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Temps de lecture estimé : 24 mn
12/07/15
corrigé 07/06/21
Résumé:  Depuis quelque temps, Julia s'ennuie avec chacun de ses amants. Elle les a réunis tous les deux et s'apprête à se donner aux deux en même temps.
Critères:  f fh fhh grossexe fépilée photofilm fmast rasage facial fellation cunnilingu anulingus 69 pénétratio fsodo hdanus uro -totalsexe
Auteur : Predictor18  (Passionné par toutes les Julia du monde...)      Envoi mini-message

Série : Julia.

Chapitre 04 / 06
Deux hommes pour Julia

Résumé des épisodes précédents : Avec Vincent, Avec Dominique et Une envie qui se réalise

Julia entretient une relation avec deux hommes qu’elle reçoit à tour de rôle chez elle. Ils sont différents quant à leur manière de lui faire l’amour : Vincent est son « amant de cœur », tandis que Dominique est plutôt son « amant de corps ». Depuis quelque temps, elle ne pense plus qu’à les avoir les deux en même temps.

Julia est arrivée à ses fins. Elle a réussi à réunir Vincent et Dominique. Elle vient de leur avouer qu’elle entretenait une relation particulière avec les deux et s’offre à eux.



____________________________________




En même temps, les deux se levèrent et s’approchèrent de Julia qui s’était mise au milieu de la pièce.



Dominique s’approcha lui aussi et, pour la première fois de leur relation, se mit à genoux devant elle. Tout en baissant d’un mouvement sec la culotte de Julia, il s’adressa à Vincent :



Vincent lui dégrafa son vêtement. Il fit cela avec douceur en l’aidant à le lui enlever et, tout en restant derrière elle, lui picora la nuque de petits baisers en lui caressant sensuellement les seins.


Dominique n’était pas en reste. Il caressait l’intérieur des cuisses de Julia qui, le premier moment d’appréhension passé, commençait à s’abandonner aux caresses. Ses mains étaient à cet endroit si doux où la peau change de nature pour devenir une zone réceptive aux caresses de celui qui sait les faire. Bien des années plus tard, elle se rappellera ce moment où, pour la première fois, deux hommes étaient avec elle. Elle en gardera un souvenir mêlé de puissance et de soumission. Autant elle avait Dominique à ses pieds, autant elle était entravée par sa culotte tombée aux chevilles. Elle aurait voulu s’enfuir qu’elle ne l’aurait pu. Et puis, tout simplement, elle était heureuse, nue face à deux hommes qui allaient lui donner du plaisir…



Tous les deux partirent et, par souci de discrétion, Julia les laissa seuls. Elle aurait bien aimé assister à leur toilette mais, pour une première fois, il ne fallait pas trop en demander. Durant quelques minutes elle se trouva seule. En passant la main sur son entrejambe, elle constata qu’une douce moiteur s’était installée. L’odeur de son intimité était comme à l’habitude : à peine poivrée et délicieusement suave. Quelquefois même, elle se demandait si toutes les femmes pouvaient s’enorgueillir de fragrances si agréables, et cela la conforta dans l’idée qu’elle pouvait se passer d’une énième toilette. Elle alla dans la chambre et s’allongea sur le lit. De la salle de bain parvenaient des bruits de douche et de lavabo. Quelques paroles étaient échangées, mais cela était inaudible.


Puisqu’aujourd’hui elle avait franchi un grand pas, elle se décida à aller encore un peu plus loin. Elle se mit sur le ventre, écarta ses jambes pour être plus à l’aise, et avec sa main glissée sous son corps commença à se caresser. Elle s’appliqua à faire monter encore son excitation en exacerbant l’entrée de son vagin par des caresses sur ses grandes lèvres. Elle s’abandonna à cette pratique solitaire en rêvant aux moments qui allaient suivre. Elle se surprit à écarter les jambes de plus en plus et à laisser un doigt inquisiteur forcer le passage pour se perdre dans son intimité.


Ce fut dans cette position que les garçons la trouvèrent. Tout occupée à son plaisir, elle ne les entendit pas revenir, et c’est le bruit de leurs respirations qui lui fit reprendre corps avec la réalité. Un peu honteuse de s’être fait surprendre en train de se donner du plaisir, elle se remit sur le dos en refermant le compas de ses jambes et vit que Dominique et Vincent, debout au pied du lit, n’avaient pas perdu une miette du spectacle et présentaient une belle érection. Leurs sexes étaient déjà tendus au maximum. Avec envie, elle les regarda et fut fière que ce spectacle, involontairement offert, ait pu produire un si bel effet.



Les paroles de Vincent lui mirent du baume au cœur. Elle regarda Dominique qui semblait chercher les mots qui siéraient à cette situation. Il alla droit au but.



L’effet ne fût pas le même, mais Julia, contente que ses amants puissent l’être, les invita à s’allonger sur le lit. Elle se mit à genoux face à eux et constata que les érections prometteuses avaient perdu de leur intensité. Néanmoins, les sexes se tenaient encore à peu près droit.



Elle inspira un grand coup. Elle avait encore cette boule au ventre qui, elle l’espérait, allait bientôt laisser la place à une autre plus chaude, plus rayonnante et beaucoup plus dévastatrice.


Ses deux amants étaient tout à son écoute et leurs yeux étaient braqués sur son ventre. De par sa position et l’épilation de son pubis, ses grandes lèvres étaient beaucoup plus apparentes. Imperceptiblement elle força un peu sur l’écartement de ses genoux pour les faire faire saillir un peu plus.



Sans les regarder directement elle continua en leur disant qu’elle ne voulait ni violence, ni contrainte, et que les grossièretés (pour cette fois) devaient être bannies. Ils acquiescèrent. Elle se tut pour se consacrer à eux et commença par Vincent en prenant son sexe en bouche. De son autre main, elle alla flatter celui de Dominique. Les érections reprirent instantanément. Elle ne les avait jamais connus si excités pour réagir aussi vite. Elle aussi commençait à ne plus pouvoir se contrôler. Elle voulait tout, tout de suite. Des mains hardies, des sexes en bouche, des langues dans son intimité…


Elle quitta Vincent et, lui tournant le dos, alla sucer le pénis de Dominique. Le premier en profita pour caresser ses fesses et effleurer l’entrée de son vagin. À cette caresse, Julia répondit du mieux qu’elle put en bougeant son bassin pour faire pénétrer ce doigt qui, elle l’espérait, ne serait pas le seul. Le souffle de Dominique devenait de plus en plus fort, et elle comprit que si elle continuait comme cela, il atteindrait un point de non-retour.

Se libérant la bouche de son sexe, elle lui demanda :



La scène de la vidéo lui revint en mémoire et elle les fit mettre debout sur le lit, se mit à genoux et les masturba du mieux qu’elle le put.



Il ne fallut pas longtemps pour sentir qu’ils se tendaient au maximum. Ce fut d’abord Dominique qui fit partir les premières giclées. Elle reçut en pleine joue une première coulée chaude et redirigea sa verge vers sa face. Elle fut surprise par la force de ses éjaculations. Cela ne semblait pas finir. Qu’il était chaud et doux, ce liquide qui s’immisçait partout ! Quelques secondes après, Vincent se libéra à son tour. Il poussa un long cri et mêla sa semence à celle de Dominique. Julia en avait trop sur la face et dirigea les dernières giclées sur sa poitrine. Jusqu’aux dernières gouttes, elle les masturba et, lâchant les deux sexes qui ne donnaient plus rien, elle se frotta les seins, heureuse de se masser avec ce mélange gluant qui ne tarissait pas. Tout ce qui était sur sa face commençait à tomber maintenant entre ses deux globes.



Ils ne se firent pas prier, et comme ils avaient perdu de la vigueur, ils purent entrer en même temps les deux dans sa bouche. Elle n’avait pas voulu avaler leur semence car la quantité était trop importante. Là, elle apprécia le goût de ce qui en restait. Deux mains allèrent caresser ses seins, et comme les siennes devenaient libres, elle les porta sur son pubis. Entièrement au plaisir des garçons, elle n’avait rien ressenti, si ce n’est de les avoir rendus heureux. Là aussi, c’était la moitié de son plaisir. Que ses amants soient heureux d’elle et de ce qu’elle faisait comptait beaucoup pour Julia.


Elle abandonna sa double fellation et se laissa tomber sur le dos en demandant aux garçons de rester debout sur le lit. Le visage et le torse luisants de sperme, elle écarta ses jambes au maximum et, impudique, se caressa devant eux. Ce qu’elle n’avait jamais fait en leur présence lui sembla, à ce moment, bien naturel. Ce fut un, puis deux, trois et même quatre doigts qu’elle introduisit dans son intimité. À ce moment, elle aurait tout accepté et aurait aimé que ses amants se jettent sur elle et investissent tous ses orifices. Ses pensées et les rapides va-et-vient de sa main l’emportèrent vers de doux moments.


Elle n’eut pas véritablement d’orgasme, mais le grand frisson qu’elle ressentit fut aussi perçu par ses amants. Ils comprirent que cela avait été bon pour elle car elle s’abandonna, tourna la tête sur le côté en essayant de cacher ses yeux embués, et laissa échapper un long soupir.

Tous les deux s’allongèrent à côté d’elle.



Les appréciations, si elles étaient convergentes, n’étaient pas dites avec autant de tact de la part de Dominique. Qu’importe, ils n’étaient pas dans un salon littéraire, et chacun, avec ses mots, exprimait son ressenti. De plus, de la part de Dominique, si le langage n’était pas des plus académiques, les grossièretés, jusqu’à cet instant, avaient été évitées.

Elle se redressa dans le lit et vit que les draps étaient maculés de sperme. Sur son visage et ses cheveux, de longues traînées commençaient à sécher. Elle se leva, prit un drap propre dans la commode, le donna aux garçons et leur demanda de changer le drap pendant qu’elle allait se rafraîchir.

Elle se laissa aller sous la douche qui dura un peu plus longtemps car elle dut se laver les cheveux et ensuite se les sécher.

Quand elle revint dans la chambre, le lit avait été refait ; le drap sale avait disparu, et les vêtements des garçons avaient été rangés dans un coin.



Elle s’allongea entre les deux et, écartant légèrement les jambes, s’abandonna en fermant les yeux.

Vincent lui caressa le visage avec beaucoup de douceur. Il s’attardait sur ses lèvres, les ailes du nez, et effleurait le front et les tempes. Il repassait sur tous les endroits qui, tout à l’heure, avaient été maculés de leurs plaisirs. Dominique avait pris possession de ses seins et les caressait presque aussi bien qu’elle le faisait elle-même. Cela durait, et elle aurait voulu que ça ne finisse plus. Les caresses de Vincent sur son visage étaient extrêmement sensuelles, et celle de Dominique terriblement excitantes. Elle avait conscience que ses jambes s’écartaient et, sans aucune pudeur, elle porta sa main à son entrejambe et se caressa en insistant sur le pourtour de son clitoris. Elle prit une main de Dominique et la guida vers son vagin. Sans ménagement, deux doigts la pénétrèrent et elle reconnut sa façon si particulière de l’investir.



Il ne se fit pas prier et fut heureux de lui confier sa verge qui, déjà, affichait des formes prometteuses. Elle abandonna Vincent quelques instants et, pour la première fois, donna l’ordre à Dominique de se mettre sur le dos. Dès que ce fut fait, elle alla poser son bassin sur son visage et se laissa aller aux douces caresses buccales qu’il lui prodiguait… Vincent avait retrouvé le chemin de la bouche de Julia, et il se masturbait en même temps. Elle faisait attention de ne pas lui faire du mal avec ses dents et appréciait que ce soit lui qui donne la cadence. De temps en temps, le gland décalotté sortait de sa bouche, et elle aurait donné tout l’or du monde pour une nouvelle éjaculation. Dominique, quant à lui, se comportait plutôt bien avec sa langue.



Elle ne se fit pas prier. Dominique était divin sur ce point-là. Sa langue était puissante, et avec force avait bousculé ses chairs. Elle sentait qu’elle voulait s’immiscer au plus profond d’elle-même. Elle écarta ses jambes du mieux qu’elle put et reprit en bouche la verge de Vincent en se félicitant d’avoir su forcer le destin et de réaliser une chose qu’elle pensait inouïe.


En se retournant, elle vit que Dominique avait lui aussi retrouvé sa totale érection. Les deux verges vues ensemble, la différence était notable. Au niveau grosseur, celle de Dominique était le double de Vincent. Elle profita de l’aubaine, délaissant un fabuleux cunnilingus et se relevant un petit peu, recula de cinquante centimètres et positionna son sexe à l’entrée de son intimité. Hormis la langue de Dominique et le passage furtif de ses doigts une demi-heure auparavant, rien n’avait pénétré bien loin. D’une rapide inspection de la main, elle s’asura que la verge était bien positionnée. D’un mouvement ample elle s’assit dessus, et tout cela pénétra en une fraction de seconde. La sensation fut aussi délicieuse qu’étrange. Elle eut un haut-le-cœur mais se sentit investie comme jamais elle ne l’avait ressenti. La présence en elle de son engin avait occulté les autres sensations. C’était comme si un énorme pieu avait pris possession de son corps. Elle resta quelques secondes dans cette position, le temps de calmer sa nausée et de pouvoir profiter de cette sensation de plénitude. Se trouvant face à Dominique, à son regard interloqué, elle put voir qu’il ne s’attendait pas à cela. De toute façon, il n’était pas en reste car il avait pris possession de ses seins et les caressaient avec moins de douceur qu’au début. « Chassez le naturel, il revient au galop ! » pensa-t-elle.


Les douces caresses avaient été oubliées, et ses paumes enserraient ses fragiles globes en les pressant avec vigueur. Ils réagissaient bien car d’étranges ondes partaient vers son bas-ventre. C’était comme si une deuxième boule de feu se formait dans sa poitrine et se préparait à rejoindre celle qui, tout à l’heure, viendrait la bousculer.


Tout cela était supportable, et s’il restait dans ces limites, il pourrait continuer à les malaxer. De toute façon, vu l’état d’excitation du moment, elle aurait pu accepter beaucoup plus.

Elle se mit à onduler du bassin pour sentir coulisser en elle l’organe viril. Avec bonheur, elle se sentait distendue et savait que rapidement, lorsque son vagin se serait adapté à ce nouvel hôte, sa sensation de plénitude serait moins importante. En remontant un peu trop, la verge quitta son fourreau et se trouva à l’air libre. Elle eut l’impression qu’une partie d’elle la quittait en même temps.

Elle chercha le sexe de Vincent qui s’était reculé. Il venait de passer derrière et regardait le travail de piston de Dominique.



Ensuite, il ajouta à l’adresse de Dominique :



Dominique accepta le compliment en grognant de plaisir. Julia, qui de sa vie n’avait jamais vu un âne, se promit – dès que le calme reviendrait – de se renseigner sur ces animaux.



Vincent laissa les derniers mots en suspens pour marquer son admiration.



Elle rêvait de cette position et de cette pratique. Maintenant, puisque pas mal d’inhibitions avaient été levées, elle souhaitait que son derrière soit offert, au moins à de doux léchages, et au mieux à des pénétrations digitales.


Vincent s’accroupit derrière elle. À dix centimètres de son visage il voyait le dard luisant de Dominique entrer et sortir. Les lèvres intimes de Julia étaient distendues, et tout autour des sécrétions étaient visibles. Il avait également une vue magnifique sur ses fesses et son petit trou. Tout cela était écarté plus que de raison, et sa langue trouva naturellement le chemin de l’œillet et commença à le martyriser d’une bien douce façon. Son excitation était à son comble. Il aurait bien aimé que Julia lui pompe encore le vit et qu’il puisse décharger dans sa bouche mais, puisqu’elle voulait être aimée comme cela, on ne pouvait pas lui refuser cette faveur. Après tout, elle avait demandé à être aimée comme elle le voulait.


Tout cela convenait à merveille à Vincent. Il s’interrogeait sur Dominique et se demandait quels genres de pratiques sexuelles Julia avait avec lui. Dans sa tête revenait la phrase « Vous êtes différents… »


Les mouvements de Julia étaient de plus en plus amples. À chaque fois, le sexe de Dominique sortait presque du vagin. Vincent était fasciné par ce spectacle qu’il n’avait jamais vu d’aussi près. À chaque fois que le sexe s’échappait du puits d’amour, les lèvres distendues laissaient apparaître la béance de son intimité. Les chairs roses étaient luisantes. L’odeur d’amour qui s’en échappait était de plus en plus poivrée. Ces arômes le rendaient fou, et si le sexe de Dominique n’avait pas été à l’ouvrage, il aurait voulu s’enivrer du plus profond d’elle-même. Avec sa langue il abandonna l’hommage à l’anus, et son doigt fureta autour. Imperceptiblement, Julia modifia le rythme du bassin et changea sa position. Vincent comprit qu’elle voulait que son doigt aille plus loin. Il cracha sur l’anus, y ajouta les sécrétions qui suintaient de partout, et positionna son index face au trou en y exerçant une légère pression.


Julia comprit que tout était prêt pour cette première fois. Elle ralentit la cadence, et par des mouvements très précis fit pénétrer le doigt. Vincent sentit la puissance des sphincters qui enserraient son index, et Julia, bien qu’il ne s’agisse que d’un doigt, se sentait investie.


Tout en faisant face à Dominique qu’elle chevauchait avec bonheur, elle fit à Vincent d’un signe de la main le symbole de deux doigts réunis. Il comprit l’invite, cracha une nouvelle fois sur l’entrée inviolée et fit pénétrer les deux doigts sur un centimètre. Julia finit le travail, et la manœuvre dut être un peu douloureuse car ce fut au bout de nombreux essais que les deux doigts allèrent au bout de leur course.


Maintenant, elle râlait de bonheur. Jamais les garçons ne l’avaient entendue comme cela. Une nouvelle fois elle fit signe à Vincent en réunissant trois doigts et en faisant un geste rapide comme pour signifier que la pénétration se devait d’être sans hésitation.


Le pauvre Vincent ne savait plus quoi penser. Elle, qui s’était refusée à toute incursion, se faisait pénétrer, et à chaque fois en voulait plus. Il joignit les trois doigts de sa main. Réunis, cela faisait un bon diamètre. Il les positionna. L’œillet, bien qu’il commençât à se distendre, avait du mal à accepter ce troisième intrus. Cela devait coûter à Julia car les râles de bonheur avaient cessé, et un petit gémissement sortait de sa bouche. Elle en souffrait, mais elle voulait y arriver. Dominique, en général peu à l’écoute de son amante, commençait à comprendre que quelque chose se passait. Cependant, couché sous elle, il ne pouvait pas voir grand-chose, et encore moins ce que faisait Vincent.


Quand les trois doigts furent entrés, Vincent prit un malin plaisir à les faire tourner dans son fondement. La sensation devait plaire à Julia car ses coups de reins délaissaient la position avec Dominique et favorisaient les doigts de Vincent.


Tous étaient en sueur. Le plus à plaindre était Vincent, qui ne bénéficiait d’aucune largesse de la part de Julia. Il retira ses doigts et eut le spectacle d’un anus distendu et palpitant. Il s’agenouilla derrière elle et présenta son sexe. Julia comprit ce qui se préparait et ne fit rien pour l’en empêcher. Cependant, pour ne pas froisser Dominique qui rêvait de la sodomiser, elle préféra la douceur de Vincent à la vigueur de Dominique. Malgré l’appréhension de ce nouvel acte, excitée comme elle l’était, elle voulait arriver à ses fins et désirait que ce soit Vincent qui en ait l’honneur.



La flatterie et la promesse de futurs délices furent bien acceptées et, avec regret, il se retira et recula assez pour qu’elle puisse prendre son sexe en bouche et présenter son derrière sous le meilleur jour.

Le sexe de Dominique était toujours aussi imposant. Il était trempé, et Julia retrouva son odeur intime. Cela ajouta à son excitation sans pour autant faire reculer son appréhension. Dans sa bouche, il occupa toute la place, et consciencieusement elle commença à lui faire la plus belle des fellations dont elle était capable. Comme pour beaucoup de femmes, la fellation était importante. Elle ne pouvait décrire les sensations qu’elle éprouvait, mais pour avoir à satiété un sexe dans sa bouche – de surcroît si bien proportionné – elle aurait donné dix ans de sa vie.


Vincent se positionna derrière elle. Il n’avait pas compris le subterfuge et avait déjà investi son vagin. Avec douceur elle se dégagea et, à l’aveuglette, prit le sexe bien dur et le remonta vers son anus. Cette fois-ci, Vincent comprit. Il était fou de joie à l’idée de la sodomiser. Il savait que trois doigts n’étaient pas aussi imposants que son sexe, et voulait que tout cela soit fait avec douceur.


Julia était cambrée au maximum. Vincent voyait sa tête monter et descendre sur la verge de Dominique qui regardait le plafond béatement. Il positionna son sexe bien en face et poussa avec douceur et fermeté. Julia arrêta la fellation. Elle était tendue et masturbait Dominique de façon mécanique. Le sexe de Vincent était entré à peine à moitié ; il arrêta sa progression. Julia se décontracta et reprit en bouche Dominique. Elle commençait doucement à onduler du bassin, et à chaque fois quelques millimètres supplémentaires l’investissaient en profondeur.


Quelle sensation ! Elle ne pouvait y croire. C’était comme si quelque chose de dur et brûlant entrait en elle. Cela n’avait rien à voir avec la pénétration vaginale. Elle voyait cela comme une forme extrême de soumission qui lui faisait prendre conscience de son corps. Cela n’empêchait que, quelque part, c’était bon pour son excitation. Elle aurait aimé se voir dans cette position lubrique et aurait bien voulu que des photos ou un film soient faits. La douleur s’estompait doucement et laissait la place à une autre sensation qu’elle n’avait jamais connue. C’était comme une emprise sur elle. Ne sachant pas si elle avait été pénétrée complètement, elle continua l’intromission. Lorsqu’elle comprit qu’il ne pourrait aller plus loin, elle fut fière d’avoir accueilli dans son fondement un engin de ce calibre. Toute appréhension fut enlevée et, à partir de cet instant, elle éprouva une sorte de plaisir à se faire martyriser les intestins.


Elle avait bien changé, Julia. Elle était en train de se faire sodomiser profondément et en même temps suçait – avec délectation – la grosse bite de Dominique. Pour parachever le tableau, une de ses mains descendit dans son entrejambe, recueillit d’abondantes sécrétions et s’agita sur son clitoris.


Vincent la pénétrait avec application. Il faisait coulisser son sexe de façon ample mais douce. De temps en temps il le sortait, et à la place introduisait son pouce dans le trou largement ouvert. Elle sentait la différence car les chairs à l’entrée de son anus étaient sollicitées différemment. La sensation n’en était encore que plus excitante. À la façon qu’avait de soupirer Dominique, elle comprit que son plaisir n’était pas loin. Elle le regarda et vit qu’il se crispait de plus en plus. Totalement excitée et déchaînée, elle redoubla d’efforts.



Il n’y eut plus besoin d’attendre longtemps ; Dominique se raidit et se vida dans la bouche de Julia. Elle fut surprise de ce qui arriva, pensant que sa première éjaculation avait réduit et la quantité et la force de celle-ci. Elle avala, même si cela lui devenait difficile. Elle garda longtemps en bouche le sexe qui tout doucement perdait de sa superbe.

Vincent, lui, sereinement imposait sa cadence. Il était appliqué et délicat, et ses changements de rythme plaisaient à Julia.



Elle continua à se caresser, et elle aussi accéléra la cadence. Toujours à quatre pattes, les seins pendants, elle demanda à Dominique de les caresser comme il l’avait si bien fait tout à l’heure. Elle n’osa pas lui dire qu’un peu de rudesse l’aiderait à prendre son pied.

Il les caressa avec prudence, mais Julia le reprit vertement :



Il comprit l’invite et les tritura de façon brutale. Elle regretta presque d’avoir haussé le ton. Ce fut là le déclencheur. Ses caresses sur son clitoris, son fondement labouré, et les sévices sur ses seins hypersensibles l’amenèrent à l’orgasme. Pour la première fois, elle poussa une longue plainte stridente et, se libérant de la sodomie de Vincent, se mit sur le côté. Les jambes écartées, sa main continuait à caresser son pubis. Ses mouvements étaient désordonnés et les sanglots arrivèrent. Quelle libération dans cet orgasme ! En même temps que des vagues de plaisir venaient de son ventre et allaient au bout de ses membres, elle ressentait le vide dans son derrière. Vincent la regardait et continuait à se masturber. Il lâcha sa semence sur son corps en privilégiant le pubis et la poitrine.


Longtemps ils haletèrent, et le calme revenu, Julia se coucha entre les deux. Dominique était hagard ; Vincent, pour sa part, ne semblait pas mieux. Julia se sentait épuisée. Physiquement, elle avait donné beaucoup, et nerveusement, la tension de tout ce qui venait d’arriver l’avait anéantie. Ils gardèrent le silence pendant de longues minutes. Julia prit des lingettes et essuya le sexe et le ventre de Dominique. À Vincent, elle fit pareil et s’apprêtait à se nettoyer elle-même quand Vincent lui proposa de le faire. Flattée par cette attention, elle se mit à quatre pattes.


À compter de ce jour, elle n’avait plus rien à cacher à ses amants. Il lui écarta les fesses et passa une lingette sur son anus. Il le faisait avec douceur, et cela était bien agréable. Toujours dans la même position, il lui fit écarter les jambes, lui entrouvrit ses lèvres et passa là aussi une nouvelle lingette. Il la fit mettre sur le dos, et délicatement essuya tout son pubis en prenant garde de ne pas trop titiller son clitoris. Julia se laissait faire, heureuse que quelqu’un s’occupe d’elle de cette façon si intime.

Ils restèrent allongés ainsi encore de longues minutes, et Julia brisa cette belle harmonie en se relevant.



Julia voyait cela comme une proposition incongrue, mais ce jour était un jour spécial, et cette idée ne la dérangeait pas.



Elle fut étonnée de la rapidité avec laquelle il s’exécuta. Il revint très vite avec une bassine de taille moyenne. Julia la posa à terre et s’accroupit. Elle n’eut pas à attendre longtemps pour se libérer, et le bruit que faisait le jet indiquait que l’envie était pressante.



Elle fut amusée par cette demande et se mit debout en se positionnant à moins d’un mètre d’eux. Une jambe sur le lit et l’autre au sol, le compas des cuisses bien ouvert, elle mit la bassine sous elle, et pour la deuxième fois urina. Les garçons ne lâchaient pas des yeux le jet qui sortait. Julia se libérait avec plaisir. Elle ne voyait pas grand-chose, mais le son du liquide remplissant la bassine lui était agréable. Les dernières gouttes tombèrent, et Julia reprit une position plus académique.



Ce fut Dominique qui se lança et lui dit :



Ce n’était pas un fantasme pour Julia d’uriner en public. Seulement, la position pour le faire et la proposition de Dominique – proposition à laquelle elle ne s’attendait pas – lui fit apprécier le sel de la situation. Il s’allongea sur le lit et Julia s’accroupit sur lui en lui tournant le dos.

Comme il était doux avec sa langue ! Il devait aimer le goût et l’odeur de l’urine car il grognait de plaisir en le faisant. Julia devait être propre depuis longtemps, mais Dominique passait et repassait sa langue à n’en plus finir. Elle remarqua qu’il repartait en érection. Quelle ne fut pas sa surprise : pour une troisième fois, il semblait prêt à un nouvel assaut !

Tout en restant dans cette position si agréable, elle lui prit son sexe et le masturba. Elle n’avait plus envie de le prendre en bouche. Vincent était debout à côté d’eux. Sa verge était flasque, mais il ne ratait rien du spectacle de Julia assise sur le visage de Dominique.



Julia avait très souvent vu des verges éjaculer, et cela au plus près. Il n’y avait pas de secrets pour elle. Par contre, elle n’était jamais entrée dans l’intimité d’un homme lors de sa miction. Dans cet acte, il y avait une part de mystère. Entre-temps, Dominique avait retrouvé sa vigueur initiale. Elle fut surprise qu’après deux éjaculations il soit encore aussi performant. Elle attribua cela à toutes ces nouveautés.



À défaut d’être inconvenante, la proposition était un peu hors contexte. Elle n’avait plus envie de grand-chose. Cependant, le nettoyage de son pubis fait avec tant de cœur, l’érection prometteuse qui en résultait et l’idée de voir Vincent uriner lui fit accepter une nouvelle passe d’armes.



Cette pointe de vulgarité était due à l’énervement de subir un nouvel assaut.

Elle se dégagea pour lui permettre de se mettre en place. Entre-temps, Vincent avait disposé la cuvette sous sa verge, et la miction commença. L’urine s’échappait avec force. Julia prit le sexe en main, le décalotta, et pendant quelques instants le bougea pour faire varier la direction du jet d’urine. Elle s’amusa à briser le jet avec un doigt qu’elle porta ensuite à son nez et à sa bouche. Lorsque les dernières gouttes tombèrent, Julia secoua la verge en la décalottant au maximum.

Ce fut elle qui, à son tour, se proposa de nettoyer son gland. Vincent se laissa faire, et elle engloutit l’engin en aspirant autant qu’elle le pouvait. Ni l’odeur, ni le goût n’étaient rédhibitoires. Elle se disait que cela pouvait se faire, et que si cela procurait du plaisir, il n’y avait pas lieu de s’en priver.


À propos de plaisir, Dominique s’en donnait. Il avait suivi la miction de Vincent avec attention. Il s’introduisit dans le vagin et commença à pousser sans trop de ménagement. Julia acceptait d’être envahie de cette façon mais n’en tirait que peu de plaisir. Elle le sentit arriver en butée car ses testicules heurtaient ses lèvres. En d’autres temps, la sensation aurait pu être délicieuse ; mais à ce moment-là, elle n’en ressentit que peu de plaisir.

Dominique la besognait avec de grands coups de boutoir, et elle faisait son possible pour garder le sexe de Vincent en bouche. Malgré tous les efforts qu’elle lui prodiguait, il resta flasque, et Vincent le retira avec un sourire gêné. Pour se faire pardonner il lui proposa :



Elle n’avait pas envisagé cela, mais une telle proposition ne pouvait se refuser. Il se glissa sous elle et eut une nouvelle fois, mais sous un angle différent, le spectacle du sexe de Dominique qui entrait et sortait.

La bouche de Vincent associée au pilonnage de Dominique eut raison de Julia : une nouvelle fois elle se sentit partir et râla. Ce ne fut pas la grande explosion, mais cela eut pour effet de motiver Dominique qui accéléra la cadence et lui donna de grands coups de boutoir qui ne semblaient jamais baisser d’intensité. Enfin il se retira et se coucha à côté d’elle. Elle ne sut pas s’il avait éjaculé en elle. Peut-être le fait qu’elle ait montré une nouvelle fois son plaisir l’avait décidé à arrêter, tout satisfait d’avoir accompli son devoir…

Quant à Vincent, jusqu’au dernier moment il avait été léché avec beaucoup de sensualité. Cela n’avait pas été facile en raison des mouvements désordonnés qu’elle avait pourtant essayé de contrôler. À lui aussi, elle était bien redevable de son dernier plaisir, et elle ne pouvait le laisser ainsi. Elle connaissait un truc qui, suivant ce qu’elle avait vu, marchait bien avec les hommes.


Elle le laissa allongé sur le lit, se mit en position de « 69 », et tout en prenant son sexe dans sa bouche lui introduisit un doigt dans le fondement. Elle savait que les hommes – même si peu n’osaient l’avouer – aimaient être pénétrés de cette façon. Et puis, elle aussi rêvait de le faire.

Cette technique fut prometteuse car Vincent avait abandonné son immobilité pour commencer à bouger son bassin. N’étant pas en reste, il en profitait pour lécher le sexe de Julia qui, avec effroi, pensa que si Dominique, quelques minutes auparavant avait éjaculé en elle, Vincent aurait le visage baigné du sperme de son dernier visiteur.


Qu’importe, cela commençait à être trop bon ! Elle s’appliquait avec une main à prendre le sexe de Vincent, le masturber dans sa bouche, et avec l’autre main à explorer son fondement. Le majeur était entré, et Julia le faisait aller et venir le plus profondément possible. Elle le ressortit et, sans crier gare, y joignit l’index. Sans préparation ni lubrifiant, Vincent eut en quelques secondes l’anus distendu. Il ne se plaignit pas et tendit son corps. Julia apprécia cette pratique et le fait qu’il semblait bien réagir à ces toutes nouvelles sollicitations. Au bout de quelques minutes, il se raidit et elle sentit arriver dans sa bouche un liquide chaud. Elle n’avala quasiment rien, car malgré tout cela elle était au bord de la nausée. Ce ne fut pas grand-chose, mais Vincent pour la troisième fois venait de se libérer.


Il y eut un long moment de silence, puis chacun se releva. Ils laissèrent Julia prendre sa douche en premier et allèrent chacun leur tour dans la salle de bain.

Elle leur offrit encore une bière et leur promit qu’elle serait disponible pour recommencer l’expérience.



En disant cela, Julia prit une mine soucieuse pour faire durer le suspense.



Ce fut sur un éclat de rire qu’ils se séparèrent.


Restée seule, Julia fit du rangement. Elle était fatiguée et n’avait pas beaucoup d’appétit. En prenant sa douche, elle avait remarqué que ses seins portaient des traces rouges un peu douloureuses : le traitement infligé par Dominique avait laissé quelques séquelles qui s’estomperaient d’ici peu.

Elle se dit que s’il fallait en passer par là pour connaître d’autres plaisirs, l’épreuve n’était pas si ardue que cela.