n° 16661 | Fiche technique | 41313 caractères | 41313Temps de lecture estimé : 24 mn | 27/02/15 |
Résumé: L'heure de la confession est venue ; ce sera l'occasion pour lui de savourer sa nouvelle vie. | ||||
Critères: fh ff ffh fbi couple couplus extracon extraoffre collègues nympho hotel fête telnet facial fellation cunnilingu préservati pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Sweetguyqc Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Du plaisir interdit Chapitre 06 / 08 | Épisode suivant |
Résumé de l’épisode précédent : pendant que son épouse est restée au chalet avec sa maîtresse, il a eu de longues conversations avec la sienne et il est devenu de plus en plus songeur. De plus, Sara l’a initiée à un club privé où elle a ses habitudes.
Lorsqu’il reprit contact avec la réalité, il était bien. Les images de la soirée de la veille lui revinrent en tête, et c’est avec un grand plaisir qu’il y repensa, sentant son désir monter. En tournant la tête, il vit qu’il était presque 11 heures. Ce n’était pas son habitude de dormir si longtemps, mais il se sentait si bien… Il s’aperçut alors que ce n’était pas uniquement la pensée des événements de la veille qui l’excitait. Son cerveau avait dû détecter la main de Sara sur sa cuisse quelques secondes avant qu’il ne s’en rende lui-même compte.
Elle saisit alors sa queue, à pleine main, et sans dire quoi que ce soit, replia la grande couette au pied du lit. Nue, ses gros seins appétissants et son doux parfum embaumant la pièce, elle vint s’assoir sur lui. Il sentit son gland et bientôt le reste de sa verge s’enfoncer dans sa douce chatte chaude ; lorsqu’il y fut au complet, elle pencha sa tête vers l’arrière et prit une grande respiration, entrecoupée de gémissements. Elle remua les fesses tranquillement, et il prit plaisir à ce début de baise tout en douceur. Elle gardait les yeux fermés et les deux mains bien en appui sur la poitrine de son amant, savourant chaque millimètre de cette queue qui la remplissait bien.
À peine éveillé, il se disait que c’était sans nul doute un de plus beaux réveils de sa vie. Dans l’ambiance feutrée de son lit, sa complice sexuelle le chevauchait, et c’est avec grand plaisir qu’il saisit chacun de ces seins. Les empoignant bien solidement, il les soupesa et redressa le cou pour les lécher. C’est au bout d’une de plus tendres baises de sa vie qu’elle se pencha vers son cou et lui souffla à l’oreille :
Ce qu’il fit, lâchant ses seins pour ses fesses et s’assurant de bien les serrer pendant qu’il donnait l’assaut final. La chambre fut emplie des longs râles de Sara et il se vida en elle, ses jets, bien que nombreux, semblant jaillir au même rythme que leurs ébats : tout en douceur. Elle eut un dernier sursaut et s’effondra sur lui, lui couvrant le cou de baisers. Pour la première fois depuis longtemps, il sentait qu’il venait de faire l’amour, et non de baiser.
Elle quitta le lit, l’y laissant bien au chaud, et il décida de s’octroyer quelques minutes de sommeil supplémentaires. Au moment où il se sentait repartir, il entendit Sara pousser un cri d’effroi. Arrachant le drap, il courut au travers du corridor en direction du salon. Lorsqu’il entra, il vit sa maîtresse, nue, debout, les mains sur la bouche. Dans le coin, sur un des chesterfield, Karen et Anastasia avaient pris place, le fixant lui et sa virilité récemment utilisée.
Karen brisa le silence. Juste avant, elle leur avait indiqué l’autre causeuse sur laquelle, surpris, ils avaient fini par prendre place.
Anastasia et Sara, se dévisageant du regard, laissèrent la discussion se poursuivre.
Nus comme des vers, Sara et lui ne pouvaient qu’écouter. Il prit toutefois la grande écharpe qui reposait sur un des bras du divan et la tendit à sa maîtresse qui la déploya sur elle. Quant à lui, il se contente de croiser les jambes, le dos bien droit. Il tendit la main vers la table et prit une cigarette, qu’il alluma. Après sa première bouffée, Karen poursuivit :
Il écrasa sa cigarette dans le cendrier et ne put qu’être ébahi devant la nature de cette conversation. Toutes ces années de cachotteries venaient d’éclater au grand jour, et pourtant il se sentait libéré, serein. Et à ce qu’il voyait, c’était également le cas de Karen.
Elle posa sa main sur la cuisse d’Anastasia et sourit à cette dernière. Il sentit alors la main de Sara sur son genou et il fut très content qu’elle fasse cela.
Elle lui sourit et le fixa un long moment avant de poursuivre :
Il prit la main qui était sur son genou et la serra, tout en fixant Sara profondément. Cette dernière, voyant le regard de son amant, répondit à la place de celui-ci :
Karen et Anastasia se levèrent, et lorsque sa femme passa à ses côtés, elle se pencha et l’embrassa sur la joue.
Elles quittèrent la maison et Sara vint se blottir contre lui. Pensif, il fixait la fenêtre et passa son bras autour d’elle.
Il lui embrassa la tête en la serrant un peu plus fort.
C’est autour du déjeuner, assis autour de la table, toujours nus, que la conversation se poursuivit. Une odeur de café frais embaumait la pièce, et en levant les yeux vers elle, il ne put s’empêcher de la trouver belle. Pour toutes ces années où il avait su qu’elle en voulait plus et qu’elle avait accepté d’être au second plan, il se dit que c’était peut-être à son tour de lui en donner. Après tout, il était bien avec elle, et elle le comblait, à tous les points de vue. Mais une clarification s’imposait car il ne désirait pas revivre la même situation. Après tout, au début de la trentaine, il n’était pas trop tard pour bien faire les choses.
Oui, il se dit que c’était exactement cela.
À cet instant, pour la première fois depuis ces derniers jours, il sut exactement comment il se sentait, et il sut donc précisément quoi répondre :
Elle se leva, et sa splendide poitrine capta son attention. Elle se tourna légèrement et il ne put détourner le regard de ses deux beaux seins. Éclairée de dos par le soleil filtrant au travers de la grande baie vitrée, elle était splendide.
Elle lui tendit la main.
C’est le cœur léger qu’ils prirent la direction de la chambre.
Les jours suivants se déroulèrent dans le bonheur le plus absolu. Sa maîtresse était devenue sa complice, et dans une atmosphère d’honnêteté totale ils enfilèrent les sujets de conversation sans ne plus se retenir. Ils allèrent au cinéma, visiter des musées et essayer de charmants nouveaux restaurants. Toutes ces choses qu’il ne se souvenait pas avoir pris le temps de faire.
Le lendemain de cette conversation à quatre, Karen avait envoyé des employés de son bureau chercher ses affaires. Cela s’était très bien déroulé, et le type qui semblait être en charge l’avait avisé qu’elle ne désirait que ses effets personnels. Bien que surpris, il finit par se dire que, de toute manière, elle était loin d’être dans la misère. De plus, Karen et lui n’avaient jamais été très attirés par les possessions. Cette maison était richement meublée, mais ils n’en avaient jamais profité. Enfin, si ce début de relation officielle avec Sara se déroulait comme prévu, il envisageait de se départir de cette maison afin de déménager au centre-ville, dans un splendide penthouse qu’il reluquait depuis un moment.
Un soir, alors qu’elle se blottissait contre lui, la pression des derniers jours ayant finalement complètement disparu, il se surprit à lui dire qu’il l’aimait en premier.
Il prit une pause et réfléchit. À la fin de cette fête annuelle, il terminait généralement dans une chambre d’hôtel en charmante compagnie, et malgré son bonheur actuel, il se plut à repenser à la charmante rousse qu’il avait honorée l’année précédente. Ça avait été très agréable, et n’étant qu’une stagiaire, il ne l’avait jamais revue. Mais quel bon moment ça avait été…
Elle se décolla alors et s’étendit de tout son long sur le dos. Sans plus y penser, il fit la seule chose dont il avait envie : la manger. Il avait toujours adoré manger son sperme au travers des semences de la femme qu’il venait d’honorer. Mais il n’avait jamais trompé sa femme sans préservatif, rendant donc impossible ce genre de chose. Et dans les derniers jours, il avait rattrapé le temps perdu. Sara posa ses mains sur sa tête et savoura la langue inquisitrice. Au bout de longues minutes, un cri féminin de jouissance s’éleva. Il fut comblé de l’entendre jouir ainsi et se dit que sa vie prenait une tournure des plus agréables.
C’est après une nuit de tendresse et de baise, suivie d’une journée essentiellement composée des mêmes éléments, qu’ils avaient finalement pris place dans le taxi les amenant vers ce grand hôtel. Deux heures avant de partir, alors qu’il était au téléphone avec un collaborateur, elle était venue se pencher vers son oreille et lui avait murmuré des mots qu’il ne se lasserait jamais d’entendre.
Il avait abruptement mis fin à la conversation et était allé la trouver dans la chambre. Assise sur le bord du lit, elle avait abaissé son pantalon de sport et s’était saisie de sa queue, d’une dureté déjà bien respectable, et l’avait gratifiée d’une délicieuse fellation. À plusieurs reprises, il avait cru défaillir dans cette bouche chaude mais fut capable de tenir bon. Il ne voulait pas manquer l’occasion de l’honorer.
Quelques minutes plus tard, elle s’était penchée sur le lit. Au moment où il s’approchait pour s’insérer entre les deux fesses qu’il aimait tant, elle lui fit signe d’attendre et prit une bouteille d’huile. Le visage bien plaqué contre les draps, elle s’étendit de l’huile sur le postérieur, en particulier sur le petit trou. Il observait le tableau qui s’offrait à lui et son excitation devint insoutenable. Lorsqu’elle eut terminé, elle se tourna vers lui :
C’était la première fois qu’elle s’enduisait de la sorte, et c’est avec une grande envie qu’il présenta son gland sur sa rondelle. Il s’était introduit tout en douceur, et d’un seul mouvement lui avait rempli le fondement. Il avait apprécié cette nouvelle sensation de douceur, malgré l’étroitesse habituelle de ce conduit, et savoura chacune de ses poussées. Au moment où il ne put plus se retenir, il l’entendit lui parler, entre deux gémissements :
Il s’était alors laissé aller, et c’est son orgasme à elle qui avait rythmé le sien. Repus, ils étaient repartis pour une autre sieste, blottis l’un contre l’autre.
Ces doux souvenirs en tête, il sentit le taxi s’arrêter et il se tourna vers sa douce qui lui sourit. Il descendit du taxi et l’attendit alors qu’elle sortait de l’autre côté, le valet lui tenant la portière. Un manteau long couvrait sa robe de soie bleu foncé au décolleté évocateur ; il adora ce qu’il vit et lui tendit le bras alors qu’elle arrivait à sa hauteur. Comme un jeune couple, ils pénétrèrent dans le hall, et une fois les manteaux au vestiaire, c’est en marchant collés l’un à l’autre qu’ils firent leur entrée dans la grande salle de bal.
Un steward tendit un plateau rempli de flûtes de champagne et ils portèrent un toast.
Un regard amoureux traversa son regard, et il le lui rendit bien rapidement.
Il aperçut la table du comité de direction et s’y dirigea. Les présentations furent vite expédiées, et avant qu’il ne puisse s’en rendre compte, c’est avec une aisance incroyable qu’elle prit part aux conversations des femmes de ses collègues. Un de ses partenaires lui prit le bras et, le sourire aux lèvres, lui fit comprendre qu’il voulait lui parler à l’écart.
Qu’était-ce, un petit mensonge par rapport aux plaisirs qu’il pourrait en retirer ?
Il se retourna alors dans la direction que son ami venait de lui indiquer pour observer cette femme ; il la vit en grande conversation. C’était vraiment une femme très désirable.
Ils reprirent leur place, et deux minutes plus tard il sentit son cellulaire vibrer dans sa poche. Il choisit de ne pas le consulter tout de suite. Les conversations étaient animées, entrecoupées de temps à autre par une présentation. Le souper fut délicieux, et au moment du dessert il se pencha vers Sara, qu’il interrompit en grande conversation avec sa voisine. Il l’embrassa et décida de tester l’entente les liant.
Ces paroles lui procurèrent une telle aisance qu’il se sentit dangereux. En consultant son téléphone, il vit le numéro qu’il avait reçu plus tôt en soirée. Il le composa et écrivit :
20:01 - D’après ce qu’on me dit, tu cherches de la compagnie.
La réponse ne se fit pas attendre.
20:02 - Oui. La tienne. Mais tu sembles occupé.
20:02 - Non.
20:03 - Cette blonde, alors?
20:03 - Une amie. Qui partira sous peu.
20:04 - Qu’as-tu en tête ?
20:04 - Si tu es la grande Noire que j’ai aperçue plus tôt, bien des choses…
20:05 - Comme ?
20:06 - Mettre ma queue dans ta bouche. Te prendre. T’enculer. Et avec un peu de chance, finir en venant sur ton joli minois.
Il vit le signe qu’elle écrivait apparaître et disparaître à plusieurs reprises. En levant les yeux, il aperçut Sara qui, bien que toujours en discussion, semblait de plus en plus émoustillée. Il posa la main sur sa cuisse.
20:09 - Ça semble prometteur. Quoique je ne suis pas une fan de sodomie. Tu peux vivre avec ça ?
20:09 - Oui.
20:09 – Alors, pas tout de suite. Ça serait trop suspect. Mais un peu plus tard.
20:10 - Je te tiendrai au courant.
Il rangea son téléphone et embrassa Sara. Il la regarda par la suite dans les yeux et lui fit un signe d’affirmation de la tête. Elle ferma alors les yeux et sembla parcourue d’un frisson. Lorsqu’elle les ouvrit, il la regardait toujours. Et ils se sourirent de nouveau. Elle quitta la table, disant qu’elle devait utiliser la salle de bain, et il la regarda s’éloigner avant de poursuivre sa conversation sur les objectifs de la nouvelle année avec un autre vice-président. Ce sujet, le passionnant pourtant énormément, était très loin de se préoccupations actuelles mais il se força à donner le change.
Le café et les digestifs le rendirent encore plus sûr de lui, et malgré cette assurance, il eut de nouveau la certitude d’aimer cette Sara. Celle qui, bien des années auparavant, était entrée dans sa vie en tant que maîtresse et qui était devenue, il y a quelques jours, sa complice de vie. Elle revint alors, et c’est avec plaisir qu’il l’observa discuter, rieuse et enjouée.
Peu avant 23 heures, alors que tous dansaient et que la table où ils avaient pris place était devenue plus déserte, elle se leva et fit le tour de la table, remerciant les gens pour une si belle soirée. De retour à lui, c’est en l’embrassant sur les deux joues qu’elle déposa quelque chose dans sa poche.
Elle partit, et après s’être assis de nouveau, il vérifia sa poche. Une petite enveloppe d’hôtel s’y trouvait. Chambre 1302. Une carte magnétique s’y trouvait. Ainsi qu’un petit mot :
« J’ai une carte. Tu en as une. Envoie-moi un SMS quand tu y seras. Je t’aime. »
Il prit son téléphone.
23:10 - Toujours partante ?
23:10 - Oui. Je vois que tu es maintenant seul.
23:11 - Dans dix minutes. Aux ascenseurs.
23:12 - J’y serai.
Ce furent les dix plus longues minutes de sa vie. Après les salutations d’usage car, après tout, il partait juste avant le décompte, il s’excusa et prit la direction des ascenseurs, sûr de lui, se sentant pour la première fois depuis longtemps parfaitement honnête avec lui et les autres.
Quand il arriva dans le lobby, il vit la Noire. Elle ne se retourna pas pour l’observer, même lorsqu’il se positionna à sa hauteur. La seule chose qu’il la vit alors faire, c’est d’appuyer sur le bouton d’appel. Quand les portes s’ouvrirent, ils y prirent place tous les deux et il appuya sur le bouton du treizième étage. Il la prit alors par les cheveux et les lui tira légèrement vers l’arrière, lui plaqua délicatement la poitrine sur le grand miroir.
Et il lui lécha délicatement l’oreille, l’observant dans la glace. Il sentit alors la main de la femme s’aventurer sur le tissu de son pantalon, tâtant sa verge du bout de ses doigts. Au bout de quelques secondes, elle la lâcha.
Il la relâcha alors et elle rajusta sa jupe ainsi que son décolleté au moment précis où la porte s’ouvrit. Il lui indiqua le chemin et il la suivit, observant chacun des mouvements de ses fesses, bien visibles sous la robe. Il se dit alors que cette soirée en serait une de pur bonheur. Saisissant la carte magnétique, il déverrouilla la porte et ils entrèrent. Il enleva son veston et le laissa tomber par terre. Elle vint se serrer contre lui, et tout en lui mordillant le cou, elle commença à défaire son pantalon.
Elle lui sourit, et lentement se mit à genoux. Elle fit glisser son pantalon et son boxer et eut un léger mouvement de recul au moment où sa queue se déploya, heurtant son nez. Dans la pénombre, il la vit se lécher un peu les lèvres et l’emboucher. C’est avec un soupir d’aise qu’il apprécia instantanément les contours de sa bouche chaude et la capacité qu’elle avait d’y créer un vide. Cette technique semblait lui procurer une longueur supplémentaire. Il l’entendait avaler, et à quelques reprises elle le sortit pour faire couler un peu de bave sur sa queue, le regard gourmand, avant de la reprendre en bouche. Il se demandait à quel endroit pouvait bien être Sara. Et surtout, si elle était toujours bien d’accord pour cette situation.
La Noire fit glisser les bretelles de sa robe sur ses épaules et finit par se relever, faisant quelques pas en arrière. Lui, debout, en profita pour finir de se déshabiller. Le regardant dans les yeux, elle fit tomber sa robe, le léger morceau de tissu allant choir sur le sol sans un son.
Elle lui indiqua le fauteuil et il y prit place, l’observant se déplacer vers lui et se remettre à genoux devant lui. Ce faisant, elle alluma la lampe sur la petite table à côté.
Ce n’était pas son intention. Elle le ressaisit et débuta de nouveau une fellation dont il avait peu l’habitude. Les yeux clos, elle l’avalait sur une bonne partie de sa longueur, sans diminuer la cadence, comme si sa seule envie était de le faire jouir le plus rapidement possible. Il allait lui dire de ralentir quand il vit un rai de lumière apparaître dans le cadre de porte. Toute à sa fellation, la Noire n’entendit rien et Sara, un grand sourire aux lèvres, s’avança, refermant délicatement la pièce. Et puis elle se tint à quelque pas d’eux, enlevant sa robe exactement de la même manière que la Noire l’avait fait quelques minutes plus tôt. Lorsqu’il la vit nue, il passa à deux doigts d’éjaculer.
La Noire sursauta et tomba assise, laissant la queue sortir de sa bouche mais la gardant en main. Elle tourna la tête et observa Sara, apeurée.
Sara se pencha sur elle et lui saisit les cheveux, les réunissant dans sa main. Elle murmura à son oreille :
Sara lui lança alors un regard de complicité telle qu’il aurait été prêt à l’épouser sur le champ. La Noire, sa queue toujours entre les mains, semblait réfléchir.
Et en prononçant ces mots, elle saisit délicatement la tête de la Noire et l’amena de nouveau à la hauteur de la queue. Et elle la prit de nouveau en bouche, poursuivant sa fellation avec une envie décuplée par rapport à il y a quelques minutes. Passant derrière le divan, Sara vint mettre ses mains sur son torse. Il savourait la fellation et les caresses de ces deux femmes, lorsqu’il entendit Sara :
Pendant qu’elle le suçait, il l’avait observée enlever son soutien-gorge puis son string d’un mouvement plus qu’habile, sans le faire sortir de sa bouche. À ce rythme, il se dit qu’il ne pourrait plus tenir longtemps, et c’est au prix de grands efforts qu’il lui prit la tête et sortit de la bouche qui le suçait. La Noire, visiblement excitée, se releva et s’approcha de lui. Il mit la main sur sa chatte. Faiblement poilue, il sentit la moiteur de cette femme, et lorsqu’elle sentit sa main, elle gémit, frissonnante. La Noire s’adressa alors à Sara :
Il entra dans la conversation à ce moment-là :
Il vit un condom apparaître par-dessus son épaule, et la Noire, aussi habilement que le reste, en recouvrit aussitôt sa verge avant de venir prendre position sur lui. Il ne se souvenait pas d’être entré aussi facilement dans le vagin d’une femme, mais bien que cela fût facile, cela n’en fut pas moins agréable. Ses cuisses devinrent rapidement moites, couvertes du liquide résultant de l’excitation de la femme. Il se fit très rapidement chevaucher, empoignant solidement les fesses de celle qui lui faisait plaisir. Sa nouvelle amante gémissait de plus en plus vite, semblant parfois chercher son souffle, s’empalant avec précipitation sur sa queue dès qu’elle remontait, semblant souffrir du vide. Il lui dégusta aussitôt les seins, plus petits que ceux de Sara, mais d’une forme différente. Il avait de la difficulté à les garder en bouche tellement elle bougeait, mais cela lui permettait de modérer son désir. Surtout que, bizarrement, malgré la nature des activités en cours, c’étaient non pas la pénétration qui le rendaient fou, mais bien les mains de Sara sur lui.
Il la vit alors aller se coucher sur le lit, fixant la scène. Il la quitta des yeux un instant et se concentra de nouveau sur les fesses qu’il avait sur lui et dont il appréciait la douceur en main. Il pouvait sentir la chair de poule de plaisir de la fille et son orgasme approcher. Elle lui gémissait de continuer, de ne pas arrêter, et qu’elle aimait le dominer de la sorte. Dans un grand cri, elle jouit alors, continuant à se démener sur le pieu qui lui procurait tant de sensations. Il ne tint pas très longtemps et repoussa la fille qui, dans la manœuvre, retomba à genoux. L’œil gourmand, elle attendit, la poitrine bien sortie. Il se releva alors, et après avoir arraché le condom, fixant Sara, il se branla au-dessus du visage de la Noire. Celle-ci, empoignant ses seins à pleines mains, reçut de longues giclées sans broncher, gémissant de plaisir. Ce n’est que lorsqu’il détourna le regard des yeux de Sara qu’il vit la Noire, la main entre les cuisses, se faire jouir de nouveau comme une tigresse avant de s’effondrer sur le sol, couverte de sperme.
Haletant suite à cet orgasme fulgurant, il alla rejoindre Sara, tombant sur le dos à ses côtés. Ils entendirent la Noire reprendre son souffle.
La Noire ronronna littéralement et vint la rejoindre dans le lit, se plaçant entre les jambes qu’elle ouvrait au même moment. Elle l’embrassa, puis déposa des baisers dans le cou de la blonde. Descendant lentement, elle prit grand plaisir à lécher les mamelons qui lui étaient offerts. Rapidement, elle fut entre les jambes de Sara et déposa de tendres baisers sur sa chatte, au travers de son string. Après de lents préambules qui semblèrent les rendre toutes deux folles de désir, la Noire tira sur le sous-vêtement de dentelle et fit disparaître cet inconvenant morceau de tissu. L’œil taquin, elle disparut aussitôt de nouveau entre les cuisses.
Il se leva et prit une cigarette dans son manteau. La scène qui s’offrait à lui, aussi excitante que les autres fois, était différente. Pour une fois, il le faisait sans mentir à personne.
Dans un état d’excitation palpable, en gémissant fort et criant même parfois son plaisir, Sara eut rapidement un orgasme qui la laissa sans voix, la bouche grande ouverte avant de retomber, la tête sur les grands oreillers du lit. Il n’avait suffit que de quelques doigts de la Noire bien au fond d’elle et de savants coups de langue sur son clitoris pour qu’elle perde contact avec la réalité, atteignant le nirvana des plaisirs saphiques.
La Noire s’essuya le visage avec le drap et se coucha, reprenant ses esprits. Finissant sa cigarette, il désira honorer la femme qui venait de rendre tout cela possible. Il s’approcha du lit et se glissa sur Sara. Sans toucher à sa queue, elle trouva le chemin toute seule et il lui fit alors l’amour passionnément. Avec force, mais passion. La Noire l’embrassant parfois elle, parfois lui, une main vagabondant sur les corps humides et chauds ; mais lui, c’est en regardant droit dans les yeux sa Sara qu’il sentait son plaisir monter. Il ne se concentra même pas sur l’amplitude des mouvements qu’il faisait ou sur la force de ceux-ci. Il était juste bien de sentir son corps en communion avec celui de Sara, bien que son érection commençait à souffrir des événements récents.
Lorsqu’elle dit ça, la Noire aventura une main derrière ses fesses et massa ses testicules. C’est à cet instant-là qu’il se laissa aller, se libérant, éjaculant au plus profond de la femme qu’il aimait maintenant. Celle-ci, le regardant droit dans les yeux, cria sa joie. Ce qui aurait dû être un simple orgasme semblait être teinté de grande joie. Vide, la queue rapidement ramollie par des orgasmes si rapides, il se retira et s’effondra… Sara mit son bras autour de lui.
La Noire se leva et s’habilla. Vêtue de nouveau, elle se tourna vers eux.
Ils entendirent la porte s’ouvrir et se refermer.
Elle l’embrassa, plus passionnément qu’auparavant.
Il finit de répondre et, le cœur en paix, se dit que, finalement les choses qui paraissaient compliquées ne l’étaient peut être pas.