée, elle sortit sa queue de sa bouche et le masturba devant son visage. Son orgasme le laissa sans voix et il ne put même pas crier, paralysé par sa jouissance. Des lignes de sperme se tracèrent sur les joues de la rousse, et la dernière aboutit sur son front. Lorsque ce fut terminé, il se retira du trou et tomba sur le divan. Il se sentait bien, et c’est dans cet état qu’il observa la rousse se relever et murmurer un « merci » en direction de la baie vitrée.


Il finit son verre et se réajusta avant de reprendre la direction du corridor. À l’autre bout, une porte, qu’il ouvrit. Sara l’y attendait, un grand sourire sur les lèvres.


Sa montre émit un son. Celui de la journée qui se terminait et qui passait à la suivante.



Il hocha de la tête et une dernière porte s’ouvrit. Et derrière elle, ce qu’il y vit le renversa.


Une grande pièce, encore une fois très richement meublée, comprenait en son centre plusieurs tables. Des lumières sur chacune d’elles tamisaient les visages des convives qui y prenaient place. Autour de ce grand espace, sur trois murs étaient disposés d’immense matelas. Comme si ces matelas ne formaient qu’un seul grand espace hémisphérique. Mais la chose qui le frappa surtout, ce fut les activités qui s’y déroulaient. Des scènes de copulation plus ou moins hard y prenaient place. En avançant lentement dans la pièce, suivi de Sara qui le laissait explorer, il vit un homme se faire sucer par une femme alors qu’il tenait la main d’une autre, qui elle se faisait sodomiser en levrette. « Tu aimes, mon amour ? » entendit-il le sucé dire à celle qu’il comprit être sa femme. Plus loin, un grand nombre de belles femmes se caressaient, ne semblant pas avoir besoin de la présence d’un homme.



Ils prirent vite place à une table, et une fois assis il observa la table voisine. Un homme s’y tenait seul, mais la queue bien sortie du pantalon. Et en baissant un peu le regard, il vit une femme, blonde aux seins volumineux, qui lui prodiguait une fellation. L’homme, quant à lui, gémissait un peu en observant le spectacle qui l’entourait.


Il se sentait si déboussolé qu’il n’avait pas encore atteint de nouveau sa pleine érection. Son cerveau devait assimiler beaucoup d’informations nouvelles.



Elle lui fit un regard coquin et sortit son cellulaire de sa sacoche.



Il hésita, mais acquiesça finalement.


00 : 09 – Désolée, Sa. Je resterai avec Karen quelques jours encore. Mais j’imagine qu’il n’est pas en peine non plus, hein ? Je ne sais pas comment cela tournera, mais je me concentre sur le présent, en ce moment. Bisous.


Il trouva la situation triste. Il n’avait pas eu de nouvelles récentes d’elle, et il comprenait maintenant pourquoi. Ne lui avait-elle pas dit la dernière fois qu’ils s’étaient parlé qu’elle l’aimait ? Mais il ne fut pas en mesure d’être triste longtemps. Cela s’expliquait aisément, juste par la nature du spectacle qui l’entourait. Et lorsqu’il entendit quelqu’un déglutir, il se tourna. La blonde sous la table de son voisin avalait visiblement l’orgasme de celui-ci qui lui tenait la tête. Elle eut quelques difficultés, mais sembla bien s’acquitter de sa tâche. Elle ressortit alors de sous la table et réajusta sa robe. Elle fit un sourire à l’homme qu’elle venait de rendre heureux, puis fit un clin d’œil à l’homme qui l’observait. Il ne pouvait la quitter des yeux. Elle s’approcha de Sara et lui murmura quelque chose à l’oreille. Celle-ci rit et lui répondit « Peut-être tout à l’heure. » La blonde repartit en leur souriant et disparut.



Il se leva et l’embrassa, la fixant bien, et tourna les talons en direction de la promenade qui bordait la section plus intime. Le quatuor de tantôt n’y était plus, mais les femmes y étaient encore. Il pouvait très clairement en compter cinq, les jambes entremêlées et les mains vagabondes. Elles étaient très belles, mais lorsqu’il s’approcha, l’une d’elles lui fit signe de la tête. Bien qu’occupée à faire jouir une de ses amies, elle s’adressa à lui :



Bonne soirée ? Il sourit intérieurement en se disant que c’était assez ironique comme réponse, mais qu’il n’avait pas trouvé mieux.


Il vit par la suite deux hommes, légèrement bedonnants, en train d’honorer les deux trous d’une femme d’âge mûr. Elle émettait de très forts sons, et à voir les visages crispés de ses amants, ils ne semblaient plus en avoir pour très longtemps. S’il avait voulu se joindre au trio, il n’aurait pu que se faire sucer encore une fois, les autres orifices étant occupés. Il avait envie de plus et continua son chemin.


Au détour d’une alcôve, dans une section de matelas inoccupée, il croisa la femme blonde qui avait parlé à Sara un peu plus tôt. Elle resta immobile en l’observant et il la détailla du regard. Elle sourit. Elle était d’une taille moyenne, avec une poitrine parfaitement proportionnée et des hanches invitantes. Elle releva sa robe sur sa taille, et il aperçut un porte-jarretelles. Ce qu’il vit surtout, c’est qu’elle ne portait pas de culotte et que sa chatte était parfaitement glabre. Détournant le regard un instant, il chercha Sara du regard et la vit. Elle s’était déplacée et s’installait dans un fauteuil à quelques pas d’eux. Elle le rassura du regard et lui souffla un baiser. Il sourit et tourna la tête de nouveau. La blonde, la robe toujours relevée, s’était mise à quatre pattes sur le matelas et, les fesses cambrées, attendait dans cette position. Il vit alors une main caresser sa chatte et y insérer un doigt.



L’employé qui venait de lui dire cela disparut comme il était venu, et il vit une boîte de bois comprenant plusieurs enveloppes de préservatifs, ainsi qu’une petite bouteille de lubrifiant destinée, selon l’étiquette, à faciliter la pénétration anale. Maintenant terriblement excité, il se déshabilla et dégagea sa queue de nouveau bien droite. Il vit aussi Sara qui n’en manquait pas une miette. Elle avait glissé une main sous sa jupe, et se doigtait, les yeux mi-clos.


Il saisit un condom et en déchira l’enveloppe de ses dents. Il déroula le latex sur sa verge et s’approcha de sa proie. Cette inconnue aurait ce qu’elle voulait. Il ne savait rien de ses préférences, mais ses envies à lui venaient de prendre le dessus. Elle avait envie de se faire baiser, et lui de la baiser. Cette relation anonyme le fit sourire.


Il saisit la bouteille de lubrifiant, et en laissa tomber un filet entre les fesses de la blonde. Elle frissonna au contact du liquide froid mais continua de se caresser et vint l’étaler sur son anus, ne laissant plus aucun doute sur ses intentions en ce qui concernait l’acte à venir. Il approcha alors sa queue et la positionna contre sur le petit trou. Les fesses offertes ressortaient dans l’éclairage tamisé et formaient un bien joli tableau.


Rencontrant une résistance parfaitement normale, il dût appuyer fermement et avec constance pour pénétrer l’anus qui lui était offert. La blonde gémissait doucement. Une fois entré entièrement, il n’hésita pas longtemps et commença ses va-et-vient. Sa pénétrée commença à gémir de plus en plus fort, et un petit regard aux alentours lui apprit que des spectateurs s’étaient déplacés vers eux. Appréciant le contact de la rondelle brûlante sur sa queue, il sentit qu’il ne pourrait plus tenir bien longtemps. Il tenta alors de ralentir, mais les fesses se déplacèrent vers lui en continuant le mouvement et il resta interdit. Il voulut reculer encore, mais les fesses venaient s’empaler sur lui avec encore plus de force. Il décida alors d’y aller à fond et quitta sa position à genoux pour s’accroupir au-dessus de sa proie, les genoux fléchis, la maintenant en place par la taille. Avec d’amples mouvements il sortait presque entièrement son sexe du petit trou avant de se réinsérer sans ménagements. Il voulait lui faire voir des étoiles.


Très rapidement il entendit la femme crier de plus en plus fort, et finalement elle hurla son orgasme. Elle bougeait la tête de gauche à droite, le suppliant de ne surtout pas arrêter. Il tint aussi longtemps que possible puis se laissa aller en elle, sentant le préservatif se remplir. Il eut du mal à maintenir sa position tout au long de son orgasme mais elle ne le laissait pas sortir, serrant ses fesses à lui en faire mal. Et ce n’est que lorsqu’elle se détendit après un dernier spasme qu’il put extraire son sexe de l’anus de la blonde et s’effondrer sur le matelas. Il sentit sa maîtresse d’un instant lui donner un baiser sur le ventre avant de quitter, comme elle était venue. Il perdit alors la notion du temps pendant quelques minutes.


Une main vint se poser sur sa cuisse et il releva la tête.



Elle lui saisit alors la queue et à l’aide d’une petite lingette humide lui retira son préservatif, le mettant dans un plateau sur la tablette.



Perplexe, il se releva et se vêtit avant de regagner le coin salon. Sara marchait d’un pas léger vers la sortie et trois portes plus loin ils reprirent leurs manteaux avant de partir.


Ce n’est que plus tard, assis dans le taxi qui les ramenait, qu’elle se tourna vers lui en se blottissant dans ses bras.



Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et reposa sa tête sur son épaule. En regardant défiler le paysage urbain sur lequel le soleil allait bientôt se lever, il se dit que cela faisait longtemps qu’il ne s’était pas senti aussi bien.